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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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707 commentaires

Vidéo YouTube sur le site des impôts : une lecture à nouveau obligatoire... et automatique

Le 18/04/2018 à 15h 35






carbier a écrit :

Sérieux ? <img data-src=" />
Tu sais que n’importe quel français est un contribuable ? Donc quel est l’info supplémentaire ?
En cas de compte connecté, il saura que tu t’es rendu sur le site des impots point. Tu sais que tu peux faire plein de choses sur ce site, autre que déclarer tes revenus.


Sérieux?
Tu as un lien vers la liste publique de l’ensemble des gens effectuant une déclaration d’impôt en France en 2018?
Et s’ils le font en avance? en retard? à quelle heure?
Avec leur adresse gmail à côté?

On peut faire plein de choses sur ce site, ça veut dire qu’on peut déduire des infos sur l’activité des gens, en distinguant par exemple s’ils s’y connectent 10/jour aux heures de bureau ou 1/an le soir?

Une petite idée de ce qui alimente le machine learning aussi, si ce ne sont pas des masses de données?



Le 18/04/2018 à 12h 08






skankhunt42 a écrit :

Google le fait déjà sans cette vidéo :p

Donc faut tout lâcher et même leur filer un coup de main? <img data-src=" />
En plus, une donnée vérifiée a beaucoup plus de valeur!



Le 18/04/2018 à 12h 02






127.0.0.1 a écrit :

Est-ce normal que ce sujet fasse autant le buzz ? A qui profite le crime ? etc.


C’est pas un buzz, c’est une info sur un site obligatoire qui ne respecte pas les règles de bases. L’avenir se construit sur les données, il faut être extrêmement prudent dès maintenant.

“A qui profite le crime” c’est généralement une phrase de complotiste, mais là en l’occurrence je ne vois même pas à qui. Faut juste qu’ils virent le machin ou l’hébergent ailleurs, personne ne réclame la démission du gvt pour ça.



Le 18/04/2018 à 11h 54






skankhunt42 a écrit :

C’est louable à partir du moment ou il est possible de zapper la vidéos mais honnêtement si vous n’avez pas 5 minutes pour la visionner c’est vraiment être un pur de qui des en .

Par contre pour la forme :
&nbsp;
. Pas possible de réduire la résolution de la vidéo 1080P 50 fps.
. Plateforme d’hébergement non française alors que classé comme non répertoriée


Que google puisse répertorier l’ensemble des foyers fiscaux français (et en cas de compte connecté, de faire le lien avec un internaute), ça fait partie du louable, ou de la forme?



Le 18/04/2018 à 11h 51






127.0.0.1 a écrit :

Bon, c’est juste une vidéo explicative sur le paiement des impôts sur le site du paiement des impôts. Est-ce que ca mérite un tel buzz ? D’ailleurs j’aimerais bien savoir qui organise tout ce buzz.


Est-il normal que Google sache à quel jour et à quelle heure je vais sur le site des impôts?
Est-il normal que le passage obligatoire sur le site d’une administration contienne une des plus grosse dérive en terme de vie privée, à savoir la transmission de données à des tiers? Est-ce que cela ne donne pas le “la” pour le reste du web?

C’est marrant, tout le monde pousse des ho et des ha quand on “s’aperçoit” que facebook traque les internautes même non inscrits, mais personne ne se pose la question des sites qui mettent des scripts vers facebook/google etc.



La charte de confiance dans les outils numériques patine au ministère de l'Éducation

Le 09/04/2018 à 15h 53

Il ne faut pas oublier qu’en plus de concerner des mineurs, ces dispositions concernent une inscription obligatoire. Quand les “gens” acceptent les conditions de Facebook ou je ne sais qui, il y a une démarche volontaire, certes à encadrer et surveiller, mais celui qui refuse strictement l’usage de ses données peut ne pas aller sur Facebook. Avec une école obligatoire, la population concernée n’a pas le choix.

Je me suis retrouvé dans cette situation absurde avec une charte à signer en primaire: Mon fils (en CM1) et moi nous engagions à respecter des règles que même les profs ne pouvaient pas comprendre ou respecter complètement. (par exemple des choses sur le copyright, genre 100% des adultes et des enfants y connaissent quelque chose…)
Sinon, mon fils aurait été empêché de&nbsp; suivre certains enseignements.

Bref, le filtre doit être en amont de l’utilisation, et bien serré. Ce ne seront pas les élèves (trop jeunes), les enseignants (ils doivent déjà maîtriser leur(s) matières) ou les parents (99% de la population à former) qui pourront limiter les débordements.


Transparence de Parcoursup : comment le gouvernement a enfumé les parlementaires

Le 17/02/2018 à 18h 36






Patch a écrit :

Si c’était simple, il n’y aurait pas besoin de jurisprudence.


Mais là ils sont en train de faire la loi!
Autant l’écrire correctement plutôt que de faire du caca en disant que la jurisprudence ou l’esprit de la loi corrigera ce qu’ils bâclent!



Le 17/02/2018 à 18h 35






fred42 a écrit :

Depuis que les lois sont mal écrites, ce qui est particulièrement le cas depuis quelques temps.

Marc a confirmé que ça existe même s’il pense que ça ne s’appliquerait pas dans ce cas.

Edit : la télé, ça ne compte pas, hein.


Bon, laisse moi le redire d’une manière qui exprime mieux ma pensée: Quand on s’apprête à voter une loi, on met ce que l’on souhaite y figurer dedans. Là ça voudrait dire qu’on “écrit mal” délibérément la loi?
Si on met autre chose et qu’on fait des déclarations à côté, c’est qu’on désire baiser les gens.

De plus, le commun des mortels n’a pas pour passion de passer sa vie devant les tribunaux. Donc qu’un esprit des lois puisse (peut-être) s’appliquer plutôt que d’avoir un règlement clair et que les choses aillent vite, ça ne profite qu’aux avocats et à ceux qui ont intérêt à vider la loi de sa substance.

Surtout que ce n’est pas la première fois ces dernières semaines qu’on nous présente des lois en promettant des améliorations ou des explications a posteriori.

Et la télé ça compte, puisque que c’est l’endroit où les gars expliquent “l’esprit de la loi” pendant qu’ils votent autre chose à l’assemblée.



Le 17/02/2018 à 10h 58






fred42 a écrit :

Donc si un candidat demande les raisons de la décision le concernant et (ce que je n’imagine pas) l’administration lui répond qu’elle n’a pas à le faire d’après la loi telle qu’elle est écrite, il suffira d’aller devant le Tribunal Administratif et s’il le faut devant le Conseil d’État pour que la volonté exprimée par la ministre elle-même soit appliquée et que le juge oblige l’administration à répondre à la demande.&nbsp;

Depuis quand les tribunaux s’appuient sur les débats à l’assemblée ou devant les télés pour juger?

Si c’est simple, il faut le marquer dans la loi et c’est tout.



Développez votre première application sous Windows : Hello, world !

Le 27/12/2017 à 09h 47






Sideroxylon a écrit :

En tant que Français de l’étranger, je retrouve tout ce que je n’aime pas chez nous: t’en a un qui bosse et 40 qui commentent en ne faisant pas avancer les choses.&nbsp;


J’espère que tu es dans un pays bien classé quand même.
http://www.oecd.org/fr/presse/le-ralentissement-persistant-de-la-croissance-de-l…



Le 23/12/2017 à 16h 21






tazvld a écrit :

Visual Studio permet surtout d’aller plus directement au cœur du sujet et de mettre de coté les détails.


Mais ça justement, je ne trouve pas ça tout à fait juste. (toujours dans l’idée que de toute façon personne ne sera d’accord, que ce soit pour le langage ou les outils&nbsp;<img data-src=" />, débattons dans la bonne humeur) Ou alors il faut préciser le coeur du sujet.
Une appli fenêtrée n’a pas besoin d’un IDE pour être codée et lancée vite fait. Et au moins ça donne vraiment l’impression d’être magicien/coder.
Se lancer avec VS (ou Eclipse, ou Netbeans, ou IntelliJ, ou Pycharm…) c’est justement se soucier de plein de détails qui ne sont pas du pur dev, mais de l’utilisation/config/automatisation d’outil. Et je trouve que c’est mieux en deuxième couche qu’en découverte.



Le 23/12/2017 à 09h 34






David_L a écrit :

Comme dit, je trouve que le souci d’une approche de type “on vous apprend à faire un petit batch/script pour commencer” me semble souvent perçue comme décevante parce qu’au final, on a pas l’impression de faire grand chose. A moins d’attaquer directement par le fameux classique du BASIC : “allez on développe un Snake”, mais il faut un peu plus de lignes de code <img data-src=" />&nbsp;


Mais en Python, Java (ou j’imagine en C#), on peut très bien faire une petite fenêtre qui affiche un truc sans passer par un IDE compliqué… ? Je vois pas trop l’opposition entre ce que je dis et “faire une app”?



Le 23/12/2017 à 08h 59

Bonjour tout le monde qui se tape dessus&nbsp;<img data-src=" />

Je trouve que C# en soi c’est pas forcément une mauvaise idée, mais par contre pour un premier contact avec le dev, faire installer un IDE et tout… C’est vraiment personnel comme approche, mais je trouve plus sympa de faire faire le maximum de choses avec un notepad ou ce genre d’editeur simple, et si possible en installant le moins d’environnements. (le mieux ce serait python sous linux vu qu’il y est de base, mais bon, ce serait effectivement se restreindre à un public particulier)
Compiler et executer en ligne de commande, c’est de mon point de vue plus simple que d’avoir des trucs automatisés auxquels on comprend rien, et qui sont plus difficile à debugger en cas de souci. En tout cas je regrette d’avoir commencé comme ça, ça fait souvent partir dans les mauvaises directions.

Enfin c’est juste pour donner mon avis, parce que comme le dit très justement l’auteur de l’article, aucun choix ne ferait l’unanimité.&nbsp;<img data-src=" />
&nbsp;
Par contre lire que Python c’est pour le script, heu… il me semble que le langage a bien dépassé ça, et que les postes avec du dev Python web ou software fleurissent joyeusement. (et quand on ajoute django…)


Altice Stock Checker : développez votre première application avec une interface graphique

Le 24/12/2017 à 16h 56






fdorin a écrit :

&nbsp;Si maintenant tu veux des arguments, il y en a. Pour le consommateur, j’en ai déjà donné un (cf clause “AS IS”).&nbsp;

Mais cette histoire de garantie ou pas, dans les faits?

Je suis entouré de gens qui ont des soucis avec des softs proprios qui plantent, qui n’ont pas de compatibilité ascendante ou descendante (ça arrange le modèle commercial au passage), qui conservent le même bug 10ans… Donc AS IS ou pas…

Il y a des boites qui coulent à cause de softs moisis, et qui ne font jamais aucun recours (j’imagine que la preuve est extrêmement difficile à amener). L’utilisateur final, lui il ne faut même pas rêver. Un maquettiste qui attaque Adobe ou un mixeur qui demande des sous à Avid parce qu’ils n’ont pas pu livrer dans les temps???

Encore une fois, ça ne veut pas dire proprio=caca, mais seulement: quelle différence?

Par contre une démarche ouverte, c’est par exemple du code dans un simple fichier texte plutôt que dans un projet VS ou autre format non opérable autrement qu’avec le soft concerné.&nbsp;



Le 24/12/2017 à 10h 17






fdorin a écrit :

. Par exemple, la très très grande majorité des licences libres (c’est pour ne pas dire toutes) ont une clause “AS IS”, c’est à dire que le logiciel est fourni tel quel sans garanti de fonctionnement. Et si le logiciel détruit votre matériel ? Vous n’avez que vos yeux pour pleurer. Et c’est déjà arrivé. J&nbsp;
(…)&nbsp;



C'est ce que j'appelle un avantage, et pas des moindres. Pourtant, deux lignes plus haut vous proclamez que le logiciel propriétaire n'a aucun avantage sur le libre... Belle contradiction.    


&nbsp; &nbsp;C’est votre choix. Maintenant, ce que vous dites est également vrai pour les compilateurs libres. A moins que vous n’ayez vous même compilé votre compilateur à partir de sources que vous avez intégralement inspectées, vous ne pouvez pas le garantir. Et je ne parle même pas de l’inspection de la chaîne de compilation pour compiler le compilateur…
(…)
&nbsp; Oh que si, et vous persistez même ! Le caractère libre (ou non) n’induit rien quant à la fiabilité.&nbsp; On peut avoir un logiciel non libre très fiable et un logiciel libre pourri. La seule garantie donnée par le libre est la possibilité de vérifier&nbsp;soit même la fiabilité, mais cela ne le rend pas plus fiable pour autant.&nbsp;&nbsp;



Bonjour,
Dans vos arguments je ne vois rien de spécifique au libre ou au propriétaire. Vous dites juste que les bons softs sont bons et les mauvais mauvais. Le seul avantage que vous donnez aux propriétaires c’est qu’il y en a de très bons.. Euh… En quoi est-ce dû au fait qu’ils sont proprios?

Pour justement continuer dans le cas de l’audiovisuel… J’ai bossé longtemps dans le son à l’image, uniquement avec des softs et des plugs ins proprio, et super proprio. Peu importe que ces logiciels soient bons ou pas (il y a de tout), cela donne des politiques de captage du marché, sans aucune intéropérabilité, des formations accessibles seulement à ceux qui en ont les moyens, et au final, avec du recul, à un milieu qui stagne technologiquement quand d’autres profitent des progrès de l’informatique. (Protools équipe&nbsp; dans 80 ou 90% des studios de son à l’image par exemple, les intermittents n’ont absolument pas le choix de leurs outils)

En quoi, fondamentalement, le fait que ces logiciels soient libres diminuerait leur qualité?
Par contre je vois tout de suite en quoi ça ouvrirait des perspectives pour l’évolution technique et pédagogique du secteur…

Je ne suis pas un libriste forcené, j’aime bien picore là où les outils me plaisent, mais j’attends encore des arguments comme quoi un code est moins bon&nbsp; par nature quand il est libre.



Calculatrice Numworks : calcul exact, scripts Python et autres nouveautés avec le firmware 1.2.0

Le 09/12/2017 à 16h 19

C’est quand même très cohérent avec une calculatrice, le python étant très efficace et en vogue dans le calcul scientifique, le traitement de données, le ML etc.

Son avenir… personne ne peut prédire ce genre de choses, à titre personnel je l’imagine survivre à pas mal des langages actuels.

Bon je suis fan aussi <img data-src=" />


Numworks : on  a testé la « calculatrice réinventée », tient-elle ses promesses ?

Le 17/11/2017 à 17h 15

C’est vrai que même quand mes profs demandaient une calculatrice scientifique, on n’a jamais utilisé les fonctions un peu évoluées. Ca a peut être changé, mais je vois mal une formation à l’utilisation du machin s’ajouter au programme, qui plus est avec 3 ou 4 marques différentes… ?

Sinon le projet est plutôt intéressant, mais il va falloir une version 2 plus au point sur les fonctionnalités et la licence. C’est vrai que les concurrents ont eu des dizaines d’années pour peaufiner leurs machines. (et en restant sur un modèle assez obscur en terme d’ergonomie, c’est vrai aussi)


Quand le ministre de l’Intérieur craint que l’Open Data donne lieu à des « attaques cyber »

Le 16/11/2017 à 16h 17

C’est vrai que mettre les données à disposition, c’est prendre le risque que les gens les consultent.

Il parait même que certains petits malins lisent les bouquins qu’ils empruntent à la bibliothèque. <img data-src=" />


Impôts : des députés veulent dispenser handicapés et personnes âgées de télédéclaration

Le 09/11/2017 à 11h 40

Quand je vois la différence de maîtrise de l’informatique entre mes parents (vieux et capables de plein de choses sur un ordi, alors que ce n’est pas leur métier) et des étudiants “digital natives” que j’ai eu (à part l’utilisation des réseaux sociaux, rien nada, savent pas ce que c’est qu’un disque dur, aucune notion sur internet et les réseaux, le chiffrement…)… C’est plutôt aux moins de 30 ans qu’on devrait envoyer un papier et un stylo.


À l'Assemblée, des tablettes pourraient remplacer les liasses d'amendements

Le 09/10/2017 à 14h 00

Hum, est-ce que les données de consultation par député seront en OpenData? <img data-src=" />
Est-ce que Candy Crush sera installé en standard?


La réforme du droit d’auteur inquiète l’univers du logiciel libre

Le 18/09/2017 à 14h 22

Si tu veux briller, agit dans l’ombre.

&nbsp;Pas mal <img data-src=" />


Le 18/09/2017 à 07h 34






jackjack2 a écrit :

Je me fais peut-être vieux mais j’ai la désagréable sensation que les libertés sur tous les sujets ne font que diminuer en permanence et sans contrepartie… Ca me dépite


J’ai plutôt la même impression, et sur plein de sujets.
Cependant, il faut aussi regarder ça sur de longues périodes, et analyser les qualités de ces libertés. Concernant le droit d’auteur et la propriété intellectuelle, on fait des bonds et des zigs zags et ds chutes sans arrêt depuis l’arrivée massive des supports dématérialisés et internet.

Il n’y a pas si longtemps, il fallait qu’un copain prête une k7, disposer d’un double lecteur enregistreur et d’une heure pour copier un album. Puis on est passé à une facilité énorme, puis à des dispositifs de protection (drm, cd protégé) ou de répression (hadopi). Les supports étaient (et sont, mais pas les mêmes) taxés.
On pouvait faire des photocopies de bouquins, mais ça prenait UN PEU de temps, une part du coût allait au Centre National du Livre… Maintenant on trouve de l’illégal, du légal numérique parfois libre, parfois aussi cher que le papier…

Internet a explosé l’existant, avec une sorte de liberté, cela a généré des réponses de protections (très souvent mauvaises ou mal branlées). Du coup, j’ai du mal à juger si on a plus ou moins de libertés qu’avant (concernant cet aspect des libertés, savoir et culture).

Ce n’est pas simple. Il m’arrive de donner des cours, et c’est absolument génial la somme de docs qu’on peut trouver, alors qu’avant il fallait avoir une encyclopédie ou aller à la biblio, que refaire un schéma prenait 4h… Sauf que… Quand c’est du libre/autorisé pour l’éduc etc. ok, on peut le filer aux étudiants. Quand c’est protégé… ben non. Et surtout, dans plein de cas, rien n’est précisé, et je n’ai pas envie de piller ce que certains mettent généreusement à dispo pour aider les gens, juste parce qu’il ne précisent pas les conditions d’utilisation.
Sachant que j’ai déjà vu des formateurs projeter du Creative Common après avoir mis leur nom à la place du logo…!

Ce serait beaucoup plus simple si ces documents ou oeuvres n’étaient pas souvent aussi une source de revenus. A titre personnel, j’ai des choses que j’aimerais bien amoureusement partager avec la planète entière, mais il faudrait pour ça que ce ne soit pas un outil pour nourrir ma famille, dont la “propriété” est une partie de ce que je monnaye avec mes employeurs.

Evidemment quand on applique ça à des majors ou des géants du logiciel, surtout face à des amateurs éclairés ou des défenseurs du libre, le choix moral est facile. Mais il existe une large zone grise.



4 mois d'abonnement Next INpact offerts : il vous reste jusqu'à 13h37

Le 06/09/2017 à 14h 25

Excellent <img data-src=" />


Ne se sentant « pas terroriste », Christophe Castaner ne craint pas la future loi sécuritaire

Le 01/09/2017 à 07h 41

A titre personnel,

&nbsp;Rien ne menace ma liberté si cela permet de lutter efficacement contre Christophe Castaner.

Et c’est rigoureusement exact.


Sauvegarder son ordinateur : après la fermeture de Crashplan, quelle alternative choisir

Le 29/08/2017 à 16h 27






beajer a écrit :

Je vois 2 intérêts : incendie ou cambriolage…&nbsp;

Pour être arrivé une fois devant la porte du bureau fracassée et toutes les pièces visitées, je confirme l’intérêt d’avoir des disques à deux endroits <img data-src=" />



Les demandes de carte grise bientôt possibles sur Internet, la fermeture des guichets programmée

Le 15/08/2017 à 09h 31






JoePike a écrit :

j’ai fait partie d’un projet de dématérialisation s’appliquant à des millions de personnes
(…)
Il y a eu d’autre exemples mais faire travailler des gens jours et nuits pendant des semaines pour aider les quelques rares personnes qui ne peuvent utiliser Internet était une hérésie.
Travailler de jour est plus sympa.


Comme je l’ai dit, je n’ai rien contre l’accès par internet ou l’automatisation. Et d’ailleurs ce que je dis n’est pas en contradiction avec ton discours, j’ai l’impression.

Mais rien n’empêche de prendre aussi en compte les cas particuliers, si?
&nbsp;
Truc tout simple, les caisses auto en supermarché. Si tu ne mets pas un assistant humain, c’est vite le bordel, ne serait-ce que parce que certains code-barres ne passent pas.&nbsp;
Et si on veut du 100% numérique, prévoir une reconnaissance d’image pour facturer l’article, ou encore un menu… On peut être inventif. Dans le cas que tu exposes, les gens sans internet avaient une porte de sortie ou ils étaient privés de bordereau?

Bref, tu as géré le gros, ok. A titre personnel, j’ai déjà rempli des formulaires où mon cas ne rentrait pas du tout dans les cases. Il fallait que je me retire définitivement de la société pour incompatibilité administrative?



Le 15/08/2017 à 07h 28






JoePike a écrit :

J’ai participé à un de ces ( gros) projets et c’est simplement incroyable de gains humains, matériels et financiers.

Quand tu dis “gain humain”, tu veux dire qu’on y gagne en humanité/présence/relationnel ou seulement qu’on baisse le budget ressources humaines?


JoePike a écrit :

pourquoi ne pas laisser des emplois se créér quand des gens sont prèts à payer pour ne pas avoir à le faire eux même ?
Il y a une demande il y a un service … ça me semble très bien
Pour moi c’est du gagnant gagnant.


C’est pas que les gens sont prêts à payer, c’est que les personnes qui ne sont pas habiles avec le numérique ou sont dans des cas particuliers sont désavantagés et doivent payer contrairement aux autres.
Ca veut dire qu’il y a une rupture d’égalité administrative.

Je suis favorable à l’administration par le net, et à l’automatisation de plein de tâches. Mais ça doit se faire 1) intelligemment 2) équitablement 3) avec un apport en terme de qualité de service.

L’autre jour, tout bêtement, il y avait une personne âgée (sans être croulante) qui expliquait au guichetier dans le métro que ses doigt ne lui permettait pas de récupérer sa carte dans les machines automatique, elle n’arrivait pas à la retirer, et donc qu’elle passait par le guichet.

Et puis si on veut faire passer tout le monde au 100% numérique/connecté, il va falloir donner des cours de mot de passe et de précautions question sécu&nbsp;<img data-src=" />



Mozilla lance de nouvelles expérimentations dont Send, son dl.free.fr éphémère et chiffré

Le 04/08/2017 à 09h 07






jackjack2 a écrit :

Il y a une API?
J’ai cherché mais avec un nom pareil comment ils veulent qu’on trouve des infos dessus? Sérieux c’est insupportable quand les dev font ça, appelez votre langage de programmation Go ou Hack pendant que vous y êtes ! <img data-src=" />
Tout nom de programme/service ayant moins de 6 caractères et étant dans le dictionnaire anglais devrait donner lieu à un transfert de ses créateurs en Corée de Nord avec des affichettes de Kim dans leurs poches


Le pire c’est quand même ‘R’&nbsp;<img data-src=" />



Hertz, première société sanctionnée par la CNIL sous l’empire de la loi Lemaire

Le 28/07/2017 à 07h 37

“&nbsp;La violation de données avait pour origine la suppression involontaire d’une ligne de code lors du remplacement de l’un des serveurs&nbsp;”&nbsp; gné? <img data-src=" />&nbsp;


La France déroge une dernière fois à la Convention européenne des droits de l’Homme

Le 20/07/2017 à 09h 50






wanou2 a écrit :

Juste une précision pour les commentateurs en chef qui n’y connaissent rien :
Le conseil de l’Europe et la convention européenne des droits de l’homme n’ont strictement rien à voir avec l’Union Européenne. Ce sont une institution et un traité international qui regroupe des états volontaire du continent européen. Mais il semblerait qu’il soit de bon ton de critiquer l’UE même quand elle est pas concernée…


Merci de cette précision, ça fait du bien d’apprendre des choses&nbsp;<img data-src=" />
Effectivement ça n’a rien à voir (en terme d’objectif et de constitution)
&nbsp;
Par contre c’est chaud quand même, distinguer Conseil de l’Europe et Conseil de l’Union Européenne. &nbsp;Je propose de lancer un vaste plan de marketing/renaming (à très cher) pour les institutions européennes, histoire d’avoir un truc plus clair.



Le 20/07/2017 à 08h 05






Jarodd a écrit :

Pourquoi « une dernière fois », ce n’est plus possible ensuite ? Ca ne serait pas « une nouvelle fois » plutôt ?


Plusieurs dispositions de l’état d’urgence vont être adoptées dans “l’état normal”. Donc plus besoin d’urgence…

Ce qui est presque drôle, c’est que concernant les 3% de déficit il faut absolument suivre les directives de l’Europe, mais par contre, sur les droits de l’homme…



La Cour de cassation consacre le vol de fichiers sur le réseau local d'une entreprise

Le 11/07/2017 à 14h 27






bloossom a écrit :

&nbsp;Ce que je conteste est qu’on torde le concept juridique de “soustraction” afin de qualifier ce qui a été fait de vol. C’est autre chose, de punissable mais autre chose. L’essence même de la protection spécifique des biens immatériels est qu’ils ne permettent pas la soustraction (si je te pique l’idée que tu as breveté, tu as toujours ton idée brevetée (dont tu peux toujours jouir), c’est pour ça que le droit des brevets permet de sanctionner les contrefaçons). Tu es lésé dans l’utilisation de ton brevet et tu peux te défendre via le droit des brevets, mais il n’y a pas de vol à proprement parler.&nbsp;


Et si on copie un fichier client par exemple pour le divulguer à d’autres. L’entreprise jouissait d’un avantage compétitif grâce à la collecte et au classement de ce fichier. Le fait que d’autres entreprises y aient accès supprime cet avantage. Est-ce qu’on ne peut pas considérer qu’il y a alors soustraction? (l’entreprise est “dépossédée de son avantage compétitif”)

Ca mériterait une remise à plat sémantique tout ce bordel quand même&nbsp;<img data-src=" />



Le 11/07/2017 à 12h 00






Larsene_IT a écrit :

Est-ce que pour mon assurance, ce sera la même chose, désormais ? “Non, monsieur l’assureur, je n’ai pas fermé porte de la maison, et non plus le coffre fort”…. “Ben oui, il m’a volé”…. “comment ça, ma responsabilité ? il m’a volé, un point c’est tout !”


L’assurance suit son propre code.

Pour la loi, porte ouverte ou pas c’est un vol.



L'obligation de déclarer ses identifiants âprement critiquée au Sénat

Le 11/07/2017 à 09h 03

J’y avais pas pensé dans les premiers temps, mais si on est obligé de communiquer&nbsp;les numéros d’abonnement et identifiants techniques de tout moyen de communication électronique dont elle dispose ou qu’elle utilise… C’est énorme!J’imagine que je ne suis pas le seul ici, cette définition concerne des dizaines de sites/softs. Et chaque fois qu’on se crée un compte quelque part, qui permet “la communication électronique” il faudra re-communiquer les nouveaux identifiants? Ainsi que tous ceux utilisé dans le cadre du boulot? D’ailleurs les entreprises sont ok?Du coup, ça devient extrêmement facile qu’il y ait un oubli ou une négligence (en plus c’est “dispose” et pas seulement “utilise”), et les gens “soupçonnés” deviendront alors… coupables. Bien joué.


Face aux sociétés d’auteurs, Canal+ poursuit l’escalade en visant la répartition

Le 07/07/2017 à 11h 16

Alors selon wikipedia:&nbsp;
&nbsp;La&nbsp;Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique&nbsp;(Sacem) est une&nbsp;société de gestion des droits d’auteur.Société privée à but non lucratif, contrôlée par la Commission de contrôle, émanation de la Cour des Comptes, les administrations fiscales et sociales, un commissaire aux comptes et ses sociétaires.

&nbsp;Donc ok, ce n’est pas une société à but commercial, mais ce n’est pas non plus du tout un syndicat <img data-src=" />

&nbsp;Ce que je veux dire avec mes analogies foireuses, c’est surtout que Canal tire d’abord et pose les questions ensuite.Et que les sociétés de répartition fonctionnent comme ça depuis des dizaines d’années, donc les mecs qui fondent, achètent ou rachètent Canal+ n’ont qu’à se renseigner avant, plutôt que de simuler les vierges effarouchées… Genre les gars font du business à coup de milliards mais avancent en aveugle.


Le 07/07/2017 à 09h 47






Chamaloxxx a écrit :

Je ne suis pas un défenseur de Canal, ce sont des hyènes, mais comme le dit l’article ils sont (pour l’instant) contributeurs majeurs. Et à ce titre je ne trouve pas complètement idiot qu’ils veuillent savoir comment cet argent est réparti, si il l’est correctement, et si personne ne se sert au passage.

Après tout, quand on paye nos impôts on a la répartition exacte des sommes récoltées.


Mais quand tu achètes des Nike ou un abonnement téléphonique, tu pars avec les chaussures et la carte sim mais tu payes pas tant que tu n’as pas reçu un audit sur les dividendes et les conditions de travail des employés?



Le 07/07/2017 à 09h 41






Vekin a écrit :

Et estimes-tu que ces 50.43€ sont une juste rétribution ? Ça m’intéresse d’avoir l’avis de quelqu’un qui est directement rétribué par ces sociétés d’auteurs.


Je ne peux sûrement pas être représentatif de tous les “ayant droit”.&nbsp;<img data-src=" />
Dans mon cas, et dans le cas de pas mal de “petits”, les sommes touchées sont inférieures à l’investissement en terme de travail, de temps et de matériel. Et c’était dans le cadre d’oeuvres diffusées par… canal+, donc là le chemin est simple: ils diffusent, ils payent.

Je suis pour la propriété intellectuelle, dans le sens où j’apprécie que n’importe qui ne puisse pas faire n’importe quoi avec l’oeuvre d’autrui. Mais le fonctionnement des sociétés de répartition est vraiment trop opaque, trop favorable aux “gros” auteurs, et surtout trop axé sur des solutions vieille école (taxer les disques durs et ce genre de chose…).

Il y a aussi des abus, avec des boites qui ne payent pas (ou peu) les musiciens, et ces derniers ne touchent de l’argent qu’avec leurs droits d’auteurs… Ce qui certes les laissent propriétaires de leurs oeuvres, mais dans certains cas il serait plus cohérent que le musicien soit rétribué pour son boulot (avec une certaine sécurité donc) mais en abandonne totalement les droits…
&nbsp;
Cependant, la solution n’est pas si simple, même du point de vue du diffuseur: Est-ce que Canal accepterait de devoir négocier les droits de diffusion avec tous les auteurs concernés par ses programmes, séparément? Et même, déjà, de devoir demander une autorisation de diffusion aux milliers de compositeurs/réalisateurs/photographes etc. concernés chaque année?



Le 07/07/2017 à 09h 05






jackjack2 a écrit :

1/ Quelles que soient leurs pseudo justifications on est d’abord que ce qu’ils font est illégal ? C’est comme arrêter de payer son loyer en refusant de quitter l’appartement pour renégocier le montant, non ?&nbsp;


Avec la justification que le proprio semble ne pas tout déclarer aux impôts.

Que les sociétés de répartitions soient mal gérées, injustes, pourries &nbsp;ou je ne sais quoi, c’est une chose (et je pense qu’effectivement ça doit pas être très joli joli). Mais faire la loi soi-même c’est très limite.

Genre je paye pas mes courses au supermarché parce que le groupe de grande distribution est soupçonné de ne pas rétribuer suffisamment les producteurs… (dans ce cas je n’y vais pas, tout simplement)

Cela dit les abonnés canal+ pourraient cesser leurs paiements en arguant que la boîte ne respecte pas le droit d’auteur, ce serait marrant&nbsp;<img data-src=" />

Bon, je suis pas objectif, j’ai touché 50,43€ de la sacem cette année.



Au Conseil d’État, la portée territoriale du droit à l’oubli sur Google

Le 30/06/2017 à 13h 18






eliumnick a écrit :

&nbsp;Tu as compris la vie. Gloire à toi.


Ah enfin tu le reconnais, merci.



Le 30/06/2017 à 12h 49






eliumnick a écrit :





  1. Ton exemple d’une info qui serait reprise partout, et qui donc présente un intérêt pour le public est justement exclu de ce droit au déréférencement.



    1. Passons aussi sur le cas du viol avec le nom de la victime placardé partout…


    2. Bref, arrête de vouloir nous prouver que tu ne sais pas de quoi tu parles.



      1 ) Exclu?
      En vertu de quoi?
      &nbsp;
      https://www.cnil.fr/sites/default/files/typo/document/Droit_au_dereferencement-c…

      On trouve par exemple:
      “EXEMPLE DE SAISINE : Un plaignant demande le déréférencement d’une information en ligne
      relative à une condamnation pénale, alors qu’il a depuis fait l’objet d’une relaxe en appel.
      Un plaignant demande le déréférencement d’un contenu en ligne datant des années 90 et
      exposant son échec à un examen. ”



    3. Pourquoi ignorer ce cas?
      &nbsp;
      &nbsphttp://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/10/10/google-leve-le-voile-sur-les-dem…
      &nbsp;
      “Une internaute allemande victime de viol a par exemple demandé à Google la suppression des résultats de recherche d’articles relatant l’agression. ”
      &nbsp;3)
      Je vais finir par croire que c’est toi qui n’est pas suffisamment informé sur le sujet.




Le 30/06/2017 à 08h 02

Encore une fois, parler de “territoire” concernant internet c’est un peu XIXe siècle.&nbsp;

Encore une fois, je ne suis pas “pour” ou “contre” dans ce débat, puisque les deux côtés de la balance me semblent comporter des dangers, et de gros dangers.

Il est très facile, par exemple, d’organiser une campagne de dénigrement contre une PME d’un pays, en mettant le contenu sur 10 hébergements dans 10 pays différents, pour un coût minime. Quelle PME peut se permettre de lancer 10 procédures à l’international?
Par contre si elle a des contacts à l’étranger, ceux-ci tomberont direct sur le contenu litigieux… grâce aux moteurs de recherche.

Et effectivement, dans l’autre sens, on ne souhaite pas que chaque pays (dont les plus dictatoriaux/censeurs etc.) puisse dicter le contenu du net… Ou même d’ailleurs que tout simplement une plainte d’une association (et il en existe de tout bord) suspende au niveau mondial les références à une information.

Pas facile…


Le 30/06/2017 à 07h 52

Alors justement, il n’y a plus un “site web qui héberge le contenu”.

Il y a ENORMEMENT de sites webs qui hébergent le contenu. Dans le cas d’une mise en examen par exemple, ou d’une rumeur, il y a l’ensemble des médias qui reprennent l’info, puis tous les blogs et autres sites qui la relaie, en citent des extraits ou la totalité. Souvent sans publier le non lieu final, le droit de réponse, bref, le fin de mot de l’histoire.&nbsp;

Dans le cas de publications militantes (leaks etc), certains sont mêmes spécialistes des réplications pour éviter que la fermeture du site principal suffise à étouffer une affaire. Ce qui est parfois une bonne chose d’ailleurs, tout dépend de quel côté on se place. (c’est bien le problème, ce jugement de la nécessité d’oublier certaines choses, et pas d’autres)

Il y a mêmes des cas où la victime désire ne plus être systématiquement identifiée. Par exemple une victime de viol dont l’affaire a fait du bruit, et qui voit les résultats google la concernant remplis d’articles hébergés un peu partout détaillant ce qui lui est arrivé.

La démarche vers le site originel
&nbsp;- N’est parfois pas possible (paradis moraux/médiatiques/légaux/politiques, où les faits ne sont pas qualifiables par exemple)
&nbsp;- Ne sert à rien, il faudrait faire retirer le contenu dans des dizaines, centaines, milliers de sites, avec une démarche judiciaire séparée pour chaque hébergeur, avec des lois variables en fonction de la zone géographique.
&nbsp;- Le temps que les démarches aboutissent, l’info a pu migrer, être reprise, c’est un combat sans fin.

Du coup, la seule manière de limiter l’accès à des infos périmées, ou intimes, ou fausses, c’est travailler au niveau du référencement. Un site web non référencé est bien moins dommageable.

On pourrait aussi décider de nettoyer le web en enlevant les fake news, les photos obtenues illégalement etc., mais faudrait rien avoir à faire ces 1000 prochaines années&nbsp;<img data-src=" />


Le 29/06/2017 à 15h 52






eliumnick a écrit :

Quel est le rapport avec une demande de déréférencement ?

Si tu es diffamé et que tu portes plaintes, c’est pour que le contenu originel soit supprimé.


Sur internet, le “contenu original” ça ne veut plus rien dire&nbsp;<img data-src=" />
&nbsp;C’est pour ça que le débat tourne autour du référencement.



Le 29/06/2017 à 12h 39

Mais si on est diffamé (accusé d’escroquerie, de pédophilie…) doit-on faire valoir ses droits dans chaque pays séparément (impossible, pour le particulier en tout cas), ou renoncer à tout voyage ou carrière internationale?
&nbsp;
Aucun des deux cas n’est satisfaisant, me semble-t-il…


Le 29/06/2017 à 10h 28

Débat bien compliqué tout de même… On veut pouvoir légiférer efficacement (Internet ne s’arrête pas aux frontières, ce sont les géants du web qui sont les premiers à le dire, alors appliquer les lois par région n’a pas de sens) mais on imagine mal un système où n’importe quelle cour de justice dans le monde peut changer les règles mondiales chaque jour…

On est toujours pour l’universalité quand ce sont nos règles qui sont appliquées.

Va-t-on devoir en passer par un ONU du web, pour que les décisions soient prises (lentement et selon un consensus forcément discutable) collégialement?


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Ouch, vu que ça n’a aucune chance de donner quelque chose… C’est uniquement pour mettre un coup de pression, histoire de vous mettre le doute vis-à-vis de vos prochaines publications?

Bref, une méthode pas jolie-jolie.

En même temps ça serait marrant que ça pousse un responsable du ministère à dire publiquement qu’ils ne l’utilisent pas trop cette app, pour diverses raisons <img data-src=" />
(ou qu’ils ont perdu le mot de passe pour lancer une alerte)
(ou que Twitter c’est quand même plus classe qu’une app dédiée)