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Berbe

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?

594 commentaires

Sécurité globale : vote solennel aujourd’hui, au lendemain de violences policières filmées à Paris

Le 24/11/2020 à 10h 26


Azerty38 a dit:


“ou encore l’interdiction de filmer ~ diffuser le visage des policiers “




… avec une présomption d’intention dont les forces de l’ordre seront les premiers appréciateurs


La justice européenne répète qu’une case précochée ne peut prouver le consentement d’une personne

Le 12/11/2020 à 15h 49


DayWalker a dit:


Enfin un passage vers l’opt-in au lieu de l’opt-out !




Il n’y a aucun “passage” : le texte du RGPD n’a jamais changé.
Consentement via “action positive explicite” & actions de consentement ou de refus à la difficulté symétrique : il ne peut et n’a jamais pu y avoir légalement d’“opt-out”.



Certains éditeurs de site Web semblent seulement avoir du mal à comprendre les textes qui ne vont pas dans leur sens… et lorsqu’ils se font choper : “Oups ’s’cusez… On peut avoir 1 an pour corriger ? Parce que vous comprenez, vous nous prenez de court, c’est compliqué… ma grand-mère a écrasé un lion… pis la COVID, toussa toussa…”



RGPD Article 4 (11) [1] :




‘consent’ of the data subject means any freely given, specific, informed and unambiguous indication of the data subject’s wishes by which he or she, by a statement or by a clear affirmative action, signifies agreement to the processing of personal data relating to him or her;




RGPD Article 7 (4):




[…] Prior to giving consent, the data subject shall be informed thereof. It shall be as easy to withdraw as to give consent.




UK ICO [2] :




Consent requires a positive opt-in. Don’t use pre-ticked boxes or any other method of default consent.




[1] https://eur-lex.europa.eu/legal-content/EN/TXT/?qid=1532348683434&uri=CELEX:02016R0679-20160504
[2] https://ico.org.uk/for-organisations/guide-to-data-protection/guide-to-the-general-data-protection-regulation-gdpr/lawful-basis-for-processing/consent/


LibreOffice interpelle OpenOffice par une lettre ouverte

Le 16/10/2020 à 19h 16


(quote:1830406:127.0.0.1)
Donc, si je résume, Les devs de LibreOffice chouinent parce qu’ils ont préféré investir leur temps/énergie dans les commits plutot que dans la communication/pub.




S’il y a bien quelque chose que je ne m’attendais jamais à lire, c’est critiquer une entité qui mise plus sur le travail concret que sur la baudruche du marketing…



Si aujourd’hui un projet qui bosse est moins valorisé qu’un autre qui glande, parce qu’il y a plus de publicité du côté des glandeurs/inutiles, ne serait-ce pas l’occasion de s’adonner à un tantinet de réflexion quant au poids, manifestement néfaste, de la publicité dans notre société ?
… et remercier les projets utiles, en commençant par éviter de les qualifier de chouineurs.


Appel à la grève suite à l'annonce de la fermeture des bureaux de Blizzard en France

Le 16/10/2020 à 18h 35

Définis « raison valable ».


Licenciement économique (puisqu’il ne s’agit pas ici de fautes individuelles), avec preuves démontrant de réelles difficultés économiques, mettant réellement l’entreprise en danger de vie, sans aucune solution alternative.



Malheureusement, le Code du Travail n’est aujourd’hui plus que l’ombre de lui-même au sujet de la protection des salariés contre les rapaces économiques.


Le 16/10/2020 à 18h 32


Faith a dit:


En l’occurrence, c’est à Blizzard de faire son calcul.




Eh bien justement non.
Les salariés ne sont pas une propriété de l’entreprise. Cela à un impact d’intérêt général, de santé publique, sur l’économie locale & nationale.
Quand elle prend une décision de nature à torpiller l’emploi, les revenus, la stabilité d’un foyer, elle devrait être contrainte de justifier le licenciement comme un dernier recours inévitable.
C’était en tous cas l’idée derrière les lois encadrant le Travail & protégeant les salariés… avant les détricotages successifs…




Idée de solution: les syndicats pourraient mettre en valeur la compétence des employés, montrer avec des chiffres que Blizzard y sera perdant.




Encore une fois : pourquoi ce serait aux salariés et/ou aux syndicats de prouver quoi que ce soit ? C’est un renversement de la charge de la preuve qui ne semble pas/plus choquer tout le monde.



AMHA, ce serait à l’entreprise de prouver qu’elle éprouve de réelles difficultés, et qu’aucune autre solution n’est possible que le licenciement, pour motif économique (puisqu’il s’agit de ce motif, un des seul deux susceptibles d’entrainer un licenciement, avec la faute personnelle).



La loi est aujourd’hui laxiste, et permet les implantations/départs opportunistes & sauvages, maltraitant les salariés.
Une simple baisse de chiffre d’affaire peut aujourd’hui justifier un licenciement économique (en tant qu’élément de “difficulté économique”). Incroyable.



Si la loi était plus stricte, tout en s’appuyant sur la capacité d’appréciation au cas par cas des juges, cela permettrait d’éviter que des entreprises comme celle-ci “optimise” en s’essuyant le derrière avec leurs employés.


Le 16/10/2020 à 09h 56


Faith a dit:


Le problème, c’est surtout “on va arrêter de travailler pour ne pas arrêter de travailler”…
[…]
Bref, tout le contraire de faire une grève.




Parce que tu penses que faire un jour de grève impacte quoi que ce soit niveau production ? C’est une réaction à une décision qui a déjà été prise.
Ça permet d’attirer l’attention sur les pratiques de l’entreprise; quitte à perdre son boulot parce que l’entreprise gloutonne trouve se gigantesques profit pas assez importants, autant négativement attirer l’attention sur elle. C’est désespéré, mais mieux que de se faire jeter en gardant le silence.




Convaincre une entreprise de garder son site, c’est lui prouver qu’il est plus rentable ouvert que fermé. C’est montrer qu’on va faire de son mieux et fournir du travail de meilleure qualité qu’ailleurs. Que ce sont les gens d’expérience de ce site qui feront le travail le plus rentable par rapport aux autres sites.




Et tu ne penses pas que les gigantesques profits de cette entreprise sont le signe du travail fourni par ses employés ? Pourquoi faudrait-il qu’ils prouvent quoi que ce soit ?



L’entreprise ne mentionne pas de difficultés (elle n’en a pas), mais souhaite “optimiser”. Je comprends ça comme un caprice, un chantage aux charges (en premier lieu desquelles les salaires) les plus basses. Rien de bien nouveau dans un capitalisme libéral.
En d’autres termes, les employés ne sont pas en faute, mais l’entreprise veut dépenser moins… pour dépenser moins.




Et plus tu rajouteras de contraintes aux entreprises, plus elles choisiront d’autres pays pour s’implanter.




Tu reprends là le chantage classique de ce capitalisme libéral galopant. Factuellement ? “Bullshit”.
Es-tu au courant que toutes les entreprises ayant délocalisé dans des pays permettant des salaires ridicules (notamment Chine & Europe de l’est) réfléchissent à revenir/reviennent en Europe de l’ouest ?



Il faut analyser l’environnement globalement pour comparer; les salaires ne sont qu’un paramètre.




  • Contrairement à l’auto-flagellation que l’on aime s’infliger, les Français ont une plutôt bonne productivité

  • La qualité de leur travail est généralement louée

  • Le volume d’heures travaillé est plutôt dans le haut du panier (certains pays d’Europe du nord ont un volume d’heures travaillés bien plus bas)

  • Il y a un fort présentéisme (a contrario d’un absentéisme); je considère cela comme négatif, mais les capitalistes libéraux aiment bien les petits pions disponibles à grand volume

  • La qualité des infrastructures est bien plus grande que dans les pays avec salaires au rabais (éducation, santé, infrastructures de transport - tous modes confondus)

  • Les subventions du privé par le public sont légion (et les entreprises ne s’en privent pas)



La décision, non-justifiée, de Blizzard ressemble AMHA à une décision de rapace : capitaliser sur l’excellent travail fait & les excellentes infrastructures pour en profiter des fruits ailleurs.
Ils reviendront le jour où ils auront à nouveau besoin de matière grise pour la R&D… Le cycle de leur prédation.


Le 16/10/2020 à 08h 17


tmtisfree a dit:


Le résultat est qu’au lieu de licencier partiellement en 2019 (133 personnes), la société ferme complètement en 2020 avec licenciement total (285 personnes) : bravo les syndicats !




Traduction : il faut donc céder au chantage des entreprises qui licencient sans aucune raison valable, afin d’éviter que la menace sous-jacente au chantage ne soit mise à exécution, et ne surtout pas se battre pour éviter que des personnes perdent leur emploi, toujours sans aucune raison valable : bravo la soumission !


Surveillance du web : Moscou voudrait interdire plusieurs protocoles de sécurité

Le 28/09/2020 à 08h 53


pierreonthenet a dit:


Baaah un peu quand même, vu que le “S” du HTTPS est pris en charge justement par le TLS/SSL, et qu’ils veulent interdire le TLS et que le SSL n’est plus sûr.



ben5757 a dit:


C’est plus fourbe que ça.



Pour l’instant le protocole TLS 1.2 est robuste mais il y’a à priori pas de raison de penser que cela restera éternelement le cas. Donc il y’aura du HTTPS mais un HTTPS qui reposera sur un protocole TLS qui deviendra surement vulnérable aux interceptions à terme.



Les utilisateurs vont se sentir protégés mais il n’en sera rien. C’est pas interdit certe mais cela rendra la protéction complètement caduque…




Il y a du vrai et du moins vrai là-dedans.



C’est moins la version du protocole qui effectue en pratique la sécurité que les suites de chiffrement (induites & différentes en fonction de la version du protocole).



On peut tout à fait faire du TLS v1.2 non-sécurisé avec des suites de chiffrement faibles.
À l’opposé, TLS v1.3 a retiré bon nombre de catégories de suites connues comme faibles/non-sécurisées car se basant sur des algorithmes démontrés comme tel.



Le TLS sauce moscovite ne sera donc officiellement plus qu’un faux-semblant, et il y a de fortes chances qu’il y ait une obligation de configurer certaines suites plutôt que d’autres.
Cette obligation n’étant pas présente dans le texte de loi, cela pourra être une obligation “en pratique”, officieuse, sous la contrainte cachée; il est illusoire de croire qu’ils laisseront un TLS v1.2 robuste opérer car l’intention est bien d’intercepter son contenu… dont la protection est la raison d’être de TLS.




the_frogkiller a dit:


Bah le prochain projet de loi est l’obligation de donner les clefs privées pour tout serveurs sur le sol russe




Dans ce cas, TLS v1.3 pourrait continuer à être autorisé. Cela ne semble donc pas faisable pour les autorités moscovites.
TLS sécurise la communication entre 2 extrémités et protége le transit. Si l’extrémité est compromise, ce n’est plus un bon protocole pour la confidentialité…




Mihashi a dit:


Si, il attend les opposants un peu nigauds qui oseraient émettre un avis défavorable… :prison:




Novichok ?






Pour rappel, le “débat public” dans un régime autoritaire se pare de tous les attributs d’un vrai débat, histoire de conserver la face auprès de la communauté internationale afin d’éviter les sanctions & bénéficier du déni plausible quant aux accusations de priver sa population de libertés.
Ça semble évident, dit comme ça, mais certains semblent confondre apparences & fond.


Pass Culture : 120 euros dépensés par les jeunes, surtout pour des objets revendables

Le 11/09/2020 à 09h 37


[La ministre] suggère déjà une mesure destinée à participer à la lutte contre l’« effet de marchandisation de l’offre de biens culturels ».




Cette marchandisation est surprenante, dites-donc ! Quel pourrait-on donc bien en être l’instigateur ?



Petite chronologie :




  1. On considère les biens culturels comme étant une marchandise

  2. On considère que toute création culturelle doit être rattachée à des Zayandroa

  3. On patche l’étape n°1 en créant un mécanisme allouant des fonds (publics) afin d’être dépensés (de manière privée) pour les biens culturels (subvention grossièrement déguisée à la faveur des Zayandroa)

  4. On fait mine de s’étonner/de découvrir qu’on ne parle pas d’un accès universel à de la Culture, mais d’un échange de biens mercantile



Petit scénario hypothétique, issue d’une imagination folle :




  1. On détruit la relation d’équivalence Culture = produit mercantile; postulat de départ

  2. Du fait de l’étape n°1, on arrête de rattacher la notion de Culture à l’immonde invention des Zayandroa (et leur emprise systématique, y compris sur ce qu’ils ne représentent pas)

  3. Plus besoin de financer de la consommation privée de biens mercantiles sur la base de deniers publics… puisque la Culture n’est plus un bien mercantile, mais un ensemble d’œuvres d’art accessibles universellement, au même titre que la connaissance ou l’information

  4. La question de la rémunération des artistes peut se poser sereinement, et les mécanismes étudiés à la lumière du postulat de l’étape n°1


Free met à jour ses boîtiers Server

Le 09/09/2020 à 11h 50


touitboy a dit:


En fait Free est un super fabricant de box mais un mauvais opérateur fibre.




tousse



Tellement bons qu’ils ont cassé l’option permettant de désactiver FreeWifi, et sont incapables de la réparer depuis plusieurs… années.



Free sont juste bons à capter des PdM par à-coups lors de cascades commerciales, leur SAV reste immonde depuis… je ne compte plus.
Ils restent parmi les moins chers à disposer d’une ligne décente, mais cet argument s’étiole au fil de leurs augmentations de l’abonnement fixe (et des options).



Aujourd’hui, une bonne box est une box en mode passe-plat avec un vrai switch derrière… du coup on peut se poser la question du coût de location, soit maquillé dans l’offre, soit (pour d’autres opérateurs) indiqué en surcoût.


Pour Jean Castex, « les réseaux sociaux c'est le régime de Vichy »

Le 22/07/2020 à 09h 13






Drepanocytose a écrit :

Raymondp a plus que raison : Moulin n’a rien à foutre dans cette news, celui qui l’a ecrite est un idiot, disons le clairement.

 



   Il n'y a que toi que le dis.     


D’autres ont plus de mal à insulter gratuitement & publiquement des auteurs, et ne considèrent pas nécessairement idiot ce qu’ils ne sont pas à même de comprendre, se servant de l’occasion pour plutôt réfléchir.



raymondp a écrit :

La référence à Jean Moulin (dans le brief) est vraiment débile. Il n’y rien à voir entre ce grand résistant (Jean Moulin) qui cachait son identité pour lutter pour la liberté et qui est mort sous la torture, et la cohorte des révolutionnaires en jogging, chaussons derrière leur PC, haineux de toute sorte qui veulent simplement critiquer à loisir et déverser leur fiel sans être embêtés.




    Quel drame, ce paragraphe...         
La liberté d'expression à plusieurs vitesses, c'est précisément le projet de tous les censeurs, de tous bords, de tous temps; en premier lieu, à la lumière de la lecture de son commentaire nauséabond, celui de notre Premier Ministre, manifestemment peu amène à l'idée de tolérer une communication qui ne serait pas verticale descendante.
Le but : s'assurer que seuls ceux que l'on souhaite voir s'exprimer ne le fasse, afin in fine de rendre l'intitulé "liberté d'expression" une coquille vide de tout sens, dans un océan de contrôle.





   Je me demande si les chantres de la censure ne seraient pas les premiers à chouiner si on leur appliquait leur propre solution, en leur intimant de la boucler pendant qu'on autoriserait la libre expression à d'autres.


Piratage de gros comptes Twitter… via les outils internes

Le 16/07/2020 à 10h 13






boogieplayer a écrit :

Et encore on a du bol, ce n’est [apparemment] qu’un scam pour prendre des bitcoin

 



 Apparemment...       





 Il est effectivement étonnant qu'en prenant le contrôle (par procuration ?) d'autant de comptes, l'on ne lève que 100 000$. Ça sonne presque comme un échec.       
À moins que le scam ne soit qu'un épouvantail destiné à attirer l'attention, une sorte de routine éculée, répartie sur un grand nombre de comptes, afin de ne pas attirer l'attention sur la véritable cible et le véritable objectif.


Cet outil interne tout-puissant semble en effet avoir accès à tout ce qui est relatif à un compte.



 Il y a une excellente démonstration d'un tel "empoisonnement du puits" dans la cinquième saison du Bureau des Légendes.


Le 16/07/2020 à 09h 43






dematbreizh a écrit :

Qui reçoit l’argent? 




oXis a écrit :

Le Bitcoin est complètement anonyme. Tant que tu restes dans le système.

 



       Je rebondis sur cette réponse pertinente pour encourager ceux qui se posent l'excellente question que se pose dematbreizh à regarder via un explorateur de la blockchain BTC ce qui s'est passé avec les fonds de l'adresse utilisée pour le scam :             





       Via de nombreuses transactions, incluant de multiples comptes intermédiaires "passe-plats" (n'étant impliqués que dans 1 opération de réception + 1 opération d'émission du même montant), le solde s'est fait diluer sur une multitude de comptes au solde plus petit. J'en ai repéré quelques-uns dont le solde est, pour le moment en tous cas, dormant à 1 BTC tout rond.             





       Les opérations étant tracées, si le(s) instigateur(s), malgré cette dilution, essaie(nt) d'utiliser ces fonds directement pour des paiements de produits/services, celui/ux-ci pourront à son(leur) tour se faire tracer.             





       Cette dilution a donc selon moi un intérêt majeur : être en capacité de distribuer tous ces comptes à des "petites mains" plus ou moins inconscientes, et/ou qui, moyennant rémunération et sans trop se poser de question (appât du gain), prendront possession de ces comptes pour en utiliser le contenu.             
Il s'agira ni plus, ni moins, d'une opération de blanchiment. Il suffit pour cela que l'/es escroc(s) actuellement maître(s) de ces comptes vende(nt) l'accès à ces comptes moins chers que leur valeur nominale, en étant payé(s) par des moyens non-traçables (espèces, mandats, etc.). Ça nécessite un peu d'organisation, donc ça fait penser à du crime organisé... à moins qu'il ne s'agisse que d'un seul individu débrouillard ?
Le ratio prix de vente/valeur nominale déterminera la part de cet argent escroqué dont le(s) commanditaire(s) bénéficiera/ont réellement.


Le 16/07/2020 à 09h 26

Excellente question : Quelle est l’utiité de donner la possibilité d’écrire au nom de quelqu’un, en production, sur des comptes réels ?


WSL : Microsoft ajoute une zone « Linux » à l'explorateur de fichiers de Windows 10

Le 09/04/2020 à 09h 47






brice.wernet a écrit :

Quitte à troller

Merci d’éviter de qualifier ma réponse de troll. Par définition, cela suppose donc que ma celle-ci n’aurait pour seul but que d’énerver autrui.
Il s’agissait seulement bien d’un avis décrivant la plus plausible stratégie marketing de l’éditeur du système d’exploitation concerné, qui cherche à conserver (comme toujours) son hégémonie.



Le 09/04/2020 à 09h 04






parsec a écrit :

Je n’ai jamais testé wsl, mais je me demande le réel intérêt du truc (C’est une question)?




En une expression : poudre aux yeux.      





L'intérêt de WSL : faire rester leurs utilisateurs captifs d'un système d'exploitation fermé, aux sources propriétaires, liberticide, tout en donnant l'illusion de s'ouvrir au "Free, Libre & Open-Source Software" afin de se servir de cet argument commercialement.      





Le but est toujours de vendre de la licence. Après le green-washing, le FLOSS-washing.


L’EFF lance une campagne pour sauver le .org

Le 25/11/2019 à 12h 14

Un site a été mis en place par Public Internet Registry, Ethos Capital & Internet Society :https://www.keypointsabout.org/

Un article démonte les affirmations qui y sont portées et fait référence à la campagne de l’EFF :https://onlinedomain.com/2019/11/24/domain-name-news/new-website-full-of-bs-lies…


Rencontre INpactienne sur Paris le 27, Bordeaux reportée et serveur Discord

Le 18/09/2019 à 15h 34

Oh, et ai-je besoin de mentionner IRC ?
Clients pour toutes formes d’accès (tout système d’exploitation, Web, mobile, etc.), idem pour les instances serveur : l’autohébergement facile et le moin consommateur de ressources ! <img data-src=" />

Le bon outil taillé pour le bon usage.


Le 18/09/2019 à 15h 26

Je trouve cette décision assez curieuse, pour une rédaction semblant montrer un attachement au respect de la vie privée.



   Discord est un service gratuit ("Si c'est gratuit, c'est toi le produit") hébergé sur une infrastructure inconnue mais probablement sur de l'infonuagique de grands groupes (des offres d'emploi mentionnent Google Cloud Platform).         





   Rien de bien différent entre un autre service hébergé gratuitement (type services Google, Dropbox, ou tout autre infonuage) et cette chose :         
- Vous n'êtes propriétaire de rien : votre accès à l'application est dépendant de la bonne volonté du service. Et vous n'avez aucun contrôle sur l'usage de vos données.
Exemple : Discord peut à tout moment exiger un numéro de téléphone pour vous connecter à votre compte, sans justification sérieuse.
- La question du financement se pose ("Si c'est gratuit, c'est toit le produit") : à quelles fins ce que vous écrivez &amp; les informations que vous fournissez sont-elles utilisées ?
- Les questions de collecte/stockage/traitement des données : par qui &amp; pour qui ?





   Des alternatives existent, notamment une instance serveur autohébergée matrix.org ( https://github.com/matrix-org/synapse ) avec un client riot.im (Web : https://github.com/vector-im/riot-web ).       





 Je m'inquiète de ce choix, mais espère qu'il s'agit juste d'un errement dû au manque de connaissances à ce sujet. Voilà qui est désormais réparé : vous avez toutes les billes ! :o)

La Freebox v7 présentée le 4 décembre, la presse reçoit ses invitations

Le 04/12/2018 à 19h 07






Just1_ a écrit :

Le coup de l’achat obligatoire de la box TV ça ne ressemble pas à de la vente forcée? (vrai question).

&nbsp;Ça n’y ressemble pas, ça en est.

Je suis d’ailleurs assez atterré quant au débat dérivant sur le coût dû et quand… On s’en cogne un peu : on se retrouve à devoir acheter du matériel optionnel pour profiter d’une offre dont il possible de profiter sans… et on pinaille sur les modalités possible pour pouvoir payer l’escroquerie…

Cette vente forcée est d’ailleurs maquillée, puisque le prix de l’offre inaccessible sans ce matériel n’inclus pas le prix du matériel obligatoire, qui est présenté séparément, laissant ainsi penser à une absence de corrélation entre les deux.
Ce sont des pratiques commerciales trompeuses.

Saisissons tous la DGCCRF :https://www.economie.gouv.fr/courrier/80666



Concours des 15 ans : il vous reste jusqu'à demain soir pour participer et tenter votre chance

Le 05/07/2018 à 22h 10

NextInpact représente une des rares rédactions à être transparente et donc à s’efforcer d’être honnête ce qui donne une rare confiance en la qualité des articles.

Pour une publication orientée sur la technologie, c’est plutôt rare !

Pour la suite : continuez à exister ? ;o)


Protection de la carte bancaire : et si le problème n'était pas que dans le monde numérique ?

Le 20/11/2017 à 20h 11






youri_1er a écrit :

Perso j’ai été étonné de voir ma Freebox arriver à la maison avec les identifiant sur un papier volant avec la boite.



       Identifiant qui donnent accès a l'espace perso, qui donne accès à l'IBAN complet.             
Suffirait qu'un tiers ouvre et referme bien le colis pour que mon IBAN soit dans la nature, je trouve cela plus que limite.



On peut effectivement s’inquiéter d’identifiants dans la nature. En revanche, l’IBAN seul ne sert pas à grand chose.



      Il servait encore moins avant le 1er août 2014, date d'arrivée des mandats de prélèvement SEPA qui n'imposent plus une autorisation expresse fournie à la banque, mais le problème est moins lié à l'IBAN qu'aux pressions ayant mené à ce genre de norme/loi dangereuse par "simplification" au détriment de la sécurité.            
Bref : si l'IBAN ou un RIB est volé, il faut redoubler de vigilance quant aux communications de sa/ses banque(s) relative à l'établissement d'un prélèvement.






      De retour à l'article :            
Même en cas de paiement en ligne sécurisé, quand par exemple le service 3-D Secure tombe en rade (vous vous souvenez de l'indisponibilité de wlp-acs.com ? NextInpact en avait d'ailleurs rédigé un article), et que vos tentatives de paiement en ligne échouent... vous vous retrouvez parfois avec comme seule solution la communication orale au téléphone. C'est le cas chez Air France par exemple.





      Cela pose toute la question des attaques par dégradation : ce qu'il était possible de réaliser avec TLS en demandant à un client de revenir à une version trouée de SSL est corrigé avec les normes récentes.            
Avec l'être humain, la mise à jour n'est toujours pas faite, et quand un composant du système de paiement est en rade, il faut soit accepter de prendre le risque de payer par téléphone, soit faire une croix sur un produit/service si quelqu'un passe avant, sans responsabilité aucune de l'entreprise. Pratiques d'un autre temps...





      Quant au paiement sans contact, c'est un procédé décrié dès le départ et démonté/démontable dès qu'il est analysé un tant soit peu à la lumière de la sécurité.            
Qu'il existe est déjà un problème en soi puisque des personnes peu informées l'utilisent par "simplicité" sans forcément prendre conscience des risques à posséder un tel moyen de paiement, mais le problème devient ubuesque lorsque certains endroits comme des gares imposent ce système de paiement sur tous les équipements de vente d'un certain type.





      Rien n'oblige en effet un commerçant à garantir la possibilité d'utiliser un équipement sécurisé. Tiens, ça reboucle avec cette histoire d'hôtel/boui-boui qui note le numéro de carte ou prend l'empreinte de la carte via la bande magnétique.            
Il y a un terrain pour l'action législative à ce niveau, non ? Sachant qu'un endroit qui, en 2017, n'est pas capable d'assurer un paiement sécurisé tout en réclamant de la carte bancaire, n'est probablement pas capable d'offrir une prestation d'aplomb et encore moins rigoureuse...


Emmanuel Macron maintiendra l’état urgence « si la sécurité des concitoyens le justifie »

Le 25/03/2017 à 21h 09

La girouette Macron a encore frappé.

Après avoir fait campagne sans programme autre que “Je veux être Président” pendant 6 mois, il n’ finalement pas trop d’idées arrêtées et veut bien les changer pour amasser un max de votes. Classique.
Il faut atteindre quelle dose de cynisme pour que ça se voie ?

Les seuls candidats crédibles sont ceux qui s’engagent à faire sauter l’état d’urgence sans la base qu’il est inutile. Et il fut ensuite utiliser son cerveau sur les idées qui nous sont proposées, avec une veille active évitant le cynisme et le bullshit.

Je remarque que les trolls ont la belle vie ici. Ils sortent toute la gamme de la provocation, utilisent des raccourcis nauséabond, mélangent les sujets, invectivent, reprochent en ne s’appliquent pas leurs propres paroles, utilisent des “sources” bidon ou sans rapport, etc.
Et beaucoup, beaucoup de monde les nourrit, apparemment.

État d’urgence = bidon et inutile depuis le début pour la situation considérée (et de toutes façons en théorie pas efficace plus d/1-2 semaine-s)
Prétexter ne pas savoir/ne pas avoir assez d’éléments = jouer la montre, mentir éhonteusement et/ou faire montre d’incompétence
Conserver sous le coude l’éventualité de le maintenir = opportunisme électoraliste

On se concentre sur ceux qui ont des idées et un cerveau fonctionnel, s’il vous plaît (et pas que chez les candidats) ?


Free ne peut blacklister une société, même accusée de spam envers ses abonnés

Le 21/03/2017 à 20h 38

Free aurait dû être plus malin et soigneusement mesurer/collecter les spams de cet émetteur et toute mesure les mettant en rapport avec le reste du trafic, celui-ci étant l’argument principal.
Et j’aurais arrosé le tout de l’ensemble des signalements au(x) contact(s) “abuse” et des (non-)réponse ou (non-)actes.

Arriver la fleur au fusil au tribunal c’est le meilleur moyen de se faire avoir… et au passage de créer de mauvais précédents pour les collègues.
Car, en effet, cette décision risque d’alimenter une jurisprudence en faveur des émetteurs de messages indésirables…

Puisque le tribunal impose la stricte neutralité à Free, il faudrait reprendre la bonne idée du bloqueur de publicité optionnel (en opt-out, c’est important et non en opt-in sinon c’est inutile) et notifier les utilisateur de cette possibilité.
Ainsi, s’il existe des clients légitimes de l’émetteur de messages indésirables qui souhaitent recevoir leurs messages, ils pourront effectuer l’action volontaire pour les débloquer.
Ce système est généralisable. Il est reproché à Free d’“imposer” : laisser le choix permet d’avancer.

À titre personnel, je procède à des blocages de blocs d’adresses IP entiers sur mon infrastructure dès que le tiers est constitué d’hébergement et que les contact “abuse” restent silencieux ou inactifs.
Comme indiqué plus haut, c’est d’ailleurs ce genre d’argument qui aurait pu avoir du poids auprès de la Justice.
Cela n’est pas forcément inapplicable à une société, notamment à un intermédiaire technique type FAI. IL faut juste blinder la procédure avec du fait, du fait et du fait. Le factuel est la meilleure arme contre la mauvaise foi.

Dommage, Free… Essayez ne plus vous rendre au tribunal les mains dans les poches avec un excès d’optimisme ou de confiance, dorénavant ? Votre vanité vous joue (encore) des tours.


Vault 7 : Wikileaks révèle comment la CIA peut pirater de nombreux appareils

Le 09/03/2017 à 16h 04

Tu t’égares en confondant vie privée et vie publique



La transparence demandée aux élus, et qui pourrait/devrait s'étendre à tout agent du service public, et de dévoiler/rendre contrôlable de manière indépendante (et pourquoi pas à tout citoyen ?) tout ce qui est lié à leur activité professionnelle, par le nature publique du service qu'ils effectuent. Que les agents du service publics rendent des comptes et que les citoyens contrôlent leurs représentants est la base d'une démocratie.      





Concernant la vie privée, chacun y a droit.      
Si tu fais le choix de dévoiler l'ensemble de ta vie privée à tout le monde, grand bien t'en fasse. Effectivement, pour toi, l'espionnage t'es indolore, la douleur venant d'ailleurs.
Si tu ne vois pas le problème, merci de publier une archive sur Internet avec l'ensemble de tes informations personnelles : nom, prénom, adresse postale, numéros de téléphone, relevés bancaires, cartes de débit/crédit+code+expiration+CVV, fiches de paie, comptes+mot de passe de l'ensemble de tes inscriptions à des sites Web, marque+modèle+numéros de série+version des équipement connecté à Internet chez toi, photographie à bonne résolution des clés que tu utilises pour rentrer dans tous les espaces clos que tu fermes, etc., etc., etc.





Il n'en reste pas moins que c'est un choix que tu fais. Pour que cela soit et reste un choix, il faut pouvoir faire le choix inverse.      
Il faut donc que quelqu'un voulant conserver sa vie privée puisse le faire, et donc combattre tout ce qui la viole sans raison. La Justice s'appuie sur les lois pour délimiter tout cela, et permet à l'exécutif d'outrepasser ces restrictions en cas de délit. Enfin, en théorie... le passé récent et l'actualité de la législation française est un mépris fou de libertés que l'on aurait pu croire assurées.





AMHA il ne sert à rien de vouloir convaincre les prêcheurs de l'abandon de la vie privée du contraire. Je les encourage simplement à aller au bout de leur pensée et à s'appliquer leur logique avant qu'ils ne viennent nous la déverser et nous l'imposer. C'est un renversement de valeurs.      
Ainsi, tout revendicateur de l'abandon de la vie privée et/ou de son inutilité est prié de m'envoyer l'ensemble de ses informations personnelles, à commencer par celles qui le chatouille le plus de divulguer. À défaut il est incohérent, et est prié de retourner au (ou de simplement passer par le ?) stade de la réflexion.

Le 08/03/2017 à 13h 46




Dommage que ce soit posé sans avoir l’air d’y toucher en guise de conclusion : cette partie aurait mérité un peu de développement dédié.

Auto-censure ? Pourquoi ?
Pression ? Dans ce cas c’est inquiétant… et de qui ?

À quand l’exploitation de Wikileaks pour faire circuler des moyens de compromission intellectuels ou techniques ?


VeraCrypt : comment chiffrer et cacher des fichiers, un disque dur externe ou une clef USB

Le 14/02/2017 à 17h 59

Windows dispose déjà d’un outil de vérification de signature intégré : CertUtil
certutil -hashfile &lt;fichier&gt; &lt;fonction de hachage (cryptographique, c’est mieux)&gt;
Ex: certutil -hashfile &lt;fichier&gt; SHA512


Google se sépare de son activité d'imagerie par satellite

Le 09/02/2017 à 10h 22

Changement de dynamique notable, ceci-dit.

Jusqu’à présent Google/Alphabet concentrait/internalisait ses services, probablement pour ne pas dépendre d’entités qu’ils ne contrôlait pas et donc ne maîtrisait pas.

Quelle est la raison profonde derrière ce revirement stratégique ? Le début de la fin de la croissance infinie ? La réalisation que la rentabilité a atteint un palier ? Un début de provision pour futures pertes ? La réalisation qu’un trop gros groupe est ingérable par nature ?

Certes, ils ont négocié un contrat à la hauteur de la moins-value de l’entreprise cédée, mais ils perdent la main sur la matière première : les satellites.
&nbsp;
À ce sujet, ils ont peut-être ont-ils une idée derrière la tête à ce sujet ? Je ne peux tout simplement pas croire qu’Alphabet ne s’intéresse pas à l’espace ou la vision de la Terre de l’espace.
Ils verticalisent tous leurs services Internet (jusqu’aux AC TLS + racines DNS). L’espace/les satellites sont un composant essentiel de l’Internet mobile, amené à croître.

Peut-être que de simples satellites d’imagerie ne sont pas rentables pour eux. Dans ce cas, on devrait avoir leur version de satellites (suivant un processus similaire à leur conception de serveurs pour bourrer des racks 2U) dans les prochaines années.
Et si c’est le, cas ils feront certainement plusieurs choses, et notamment de la communication.

C’est une petite info passée inaperçue, mais elle est centrale AMHA.


[MàJ] ExoMars : la sonde TGO réussit sa manœuvre, l'état de santé de Schiaparelli inquiète

Le 19/10/2016 à 16h 31

Moi j’avais compris que Mars Express ne faisait que suivre le signal radio (et surtout ses variations) pour découvrir la trajectoire et les changements de vitesse du module. Pas de données, mais une bonne certitude de savoir si on a atterrit ou si on s’est écrasé.



TGO a lui enregistré les données non-reçues par la Terre directement (contrairement à ce qui avait été initialement prévu). Il les retransmettra après avoir passé la face cachée de Mars vue de la Terre.     



Suis-je à côté de la plaque ?


Le 19/10/2016 à 15h 13

“End of planned @ESA_EDM transmission - still no signal at #GMRT - this is not unexpected due to very faint signal at #GMRT #ExoMars” Ça y est, je stresse…https://twitter.com/esaoperations


Le 19/10/2016 à 15h 05

Ils ne connaissent pas “lecture en boucle” dans VLC. Un tuto pour les aider ? Et sinon, ils ont les droits pour la diffusion d’“Opening” de Philip Glass dans un espace public ?

Allez, j’arrête de troller…


Le 19/10/2016 à 14h 58

“On va plonger la salle dans le noir”. Et ils coupent l’image du PC vers le projo… qui a par défaut un fond bleu clair à luminance plus élevée ! J’espère que la salle le sent bien, le “noir complet” <img data-src=" />


Le 19/10/2016 à 14h 02

Et ils disaient même que c’était moins que des missions précédentes où ça allait jusqu’à 20G. Wikipédia vous apprendra que 1s à 25G a posé des soucis de santé toute sa vie au détenteur du record…


Le 19/10/2016 à 13h 54

Le lien direct que j’avais donné ne fonctionne pas ? Ça vire l’encapsulation moisie dans une iframe.


Le 19/10/2016 à 12h 39

Je suis fan du live GPSO : ils font les tests Skype/lien Internet/micro devant l’audience (on entend le gars râler/s’impatienter quand ça refonctionne), avec un PC sur la scène et un gus qui discute avec le premier rang comme si de rien n’était pendant que d’autres meublent… On en arrive à Copernic, la vision héliocentrique du système solaire & la position de Mars dedans, quand même, là.
‘faut pas tout faire à l’arrache, même en étant chercheurs, les gars !

Bon et pour ceux qui suivent, l’iframe de leur site est ignoble, le plein écran ne fonctionne pas et en rafraîchissant ça peut partir en chandelle.
Le lien direct de l’iframe est plus pratique.


L'AMF déclare non conforme l'OPE d'Altice sur SFR

Le 05/10/2016 à 12h 56

&lt;Supprimé&gt;


La version finale de TypeScript 2.0 est disponible

Le 23/09/2016 à 10h 25

Tout à fait d’accord : ce néologisme est un sous-ensemble de “compiler” en ne faisant qu’ajouter des conditions sur l’objet de destination.

Aussi inutile & contre-productif que d’inventer “fruitiger” à la place de “manger” lorsque l’on parle d’un fruit. On peut aller très loin en déclinaisons.
Et ce n’est même pas pour paraître moderne vu que ce mot ne semble pas nouveau (je suis remonté jusqu’à juin 2012 pour le moment). Est-ce donc pour paraître expert ?

TypeScript compile en JavaScript car on passe d’un langage à un autre. Point.


La CJUE juge qu’un lien vers un contenu illégal peut être illégal

Le 09/09/2016 à 08h 41

Un lien, par construction, pointe vers une ressource sans que jamais il n’y ait eu de notion de propriété dans l’équation. Car il ne peut y avoir que 2 situations :




  • Soit on est responsable du contenu à l’arrivée, ce qui présuppose que l’on en est propriétaire (on ne peut être responsable de création d’autrui dans une société non-arbitraire)

  • Soit le contenu nous est étranger, donc sujet à changement sans que l’ont ait de contrôle/responsabilité dessus

    Étude de cas :
    Un lien fait à un instant t vers une ressource peut aboutir à t+1 sur une ressource totalement différente, si l’administrateur de l’URI pointée en décide ainsi.
    Un lien vers du contenu jugé légal peut donc se transformer en lien illégal sans que toutes les personnes ayant initialement utilisé le lien (de bonne foi) à t1 ne le sache qu’a fortiori, et s’ils modifient, ne le fassent qu’à t2.
    Nous arrivons donc à une situation ubuesque où tous les créateurs de ce lien son pénalement responsables entre t1 & t2. Ubuesque

    Cet arrêt est l’arrêt de mort (jeu de mots involontairement pertinent) du Web dans son essence-même : lier les contenu entre eux via des liens hypertextes.
    Retirer le lien hypertexte du Web, c’est générer un ensemble de bloc-notes disjoints adjacents sans que le contenu ne soit découvrable… à moins d’enregistrer son bloc-notes dans un annuaire central.

    Le projet est-il de centraliser le Web ?&nbsp; Ça rappelle quelque chose de bien français, qui a mis du temps à disparaître, dont beaucoup sont encore nostalgique, et vers lequel l’usage actuel du Web tend à revenir de plus en plus. Un certain Benjamin Bayart qualifiait le Web actuel comme étant sa v2. Je suis, je suis ?
    Désespérant, au plus pur sens étymologique…


Le 09/09/2016 à 08h 39

[Supprimé]


La fusée Falcon 9 de SpaceX explose sur son pas de tir, avec des répercussions multiples

Le 06/09/2016 à 14h 28

OK merci pour l’info.

Oui tu as raison ce sont bien des moteurs liquides, preuve de ma profonde méconnaissance du sujet ! :o)

L’essentiel de la réponse reste donc : la charge utile n’a rien à faire là, mais ça fait juste gagner du temps au montage… ou perdre du temps, de l’argent & de la crédibilité si jamais ça fait “pouf”, comme là.
Syndrome du mal nommé “à bas coût”.


Le 03/09/2016 à 14h 26

Les réservoirs sont remplis pour le test statique (ce qui devait avoir lieu avant que la réaction ne se déclenche de manière incontrôlée). Le test consomme le contenu des réservoirs (la réaction ne s’arrête d’elle-même qu’une fois le carburant ou comburant consommés).

La fusée n’est pas assemblée sur le pas de tir ; après le tests statique (et s’il est OK), le lanceur est ramené au bâtiment d’assemblage pour mettre tout ce qu’il faut dessus.
Les réservoirs sont de nouveau remplis sur le pas de tir, le jour du lancement, pour le vrai tir (à moins qu’il n’y ait d’autres tests statiques entretemps ?).


Le 03/09/2016 à 14h 22

Après le test statique, les réservoirs sont par définition vides, car le carburant consommé (on ne peut arrêter la réaction de moteurs solides en plein milieu, c’est une réaction en chaîne contrôlée).

Si la poussée est correcte, le lanceur est validée et on monte tout le reste du bouzin dessus (moteur liquides + charge utile + poids morts de protection, instrumentation, etc.)


Le 03/09/2016 à 14h 19

Le test statique, par définition, se fait avec la fusée arrimée à la rampe de test, donc pas de mouvement, pas d’accélération : quel que soit la masse, cela ne change donc rien.

Je ne suis pas expert, mais il semble donc qu’on cherche juste à valider les paramètres de la poussée (via la combustion du lanceur à carburant solide) : quelques détails sur la chose.

Je pense donc que la journée économisée concerne le montage de la charge utile, qui a pu être fait en parallèle d’autre chose avant, mais qui doit être bloquant pour la suite du montage…

C’est une leçon de vie, oui, mais je ne pense pas qu’ils l’aient prise : la NASA n’a pas d’alternative (si ce n’est les Russes, équivalent à un échec et à une fessée pour l’ego), et le flux (très) tendu est au cœur du modèle économique de SpaceX, visant à enchaîner les étapes le plus possible pour lancer un maximum de mission le plus rapidement possible afin d’être rentable (si leur modèle économique est viable, ce qu’il reste à démontrer par les faits, au-delà des promesses & de la théorie).


Le 02/09/2016 à 15h 16

<img data-src=" />&nbsp;Il n’y a pas d’obligation opérationnelle à installer la charge utile avant le remplissage des réservoirs : la masse conditionne le niveau du remplissage, mais l’ordre d’assemblage de la fusée n’y change rien.



SpaceX a fait cela pour gagner du temps :      


SpaceX policy begun this yr of putting sats on rocket for static tests to trim a day frm launch campaign caused insurer upset, but not alot.



On ne peut pas chercher à être moins cher à tout prix et ne pas prendre de raccourcis vis-à-vis de ses concurrents... Le "pas cher" a en général un risque de prix (beaucoup) plus élevé. <img data-src=">