votre avatar Abonné

fdorin

est avec nous depuis le 26 mai 2017 ❤️

2418 commentaires

Le 03/07/2020 à 16h 52

Comment cela se passe pour les sujets ? Un “pigiste” vous soumet une proposition et écrit l’article après validation ? Ou c’est l’équipe qui établit préalablement une liste de sujets intéressants ?


Le 03/07/2020 à 12h 46

Non mais en fait, l’histoire est plus simple que ça :

la gendarmerie a créé la société EncroChat. Elle est ainsi gagnante sur tous les tableaux :




  • elle récupère des fonds pour lutter contre la drogue ;

  • au bout d’un certains temps, elle peut faire un magnifique coup de filet.



    Non seulement, cela permet de mettre en place un mécanisme de lutte qui 1) ne coute rien puisqu’il rapporte et 2) d’une ampleur incommensurable par rapport aux méthodes “traditionnelles”.

    Tout bénef <img data-src=" />





    Bon, il s’agit bien évidemment d’un scénario fan-fiction qui mériterait presque une adaptation au cinéma :) <img data-src=" />


Le 19/06/2020 à 23h 04







David_L a écrit :





  1. être désobligeant ne donne pas raison ;)





    Je ne réponds que la-dessus, car sur le reste, nous ne sommes pas d’accord (et rien ne sert de tergiverser, j’ai exprimé mon point de vue, ça me suffit ;) ).



    Juste pour dire que je ne voulais pas du tout me montrer désobligeant. Si tel était le cas, c’était plus une maladresse qu’une volonté de ma part, et te présente mes plus plates excuses <img data-src=" />







    David_L a écrit :



    Et je n’ai jamais écris qu’on pouvait faire une redirection avec un simple enregistrement DNS, ni ne l’ai sous-entendu.





    Dit non. Sous-entendu involontairement, c’est ce que je pense <img data-src=" />







    David_L a écrit :



    Je suis désolé que tu en ai eu l’espoir, mais je ne suis pas non plus responsable des espoirs (déçus) de chaque lecteur <img data-src=" />





    Ne sois pas désolé. J’apprend régulièrement des choses à travers vos articles ;) Ce n’est que partie remise <img data-src=" />



Le 19/06/2020 à 20h 46



Il était une fois le DNS



Le premier titre de l’article ne fait-il pas référence au DNS ?





Mais quand un lecteur (ou plusieurs) confond ce qu’il comprend d’une phrase avec le contenu de la phrase, ce n’est pas à moi de revoir ma copie <img data-src=" />



Je m’étais dis que je ne la ferai pas (pourtant la tentation était grande dans mon précédent commentaire), mais là, je ne peux pas résister : tu fais ta Laetitia Avia <img data-src=" />



Plus sérieusement, quand un contenu n’est pas (ou mal) compris, qui plus est, par plusieurs personnes, la question de “revoir la copie” peut se poser, car il y a sans doute un problème au niveau de la formulation.



Ici, clairement, la première impression est que c’est une procédure générique, et que tu prends juste l’exemple d’OVHCloud. Il m’a fallu une deuxième lecture pour comprendre qu’il s’agit d’une procédure spécifique à OVHCloud (et a priori, je ne suis pas le seul).



Cela n’enlève rien au reste de l’article, mais pendant un moment, je me suis dit chouette, on peut faire directement de la redirection vers une URL avec les enregistrements DNS, alors qu’en fait non. Moi qui pensait me coucher moins bête <img data-src=" /> <img data-src=" />


Le 19/06/2020 à 18h 22







David_L a écrit :



Ne confond pas ce que tu décides de retenir de l’article, d’en comprendre et ce “qu’il laisse penser”. Comme dit, l’article est clair sur ce qui est fait en pratique. Que certains aient de l’urticaire parce qu’il y a marqué redirection et DNS dans un même texte n’y change rien.







Pour ma part, je suis plutôt d’accord avec stratic. La lecture de l’article induit en erreur. Le titre “Créer une redirection, simple comme quelques clics” sous-entend qu’il s’agit d’une fonctionalité propre à la gestion des DNS.



Le premier paragraphe de cette section est également trompeur dans le sens où il est ambigu.





David_L a écrit :



Il existe en général une fonctionnalité de création des redirections, qui prend la forme d’un simple formulaire. Pour ce premier cas, nous effectuons la manipulation dans l’interface d’OVHcloud, mais elles sont toutes similaires.





Lors de ma première lecture, j’ai compris que cette fonctionnalité était disponible quasiment partout, mais que seule les interfaces permettant d’y accéder diffèraient d’un hébergeur à l’autre. A la lumière de tes réponses dans les commentaires, je le comprends bien autrement maintenant. C’est la fonctionnalité même des redirections qui dépend de l’hébergeur et son implémentation, et non la de création des redirections. L’énorme différence, c’est que j’ai cru qu’en créant directement les enregistrements DNS, la fonctionnalité était de facto disponible, qu’importe que l’hébergeur propose ou non cette fonctionnalité.



Surtout qu’après, l’article parle du “cas particulier de Gandi”, sous-entendant que le point d’avant est une approche généraliste.



On ne distingue pas, dans l’article, ce qui relève de la norme de ce qui n’en relève pas. La redirection d’un domaine vers un autre ou une IP, c’est dedans. La redirection vers une URL non.



Tu as le droit de penser que l’article est clair tout comme nous sommes en droit de penser le contraire. Maintenant, si nous sommes plusieurs à avoir le même avis, cela souligne peut être un problème de compréhension au sein de l’article. Je vois déjà des gens créer l’enregistrement TXT “4https://twitter.com/jeandeauh54” chez 1and1 <img data-src=" />



Pour ma part, ce n’est pas de voir redirection et DNS dans la même phrase qui me choque. C’est de présenter l’approche d’OVH comme étant “universelle”, ce qu’elle n’est absolument pas et induit donc en erreur.



Le 17/06/2020 à 14h 24







Minikea a écrit :



je te retourne le compliment. l’usage de pixel trackers dans le courrier de spam est avéré et le spam est largement supérieur à toute utilisation même pro du mail… donc TON usage n’est plus celui qui prédomine.





Tu n’as rien à me retourner, car je n’ai rien généralisé comme tu le fais. Je n’ai pas non plus nié l’existence de cette pratique, je dis qu’il n’y a pas que ça. Je n’ai parlé en rien de MON usage, mais d’usage que tu ne semblais pas du tout considérer. Mais tu veux qu’on creuse ? Creusons.



Sais-tu que le spam représente entre 55% et 95% du traffic total associé aux mails ? MAIS ! 90% de ce dernier est déjà filtré et n’arrive même pas dans ta boite mail. Rajoute à cela le % de mail correctement étiqueté SPAM et qui arrive dans ton dossier dédié et tu verras que l’usage principal reste lié à des mails tout à fait légitimes.



Je m’attends aussi à ce que tu tiennes le même discours pour les pièces jointes, car c’est exactement le même souci ! De nombreux virus et autres malwares circulent via ce mécanisme. Il y a donc une mauvaise utilisation. Il faut donc l’interdire. Les gens pourraient utiliser des services de transfert de fichiers à la place…



On peut continuer longtemps comme ça. Pour ma part, je m’arrête là, j’ai du spam des mails à envoyer <img data-src=" />



Le 17/06/2020 à 13h 00

Partir de cas particuliers pour dénigrer tout un ensemble d’usage… comment dire <img data-src=" /> Oui, on peut faire des trucs moches en HTML, mais ce n’est pas lié qu’aux mails !



Tu n’en as pas besoin ? je suis très heureux pour toi. D’autres l’ont. Et je vais même te dire un truc qui risque de te défriser : en plus d’être pratique dans le mail, car pas à faire un clic supplémentaire (les gens sur mobile apprécient), c’est plus sécurisé car limite le vecteur d’attaque (en n’ayant pas besoin d’ouvrir une autre application, et en évitant les failles PDF).



Le HTML c’est peut être une fausse bonne idée. En attendant, ça fait des années que c’est comme ça, ça fait au moins 10 ans que j’entends que le mail est mort, et pourtant, il est toujours là. Et à mon avis, ce n’est pas près de changer, tant les habitudes sont ancrés chez de nombreuses personnes.


Le 17/06/2020 à 10h 10







tomdom a écrit :



Ben si ça existe. Il a toujours été comme convention (dans les mails ou dans les postes nntp (forum) )  définie dans la netiquette, que _xxx_ était un souligné, /xxx/ était un italique …etc…

Le markdown n’existait pas







Non, car du dépend du client mail du destinataire, sur lequel tu n’as aucun contrôle. De plus, une convention, n’est pas une norme.



Et la netiquette n’a rien à voir avec la définition de la mise en forme. C’était plutôt du style, n’écrivez pas en majuscule, car ON A L’IMPRESSION QUE VOUS CRIEZ, mais ce n’était nullement pour mettre en italique, utilisez /mot/ (qui, d’ailleurs, pour ma part, à toujours été _mot_, même avant la popularisation du Markdown)







Mihashi a écrit :



C’est le but de ne pas supporter le changement de couleur ni de police. On est pas en maternelle que je sache…





va dire ça aux personnes qui l’utilisent. En milieu pro, c’est très courant. Par exemple, voici une ébauche de mail. La personne répond “c’est bien, mes corrections sont en rouge”. Et ce n’est qu’un exemple. Merci de montrer un minimum de respect. Ce n’est pas parce que ce n’est pas ton usage qu’il n’y a pas d’utilité.







Mihashi a écrit :



Si t’es obligé de faire une mise en page complexe, c’est tout simplement que le courriel n’est pas le bon outil.

Et les factures c’est pas le courriel en lui même, mais en pièce attachée.





Encore une fois, ce n’est pas ton usage. Certains le font. Par exemple, j’ai commandé chez les Editions ENI, et j’ai un récapitulatif par e-mail de ma commande. Récapitulatif impossible à faire en l’état en Markdown.







Mihashi a écrit :



Et les balises markdown de base sont supportées par n’importe quel lecteur de courriel digne de ce nom.







Je ne connais aucun logiciel client lourd qui le supporte nativement sans avoir besoin au minimum d’une extension. Et même pour les webmails, c’est “pas gagné”. Gmail ne le supporte pas par exemple.



Le 17/06/2020 à 08h 38







David_L a écrit :



C’est le moment de renforcer et unifier le standard, vite une RFC ! <img data-src=" />







Ca me fait penser à ça perso <img data-src=">



Le 17/06/2020 à 08h 21







David_L a écrit :



Une pétition pour le markdown comme nouveau standard des emails ? Je signe !





En théorie, moi aussi. En pratique, il existe autant de standards Markdown que d’implémentations <img data-src=" />



Et ça ne supporte pas la couleur non plus, ni le changement de police. Rien que ça, ça fait que beaucoup ne l’utiliseront pas. Et je n’aborde pas le problème de mise en page pour des mails comme les newsletters, les factures, les confirmations de commandes, etc… <img data-src=" />



Le changement est trop gros. Et les gens n’aiment pas le changement <img data-src=" />



Le 17/06/2020 à 08h 03







Mihashi a écrit :



La mise en forme (gras, souligné, italique) ça existe aussi en mode texte.







Hélas non. Uniquement en HTML. Le texte brut ne permet aucune mise en forme.



Le 16/06/2020 à 19h 20







Hipparchia a écrit :



Désolé, mais franchement “toi relire message calmement.” ?

J’ai du mal à penser que personne n’aurait le bagage culturel pour saisir les références. C’est totalement déplacé, et visiblement ça ne choque pas grand monde. C’est quand même problématique, non ?



https://www.franceculture.fr/sciences-du-langage/le-francais-petit-negre-une-con…





Moi, ce qui me choque, c’est ton avatar digne d’une république bananière. “C’est totalement déplacé, et visiblement ça ne choque pas grand monde. C’est quand même problématique, non ?” <img data-src=" />



Plus sérieusement, va sur LinuxFR faire part de ton indignation, puisque c’est là-bas que le message a été posté. Merci. Surtout que cela n’a rien à voir avec le sujet de l’article. Et tu peux également utiliser la loi Avia. Le site aura 24h pour réagir <img data-src=" />



Le 05/06/2020 à 19h 11







white_tentacle a écrit :



Avec un papier et un crayon, comme tout le monde. Ada Lovelace, qu’on présente souvent comme la pionnière de la programmation, programmait pour une machine qui n’existait pas encore.





Algorithmie et programmation, bien que liées, ne représentent pas là même chose ! Ada Lovelace a bien écrit un programme, pour une machine qui n’existait pas mais dont les spécifications étaient connus (cf. la machine analytique de Baggage).



Maintenant, je trouve que comparer les deux, où l’élève “apprend” et Ada “découvre” n’a pas réellement de sens.







white_tentacle a écrit :



À la maternelle, ils apprennent (et c’est déjà le cas depuis plusieurs années) les bases de l’algorithmie (c’est à dire, ce qu’est un algorithme). Pas besoin d’écran pour ça, juste d’images et d’un déroulé logique. Faire dérouler un algorithme à un enfant (c’est à dire lui donner le rôle de la machine), c’est déjà lui apprendre (un peu) l’algorithmie.





Pour l’algorithmie non, pas besoin d’écran.









white_tentacle a écrit :



Si tu considères qu’on ne peut pas apprendre à coder sans ordinateur, effectivement. Personnellement, professionnellement (c’est mon métier, le développement) je peste sans arrêt contre les développeurs qui ne savent pas dérouler l’exécution d’un code sans ordinateur. Et du coup, sont incapables de comprendre ce qui est écrit à l’écran (et ce qui se passe). Certes, il faut une partie sur écran (les TP, c’est utile), mais aussi très clairement une partie sans écran. Et ça fait partie de l’apprentissage.





Pour apprendre à coder, un simple papier et stylo est loin d’être suffisant. En fait, j’ai l’impression que tu confonds algorithme et programme (oui, c’est aussi mon métier !). Tout ce qui découle du déroulement, etc… c’est de l’algorithmie. Et les exemples que tu donnes font référence à des développeurs avec des lacunes en algorithmie.



Maintenant, pour apprendre la programmation (l’écriture d’un “algorithme” dans un langage de programmation), tu peux faire tout le côté théorique que tu souhaites, mais sans la pratique, tu n’arriveras à rien. L’art de programmer vient en grande partie de l’expérience. C’est comme un mécano capable de savoir au bruit l’origine d’un problème : il n’a pas appris cela dans les livres, seulement sur le terrain !







white_tentacle a écrit :



Concernant les effets négatifs des écrans, il y a très peu d’études qui sont suffisamment « fines » pour différencier les usages (jouer à un jeu vidéo n’est pas du tout équivalent à regarder une vidéo sur youtube, et tous les jvs sont très loin d’être comparables en terme de sollicitation du cerveau).





Il y a au contraire beaucoup d’études sur le sujet, au point qu’il serait possible d’écrire un livre. En fait, ça a même déjà été fait, dans un ouvrage que j’ai déjà cité : la fabrique du crétin digital. Rien que ce livre fait référence à plus de 1000 (!) études. Certes, toutes ne sont pas de bonnes qualités et certaines sont justement citées pour les biais ou manquement dans le protocole suivi. Le véritable problème est plutôt que les bonnes études sont noyées dans un flot de publications sur le sujet, et qu’il est, de facto, difficile de tout lire.



Le 05/06/2020 à 08h 20







carbier a écrit :



As tu seulement lu et compris les liens que tu as postés ?

Ce n’est pas tant le temps d’écran qui est un problème mais à quoi il correspond: passer 1h seul le cerveau débranché sur une série pour enfant est différent de passer 10mn à l’école pour résoudre un problème en interaction avec les autres.







Bien évidement que je les ai lu, et je ne me suis pas limité à ces liens comme source ;)



Comparé 1h d’un côté, et 10min de l’autre, c’est forcément différent. Donc, toute chose égale par ailleurs, 1h devant la TV ou 1h en intéraction avec les autres, oui, c’est différent. Seulement, du point de vue pédagogique, il n’y a pas de plus value à la présence ou non de l’écran dans l’apprentissage. C’est un apprentissage différent, mais qui n’est pas “supérieur”.



De plus, il ne faut pas oublier qu’un écran comme une tablette ou celui d’un ordinateur, c’est aussi une source de distraction fortement attrayante. Inclure cela dans une salle de classe, c’est insérer le loup dans la bergerie (même si on a les plus nobles intentions du monde). Et penser que les élèves ne vont faire que du travail pédagogique avec est illusoire.



Le 05/06/2020 à 06h 34







white_tentacle a écrit :



Je suis surpris que sur un site dédié aux nouvelles technologies, la réponse majoritaire dans les commentaires soit « non », avec des arguments très douteux (passons sur l’histoire de l’exposition aux écrans, qui est totalement HS)







Si tu trouves des arguments douteux, n’hésite pas à nous le faire savoir. Cela enrichira la discussion ;)



Pour ce qui est de l’exposition aux écrans, c’est très loin d’être HS. Ou alors, il faudra que tu m’expliques comment apprendre à programmer sans avoir un écran devant soi. Sachant que certains préconisent l’apprentissage de la programmation dès la maternelle, c’est tout à fait dans le sujet. Dès la maternelle, alors que l’usage d’écran avant 6 ans ne présente strictement aucun bénéfice comme le rappel le Docteur en Neuroscience Michel Desmurget.



Rajouter des écrans à l’école, alors qu’il y a déjà en général une surexposition à la maison, c’est tout à fait dans le sujet, et génère plus d’effets négatifs que positifs.



Enfin, il ne s’agit pas d’ignorer la valeur propédeutique de l’apprentissage de l’écriture de code, mais de ne pas ignorer les effets négatifs de l’exposition aux écrans (et il y en a beaucoup).



Le 04/06/2020 à 20h 50

C’est une vaste fumisterie. Et pour plusieurs raisons.



Tout d’abord, de nombreuses études ont montrés que l’exposition aux écrans dès le plus jeune âge avait des répercussions sur le développement cognitifs des enfants. Et je ne parle pas que des enfants de - de 3 ans, mais aussi jusqu’à l’adolescence. Pour ceux qui souhaiteraient approfondir le débat, je vous invite à lire “la fabrique du crétin digital”, qui fait une très bonne synthèse !



Ensuite, aujourd’hui, l’informatique est enseigné par des profs… qui enseignent d’autres matières. Accepterait-on qu’un prof de maths donne des cours d’anglais ? Non. Pourtant, on accepte qu’un prof de maths (ou autre) donne des cours d’informatique. Je ne remets pas en cause les compétences des profs, mais enseigner une matière, cela ne s’improvise pas. Ce n’est pas avec une formation de 2 semaines que l’on peut enseigner ensuite le python (exemple véridique d’une amie prof de maths).



De plus, ajouter des cours d’informatique, cela se fera forcément au détriment d’autres cours, car il faut bien “trouver des heures”. Apprendre la programmation ne donnera rien si l’élève n’a pas un niveau minimum en français et en maths (et oui, le français également ! la programmation, ce n’est pas que de la logique !)



Faut-il supprimer le numérique à l’école ? Je ne pense pas. Mais pas la programmation. On n’a pas besoin de savoir comment fonctionne un logiciel pour l’utiliser (on utilise bien une voiture, mais combien d’entre nous en comprend le mécanisme interne ?). Par contre, les “dangers” du numérique, les pratiques de bonne hygiène (comme ne pas ouvrir n’importe quelle pièce jointe ou encore les risques liés aux réseaux sociaux) ça, ça peut être utile. Car quitte à enseigner quelque chose, autant que cela soit utile dans la vie de tous les jours pour le maximum de gens. La programmation ne servira à rien pour 99% d’entre eux.



Et si on voulait vraiment de l’utile, avant de parler numérique, je parlerai bien nutrition et diététique. Comprendre les besoins alimentaires du corps pour éviter les comportements à risque, ne pas avoir de carence, et éventuellement prévenir certaines maladies ou certains troubles liés à nos comportements inadaptés (car franchement, c’est pas le slogan “ne mangez pas trop sucré, trop salé” qui va changer quelque chose). Mais là encore, enseignement qui devra être dispensé par des professionnels véritablement formés pour et dont c’est le métier. Et vu l’impact d’une “bonne alimentation” dans la vie de tous les jours, cela devrait être fait depuis longtemps !


Le 03/06/2020 à 08h 00







ndjpoye a écrit :



Pourquoi avoir mis ça dans le même dossier que les articles concernant la Build 2020 de windows ?





Peut être car il ne s’agit pas d’une référence à la dernière build de Windows, mais de MS Build 2020, une série de conférences organisée par Microsoft, durant laquelle est faite de nombreuses annonces (dont C# 9) ;)



Le 03/06/2020 à 06h 44

A noter que pour profiter pleinement des dernières nouveautés du langage (C# 8 et ultérieur !), il ne faut pas utiliser .NET Framework, mais .NET Core (ou plus précisément, un framework compatible .NET Standard 2.1 et ultérieur).



.NET Framework ne sera pas pleinement compatible, car certaines fonctionnalités nécessite des modifications au niveau du CLR (Common Language Runtime), qui, dans ce cas précis, ne sera pas mis à jour pour des raisons de pérennité.


Le 25/04/2020 à 08h 48







David_L a écrit :



Pour la publication dans les flux, effectivement se baser sur des modifications de titres ou autres éléments me parait étrange, parce que ça surnotifie de fait certains articles (et pas que chez nous, souvent les titres sont modifiés après publication partout). C’est pour ça qu’on a les GUID et les dates de publication/dernière modification dans les flux/META.





C’est pour notifier les changements. En cas d’absence de date de dernière modification, cela aide. C’est un choix qui peut paraître étonnant, mais c’est pour dire : hého, il y a du nouveau, même si le “nouveau” n’est qu’une correction orthographique…

Mais le lecteur ne pas pas savoir si la modification est d’intérêt ou non.







Norde a écrit :



Mais ça va pas la tête <img data-src=" /> ?





Il a été remonté aussi dans mon flux ! (mais je ne constate pas de remontée quotidienne pour autant)



Le 24/04/2020 à 08h 53







David_L a écrit :



Ce serait un comportement assez bizarre de faire remonter sur une modification du texte (mais de toutes façons on ne modifie pas le billet 2x par jour non plus <img data-src=" />)





Depuis que je travaille dans l’informatique, “comportement bizarre” ne fait plus parti de mon vocabulaire <img data-src=" />

Je parle aussi bien du côté logiciel qu’utilisateur (qui savent faire preuve d’une imagination débordante quand il faut, et surtout quand il ne faut pas <img data-src=" />)



Le 24/04/2020 à 06h 21







ShadowNet a écrit :



La bonne nouvelle c’est que cette news va enfin arrêter de remonter tous les jours.

La moins bonne c’est qu’il va falloir s’attendre à une nouvelle traversée du désert en terme de news sur le site.





Franchement, arretez avec ce genre de commentaire (surtout non fondé). C’est vraiment pénible, et pas que pour l’équipe de rédaction <img data-src=" /> Ici, sur NextINpact, on a des articles de qualité, à l’investigation poussée et qui ne sont pas du simple “putaclic”. Je préfère largement ça.







David_L a écrit :



Non, le flux RSS fonctionne très bien (on a vérifié, rien n’a bougé sur ce point). A voir si ce n’est pas du côté du client utilisé.





Le flux à l’air bon, et je n’ai aucun souci de mon côté. Le problème peut être, c’est que certains lecteur font remonter toutes modifications comme une remontée. Par exemple, simplement changer le titre pour refléter l’avancement du financement, même sans modifier le contenu, et hop, la news remonte, même si la date de publication n’a pas été changée.




Le 08/04/2020 à 15h 30







David_L a écrit :



Pourtant ça se lit vite <img data-src=" />





Pas d’accord. Le magazine NextINpact, c’est comme un plat dans un resto gastronomique : on le savoure et on ne le gobe pas ! <img data-src=" />



Le 13/03/2020 à 14h 47

Un grand merci à toute l’équipe derrière le projet. J’ai raté le financement du n°1, je finance le numéro 2 !

Pour ma part, en tant que professionnel de l’informatique, vous me faite gagner un temps de fou dans ma veille. Donc +1000 :)

<img data-src=" />


Le 17/04/2020 à 07h 38







Tandhruil a écrit :



Perso je ne remet pas en cause l’idée de la redevance copie privée.





L’idée n’est effectivement pas de remettre en cause la RCP, mais la manière dont cela se passe et dont elle est calculée. Quelques exemples aberrant :




  • suite à une invalidation des barèmes (pour cause de prise en compte des oeuvres acquises de manière illégal), il y a eu un trop perçu. Pas grâve, gardez le, mais mettez à jour vos barèmes ! (qui, bizarrement, coïncident vachement quand même avec les anciens) ;

  • la taxe ne s’applique qu’aux particuliers. Enfin, en théorie. En pratique, tout le monde paie, les professionnels également. Charge à eux de faire une démarche bien lourdingue pour se faire rembourser, et à condition d’avoir les justificatifs nécessaires (notamment, une facture avec le montant de la RCP, chose en théorie obligatoire mais pas toujours respectée). Et se faire rembourser pour un support ou deux, la procédure coûte plus cher en temps que le gain. Du coup, on ne la fait pas, et c’est encore un trop perçu conservé par les ayants droits ;

  • l’étendu de la taxation. Faudra m’expliquer pour les GPS par exemple !

  • récemment, on a vu un revendeur étranger (donc non soumis à la RCP, car c’est normalement à l’acheteur de le faire) “condamné”… à payer la RCP pour ses ventes expédiées en France.



    Et la liste est encore longue…



    Personnellement, je ne suis pas contre non plus la RCP, mais pas dans la forme qu’elle prend aujourd’hui. Tout est fait sans aucune transparence. Je crois même me souvenir qu’il y avait une demande CADA de NextINpact sur la méthode de calcul des barèmes auprès de Copie France. Des nouvelles à ce sujet ?



Le 10/04/2020 à 07h 17

Impossible pour moi de vérifier via l’adresse, car ma commune n’est pas listable. Le problème ? J’habite “Saintes” et tous les “Saint-XXX” apparaissent en premier. Comme la liste est limitée, impossible de sélectionner ma commune.



Un zoom sur la carte fonctionne par contre.


Le 04/04/2020 à 08h 29

Et comment cela se passe si les forces de l’ordre ne sont pas équipées lors d’un contrôle ? Peut-on être verbalisé ? Ou mieux vaut-il privilégier le papier ?



Au passage, le cinéma près de chez moi fais ce genre d’initiative quand on achète des billets en ligne (enfin, hors confinement car là il est fermé <img data-src=" />). Si jamais le scan ne passe pas, augmentez la luminosité de l’écran. Une luminosité trop faible empêche parfois la reconnaissance d’un QRCode lorsqu’il est sur un écran, et non sur du papier…


Le 01/04/2020 à 17h 31

Au début, je me suis dit, tiens, un petit poisson. Puis j’ai jeté un oeil par curiosité. Et j’en tire la conclusion que si s’en est un, vous jouez avec le feu chez NextINpact <img data-src=" />



Le constat à faire est malheureusement déplorable. J’ai tenté d’utiliser Qwant (mon apprenti avait réussi à me convaincre de faire un essai). J’ai tenu 3 jours. Entre temps, mon apprenti est passé à Duckduckgo quand il a vu le temps qu’il perdait pour des recherches (bon, je précise, des recherches dans le domaine de l’IT). Il en a eu marre que je trouve en 2min des réponses à des questions dont il cherchait la réponse depuis 2h.



Qwant, c’est bien en théorie, mais malheureusement, après tant d’années, ça ne décolle pas car les résultats ne sont pas là. Par contre, ils multiplient les projets… <img data-src=" />



J’ai juste l’impression que maintenant, c’est devenu un puit sans fond. C’est triste à dire, mais je crois qu’il faudrait dire stop (en tout cas, je ne veux plus que mes impôts financent ce projet, il l’a déjà assez été pour des résultats plus que légers)


Le 30/03/2020 à 14h 51

De mémoire, et si je ne dis pas de bêtises, Google, pour se conformer, à :




  • filtrés les liens de ses moteurs européens

  • filtrés les liens de ses moteurs non européens si l’adresse d’interrogation IP de l’interrogation provient d’Europe.



    Ce qui, aux yeux de la CNIL, n’était pas suffisant.



    Maintenant, derrière cela, se cache l’extraterritorialité du droit. Si aujourd’hui, l’Europe à le pouvoir de déréférencer un lien au niveau mondial sur la base du droit européen, qu’est-ce qui empêche un autre état de faire la même chose ?



    Si demain le Vatican demande à Google de déréférencer tous les sites pro-IVG car cela va à l’encontre de ses lois ? Les dictatures seront en mesure de demander le déréférencement de quotidiens en France ? etc. Bref, on peut malheureusement aller très loin… <img data-src=" />


Le 29/03/2020 à 18h 52







David_L a écrit :



Mais dire que la DHT est un élément centralisant qui pourrait tomber si aucun noeud n’était disponible







Je pense que son insistance n’est pas sur ce point, mais sur le fait que le(s) premier(s) noeud(s) interrogé(s) par un client est généralement codé en dur. Autrement dit, si un client X a le serveur Y codé, si demain le serveur Y est indisponible (il tombe, il est fermé par les autorités, etc.) alors le client est inutilisable pour les nouveaux venus. Il n’est pas nécessaire que tous les noeuds tombent, juste un seul !



De ce point de vue, dire que le système est entièrement décentralisé n’est pas totalement juste, même si la partie “non décentralisé” reste très minime… ;)

Après, ça reste du chipotage sur un point de détail ^^



Le 21/03/2020 à 20h 04

Je propose de rajouter : “10 ans d’inéligibilité”.



D’habitude, je suis plutôt compréhensif (à défaut d’être d’accord) avec la plupart des mesures. Mais franchement, faut arrêter les conneries et stopper de surréagir juste pour réagir.



Le gouvernement se plaint ? Mais qu’il regarde les messages contradictoires qu’il a envoyé aux Français. Comment peut-on demander aux gens de rester chez eux et maintenir le 1er tour des élections municipales ?

Comment peut-on demander aux gens de rester chez eux et de demander aux entreprises de continuer leur activité ?



Communication des plus hasardeuses, qui fait beaucoup de mal à mon avis… <img data-src=" />


Le 07/02/2020 à 07h 54

Uniquement dans le cas où il y a des données à caractère personnel en jeu. Sinon, aucune obligation vis-à-vis du RGPD.



Et il faudrait, de plus, que cela représente un risque élevé pour ces personnes (par exemple, violation de coordonnées bancaires).



S’il s’agit juste d’un nom/prénom/email, cela représente donc un risque non “élevé” (minime, mais un risque quand même) et seule est obligatoire la notification à la CNIL dans les 72h suivant la détection de la violation.



Et s’il n’y a aucun risque, aucune déclaration à la CNIL n’est nécessaire.



Sinon, Bouygues n’a aucune obligation, tant en terme de transparence que du délai pour une éventuellement communication de cette violation au grand public. Donc venir se plaindre qu’il n’y a pas eu de com. alors que l’attaque date d’il y a à peine une semaine… sachant qu’ils n’ont a priori pas encore tout rétabli et/ou analyser/corriger la faille de sécurité ayant permis cette violation…



De même, dans le cadre du RGPD, le délai de 72h est un délai de notification. Charge ensuite à l’organisme concerné de revenir plus tard avec de plus amples détails si tous les détails n’étaient pas connus (nb de personnes concernées, mesures prises pour remédier à la violation, etc.). Mais le dépassement du délai doit être justifié (temps d’investigation, d’analyse, etc.).


Le 30/01/2020 à 08h 33

Le bilan (en terme d’amendes) de la CNIL est plutôt bon lui <img data-src=" />


Le 30/01/2020 à 08h 11

En quoi est-ce négatif ? (bon, ok, les bannières sur les sites, c’est chiant <img data-src=" />). Mais le RGPD ne se limite pas, et de très loin, à cela ;)



Il y a pleins de bonnes choses positives au niveau du RGPD, comme (et sans être exhaustif) :




  • les amendes infligeables qui ne seront plus des pacotilles pour les géants ;

  • la réappropriation de nos données personnelles ;

  • cela donne des idées à d’autres (cf. le RGPD californien par exemple) ;

  • l’incitation très forte à la prise en compte des bonnes pratiques dès la conception (et y’en a besoin !) ;

  • une plus ou moins uniformisation du cadre au niveau européen.



    Je vois plutôt pleins de bonnes choses là dedans <img data-src=" />



    La question, c’est plutôt pourquoi être si négatif ? <img data-src=" />


Le 30/01/2020 à 07h 45

Merci pour le magazine. Très belle synthèse des 1516 dernières années.



Je l’ai filé à mon apprenti, afin de parfaire sa culture générale, notamment sur les des aspects datant de l’ère jurassique numérique ! (ben oui, les jeunes, de nos jours, ne savent pas comment c’était il y a 10 ans <img data-src=" />)



J’ai particulièrement apprécié l’article sur le chiffrement, avec la synthèse des algo tombés et donc à ne plus utiliser.



Pour le prochain magazine, j’ai une idée d’article : le RGPD. Genèse, mise en place, et retour après 2 ans de mise en oeuvre <img data-src=" />


Le 22/01/2020 à 09h 39

L’opt-in ne concerne que le recueil du consentement. Sauf que le consentement n’est pas la seule base légale pour justifier un traitement.



L’une d’elle, c’est l’intérêt légitime du responsable de traitement. C’est le plus fourbe des bases légales pour justifier le traitement car le plus subjectif. Une entreprise peut très bien dire “c’est dans mon intérêt légitime, sinon, je mets la clé sous la porte”. Après, la CNIL peut avoir une autre interprétation et dire “non”.



Seulement voilà, le RGPD est encore jeune (même pas 2 ans). Et nous n’avons pas encore assez de recul et de jurisprudence la dessus pour pouvoir statuer… et la CNIL ne s’est pas encore vraiment prononcer la dessus jusqu’à présent…


Le 29/11/2019 à 22h 12







MarcRees a écrit :



Bonjour, le papier © Developpez.com dont vous faites référence est curieusement très rapprochant de celui ci , publié la veille.





Rien d’étonnant à cela, connaissant les coulisses (en tant qu’ancien responsable de rubrique), le site est équipé d’un mécanisme de veille. Dès qu’un article intéressant est publié (qu’importe la source, cela peut être un blog, une discussion reddit, etc…), il est rentré dans l’outil de veille afin qu’un membre (responsable de rubrique, chroniqueur actualité, …) écrive un article sur le sujet.

Le temps de traitement de la news est mise en avant afin de favoriser une publication au plus tôt.



Je ne dis pas que toutes les actualités sont traités de la sorte, mais une très grande majorité oui.




Le 23/10/2019 à 15h 07

Comment être aveugle à ce point ? J’ai peine à le comprendre. C’était tellement prévisible.



Et si pour eux, c’est un pied de nez, que penserait-il d’un déréférencement total, avec paiement exigé pour être référencé ? Là, oui, ce serait un pied de nez (et potentiellement un abus de position dominante).



A ce jour, aucune loi n’impose à une entreprise son business model. Google a juste adapté le sien à la nouvelle législation.



Amazon avait fait de même avec les frais de port pour les livres. Il n’avait plus le droit de les rendre gratuit. Il les a mis à 0,01€. Beaucoup de remue ménage pour rien.


Le 09/10/2019 à 16h 18

Donc en gros, le gouvernement va nous fournir une liste des “méchantes plateformes qui ne partagent pas les informations au fisc, notamment les revenus qu’ils peuvent en tirer” ? Je n’appelle pas ça une mise au pilori, j’appelle cela de la publicité gratuite <img data-src=" />


Le 05/10/2019 à 12h 52

Question pour la rédaction : après installation, est-il toujours possible de créer des comptes locaux via “Paramètre/Comptes/Familles et autres utilisateurs” ?


Le 04/10/2019 à 14h 56

Il y a juste un truc qui est super chiant avec un compte connecté, c’est qu’on ne peut pas choisir le dossier qui sera créé en tant que répertoire personnel. Ayant un prénom avec un ç, il m’arrive encore de trouver des programmes qui plantent à cause de ça (oui oui, même en 2019 !).

Du coup, je faisais toujours une installation avec un compte local, puis je le rattachais à mon compte Microsoft : mon répertoire utilisateur portait ainsi le nom que je voulais.



Question subsidiaire : il était possible jusqu’à présent de rattacher un compte local à un compte Microsoft, ou au contraire, de couper ce rattachement. Est-ce que cela sera encore possible ?



Pour en revenir au sujet initial, je ne suis même pas certains que cela respecte le RGPD. Un compte Microsoft implique forcément un traitement de données, qui doit reposer sur une base légale. Le consentement n’étant pas valide dans ce cas (ni éclairé, ni libre), il ne reste que le dernier cheval de bataille : les intérêts légitimes. Mais peut-on considérer cela comme un intérêt légitime ? Je ne suis pas juriste, mais cela me parait difficilement défendable.


Le 01/10/2019 à 06h 39







SebGF a écrit :



Est-il possible d’avoir une explication objective de ces inquiétudes ? (complotisme et procès d’intention interdits)





Le problème n’est pas qu’il s’agisse de l’administration fiscale, mais d’une administration publique.

Il y a eu, il n’y a pas si longtemps que cela, une guerre ayant fait des millions de mort. Durant cette guerre, le gouvernement de Vichy a collaboré, et un des aspects de cette collaboration a été des rafles, basés, entre autres, sur des listes (sans moyen informatique à l’époque, rappelons-le).

La seconde guerre mondiale aurait eu lieu aujourd’hui, avec l’IA et compagnie, les opposants politiques, les communistes, les juifs, etc… pourraient être trouvé rien qu’en analysant les réseaux sociaux.

En 1974, quand est révélé le projet SAFARI (un projet d’interconnexion de plusieurs fichiers de l’administration française basé sur le numéro de sécurité social), il y a eu une forte opposition populaire qui décida le gouvernement à agir et à créer la CNIL quelques années plus tard.

Et on retrouve des traces aujourd’hui dans notre législation et les recommandations de la CNIL. Pourquoi est-il strictement interdit de traiter des données à caractères politique, religieux ou liées à l’orientation sexuel ? Pourquoi l’usage du numéro de sécurité social est-il si encadré en France ? Ces décisions ont été prises dans un contexte d’après guerre où ces informations sensibles auraient pu causer la mort d’un nombre incalculable de personnes supplémentaires.

Aujourd’hui, nous avons la résultante de cela. Que les GAFAM aient toutes les informations nous concernant, cela ne pose pas de problème à un (trop) grand nombre de personnes. Mais dès qu’il s’agit d’une administration publique…



Le 21/09/2019 à 16h 50

Un grand bravo à l’équipe de NextINpact. Lire ce genre d’article, aller au bout des choses et ne pas céder. Je ne regrette pas de payer mon abonnement.

Un grand courage à l’équipe de Qwant, pour qui la vie semble loin d’être facile tous les jours. Et si l’idée initiale de Qwant est louable, nous voyons que sa mise en oeuvre, qui était déjà délicate, devient de plus en plus difficile suite à ces révélations. Les bons éléments vont partir un jour ou l’autre, et les remplacer deviendra de plus en plus difficile.


Le 10/08/2019 à 20h 19

Bonjour à l’équipe NextINpact. Je vous lis (presque) tous les jours. Je commente peu, car mine de rien, ça prend du temps et il y a quand même quelques trolls ici.



Si j’écris, c’est que je lis les commentaires et qu’est-ce que vous prenez dans les dents par certains… J’ai envie de leur dire, si ça ne vous convient pas, mais allez tout simplement voir ailleurs. Et ne venez pas pleurer si un jour il y a moins d’articles ou que (ce que je ne souhaite pas), l’aventure NextINpact devait s’arrêter ici.



Vous êtes dans une position difficile, car quel que soit le contenu que vous rédigiez, quelle que soit la gestion que vous faites, quels que soient les projets que vous montez, vous allez toujours trouver des personnes qui vous diront que ce n’est pas comme ça qu’il faut faire, que vous êtes mal gérés, qu’il ne faut pas se lancer dans tel ou tel projet, etc…



Pour ma part, je me cantonne aux faits : NextINpact, ça fait 19 ans que ça existe. Pour un truc soit-disant “mal géré”, j’ai envie de dire que c’est franchement pas si mal !



J’aime bien vos articles d’investigation. Ca permet d’aller plus loin, à nous lecteur, même sur des sujets que nous n’aurions pas forcément lu en tant normal. Dans le cadre de ma veille par exemple, c’est un plus indéniable. Alors oui, quand je me suis réabonner il y a quelques mois, j’ai donné plus que le montant minimum. Je ne suis pas un fanboy inconditionnel. C’est juste que vos articles me font gagner beaucoup de temps (et donc de l’argent) et c’est un juste retour pour moi.



Vous êtes un des rares médias qui ne faite pas des articles putaclic (merci merci merci et encore merci !). Vous donnez la parole, vous faite des correctifs si vous vous trompez. Franchement, j’apprécie.



En tant que média indépendant, je pense que c’est à vous de définir votre ligne éditoriale, et non à vos lecteurs en fonction de ce qu’ils aimeraient/souhaiteraient lire.


Le 05/08/2019 à 20h 09







brazomyna a écrit :



j’ai été modo chez eux , on m’a dit la même chose ;

avec du recul (et plus de connaissances financières), le fait est que le delaware ne s’impose pas pour des raisons juridiques. Et l’opacité totale des comptes ainsi que les stats de visites a fini de me convaincre que quelques membres du board se partagent un gros gâteau en prenant la masse de bénévoles pour des jambons.





J’ai aussi de sérieux doutes. Mais bon, je n’ai aucune preuve, et je n’ai pas envie d’investiguer là-dessus.



Pour ma part, j’ai rendu mon tablier de responsable de rubrique et responsable magazine pour de profond désaccord avec la politique de modération, l’opacité omniprésente et “quelques tensions sérieuses” (pour rester poli) avec le responsable du site.



Le 05/08/2019 à 19h 37







empty a écrit :



HS: Comment font ZDnet, developpez,… pour tenir le rythme en gratuit ?





Je peux parler pour Developpez.com, ayant été responsable de rubrique jusqu’à récemment. Le contenu est fait par des bénévoles. Uniquement des bénévoles.



Les revenus sont tirés de la publicité (ça, j’en suis sur) et très certainement des partenariats (là-dessus, je ne peux être catégorique, n’ayant pas la teneur des-dits partenariats).



Et de mémoire, la société DEVELOPPEZ LLC, est située aux Etats-Unis pour des raisons judiciaires (ou plutôt pour se protéger des actions judiciaires). C’est en tout cas ce qui m’a été dit quand j’ai été nommé responsable.



Le 06/08/2019 à 11h 25

Pour information, L’équipe de Qwant s’explique suite aux articles de NextINpact.


Le 19/07/2019 à 06h 34

NextINpact connait Cookie Clicker !

Une autre manière de consommer des cookies :)


Le 25/06/2019 à 06h 39

Sans me prononcer sur le fond de l’affaire, j’imagine bien une réponse possible du Musée Rodin qui devrait communiquer le scan3D. Une réponse à la Free face à la Hadopi : un livret imprimé de 400 pages reprenant l’ensemble des points du scan, avec des nombres décimaux d’une précision de 10 chiffres après la virgule <img data-src=" />


Le 28/11/2018 à 17h 31

Il faudrait que l’April modifie le document et publie ce document modifié, pour montrer l’absurdité de cette décision. A décision absurde, réaction absurde.


Le 20/07/2018 à 12h 40

Il faut bien prendre en compte que la CNIL considère les deux sociétés comme étant Responsable de Traitement (RT). De ce fait, elles ont des obligations qu’elles ne peuvent déléguer simplement en rajoutant une clause dans un contrat sans mettre en place de contrôles derrières.&nbsp;



En gros, ces deux sociétés sont RT car le SDK n’est qu’un moyen de collecte de données. Les deux sociétés sont maître de la finalité des traitements. Elles recoupent les données issus de leurs différents clients pour produire un profil qu’elles transmettent ensuite à leurs clients (en lus de traiter les informations pour leur propre compte !).



Il n’y aurait pas le recoupage des données entre leurs différents clients (et donc le profil remonté pour un client ne serait issu que des informations récoltées par ce client), ni le traitement pour leur propre compte, la situation serait sûrement différente et ces sociétés pourraient être considérées uniquement comme prestataires et non comme RT.