Ca je n’y crois pas, les offres gratuites sont des produits d’appel pour le payant. Je ne vois pas Google Drive fermer du jour au lendemain son offre gratuite pour l’Europe.
Ne jamais sous-estimer le pouvoir de nuisance des ayants droits et de leurs études d’usage au doigt mouillé. Une petite RCP de 8€ pour un Google Drive de 10Go / utilisateur, même si c’est un produit d’appel, je doute que Google en fasse cadeau.
Le
27/03/2022 à
17h
42
SebGF a dit:
Dans tous les cas, je ne vois pas comment la RCP pourrait être facturée (c’est le terme utilisé par Copie France) sur un service gratuit. Ce serait comme demander de payer une quelconque subvention sur le 20 Minutes distribué gratuitement aux métros.
La réponse est pourtant simple : il n’y aura plus d’offre de stockage gratuit. Les fournisseurs de service ne vont pas payer la RCP sans retour pour plusieurs millions d’utilisateur sans compensation.
Le
27/03/2022 à
11h
22
De ce que j’ai compris l’auteur possède le droit que son œuvre ne soit pas reproduite (ce que j’ai appelé droit de copie)
Je propose de lui retirer ce droit (par contre c’est international donc peu de chance que ça arrive).
L’auteur ne pourrait plus s’opposer à la reproduction, il faudrait juste lui permettre de s’opposer à la reproduction si un profit est réalisé sur la reproduction.
Comme ça la copie privée ne serait plus une exception au droit d’auteur (vu que l’auteur n’aurait plus le droit à la base de s’opposer à la copie). Par contre on ne pourrait pas vendre une copie (ou autre moyen de réaliser un profit avec la copie) sans l’accord de l’auteur.
Je suis bien conscient que ça n’arrivera jamais.
SebGF a dit:
Si ton prix de vente est à zéro, il n’y a aucune raison que cela change.
Sauf que jusqu’à présent les barèmes sont fonctions non pas du prix, mais de la capacité. Donc même si tu as un cloud gratuit de 10Go par exemple, si tu dois payer la RCP, l’offre ne sera plus gratuite. Il restera aussi à voir comment sera payé cette RCP. Mensuellement ? Une fois ? Avec le cloud, c’est de nombreuses questions qui se pose…
Mihashi a dit:
Quasiment impossible plutôt…
Parce que pour trouver une facture avec indication du montant de la RCP faut se lever tôt…
Faut choisir les bons revendeurs. Chez LDLC, la RCP apparait depuis plusieurs années. Et si cela n’apparait pas, tu peux contacter ton vendeur pour qu’il la fasse apparaitre sur la facture. C’est une obligation légale.
D’accord. Tu voudrais donc une réforme du droit patrimonial. Comme tu le soulignes très bien, le caractère international du droit d’auteur fait que les chances que cela arrivent avoisine le 0 pointé
Le
25/03/2022 à
15h
02
Question existentielle : le matériel informatique acheté par Copie France est-il soumis à la RCP ? Vous croyez qu’ils se la font rembourser ?
Le
25/03/2022 à
14h
20
L’auteur possède le droit de copie de son oeuvre. C’est ça que ma phrase veut dire. Je juge qu’il ne devrait pas posséder ce droit.
Du coup je ne comprends pas ton commentaire. Le droit de copie n’existe pas. On a le droit de reproduction (c’est souvent lui qu’on entend par droit de copie) qui s’adresse à tout le monde, sauf à l’auteur.
L’auteur à un droit moral (inaliénable, l’auteur ne peut pas “s’en débarrasser” de quelque manière que ce soit) et un droit patrimonial (qui est lui cédable). Est-ce que tu entends droit patrimonial lorsque tu parles du droit de copie ?
Le
25/03/2022 à
13h
29
misocard a dit:
Je crois que le seul moyen de lutter contre ça est de retirer le droit de copie du droit d’auteur.
Attention, “retirer le droitl’exception de copie du droit d’auteur”. La copie n’est pas un droit, et elle n’est donc pas opposable quand il existe des moyens de protection nous empêchant de jouir de cette exception.
Nuance subtile, mais aux conséquences majeures.
Le
25/03/2022 à
13h
14
misocard a dit:
Vu que la redevance n’est pas due par les professionnel c’est “de leur faute” si ils ne demandent pas le remboursement. Donc en théorie il n’y a qu’un seul assujettissement (en pratique c’est différent).
Non. La redevance n’est pas due par les professionnel pour les usages professionnels. Si le support peut servir à du stockage personnel, le support est soumis à RCP.
Ensuite, pour demander un remboursement (j’en ai fait 3 jusqu’à présents), il faut :
être au courant de l’existence de la RCP et qu’il est possible de se la faire rembourser ;
avoir une facture avec le montant de la RCP pour chaque support
décrire, un à un, les différents dispositifs (type, capacité de stockage, montant de la RCP, etc…)
décrire les usages de ces supports
Tout est fait pour que la procédure soit peu connue et pour quelle soit la plus fastidieuse possible (afin que le coût engendré par la procédure elle-même soit le plus lourd possible pour diminuer le gain à prendre du temps pour le faire).
Maintenant, est-ce que ça va changer ? 300 millions de copie privé / an pour la France, c’est 60 millions de TVA pour l’Etat (car oui, la RCP est assujettie à la TVA) et 25% de ces 300 millions (75 millions donc) qui sert à financer des spectacles, festivals, etc… afin de maintenir les politiques dans leur bon petits papiers (un lobbying légal, puisqu’ils ont l’obligation d’utiliser ces 25% pour ce genre de chose…).
Le chiffrement de bout en bout entre opérateurs différents est tout à fait possible. Il faut juste que l’algo soit le même d’un côté comme de l’autre, et mettre en place un mécanisme d’échange de clés (mécanisme qui existe déjà dans d’autres utilisations).
Article intéressant dans la continuité du précédent.
Le seul élément qui me gène, c’est que personne ne dit qu’une infra DNS n’est pas faite pour faire de l’avertissement. On peut bloquer oui, mais afficher un message non (car ce n’est absolument pas son rôle).
Déjà, rediriger vers un autre site va être rigolo dans la mesure où une très grande majorité de sites utilise maintenant HTTPS, à moins d’avoir un certificat étatique (ce qui est extrêmement dangereux, qu’importe que l’état soit une démocratie ou une dictature).
Mais rediriger temporaire le temps d’avertir puis rediriger ensuite vers le véritable site est simplement impossible avec le DNS… sauf encore à avoir un certificat état ET des serveurs qui font proxy, mais bonjour les problèmes de sécurité, de confidentialités et les points uniques de défaillance, sans compter la taille de l’infra qui va falloir derrière pour gérer les requêtes de 60 millions d’internautes.
Encore une fois donc, une solution faite au doigt mouillé, qui va nous coûter une blinde pour une efficacité… nulle !
Avec l’Internet d’aujourd’hui, sans installer quelque chose sur les postes des utilisateurs (navigateur spécifique, extension, certificat étatique ou que sais-je encore), ce qui est proposé est tout simplement impossible.
On fait aujourd’hui des campagnes de sensibilisation pour l’alcool au volant, pour l’alcool tout court, pour bouger plus, pour ne pas manger trop gras, trop salé, trop sucré. Arrêtons d’infantiliser les gens avec des moyens qui sont des moyens de contrôle.
Si on commençait déjà par :
de la pédagogie, pour éviter que les gens ne se fasse avoir ;
plus de moyen pour la justice, pour que les arnaques puissent être stoppées plus rapidement ;
plus de place en prison pour pouvoir y mettre les arnaqueurs inculpés quand ils sont en France (car il y en a)
Je veux bien que l’industrie du tabac ne soit pas blanc-bleu, mais je suis lassé de voir des arguments comme quoi elle aurait influencé réellement les études sur le sujet
Lorsque les premières études révélant les effets néfastes du tabac sur la santé sont publiées, l’industrie du tabac dans les années 1950 décide d’y répondre en entretenant le doute autour de la dangerosité du tabac64. Alors qu’ils ont connaissance des effets du tabagisme et du tabagisme passif sur la santé, les industriels décident de les nier et recrutent des scientifiques pour publier des travaux rassurants66. Les liens entre le monde scientifique et l’industrie du tabac, en particulier aux États-Unis, ont été dénoncés par l’historien des sciences Robert N. Proctor67. Ce dernier s’appuie notamment sur la masse de documents internes à l’industrie qui ont été versés dans le domaine public à la suite du procès fédéral les opposant au gouvernement américain63. Ces documents démontrent clairement le financement important de grandes institutions académiques et de scientifiques renommés depuis les années 1960 par l’industrie du tabac, ainsi que le rôle de certains scientifiques ainsi subventionnés dans les politiques publiques et les procès contre les cigarettiers64,68. En France, les scientifiques Jean-Pierre Changeux, Robert Molimard ou Jean-Pol Tassin ont ainsi vu leurs recherches en partie financées par l’industrie du tabac68. Pendant plusieurs décennies, le professeur Ragnar Rylander a publié des travaux minimisant les dangers du tabagisme passif alors qu’il était rémunéré secrètement par Philip Morris69.
Je ne suis pas complotiste. Mais quand les faits sont là…
Le
23/03/2022 à
14h
35
J’ai trouvé une source intéressante. Il ne s’agit pas de l’article en lui-même, mais d’un rapport de master du même auteur principal avec le même titre. On peut donc fortement penser que ses travaux, initialement présentés pour défendre son master a ensuite servi pour réaliser une publication.
la méthodologie employée pour la sélection des articles : si on n’a pas la liste complète, on sait comment ils l’ont eu et sur quels critères ils se sont basés pour filtrer. Cf. page 64.
on a la liste des articles retenus (table 3, page 59 à 61)
A noter également que la méta-analyse porte uniquement sur l’impact des écrans sur le comportement des enfants. Il ne dit rien absolument rien sur d’autres aspects comme le développement cognitif (ce n’était pas son sujet).
Je trouve la conclusion assez intéressante. D’un côté, la méta-analyse révèle une forte disparité méthodologique conduisant à une forte hétérogénéité des résultats et la possible présence de nombreux biais.
De l’autre côté, elle conclut malgré tout :
que le temps devant un écran est un des facteurs socio-environnementaux liés aux problèmes de comportement
le coefficient de corrélation est faible (il faut aller voir les données pour réaliser qu’il doit tourner autour de 0,2 entre le temps passé devant un écran et les problèmes comportementaux)
qu’il faut plus d’études sur le sujet
« Dans l’ensemble, l’étude suggère qu’environ 1% de la variabilité des problèmes psychosociaux est corrélée à différentes formes de temps d’écran », explique Andrew Przybylski, directeur de recherche à l’Oxford Internet Institute, à l’organisme Science Media Center.
Cette remarque me semble complètement en contradiction avec la méta-analyse. Si seulement 1% des problèmes psychosociaux était corrélée aux différentes formes de temps d’écran, le coefficient de corrélation serait bien plus faible que 0,2.
Et donc, pour en revenir à mon propos, une sélection biaisée d’articles aurait pu conclure, dans le cadre d’une méta-analyse, à la non dangerosité du tabagisme (ou en tout cas, à l’absence de preuve d’incidence notable).
Tiens, incidence notable… c’est exactement ce que relève cette méta-analyse vis-à-vis des écrans…
Le
23/03/2022 à
09h
48
ben5757 a dit:
Je ne suis pas tes arguments. Je maintiens que se demander quel serait l’avis d’un seul homme c’est une starification de la science.
Comme je le disais, il est loin d’être tout seul. Son livre, truffé de références (encore une fois, plus de 1000 !) en est la simple preuve. Il est juste l’un des rares à avoir fait un effort pédagogique pour rendre cela compréhensible pour tout le monde.
Le
23/03/2022 à
09h
40
OlivierJ a dit:
(C’est plutôt drôle de lire ça, pour moi c’est le syndrome du commentateur de canapé) C’est un peu beaucoup le but d’une méta-analyse, et ces questions sont les questions de base que se posent les auteurs d’une meta-analyse (et les réponses sont dans l’analyse, si c’est un étude correcte).
C’est ce que tout esprit critique est en droit d’attendre d’une méta-analyse. Cela ne signifie pas que les auteurs de méta-analyses font ce genre de chose.
L’étude, je n’y ai pas accès (ben oui, c’est payant). Pour un minimum de crédibilité, puisque les auteurs donnent des chiffres précis, ils devraient donner la liste complète des articles identifiés (les 25196), ainsi que la ou les causes de leur rejet. Est-ce le cas ? (si quelqu’un à accès à l’article, je suis preneur de l’information).
Lorsque j’étais thésard, on m’a appris qu’un des objectifs d’une bonne publication, c’est de pouvoir être vérifiable. Donc il faut fournir toutes ses données pour que les lectures puissent reproduire les expériences.
Je demande sérieusement à voir. On savait déjà dans les années 50, du moins dans le milieu médical, que le tabac était mauvais pour la santé, car c’est de cette époque que datent les premières études de cohorte. Mes parents au début des 70 le savaient très bien (ils ne bossent pas dans le médical du tout), c’était une information publique. Ils avaient d’ailleurs arrêté de fumer vers 1970.
Alors j’ai mal tourné ma phrase, car je voulais mettre un conditionnel, pas une affirmation ! J’aurais du dire “une méta-analyse aurait pu conclure que le tabac n’était pas cancérigène” justement à cause de ce biais dans la sélection. D’où l’importance de connaitre le processus exact !
Le
23/03/2022 à
08h
35
Oui, tout à fait. C’était vraiment du grosso-modo ! Avant 6 ans, ce sont principalement des troubles du développement (mais pas forcément les mêmes en fonction de l’âge), alors qu’après 6 ans, ce sont surtout des troubles du comportement (addiction, irritabilité voire agressivité, etc…). C’était surtout ça que je voulais exprimer ;)
Le
23/03/2022 à
08h
09
ben5757 a dit:
ça me choque un peu de mettre en avant l’avis d’un seul homme, autant chercheur qu’il soit, face à une méta-étude. J’aurais tendance à prendre la méta-étude plus ou sérieux dans le sens ou c’est une revue de plusieurs études.
Si sur le principe, je suis d’accord, il ne faut pas oublier que la méta-analyse a du faire une sélection des études. On peut lire que sur les 25 196 articles identifiés, seul 595 répondaient aux critères. Et sur ces 595, seulement 87 ont été finalement retenu. Comment a été faite cette sélection ? Les études sélectionnées sont-elles sérieuses ? Sont-elles subventionnées ? Les études chiffrées mais avec des biais méthodologique ont-elles été retenues ou non ?
Les critères retenus souffrent-ils de biais ? Il est, par exemple, étonnant de considérer tous les enfants de -12 ans “dans le même panier” alors que de nombreuses études montrent des différences notables dans les troubles en fonction de l’âge (grosso modo, -6 ans et entre 6 et 12 ans).
Il est peut être bon de rappeler qu’en 1970, une méta-analyse pouvait conclure que le tabac n’était pas cancérigène, tant il y avait d’étude financer directement ou indirectement par l’industrie du tabac !
La science c’est pas l’affaire d’un seul homme. Surtout quand on sort des livres avec des titres aussi racoleur en fait …. ça ne présage rien de bon pour la confiance.
Justement, ce n’est pas l’affaire d’un seul homme. Exemple, son livre “la fabrique du crétin digital” contient pas moins de 1000 références bibliographiques et études.
Maintenant, attaquer un article ou un livre sur son titre et non sur son contenu en dit malheureusement long sur les a priori et préjugés…
Le
22/03/2022 à
10h
04
De ce que j’ai lu, ce n’est pas les écrans eux-mêmes qui posent problème, mais plutôt l’absence d’interactions sociales liées aux écrans, surtout chez les jeunes enfants ( ans). Les écrans sont souvent un moyen simple d’occuper un enfant qui est malheureusement statique au lieu d’être actif.
Ensuite, les problèmes plus tardifs sont les surexpositions à des heures tardives, qui génèrent des troubles du sommeil. Et les troubles du sommeil, on le sait depuis longtemps, ont un impact non négligeable sur le développement des enfants.
Maintenant, une analyse de 87 études, il faudrait savoir lesquelles ont été choisies, si les auteurs sont affiliés ou non de part leur recherche à un quelconque organisme qui pourrait les mettre en position de conflits d’intérêt, etc.
Il faudrait peut être arrêter avec le lien baisse des publications à cause du magazine.
Est-ce que cela leur prend du temps ? Très certainement. Mais la plupart des articles se retrouveront ici (donc ce temps, à 80%, il aurait de toute façon été pris pour écrire ces articles).
Le financement s’est terminé début décembre. Mi-février le magazine était quasi-finalisé (relecture + mise en page). Nous sommes un mois plus tard, et on continue d’accuser le magazine de tous les maux.
Là, le magazine est plié depuis de nombreuses semaines, imprimé depuis peu et bientôt expédié, mais c’est encore la faute du magazine si les publications se font rare aujourd’hui. Les changements d’équipe (et la réorganisation qui va avec) ne sont jamais évoqués (départ de David de son poste de directeur de publication, un dev aussi je crois, recrutement en cours, etc…).
Les vacances de fin d’année (oui, les journalistes aussi ont le droit au repos), certains événement comme le CES à Las Vegas (début janviers) qui, par leur nature, doivent occuper à temps plein durant leur tenue et pas mal de temps dans les jours qui suivent ne sont jamais pris en compte.
Enfin, ce n’est même pas les abonnements qui paient le magazine. C’est une campagne de financement complètement à part. Donc au final, les abonnées qui n’ont pas participé au financement, seront de toutes façons gagnants.
en France ça va plus loin que ça : le fait de contourner une mesure technique de protection, par exemple pour profiter de son droit à copie privée, est illégal. Voir ici pour une vision un peu plus nuancée.
Tout à fait. La seule exception reconnue, c’est de contourner une protection à des fins d’interopérabilité.
Le
22/03/2022 à
10h
50
auberjine a dit:
Ce que je trouve quand même fabuleux dans toute cette histoire c’est qu’il n’y a personne parmis tous ces politiques/juristes pour questionner la légalité des systèmes anti-copie, c’est quand même ballo que les ayants-droit nous fassent payer une redevance pour cette même action qu’ils nous empêchent de faire
Justement, les protections anti-copies, c’est autorisé. En France, ce qui n’est pas explicitement interdit est autorisé.
On pourrait donc dire que comme on paie la RCP, on à un droit à la copie. Sauf que ce droit n’est pas un droit, c’est une exception (au droit d’auteur). La différence ? L’un est opposable, pas l’autre.
Le
21/03/2022 à
20h
43
Le remboursement pour un professionnel tient compte de l’usage qui sera fait. Donc potentiellement, elle ne sera pas remboursée, si l’espace de stockage est mis à disposition de client qui peuvent stocker n’importe quoi (et donc des oeuvres).
Il y a peut être des soucis effectivement avec les liens RSS. Voulait vérifier la présence ou non de publicité, le mien me renvoie… une erreur 404. J’ai commenté une issue sur Github pour relater le souci.
Le
17/03/2022 à
20h
56
Je te rassure, c’est cumulable
Tu m’en veux si je ne me réabonne pas tout de suite ? Mon abonnement est encore valable quelques années… (un peu plus de 120 ans )
Pour de l’http le DNS menteur t’envoies vers une page avec un bouton de redirection vers une URL modifiée ou l’IP réelle se substitue au fqdn. Sauf que ça ne marche bien que si le site contient une seule page monolithique. Ce qui n’existe plus depuis 30 ans.
Ca ne marche même pas, puisque :
les hébergements mutualisés existent depuis belle lurette
les services de protections DDoS comme Cloudflare peuvent gérer nombre de gros site.
Et même si ça marchait, le site cible, s’il contient une URL qui utilise son nom de domaine (par exemple http://mon.site.fr/mentions-legales) va renvoyer vers… le site d’avertissement puisque son nom de domaine est résolu vers le serveur d’avertissement !
Faire ce qu’ils veulent avec du DNS ce n’est pas possible. Il faut un MitM (proxy). C’est une gabegie sécuritaire et opérationnelle.
On est d’accord. Et un MitM gérer par un Etat (qu’il soit démocratique ou non), c’est une très mauvaise idée.
Le
18/03/2022 à
13h
45
Ca ne marchera pas non plus. DNS et HTTP/S sont deux protocoles différents qui n’ont rien à voir.
Un CNAME, au niveau du DNS va juste dire que l’adresse IP associée à X est la même que l’adresse IP associée à Y (qui potentiellement est la même que l’adresse IP associée Z et ainsi de suite).
Grosso modo, quand dans un navigateur tu souhaites accéder à un site, le navigateur utilise HTTP pour communiquer avec le serveur. Mais avant de pouvoir communiquer avec le serveur, il a besoin de connaitre l’adresse IP du serveur (et c’est là que rentre en jeu le DNS).
La requête DNS est faite sans contexte (on sait qu’on recherche l’adresse d’un hôte, mais on ne sait pas pourquoi, cela peut être pour du mail, de la navigation web, une connexion SSH, un SMTP etc…). Et le résultat est mis en cache (le protocole DNS définie des durées de vie pour les enregistrements).
Donc la seule “possibilité” que je vois, ce serait d’avoir un navigateur qui procéderait lui-même à la résolution (sans la déléguer à l’OS) et qui ferait ce travail :
première requête vers le DNS public
requêtes suivantes vers le DNS du FAI).
Mais cela nécessite donc une adaptation des navigateurs (qui me semble illusoire). Ou alors il faudrait définir des enregistrements au niveau des DNS (genre un TXT) permettant de dire attention, pour un premier accès, il faut aller par ici et non par là.
Mais là encore, une adaptation des navigateurs est nécessaire, sans parler du risque qu’il pourrait y avoir pour la sécurité.
Et sans compter que la sécurisation des DNS (DNSSec, DNS over HTTPS, etc…) feraient de toutes façon tomber tout cela à l’eau…
Non, ça ne marche pas, car il faut dans ce cas là modifier le lien d’origine. Ici, on parle quand même de mettre en place un DNS public pour faire un DNS menteur.
Sauf qu’avec un DNS menteur, tu rediriges TOUT le trafic d’un serveur à un autre, puisque le nom a été résolu vers le serveur X au lieu du serveur Y.
Du coup, une fois ça fait, comment rediriger vers le “bon” serveur, puisque l’idée n’est pas de bloquer mais d’afficher un message d’avertissement.
Le
18/03/2022 à
08h
17
J’avoue ne pas comprendre techniquement le cheminement.
Le DNS en lui-même ne permet pas l’affichage d’un message. Imaginons le site “super-arnaque.truc”.
Pour afficher un message, il faut :
rediriger le traffic vers un serveur contrôlé par un organisme habilité (au hasard, juste pour l’exemple, l’ARCOM)
afficher un message
mais comment rediriger ensuite vers le site ?? Le DNS a déjà été résolu. Impossible de rediriger l’utilisateur ensuite le véritable site.
si le site est en HTTPS (la grande majorité), impensable de mettre en place un proxy, sauf à installer un certificat racine sur les postes des utilisateurs. Un certificat “étatique” non merci !!
Bref, sans me prononcer sur le fond, techniquement, je ne vois pas comment c’est faisable…
S’ils ont fait des modifications au code source, la republication et documentation est obligatoire. La FAQ que tu lies l’indique clairement.
Oui, tu l’indiques clairement, si modification il y a ;) La redistribution s’il n’y a pas eu de modification n’est pas obligatoire.
On a quand même le droit de le signaler quand ce genre de chose arrive, ou il faut se taire et attendre que le projet mainteneur le découvre ?
Tu peux le signaler au mainteneur du projet, mais c’est la seule action “légale” que tu puisses faire. Tu ne peux pas porter plainte pour violation de licence (seul le titulaire des droits peut le faire). C’était le sens de ma remarque.
Sans animosité aucune, je n’aime pas trop la dernière partie de ton message laissant comprendre “ça ne te regarde pas donc tais toi” alors que je considère le logiciel libre comme un bien commun.
Ce n’était pas mon intention. Ce n’est pas que cela ne te regarde pas, c’est que tu n’as simplement pas ton mot à dire, légalement parlant. Le principe du logiciel libre est d’accorder des droits à celui qui reçoit (pour l’AGPL, la clarification précise qu’il s’agit également des utilisateurs).
Le message auquel je répondais était assez péremptoire (il y a une violation, ils sont dans l’illégalité). Sauf que si tu n’es pas utilisateur, si tu n’as pas demandé les modifications expressément ou si elles ne t’ont pas été refusées, tu ne peux pas prétendre cela. Car la famille des licences GPL est claire la dessus : elle dit que les sources doivent être mises à disposition, mais elle ne précise pas comment. La mise en place d’un dépôt ou d’une archive en libre téléchargement est donc une possibilité, mais absolument pas une obligation.
Tu confonds moral (je considère le logiciel libre comme un bien commun) et légal (la licence). Les “cela devrait ainsi”, “je considère”, “c’est pas moral” etc… n’ont pas de place dans le domaine du respect des licences et de leur potentielle violation.
S’il y a des doutes, des incertitudes, des zones de flou, alors il faut faire évoluer la licence. C’est, par exemple, ce qui s’est passé avec la GPLv3 (pour lutter contre la tivoïsation) ou l’AGPL (pour inclure les utilisateurs d’un service comme étant des utilisateurs du logiciel sur lequel repose le service et donc rendre la licence opposable pour eux).
Mais ce n’est pas le cas ici. La licence est claire (AGPL). Si tu n’es pas utilisateur des services de Leviia, tu n’as légalement aucun moyen de faire respecter la licence (même en étant utilisateur d’ailleurs). La seule chose que tu puisses faire, c’est de contacter Nextcloud et leur dire que tu as des doutes (n’étant pas utilisateur, tu ne peux pas prouver que la licence a été violée). A eux d’étudier et d’y donner suite ou non et de prouver qu’il y a bien violation et d’agir en conséquence le cas échéant.
C’était le sens de ma remarque initiale (plus claire ainsi développée je l’espère)
Le
10/03/2022 à
22h
33
De mon point de vue, rien. Et si effectivement ils réutilisent Nextcloud Server sans redistribuer et documenter les éventuelles modifications (conditions de l’AGPL), et j’imagine qu’il y en a eu ne serait-ce que pour le thème visuel qui n’est pas un natif, ils sont dans l’illégalité car en violation de la license.
Ils n’ont pas l’obligation de diffuser “à tout va” les sources et les modifications. Ils ont l’obligation de le faire :
pour leurs utilisateurs
sur demande
uniquement en cas de modification
La configuration de l’application ne fait pas partie des modifications soumises à la licence (cf. la FAQ).
La mise au point d’un thème ne nécessite pas de modification de l’application : l’application les supporte nativement (installation d’un thème + configuration). Ce n’est donc pas, a priori, soumis à l’AGPL.
Crier de suite qu’ils violent la licence est un peu prématuré, surtout si tu n’es pas utilisateur de leur service (ils n’ont alors aucun compte à te rendre).
Pour terminer, si violation il y a, c’est à Nextcloud d’agir, car ce sont les seules à en avoir le droit.
Tous les Forfaits a rapporté environ 250 000 euros par an durant plusieurs années puis en 2017, le site a été déréférencé sans que l’on sache pourquoi. L’équipe technique a fait le nécessaire pour essayer de remonter le référencement, en vain. C’est à ce moment-là que nous avons mis en place le paywall sur toutes les actualités d’investigation, pour tenter de compenser les pertes. Ce fût une époque très difficile.
Merci pour les infos
Le
07/03/2022 à
07h
55
Et nous avions de très gros revenus avec tous les forfaits, jusqu’à ce que Google le déréférence totalement. Là encore, nous devions faire face.
Est-ce qu’on peut avoir plus d’information ? Pourquoi un déréférencement total si soudain ?
il a existé des formats avant le MP3 - par exemple le midi ou le mod. Les 2 étaient parfaitement utilisables sur disquettes. Et le 2e était vraiment sympa pour sortir des musiques écoutables sans carte son dédiée.
Je sais bien. Je ne dis pas que c’est impossible d’avoir de la musique sur une disquette. Mais ces formats (midi et mod) se limitent à de la musique synthétisée (grosso modo, on dit l’instrument, la note, la durée, etc…) et il n’y a pas de voix.
De plus, comme je le disais, les disquettes sont des supports qui ont disparu aujourd’hui (j’ai essayé il y a un an de trouver des supports neuf pour un besoin spécial d’un client, je n’ai pas réussi). En fait, le dernier constructeur a arrêté d’en produire au début des années 2010 !
Cela n’empêche pas pourtant Copie France de faire un barème sur ces supports complètement désuet et inaccessible aujourd’hui, ce qui, pour moi, démontre pleinement le côté rapace de cet organisme et du manque de sérieux dans leur réalisation.
Le
07/03/2022 à
12h
35
Il a mis l’émoticône troll …
On sait bien que les études d’usage c’est nawak, en attendant si la commission les valide elles sont légales.
Du coup ils font ce qu’ils veulent et ça reste légal.
Et vu qu’il n’y a que Nextinpact qui en parle ( et un peu d’autres médias durant la mise en place de la redevance sur le reconditionné ) ben ils peuvent faire ce qu’ils veulent durant quelques temps encore.
Roh, je l’ai même pas vu
Le
07/03/2022 à
11h
20
Je suis d’accord, je pense aussi que le taux calculé pour la RCP prend en compte l’espace disponible des appareils, encore un article à charge.
Il suffit de regarder les barèmes de la RCP pour se rendre compte que non, l’espace prit en compte est bien l’espace total, et non l’espace disponible. Sinon :
un smartphone bas de gamme avec 100Mo de stockage disponible ne serait pas soumis à la même redevance qu’un avec 8Go
la 2e tranche (qui est le double de la première niveau capacité) ne serait pas, purement et simplement, le double de la première en guise de montant.
Et si tu penses encore que les études d’usages sont réalisées de manière correcte et impartiale, je veux bien une explication pour le barème sur les disquettes 3’1⁄4, support qui a disparu depuis des années et sur lequel il est quasi-impossible de mettre ne serait-ce qu’une musique au format MP3 !
Et les professionnels (non assujétis !) doivent payer la RCP avant de pouvoir espérer se faire rembourser (il faut le savoir qu’on la paie, qu’elle est remboursable ET il faut notamment une facture avec le montant de la RCP).
Je t’invite à vérifier toi-même ces points. Ce ne sont rien que des faits facilement vérifiable en allant sur le site de copie france.
Le
07/03/2022 à
10h
10
fred42 a dit:
On le savait déjà, non ? Les ayants droits se sucrent sur l’espace contenant Windows (assez négligeable sur un PC avec un gros disque dur, mais beaucoup moins sur un petit SSD),
Non. Les disques dur interne pour PC ne sont pas (encore) assujetis à la RCP (sauf si j’ai loupé un épisode).
Android et iOS (pas négligeable du tout surtout sur les faibles capacité de stockage). Oui, car on ne les trouve pas sur PC, mais sur tablette.
Drepanocytose a dit:
Oui mais là, c’est la justice qui a confirmé. C’est déplorable.
La justice ne fait qu’appliquer la loi. La loi précise capacité totale. Donc c’est capacité totale, quand bien même c’est complètement stupide, immorale ou injuste.
(quote:1934390:Idiogène) Un échangeur de PAC ne peut seul assurer le chauffage. Merci de rappeler une fois de plus que tu n’as rien compris à la notion de flux ou d’échangeur, ni même aux autres apports (solaires, cuisson etc) .
Punaise, mais c’est quoi cette mauvaise fois ? PAC != échangeur de PAC. Une PAC peut très bien s’occuper de fournir toutes les calories pour chauffer un logement.
Les raisons techniques ne sont pertinentes qu’à condition de ne pas s’en mêler, ce que tu fais avec constance.
Traduction. Je ne sais pas te contrer donc je te fais une attaque ad hominem déguisé
Tu es en train d’expliquer que préchauffer de l’air n’a aucune incidence sur la qualité du chauffage mais que c’est quand même un problème de quantité d’euros dans le système… c’est problématique et incomplet.
A aucun moment je n’ai dis cela. Je te met au défis de me dire où. Depuis le début, je ne fais que répéter une chose et une seule : qu’un PAC et un puit canadien, c’est différent, et avec des usages différents.
Le puit canadien sert à préchauffer l’air, ce qui permet de réduire l’apport calorifique que doit apporter le système de chauffage. Point. Mais il ne permettra pas d’avoir une température de 20° ni même de l’eau chaude. Chose que peut t’apporter une PAC.
Je n’ai même jamais parlé d’argent. Juste un comparatif de consommation à un moment donné, mais qui ne prend absolument pas en compte un coût non négligeable : celui de l’installation et de l’entretien. Mais pareil, tu fais une fixette dessus.
Ce n’est donc pas car des milliers de personnes vivent dans des passoires thermiques qu’il faut installer des PAC, là aussi c’est gratuit sans doute…
Une fois encore, tu t’égares, cela n’a rien à voir avec le débat.
bref, si j’ajoute une résistance à ma bouche d’admission d’air j’ai une “pompe” à chaleur. Mais ça on ne veut pas le croire car on ne maîtrise pas les calculs et le delta T.
Non. Tu as un chauffage électrique. Mais ça, tu ne veux pas le comprendre. Tu ne vois qu’apport qualorifique, sans voire le rendement derrière.
Non. Tu as conclus qu’une PAC chauffait seule un appartement où les copropriétaires étaient des cons de ne pas installer le gaz chez toi alors que leurs logements, sans doute chauffés au gaz, t’empêchent de perdre des degrés dans ton volume habitable.
Encore parti dans un délire… Et oui, une PAC peut se suffire à elle même. Mais comme tu sembles ne considérer que l’échangeur du PAC…
Bon allez, cette fois-ci stop. Entre les attaques et la mauvaise fois… je bloque (sinon, je vais encore perdre mon temps à répondre)
Le
03/03/2022 à
13h
37
(quote:1934329:Idiogène) Ce que je refuse c’est d’introduire des comparaisons inutiles,
Dit la personne ne comprenant pas :
qu’une PAC n’est pas un puit canadien
que le puit canadien seul ne peut assurer le chauffage d’une maison et qu’il ne vient qu’en appoint pour soulager le chauffage central.
Il n’y a aucune autre raison que la facturophilie pour justifier l’installation d’une PAC
Ben non. Il y a des raisons techniques. Ton logement peut ne pas être raccordé au gaz. Une PAC reviendra moins cher que le chauffage électrique. Et un puit canadien n’est pas toujours installable. Mais reste donc sur tes certitudes.
si déjà on ne connaît pas le besoin (c’est à dire ce qu’il faut apporter en plus de ce que la nature permet) on a pas de raison de conclure.
C’est bien le seul point où on est d’accord
Le
03/03/2022 à
10h
11
(quote:1934185:Idiogène) Qu’importe son type elle compte tout pareil… mais la facturophilie admet de nier l’évidence. C’est bien dommage.
Que tu le veuilles ou non. Le type est important. Tu peux remplacer ta chaudière par une PAC. Tu ne peux pas le faire par un puit canadien. Ce n’est pas le même usage. Mais ça, tu refuses de le comprendre…
Le
02/03/2022 à
19h
57
(reply:1934038:Idiogène)
Dernière fois, après j’arrête car on ne se comprend visiblement pas.
Alors j’ai du mal à saisir en quoi assimiler les deux n’aurait pas de sens. Un flux reste un flux, peu importe son sens c’est sa ous ses qualités qui sont déterminantes.
Les deux sont sources de chaleurs. L’un peut servir de système de chauffage autonome, pas l’autre. L’un repose sur la convection, l’autre sur un cycle thermodynamique. L’un consomme très peu (une centaine de kWh/an) tandis que l’autre est beaucoup plus gourmand (facilement > 5000KWh/an mais reste bien en deçà d’un chauffage électrique).
Maintenant, quand tu dis (réflexion à laquelle je réagissais à la base) :
Les PAC peuvent fonctionner sans électricité : exemple le puits canadien.provençal. C’était le sens de ma boutade…
Je suis désolé, mais c’est faux. Une PAC n’est pas un puit canadien et un puit canadien n’est pas une PAC.
Bien évidemment que l’on tient compte de toutes les sources calorifiques lorsqu’on fait un diagnostique, mais cela ne veut pas dire que les sources sont interchangeables pour autant. Les assimilées n’a donc pas de sens.
Le
02/03/2022 à
15h
30
(quote:1933955:Idiogène) Je ne dis nulle part que les principes de conception soient identiques. Je dis qu’il est réglementairement valide (et aussi scientifique) de décrire avec la même physique impliquée une pac ou un puits canadien.
Règlementairement, je n’en sais rien. Physiquement, non. Ce ne sont pas les mêmes principes physiques en jeu, on n’utilise donc pas les mêmes calculs.
La convection a besoin d’un support mécanique (même statique) pour se faire en règle générale… c’est bien exprimé par la présence du delta T qui implique des parois.
Je pensais bien évidemment support mécanique mobile. Il faut effectivement une surface de contact pour que les échanges de chaleurs se fassent
Seuls les diagrammes sont différents.
En thermodynamique, c’est déjà beaucoup !
Et ils n’ont pas le même usage. Un puit canadien seul ne permettra pas de chauffer une habitation (il faudra un autre dispositif). Une PAC oui. Assimiler les deux n’a donc pas de sens…
Le
02/03/2022 à
14h
06
(quote:1933892:Idiogène) Cette affirmation ne peut être vraie qu’à condition d’avoir un dispositif mesurable.
Cela ne veut rien On n’est pas dans un état quantique ici…
Non. Le monde parallèle aux lois physiques différentes n’existe pas.
Je serais tatillons, je dirai que ni l’existence, ni la non-existence de ce monde parallèle n’a pu être prouvé .
Plus sérieusement, PAC et puit canadien reposent sur des principes totalement différents. Il ne s’agit pas d’être dans deux mondes parallèles.
Et dire que c’est toi qui voulait me donner des leçons de physique de première… Convection
La convection désigne l’ensemble des mouvements internes (verticaux ou horizontaux) qui animent un fluide et qui impliquent alors le transport des propriétés des particules de ce fluide au cours de son déplacement. Ce transfert implique l’échange de chaleur entre une surface et un fluide mobile à son contact, ou le déplacement de chaleur au sein d’un fluide par le mouvement d’ensemble de ses molécules d’un point à un autre
La convection n’a pas besoin d’un support mécanique. Elle se fait naturellement. Elle peut toutefois être assisté à l’aide de ventilateurs. C’est pour cela aussi que les canalisations dans le sol doivent être assez longue, pour que les échanges de chaleur par convection aient le temps de se faire et que le sol puisse réchauffer l’air en hiver (ou le rafraichir en été).
Cela, contrairement aux PAC, qui transforme de l’énergie électrique en mouvement mécanique afin de produire les compressions/détentes nécessaires à son fonctionnement, selon un cycle bien défini (ton lien WTF justement).
Maintenant, si pour toi, cycle thermodynamique (PAC) et convection (puit canadien) c’est la même chose… alors là, tu vis dans un monde parallèle…
Le
02/03/2022 à
12h
58
(quote:1933860:Idiogène) Changement d’état. Physique de lycée… Exemple avec l’eau.
Non. Fusion, condensation, sublimation, etc… sont des changements d’état. Le fluide est un état en tant que tel. Il n’y a pas de transition.
Bof. Fermé ou non, par de l’énergie électrique active ou quelques matériaux passifs l’objectif revient encore une fois à agir sur un flux thermique.
Certes, mais selon deux processus radicalement différents. Dire qu’un puit canadien est une PAC est un non sens.
La convection implique la compression et la décompression et permet un refroidissement.réchauffement naturel, ce n’est pas spécifique à un dispositif rapporté.
Non. La convection implique un déplacement de fluide (dans le cas d’un puit canadien, de l’air). La compression/décompression joue sur la pression voire un changement d’état. Encore une fois, c’est radicalement différent.
Le
02/03/2022 à
12h
06
(quote:1933744:Idiogène) Contre-sens
Non
l’état fluide d’un réfrigérant ou d’un caloporteur résulte du circuit, pas l’inverse.
Hein ? L’état fluide ne résulte absolument pas du circuit. C’est un “état” qui désigne généralement les liquides et les gaz.
L’air est donc considéré comme un fluide dans le cas des puits canadiens et ce malgré l’ouverture du circuit si c’est de l’air extrait.
L’air est un fluide. Point. Qu’importe qu’il soit “à l’air libre”, dans un puit canadien ou dans un PAC. Mais c’est sur qu’en ne lisant pas complètement ce que je dit…
Ce qui distingue une PAC d’un puit canadien, ce n’est pas l’usage d’un fluide, c’est le principe de fonctionnement, l’un en circuit ouvert, l’autre en circuit fermé ET avec compression/décompression.
L’enjeu n’est pas technique car dans les deux cas l’objectif est le même : lutter contre le refroidissement du local (maison, serre,, appartement etc).
Dans ce cas, qu’importe ce qu’il y a derrière. Un brasero au milieu du salon répond aussi parfaitement à ta définition ;)
C’est pour cette raison que je soulignais le paradoxe des PAC modernes : on veut recycler la chaleur même si elle provient d’une énergie fossile. Le bilan global est donc loin des résultats angéliques annoncés, sans compter son prix largement plus élevé que les méthodes historiques pour faire du froid ou éviter des deltas de températures inconfortables.
La question à se poser est la suivante : PAC ou pas PAC, est-ce que la source de chaleur est présente ? Si oui, c’est naturel de l’utiliser, car cela ne fait qu’augmenter le rendement global. Si non, effectivement il ne faut pas. Il ne faut pas inverser cause et conséquence. On installe une PAC parce qu’il y a une source de chaleur, et non l’inverse.
Ce serait comme trier les déchets, mais uniquement ceux qui sont produit localement… Une fois que tu as un “déchet”, tu le traites, qu’importe sa provenance.
Le
02/03/2022 à
09h
45
(quote:1933701:Idiogène) Les PAC peuvent fonctionner sans électricité : exemple le puits canadien.provençal. C’était le sens de ma boutade…
Techniquement parlant, un puit canadien n’est pas une PAC. Un PAC est en circuit fermé et nécessite un fluide compressible.
Un puit canadien est en circuit ouvert et n’a pas de cycle de compression/décompression d’un fluide.
Chez Apple, oui Pour les MacBook Pro tout du moins (RAM soudée à la carte mère, disque dur soudé à la carte mère, carte graphique soudée à la carte mère)
Bon, ils ne sont sans doute pas les seuls malheureusement…
Le nom de domaine apparait dans le champ SNI, qui permet d’héberger plusieurs sites sur la même IP, avec des certificats différents.
Il n’y a qu’avec ESNI (déprécié, et supprimé de Firefox), et ECH (implémenté dans Firefox Nightly, mais pas encore sur les serveurs hors test), que l’information est cachée.
Tout à fait. Mais il faut que le SNI soit activé et surtout configuré aussi côté serveur (côté client, avec les navigateurs modernes, il l’est par défaut). Il y a de nombreux serveurs qui ne font pas cet effort, car tout simplement inutile. Il existe des alternatives (plusieurs adresse IP, plusieurs hosts dans le certificats, etc…).
[edit] j’ai quand même pris le temps de vérifier avant de dire des bêtises, et je dis des bêtises. Si effectivement, pour être utilisé, le SNI doit être activé et configuré par le serveur, le client l’envoi toujours, dès la première requête du handshake.
Donc, sur le principe, le nom de domaine fuite tout le temps, que le serveur utilise ou non SNI. J’étais persuadé que ce n’était que dans le cas où le serveur utilisait SNI
2760 commentaires
Le cloud tombe dans le giron de la redevance copie privée
25/03/2022
Le 27/03/2022 à 19h 35
Ne jamais sous-estimer le pouvoir de nuisance des ayants droits et de leurs études d’usage au doigt mouillé. Une petite RCP de 8€ pour un Google Drive de 10Go / utilisateur, même si c’est un produit d’appel, je doute que Google en fasse cadeau.
Le 27/03/2022 à 17h 42
La réponse est pourtant simple : il n’y aura plus d’offre de stockage gratuit. Les fournisseurs de service ne vont pas payer la RCP sans retour pour plusieurs millions d’utilisateur sans compensation.
Le 27/03/2022 à 11h 22
Sauf que jusqu’à présent les barèmes sont fonctions non pas du prix, mais de la capacité. Donc même si tu as un cloud gratuit de 10Go par exemple, si tu dois payer la RCP, l’offre ne sera plus gratuite. Il restera aussi à voir comment sera payé cette RCP. Mensuellement ? Une fois ? Avec le cloud, c’est de nombreuses questions qui se pose…
Faut choisir les bons revendeurs. Chez LDLC, la RCP apparait depuis plusieurs années. Et si cela n’apparait pas, tu peux contacter ton vendeur pour qu’il la fasse apparaitre sur la facture. C’est une obligation légale.
D’accord. Tu voudrais donc une réforme du droit patrimonial. Comme tu le soulignes très bien, le caractère international du droit d’auteur fait que les chances que cela arrivent avoisine le 0 pointé
Le 25/03/2022 à 15h 02
Le 25/03/2022 à 14h 20
Du coup je ne comprends pas ton commentaire. Le droit de copie n’existe pas. On a le droit de reproduction (c’est souvent lui qu’on entend par droit de copie) qui s’adresse à tout le monde, sauf à l’auteur.
L’auteur à un droit moral (inaliénable, l’auteur ne peut pas “s’en débarrasser” de quelque manière que ce soit) et un droit patrimonial (qui est lui cédable). Est-ce que tu entends droit patrimonial lorsque tu parles du droit de copie ?
Le 25/03/2022 à 13h 29
Attention, “retirer
le droitl’exception de copie du droit d’auteur”. La copie n’est pas un droit, et elle n’est donc pas opposable quand il existe des moyens de protection nous empêchant de jouir de cette exception.Nuance subtile, mais aux conséquences majeures.
Le 25/03/2022 à 13h 14
Non. La redevance n’est pas due par les professionnel pour les usages professionnels. Si le support peut servir à du stockage personnel, le support est soumis à RCP.
Ensuite, pour demander un remboursement (j’en ai fait 3 jusqu’à présents), il faut :
Tout est fait pour que la procédure soit peu connue et pour quelle soit la plus fastidieuse possible (afin que le coût engendré par la procédure elle-même soit le plus lourd possible pour diminuer le gain à prendre du temps pour le faire).
Maintenant, est-ce que ça va changer ? 300 millions de copie privé / an pour la France, c’est 60 millions de TVA pour l’Etat (car oui, la RCP est assujettie à la TVA) et 25% de ces 300 millions (75 millions donc) qui sert à financer des spectacles, festivals, etc… afin de maintenir les politiques dans leur bon petits papiers (un lobbying légal, puisqu’ils ont l’obligation d’utiliser ces 25% pour ce genre de chose…).
Accord européen sur le Digital Market Act
25/03/2022
Le 25/03/2022 à 10h 23
Le chiffrement de bout en bout entre opérateurs différents est tout à fait possible. Il faut juste que l’algo soit le même d’un côté comme de l’autre, et mettre en place un mécanisme d’échange de clés (mécanisme qui existe déjà dans d’autres utilisations).
Filtre « anti-arnaques » d’Emmanuel Macron : optionnel pour les internautes, obligatoire pour les FAI
23/03/2022
Le 23/03/2022 à 19h 59
Article intéressant dans la continuité du précédent.
Le seul élément qui me gène, c’est que personne ne dit qu’une infra DNS n’est pas faite pour faire de l’avertissement. On peut bloquer oui, mais afficher un message non (car ce n’est absolument pas son rôle).
Déjà, rediriger vers un autre site va être rigolo dans la mesure où une très grande majorité de sites utilise maintenant HTTPS, à moins d’avoir un certificat étatique (ce qui est extrêmement dangereux, qu’importe que l’état soit une démocratie ou une dictature).
Mais rediriger temporaire le temps d’avertir puis rediriger ensuite vers le véritable site est simplement impossible avec le DNS… sauf encore à avoir un certificat état ET des serveurs qui font proxy, mais bonjour les problèmes de sécurité, de confidentialités et les points uniques de défaillance, sans compter la taille de l’infra qui va falloir derrière pour gérer les requêtes de 60 millions d’internautes.
Encore une fois donc, une solution faite au doigt mouillé, qui va nous coûter une blinde pour une efficacité… nulle !
Avec l’Internet d’aujourd’hui, sans installer quelque chose sur les postes des utilisateurs (navigateur spécifique, extension, certificat étatique ou que sais-je encore), ce qui est proposé est tout simplement impossible.
On fait aujourd’hui des campagnes de sensibilisation pour l’alcool au volant, pour l’alcool tout court, pour bouger plus, pour ne pas manger trop gras, trop salé, trop sucré. Arrêtons d’infantiliser les gens avec des moyens qui sont des moyens de contrôle.
Si on commençait déjà par :
Ce serait déjà pas mal. Et surtout réalisable.
Le temps passé par les enfants devant les écrans n’entraîne guère de problèmes de comportement
22/03/2022
Le 23/03/2022 à 14h 39
https://fr.wikipedia.org/wiki/Effets_du_tabac_sur_la_santé#Financement_d’études_scientifiques">Extrait Wikipédia, qui est un bon résumé :
Je ne suis pas complotiste. Mais quand les faits sont là…
Le 23/03/2022 à 14h 35
J’ai trouvé une source intéressante. Il ne s’agit pas de l’article en lui-même, mais d’un rapport de master du même auteur principal avec le même titre. On peut donc fortement penser que ses travaux, initialement présentés pour défendre son master a ensuite servi pour réaliser une publication.
https://prism.ucalgary.ca/bitstream/handle/1880/113768/ucalgary_2021_eirich_rachel.pdf?sequence=2
On y découvre de nombreux éléments intéressants :
A noter également que la méta-analyse porte uniquement sur l’impact des écrans sur le comportement des enfants. Il ne dit rien absolument rien sur d’autres aspects comme le développement cognitif (ce n’était pas son sujet).
Je trouve la conclusion assez intéressante.
D’un côté, la méta-analyse révèle une forte disparité méthodologique conduisant à une forte hétérogénéité des résultats et la possible présence de nombreux biais.
De l’autre côté, elle conclut malgré tout :
Cette remarque me semble complètement en contradiction avec la méta-analyse. Si seulement 1% des problèmes psychosociaux était corrélée aux différentes formes de temps d’écran, le coefficient de corrélation serait bien plus faible que 0,2.
Le 23/03/2022 à 09h 50
Même lien : Wikipedia
Et donc, pour en revenir à mon propos, une sélection biaisée d’articles aurait pu conclure, dans le cadre d’une méta-analyse, à la non dangerosité du tabagisme (ou en tout cas, à l’absence de preuve d’incidence notable).
Tiens, incidence notable… c’est exactement ce que relève cette méta-analyse vis-à-vis des écrans…
Le 23/03/2022 à 09h 48
Comme je le disais, il est loin d’être tout seul. Son livre, truffé de références (encore une fois, plus de 1000 !) en est la simple preuve. Il est juste l’un des rares à avoir fait un effort pédagogique pour rendre cela compréhensible pour tout le monde.
Le 23/03/2022 à 09h 40
C’est ce que tout esprit critique est en droit d’attendre d’une méta-analyse. Cela ne signifie pas que les auteurs de méta-analyses font ce genre de chose.
L’étude, je n’y ai pas accès (ben oui, c’est payant). Pour un minimum de crédibilité, puisque les auteurs donnent des chiffres précis, ils devraient donner la liste complète des articles identifiés (les 25196), ainsi que la ou les causes de leur rejet. Est-ce le cas ? (si quelqu’un à accès à l’article, je suis preneur de l’information).
Lorsque j’étais thésard, on m’a appris qu’un des objectifs d’une bonne publication, c’est de pouvoir être vérifiable. Donc il faut fournir toutes ses données pour que les lectures puissent reproduire les expériences.
Alors j’ai mal tourné ma phrase, car je voulais mettre un conditionnel, pas une affirmation ! J’aurais du dire “une méta-analyse aurait pu conclure que le tabac n’était pas cancérigène” justement à cause de ce biais dans la sélection. D’où l’importance de connaitre le processus exact !
Le 23/03/2022 à 08h 35
Oui, tout à fait. C’était vraiment du grosso-modo ! Avant 6 ans, ce sont principalement des troubles du développement (mais pas forcément les mêmes en fonction de l’âge), alors qu’après 6 ans, ce sont surtout des troubles du comportement (addiction, irritabilité voire agressivité, etc…). C’était surtout ça que je voulais exprimer ;)
Le 23/03/2022 à 08h 09
Si sur le principe, je suis d’accord, il ne faut pas oublier que la méta-analyse a du faire une sélection des études. On peut lire que sur les 25 196 articles identifiés, seul 595 répondaient aux critères. Et sur ces 595, seulement 87 ont été finalement retenu. Comment a été faite cette sélection ? Les études sélectionnées sont-elles sérieuses ? Sont-elles subventionnées ? Les études chiffrées mais avec des biais méthodologique ont-elles été retenues ou non ?
Les critères retenus souffrent-ils de biais ? Il est, par exemple, étonnant de considérer tous les enfants de -12 ans “dans le même panier” alors que de nombreuses études montrent des différences notables dans les troubles en fonction de l’âge (grosso modo, -6 ans et entre 6 et 12 ans).
Il est peut être bon de rappeler qu’en 1970, une méta-analyse pouvait conclure que le tabac n’était pas cancérigène, tant il y avait d’étude financer directement ou indirectement par l’industrie du tabac !
Justement, ce n’est pas l’affaire d’un seul homme. Exemple, son livre “la fabrique du crétin digital” contient pas moins de 1000 références bibliographiques et études.
Maintenant, attaquer un article ou un livre sur son titre et non sur son contenu en dit malheureusement long sur les a priori et préjugés…
Le 22/03/2022 à 10h 04
De ce que j’ai lu, ce n’est pas les écrans eux-mêmes qui posent problème, mais plutôt l’absence d’interactions sociales liées aux écrans, surtout chez les jeunes enfants ( ans). Les écrans sont souvent un moyen simple d’occuper un enfant qui est malheureusement statique au lieu d’être actif.
Ensuite, les problèmes plus tardifs sont les surexpositions à des heures tardives, qui génèrent des troubles du sommeil. Et les troubles du sommeil, on le sait depuis longtemps, ont un impact non négligeable sur le développement des enfants.
Maintenant, une analyse de 87 études, il faudrait savoir lesquelles ont été choisies, si les auteurs sont affiliés ou non de part leur recherche à un quelconque organisme qui pourrait les mettre en position de conflits d’intérêt, etc.
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22/03/2022
Le 23/03/2022 à 09h 26
Il faudrait peut être arrêter avec le lien baisse des publications à cause du magazine.
Est-ce que cela leur prend du temps ? Très certainement. Mais la plupart des articles se retrouveront ici (donc ce temps, à 80%, il aurait de toute façon été pris pour écrire ces articles).
Le financement s’est terminé début décembre. Mi-février le magazine était quasi-finalisé (relecture + mise en page). Nous sommes un mois plus tard, et on continue d’accuser le magazine de tous les maux.
Là, le magazine est plié depuis de nombreuses semaines, imprimé depuis peu et bientôt expédié, mais c’est encore la faute du magazine si les publications se font rare aujourd’hui. Les changements d’équipe (et la réorganisation qui va avec) ne sont jamais évoqués (départ de David de son poste de directeur de publication, un dev aussi je crois, recrutement en cours, etc…).
Les vacances de fin d’année (oui, les journalistes aussi ont le droit au repos), certains événement comme le CES à Las Vegas (début janviers) qui, par leur nature, doivent occuper à temps plein durant leur tenue et pas mal de temps dans les jours qui suivent ne sont jamais pris en compte.
Enfin, ce n’est même pas les abonnements qui paient le magazine. C’est une campagne de financement complètement à part. Donc au final, les abonnées qui n’ont pas participé au financement, seront de toutes façons gagnants.
L’extension de la redevance copie privée au cloud devant la justice européenne
21/03/2022
Le 22/03/2022 à 14h 17
Tout à fait. La seule exception reconnue, c’est de contourner une protection à des fins d’interopérabilité.
Le 22/03/2022 à 10h 50
Justement, les protections anti-copies, c’est autorisé. En France, ce qui n’est pas explicitement interdit est autorisé.
On pourrait donc dire que comme on paie la RCP, on à un droit à la copie. Sauf que ce droit n’est pas un droit, c’est une exception (au droit d’auteur). La différence ? L’un est opposable, pas l’autre.
Le 21/03/2022 à 20h 43
Le remboursement pour un professionnel tient compte de l’usage qui sera fait. Donc potentiellement, elle ne sera pas remboursée, si l’espace de stockage est mis à disposition de client qui peuvent stocker n’importe quoi (et donc des oeuvres).
Abonnement Next INpact à 30 euros par an : plus que quelques heures pour en profiter !
11/04/2022
Le 21/03/2022 à 20h 08
Il y a peut être des soucis effectivement avec les liens RSS. Voulait vérifier la présence ou non de publicité, le mien me renvoie… une erreur 404. J’ai commenté une issue sur Github pour relater le souci.
Le 17/03/2022 à 20h 56
Tu m’en veux si je ne me réabonne pas tout de suite ? Mon abonnement est encore valable quelques années… (un peu plus de 120 ans )
Comment fonctionnera le filtre anti-arnaque en ligne promis par Emmanuel Macron
18/03/2022
Le 18/03/2022 à 14h 39
Ca ne marche même pas, puisque :
Et même si ça marchait, le site cible, s’il contient une URL qui utilise son nom de domaine (par exemple http://mon.site.fr/mentions-legales) va renvoyer vers… le site d’avertissement puisque son nom de domaine est résolu vers le serveur d’avertissement !
On est d’accord. Et un MitM gérer par un Etat (qu’il soit démocratique ou non), c’est une très mauvaise idée.
Le 18/03/2022 à 13h 45
Ca ne marchera pas non plus. DNS et HTTP/S sont deux protocoles différents qui n’ont rien à voir.
Un CNAME, au niveau du DNS va juste dire que l’adresse IP associée à X est la même que l’adresse IP associée à Y (qui potentiellement est la même que l’adresse IP associée Z et ainsi de suite).
Grosso modo, quand dans un navigateur tu souhaites accéder à un site, le navigateur utilise HTTP pour communiquer avec le serveur. Mais avant de pouvoir communiquer avec le serveur, il a besoin de connaitre l’adresse IP du serveur (et c’est là que rentre en jeu le DNS).
La requête DNS est faite sans contexte (on sait qu’on recherche l’adresse d’un hôte, mais on ne sait pas pourquoi, cela peut être pour du mail, de la navigation web, une connexion SSH, un SMTP etc…). Et le résultat est mis en cache (le protocole DNS définie des durées de vie pour les enregistrements).
Donc la seule “possibilité” que je vois, ce serait d’avoir un navigateur qui procéderait lui-même à la résolution (sans la déléguer à l’OS) et qui ferait ce travail :
Mais cela nécessite donc une adaptation des navigateurs (qui me semble illusoire).
Ou alors il faudrait définir des enregistrements au niveau des DNS (genre un TXT) permettant de dire attention, pour un premier accès, il faut aller par ici et non par là.
Mais là encore, une adaptation des navigateurs est nécessaire, sans parler du risque qu’il pourrait y avoir pour la sécurité.
Et sans compter que la sécurisation des DNS (DNSSec, DNS over HTTPS, etc…) feraient de toutes façon tomber tout cela à l’eau…
Le 18/03/2022 à 09h 35
Non, ça ne marche pas, car il faut dans ce cas là modifier le lien d’origine. Ici, on parle quand même de mettre en place un DNS public pour faire un DNS menteur.
Sauf qu’avec un DNS menteur, tu rediriges TOUT le trafic d’un serveur à un autre, puisque le nom a été résolu vers le serveur X au lieu du serveur Y.
Du coup, une fois ça fait, comment rediriger vers le “bon” serveur, puisque l’idée n’est pas de bloquer mais d’afficher un message d’avertissement.
Le 18/03/2022 à 08h 17
J’avoue ne pas comprendre techniquement le cheminement.
Le DNS en lui-même ne permet pas l’affichage d’un message. Imaginons le site “super-arnaque.truc”.
Pour afficher un message, il faut :
Bref, sans me prononcer sur le fond, techniquement, je ne vois pas comment c’est faisable…
Meta écope d’une amende de 17 millions d’euros, infligée par la CNIL irlandaise
16/03/2022
Le 16/03/2022 à 14h 36
Le RGPD est entré en application à cette date, tout simplement ;) Avant, il n’était tout simplement pas opposable.
Le passe vaccinal est suspendu
14/03/2022
Le 14/03/2022 à 09h 39
Le prix de l’essence ?
Leviia : notre test de l’offre d’hébergement française et « écoresponsable »
09/03/2022
Le 11/03/2022 à 07h 37
Oui, tu l’indiques clairement, si modification il y a ;) La redistribution s’il n’y a pas eu de modification n’est pas obligatoire.
Tu peux le signaler au mainteneur du projet, mais c’est la seule action “légale” que tu puisses faire. Tu ne peux pas porter plainte pour violation de licence (seul le titulaire des droits peut le faire). C’était le sens de ma remarque.
Ce n’était pas mon intention. Ce n’est pas que cela ne te regarde pas, c’est que tu n’as simplement pas ton mot à dire, légalement parlant. Le principe du logiciel libre est d’accorder des droits à celui qui reçoit (pour l’AGPL, la clarification précise qu’il s’agit également des utilisateurs).
Le message auquel je répondais était assez péremptoire (il y a une violation, ils sont dans l’illégalité). Sauf que si tu n’es pas utilisateur, si tu n’as pas demandé les modifications expressément ou si elles ne t’ont pas été refusées, tu ne peux pas prétendre cela. Car la famille des licences GPL est claire la dessus : elle dit que les sources doivent être mises à disposition, mais elle ne précise pas comment. La mise en place d’un dépôt ou d’une archive en libre téléchargement est donc une possibilité, mais absolument pas une obligation.
Tu confonds moral (je considère le logiciel libre comme un bien commun) et légal (la licence). Les “cela devrait ainsi”, “je considère”, “c’est pas moral” etc… n’ont pas de place dans le domaine du respect des licences et de leur potentielle violation.
S’il y a des doutes, des incertitudes, des zones de flou, alors il faut faire évoluer la licence. C’est, par exemple, ce qui s’est passé avec la GPLv3 (pour lutter contre la tivoïsation) ou l’AGPL (pour inclure les utilisateurs d’un service comme étant des utilisateurs du logiciel sur lequel repose le service et donc rendre la licence opposable pour eux).
Mais ce n’est pas le cas ici. La licence est claire (AGPL). Si tu n’es pas utilisateur des services de Leviia, tu n’as légalement aucun moyen de faire respecter la licence (même en étant utilisateur d’ailleurs). La seule chose que tu puisses faire, c’est de contacter Nextcloud et leur dire que tu as des doutes (n’étant pas utilisateur, tu ne peux pas prouver que la licence a été violée). A eux d’étudier et d’y donner suite ou non et de prouver qu’il y a bien violation et d’agir en conséquence le cas échéant.
C’était le sens de ma remarque initiale (plus claire ainsi développée je l’espère)
Le 10/03/2022 à 22h 33
Ils n’ont pas l’obligation de diffuser “à tout va” les sources et les modifications. Ils ont l’obligation de le faire :
La configuration de l’application ne fait pas partie des modifications soumises à la licence (cf. la FAQ).
La mise au point d’un thème ne nécessite pas de modification de l’application : l’application les supporte nativement (installation d’un thème + configuration). Ce n’est donc pas, a priori, soumis à l’AGPL.
Crier de suite qu’ils violent la licence est un peu prématuré, surtout si tu n’es pas utilisateur de leur service (ils n’ont alors aucun compte à te rendre).
Pour terminer, si violation il y a, c’est à Nextcloud d’agir, car ce sont les seules à en avoir le droit.
Cédric O va rebooter ailleurs qu’en politique
09/03/2022
Le 09/03/2022 à 13h 23
Levée de fonds en préparation, INpact-Hardware sur Next INpact
02/03/2022
Le 07/03/2022 à 19h 13
Merci pour les infos
Le 07/03/2022 à 07h 55
Est-ce qu’on peut avoir plus d’information ? Pourquoi un déréférencement total si soudain ?
Copie privée : la redevance frappe aussi la surface occupée par le système d’exploitation
07/03/2022
Le 07/03/2022 à 15h 10
Je sais bien. Je ne dis pas que c’est impossible d’avoir de la musique sur une disquette. Mais ces formats (midi et mod) se limitent à de la musique synthétisée (grosso modo, on dit l’instrument, la note, la durée, etc…) et il n’y a pas de voix.
De plus, comme je le disais, les disquettes sont des supports qui ont disparu aujourd’hui (j’ai essayé il y a un an de trouver des supports neuf pour un besoin spécial d’un client, je n’ai pas réussi). En fait, le dernier constructeur a arrêté d’en produire au début des années 2010 !
Cela n’empêche pas pourtant Copie France de faire un barème sur ces supports complètement désuet et inaccessible aujourd’hui, ce qui, pour moi, démontre pleinement le côté rapace de cet organisme et du manque de sérieux dans leur réalisation.
Le 07/03/2022 à 12h 35
Roh, je l’ai même pas vu
Le 07/03/2022 à 11h 20
Il suffit de regarder les barèmes de la RCP pour se rendre compte que non, l’espace prit en compte est bien l’espace total, et non l’espace disponible. Sinon :
Et si tu penses encore que les études d’usages sont réalisées de manière correcte et impartiale, je veux bien une explication pour le barème sur les disquettes 3’1⁄4, support qui a disparu depuis des années et sur lequel il est quasi-impossible de mettre ne serait-ce qu’une musique au format MP3 !
Et les professionnels (non assujétis !) doivent payer la RCP avant de pouvoir espérer se faire rembourser (il faut le savoir qu’on la paie, qu’elle est remboursable ET il faut notamment une facture avec le montant de la RCP).
Je t’invite à vérifier toi-même ces points. Ce ne sont rien que des faits facilement vérifiable en allant sur le site de copie france.
Le 07/03/2022 à 10h 10
Non. Les disques dur interne pour PC ne sont pas (encore) assujetis à la RCP (sauf si j’ai loupé un épisode).
La justice ne fait qu’appliquer la loi. La loi précise capacité totale. Donc c’est capacité totale, quand bien même c’est complètement stupide, immorale ou injuste.
Second rapport du Giec sur le climat : « la situation s’est significativement aggravée »
01/03/2022
Le 03/03/2022 à 15h 31
Punaise, mais c’est quoi cette mauvaise fois ? PAC != échangeur de PAC. Une PAC peut très bien s’occuper de fournir toutes les calories pour chauffer un logement.
Traduction. Je ne sais pas te contrer donc je te fais une attaque ad hominem déguisé
A aucun moment je n’ai dis cela. Je te met au défis de me dire où. Depuis le début, je ne fais que répéter une chose et une seule : qu’un PAC et un puit canadien, c’est différent, et avec des usages différents.
Le puit canadien sert à préchauffer l’air, ce qui permet de réduire l’apport calorifique que doit apporter le système de chauffage. Point. Mais il ne permettra pas d’avoir une température de 20° ni même de l’eau chaude. Chose que peut t’apporter une PAC.
Je n’ai même jamais parlé d’argent. Juste un comparatif de consommation à un moment donné, mais qui ne prend absolument pas en compte un coût non négligeable : celui de l’installation et de l’entretien. Mais pareil, tu fais une fixette dessus.
Une fois encore, tu t’égares, cela n’a rien à voir avec le débat.
Non. Tu as un chauffage électrique. Mais ça, tu ne veux pas le comprendre. Tu ne vois qu’apport qualorifique, sans voire le rendement derrière.
Encore parti dans un délire… Et oui, une PAC peut se suffire à elle même. Mais comme tu sembles ne considérer que l’échangeur du PAC…
Bon allez, cette fois-ci stop. Entre les attaques et la mauvaise fois… je bloque (sinon, je vais encore perdre mon temps à répondre)
Le 03/03/2022 à 13h 37
Dit la personne ne comprenant pas :
Ben non. Il y a des raisons techniques. Ton logement peut ne pas être raccordé au gaz. Une PAC reviendra moins cher que le chauffage électrique. Et un puit canadien n’est pas toujours installable. Mais reste donc sur tes certitudes.
C’est bien le seul point où on est d’accord
Le 03/03/2022 à 10h 11
Que tu le veuilles ou non. Le type est important. Tu peux remplacer ta chaudière par une PAC. Tu ne peux pas le faire par un puit canadien. Ce n’est pas le même usage. Mais ça, tu refuses de le comprendre…
Le 02/03/2022 à 19h 57
Dernière fois, après j’arrête car on ne se comprend visiblement pas.
Les deux sont sources de chaleurs.
L’un peut servir de système de chauffage autonome, pas l’autre.
L’un repose sur la convection, l’autre sur un cycle thermodynamique.
L’un consomme très peu (une centaine de kWh/an) tandis que l’autre est beaucoup plus gourmand (facilement > 5000KWh/an mais reste bien en deçà d’un chauffage électrique).
Maintenant, quand tu dis (réflexion à laquelle je réagissais à la base) :
Je suis désolé, mais c’est faux. Une PAC n’est pas un puit canadien et un puit canadien n’est pas une PAC.
Bien évidemment que l’on tient compte de toutes les sources calorifiques lorsqu’on fait un diagnostique, mais cela ne veut pas dire que les sources sont interchangeables pour autant. Les assimilées n’a donc pas de sens.
Le 02/03/2022 à 15h 30
Règlementairement, je n’en sais rien. Physiquement, non. Ce ne sont pas les mêmes principes physiques en jeu, on n’utilise donc pas les mêmes calculs.
Je pensais bien évidemment support mécanique mobile. Il faut effectivement une surface de contact pour que les échanges de chaleurs se fassent
En thermodynamique, c’est déjà beaucoup !
Et ils n’ont pas le même usage. Un puit canadien seul ne permettra pas de chauffer une habitation (il faudra un autre dispositif). Une PAC oui. Assimiler les deux n’a donc pas de sens…
Le 02/03/2022 à 14h 06
Cela ne veut rien On n’est pas dans un état quantique ici…
Je serais tatillons, je dirai que ni l’existence, ni la non-existence de ce monde parallèle n’a pu être prouvé .
Plus sérieusement, PAC et puit canadien reposent sur des principes totalement différents. Il ne s’agit pas d’être dans deux mondes parallèles.
Et dire que c’est toi qui voulait me donner des leçons de physique de première…
Convection
La convection n’a pas besoin d’un support mécanique. Elle se fait naturellement. Elle peut toutefois être assisté à l’aide de ventilateurs. C’est pour cela aussi que les canalisations dans le sol doivent être assez longue, pour que les échanges de chaleur par convection aient le temps de se faire et que le sol puisse réchauffer l’air en hiver (ou le rafraichir en été).
Cela, contrairement aux PAC, qui transforme de l’énergie électrique en mouvement mécanique afin de produire les compressions/détentes nécessaires à son fonctionnement, selon un cycle bien défini (ton lien WTF justement).
Maintenant, si pour toi, cycle thermodynamique (PAC) et convection (puit canadien) c’est la même chose… alors là, tu vis dans un monde parallèle…
Le 02/03/2022 à 12h 58
Non. Fusion, condensation, sublimation, etc… sont des changements d’état. Le fluide est un état en tant que tel. Il n’y a pas de transition.
Certes, mais selon deux processus radicalement différents. Dire qu’un puit canadien est une PAC est un non sens.
Non. La convection implique un déplacement de fluide (dans le cas d’un puit canadien, de l’air). La compression/décompression joue sur la pression voire un changement d’état. Encore une fois, c’est radicalement différent.
Le 02/03/2022 à 12h 06
Non
Hein ? L’état fluide ne résulte absolument pas du circuit. C’est un “état” qui désigne généralement les liquides et les gaz.
L’air est un fluide. Point. Qu’importe qu’il soit “à l’air libre”, dans un puit canadien ou dans un PAC. Mais c’est sur qu’en ne lisant pas complètement ce que je dit…
Ce qui distingue une PAC d’un puit canadien, ce n’est pas l’usage d’un fluide, c’est le principe de fonctionnement, l’un en circuit ouvert, l’autre en circuit fermé ET avec compression/décompression.
Dans ce cas, qu’importe ce qu’il y a derrière. Un brasero au milieu du salon répond aussi parfaitement à ta définition ;)
La question à se poser est la suivante : PAC ou pas PAC, est-ce que la source de chaleur est présente ? Si oui, c’est naturel de l’utiliser, car cela ne fait qu’augmenter le rendement global. Si non, effectivement il ne faut pas. Il ne faut pas inverser cause et conséquence. On installe une PAC parce qu’il y a une source de chaleur, et non l’inverse.
Ce serait comme trier les déchets, mais uniquement ceux qui sont produit localement… Une fois que tu as un “déchet”, tu le traites, qu’importe sa provenance.
Le 02/03/2022 à 09h 45
Techniquement parlant, un puit canadien n’est pas une PAC. Un PAC est en circuit fermé et nécessite un fluide compressible.
Un puit canadien est en circuit ouvert et n’a pas de cycle de compression/décompression d’un fluide.
Memtest86+ revient
28/02/2022
Le 01/03/2022 à 07h 20
Chez Apple, oui Pour les MacBook Pro tout du moins (RAM soudée à la carte mère, disque dur soudé à la carte mère, carte graphique soudée à la carte mère)
Bon, ils ne sont sans doute pas les seuls malheureusement…
La conservation généralisée des données de connexion est contraire à la Constitution
25/02/2022
Le 27/02/2022 à 10h 46
C’est ça
Le 27/02/2022 à 08h 51
Tout à fait. Mais il faut que le SNI soit activé et surtout configuré aussi côté serveur (côté client, avec les navigateurs modernes, il l’est par défaut). Il y a de nombreux serveurs qui ne font pas cet effort, car tout simplement inutile. Il existe des alternatives (plusieurs adresse IP, plusieurs hosts dans le certificats, etc…).
[edit] j’ai quand même pris le temps de vérifier avant de dire des bêtises, et je dis des bêtises. Si effectivement, pour être utilisé, le SNI doit être activé et configuré par le serveur, le client l’envoi toujours, dès la première requête du handshake.
Donc, sur le principe, le nom de domaine fuite tout le temps, que le serveur utilise ou non SNI. J’étais persuadé que ce n’était que dans le cas où le serveur utilisait SNI