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2520 commentaires

Le 18/05/2018 à 07h 55

« Si la nouvelle gamme doit s’approcher ou même dépasser les 50 euros par mois, il lui faudra donc de solides arguments pour convaincre. »




On attend toujours la Freebox qui fait aussi le café. :troll:  Pour être moins cynique, j'imagine que la convergence fixe+mobile et les services domotique/IoT (internet des objets) sera l'occasion de faire payer plus cher les services Freebox (stratégie d'Orange notamment). Ce qui accompagnera la mort du triplay pour tous, concurrencé (lâchement?) par les AppleTV, SamsungTV, SonyTV (MolotovTV, Netflix,...),...     





PS: dommage, je me suis fait doublé sur la blague, mon commentaire devient moins drôle.

Le 18/05/2018 à 06h 21

Merci à qui ? Merci à tous. Merci à tout le monde. Salut à toiINpactien !

Le 18/05/2018 à 06h 14

C’est pas faux… malheureusement. J’imagine que l’intérêt pour les opérateurs mobile est surtout de racheter les smartphones encore en état de marche (au moins pour quelques composants) afin de grossir leur offre de mobiles reconditionnés (en partenariat avec des entreprises de recyclage). C’est déjà ça écologiquement parlant, et c’est un business florissant (et peut-être est-ce une façon de faire face à une obligation légale quelconque?).

Le 18/05/2018 à 06h 04







127.0.0.1 a écrit :



Les détenus auront donc plus de droit que les collégiens. Normal.





Oui, c’est même inscrit dans la loi : un enfant n’est responsable de quasiment rien dans sa vie et on l’enferme quand même à l’école. Alors qu’un détenu est enfermé justement parce qu’il est responsable de ses méfaits.


Le 17/05/2018 à 19h 39







Pazns a écrit :





Pourquoi cela devrait être à la charge du client ? Ou du FAI mais ça revient au même, les FAI cherchant avant tout à être rentable ?





Pourquoi un client final devrait subir un accès à qualité dégradée sur des services de streaming ? Personnellement, le jour où Free fait son “coming out” commercial à propos de ses conditions d’utilisation des services streaming hors Freebox (Netflix, Youtube, Vimeo, etc), j’envisagerais sérieusement d’étudier ses offres. Heureusement, Free annonce du changement dans quelques semaines, je verrais bien. 


Le 17/05/2018 à 19h 21

Un transporteur routier ne paie pas les routes, ce sont les impôts et taxes qui paient les routes (comme les rails de la SNCF, comme le réseau de RTE et Enedis, soit dit en passant). À l’inverse, un opérateur télécom ou postal (les colis - hors plis de correspondance) investit dans son réseau parce que c’est rentable (selon les principes d’une économie libérale dans laquelle on vit). 

Le 16/05/2018 à 10h 31

Les indices boursiers sont effrayants.

Le 16/05/2018 à 10h 15

Au-delà de la caricature de votre dernière phrase, les investissements sont financés pour partie par l’emprunt bancaire (Iliad/Free, pour sa part, se targue régulièrement de s’auto-financer plus largement que les 3 autres, mais Iliad ne fait pas exception pour autant). Donc oui, les 4 opérateurs font des bénéfices (sauf Bouygues Telecom pendant un ou deux ans et SFR qui a perdu plusieurs millions d’abonnés depuis sa fusion) mais ce n’est pas l’évolution de leur chiffre d’affaire qui déterminerait leurs investissements, fort heureusement.



Et surtout, oui, la faillite des 4 opérateurs (la banqueroute résulterait d’une infraction pénale) n’est certainement pas en jeu à l’heure actuelle (bien qu’un retour à 3 opérateurs a été fortement envisagé pendant 3 ans), mais le ralentissement des projets et des investissements dans la fibre FttH (de 2006 à 2014) et le non-respect des engagements de déploiement (notamment ceux de SFR entre 2014 et 2017) sont une réalité. Ce ne sont pas les 6,8 millions de prises raccordables à la fibre de Free et les 646000 clients FttH de Free au 31 mars 2018 qui peuvent convaincre du contraire.

Le 15/05/2018 à 22h 02







Radithor a écrit :



J’ajoute à ce que j’ai écrit plus haut que le forfait à 0 euros par mois est surtout un leurre marketing car il y a une condition et pas des moindres : adopter le combo freebox+freemobile





D’ailleurs, si ça se confirme que les offres OTT (AppleTV, SamsungTV, SonyTV, etc) prennent le dessus sur les offres triplay, la convergence fixe+mobile va certainement devenir la nouvelle priorité de ces chers opérateurs nationaux dans les années à venir… peut-être même dans les mois à venir, si les offres sans TV de Bouygues Telecom (nouvelles offres fixe avril 2018), de Red by SFR, de Sosh se généralisent (les services audiovisuels devenant des offres à part).


Le 15/05/2018 à 21h 50







carbier a écrit :





Le problème c’est que si ta base grandissante d’abonnés utilise toujours plus un réseau qui n’est pas développé en parallèle, forcément à un moment cela ne passe pas… Encore une fois cette méthode de développement, personne ne leur a imposé.





Même si c’est un problème en soi, il y a le réseau de SFR et d’Orange pour palier à la surcharge. Bouygues est dans le même cas qu’Iliad. Mais, oui, c’est un fait que Iliad ne dimensionne pas son infrastructure à la mesure de ses clients et ne subvient pas aux besoins de bande passante qu’exigent les services web qui font du streaming hors de la Freebox. Vous avez raison, c’est un choix (mauvais, s’il faut que je donne mon avis).







carbier a écrit :





Tout ceci a été leur choix et leur méthode de “bataille”… sauf qu’il s’agissait d’une vue à court terme pour gagner un max d’abonnés en un minimum de temps quitte à laisser de côté les investissements dans le fixe.







Comme je disais, Iliad aurait bien voulu la peau de Bouygues Telecom, sauf que ça ne s’est pas passé comme ça, et cela même si Free déclare régulièrement que ses tarifs sont viables et pérennes. Ce qui n’est pas forcément mensongé puisqu’un FAI comme Free ou Bouygues peuvent très bien compléter en cas de besoins, ici ou là et de temps à autres, leurs besoins en bande passante grâce aux réseaux de Orange et de Altice France. Mais comme vous dites, c’est la stratégie particulière de Iliad, et ça ne peut durer qu’un temps (sauf à espérer une concentration du marché des télécoms à 3 opérateurs en France, qui ne se fera visiblement pas).







carbier a écrit :



Personne n’a obligé Free à sortir un forfait à 0 euros sur le mobile.

Personne n’a obligé Free a être si offensif sur le prix de ses offres mobiles, baissant de fait l’ARPU de tout le secteur par effet boule de neige.







J’ajoute à ce que j’ai écrit plus haut que le forfait à 0 euros par mois est surtout un leurre marketing car il y a une condition et pas des moindres : adopter le combo freebox+freemobile


Le 15/05/2018 à 19h 30

J’ajouterais que (1-) Iliad/Free a tout de même développé un réseau mobile ces huit dernières années, raison principale de (2-) l’abandon (concertée avec les 3 autres opérateurs?) de ses projets dans la fibre FttH. Investissements dans la fibre FttH que Orange a, pour sa part, repris seulement à partir de 2014, date de la fusion Numericable-SFR (un hasard?). D’autre part, (3-) Bouygues Telecom n’a pas fusionné ni avec NC-SFR (2014-2015), ni avec Orange (2015-2016), obligeant Iliad à faire avec un marché divisé en 4 durablement, sans perspective d’un retour à 3 opérateurs, avec des offres Bouygues Telecom très offensives sur le fixe (raison de l’apparition de la Freebox mini 4K à 29,99€ par mois en 2015)

Le 15/05/2018 à 11h 48

Bien content que Free renonce aux ventes privées et assume enfin directement ses promotions sur son propre site web et ses propres boutiques. Et bien content d’une modification de la politique tarifaire de Free : comme quoi le prix unique a atteint ses limites, et visblement le “triplay” ne résistera pas bien longtemps aux nouvelles offres OTT (décodeurs “Over The Top”) AppleTV, SamsungTV, SonyTV, etc.

Le 15/05/2018 à 11h 38







brazomyna a écrit :



Les peerings ne sont manifestement pas le souci premier de ceux qui se barrent ; ça semble plus lié aux endroits où un concurrent a fibré (typiquement Orange qui y va à fond) et où Free ne propose encore que de l’ADSL.



Perso j’ai été fibré il y a quelques mois …





Perso, j’ai résilié mon abonnement Freebox en février 2012 pour souscrire l’offre “internet neutre, sans bridage” d’OVH, pas tellement parce que j’était mécontent de mes débits Free, plutôt pour connaître la sensation d’un accès “neutre” et sans services audiovisuels avec des centaines de chaînes incluses dont la plupart sont en langues étrangères. Ça faisait bizarre d’avoir toute la capacité de ma ligne ADSL à disposition pour streamer sur Youtube. Je peux dire aujourd’hui que je serais client SFR avant de redevenir client Freebox un jour.



NB: ceci n’est que ma modeste expérience passée qui ne saurait présager de l’avenir


Le 17/05/2018 à 15h 01







yvan a écrit :



Je t’arrête tout de suite c’est l’état, c’est hors RGPD, et ce n’est pas accessible aux curieux (ou vraiment pas facilement, je t’invite à essayer <img data-src=" />).







Oui, je répondais seulement à la question posée à Bloossom. Et je le redis : les fichiers de police ne sont suffisamment mis à jour et beaucoup trop de gens (fussent-ils assermentés policiers) ont trop librement accès aux données (souvent fausses) de n’importe qui. Et c’est un problème. Le fichier STIC est emblématique à ce sujet (cf les articles de Jean-Marc Manach). Je sais bien que la France tend à devenir un état policier et qu’il faudrait faire confiance aveuglement aux pouvoirs publics comme tout bon citoyen honnête, mais ça n’empêche pas la critique du système.


Le 17/05/2018 à 10h 19







yvan a écrit :



Tu as des exemples concrets de ça? De données accessibles par des curieux sur un SI public? Où? Quoi? Comment? Quand? …



L’exemple qui me vient en tête : les fichiers de police (fichier STIC au premier chef) rarement mis à jour et que tout agent de police peut consulter sans véritables contrôles. D’une manière générale, même si une collectivité locale ou l’État n’a pas les mêmes enjeux qu’une société commerciale ou une association loi 1901, et même s’il faut reconnaître une certaine loyauté consacrée par le statut de fonctionnaire envers les administrés et la chose publique, j’ai cru comprendre que le problème posé par les Sénateurs était moins la complexité de l’application du RGPD aux Collectivités locales que l’injustice financière des sanctions pécuniaires et le flou de leur application auprès des institutions publiques locales et de leurs sous-traitants (si j’ai bien compris le peu de débats que j’ai pu suivre).&nbsp;


Le 15/05/2018 à 14h 22







ytterbium a écrit :



Je ne vois pas en quoi on peut reprocher le sénat de saisir le conseil constitutionnel. Ce n’est visiblement pas de l’obstruction parlementaire, ils ont de vrais griefs, et personnellement, je préfère avoir une loi constitutionnelle qu’une loi qui sorte rapidement.



On peut reprocher certaines choses au sénat, mais ici, je ne vois pas.





Exactement. On peut regretter malheureusement que, pour l’Assemblée nationale actuelle, les droits fondamentaux semblent moins concrets que le principe de réalité : « Les droits fondamentaux, ça n’est pas dans l’éther. Les droits fondamentaux c’est sur les trottoirs du boulevard de la Villette ! » Jacques Toubon (Défenseur des Droits) devant les députés, le 11 avril 2018


Le 17/05/2018 à 13h 35







Mihashi a écrit :






 Quand c'est juste un classement à faire, les algorithmes sont plus performants et plus objectifs qu'un choix manuel…       

Et ils n'empêchent absolument pas une intervention manuelle en cas de besoin.








 Oui, et il me semble que les sénateurs ne disent pas le contraire. Lire le 1er paragraphe de la dernière partie de l'article : «&nbsp;Dans le flot, remarquons également la question de l'automatisation intégrale des décisions administratives individuelles, dont l'encadrement est là encore jugé trop flou, et donc susceptible d'abus. »

Le 17/05/2018 à 05h 48

Bien sûr, et la justice se rendra par algorithme certainement un jour, mais pas dans un proche avenir. Non, un algorithme n’est certainement pas capable d’entendre les arguments d’un administré. Sinon en cas d’erreur, vous proposez quoi ? Faire comme Uber avec ses véhicules autonomes ? “C’est la faute au concepteur, on vient de modifier l’algorithme. Tout va bien maintenant, voilà votre dédommagement, au revoir monsieur.” ??

Le 17/05/2018 à 05h 33







tifounon a écrit :



Donc avec une décision par un humain derrière chaque procédure ?? vla le bordel et la latence dans le rendu des décisions <img data-src=" />









digiac a écrit :



Il faut surtout qu’ils puissent conserver leur droit à faire du copinage et du retour de faveur…





Sinon, pour aller plus vite encore, il y a d’autres solutions : on supprime le choix individuel. La démocratie, c’est tellement lénifiant.&nbsp;<img data-src=" />


Le 16/05/2018 à 20h 04

Les Sénateurs veulent seulement dire qu’une décision automatisée n’est pas un processus administratif valable. Une décision administrative est forcément individualisée et prend en compte le contexte.

Le 16/05/2018 à 19h 16

Je rêve ou les Sénateurs remettent en cause l’organisation même de la CNIL (président et formation restreinte) ? (pages 6 et 7) D’une manière générale, je ne m’attendais pas à autant de remarques adressées au Conseil constitutionnel.

Le 17/05/2018 à 09h 35

“Windows 10 as a service” as a service.

Le 17/05/2018 à 09h 34

SFR récupère les abonnés que Free lui avait pris ?&nbsp;<img data-src=" />

Le 17/05/2018 à 09h 06

Avec le fameux accident de Tom Cruise inclus dans le film, et dans la bande-annonce (index 1:30 de la vidéo).

Le 17/05/2018 à 08h 50

C’est plus facile pour le FAI de mettre un terminal chez le client sur lequel un technicien pourra faire de la télémaintenance plutôt que de devoir s’occuper de centaines de profils d’installations différents. Pour faire une analogie, on ne demande pas à un hypermarché de faire du conseil clientèle personnalisé, c’est du libre-service standardisé. Si on veut de la personnalisation, on va à l’épicerie fine ou à l’épicerie bio : FDN Nerim OVH etc.&nbsp;

Le 16/05/2018 à 21h 16

C’est seulement un problème d’affichage de prix. Les FAI sont libre de facturer la location d’une box ou de ne fournir que le service sans box ou modem.

Le 16/05/2018 à 18h 52

si la téléphonie est présentée comme intégrée à l’offre, la location de la box devrait logiquement être intégrée au prix total.

Le 16/05/2018 à 15h 19

Je ne veux pas être complotiste, mais c’est pas impossible…&nbsp;&nbsp;<img data-src=" />

Le 16/05/2018 à 15h 14







Radithor a écrit :



ou un CGTiste qui a voulu lutter contre la privatisation de la SNCF en participant à la convergence des luttes.





… un peu comme des agents Enedis qui sabotent le réseau.


Le 16/05/2018 à 15h 04







tazvld a écrit :



Encore un stagiaire qui s’est prit les pied dans le câble je parie.





ou un CGTiste qui a voulu lutter contre la privatisation de la SNCF en participant à la convergence des luttes.


Le 16/05/2018 à 14h 33

J’adore la réponse de Free (2e paragraphe de la 1ère partie), genre “c’est pas notre problème, nos clients sont patients, ils ont l’habitude: c’est la faute à Orange et à SFR”. Forcément, quand Iliad s’interconnecte avec un autre réseau, c’est la faute du réseau tiers, comme d’hab’.

Le 15/05/2018 à 20h 37

On sent que 4G BOX fait le kéké parce que Bouygues prend enfin des clients fixe à Iliad alors qu’Iliad aurait bien aimé que Bouygues Telecom finisse comme AOL et Wordonline. Mais si c’est pour faire le même type de commentaires que les freefanboys qui dénigraient Bouygues Telecom en 2014-2017, ce serait dommage pour l’image de marque de votre fournisseur-fétiche : ne soyez pas aussi bête qu’un CGTiste à vouloir constamment dénigrer le voisin, sinon vous prenez le risque non négligeable de mettre en péril la marque commerciale que vous tentez de défendre.

Le 15/05/2018 à 12h 26

ça bouge enfin chez Iliad… même si Maxime Lombardini (ancien de TF1 et de TPS) en tant que Président du CA n’est peut-être pas une si bonne nouvelle que ça. Toujours est-il qu’il ne sera plus le CEO (le directeur général), ça présage peut-être (enfin!) la fin du “triplay” Freebox pour tous ?

Le 15/05/2018 à 08h 50

Enfin! La disruption des offres triplay.

Le 15/05/2018 à 07h 48







Transistance a écrit :





Croire que jouer aux jeux vidéo fait de n’importe qui un fin stratège militaire ou&nbsp; un guerrier assoiffé de sang c’est un sacré raccourci!





Heureusement quand même que GTA V et Call of Duty sont estampillés “PEGI 18”.&nbsp; Jouer à ces jeux vidéos là n’est pas anodin non plus.


Le 14/05/2018 à 09h 30

la question n’est pas d’aimer ou pas des jeux vidéos violents (avec des armes à feu, du sang, etc). La question est : à quel public s’adresse ce genre de jeux vidéos ? Dans quelles circonstances sont utilisés ces jeux ? et ceci afin d’éviter que des publics sensibles y aient accès (surtout hors la présence d’un adulte responsable).

Le 14/05/2018 à 09h 22

J’adore cette caricature qui confine l’interlocuteur dans la pudibonderie. Une scène de sexe&nbsp; peut être violente pour un enfant (surtout dans une pérégrination solitaire dans le web). Ce n’est pas parce qu’on s’intéresse à un sujet que les autres sont ignorés.

Le 14/05/2018 à 16h 37

Twitter? à part les journalistes, les émissions de TV-radio, les services clients de gros fournisseurs de services, les personnalités du cinéma et du spectacles, c’est clair qu’il n’y a rien de bien intéressant : il reste les quidams comme moi, les militants de tout poil qui partent à l’assaut en hordes de combat contre les impies qui ont “fauté”, les partis politiques qui fustigent le Président de la République/le Gouvernement en place ou qui le défendent, le marketing2.0 des marques commerciales qui racontent des choses infantilisantes à leurs “fans”, sans oublier les tweetos qui s’insultent pour un désaccord anodin (mais là c’est un comportement généralisé dans le web2.0), etc.

Le 13/05/2018 à 11h 35

OK peut-être que les grands médias ne développeront pas eux-mêmes des plateformes, mais comme le mail, ils pourraient (facilement?) trouver un prestataire avec des solutions clés en main plutôt que d’utiliser des services de médias sociaux sur le mode de partenariats commerciaux (sur le mode TF1/“NRJ music awards” ou TF1/FAI) avec tout ce que ça implique. Mais j’imagine que cela exige de dépasser le simple aspect marketing de partage d’audience entre médias et un engagement populaire pour les plateformes décentralisées (le phénomène “boule de neige” du succès d’audience qui entraine les revenus publicitaires, et les mêmes revenus publicitaires qui entrainent les investissements logistiques, financiers, etc, sur le long terme).

Le 14/05/2018 à 10h 07

ça me fait penser à la régie publicitaire de la RATP qui a notamment interdit des campagnes d’affichage de Saez. Il faut bien protéger ses propres valeurs… Tant que l’artiste s’en sert pour sa propre promo, c’est de bonne guerre.

Le 14/05/2018 à 09h 20

Alors, pouvez-vous préciser quel est l’intérêt de GoogleNews pour Google ?&nbsp;

Le 14/05/2018 à 08h 47

Si j’ai bien compris, ce qu’espèrent les États-membres favorables à la création d’un droit voisin en faveur de la presse en ligne, c’est d’avoir un dispositif à l’échelle européenne capable de faire front dans les négociations avec les Google/Facebook/etc. Par exemple, Google peut fermer GoogleNews dans un ou deux États, mais est-ce que le manque à gagner sur l’ensemble de l’Union européenne n’obligera pas Google à conserver son service d’actus et à collaborer au “partage de la valeur” (comme ils disent) ?

Le 14/05/2018 à 09h 00







Romaindu83 a écrit :






 Bientôt, des milices de technophiles se créeront, afin de venir achever la vie de ces personnes à coups de machettes...       

...








Avec des Taser plutôt, parce que les machettes ça fait du sang et ce n'est pas aseptisé.&nbsp;:D&nbsp; Plus sérieusement, je connais moi-même ce problème quand je critique les algorithmes des services en ligne et leur capacité à réduire drastiquement le libre-arbitre de l'utilisateur (je suis plutôt contre les algorithmes sans transparence de leur fonctionnement réel à chaque instant). Mais peut-être que je m'exprime mal en commentaires, car j'utilise le mot "censure" et l'imaginaire collectif du web 2.0 a l'air de donner à ce mot une définition absolue et très négative (et il faut dire qu'on vit actuellement dans une époque de retour de la morale collective : "le XXIe Siècle sera spirituel/mystique/religieux ou ne sera pas").

Le 13/05/2018 à 16h 48







SebGF a écrit :



Les chances de cette dichotomie se produise pour un véhicule autonome sont quasi nulles.



 Dans le cas d'Uber, leur système est juste codé avec le cul et n'a pas su interpréter ce que le Lidar lui a envoyé. La logique aurait voulu qu'en cas de doute, le système prenne la choix le plus sécurisé : ralentir, voire s'arrêter.        

(...)

Après, la logique des choses voudrait que les véhicules autonomes soient dans la même optique que les métros : faire en sorte que les couloirs de circulation soient le moins sujet possible aux aléas.

Si les voies de métro autonomes sont inaccessibles, c'est pas pour rien :D

Si les lignes de TGV n'ont pas de passage à niveau et qu'elles sont grillagées, pareil :D

(...)








 Et en plus, le conducteur humain d'un véhicule autonome est sensé reprendre le contrôle du véhicule en cas de problème. Dans ce contexte un véhicule autonome expérimental ne devrait pas pouvoir circuler à plus de 30-40 km/h afin de limiter l'éventualité d'un choc et les conséquences d'un choc (hors voies rapides/autoroutes sécurisées).

Le 13/05/2018 à 16h 32







OlivierJ a écrit :



Je ne connais pas la référence sur Free et la VoIP, de quoi s’agit-il ?





Appels : l’Arcep accorde une interconnexion IPv4 à Orange face à Free


Le 13/05/2018 à 14h 15

Comme on dit souvent : un algorithme n’est pas neutre. Une décision d’algorithme dépend à la fois de son programmeur (le constructeur du véhicule), à la fois des paramétrages de l’utilisateur (le conducteur humain du véhicule autonome). Et en vertu des règles pénales en France, comme on dit aussi souvent : “Nul n’est sensé ignoré la loi”. Donc la responsabilité pénale du constructeur et celle du conducteur sont de toutes manières engagées en cas de circulation sur la voie publique (après validation des autorités compétentes pour décider de la mise en circulation d’un tel dispositif automatisé sur un véhicule).

Le 13/05/2018 à 11h 09

Cela-dit, oui je suis très critique à propos de la Société suédoise actuelle et vis-à-vis de l’hégémonie culturelle des États-unis. C’est mon droit, ça ne fait pas de moi un anti-quelque-chose ou un réactionnaire pour autant. Merci d’en tenir compte si vous souhaitez que je continue à garder un intérêt pour votre opinion (je m’adresse à toute personne qui souhaiterait réagir à mes propos).

Le 13/05/2018 à 10h 57







Cqoicebordel a écrit :



… L’artiste sera toujours disponible. Il choisit juste de ne plus le mettre en avant parce que ça contredit leurs morales (et celles du monde entier).

Spotify n’impose rien, ne bloque rien. Ce n’est donc pas de la censure.





Vu que Spotify fonctionne quasi-exclusivement grâce aux recommandation de ses algorithmes, désolé, c’est de la censure morale. Et je ne dis pas ça parce que je serais anti-féministe (ou tout autre qualificatif qui vous viendrait à l’esprit), je dis ça en relation avec le fait que Spotify fonctionne sur la base d’algorithmes dont cette société vante les mérites pour satisfaire ses clients. Or, selon moi, ces algorithmes sont une plaie pour la liberté de choix des abonnés, et pour le libre-arbitre culturel. Cette censure (qui n’est pas une censure d’après vous, car ce mot vous semble trop fort) est une illustration supplémentaire que les algorithmes sont une plaie pour le libre-arbitre des individus, transformés en simples consommateurs infantilisés.


Le 13/05/2018 à 10h 46







Cqoicebordel a écrit :



Uh ?! Être violent avec les femmes c’est un choix artistique ?! Ne pas être violent avec les femmes c’est juste un truc pour les protestante féministe de Suède ?!



Encore une fois, Spotify n’impose rien. L’artiste sera toujours disponible. Il choisit juste de ne plus le mettre en avant parce que ça contredit leurs morales (et celles du monde entier).

Spotify n’impose rien, ne bloque rien. Ce n’est donc pas de la censure.





Nous y voilà… J’adore ce moment où mon interlocuteur caricature ce que j’exprime au lieu de me demander de préciser ma pensée. Au-delà de ça, j’ajouterais que l’éthique n’est pas impossible dans le commerce : le bio, le commerce équitable, les commerces végans, par exemples. À la différence de Spotify ou de Facebook, les gens qui fréquentent ce genre de commerce, y vont pour ça expressément, c’est un choix individuel de leur part, contrairement à Spotify qui est un distributeur généraliste (en tout cas, jusqu’à maintenant).


Le 13/05/2018 à 10h 37

Moi qui pensait que les réseaux mobiles étaient l’apanage de Huawei…