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francois-battail

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867 commentaires

Le 07/02/2014 à 15h 44







Reznor26 a écrit :



Globalement, l’explication se tient.







Qu’il puisse y avoir une partie protégée sur un site et une partie publique surtout quand c’est une émanation de l’état n’est pas franchement une grande nouveauté. De là à distinguer l’aspect protégé d’un document quand on dispose d’un lien direct…



Maintenant - pour rigoler un peu - c’est manifestement un défaut de sécurisation de documents protégés (d’ailleurs la qualification de vol est curieuse et non juridiquement justifiée), c’est en quelque sorte du reverse HADOPI mais curieusement le coupable au final, c’est toujours le plus faible.


Le 27/01/2014 à 14h 28

La taxe sur la tabac est un grand classique puisque c’est une proposition de projet de loi (PPL), or (de mémoire) l’article 40 du règlement de l’Assemblée prévoit qu’une PPL ne peut pas engager des dépenses sans qu’un gage soit prévu. Celui-ci est généralement pris sur le tabac, plus rarement sur l’alcool, et ce gage peut être levé par le gouvernement.



Donc c’est juste une recette de cuisine parlementaire qui prévoit que dans le cas d’une PPL un gage doit être mentionné et c’est en écrasante majorité que l’article 575 du code général de impôts (tabacs) est pris en otage. Maintenant c’est une bonne nouvelle pour PCi mais même si le prix du tabac continuera à augmenter ce n’est pour autant qu’il servira à « compenser » ce taux réduit de TVA. Juste mes 2 ¢ mais le tabac est très accessoire dans le titre de l’article.

Le 06/01/2014 à 20h 08







charon.G a écrit :



[…]Du coup tu n’as pas de context switch. Les api systèmes sont de simples routines d’appels.[…]







C’est inexact. Tu veux dire qu’il n’y pas besoin de transition Ring 3 -> Ring 0 pour des system calls et de séparation user / system. Néanmoins la commutation de contexte lors de l’ordonnancement des tâches est toujours d’actualité vu que j’imagine que c’est toujours un système préemptif et non pas coopératif.







charon.G a écrit :



[…]Je sais qu’il est globalement deux fois plus rapide que Windows voir plus. je sais que tu ne me croiras pas.[…]







Si on élimine la recopie user / système et le coût des changements de privilèges lors des system calls c’est vraisemblable, du moins pour certaines applications (typiquement un serveur qui passe son temps à faire des I/O).

Néanmoins l’approche choisie (protéger le système du développeur) semble séduisante mais n’empêche pas des erreurs de plus haut niveau (voir l’incident de l’A380 Qantas) malgré un environnement logiciel supposé être valide.


Le 06/01/2014 à 19h 37







charon.G a écrit :



Ce que tu interprètes plutôt, il dit clairement insinue que les destructions sont pourraient être déterministes.







Il y a le mot « aggressively » qui laisse penser à une optimisation « on the edge » mais pour le moment on est en plein « vaporware » faute d’information détaillée.


Le 06/01/2014 à 19h 25







Sebdraluorg a écrit :



EDIT, en plus on ne fait pas les mêmes chose en C et en C++/M#, ou alors on change de métier ;-)







Justement on est bien d’accord, je me place exclusivement dans l’optique système comme réaliser les changements de contexte, manipuler le hard, etc. Un langage managé est inutilisable en l’espèce et de plus des contraintes matérielles rendent impensables de devoir caser un framework de taille monstrueuse.


Le 06/01/2014 à 19h 16







charon.G a écrit :



[…]







Merci d’avoir cité le passage sur le GC mais je le comprends comme une optimisation qui permet de déceler plus de cas ou la désallocation peut être automatique et implicite que comme un système véritablement déterministe (c’est à dire de pouvoir borner la consommation mémoire quel que soit la branche de code exécuté).

Et sinon pour le lifetime understanding il y a un vieux truc très utilisé en embarqué ça s’appelle un pool et là on est complètement déterministe.


Le 06/01/2014 à 19h 02







charon.G a écrit :



Pour le gc tu devrais lire le billet de joe duffy ils ont fait un gc deterministe.







Je ne suis pas certain d’avoir lu le bon billet, mais le jour où ce sera conforme à DO-178A on aura l’occasion d’en reparler.







Sebdraluorg a écrit :



La philosophie n’a pas sa place en entreprise… <img data-src=" />







J’attends avec impatience du Midori sur des micro-contrôleurs 8 ou 16 bits… mais pour le moment le C et l’assembleur (et pas le C++) pour du système ça convient parfaitement, après utiliser une couche d’abstraction en managé pour une interface graphique et des APIs pourquoi pas mais là on est au niveau de l’applicatif.


Le 06/01/2014 à 18h 32







charon.G a écrit :



J’ai argumenté au dessus ce qui n’est pas ton cas . […]







C’est vrai. Mettre un garbage collector dans un système élimine toute application temps réel vu que ce n’est plus déterministe, ensuite un langage managé est absolument inutilisable pour du code système vu que nécessairement il faut du « code sale » pour travailler au niveau du hard. Ce « code sale » (natif) sera signé Microsoft et enlèvera toute possibilité à des développeurs tiers de développer des choses un peu tricky sans passer par un circuit de certification Microsoft.

Ça fait plus de 25 ans que je vois passer des trucs où on cherche à protéger le système du développeur, quand - comme moi - on a fait pas mal de système il est difficile de prendre ça au sérieux.


Le 06/01/2014 à 18h 04







charon.G a écrit :



Il a les avantages des langages manages et les performances des langages natifs <img data-src=" />







<img data-src=" /> code système sous un langage managé le tout avec un garbage collector ! Le C n’est pas prêt de prendre sa retraite.

M c’est pour marronnier ? Le super langage qui va tout révolutionner c’est un peu lassant à force surtout quand ça prétend être en mesure de faire du système.


Le 18/11/2013 à 18h 39







Freb a écrit :



Ce n’est pas de la pollution législative mais de l’action politique.







Un oxymore se cache dans cette phrase… Sérieusement les dégâts de ce genre d’amendements, éventuellement sous-amendés, peuvent être dévastateurs et en cas d’adoption ils restent contrairement à une position la com’ d’un gouvernement.



Ce genre de moyen « d’action » est minable et revient à prendre en otage la législation, normalement il y a les questions au gouvernement pour ça (et en plus ça passe même à la télé).


Le 18/11/2013 à 17h 27

Démagogie ou incompétence ? Cet amendement est stupide et ne va servir qu’à alourdir encore un peu plus la loi. Le logiciel (libre ou pas) est sous le régime du droit d’auteur. Dans le cas d’une licence libre, celle-ci octroie plus de droits, à l’initiative de l’auteur, pour l’utilisateur que ce qui est prévu par la loi. Donc, la contrefaçon s’applique pleinement et naturellement au logiciel libre ce qui était l’objectif initial et le socle fondamental du libre pour qu’il puisse se développer en toute légalité.



Bref, encore de la pollution législative à venir.

Le 07/11/2013 à 16h 40







yl a écrit :



Totalement à l’ouest la mémère! Blocage via le navigateur, MDR, qui irait installer sa liste blanche “MIQ ta mère”? Elle rêve éveillée là!!!







Encore, il y a une vague couche technique, même si pour ce genre de personne le droit est supposé être plus fort que la technique. Imaginons le même rapport mais version CSA <img data-src=" />


Le 17/09/2013 à 20h 54







brazomyna a écrit :



Souvent, quand on met ça avec dans la balance, il est plus aisé, plus rapide et moins coûteux de commander quelques serveurs en plus pour absorber la charge désirée.







Si l’architecture est bien conçue… ce qui est rarement le cas quand on se retrouve dans ce genre de situation d’où le recours à des bricolages ou à des services externes.

Passer d’Apache à nginx n’est pas très dur et on peut observer immédiatement un gain de performances spectaculaire, maintenant il y a aussi les contraintes imposées par l’entreprise qui entrent en compte.



Un informaticien peut en très peu de temps (mettons une journée de plate-forme de test) mettre en front-end nginx pour qu’il serve de reverse proxy sur un Apache pour le dynamique mais servir le contenu statique directement donc le coût est ridicule par rapport au gain sans compter qu’il est possible après d’élaborer de nouvelle pistes d’optimisations sur une base saine.



PS à l’équipe PCi : <img data-src=" /> l’autorefresh c’est très chiant surtout quand on essaye de taper un commentaire.


Le 17/09/2013 à 17h 32







gounzor a écrit :



Bah j’ai déjà fait tout ça pour mon site, mais ce qui est décisif ça a été de passer a nginx en reverse proxy :-) le nombre de requetes secondes a été multiplié par 4 à ce aue je me souviens :-)







Avec nginx, gzip, SSI, php-fpm, memcached, le couple LUA / redis on peut avec un peu d’astuce atteindre les 15000 / 20000 requêtes dynamiques par seconde sur un quad-core. Mais bon ce service s’adresse probablement aux sociétés qui ont un historique et qui sont restées dans l’époque préhistorique.



Effectivement, nginx en reverse proxy pour le dynamique et en direct pour le statique ça fait une différence sensible mais quand on utilise toutes les subtilités ça déchire plus encore. Nginx : <img data-src=" />


Le 12/09/2013 à 09h 08

MIQ a inversé l’ordre des alinéas de l’article 27 de la Déclaration des droits de l’Homme, c’est pas bien !

Le 12/09/2013 à 09h 02

À nouveau up.

Le 12/09/2013 à 08h 55

Couic. C’est le CSA qui a coupé au moment où ça devenait palpitant ? MFM : « interrogeons nous sur la possibilité d’un transfert des missions en l’état… »

Le 22/08/2013 à 08h 31

Dans certains pays (Canada je crois) une activité ponctuelle ou régulière est plafonnée à 100000$ / an et rien d’autre à faire que de réaliser des factures identifiant clairement la nature des prestations et de déclarer les sommes gagnées sur sa déclaration de revenus une fois par an.



Même pas besoin de créer une entreprise individuelle ! Ça doit être trop simple pour pouvoir être fait en France.

Le 21/08/2013 à 19h 22

Selon Le Figaro l’AFP une demande de grâce complète ou partielle sera déposée par son avocat auprès d’Obama.

Le 21/08/2013 à 09h 43







Danytime a écrit :



Ça ne sert à rien, parce qu’ils peuvent très bien envoyer un ninja drone pour t’espionner.







<img data-src=" />



Félicitation pour le sous-titre même si l’information n’est pas franchement agréable. Pamela a fait un travail immense et superbe pour dégager le patent troll SCO et ses commanditaires amis. Ça donne vraiment l’impression qu’un pan entier d’Internet vient de s’écrouler.


Le 29/07/2013 à 12h 21







Zef a écrit :



En effet, quelles solutions avez-vous ? Parce que si la loi ne précise pas un délai de réponse, qu’est-ce qui les empêche de répondre dans 5 ans ?







Tribunal administratif, donc un délai prévisible de 12 - 18 mois, c’est pourquoi Marc fait - je suppose - du « matraquage » à raison pour éviter de passer par cette case.


Le 24/07/2013 à 16h 25







brichmarsa a écrit :



En attendant, je devais acheter un NAS pour ma PME et j’attends car hors de question de leur donner cet argent. Combien de boites dans mon cas en France ?







C’est simple : acheter un NAS sans disque et des disques internes à part auquel cas il n’y a pas de redevance copie privée exigible.


Le 18/07/2013 à 14h 32







John Shaft a écrit :



Tiens on a un concept de rencontre INpactienne là : prendre rendez-vous à plusieurs le même jour avec le mini-cul pour la consultation des documents <img data-src=" />







<img data-src=" /> Sinon c’est pas drôle, +1 pour l’idée


Le 16/07/2013 à 15h 01

En fait c’est pour développer le service à la personne. Derrière chaque personne : un avocat. Un ligne de code écrite entraîne une vérification dans les différentes bases de brevets par le professionnel du droit (attention, la productivité va chuter). Pour consulter une page Web, il faut nécessairement une analyse juridique préalable.



Bienvenu au 21ème siècle <img data-src=" />

Le 16/07/2013 à 10h 06







monpci a écrit :



que dire de ceci ?

http://www.dailymotion.com/video/xjkqkw_sable-et-soleil-au-service-de-l-impressi…



C’est sans doute des chose comme ceci qui sème la confusion







C’est bien additif puisque le sable non exposé est récupéré pour faire la couche suivante, mais effectivement ça prête à confusion.


Le 16/07/2013 à 09h 59







cesame a écrit :



Ouais, j’imagine les plaquettes/disques de frein produits avec une imprimante 3D.

J’imagine aussi la tête du mec qui qui les testera. <img data-src=" />

C’est pas demain que les imprimantes 3D remplaceront les pièces usinées dans l’acier.







Airbus expérimente une imprimante 3D qui fabrique des pièces aéronautiques en titane… Le principe de l’impression 3D ne se limite pas à faire fondre du plastique, c’est beaucoup utilisé en industrie pour le prototypage, mais également envisagé très sérieusement pour la production.


Le 16/07/2013 à 09h 50







Koxinga22 a écrit :



Il me semble que les imprimante 3D partent d’un bloc pour en retrancher tout ce qui est superflu dans l’objet à imprimer.







Non, tout au contraire c’est un processus additif et non pas soustractif : la pièce est construite par superposition de très fines couches d’un matériau. Cela permet de réaliser des pièces inaccessibles aux fraiseuses et aux tours.


Le 16/07/2013 à 07h 57







MarcRees a écrit :



C’est plutôt la mise à disposition publique qui sera pointée du doigt.







Sauf que par définition un brevet est public…


Le 16/07/2013 à 07h 37

Serait-ce un délit ? L’article L.613-5 CPI dispose que :





Article L613-5

Les droits conférés par le brevet ne s’étendent pas :

a) Aux actes accomplis dans un cadre privé et à des fins non commerciales ;

b) Aux actes accomplis à titre expérimental qui portent sur l’objet de l’invention brevetée ;

(…)





À mon humble avis, juridiquement, c’est loin d’être tranché. En revanche, quel progrès (en fait ça existait déjà il y a trente ans, du temps où il y a avait des réparateurs et l’obligation de publier les plans - du moins pour l’électronique) !

Le 11/07/2013 à 15h 31







gaten a écrit :



Le racket continu.



Obliger toutes les entreprises à revoir leur logiciel de facturation pour gérer le cas “copie privée”. Quel scandale !



Quel serait le coût global de cette modification improductive ? A-t-on vraiment autant d’argent à jeter par les fenêtres en ces temps de crise ?







2014 : changement du taux de TVA (de 19,6% à 20%)

2015 : facturation de la TVA au taux du pays de l’acheteur et non plus au taux du pays du vendeur



Ce genre de blagues (surtout en vue de 2015) ça va coûter très cher aux entreprises. Mais bon pour la redevance copie privée qui n’est pas due par les professionnels la solution la plus simple reste l’achat à l’étranger, dans les pays où cette redevance n’existe pas.


Le 02/07/2013 à 15h 34

Hum… les SPRD ont une mission d’utilité publique or :





(…) mais ausi les organismes privés chargés d’une mission de service public. Pour ces derniers la loi s’applique aux documents qui sont liés, par leur nature, leur objet, ou leur utilisation à la gestion de cette mission.





Dixit la CADA.

Il y a peut être une subtilité entre « mission d’utilité publique » et « mission de service public », mais si la CADA reconnaît que l’accès à ces documents est bien public, il devrait être possible de les obtenir à la source en faisant la tournée des SPRD et dans un format numérique selon le choix du demandeur <img data-src=" />

Le 02/07/2013 à 14h 16

Une ligne à bien examiner, en particulier pour la SACEM, c’est : frais de représentation, si c’est comme il y a 15 ans ça ne devrait pas être triste… sympa de savoir que ce sont les artistes et le public qui paient les petit fours entre autres choses…

Le 01/07/2013 à 17h 23







_fefe_ a écrit :



Ils vont facturer la numérisation ; rien que pour payer le devis, PCI devra lancer une souscription.

C’est quand même désolant, an tant que contribuable, de toujours voir les mêmes procédés qui contredisent les belles déclarations d’intention…







<img data-src=" /> Ils vont facturer 2,75 € le CD-Rom et Marc demandera une facture faisant apparaître le montant de la redevance copie privée en vue d’une prochaine tentative de remboursement de PCi par Copie-France <img data-src=" />


Le 01/07/2013 à 16h 20







MarcRees a écrit :



Patience :)







J’étais sûr de ta réponse et effectivement vu le site de la CADA, il y a de la marge de manœuvre mais le MiniCul va faire valoir ton passé de récidiviste acharné avec HADOPI…


Le 01/07/2013 à 15h 57

<img data-src=" /> Mais le fait que le ministère réponde positivement implique que la procédure CADA devient sans objet même su une contrainte de forme lourde est imposée alors que des versions numériques doivent probablement être disponibles.

Y-a-t-il un moyen de maintenir la procédure CADA dans la mesure où l’accès qu’ils t’octroient ressemble plus à une faveur qu’à l’obligation de rendre effectivement accessible au public ces documents ?

Le 17/06/2013 à 13h 55

« seul un mécanisme de gestion collective obligatoire permet de prendre en compte les auteurs non membres des sociétés de gestion collective et d’assurer ainsi une parfaite sécurité juridique aux opérateurs »



Si je comprends bien cette phrase, c’est de l’extorsion de fonds sous prétexte juridique sur le dos des auteurs qui ont choisi de mettre leurs créations sous licence libre. Faudrait qu’ils se calment.

Le 15/06/2013 à 12h 56







vampire7 a écrit :



Juste à savoir l’intérêt que peut trouver un utilisateur à OSM par rapport aux autres solutions.







Pouvoir organiser les secours et la coordination des ONG en Haïti par exemple, aucune base de données GIS ne peut être aussi réactive.

Il y a beaucoup d’applications autres que la planification de parcours qui peuvent intéresser des utilisateurs.


Le 06/06/2013 à 09h 27

Bravo ! Ce que je trouve le plus choquant c’est qu’il me semble que Marc signe ses demandes CADA en ajoutant rédacteur en chef de PCInpact, or les « remontrances » s’adressent à la personne physique et non à la personne morale (PCi) ; probablement histoire de dire que c’est un gus dans son garage qui fait chier et non pas un journaliste qui fait son travail au sein d’une structure.



En tout cas la célèbre phrase de Gandhi s’applique parfaitement et c’est une belle victoire et la reconnaissance de ce travail. Un peu de solidarité journalistique ne serait pas de trop…

Le 03/06/2013 à 16h 24

L’avocat de la défense n’invoque pas le 122-5. Pourtant les utilisateurs de Deezer en utilisant ce logiciel exercent leur droit à la copie privée, que ce soit du streaming ou pas, n’est pas important, de plus la source est supposée être licite. Le coup du DRM réputé efficace est toujours très rigolo… espérons qu’un expert expliquera un peu les choses à la façon de Cory Doctorow (en).

En revanche, l’accusation portant sur l’intrusion et le maintien dans un système automatisé de traitement de données est mystérieuse et inquiétante surtout si tout a été réalisé par rétro-ingénierie.

Le 24/05/2013 à 07h 45







Zorglob a écrit :



Etant tout à fait d’accord avec le 1er com’, je profite de la réponse à ton post pour te proposer de communiquer à ton collègue David Legrand une possibilité de plus concernant ce qu’on appelle “diversifier ses ressources” voire “élargir son champ d’expertise”; si tu ne vois pas, lui comprendra de quoi il s’agit <img data-src=" />







J’avais déjà suggéré ça dans le fil de l’article de David avec à la louche ce que ça pourrait rapporter et coûter. Toutefois, et je pense que ça pose problème à Marc, c’est une perte relative d’indépendance dans la mesure où dans ce genre d’activité le secret professionnel est de mise.

Ça n’empêche pas d’y penser et de voir s’il existe une forme acceptable.


Le 23/05/2013 à 15h 36

PC Inpact conseil : spécialiste de la saisie CADA et du suivi, sérieusement vous avez de quoi monter un business accessoire. En tout cas c’est très bien vu.

Le 23/05/2013 à 14h 17

C’est comme d’habitude : « faites plus discret les mecs : ouvrez une structure bidon en Suisse à Singapour et facturez, nous on fait une loi histoire de dire au public que c’est pas bien mais remuez-vous un peu les fesses. ».

Ça été la même chose avec les banques françaises et leurs filiales dans des lieux exotiques (comprendre dans les paradis fiscaux).

Le 22/05/2013 à 14h 34

Bercy va être très tenté de cibler les contrôles fiscaux à partir de ces données.

Le 22/05/2013 à 10h 24

Ce qui est le plus amusant c’est « calculer un coût de transport ». Vu le financement de la RATP et les interconnexions avec d’autres transporteurs d’île de France, en particulier la SNCF, j’ai du mal à comprendre la signification et les métriques qu’ils pourraient en tirer.



Ce qui est dommage c’est que c’est peut être un peu tard pour une nomination pour un Big Brother Award <img data-src=" />

Le 21/05/2013 à 21h 14







Winderly a écrit :



Est-ce que ça a déjà arrêté nos turpitudes ?







Non, mais la CJUE, ça calme <img data-src=" />


Le 21/05/2013 à 16h 44

Donc en gros à terme la France va s’asseoir sur la LCEN (distinction hébergeur / éditeur) et c’est le grand retour de l’ORTF incarné par le CSA mais sur Internet.



Comme quoi après DADVSI et HADOPI il y a la promesse d’une autre saison qui sera passionnante (Est-ce que Bruxelles acceptera ? Le CSA pourra-t-il être à la hauteur de ses missions ? À quels postes les anciens d’HADOPI seront-ils recasés ? Vivendi sortira-t-il un amendement de la mort qui tue ? …).



Pour le savoir stay connected.

Le 21/05/2013 à 10h 51

(sans voix). C’est qui l’architecte en chef de ce montage scabreux ?

Le 17/05/2013 à 10h 50







tybreizh a écrit :



Effectivement comparaison qui me parait hasardeuse, car entre l’univers Windows et l’univers Linux il y a autant de différences qu’entre une voiture et une moto et il y a un permis pour les deux …







Il n’y pas question d’apprendre à bidouiller dans la registry ou dans /etc mais de savoir utiliser par exemple un traitement de texte et de comprendre les grands principes de base pour être capable de se débrouiller par la suite et d’apprendre par soi-même.



Franchement commencer sur Word ou sur LibreOffice Writer ça ne change rien (j’ai commencé sur… WordStar !). En revanche pour les finances publiques si, et mieux vaut savoir se servir d’un outil que d’une marque d’outils.


Le 17/05/2013 à 08h 42

Espérons qu’il ne se passe pas la même chose que lors du Référentiel général d’interopérabilité. Il n’y pas de détail des votes en commission, c’est dommage ça aurait permis d’avoir une idée des rapports de force sur ce point.

Le 16/05/2013 à 15h 28







Djaron a écrit :



mais putain leave crowdfunding alone, c’est la reponse à leurs manquements, et leurs absences… qu’ils restent en dehors de ca et nous laisse gerer ca entre nous cette bande de politiciens !







Le problème, même si l’AMF fait un joli document, c’est le risque juridique par absence de réglementation spécifique. Si le crowdfunding est une prestation de service ça veut dire TVA et compagnie sur les montants collectés. Il y a un vrai problème technique (comprendre juridique) pour sécuriser cette filière.



Maintenant l’idée que les énarques et Bercy se penchent dessus ne me plaît guère néanmoins vu le contexte actuel c’est peu probable qu’ils sabordent ce genre d’initiative vu les chiffres catastrophiques de la Banque de France en matière d’investissement ; enfin, on jugera sur pièces.