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Tsinpen

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519 commentaires

Le 02/11/2018 à 18h 22







tmtisfree a écrit :



Je ne vais pas répondre à tous ces pâtés





You are free

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tmtisfree a écrit :



(qui pense clairement devrait s’exprimer succinctement)





« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément »

L’Art poétique (1674) de Nicolas Boileau-Despréaux

Il n’a jamais été question d’être succinct ! Un certain gascon te dirait qu’à la fin de l’envoi, il touche, avec volubilité et grand style (en tout cas plus que moi <img data-src=" />), mais sans être succinct ni manquer de clarté ; c’est là une bien meilleure référence que ta pseudo-citation outragée, brisée et martyrisée au point que j’ai dû la libérer moi-même !…

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tmtisfree a écrit :



et mes « approximations » ne sont (peut-être) qu’incompréhensions et/ou interprétations déficientes de ta part et donc une incitation à approfondir…





Mes pénultièmes et antépénultièmes paragraphes se terminent par des questions qui sont des invitations à parfaire mes failles et déficiences… <img data-src=" />







tmtisfree a écrit :



Je vais faire bref. Ton erreur principale, entre autres, est d’assimiler l’argent à la valeur, ce qui est une hérésie (cf [1], page 38). L’argent n’est qu’un moyen, il ne peut être un système de mesure de valeur, ce qu’on peut prouver aisément.





Mais que je m’en fiche de ton PDF, ce n’est pas à Ludwig von Mises que je m’adresse, mais à toi !

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Quand tu parles de l’argent comme d’un moyen, c’est cela que j’ai qualifié d’iceberg ; comme tu le dis ci-dessous :







tmtisfree a écrit :



Quand un maraîcher me vend un poireau, ce dernier vaut moins que le prix demandé pour le vendeur, sinon il ne le vendrait pas ; et il vaut plus que ce prix pour moi, sinon je ne l’achèterais pas.





Quand tu dis « plus que » ou « moins que », tu effectues bien les comparaisons dont j’ai parlé, peu importe que l’argent soit un moyen, une valeur ou même une farce ! Ce serait un troc sans argent, tu ferais les mêmes comparaisons et tu te rendrais vite compte que l’objet de la transaction n’est pas de comparer mais d’obtenir la chose troquée, ce qui amène à faire des trocs économiquement irrationnels, tout le contraire de l’énormité ci-dessous :







tmtisfree a écrit :



Laisse infuser (ou percoler) ce principe économique fondamental : l’échange ne se réalise que si la valorisation des 2 agents économiques est différente !





Une fois encore tu idéalises l’échange comme étant indépendant et libre d’influences tierces : cela n’existe pas, pas même chez les quelques rares tribus tribales amazoniennes coupées de toute « civilisation » occidentale…







tmtisfree a écrit :



Les modalités d’échange peuvent varier, mais ce principe reste toujours le même. Ainsi se crée la richesse, le différentiel entre les valorisations subjectives des agents économiques. Un marché n’est rien d’autre que l’agrégation de multiples transactions de biens/services relativement équivalents, dont le seul but/avantage est de renseigner les agents sur l’état relatif de leurs valorisations subjectives respectives par le montant approximatif, variable et en équilibre dynamique (= le prix du marché) qui dépend de l’offre et de la demande à un moment donné.





Comme je viens de le dire, les choix de ces agents dépendent des choix des autres agents ; ainsi la « valorisation subjective » n’est pas celle du bien/service échangé, mais celle de la perception de ce bien/service : la « richesse » échangée par de tels agents n’est donc que leur perception subjective de la richesse ; ce qui est très différent de la richesse elle-même, en conviendras-tu ?

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En plus, je parlais du marché des poireaux, pas du marché boursier : dans le 1er cas, les échanges ne sont pas réalisés par des « professionnels de l’échange », ce qui modifie en profondeur leurs méthodes de discussion, négociation, décision, choix, etc… !







tmtisfree a écrit :



À aucun moment je n’ai parlé d’argent car c’est inutile.





Eh bah en fait, moi non plus : j’ai parlé d’iceberg de l’argent ; celui-ci n’est que la partie émergée de celui-là. Et d’ailleurs, je n’ai pas non plus parlé d’économie, mais de retombées économiques et sociales, volontairement sans séparer: je doute qu’on puisse prêter un sens au premier indépendamment du second : peut-il y avoir une économie sans société ?

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tmtisfree a écrit :



Tout le reste (de l’économie à l’économie politique) découle de la compréhension de ce simple principe :

1/ la distribution (et donc la redistribution) de la valeur est automatique dans ce système ;

2/ elle est équitable puisque les agents ont échangé volontairement ;

3/ un impôt/une taxe est donc prélevé/e sur cette valeur et donc aux agents puisque 2/ ;

4/ un impôt/une taxe est donc du vol.





L’équité d’un échange ne nait pas de la volonté d’accepter d’échanger, sauf à imaginer que l’on n’achète jamais quoi que ce soit par nécessité. Mais si on dispose d’assez de richesses pour n’avoir aucune nécessité, alors on n’a aucun besoin d’échanger. Donc ton 2/ est précisément un non sequitur, une simple affirmation gratuite… (Pareil pour le 4/ d’ailleurs)

Mais néanmoins admettons ton 1/ : en quoi serait-ce équitable ou juste ou même ne serait-ce qu’humain qu’un tel automatisme gouverne l’accès des gens aux richesses (richesses éventuellement issues de leur travail) ?

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Le 02/11/2018 à 13h 47

Pfiouuu…. Il y a peu de risques que nous tombions d’accord, pour moi tu additionnes des approximations et des quiproquos sans pour autant parvenir à multiplier les poireaux !

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tmtisfree a écrit :



Non, la seule retombée que j’attends de l’achat d’un poireau est une meilleure soupe (par ex.) parce que la valeur que j’en ai obtenue en l’échangeant contre autre chose est plus élevée que cette autre chose (par définition sinon il n’y aurait pas eu de transaction), ce qui fait qu’en définitive ma soupe (par ex.) est bien meilleure maintenant qu’elle n’aurait été sans ce poireau. Et c’est pareil pour celui/celle avec lequel j’ai réalisé cette transaction. On peut généraliser à toute l’économie de marché qui n’est que la somme de ce principe de base (l’échange).





Sur les retombées, si, tu en attends effectivement d’autres, voir ma réponse à ton 3ième paragraphe plus bas.

Sur les généralisations, ça ne marche pas comme ça (dans le sens : ce que tu dis n’existe pas). Tu confonds deux idées de « l’échange ». D’un côté tu idéalises un échange ponctuel (achat d’un poireau une fois à un producteur) comme étant parfaitement libre et indépendant de toute influence extérieure. De l’autre côté, tu parles des échanges intégrés à un marché comme étant comparables à ce premier idéal, alors qu’ils ne sont ni indépendants (par exemple quantités offertes ou demandées et pouvoir d’achat), ni libres d’influences tierces (par exemple la pression concurrentielle).

Sur la transaction, tu échoues à éviter l’iceberg de l’argent, c’est-à-dire que tu imagines qu’il soit toujours possible de donner une valeur à ce que propose chaque partie à la transaction et qu’il soit toujours possible de comparer ces valeurs. Surtout il est faux de prétendre que l’objet d’une transaction soit la comparaison de ces valeurs, même dans le cas où elles existeraient et seraient commensurables, puisque cette supposition n’a rien à voir avec de l’économie, c’est plutôt du matérialisme.

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tmtisfree a écrit :



Donc ici, la « part de ces retombées » n’est qu’un euphémisme pour décrire ce qu’on qualifie plus simplement de vol, une manière d’extraire illégitimement (mais légalement) de la valeur sans aucun autre mérite que d’avoir utilisé la loi et la violence pour l’imposer.





Je parlais des enfants du producteur de poireaux : en effet, il faut imposer une instruction et une éducation d’une manière ou d’une autre, par exemple en France via l’école obligatoire ; sans quoi, par exemple, les gens deviennent trop facilement manipulables et exploitables par le premier beau parleur venu ; par exemple, ils ne peuvent envisager d’avoir un futur libre faute d’être capables de l’imaginer : s’ils ne connaissent qu’une seule variété de poireaux, ils ne cultiveront que celle-là et le premier parasite venu ou la première maladie venue détruira toute la récolte.

On a déjà testé de manières extensives et intensives l’absence de cette imposition et de beaucoup d’autres, ça s’appelait le Moyen Âge (sans caricature aucune). Une conclusion historique importante des évolutions des époques suivantes (Renaissance, Époque Moderne) reste qu’il est vain et mensonger de prétendre être le seul propriétaire des richesses issues de son propre travail dès lors que l’existence dudit travail dépend soit de l’existence d’autrui, soit de sa demande. Si tu cultives des poireaux uniquement pour te nourrir, alors il s’agit bien d’une richesse dont tu es le seul propriétaire, et par exemple libre ou non de la partager avec tes invités. Si tu cultives des poireaux pour autrui, ce n’est plus le cas puisque la quantité que tu cultiveras dépendra de la demande d’autrui, d’où l’on déduit manifestement que la quantité de richesse produite issue de cette culture n’est pas le seul fruit de ton travail, même si c’est toi qui le fournis.

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tmtisfree a écrit :



La traduction future est que cette taxe va rendre mes prochaine soupes moins bonnes puisque soit le poireau sera de moindre qualité pour compenser ce vol, soit je n’achèterai pas de poireau du tout, soit je le remplacerai par autre chose que j’aime moins, soit le producteur fera faillite parce que sa marge sera maintenant trop faible, soit, soit, soit : les possibilités des conséquences inattendues sont toutes négatives.





Comme je disais plus haut, ce paragraphe montre que tu attends des retombées économiques et sociales lorsque tu achètes un poireau. Ces retombées sont que tu souhaites pêle-mêle qu’il y ait d’autres poireaux à l’avenir, qu’ils soient aussi bons voire meilleurs, que d’autres que toi, lorsqu’ils t’invitent à diner puisse aussi en acheter pour t’en servir, que tes enfants puissent aussi en acheter, que le producteur puisse vivre de ces poireaux, etc.

Autrement dit, tu n’achètes pas « juste un seul et unique poireau une seule et unique fois à un seul et unique producteur que tu ne rencontres qu’une seule et unique fois au cours de ta vie et de la sienne parce qu’il sort d’une lampe magique qui ne fonctionne qu’une seule et unique fois pour l’ensemble de l’humanité passée présente et future ». C’est la seule situation où il n’y aurait réellement aucune retombée économique et sociale (et encore, c’est à condition que le poireau acheté soit pour te nourrir toi seul).







tmtisfree a écrit :



C’est une manière d’illustrer que l’imposition/taxation est une perte pure pour celui qui la subit, et par généralisation pour la société entière. Bien sûr les imposteurs et les corrompus qui soutiennent une telle iniquité se drapent dans les oripeaux de l’égalitarisme pour justifier leurs exactions, alors que le résultat sera la déliquescence un peu plus avancée de la société dans son ensemble.





Effectivement, l’imposition/taxation seulement subie et sans contrepartie est une pure perte pour celui/celle qui se trouverait dans cette situation (typiquement, il s’agira du SDF qui paie la TVA sur ce qu’il achète avec le pécule de sa mendicité, sachant que ni les douches publiques, ni les hébergements d’hiver ne sont financés par cette taxe) ; mais ce n’est pas une généralité : presque tout le monde préfèrera payer pour le retraitement de ses ordures plutôt que de vivre dans des dépotoirs. Il n’y a donc pas d’imposture dans l’existence d’une taxe obligatoire à ce sujet : ce qui peut être discuté, c’est son montant, son assiette, son utilisation précise, etc. Et la déliquescence serait plus importante sans structures sociales pour organiser cela : les poireaux qui poussent dans de bonnes terres sont meilleurs que ceux qui poussent dans des sols pollués.







tmtisfree a écrit :



S’il y a des « échappatoires fiscaux », c’est sûrement que les enfers fiscaux existent. Et si les producteurs de poireaux s’y font malheureusement plumer, il n’y a aucune logique à préférer le nivellement par le bas pour compenser, surtout quand on voit le lamentable état et échec socio-économique de ceux qui pratique la taxation/imposition à outrance (ie France). À qui profite le crime ? Ce ne sont pas aux Français en général, sinon on ne les entendrait pas se plaindre autant.





Tu négliges la redistribution pour arriver à la conclusion qui t’arrange, mais qui est fausse ! Les français (et les étrangers dans leurs pays aussi) se plaignent à peu près autant de ce qu’on leur prélève trop que de ce qu’on le leur redistribue mal. Il y a donc non pas un mais trois thèmes à ne pas mélanger pour sortir de l’enfer : 1/le prélèvement obligatoire et imposé ; 2/la redistribution de la collecte du prélèvement ; et 3/l’équilibre entre le prélèvement et la redistribution.

Pour que le producteur de poireaux puisse installer son étal de vente, il lui faut une place voire une halle, qu’il faut construire et entretenir. Il faut aussi que les mangeurs de poireaux puissent venir, à pied, en voiture, en transports en communs, etc. Toutes ces infrastructures coûtent aussi cher que l’exigence des gens à ne pas marcher dans la boue pour faire leurs achats. Qui décide si on met du bitume ou si on offre des bottes à tout le monde, sachant que le bitume est probablement plus cher que les bottes mais que dans ce 2ième cas on ne peut plus rentrer chez soi sans ôter ses bottes ?

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tmtisfree a écrit :



Le laissez-faire implique un taux d’imposition non confiscatoire (nul optimalement) qui permettrait au producteur de pouvoir s’acheter des machines pour planter et ramasser ses poireaux plutôt que de se casser le dos parce qu’on le lui interdit en lui volant (in)directement le fruit de son travail par des taxes et des impositions. QED.





Quod Erat Debilis, tout à fait d’accord. <img data-src=" />

Contrairement aux apparences que tu as bien décrites, la mécanisation ne permet pas que le sol soit moins bas. Ce paradoxe est assez complexe à comprendre par le menu et à expliquer dans le détail. Le seul effet de la mécanisation est sur la quantité de travail humain par unité produite (on suppose cette quantité diminuée mais ce n’est pas forcément vrai : dans certains domaines il y a seulement un déplacement de ce travail humain depuis la production finale vers la réalisation/production des machines, ce qui explique une part de l’augmentation des emplois disponibles créés par la mécanisation car ces derniers nécessitent des compétences et qualifications au moins différentes, sinon plus élevées). Bien saisir la différence entre quantité et qualité : si les machines sont mal faites, le producteur n’ayant pas payé d’impôts sera livré en pâture à leurs défauts et à l’appât du gain de leur fabricant/vendeur (sauf s’il s’agit d’un bon samaritain, ce qui n’est pas la situation la plus répandue) ; alors que dans une société équilibrée le producteur ayant payé des impôts aura accès à des structures lui permettant d’obtenir réparation. L’éventuelle irréalisation partielle voire totale de cet équilibre ne peut justifier à elle seule que l’on dise confiscatoire toute imposition ou taxe : de toutes façons, on n’invente ni ne fabrique de telles machines sans avoir des structures éducatives solides, donc il faut bien que le producteur de poireaux ou quelqu’un d’autre ait payé quelque chose : pourquoi serait-il mieux que ce ne soit pas un impôt, sachant qu’il s’agit là de financer quelque chose dont la redistribution ne touche que la génération suivante, voire celle d’après ?

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tmtisfree a écrit :



Mais tant qu’on n’a pas été travailler dans les champs parce qu’on est un urbain biberonné (comme 90 % de ceux qui réclament plus de taxes) à la sociale-pseudodémocratie redistributive de la valeur volés à ceux qui travaillent, on ne peut pas le savoir.





C’est toute l’importance de la séparation tripartite que j’ai faite plus haut : il n’y a rien de discutable dans le paragraphe que tu as écris ci-dessus car il n’y a pas d’argument, c’est une sorte de prurit mélangeant un peu tout et n’importe quoi. Mais on ne peut pas faire d’une soupe, même aux poireaux, une conclusion ! Ce serait là bafouer toutes les coutumes séculaires de la gastronomie, et peut-être même de la civilisation!

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Le 01/11/2018 à 14h 37

Disons l’inverse : quand tu achètes un poireau, tu t’attends à ce que cela aie une retombée économique et sociale. Les “consommateurs de GAFA” (sic) ont déjà payé, et l’idée de ce genre de taxe est d’obtenir la part de ces retombées qui n’est pas arrivée du fait de leurs structures en multinationales, leur permettant des échappatoires fiscaux interdits aux producteurs de poireaux. Ledit producteur perçoit cela comme inéquitable, puisque lui n’a pas accès à ces échappatoires, et que pourtant il lui faut bien payer un smartphone à ses ados qui seront bientôt étudiants… et quoi plus de “laissez-faire” va rendre les poireaux plus agréables à ramasser : le sol sera toujours aussi bas, non ? <img data-src=" />

Le 02/11/2018 à 15h 28



« C’est comme lorsque vous allez à la caisse du supermarché. Le caissier ne vous demande pas “combien d’articles vous avez dans votre chariot ?”. Ce qui importe ce n’est pas le nombre de produits dans le chariot, mais la valeur de l’ensemble »





« Achetez un iTruc© ; devenez un iCaddie© ! »

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Le 01/11/2018 à 13h 39

Rhââ… je cherchais des infos sur une Moto Guzzi V7 Racer de 2010, et je tombe sur cette news combinée sur W10 et la Freebox V7…. Nân mais faut arrêter le mélange des actus, ça fait foirer les algos de recherche <img data-src=" />

Le 01/11/2018 à 12h 48

Sauf qu’il existe des biblio de code open-source permettant de classer les caractères de différents alphabets, par exemple pour le tri lexicographique, donc ces subtilités sont les plus simples à repérer (c’est automatisable de manière fiable, si la biblio est bien faite, bien implémentée <img data-src=" />).



Et sinon, “agir en amont”, c’est une idée futuriste : si tu tapes “gouv.fr” tout court dans ta barre d’adresse, ça ne mène nulle part ; alors que l’exemple de l’article “gouve.fr” mène effectivement quelque part… <img data-src=" />



Même la formulation est foireuse, puisqu’elle se limite au 2ème niveau, ça autorise de réserver “mi.nistre.fr” ou “ely.sée.fr” ou que sais-je encore… <img data-src=" />



…ou “next.inpact.fr”, tiens <img data-src=" />

Le 30/10/2018 à 21h 06

www.youtube.com/watch?v=c45FtDhdDoY

(edit: attention, ça date de 1976 quand même <img data-src=" /> )

Le 30/10/2018 à 18h 09







wanou2 a écrit :



La publicité télévisuelle c’est à la fois le nombre de téléspectateurs mais aussi le nombre d’impressions. (…)

L’économie de la publicité télé c’est beaucoup plus qu’une audience divisé par un nombre de téléspectateurs.







Pour le calcul que j’avais présenté vite fait, l’idée était de simplifier la relation commerciale entre le téléspectateur et les chaînes en considérant la possibilité théorique pour le 1er de payer directement les secondes sans passer par l’intermédiation économique du visionnage de publicités associé à un financement indirect par les annonceurs. Comme cette simplification implique de retirer ces derniers de l’équation en les remplaçant par leur seul apport financier aux chaines qui était l’objet même du raisonnement, c’est normal qu’ils disparaissent aussi des conclusions (les 0,80 bouzoufs par personne), ainsi que les complexités dont tu parles.

<img data-src=" />



Parmi ces complexités, une qui est d’importance à la télé est que les gens ont un rythme de vie ce qui empêche de regarder la totalité de la grille des programmes ; sauf avec le replay, justement, cette techno est une vraie mine de diversification pour les chaînes.

Si elles demandent des bouzoufs à Molotov, c’est parce que ce type de service, en zappant la réclame, empêche les chaînes de monétiser comme à leur habitude leurs contenus avec de la pub imposée.

D’où l’idée de calculer combien ça couterait en théorie à chacun si les chaînes passaient au modèle du Pay Per View, ce qui n’est pas une idée bien nouvelle…

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Le 29/10/2018 à 20h 31







Radithor a écrit :



Faut voir : les abonnements Canal+ rapportent-ils plus que les pub. de BFM ? (en laissant de côté le fait que les contenus sont les mêmes, ce qui n’est évidemment pas le cas : la pub a besoin d’audience à chaque instant, alors que l’abonnement a besoin de clients intéressés par des contenus spécifiques)





Nan, je parlais d’une tarification à l’acte de visionnage, donc équivalent à l’idée de louer un film, rien à voir avec un abo. En gros, avant le film affichage d’un écran “payez 0,80 bouzouf ou regardez 1/2h de pub ?”.

Et j’ai pas dit que j’appelle à la mise en pratique de cette idée, je donnais juste un contre-exemple au discours du “compromis” et de la “chimère de la gratuité”… C’est juste histoire de dire que pour bien réfléchir, il faut parfois aussi aller prendre en compte des idées qui n’existent pas.

Sinon, oui, si tu comptes payer régulièrement pour des films, mieux vaut prendre un abo, sauf peut-être si t’as que de l’ADSL de campagne =&gt; c’est d’ailleurs très très rageant, sur une connexion lente, de ne pas pouvoir télécharger puisque le streaming passe mal ça rend l’usage du “replay” impossible sauf pour ceux qui aiment les saccades et les tas de pixels et les coupures de son etc… <img data-src=" />







wanou2 a écrit :



T’es complètement à coté de la plaque.

La grille tarifaire de TF1 :&#160https://www.tf1pub.fr/offres/grilles/TF1/TF1





<img data-src=" /> T’as complètement zappé les audiences, ça sert à que dalle de connaitre les tarifs (bruts ou net) si on ne sait pas combien de gens vont voir (ou ont vu) la pub =&gt; il faut connaitre le prix réel par tête de pipe pour pouvoir répondre à l’argument disant que la pub est le prix de la gratuité.

Sinon, ça donne le genre de discussions stériles entre les abonnés et certaines chaînes :




  • abonné : “on a le droit à la copie privée de vos émissions même qu’on paie pour ça”

  • chaîne : “ah non, on a le droit d’obliger les gens à regarder nos pubs”

  • abonné : “ah non, mais puisqu’on vous dit qu’on a déjà payé la RCP, ça va pas hein !”

  • chaîne : “ah mais si, la preuve ils s’en fichent du prix réel des pubs et en plus wanou2 en redemande”

  • abonné : “…”

    <img data-src=" />


Le 29/10/2018 à 18h 09







Romaindu83 a écrit :



Quand est-ce que vous comprendrez que le gratuit est une chimère. Le gratuit n’existe pas. Il y a toujours un compromis obligatoire à faire lorsque vous utilisez un service gratuit.







J’ai cherché « coût d’une annonce publicitaire à la télé », et la 5ème réponse sur Qwant donne un exemple où est indiqué à la fois le coût du spot et le nombre de téléspectateurs, c’est ce blog.



Alors c’est un peu ancien, 28/11/2010 <img data-src=" /> il faudrait réactualiser !

Voici les chiffres :



« Notre tarif record reste celui du 28 novembre 2010, lors de la diffusion desCh’tis, précise Laurent Bliaut, le directeur général adjoint de TF 1 Publicité. Nous avions fixéà150 000€ lespotde trente secondes ». Ce soir là, 14,4 millions de personnes étaient au rendez- vous…





Un peu de maths : on va compter (très large) un total d’une demi-heure de pubs avant après et pendant le film, soit 60 tranches de trente secondes à 150.000 bouzoufs la tranche, ce qui fait un montant de 9.000.000 de bouzoufs.

Maintenant divisons par le nombre de téléspectateurs pour obtenir le revenu de la chaîne par téléspectateur…

9.000.000 de bouzoufs divisé par 14.400.000 téléspectateurs, ça fait 0,625 bouzouf par tête de pipe…



Ouais, même pas un bouzouf… Ils proposeraient le même film sans pub à 0,80 bouzouf… même pas un seul petit bouzouf par téléspectateur, et ils y gagneraient 1,28 fois plus, et on aurait pas la pub. Et je suis certain qu’il y aurait des (tas de) gens pour préférer sortir ce prix-là plutôt que de se farcir une demi-heure de pubs !



Ok, certes, cet exemple ne résume pas tout à lui tout seul ; mais quand tu parles de compromis et de gratuité chimérique, tu mélanges deux choses fausses :

-&gt; la pub est unilatéralement imposée par les chaînes (et la motivation économique est douteuse, comme indiqué ci-dessus), ce n’est donc pas un “compromis”

-&gt; la copie privée est un droit financé par la RCP (taxe obligatoire), ce n’est donc pas un “service gratuit”


Le 28/10/2018 à 14h 32







Mihashi a écrit :



Je ne la comprends pas dans ce sens, mais c’est peut-être moi…





Je l’admets, j’ai triché <img data-src=" />, j’ai lu l’infobulle : la traduction me semble correcte <img data-src=" />

Qu’est-ce que tu y as compris ? <img data-src=" />


Le 28/10/2018 à 08h 57







Mihashi a écrit :



Justement, c’est pareil que pour le vote électronique sincère et fiable : complètement irréaliste.





Ben voui <img data-src=" /> Mais l’idée de la planche de Xkcd était de présenter l’opposition entre certains domaines d’ingénierie où les ingés ont raisonnablement confiance dans ce qu’ils réalisent (ie. avec des arguments techniques pour appuyer leur confiance) ; et le domaine informatique où justement c’est l’inverse (ie. avec des arguments techniques à l’appui de leur défiance) <img data-src=" />

Ce qui rejoint toutafé ce qu’à dit Chocolat-du-mendiant :







Chocolat-du-mendiant a écrit :



Tout ce qui est mesurable par un ordinateur, peut être falsifié par un ordinateur (ou pourra l’être prochainement surtout s’il y a qq chose a y gagner).





C’est clair que la biométrie à distance au premier regard ressemble à de la technofolie, mais après tout peut-être que ces sénateurs sont juste des fans inconditionnels de Mission Impossible <img data-src=" />


Le 27/10/2018 à 20h 03

Croisons les doigts pour que le cheval ne se prenne pas les pattes dans les trottoirs roulants et que la cabine d’ascenseur horizontal soit assez grande pour lui. 🤞



Ou sinon on peut essayer de calculer une trajectoire balistique pour envoyer les résultats par fusée ? <img data-src=" />

Le 27/10/2018 à 19h 10

Toujours pas d’accord pour ma part :







Tsinpen a écrit :



Et comment tu fais pour respecter le droit de vote des anti-nucléaire avec des machines alimentées à l’énergie nucléaire pour 80% ?





C’est pas loin d’être peu ou prou la même histoire que cet état US qui vient d’imposer que les électeurs aient une adresse valide, tout en sachant que beaucoup d’Amérindiens vivant dans des réserves n’ont qu’une boite postale.

J’ai parlé des anti-nucléaires, mais j’aurais pu parler des ludistes tant qu’à faire ! Le vote doit être aussi libre que possible ; mais avec des machines tu imposes aux votants l’acceptation de ces machines et de tout ce que ça implique (par exemple, conso d’énergie et utilisation de ressources fossiles), ce qui de mon point de vue entache la liberté du scrutin.

Et c’est d’autant plus vrai que ces machines n’apportent qu’une évolution technique (j’ai pas dit un progrès), alors que le scrutin est une affaire humaine et non pas technique.

Pour le dire autrement : qu’est-ce que tu penserais si on organisait les scrutins dans des lieux de culte (églises, mosquées, synagogues ou autres temples) ? Est-ce que ça t’empêcherait physiquement de mettre un bulletin dans une urne (ou d’appuyer sur un bouton d’une machine) ? Non, pas physiquement, mais ce n’est pas une question de physique.







Z-os a écrit :



Dans une grande ville peut-être, je pensais du côté de chez mes parents o`u tout cela transite par une seule fibre optique au final. Et quand elle est volée - tous les six mois en moyenne - il n’y a plus rien.



Mais que ben si, il reste les réseaux cellulaire et satellite et CPL, au minimum.Et sinon il y aussi la CB, si ça se trouve ça existe encore <img data-src=" /> Je veux dire par là que si tu laisses le courant, il est toujours possible à un humain de transmettre le résultat du scrutin, au pire en y allant à cheval, il y a des précédents historiques <img data-src=" />







Z-os a écrit :



Celui là compte ? <img data-src=" />

Merci pour le rappel de la course poursuite. <img data-src=" />



Il est difficile à installer en intérieur (il lui faut un circuit en boucle avec une courbure relativement faible), mais sinon c’est exactement l’idée, juste qu’il faut rajouter la cabine d’ascenseur horizontal à côté <img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />


Le 27/10/2018 à 15h 59

Moui enfin Mach 15 ça fait du 18.375,66 km/h donc un peu plus de 2h15 pour faire le tour complet de la Terre : vu les accélérations/décélérations au décollage/atterrissage, il faut presque que tu prévoies des organes de rechange après que les tiens se soient transformés en bouillie <img data-src=" />

Et encore, c’est à condition que tu atterrisses, puisque vitesse de satellisation environ Mach 23-24 ; et vitesse de libération environ Mach 32-33 ; donc il faut quand même faire gaffe à ne pas aller trop vite ! Même les vraies fusées ne vont pas aussi vite (8000 km/h soit Mach 6-7 pour Ariane 5 deux mins après décollage), à cause de l’échauffement dû aux frottements atmosphériques… donc un avion… <img data-src=" />



Au sujet des « ascenseurs à déplacement horizontal », tu peux imaginer un tapis roulant avançant à la même vitesse pendant que les portes restent ouvertes, ça permet de descendre/monter de l’ascenseur ; c’est une bonne vieille idée de SF qui a plus de 60 ans, avec des tapis les uns à côté des autres à des vitesses différentes, voir Les Cavernes d’Acier (2ème paragraphe « Les déplacements s’effectuent en majorité grâce à un réseau complexe de tapis roulants haute vitesse que les gens apprennent à utiliser dès leur plus jeune âge. ») C’est quand même autre chose que le “tout-voiture” <img data-src=" /> individualiste, mais c’était une autre époque <img data-src=" />

Le 27/10/2018 à 15h 02







Z-os a écrit :



Ou pire si la fibre optique est volée (ou coupée) la nuit précédent le scrutin ? Simple, efficace et sans danger.





Ou pas, de nos jours pour bloquer les (télé)communications numérique, il faut simultanément couper ou brouiller :




  • le réseau fibre optique ;

  • le réseau cuivre (RTC + ADSL + xDSL) ;

  • le réseau câble ;

  • le réseau mobile (2G, 3G, 4G, xG…) ;

  • le réseau radio à courte portée (WiFi, WiMax et similaires) ;

  • le réseau satellite ;

  • le réseau Courant Porteur de Ligne…

    Du coup peut-être qu’il vaut mieux juste couper le jus <img data-src=" />







    Mihashi a écrit :



    Mouais un peu à coté de la plaque cette planche.





    Si, elle est plutôt bien, d’ailleurs :

  • Solar Impulse

  • il existe des prototypes d’ascenseurs à déplacement horizontal <img data-src=" />

  • Calvinball !!! <img data-src=" />


Le 25/10/2018 à 18h 40







Toorist a écrit :



Dans tout les cas notre système est basé sur la confiance.







Non ; mais si ça l’était, est-ce que ça ne vaudrait pas mieux qu’un système basé sur de minusculissimes électrons piégés dans du minéral de silicium ?



Et pourquoi pas des machines à voter dotées d’une intelligence artificielle prédictive, ce qui permettrait aux électeurs de rester chez eux ?



Et comment tu va faire pour voter si quelqu’un sabote la ligne électrique ?



Et comment tu fais pour respecter le droit de vote des anti-nucléaire avec des machines alimentées à l’énergie nucléaire pour 80% ?


Le 24/10/2018 à 16h 59

Certes, le bulletin de vote papier ne résiste pas au-delà de Fahrenheit 451 ; mais la machine à voter non plus…

<img data-src=" />

Le 24/10/2018 à 19h 35







dematbreizh a écrit :



Il est difficile de nos jour de différencier les deux Logiciels (exemple des jeux de guerre glorifiant l’armée US. Après tout jeu ayant un parti pris [politique/sociétal] mélange ces genres).





Moui eh ben y’a qu’à mélanger les mots aussi alors ; pour le fameux “American Army” et similaires, je proposerais bien “propagame”, sauf que pas d’bol c’est intraduisible <img data-src=" />


Le 23/10/2018 à 15h 02







dematbreizh a écrit :



qui décide que telle pathologie ne doit pas être mise en jeu?





Ne pas confondre un jeu avec un logiciel interactif.

Le premier est une fiction ludique, divertissante, “défoulante”, etc…

Le deuxième contient par exemple tout ce que dans le langage courant on appelle les “jeux éducatifs” : il ne s’agit pas de jeux au sens premier (ou alors pas uniquement de jeux au sens premier) car leur but est d’avoir un effet sur l’individu (le plus souvent un enfant mais pas toujours) après et en dehors du “jeu”.

Cela devient ensuite facile de comprendre que n’importe quelle pathologie peut être sujette à une fictionnalisation sous forme de jeu (ou de roman, de film, de théâtre, etc…) tant que la frontière avec l’individu est assez solide.

La difficulté se trouve en l’individu lui-même puisqu’un simple consentement ne permet pas de dire que celui qui consent saura faire la part entre fiction et réalité ; et se contenter de demander un tel consentement pour ensuite s’en laver les main m’apparait être quelque peu hypocrite : ça peut marcher pour certains type de jeux bien établis, puisque le joueur dans ce cas sait à quoi il consent ; mais pas pour tous les types de jeux, notamment ceux qui sont innovant sur certains aspects (immersion psychologique et réalisme du gore par exemple).

Et ici la culture, les traditions, tout ce que l’on appelle les “barrières culturelles” et/ou les “tabous sociaux” ont un effet souvent protecteur de l’individu face à une fiction violente : typiquement un GTA paraitra inoffensif à un joueur parce que celui-ci a une éducation culturelle qui lui fera refuser d’amener à la réalité les éléments fictionnels du jeu, même violents.







dematbreizh a écrit :



Si tu pointes uniquement les cas extrêmes, (…)





On percevra souvent dans ces cas extrême le même effet qu’avec l’alcool : désinhibiteur de ces “tabous” et de ces “barrières”. Parfois à tort, parfois à raison. Mais est-ce qu’on ne pourrait/devrait pas plutôt se demander non pas quelle est la nature de la pathologie présentable mais plutôt comment la présenter pour qu’elle reste une fiction, un jeu ?


Le 22/10/2018 à 16h 11

Ze reformule autrement :

Et donc on fait des jeux pour les malades en question (qui va faire ces jeux ?), et ensuite on les vend sur ordonnance uniquement parce que sans se leurrer c’est comme avec les médocs qui contiennent des trucs qui défoncent, il y a toujours des petits malins pour en détourner l’usage prévu afin d’en profiter ; c’est ça l’idée ? <img data-src=" />

Le 20/10/2018 à 17h 17

Anéfé, le rhume n’est pas un crime. <img data-src=" />

Mais par contre le transmettre volontairement à une personne âgée en situation de faiblesse dans le but délibéré de hâter son trépas afin de palper son héritage pourrait être un crime. Voire plusieurs dans les pays qui les cumulent. Enfin je dis ça je dis rien, je suis pas juriste <img data-src=" />

Le 23/10/2018 à 19h 47

Il n’y a aucune preuve de quoi que ce soit dans ce que tu cites. Un rapport du DoD ne peut pas être pris pour preuve sans avoir été corroboré factuellement de manière indépendante, pareil pour un rapport qui viendrait de l’état chinois ou russe ou autre.

Tu mélanges le niveau de crédibilité en général (de Trump ou de Bloomberg, ce dont je parlais) avec la crédibilité de ces deux informations (la puce et les missiles) pour ne rien arranger… J’ai pas envie d’écrire un roman pour te répondre : tu es abonné à NXI, mais M. Tout-le-monde est moins doué que toi en technique et en géopolitique…



Moi, tout ce que je dis, c’est que cette “affaire Supermicro” n’entachera pas la crédibilité de Bloomberg à moyen terme ; pas plus que le retrait par Trump des USA de traités internationaux ne va lui faire perdre complètement les prochaines élections. Donc oui, ces deux informations peuvent être mises sur le même plan si c’est pour en tirer des conclusions pareilles. Après, effectivement, pour quelqu’un comme toi qui veut en faire des analyses plus fines, ça ne se peut pas. Mais j’arrive pas à saisir pourquoi tu le fais si c’est pour dire qu’il faut pas le faire ? <img data-src=" /> <img data-src=" />



Le logo, c’est l’image en haut de l’article, non ? Enfin d’habitude ça s’appelle un logo, non ?

Le 23/10/2018 à 17h 17

Et que je … « plus nuancé » de quoi ??? 😯

« des affirmations sans fondements de Trump » -&gt; j’ai écrit « non prouvées » ! et deux fois en plus !

Merci de m’avoir lu … <img data-src=" />, le FBI aurait enquêté sur les puces, l’OTAN aurait eu des soupçons ; les chinois auraient les yeux bridés et Supermicro des concurrents, etc.

Il était question du crédit de Bloomberg, pas de discuter de savoir qui c’est qu’à les plus gros missiles <img data-src=" />



Ceci dit, si tu as des infos sur le tipiakage de logo… ?

Le 23/10/2018 à 15h 45

Ben tu sais, toute ressemblance entre les accusations non prouvées de Bloomberg d’un côté et de l’autre côté les accusation non prouvées de Trump à propos des missiles moyenne portée Russkov n’est qu’une coïncidence fortuite de calendriers. C’est pas dit que les élections de mi-mandat n’apportent aucun crédit à Trump, et Bloomberg le sait bien… <img data-src=" />



Ce que je ne comprends pas, c’est comment ça se fait qu’Intel ne les ait pas poursuivis pour tipiakage de logo <img data-src=" />

Le 23/10/2018 à 14h 20

Ne pas confondre serpent à sonnettes et serpent à sornettes !? <img data-src=" />

En fait le gros avantage du serpent sur les mygales, c’est qu’on peut charmer les serpents, et donc récupérer la clef ; alors qu’avec les mygales c’est plus dur.



Mais ceci dit, il y avait plus simple, il te faut juste un seul permis, celui de « l’irresponsable de la sécurité » (ou de son n+1), et ensuite tu utilises toujours celui-là. Des fois ça suffit pour faire bouger les choses !



(Notice légale : le paragraphe précédent est fourni « en l’état », sans garantie d’aucune sorte, expresse ou implicite, y compris, sans limitation, les garanties de qualité marchande, d’adéquation à un usage particulier et de non-violation. En aucun cas, les auteurs ou les détenteurs des droits d’auteur du paragraphe précédent ne pourront être tenus pour responsables de quelque réclamation, réparation que ce soit, que ce soit dans le cadre d’une action contractuelle, délictuelle ou autre, découlant du paragraphe précédent, de son lien avec le paragraphe précédent ou de l’utilisation du paragraphe précédent.) <img data-src=" />

Le 18/10/2018 à 18h 58







Vilainkrauko a écrit :



Le grand patron est au courant et l’as autorisé.



De plus, seul moi y  a accès : c’est un conteneur crypté avec veracrypt dont le mot de passe fait plus de 20 caractères …





Il faut placer le conteneur crypté sur une clé usb, sans copie sur le réseau ni sur aucun disque ; puis mettre la clé dans une amphore avec 2-3 serpents à sonnettes, puis refermer l’amphore.

C’est plus sur ! <img data-src=" />







menehan a écrit :



Et sinon j’ai trouvé la parade avec free qui m’a appelé régulièrement pour leur box, j’ai répondu “que je vis dans un camion aménagé et que donc la box, voilà quoi.”





ça marche aussi de leur dire que tu n’as pas l’électricité et pour les curieux, que tu recharges ton téléphone au boulot <img data-src=" />


Le 22/10/2018 à 18h 53

J’attends toujours de voir une étude nutritionnelle sérieuse qui prouverait que la fabrication de solyent permettrait de nourrir une fraction significative de la population. Comme il y a probablement un IGnobel à la clé (et la célébrité qui va avec), ça m’étonne que personne ne l’ait encore faite <img data-src=" />









fred42 a écrit :



(… blablabla …) De façon générale, investir dans plus de pays amoindrit le risque par rapport à un seul pays.





Seuls les extra-terrestres tentaculaires peuvent porter autant de paniers à la fois.

Tu vois, on en reviens bien à ce que je disais : l’exode massif est une possibilité.

Il faut juste que les gens se rendent enfin compte qu’il n’y a pas que les reptiliens qui nous envahissent, ensuite ça se fera tout seul, tu verras…



Ceci dit, la “robustesse” de la répartition, ce n’est pas par opposition à l’idée de risque économico-financiaro-monétaro-pétroléo-boursicocotier, mais issu du fait que même s’il n’y avait plus d’argent, il y aurait toujours du travail, donc quelque chose à répartir/redistribuer. Alors que le capital, après une crise, y’en a plus. Pfffffff…. du vent, quoi.







fred42 a écrit :



Enfin, j’ai du mal à voir quelle est ta préférence pour la retraite, ce n’est pas bien clair dans ce que tu racontes.





Surtout pas sous les cocotiers, justement, parce que quand ça tombe ça fait mal. Aïe, rien que d’y penser, tiens…


Le 22/10/2018 à 16h 15







tipaul a écrit :



toute personne qui bosse cotise, pas le choix





J’ai vraiment pas envie de chercher en détail, mais c’est pas garanti que cette obligation soit absolue, comme pour la Sécu ou autres, il paraitrait que ce serait permis de s’en passer (mais que ce serait compliqué).

Et de toutes façons même pour ceux qui bossent et cotisent, c’est sur quelle assiette ? Un artisan qui te fait une facture sans toute la main d’œuvre et te la demande au black, tu crois pas quand même qu’il cotise sur le black ? Et sans aller chercher dans les trucs illégaux, les cotisations sont calculées sur les salaires, pas sur toutes les primes et autres…



De toutes façons fred42 et toi vous regardez la lorgnette à l’envers, en partant de l’improbabilité d’un effondrement pour prétendre que ça ne se peut pas. C’est un peu comme le pont de Gênes en fait : avant qu’il tombe, tout le monde ou presque disait ça improbable. Et je dis pas ça pour “faire peur”, c’est juste un constat : les crises économiques ne préviennent généralement pas… (“heureusement”, le principe de répartition est présumé plus robuste que la capitalisation seule)







tipaul a écrit :



Sauf que dans le cas de la retraite, il n’est pas question d’appâter le client





Rhâ mais que non mais que pas du tout mais t’as lu trop vite mais s’pa possib’ à la fin, c’est pas ce que j’ai écrit : il est question d’appâter le travailleur.

Par exemple il y a des frontaliers qui préfèrent aller bosser de l’autre côté, ils ont pas les mêmes contrats, les mêmes conditions de travail et de rémunération, et etc. : ils comparent et choisissent.

Toi tu penses trop à tous ceux qui pensent n’avoir pas le choix, et qui ont peut-être raison s’ils sont loin des frontières et qu’ils ont pas envie d’aller voir ailleurs….

En tout cas, ça fait des cotisations en moins.


Le 20/10/2018 à 18h 58

Ah bon, tu resterais vivre dans un pays envahi par des Goa’uld ? <img data-src=" /> <img data-src=" />

Le 20/10/2018 à 17h 17







tipaul a écrit :



Je sais bien que c’est vendredi, mais voilà un troll de première :

1- la méthode de fonctionnement des retraites en France est tout à fait transparente, donc ce n’est pas du Ponzi

2- les retraites des uns sont payées par les cotisations des autres, c’est très différent de “les prétendus bénéfices des uns sont en fait payés par les investissements des autres”. Rien à voir.



Ce qui ne signifie pas pour autant que notre système de retraite soit parfait ou soutenable sur le long terme, mais c’est une autre question.







1- une pyramide de Ponzi transparente reste une pyramide de Ponzi. Regardes celle du Louvre, c’est pas une pyramide peut-être ? <img data-src=" />



2- la pyramide de Ponzi s’écroule quand il n’y a plus de nouveaux clients appâtés ; la retraite par répartition s’écroule quand il n’y a plus de nouveaux travailleurs appâtés (grève générale, exode massif, catastrophes nucléaires, chute de gros astéroïdes, invasion d’extraterrestres, etc.). Donc il a raison, ça se ressemble <img data-src=" />







LinK2812 a écrit :



Je ne vois pas où est le problème, le bitcoin c’est bien un mec qui a fait croire à pleins d’autres que le bitcoin avait de la valeur et qu’il fallait en acheter … Et surtout qu’il fallait plus de mineurs pour gagner plus … Sur du vent … Après une couche de ponzi en plus ou en moins 😁







Faut bien faire tourner les éoliennes pour rafraichir le climat <img data-src=" />


Le 21/10/2018 à 14h 06

Oui l’idée est bonne : point de vraie liberté sans vrai choix, mais d’après les citations de l’article ce type de site incarne la néantisation du choix par la violence et la haine, au risque que cela incite autrui à en devenir l’avatar.

Sartre : « Que doit être l’homme en son être pour que par lui le néant vienne à l’être ? »

Le 20/10/2018 à 13h 29







TexMex a écrit :



En bref, on prend les Français pour des crétins qui dès qu’il entendent un truc y croient.







Socialement et psychologiquement, les notions d’exposition et d’habituation à des idées ont une influence sur les individus, y compris ceux qui disent s’opposer aux idées en question, y compris sur le long terme.







TexMex a écrit :



On sécurise sur les dangers que l’on connaît/comprend. Pas sur l’inconnu. En plus quand tout le monde “parle” et se montre cela permet de savoir qui est qui. Avoir les version de chaque coté sera toujours plus porteur de sens et de vérité qu’une seule version.







Beaucoup de gens ne prennent pas leurs décisions sur la base d’une vérité, et ne seront pas convaincus de cette manière. (par exemple les croyants, les opportunistes, les cupides, les astrologues, etc…)

Ceux qui tiennent des discours haineux parfois ne se “montrent” qu’avec leur version de la barre à mine pour toute forme de dialogue…


Le 20/10/2018 à 14h 46

Pour un peu ils étaient prêts à le déclarer candidat volontaire désigné pour l’Abri 13 ! ☢

Le 17/10/2018 à 18h 45



« Le commerce en ligne va à l’encontre de la lutte contre l’artificialisation, le e-commerce requérant en moyenne trois fois plus d’espace de stockage que la distribution physique traditionnelle », se justifie Matthieu Orphelin. Selon l’élu LREM, « le tri, l’emballage des produits, la gestion des retours, et le modèle du « dernier kilomètre » (être au plus près des consommateurs pour une livraison toujours plus rapide) » nécessitent des « centres de stockage et de triage locaux à proximité des grandes villes », et sont dès lors « fortement consommateurs de foncier ».





Bof… Tout le monde connait déjà la solution : il suffit d’interdire la Poste (trop d’entrepôts).

Et pour réduire la “conso de foncier” (sic), il suffit de laisser les marchandises dans les camions, plus besoin d’entrepôts du tout… il y en a qui font ça, et qui le faisaient déjà bien avant Internet.



Sinon, plutôt que de les taxer, ce serait plus efficace de leur imposer des toits végétalisés. “On” a toujours ce mauvais réflexe de tout réduire à une question de flouze, y compris quand c’est pas le sujet : les taxer, ils s’en foutent, ils répondront qu’ils n’augmenteront pas les salaires, et qu’il augmenteront leurs marges pour payer.



Mais par contre, un toit végétalisé, c’est une autre histoire <img data-src=" />

Le 15/10/2018 à 19h 58







Quiproquo a écrit :



La sanction dans les maisons de tolérance ça a son charme… <img data-src=" />





<img data-src=" />

Je pensais pas à ça, faut pas toujours tout descendre sous la ceinture non plus, ça perd en galanterie <img data-src=" />


Le 15/10/2018 à 18h 14







Quiproquo a écrit :



Si c’est pas dans la même phrase, c’est toléré. Tu ne vas quand même pas lui reprocher de n’être ni de droite ni de gauche <img data-src=" />.







Non, mais par contre méfies-toi : elle a l’air d’être plus branchée “sanction” que “tolérance” <img data-src=" />







Quiproquo a écrit :



Tu ne prétends quand même pas lui donner des leçons de financement du cinéma ! Je te rappelle que ses parents sont comédiens… <img data-src=" />







Ah mais non, c’est elle qui a dit « Je ne sais pas comment avoir un cinéma, un théâtre, un spectacle vivant une scène dynamique(…) », et comme elle parlait de “prise de risque” dans le domaine de la culture, il n’y a grosso modo que les “usines à culture” qui pensent comme ça ; dans les milieux associatifs l’état d’esprit est assez différent (pour ce que j’en connais), et pourtant très dynamique.


Le 13/10/2018 à 16h 29

Avec le réchauffement climatique, il n’y a plus de saisons, donc dorénavant le 🐟 1er avril arrivera en octobre…





Un espace de liberté doit être régulé à partir du moment où il attente aux droits des autres. C’est aussi basique que cela. Aucun secteur économique n’accepterait de perdre plus d’un milliard d’euros par an du fait de pratiques illégales contre lesquels on peut lutter si on s’en donne les moyens.





Principe général de liberté :

Soit il y a atteinte aux droits des autres, et dans ce cas c’est déjà régulé.

Soit ce n’est pas régulé et il n’y a pas d’atteinte à un droit qui n’existe pas.

Les 2 propositions sont mutuellement exclusives, et c’est tout sauf basique car l’allégation (voire l’existence) d’un préjudice n’est pas synonyme d’un droit bafoué.

Quand au milliard, il ne correspond pas à une quantité de richesses réellement disponible à la dépense à destination de ce secteur économique. Autrement dit, quand les prix montent, les ventes baissent. <img data-src=" />





Je ne sais pas comment avoir un cinéma, un théâtre, un spectacle vivant une scène dynamique si on n’a pas de gens qui acceptent de prendre des risques et de les financer.





Ils font des dossiers de demande de subventions, ensuite ils regardent lesquelles ils obtiennent, ensuite seulement ils demandent des prêts bancaires, et la banque leur dit s’ils ont ou pas assez de subventions pour que ce soit viable de les suivre.

Le “risque” est une notion relativiste au final… surtout si on rajoute les financement participatifs qui ne sont pas des risques (non remboursés en cas de faillite, tout comme beaucoup de subventions).





À défaut d’avoir une coopération des plateformes, qui considèrent qu’elles n’ont pas à être pro-actives et à définir la qualité des contenus diffusés par leurs utilisateurs, on est bien obligé d’avoir une autorité qui peut réguler et définir la légalité ou non des contenus.

Je considère donc que c’est bien une autorité administrative qui doit pouvoir immédiatement sanctionner, faire injonction de supprimer ou suspendre. Sachant qu’on le fait à titre provisoire.





Que vient faire le mot “administrative” dans la définition tout à fait limpide d’une autorité investie uniquement d’un double pouvoir de police judiciaire (application d’une décision) et de juge (décision de ce qui est légal ou non) ?

Ça s’appellerait plutôt une autorité arbitrale ou arbitraire vu qu’il manque une procédure contradictoire préalable à l’application de la décision.



En fait elle s’embrouille les pinceaux puisque ce qu’elle a en tête est une action d’une vague autorité indéfinie en réponse à ce qu’elle estime être un “flagrant délit”. Sauf que du coup elle oublie de définir le “délit” (et ses modalités de caractérisation) ainsi que la “flagrance” (et les modalités par lesquelles elle peut être constatée), ce qui est assez pénible à entendre d’une députée <img data-src=" />



Et c’est quand même vachement important d’expliquer aux citoyens comment une telle “flagrance” pourrait être légitimement constatée si un “vilain pirate” utilise un VPN ? (je veux dire, sans interdire les VPN, et sans espionnage généralisé)





Qui accepterait de payer 1 milliard d’euros les droits de la ligue si cela n’est jamais rentable, (…)

(…) votre gamin qui va à son club le dimanche, club qui bénéficie du financement de la ligue grâce à la taxe Buffet (sur la cession de droits télévisés d’événements sportifs, NDLR).





Bon, j’ai cherché vite fait : d’après Eurosport la taxe Buffet c’est 5%. Soit par exemple 41 millions d’euros en 2013 c’est à dire les revenus de Lionel Messi la même année.

D’après BeinSports, le budget de la FFF pour 2018-19 est de 250 millions (un record) dont 32% pour le foot amateur soit 80 millions. Soit à peu près le double de la taxe Buffet.

C’est pas honnête de présenter les choses comme elle le fait… il faudrait encore y rajouter les subventions locales directes et indirectes… <img data-src=" />





Un décret de mars 92 interdit la publicité ciblée, selon la géolocalisation des téléspectateurs. Il n’a jamais été modifié. Pourquoi proposez vous d’autoriser ces publicités « segmentées » ?

Je ne comprends pas pourquoi on a perdu autant de temps, qui correspond à autant de pertes fiscales pour l’État, ni pourquoi on a laissé cette facilité aussi exorbitante aux « GAFA », qui n’ont pas cette contrainte-là.





Ben c’est juste par manque de cupidité, surtout vu que l’état n’est pas une entreprise à but lucratif. Autrement dit, c’est tout sauf un anachronisme, c’est juste fait pour interdire aux annonceurs de devenir des camelots interpellant les passants juste parce qu’ils passent par là : le téléspectateur n’a en principe aucune intention d’achat, il est devant la télé 📺 pour regarder un match de foot (par exemple) ; ce qui est très différent du badaud qui chine sur le marché aux puces.





Aujourd’hui, impossible pour TF1 de faire de la pub pour les pneus de montagne plutôt dans les Pyrénées ou les Alpes, et ailleurs pour de la crème solaire. Ce n’est pourtant pas intrusif dans la vie privée.





Ben du coup l’habitant des plaines sera mal informé avant ses vacances à la montagne ; et inversement. C’est carrément dangereux de prétendre que la pub puisse constituer une information de qualité suffisante pour le citoyen en matière de sécurité (ici, automobile) ou de santé (crème solaire).

Faut croire qu’elle a choisi ces 2 exemples parce que ce sont parmi les plus mauvais possibles. <img data-src=" />





Après on peut parler des missions, sont-elles assez clarifiées par rapport à l’audiovisuel privé, mais sur la question de principe, c’est un service public, tous les Français y ont accès, gratuitement.





Donc faut payer parce que c’est une question de principe (principe qui est évidemment bon). C’est pas crédible vu la quantité de pubs sur ce fameux “service public”… On devrait au minimum n’avoir aucune pub du tout 2424 (pas même les trucs du genre “votre météo vous est présentée par …”), et un accès complet à l’ensemble des archives puisqu’elle dit que ça finance aussi l’INA.

Ou alors elle raconte n’importe quoi et la redevance n’est qu’une partie marginale du financement de l’INA.





Aujourd’hui vous n’avez pas intérêt à acheter un film quelques euros si vous pouvez pirater sans contrainte, sans risque.





Sa dernière phrase ci-dessus est sa meilleure pépite, vu qu’à la 1ère question elle répondait :





Après, peut-être ces internautes ne mesurent-ils pas les risques que cela fait courir économiquement ou ceux qu’ils encourent eux-mêmes en faisant confiance à des sites ni fiables ni sécurisés.





Et au sujet des députés qui se contredisent, on peut leur faire confiance ou pas ? <img data-src=" />

Le 13/10/2018 à 10h 20







yl a écrit :



Ou se prendre des certifications pour leurs calculateurs dédiés à la conduite autonome dignes de l’avionique… Et là, exit tout ce qui est basé IA.





Jamais entendu dire que les pilotes automatiques des avions savaient éviter les vélos qui grillent les feux rouges… <img data-src=" />

C’est certain que ce n’est pas un niveau de certification suffisant !





Son amendement visait à affirmer que les données des voitures autonomes, parce qu’elles sont générées automatiquement et de ce fait ne sont pas créatives par nature, rendent selon lui « la protection du droit d’auteur ou le droit sur les bases de données inapplicable ».



Mais de quelles données il s’agit au juste ?

Tous les éléments fixes de la route (panneaux, feux, signalisation, etc.) ainsi que la route elle-même font partie du domaine public ou du privé libre d’accès (autoroutes, parkings, …), donc en général tout ce que la voiture autonome “voit” est déjà public si c’est un élément fixe.

Et pour les éléments mobiles, euh… il a quand même pas voulu dire que les gens qui se promènent dans le champ de vision des caméras de la voitures deviendraient des “données non créatives” ?

<img data-src=" />


Le 13/10/2018 à 07h 18

euh là… Je ne leur reproche pas de vouloir gagner leur croûte, et mon post ne vise pas RPS spécifiquement. Je dirais plutôt l’inverse en fait, puisqu’en refusant les lecteurs “non payants”, ils risquent d’en voir partir vers des sites “gratuits avec pubs/annonces/autres contenus sponsorisés/etc.”, d’où l’importance de ne pas négliger les méthodes des autres. Mais comme ils font ça crescendo, je suppose qu’ils y ont déjà pensé.



C’est aussi un peu de là que venait la comparaison avec les grolles : il avait fallu une réaction forte et majoritaire à l’époque pour que des boites concurrentes changent de méthodes de manière assez coordonnée pour éviter que l’une d’entre elles n’ait un “avantage compétitif” en conservant des méthodes mauvaises.



L’exemple de la sandwicherie a à voir avec l’idée « d’agression » et du « si je me sens agressé je vais ailleurs sans demander mon reste » fournie par Chim ; idée que je ne trouve pas très inspirée (sans pour autant en avoir de franchement meilleure à proposer…). Quand à la police, ça se pourrait qu’ils arrivent sans sonomètre, surtout qu’il sont déjà à moins d’une demi-minute à pied à l’entrée du métro et qu’ils patrouillent régulièrement dans le quartier (hyper-centre, risque terroriste, etc.)…



Ce qui est intéressant dans cet exemple de la sandwicherie, c’est que dans le quartier en question il y en a beaucoup et que c’est la seule à mettre du gros son aussi fort. C’est donc la situation inverse de « l’agression par la pub » décrite par Chim : dans le cas de la sandwicherie on peut assez facilement aller voir ailleurs et y acheter presque les mêmes sandwiches (ou d’autres très différents) ; dans le cas des sites financés par la pub… ? Est-ce que la ligne éditoriale et le ton journalistique du “concurrent sans pub” est le même ? Généralement non ; et cela rend quelque peu trompeuse l’idée de réfléchir à la pub en ligne en dissociant les publications du site ( = “le service”) des pubs qui y sont diffusées ( = “la méthode”).



PS: « (…) et tu ne passes pas devant RPS en allant sur un autre site internet (…) »

Ah bon ? Et moi qui croyait que le ouèbe était fait de liens hypertextuelistiquement cliquables pour favoriser la sérendipité du surfeur, elle-même génératrice de revenus par la profusion publicitaire… <img data-src=" />

Le 12/10/2018 à 19h 55







Chim a écrit :



Le service ne correspond pas à vos besoins (qualité, quantité, …) ou est fourni avec des méthodes que vous n’acceptez pas (trop de pub), pas de problème, n’utilisez pas ce service, cherchez une alternative.







La publicité étant souvent présentée elle-même comme un “service” rendu au public (en termes par exemple d’informations à propos d’un nouveau produit ; ou d’une promotion sur un existant ; ou que sais-je encore….) ; à partir du moment où ce “service” est imposé, même gratuitement et sans frais pour le public, ça devient de la vente forcée, non ? Est-ce que tu as déjà vu un vendeur de maison t’imposer de faire taguer des pubs sur les murs ou d’aller voir ailleurs ?



Pour celui/celle qui trouverait que le service “officiel” est OK, mais qui désapprouverait les méthodes ; ce que tu dis ressemble à une sorte de chantage. Un peu comme à l’époque où les grandes marques de chaussures les faisaient fabriquer par des enfants en Asie : ah ça oui, les chaussures étaient OK…. mais la méthode ? Et ils sont toujours là, après avoir changé leurs méthodes bien sur. Je veux dire par là que le fait d’aller voir ailleurs à cause de méthodes qu’on n’accepterait pas n’interdit aucunement de désapprouver lesdites méthodes au point de vouloir les voir disparaitre.







Chim a écrit :



Au début, les bloqueurs de pub étaient confidentiels, maintenant qu’ils sont connus assez largement, il y a un impact sur les rémunérations proposées par les pub.







Mais… l’objet, la raison d’être, l’essence, l’esprit, la fibre, la sève et le cœur d’un magazine comme RPS n’est pas de diffuser des pubs, ni des publi-rédactionnels, ni des articles sponsorisés. C’est le monde à l’envers de présenter la pub comme normale… alors qu’en réalité il s’agit d’une sollicitation non-désirée de l’attention de ton/mon/nos esprits…



La seule chose que je pourrais admettre en matière de pub, c’est que l’annonceur me paye moi directement et uniquement à condition que j’accepte de voir sa pub (en rêve…). Comme ça je pourrais utiliser cet argent (durement gagné puisqu’au prix d’un lavage de cervelle à coups de pubs ciblées…) pour financer moi-même librement mon abonnement à RPS ou autre ; et ainsi RPS ou autre serait déchargé de la tâche d’avoir à démarcher des annonceurs, et déchargé de l’anxiété née de la baise de ses revenus par les bloqueurs de pubs.







Chim a écrit :



Quand je vais dans un magasin dans lequel je me sent agressé par les vendeurs ou par l’omniprésence de la “pub” je n’y retourne pas, je vais voir ailleurs.







Y’a pas longtemps je me promenais sur l’avenue… le long de l’hôtel de ville (zone touristique), il y avait une sorte de sandwicherie avec du bruit très fort diffusé par des hauts-parleurs. Je crois que certains appellent ça de la musique, mais en fait c’est juste du bruit avec un rythme rapide et assez agressif, surtout avec le volume élevé. Ils se sont adaptés au fait que 9 personnes sur 10 ont un casque ou des écouteurs dans les oreilles, et ont donc augmenté le volume en conséquence pour se faire quand même entendre…

Est-ce qu’il faut dire aux touristes d’aller voir ailleurs ? Ce serait bien bête puisque c’est une avenue piétonne…


Le 12/10/2018 à 17h 39







kevinz a écrit :



Il faudrait un smiley :popcorn: pour les commentaires <img data-src=" />





Bel exemple de pure infox puisqu’il y en a déjà un que voici : 🍿🍿🍿🍿🍿

Par contre, c’est comme au ciné, ça fera 5 roros <img data-src=" />


Le 11/10/2018 à 16h 59

Ou alors les cartes Supermicro sont saines et ils cherchent à pousser à l’achat de cartes concurrentes qui sont elles équipées d’un truc espion, ce qui expliquerait que personne ne voit rien sur les cartes Supermicro….



ça, ou alors c’est de l’intrication quantique <img data-src=" />

Le 09/10/2018 à 19h 56







Transistance a écrit :



Je serais franchement curieux de savoir parce que moi j’en vois déjà trois sur la photo de profil du CI en question ce qui fait que selon toute vraisemblance, la puce possède six broches. Oui 6, pas 2 !







Nan c’est normal que t’en voie plus, c’est parce que tu t’es trop rapproché de l’écran et du coup tu vois les pixels rouges, vert et bleus séparément, ce qui fait 3. Et les 3 autres c’est parce que tu as un écran Trinitron. <img data-src=" /> <img data-src=" />







Transistance a écrit :



Vous pouvez donc douter de la choses sur plusieurs points mais pas sur l’aspect technique… et encore moins au motif (qui sort de nulle part) que la puce n’aurait pas assez de broches.







Perso j’ai pas dit l’contraire, 2 pattes c’est suffisant <img data-src=" />


Le 07/10/2018 à 18h 47







Gersho a écrit :



Je suis d’accord, mais si on reste sur l’analogie des médocs ça prend des années pour valider le moindre truc (et je ferai l’impasse sur les scandales, c’est pas le débat)







Voui, sur que la biologie et l’informatique sont des domaines différents, mais tu te trompes sur le temps que ça prend (ou prendrait) :




  • les médocs sont testés sur quelques poignées de volontaires et il faut du temps pour constater leurs effets (biologiques). Mais il y a peu de volontaires près à risquer leur santé ;

  • à l’inverse, on peut tester rapidement et en masse les MAJ sur quantité de PC, dont une part dédiés à ça (ils vont pas se plaindre), plus le fait qu’il est plus facile de trouver des volontaires près à risquer d’avoir à restaurer une sauvegarde !



    Si on calcule le temps comme étant non pas juste la durée « au calendrier » mais comme le temps de travail fourni, comme il y a déjà beaucoup de tests effectués en informatique, cela représente un temps de travail plus élevé (probablement de beaucoup), et pourtant au calendrier ça prends moins longtemps que de tester un médoc parce qu’il y a plus de personnes simultanément à le faire (et qu’une seule personne peut lancer des tests sur plusieurs machines).







    Gersho a écrit :



    Il y a un problème de savoir qui s’occuperai de cette entité, je doute que les USA laisse gentillement l’Europe exiger le code source de Windows, car faut pas oublier qu’il y a probablement des trucs que l’oncle sam veux garder caché. Et il y a plus ou moins aucune chance que les USA prennent ce genre d’initiative.







    Mais c’est quoi cette idée d’exiger le code source ? Ce serait même « contre-efficace » sur le sujet des MAJ puisque cela rajouterait le temps de relecture… Les médocs sont testés et validés au minimum en double-aveugle, parfois en triple (mais ça se développe), et certains réfléchissent à la manière de mettre au point des validations en quadruple. Les procédures ne sont pas toujours uniformes de par le monde, et pourtant quasi les mêmes labos et médocs se retrouvent dans beaucoup de pays.

    Y’a probablement pas besoin d’autant de gardes-fous pour des MAJs de Windows : le point central de la comparaison avec les médocs est la mise en place de procédures de validations clairement définies et strictement respectées, le tout ne peut qu’être indépendant de MS. C’est autre chose que de dire « ben y’a qu’à diffuser en avance les MAJ aux insiders qui veulent bien puis regarder ce qui se passe… »

    Derrière, pour toutes les boites qui utilisent Windows pour faire tourner leur activité, ça freine des quatre fers pour faire évoluer les parcs de machines… l’impact économique est important, et la fiabilité de l’OS aussi (MAJ comprises) : pour une entreprise, qui n’est pas un être biologique, le bon fonctionnement de son activité, c’est un peu comparable à l’idée de “santé” pour un humain.







    Gersho a écrit :



    Sinon perso je dual boot, c’est pas idéal mais j’utilise Win7 que pour jouer, donc ça passe.







    Y’a pas que les jeux… Je pense que le gros du problème est la position dominante de MS sur le marché, déjà que y’a bien assez d’attaques malveillantes (genre rançongiciels), il faudrait pas qu’en plus les MAJ deviennent un problème supplémentaire en étant imposées à distance au risque d’une perte de données ! Si je prends l’exemple de certaines professions libérales, par exemple, un cabinet d’infirmiers pour rester dans le domaine de la santé, ils peuvent avoir besoin d’un ordi pour tenir leur cabinet : prise de RDV, communications avec la caisse maladie, comptabilité, secrétariat. Ce ne sont pas des boites qui embauchent des informaticiens à temps plein, et je ne suis pas sur qu’une licence Entreprise de Windows soit appropriée (puisqu’il faut derrière qqun pour valider les MAJ, donc des frais pour le cabinet) : quand on voit que celle en-dessous, la Pro, est déjà bien chère pour n’apporter à ce cabinet que la fonction de report des MAJ de… 30 jours (si j’ai bonne mémoire), ça me fait dire qu’il faudrait rajouter des gardes-fous, d’où ma comparaison avec les médocs.



    voili voilà <img data-src=" />


Le 07/10/2018 à 16h 05







Gersho a écrit :



En gros tu voudrai que ça soit open source <img data-src=" />

Allez encore quelques news de ce genre et tu vas basculer chez le pingouin. ^^





Rhâââ… mais les médocs sont pas open-source, même génériqués en fait il me semble bien que le procédé de fabrication (du générique non breveté) reste couvert par le secret industriel.

Et puis les pingouins… tu sais, il existe des logiciels qui n’aiment pas du tout les <img data-src=" />… et le dual-boot et les VM, c’est lourd à l’usage <img data-src=" />


Le 07/10/2018 à 15h 40







Cashiderme a écrit :



Sauf que contrairement aux MAJ windows, personne ne vient te mettre le medoc de force dans la bouche une fois que tu as lu la notice. Dans ces condtions, autant la bloquer.





bof… bof… bof… il y a des vaccins obligatoires, et si un jour tu arrives inconscient aux urgences après un accident ou un malaise, ça se pourrait qu’on te mette des trucs de force pas que dans la bouche (perfusions, sondes, etc…). Voire carrément on t’ouvre au bistouri et on oublie quelque chose à l’intérieur avant de refermer… (heureusement rarissime)

<img data-src=" />





Gersho a écrit :



Tu veux dire genre…comme sur Windows 7 ?

Sauf que bien sur les descriptions étaient incomplètes voir mensongères.





Mais non pas comme Win7 : pour les médocs les notices sont visées par les agences du médicament : c’est aussi un peu ça l’idée, qu’un tiers indépendant puisse s’en mêler avant que la MAJ foire les données de profil de tout le monde (profil perso ou pro d’ailleurs). Actuellement c’est basé sur la bonne volonté des “Insiders”, et à en croire l’actu c’est pas tout à fait au point… <img data-src=" />

Ou alors ils ont voulu faire le buzz avec le prochain Terminator, genre c’est Skynet qui a tenté de prendre le contrôle des MAJ, mais c’est bon ils l’ont bloqué <img data-src=" />


Le 07/10/2018 à 12h 04







Gilbert_Gosseyn a écrit :



La réaction de Microsoft de tout bloquer a été la plus sage sur ce coup.







Pour une si faible proportion d’utilisateurs touchés ?

Dans le domaine des médicaments, on voit parfois des notices du genre « liste des effets indésirables fréquents (une personne sur dix) »… on n’interdit pas pour autant ces médocs !

Que leur décision ait été la plus sure n’en fait pas la plus sage.

Et en plus, en retirant la MAJ, cela empêche ceux qui voudraient mettre à jour en connaissance de cause de le faire ! Genre ceux qui sont confiants dans leurs sauvegardes et qui ont du temps à perdre à ça, je suis sur qu’il y en a !

Perso, je suis à 200% pour que MS diffuse ses MAJs avec des notices comme celles des médocs : un petit avertissement sur les effets indésirables fréquents/peu fréquents/rares, et hop, comme ça les gens seront libres de bien ou mal soigner leurs PC. :oui2:


Le 06/10/2018 à 15h 11







kwak-kwak a écrit :





  • Personne ne sait comment une puce avec seulement 2 pattes parvient à s’alimenter, et modifier un signal électronique à la volée, tout en survivant à une modification du firmware.





    …ah mais si si si, moi je sais <img data-src=" /> : par intrication quantique de deux atomes, l’un dans la puce, l’autre dans leurs labos, il leur suffit d’observer l’état de leur atome pour connaitre l’état de l’autre. Et comme l’intrication quantique est un phénomène qui s’affranchit des distances, il n’y a pas besoin de communiquer quoi que ce soit au travers d’un réseau, ce qui rend ce hack matériel indétectable.

    <img data-src=" />


Le 04/10/2018 à 20h 07







Quiproquo a écrit :



<img data-src=" />, bel effort !





💪🏻… mais je n’ai fait que de menues rectifications, pas plus <img data-src=" />

Et puis gaffe au jour où la réalité dépasse la fiction <img data-src=" />





OlivierJ a écrit :



Propos typique de quelqu’un qui n’a qu’une vague idée de la difficulté du boulot de juge. Tu penses que les mecs prennent des décisions à la légère ?

Il suffit de lire un ou 2 billets d’Eolas qui s’appelle “soyez le juge” pour comprendre un peu.





Oui mais c’est pas dit que ce genre de pédagogie soit représentative du travail, après tout le maitre n’est qu’avocat, et à en croire son twitter il lui arrive parfois d’être bat-avocat, donc du coup… 😏