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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 31/10/2018 à 21h 40

De manière assez ironique mais logique, ce ne sont pas les consommateurs directs des GAFA qui paieront ces taxes puisque ces consommateurs-là sont précisément le fondement du business des GAFA : elles seront simplement répercutées et absorbées ailleurs dans la chaîne de valeur (intermédiaires, salariés, etc.) voire même partiellement récupérées en supprimant des postes/bureaux dans les pays concernés.



La naïveté concernant l’utilité de - ou les résultats à - subventionner des « producteurs de produits » est confondante : le marché n’a pas besoin de plus de laisse, il a besoin de plus de laissez-faire.



Au final tout le monde va y perdre sans le savoir, sauf les politocards et leurs danseuses qui pourront afficher leur vertu anticapitaliste et continuer leurs extorsions : tant que les gens continuent stupidement non seulement à payer mais à réclamer de payer encore plus, pourquoi se priveraient-ils ?

Le 31/10/2018 à 12h 52

P. Hammond a annoncé une « proposition » de taxe, nuance.



Dans tous les cas et comme toujours, ce sont les consommateurs (dont les crétins qui la réclament) qui paieront in fine.

Le 31/10/2018 à 18h 48

Depuis le temps qu’on fait manger des couleuvres aux gens, le retour de bâton est assuré. Tu as oublié le président normal dans ton futur noir.

Le 31/10/2018 à 16h 43

La méthode utilisée (gradualisme ou dite du syndrome de la grenouille) n’est pas nouvelle : on commence petit, puis on avance doucement, point par point avec éventuellement un décalage dans le temps, pour faire accepter ce qui ne l’aurait jamais été si proposé d’emblée en entier.



C’est la méthode de base de tous les totalitaristes en herbe (même ceux qui ne se connaissent pas). On sait comment cela commence mais on sait aussi comment cela finit.





“L’homme vivant sous la servitude des lois prend sans s’en douter une âme d’esclave.”

— Georges Ripert

Le 31/10/2018 à 18h 31

Basique n’implique pas fausse. Et je le cite très rarement, on n’a pas (du tout) les mêmes valeurs. Kant a conclu la même chose il y a plus de 2 siècles.

Le 31/10/2018 à 17h 07

Tu préfères une citation :

“The smart way to keep people passive and obedient is to strictly limit the spectrum of acceptable opinion, but allow very lively debate within that spectrum — even encourage the more critical and dissident views. That gives people the sense that there’s free thinking going on, while all the time the presuppositions of the system are being reinforced by the limits put on the range of the debate.”

— Noam Chomsky. The Common Good.





Les idées en question sont celles de la protection de la liberté, et de la liberté d’expression en particulier : 80 % ne semble pas très élevé mais si c’est ta seule complainte… <img data-src=" />

Le 31/10/2018 à 16h 24







OlivierJ a écrit :



Tu fais exprès ou quoi ?

D’une part, il n’a pas forcément posté les mêmes choses sur toutes les plateformes, Gab étant très tolérant sur les discours haineux.

D’autre part, les plateformes comme FB et compagnie exercent un certain contrôle (imparfait) sur ce genre de prose.

Et enfin, la raison de la fermeture de Gab, c’est pas juste du fait de Robert Bowers, c’est un tout, et il y a des précédents (cf l’article).





Si 35 commentaires peuvent être assimilés à « particulièrement actif », je comprends que tu ne comprennes pas et dévie la conversation. Gab n’est pas fermé, loin de là. Il ne faudrait pas prendre les fakenews (même issues de ce site) pour la réalité ; comme le rappelle le patron de gab :

It doesn’t matter what you write. It doesn’t matter what the sophist talking heads say on TV. It doesn’t matter what verified nobodies say on Twitter. We have plenty of options, resources, and support. We will exercise every possible avenue to keep Gab online and defend free speech and individual liberty for all people.



You have all just made Gab a nationally recognized brand as the home of free speech online at a time when Silicon Valley is stifling political speech they disagree with to interfere in a US election.



The internet is not reality. TV is not reality. 80% of normal everyday people agree with Gab and support free expression and liberty. The online outrage mob and mainstream media spin machine are the minority opinion. People are waking up, so please keep pointing the finger at a social network instead of pointing the finger at the alleged shooter who holds sole responsibility for his actions.



No-platform us all you want. Ban us all you want. Smear us all you want.



You can’t stop an idea.











OlivierJ a écrit :



Bienvenue dans le monde binaire. Comme si on ne pouvait pas être pour la liberté d’expression, tout en étant contre l’appel à la haine et au meurtre.





Réflexion typique de la bien-pensance franchouillarde biberonnée à l’étatisme liberticide rampant et à la sensiblerie démagogique des SJW/NPC locaux exposant leur pseudo vertu humaniste hypocrite.

Aux USA la liberté d’expression est totale comme le rappelle constamment et unanimement la Cour Suprême US [1] : Hate speech is free speech.









OlivierJ a écrit :



T’as pas toujours ce discours comme sur cet article.





Tu dérailles. C’est ma position axiomatique que l’individu doit pouvoir s’exprimer librement comme il l’entend. Dans le marché aux idées, les bonnes surpasse(ro)nt les mauvaises parce que les contraintes du réel sont nécessairement ontologiques et servent in fine de filtres. Si on bloque le discours d’une seule personne, on se retrouve bientôt à bloquer celui des autres, et par extension le sien. Le droit collectif à la liberté d’expression est plus important que la réaction d’un (groupe d’)individu. Il y a un devoir fondamental, certes inconfortable mais nécessaire, à protéger le discours quelque soit son contenu.



[1]https://www.mediaite.com/online/supreme-court-decides-hate-speech-is-free-speech…


Le 31/10/2018 à 13h 11

Un ex. : l’article en haut affirme que « Robert Bowers […] était particulièrement actif [sur gab.com]. ». Or il apparaît que cet individu n’avait posté que 35 fois sur gab.com alors qu’il était aussi présent sur Facebook, Instagram, Twitter, etc.



Pourquoi ces autres plateformes n’ont-elles pas été sanctionnée de la même manière ?



Soit on défend la liberté d’expression soit on la combat. Mais si on la combat, on ne peut pas se prétendre défenseur de cette liberté à moins de cultiver l’incohérence, la malhonnêteté et la fourberie.



On a ici le prototype d’une fake news de désinformation allant dans le sens du vent dominant citant sélectivement les sources allant aussi dans le même sens. C’est à vomir.

Le 31/10/2018 à 12h 59

Oui, ça devrait donner à réfléchir…

Le 30/10/2018 à 15h 13

Certes, mais si tu ne changes pas de farine, ton pain restera mauvais.





Je parle de tous ceux qui correspondent au profil défini plus haut.

Le 30/10/2018 à 14h 56

Pas la peine, puisque c’est ton invention.



Je ne combats pas des noms mais des idéologies. Si tu veux des noms lis/écoute/regarde les « médias traditionnels » : ceux qui t’intéressent sont là sur toutes les pages/chaînes.

Le 30/10/2018 à 12h 00

Inventer une position que le contradicteur n’a pas tenue histoire d’avoir une broutille à répondre est stupide, depuis le temps qu’on te le dit. <img data-src=" />



Le fascisme rôde partout, surtout là où on refuse le voir. Il suffit d’observer qui passe son temps à utiliser le terme à rebours de son sens, qui réclame l’abolition du restant de liberté, qui exige la mise au pas du système économique, pousse à la redistribution coercitive, au protectionnisme, à l’augmentation de la fiscalité comportementale et punitive, etc. Ceux-là sont les véritables fascistes et ils sont présents partout.



(On a encore changé de président ?)

Le 29/10/2018 à 20h 19

Je ne te cite pas vu la vacuité de la réponse.



« fasciste » est un mot à la mode qui évite de se regarder dans le miroir. Comme l’écrivait Pierre André Taguieff dans Les contre réactionnaires,

Quand les « fascistes » demeurent invisibles , les antifascistes ne concluent jamais qu’ils n’existent pas, ils s’empressent de les inventer. … L’opium « néo-antifasciste » permet aux intellectuels de gauche les plus invertébrés, désertés par la pensée et le courage, de se supporter eux-même.





Et les remplacer par des sites d’informations convenables, c’est trop demander/impossible ?

Le 29/10/2018 à 10h 44

Le jour où on verra le NYT enquêter sur les dérives (extrême-)gauchistes de musellement de la diversité politique et de l’encouragement tacite à la même violence qu’ils dénoncent pour y parvenir… le tout en traitant implicitement ceux qui ne veulent pas de leurs chaînes idéologiques de « fascistes », une inversion assez comique de l’Histoire, ce jour-là n’est certes pas pour demain.



Il ne faut donc pas s’étonner du rejet des « médias traditionnels » et de l’accusation de « conspirationnisme » par les désinformateurs-conspirateurs eux-mêmes : le mouvement synchrone (à quelques rares exceptions près) vers le PC et la langue de bois de convenance, la promotion généralisée de l’idéologie majoritaire rouge-verdâtre, l’avancement politique des pseudosciences consensuelles au dépend de la Science traditionnelle, de l’abaissement volontaire du niveau d’instruction, etc. n’est pas une fatalité.

Le 31/10/2018 à 15h 27

Nice try. Je n’ai mis de mots dans la bouche de personne, donc merci de ne pas m’accuser de cela.



1/ Je ne vois pas en quoi différentier ingénieur et chercheur est pertinent. Les innovations techniques et technologiques, qui font que la condition humaine s’améliore, sont le fait du privé (des « industriels ») à +99 % que ce soit ici où aux USA. La recherche pure y contribue marginalement.



2/ C’est un mythe basé sur un modèle économique linéaire erroné et utilisé comme symbole politique par le lobby de la recherche [1]. Comme l’écrit si bien Benoît Godin [2] :

“The problem is that the academic lobby has successfully claimed a monopoly on the creation of new knowledge, and that policy-makers have been persuaded to confuse the necessary with the sufficient condition that investment in basic research would by itself necessarily lead to successful applications.”

— Benoît Godin. Chercheur en innovation à l’Institut National de la Recherche Scientifique (Montréal)



3/ Comme si le privé ne faisait pas de recherche ! <img data-src=" /> Pourquoi ne pas utiliser la curiosité/la connaissance/le savoir comme justifications vraies et honnêtes ? Ce serait moins trompeur. Il ne faut pas s’étonner que les gens se détournent de la Science quand ils se rendent compte qu’elle les trompe.



4/ Les études économiques montrent que la contribution est faible, mais chacun est libre de rester sur ses fausses doctrines. Et confondre le savoir avec la recherche est assez comique, je dois dire.



[1]https://sciencepolicy.colorado.edu/admin/publication_files/2012.20.pdf

[2]http://www.csiic.ca/PDF/TheMakingOfScience.pdf

Le 31/10/2018 à 11h 33

Il est décevant qu’un(e) soit disant scientifique ait recours à un tel procédé illogique, ici inventer des propos : je n’ai pas écrit que l’impact était « aucun » mais seulement « faible », ce qui n’est ni une insulte ni malhonnête (comme de mettre des mots dans ma bouche, par ex.).



Où sont toutes ces « études sur le sujet » ? Dans une revue de la littérature de 55 pages [1], on lit par ex. que :

The overall rate of return to R&D is very large, perhaps 25 percent as a private return and a total of 65 percent for social returns. However, these returns apply only to privately financed R&D in industry. Returns to many forms of publicly financed R&D are near zero.







J’ai déjà fait tout cela et j’ai apprécié et mon temps au labo, à la paillasse et la formation qui en a résulté, merci. Mais la concussion par les intéressés et leur technostructure de soutien à faire perdurer le mythe de l’utilité économique/sociétal qui caractérise la justification du financement de la recherche (publique) est un système pervers, inefficient et fondamentalement trompeur dont la réalité ne va pas disparaître pour autant. Noter que j’ai la même position sur le financement par les gouvernements (de la recherche) des firmes privée.



Je comprends que remettre en cause ce mythe fabriqué déplaise, mais vivre sur une duperie n’a pas de sens.



[1]https://www.bls.gov/ore/pdf/ec070070.pdf

Le 31/10/2018 à 10h 50

Le 31/10/2018 à 09h 00

Commencer une réponse en extrémisant ma position, déformant mon propos et en changeant de sujet… wouah <img data-src=" />

Le 30/10/2018 à 19h 19

Tout à fait d’accord ! Mais certains (quidams et experts !) pensent encore que les retombées vont être miraculeuses, ou qu’on va être largué (on l’est déjà) si on ne jette pas de l’argent ici ou là sur les trucs à la mode en espérant que le vent soufflera dans le bon sens pour espérer en récupérer un peu…



Ce qui est irritant, c’est cette façon malhonnête de faire croire (sans le dire bien sûr) que ce milliard (et les autres avant lui) va avoir (ont eu) une quelconque incidence (sauf cygne noir) sur la sphère économique.

Le 30/10/2018 à 19h 07

Et les résultat sont que :



1/ sur les 15 premières firmes du numérique, toutes sont US sauf 1 chinoise ;

2/ sur le top 200, seules 8 sont EU ;

3/ les US ont 97 « licornes » quand l’EU n’en a que 14.



Alors oui, on sait jeter des millions/milliards par la fenêtre (à la française, je dirais). Mais la situation devrait faire réfléchir aux racines du mal plus sérieuses (lire institutionnelles) qui expliquent cette « légère » différence.



Et prendre les mesures (peu coûteuses) pour « tuer » ces racines. Comme cela ne semble pas possible vu que les parasites qui en profitent sont ceux qui ont les commandes et préfèrent taxer ceux qui réussissent, les Anglais ont montré la voie.

Le 30/10/2018 à 14h 49

Tout à fait, et on peut même le déterminer maintenant : le résultat est le gaspillage de cet argent.

Le 30/10/2018 à 14h 47

Pour une personne travaillant supposément dans la recherche, il faudrait quitter la paillasse, sortir du labo et acquérir une vision globale du service rendu par la recherche publique (réponse : faible) en terme économique.

Le 30/10/2018 à 12h 03

Il n’y aura pas de résultat.

Le 31/10/2018 à 12h 45

Pourquoi tout le monde s’obstine à traduire dark en « noir(e) » alors que ça veut dire « sombre » ?

Le 31/10/2018 à 09h 51

Je ne comprends pas comment ils n’ont pas encore pensé à faire payer une redevance mensuelle indexée sur un quelconque indicateur (qui augmente bien sûr) afin de toucher le pactole, vu que l’usage des espaces de stockage est permanent.

Le 31/10/2018 à 09h 11

En fait je redécouvre. J’ai hésité à mettre « à cause » car d’abord je respecte le travail fourni dans cet article et secondement mes 2 essais précédents (il y a longtemps) à apprivoiser ces systèmes n’ont pas été concluants bien que choisis sur la base de l’attrait perçu de leur interface. Celle-ci est moche.

Le 30/10/2018 à 18h 41

Certes, mais tout le monde n’est pas tombé dans la marmite. Donc je découvre, « grâce » à cet article…

Le 30/10/2018 à 16h 55

Pouah ! On dirait une interface macOSisée <img data-src=" />.

Le 30/10/2018 à 18h 46

Je ne vis pas dans « les autres pays » (pas encore du moins), donc je ne sais pas et cela m’avancerait à quoi de le savoir ?

Le 30/10/2018 à 16h 44

Who care? Le principe de la dématérialisation, c’est de supprimer le papier, pas de rajouter une étape tout en conservant la chaîne papier initiale.



Un ex. en cours : pour pouvoir activer le service fiscal dit « Payer » (spécifique aux pro) pour une société à l’IS, alors que la procédure est dite « dématérialisée », on est obligé d’envoyer un PDF papier de demande de substitution et attendre 15 jours la réponse d’acceptation par courrier, avant de pouvoir envoyer le PDF papier de demande d’adhésion au dit service et attendre 15 jours la réponse d’acceptation par courrier, avant de pouvoir envoyer le PDF papier de déclaration de nouveau compte bancaire et attendre 15 jours la réponse d’acceptation par courrier, avant de pouvoir envoyer le PDF papier de demande d’adhésion au prélèvement et attendre 15 jours la réponse d’acceptation par courrier, j’en suis au courrier n° 2 actuellement. <img data-src=" />

Le 30/10/2018 à 15h 20

La dématérialisation à la française, c’est quelque chose que seule la technostructure française a pu inventer car elle consiste la plupart du temps à remplir un formulaire borné où il manque des cas particuliers qui sera finalement généré en PDF qu’il faudra imprimer et envoyer par courrier : c’est juste ubuesque (mais français).

Le 26/10/2018 à 15h 56

Doublon

Le 26/10/2018 à 15h 09

1/ Il y a beaucoup trop de suppositions sans intérêt dans le 1er § pour que j’y consacre un demi neurone.



2/ Cette vision linéaire théorique de la recherche (publique) était à la mode il y a 70-80 ans : en réalité, elle ne contribue que de manière marginale à la croissance et l’innovation, c’est à dire in fine à la création de richesse, la seule métrique digne d’intérêt pour l’humain (cf travaux de Robert Solow, prix Nobel).



Les chercheurs des institutions publiques ont évidemment tout intérêt (financier, carrière, prestige, etc.) à laisser propager le mythe de leur propre indispensabilité (du moins pour ceux qui ne sont pas totalement économiquement ignares).





PS : c’est aussi un mythe qu’Internet a été créé par la recherche publique US : c’est en fait un chercheur d’une boîte privée (Bolt, Beranek & Newman) qui a proposé l’idée de base en 1960 en discutant d’un réseau informatique reliant les ordinateurs entre eux par réseau large dans un rapport ayant pour titre « Man-Computer Symbiosis » :





A network of such [computers], connected to one another by wide-band communication lines [which provided] the functions of present-day libraries together with anticipated advances in information storage and retrieval and [other] symbiotic functions.




  • J. C. R. Licklider

Le 25/10/2018 à 17h 13

J’ai déjà un doctorat et j’ai mieux à faire que du suivisme.



Comme mentionné plus haut, je ne m’intéresse pas aux personnes mais aux faits : rien n’indique aussi bien théoriquement que pratiquement qu’il soit possible d’extrapoler la faisabilité d’un QPU à 1 M de qubits à partir d’un à 100 qui n’existe en plus que sur le papier, soit 4 ordres de grandeurs d’écart tout de même. Il n’y a pas 36 méthodes pour combler un tel gouffre.



Je pense que ce domaine n’a rien d’une priorité publique, alors que l’industrie est déjà (comme souvent) en avance de 10 ans.

Le 25/10/2018 à 16h 51

C’est la différence entre l’industrie et la recherche, pour paraphraser l’autre participant… l’une avance sans se préoccuper de l’autre qui philosophe et tente de suivre à coup de millions de l’argent des autres.



Avec cette logique, personne ne fera jamais de CPU quantique (QPU). S’ils savaient ce qu’ils faisaient, on ne les appellerait pas des chercheurs (oui, il y a des chercheurs dans l’industrie).



Je m’interroge sur le sens de vouloir réaliser un QPU à 100 qubits pour prouver qu’un à 1 M est faisable : je ne vois pas comment on peut procéder. Je ne remets pas en cause les compétences de quiconque.

Le 24/10/2018 à 16h 42

Qui va croire que c’est en recherchant/concevant sur 100 qubits qu’on va pourvoir automatiquement avoir des réponse de la faisabilité à 1 M ? Par modélisation, extrapolation ou autre esbroufe à la mode en pseudoscience ?



Difficile d’être convaincue par les motifs avancés : mais peut-être est-ce seulement un paravent pour protéger des idées, auquel cas soit.

Le 24/10/2018 à 10h 37



À l’heure actuelle, ce serait le processeur quantique le plus puissant du monde



Quand il sortira, s’il sort un jour, il sera en retard de dix ans parce que les autres seront à cent fois plus de qubits (DWave a un QPU à 2000 qubits depuis 2017).

Le 25/10/2018 à 19h 24

Ils sortent de la fabrique à crétins (EN), comment leur en vouloir.

Le 24/10/2018 à 10h 58

On peut être techniquement excellent et se comporter comme un(e) imbécile, l’un n’excusant pas l’autre. Si ce type de comportement devient majoritaire, il devient difficile pour les autres de contribuer.



Cela ne veut pas dire qu’on cherche à tout rabaisser à la moyenne : on peut apprécier les saillies de Torval (ou non).



Il est nettement souhaitable que les acteurs d’une communauté se prennent en charge en essayant de régler leurs problèmes par eux-mêmes plutôt que de se retrouver du jour au lendemain régulés de manière coercitive et unilatérale par une entité étrangère extérieure.



De ce point de vue, ces acteurs sont ici réalistes et leur proposition de code tout à fait compréhensible.



Il ne faut jamais avoir travaillé dans une atmosphère de harcèlement pour rejeter une telle initiative.

Le 24/10/2018 à 07h 50



ceux œuvrant pour la prévention des atteintes aux intérêts fondamentaux de la nomenklarura parasite politico-administrative qui a pris le pouvoir de la nation





C’est corrigé.

Le 22/10/2018 à 15h 19

1/ Le sophisme était dans la dernière phrase (confondre la carte avec le territoire). Et si tu ne goûtes pas au sarcasme en réponse à 0 argument, je n’y peux rien.



2/ Je ne vois pas l’ombre d’un rapport ou d’une réponse appropriée, donc <img data-src=" />

Le 21/10/2018 à 18h 50







Cashiderme a écrit :



Bien sûr que si.



Ah OK. Maintenant je suis convaincue. L’industrie du régime est fichue. <img data-src=" />







Cashiderme a écrit :



C’est un syllogisme tout à fait valable, au contraire.



Il n’y a rien d’immoral à avoir des envies. Ce qui pourrait l’être serait d’opérer une de ces envies en action effectivement immorale, ce qui reste à prouver. Confondre les deux est illogique (et absurde).


Le 21/10/2018 à 17h 10

À part se poser là aussi en maître à penser qui délivre la bonne parole et à mettre tout le monde dans le même sac, une opinion en la matière a ~zéro valeur face à celles objectivement échangées, c’est à dire relatives aux besoins, envies, demandes, nécessités, etc. (tu nommes cela comme tu veux, il n’y a aucune différence sur le fond) des individus et des réponses sous forme de régimes qui y sont apportées avec succès par ceux qui les produisent. (Le sophisme de la dernière phrase n’est pas mal non plus.)

Le 21/10/2018 à 16h 02

Quand on n’a rien à dire on s’attaque à la personne, c’est d’un classique…

Le 21/10/2018 à 16h 01







Radithor a écrit :



Vous avez raison, vous ne présupposez rien, vous êtes simplement hors-sujet en ignorant le fait que ces régimes sont des produits qu’une industrie agro-alimentaire vend en faisant des bénéfices. Vous auriez raison si le CA était en berne, mais jusqu’à preuve du contraire, cette industrie ne se tire pas une balle dans le pied.





C’est une habitude de faire toujours à côté ? Après le « marketing » sorti du chapeau, les « bénéfices/CA » qui tombent du ciel.



Je pointais juste qu’inclure le secteur des régimes dans le domaine de l’agro-alimentaire est délicieusement ironique (et stupide).



Pour répondre : que ce secteur gagne de l’argent montre seulement qu’il répond à des besoins, il est donc soci(ét)alement utile. Donc moralement inattaquable. Point.



Un média subventionné comme Arte ne peut pas en dire autant. Mais se permet de se poser continuellement en donneur fumeux de leçons idéologiques, de diffuser des contre-vérités à pratiquement chaque documenteur, et pire, de fustiger ceux qui lui permette d’étaler son fumier anti-culturel sans que rien d’utile ou d’intéressant n’y pousse : dans un monde sensé, ce merdia devrait être crucifié sur l’autel de l’honnêteté intellectuelle.


Le 20/10/2018 à 12h 23

Je ne vois pas bien où j’ai présupposé quoi que ce soit sur le « marketing », je constate seulement les sophismes et l’incohérence habituels des documenteurs d’Arte.



Les individus ont des besoins vitaux, donc ils consomment. Voilà une bonne « raison ». Il se trouve qu’en plus de leurs besoins les individus sont intelligents (en moyenne), donc ils sont réceptifs à un discours. Le marketing n’est rien d’autre qu’un discours qui tente de convaincre.



C’est effarant de voir encore des gens présupposer que leurs congénères sont des commutateurs stupides alors qu’eux se prennent sans doute pour l’élite éclairée du monde s’étant donné pour tâche de guider la plèbe. <img data-src=" />

Le 19/10/2018 à 20h 55



Des pseudo-études vantant des régimes qui profiteraient à l’industrie alimentaire





Toute l’industrie alimentaire ou seulement l’industrie de la substitution qui n’a rien d’alimentaire puisqu’on parle de régimes ici, c’est à dire de (quasi) non-alimentation ?



En plus de la méthode qui consiste à mélanger les genres et du classique sophisme à généraliser abusivement, Arte en dénonçant certes correctement ces pseudo-études ne fait rien d’autre que le jeu de la réelle industrie alimentaire qu’elle prétend stupidement combattre. Où comment se tirer une balle dans le pied.



Arte est passée maître dans l’art de l’incohérence.

Le 19/10/2018 à 11h 29

Cet article est trompeur : il laisse entendre qu’il existerait un monde quantique et un monde classique, ce qui est erroné. Il n’y a qu’un monde, et il est quantique. Ce que l’on perçoit à notre échelle n’est qu’une « moyenne », une approximation, une limite des interactions du monde quantique. L’apparence du « monde classique » découle de règle quantiques universelles.

Le 19/10/2018 à 11h 02



On ne peut pas se laisser se faire voler nos élections.



C’est déjà le cas depuis toujours. Quand les seules propositions du marché politique verrouillé par les partis sont de recommencer les mêmes âneries par les mêmes amateurs encore et encore, le vol est caractérisé.



L’ennemi est à l’intérieur.







On a vu ce que ça a fait aux États-Unis



Ah ? une autre fake news.

Le 18/10/2018 à 09h 16

Qu’est-ce qui te fait croire que tout ce que kevinz a écrit ne devrait pas s’appliquer à mon cas particulier, que cela justement explique mes écrits à l’égard de l’étatisation rampante de l’agriculture (entre autres) ?



Ma position a une logique que tu refuses de rationaliser parce qu’elle contredit tes dogmes. Je pourrais effectivement me passer de subventions, mais je n’ai aucune envie de travailler pour me voir confisquer les fruits de mon travail, m’imposer comment je dois travailler et, plus grave encore, voir une activité multimillénaire fondamentale pour la société salie par des escrocs ignares, incompétents et disons-le fascisants.



Je fais donc le minimum. Je suis en grève.



Et comme vous choisissez, vous qui votez, de soutenir ceux qui créent, maintiennent et renforcent année après année cet état de fait soci(ét)alement préjudiciable, vous en payez logiquement, c’est à dire financièrement, les conséquences de vos actes.



QED.