votre avatar

tmtisfree

est avec nous depuis le 19 avril 2006 ❤️

7067 commentaires

Le 10/12/2019 à 19h 12







js2082 a écrit :



Heuuu…

Quand on voit que les entreprises chinoises sont subventionnées à coup de dizaines (voire centaines) de milliards pour se développer sur leur marché et à l’international, le jeu  de la concurrence et du marché est quand même très très relatif…

<img data-src=" />



L’Europe avec ses 3.2 milliards d’aide, ça fait petit joueur à coté.





Et donc parce que les autres appauvrissent leur population en dépensant des fonds énormes qui relèvent normalement des investissements des entreprises, ce qui contribue à diminuer les prix de leur marchandises pour notre plus grand avantage, la manière la plus intelligente de faire est de tenter de les imiter en jetant des miettes par la fenêtre ?


Le 10/12/2019 à 12h 25







Idiogène a écrit :



Car les stratèges chinois ou taïwanais réfléchissent et pondent des lois de prospective ?





Les plans quinquennaux et le saupoudrage de circonstance, on ne voit plus ça que dans les euroSoviets. Les autres n’en ont pas besoin, ils jouent le jeu du marché. Ou : pourquoi dépenser quand d’autres le font mieux et pour moins cher. Les concepts de spécialisation et d’avantage comparatif ont quand même un quart de millénaire de réussite…


Le 10/12/2019 à 10h 37

En l’Europe l’innovation se décrète à coup de milliards balancés dans la nature avec 20 ans de retard, pas étonnant que les secteurs les plus en pointe se développent partout ailleurs.



Ici et comme chaque fois pour ce type d’annonce, le seul “intérêt” est la façade politique : l’effet d’aubaine va jouer à fond et le résultat final sera un flop qui ne retentira pas puisqu’aucune analyse post mortem ne sera réalisée pour comprendre que le fiasco (financier) était inéluctable.

Le 06/12/2019 à 18h 39







alex.d. a écrit :



Tu réponds à côté de la plaque : je ne parle ni de Banque Centrale ni de la gestion de la politique monétaire, je te dis juste que l’état est garant de la valeur de la monnaie.





Tu peux répéter cette stupidité autant de fois que tu veux : l’État ne garantit rien du tout, à part extorquer et faire de la dette. D’ailleurs la monnaie n’est même pas une mesure de la valeur, alors de là à la garantir… c’est juste un rideau de fumée collectiviste pour maintenir le statu quo du monopole (“le cours légal”).



De plus il existe des centaines de monnaies strictement privées dont, comme toute les monnaies, l’existence et le futur sont conditionnés à la seule confiance des utilisateurs. C’est tout.


Le 06/12/2019 à 12h 06







alex.d. a écrit :



C’est un peu plus compliqué que ça : l’état est garant de la valeur de la monnaie, du coup un truc sur lequel l’état n’a pas de prise n’est pas une monnaie, c’est un actif. Si tu veux t’en servir pour payer, c’est du troc.





En théorie ce sont les banques centrales (BC) qui “gèrent” pas l’État même si en pratique ce dernier essaie de contrôler. Le mandat des BC n’est pas de “garantir la valeur de la monnaie”, mais au contraire de l’éroder (cible inflationnaire à 2%), ainsi que quelques autres prescriptions keynésiennes. Une monnaie n’a d’autre fin que de servir de support de payement.









alex.d. a écrit :



C’est facile de dire que l’état fait chier, mais il n’empêche, sur le fond ils ont raison. Qui aura des comptes à rendre quand il y aura des problèmes de protection des consommateurs, à la vie privée, à la fiscalité, à la cybersécurité et à la résilience opérationnelle, au blanchiment d’argent, au financement du terrorisme, à l’intégrité du marché, à la gouvernance et à la sécurité juridique s’ils autorisent la Libra ? Bah c’est l’état. Et tous ces cas vont engorger les tribunaux, payés par tes impôts.





Les tribunaux sont justement là pour être l’arbitre indépendant et rectifier la conduite. Quand il n’y pas de contre-pouvoir, comme en situation de monopole monétaire, on voit à quoi cela conduit : à des crises récurrentes parce que les mêmes politiques foireuses conduisent systématiquement aux mêmes maux. Et donc quand un acteur du marché propose une solution (très limitée en plus) pour essayer d’améliorer le système, la solution de nos étatistes qui foirent tout depuis 1800 est bien entendu de privilégier leur monnaie et leur politique de total désastre.



Le seul marché (monétaire) qui fonctionne est un marché (de banque) libre.


Le 06/12/2019 à 10h 15







WereWindle a écrit :



du coup tu serais plutôt pour rajouter de l’incertain sur un truc qui est déjà bancal ?





“Bancal” est un euphémisme, vu l’étendue du désastre des monnaies non privées. Dans ces conditions, l’incertain n’est pas nécessairement une mauvaise chose. D’ailleurs en général, expérimenter est neutre : seul le résultat peut être jugé.



Ici on observe bien qu’on défend le pré carré vu que les risques supposés (cf la dernière phrases) sont déjà tous avérés pour les monnaies étatiques.



C’est un peu comme si tu accusais ton voisin de la rage alors que c’est toi qui bave.


Le 06/12/2019 à 09h 31



Les cryptomonnaies privées comme le Libra de Facebook ne devraient pas être autorisées à l’intérieur de l’Union européenne tant que les risques qu’elles sont susceptibles de poser n’auront pas été clairement réglés



Alors que de l’autre côté les crises répétitives, l’inflation/perte de pouvoir d’achat, la survalorisations des actions, les taux négatifs, la création monétaire abjecte, les passe-droits en dettes et déficits par l’entremise d’obligations d’Etat qui ne valent moins que le papier sur lesquelles elles sont bradées, tous ces fiascos des monnaies étatiques se suivent et ressemblent. Les responsables et coupables des risques systémiques sont parfaitement identifiés, mais rien n’est fait pour les interdire…



Il faut dire qu’ils sont en charge de l’asile, le conflit d’intérêts (au sens propre) n’aide pas.

Le 06/12/2019 à 10h 28

Zéro intérêt pour l’individu à part conserver le monopole des extorqueurs déjà en place, tracer (aka “sécuriser”) un peu plus les transactions et à terme supprimer le cash qui fait notre liberté d’agir dans l’anonymat.

Le 06/12/2019 à 09h 18







espritordu a écrit :



Complètement fallacieux.



Que l’on relève plus de violences conjugales dans des jeunes couples ne veut pas forcément dire qu’il y a de plus en plus de violences conjugales dans les jeunes couples. C’est peut-être tout simplement … qu’on les relève plus !

Il ne faudrait pas oublier qu’avant la diffusion massive du porno il y a quelques décennies battre sa femme et ses mioches n’avait rien d’un acte répréhensible mais relevait de la sphère privée.





C’est plus que fallacieux, c’est faux tout court.



Les études sur les répercussions attendues supposées (ou plutôt leur absence ici) des jeux vidéo violents sur les joueurs le démontrent : ils n’ont aucune influence sur le niveau de violence réel.



Mais comme tout ce cirque est basé sur un modèle comportemental simpliste mais intuitif à comprendre (en gros l’éponge), personne n’a intérêt à le remettre en question. Pas les scientifiques qui travaillent dessus depuis des lustres (“la science a parlé”™), pas les politiques qui les financent et s’en servent comme caution, pas les psys puisque c’est leur gagne-pain, etc.



Ce n’est pas le seul domaine où si le modèle n’est pas en phase avec la réalité, la réalité va devoir être modifiée pour s’adapter au modèle…


Le 03/12/2019 à 12h 41

250 ans plus tard, certains s’étonnent encore des mécanismes de fonctionnement de l’économie (de marché libre). Mieux vaut tard que jamais. <img data-src=" />



Mais le vocabulaire militaire employé dénote surtout (toujours et probablement à jamais) une totale incompréhension de leur utilité soci(ét)ale, alors que la capacité de l’économie à créer et distribuer de la valeur n’est qu’une conséquence du fait que le système est aussi naturel et cohérent que la réalité elle-même.

Le 03/12/2019 à 12h 20







Vesna a écrit :



Avec la sérialisation le datamatrix fonctionne en parallèle d’une base de données nationale gérée par le ministère de la Santé qui répertorie les boites encore en circulation, en temps réel. Cette base de données est alimentée par les sites de production et de distribution.

En bout de chaine le pharmacien ou l’hôpital scanne la boite, si le datamatrix correspond à une boite encore dans le circuit alors elle sort du circuit, si la boite n’est pas dans le circuit alors il y a un problème (datamatrix endommagé, contrefaçon, autre raison).

&#160solidarites-sante.gouv.fr République Française

C’est actuellement en place et cela fonctionne, des contrefaçons ont déjà été trouvées.

La fraude consiste à vendre deux fois la même boite (pour se faire rembourser deux fois par la SS), c’est impossible avec la sérialisation puisque chaque boite a une code unique.



Peut-être qu’on ne parle pas de la même chose ?





Effectivement, on ne parle pas de la même chose.



Merci pour le lien, je me demandais d’où venait l’exceptionnelle connerie de la nouvelle fermeture à usage unique des boîtes de médocs, maintenant je le sais <img data-src=" />


Le 03/12/2019 à 09h 10







fofo9012 a écrit :



Pour les codes barres rien ne dit qu’ils seront intégré dans le code-barre produit (c’est quasi impossible de remplacer l’EAN existant), il est probable que ce soit un code barre supplémentaire contenant lot / DLC.





Effectivement, ce n’est pas intégrable dans l’EAN13, le standard mondial de tous ce qui est manufacturé. Il existe l’EAN128 (il a un autre nom maintenant) qui comprend des champs comme la durabilité, n° de lot, DLC et autres.









fofo9012 a écrit :



En l’état je ne vois pas comment ce serait applicable de changer le code bar principal. Il faudrait imposer un changement de toutes les chaines de production pour quelle soit en mesure d’imprimer un code barre 2D & de logistique du monde, changer toutes les caisses enregistreuses de l’hexagone, tous les terminaux de picking utilisé par les employés, et remettre aux normes toute la chaine logistique.





C’est ce qu’on appelle programmer de l’obsolescence…









fofo9012 a écrit :



C’est inimaginable, et aurait un cout faramineux : Ex tout con (découvert par la chaine pharmaceutique) lire un datamatrix codebarre en 2D est légèrement plus lent d’un EAN en 1D soit plus de queue aux caisses de supermarchés, ou des pickeurs Amazon encore plus stressés…





C’est imaginable puisque la députaillerie l’a fait mais elle s’en fout. Les bonnes intentions de façades, aussi ineptes soit-elles, trompent la réalité. Non seulement plus lent, mais le prestataire impose très souvent le remplacement de tous les postes (en plus des douchettes) pour la mise à jour vers Datamatrix. Autant dire que l’ardoise peut devenir salée. Je me souviens du remplacement il y a quelques années de l’UC (Win98 vers WinXP lol) et du sous-système de saisie vers Datamatrix d’un robot de chez Rowa qui avait coûté plus de 15000 €…


Le 03/12/2019 à 08h 59







Vesna a écrit :



Il y a un intérêt : c’est la serialisation. On peut tracer chaque boîte de médicament pour éviter les fraudes et la contrefaçon.





Le n° et lot et la date de fabrication sont déjà en clair sur les boîtes et bien plus lisibles. De plus le Datamatrix utilisé n’est pas sécurisé contre la fraude, et n’importe quel bout de script peut en fabriquer à la demande.



Donc non.


Le 02/12/2019 à 23h 39







Vesna a écrit :



Sur les boites de médicament il y a une partie “human readable” imprimée juste à côté du datamatrix, pas de souci à ce niveau-là. Il y a un coût pour imprimer ce datamatrix, ce coût est faible mais il existe.





Je sais bien que la date de péremption figure sur les boîtes de médocs, tout le monde peut le vérifier.



Le coût ne se limite pas à imprimer du Datamatrix : toute la chaîne en aval doit savoir le lire. En pharmacie, les seuls qui s’en servent est la minorité qui a un robot ou un automate et qui scanne les produits en entrée : la gestion de périmés est alors automatisée. Pour tous les autres il a fallu changer toutes les douchettes pour 0 bénéfice.



En clair sous prétexte de lutter contre l’obsolescence programmée, on va programmer l’obsolescence de tous les appareils qui créent et lisent les codes barres de toutes les chaînes de production et distribution qui vont devoir les jeter et les remplacer pour satisfaire la lubie de quelques escrolos ignares.



On ne peut qu’applaudir ce fantastique fiasco. <img data-src=" />


Le 02/12/2019 à 23h 19







Tirnon a écrit :



Sauf qu’elle ne sera pas là en remplacement de la DLC numérique et n’importe quel smartphone est déjà capable de lire un code barre.





Ce qui veut donc dire que la principale justification avancée pour l’imposer tombe : les consommateur n’ont aucun intérêt à se servir d’un téléphone quand il suffit de lire la DLC.



Le reste des explications n’est pas plus tenable, à moins de considérer que les dépités savent mieux que les industriels et commerçants comment gérer leur business. L’exemple donné en pâture est encore plus débile si c’était possible : sous prétexte que la DLC du datamatrix d’une pomme est dépassée, on devra légalement la jeter alors que son aspect est 100% correct.



Et après on viendra faire une loi pour limiter le gaspillage. <img data-src=" />


Le 02/12/2019 à 17h 20



aux vendeurs, bien entendu « sans frais »



Il faut vraiment être de la députaillerie (inculte donc) et/ou prendre les gens pour des niais pour croire que tous les coûts supplémentaires induits par ces stupidités escrolos ne vont pas être à la charge du client final. <img data-src=" />







prévoyant que les codes-barres intègrent, à partir de 2025, « la date limite de consommation



Ce qui va nécessiter la modification de tous les process (EAN13 vers Datamatrix comme en pharmacie) dans toutes les industries concernées, et dont les coûts non négligeables vont être là aussi répercutés vers le consommateur.



Ce qui est sûr, c’est la DLC intégrée en Datamatrix ne va plus du tout être lisible par un humain !



Well done chaps!

Le 03/12/2019 à 11h 48







alex.d. a écrit :



Pourtant ça ne semble pas plus déraisonnable que l’extraterritorialité du droit américain.





Ou le chantage français sur la météo à long terme pour essayer d’imposer à l’Australie des sanctions unilatérales et conditionner la réussite de l’accord de libre-échange avec l’UE…



On n’est pas à une hypocrisie près dans le Landerneau politique français…


Le 03/12/2019 à 09h 38

Avec un Trump en face, il n’y avait pas besoin de sortir de l’ENA pour savoir que la riposte à de la taxation spécieuse serait rapide et frapperait là où ça fait mal.



Le résultat attendu sera encore une fois à la hauteur des fiascos précédents, mais avec Lemaire on ne s’attendait pas à moins. Il peut bien parader alors que Bercy est aux abois et que l’État vit à crédit depuis mi novembre.

Le 02/12/2019 à 19h 25



Le capitalisme de surveillance serait dès lors une forme de « Pari de Pascal » créé, vendu et entretenu par les marchands du Temple.



Wouah ! Le scribouillard pharisien qui a pondu cette “torcherie” s’est fait plaisir pour faire passer en douce ses opinions dont on se fout royalement ! Note : nous sommes tous capitalistes maintenant, deal with it!







il liste les quatre principaux problèmes associés à cette croyance



dont aucun ne remet en cause sur le fond l’utilité de l’activité :

1/ la fraude : argument stupide. Il existe de la fraude fiscale, ce n’est pas une raison pour arrêter le fisc.

2/ les mesures : 0 argument. Rien ne démontre que le standard n’est pas pertinent.

3/ le contrôle : argument bidon. Le ciblage publicitaire n’est plus fait au hasard ou presque comme jadis, il est beaucoup plus fin que par le passé où l’espace publicitaire avait une granularité très grossière (jusqu’au bassin de population).

4/ plus de pub : position extrémiste. Une autre tout aussi valable est que trop de pub tue la pub…



Le dernier exemple en guise conclusion est tout aussi trompeur : Procter & Gamble n’a fait qu’optimiser son budget pub, il n’y a rien d’anormal là dedans et ça ne remet sûrement pas en cause cette industrie.



Bref, article à charge mais vide dont l’intérêt n’a rien d’évident. Un peu comme les émissions d’E. Lucet…

Le 28/11/2019 à 16h 42







yvan a écrit :



Le sujet de départ c’est la mondialisation. Que tu réduis toi même aux 50 dernières années.





C’est juste une observation : les échanges commerciaux globaux avec l’explosion de firmes à dimension mondiale, certaines plus importantes en capitalisation que le PIB de certains États, datent de moins de 50 ans.









yvan a écrit :



Ces 50 dernières années un marché libre de toute régulation étatique n’a pas existé hors de micro échanges de particuliers à particuliers dans des régions isolées ou en guerre et le système économique des échanges mondiaux est de type capitaliste régulé par les états même s’il n’y a pas que des capitalistes qui pratiquent.





Il existe des millions de marchés de par le monde, partout et à chaque instant, qui ne sont ni régulés ni taxés, il faut sortir de ton trou et de ta bulle idéologique. Par ex. rien que cet après midi, j’ai vendu diverses choses à un individu que je ne connaissais pas (et réciproquement) ; aucun parasite n’est intervenu. Le marché de gré à gré est si commun qu’on ne le voit même pas.



C’est toute manière HS avec le point de départ qui est que la mondialisation est le fait des agents économiques agissants pour la réaliser, et non de parasites opérants pour l’empêcher ou la réduire. Logics 101.



Fin de transmission.


Le 28/11/2019 à 11h 51







yvan a écrit :



Quand est ce que ce type de système a existé? Ou?





Depuis qu’on a daté les 1ers échanges commerciaux, c’est à dire il y a plus de 10000 ans. Rares sont des notions avérées plus anciennes à tel point que le premier prénom connu est celui d’un comptable…



Note que je n’ai pas parlé de “capitalisme”, un HS une fois de plus qui confirme ton manque chronique de compréhension et ta confusion mentale habituelle, mais de “marché libre”.


Le 27/11/2019 à 20h 25







Cumbalero a écrit :



En effet, un gros siècle, le premier exemple étant le marché de la banane. Et en effet, rien que du privé dans sa création et son extension, les États intervenant plus tard pour introduire de la régulation, comme la préservation des Antilles françaises qui n’ont pas été englouties par Chiquita.





La mondialisation a à peine 50 ans. On ne peut pas qualifier de “mondialisation” l’existence de quelques marchés entre quelques emplacements géographiques.


Le 27/11/2019 à 16h 21







Idiogène a écrit :



Mises réfute la mesurabilité de la valeur comme généralisable… donc gros il dit qu’entre un traité de lui-même et Kant il n’a pas d’avis. <img data-src=" />





Tu fais une fois de plus honneur à ton pseudo… <img data-src=" />


Le 27/11/2019 à 15h 13

Ex. qui ne contredisent pas mon point et logorrhée marxiste habituelle sans fondement.



Que la monnaie soit physique ou pas est immatériel. Mises l’a très bien démontré, lis le texte du lien, tu apprendras quelque chose sur ce qu’est le concept de valeur…

Le 27/11/2019 à 15h 05







yvan a écrit :



Sauf que les nations unies n’ont pas le même type de graph pour les périodes concernées

https://unstats.un.org/unsd/trade/imts/Historical data 1900-1960.pdf





Il y a 0 graphique dans ce PDF.









yvan a écrit :



1 Tu bricoles sur le fond

2 Tu n’as toujours pas répondu à ce que tu considères comme la période récente de la mondialisation et tu indiques même comme contre arguments la financiarisation de l’économie (Bretton Woods, les états) et quasi suppression des tarifs je suppose douaniers, donc encore les états qui soutiennent le phénomène. Sans parler de la dématérialisation qui est directement issue de l’investissement de l’armée US dans la Sillicon Valley et de l’entente dans les années 90 entre les opérateurs nationaux pour faire un réseau mondial <img data-src=" />

Dans le genre se tirer des arguments dans le pied…





J’ai répondu puisque tu arguties…

Les États n’ont seulement défait les barrières qu’ils avaient installées : corriger ses erreurs ne fait que retomber dans la normalité, la naturalité, du système de marché libre. Ceux qui agissent tous les jours à faire cette mondialisation une réalité voient juste leur travail facilité et la valeur revenir à eux et à leurs clients (le public). Tes ex. sont comme d’habitude sans rapport.









yvan a écrit :



Tu joues sur les mots, une moindre contrainte à certains acteurs économiques qu’au reste de la société est une subvention.





Même si c’était le cas, tu dévoies le sens des mots et nullifie la valeur des concepts, ce qui est bien plus grave encore. Non, ton affirmation révèle juste une totale ignorance de la matière comptable en plus d’être une escroquerie intellectuelle inqualifiable : au plan comptable une moindre extorsion est comptabilisée en une moindre taxation, rien d’autre.



Je laisse de côté le reste, sans intérêt, HS, révisionniste ou halluciné.


Le 27/11/2019 à 14h 20







yvan a écrit :



Celui qui répond systématiquement à côté devrait juste se taire, surtout sur un sujet aussi triste et en parlant d’une époque où valeur et argent sont identiques puisque monnaie or.





L’Espagne est moins riche que les USA qui ont commencé avec rien sans piller personne… et non argent et valeur n’ont rien à voir ensemble.


Le 27/11/2019 à 14h 15







yvan a écrit :



Hors pauses pendant les guerres mondiales il n’y a aucune cassure dans l’extension du phénomène depuis l’ère moderne… où et quand fais tu démarrer la mondialisation récente?





Le niveau des échanges internationaux a fondu entre la 1ère guerre mondiale et les années 1950 et il n’a été rattrapé qu’au début des année 1970.

Il y a 2 donc dates charnières : les années 70 (financiarisation, automatisation, normalisation (palette, conteneur, etc.)) et les années 90 (quasi suppression des tarifs, robotisation, dématérialisation), que l’on observe d’ailleurs sur le graphique.



On peut en déduire 2 choses : la finance n’est pas le diable, et les taxes sont mauvaises.









yvan a écrit :



Pour remonter au propos d’origine, à quel moment la mondialisation s’est elle fait sans le soutien actif des états, même si on considère une période récente (à définir) ? Sachant que les droits de douane ont plus d’un siècle (donc pas récemment) et que les états ont tendance à les lever depuis 50ans, que le transport international est soutenu des deux mains par les états via le soutien financier aux constructeurs d’avions, les dérogations fiscales pour les carburants et le droit en général (droit du travail, sécurité…) via le maintien et la défense des paradis fiscaux, de zones franches, via les déploiements militaires pour sécuriser la marchandise etc.





Jamais. Les États ont toujours été des adversaires du commerce quels que soient son étendue et l’époque considérée, et ont profité des échanges sur les marchés pour leur propre intérêt parasite puisque par définition l’État est non seulement incapable de créer de la valeur mais passe son temps à la détruire. Le soutien financier pour les avions n’est que du protectionnisme déguisé, les constructeurs sont parfaitement capables de vivre sans. Les dérogations fiscales ne sont pas des subventions, ce sont juste de moindres extorsions. Le reste est sans rapport direct ou importance.









yvan a écrit :



C’est probablement très jouissif (psychiatriquement? <img data-src=" /> sans déconner) de reprendre les gens comme des enfants de maternelle mais les attaques ad hominem ne remplacent pas une argumentation cohérente.





Je me permets le décorum que j’estime nécessaire pour ridiculiser comme il se doit les inepties, arguments fallacieux et autres stupidités illogiques. Si tu t’identifies personnellement à tes fadaises, c’est ton problème psychologique pas le mien.


Le 27/11/2019 à 10h 17







Beurt-le-vrai a écrit :



<img data-src=" />



Colonisation, commerce triangulaire, etc…. Noooon ça n’a pas rapporté d’argent à l’occident ! Ça a juste fondé les impérialismes économiques toujours en vigueur, mais bon, tu as sûrement dû être bien « réinformé ».





Celui qui commet la faute grossière de confondre argent et valeur devrait commencer à apprendre les fondements de l’économie.


Le 27/11/2019 à 10h 14







yvan a écrit :



Je ne suis pas marxiste,





Personne n’a dit que tu l’était, apprend à lire.









yvan a écrit :



et je reprend juste ce qu’en dit le consensus universitaire.





Révise l’Histoire récente plutôt que de succomber à un “consensus” (pré)fabriqué.









yvan a écrit :



La marine marchande se développe pour faire vivre le système de plantations de Gorée qui s’étend ensuite au nouveau monde et à une partie de l’asie. Ca fait suite aux grandes découvertes des grands explorateurs etc. Qui fait du gloubiboulga?





Toi. En quoi cela a un rapport avec la mondialisation récente des échanges ? Aucun. Ou alors il faut aussi considérer que le commerce préhistorique d’obsidienne est aussi de la mondialisation. Juste débile.


Le 26/11/2019 à 12h 52







lanoux a écrit :



vont être contant chez national géographie d’pprendre que leur documentaire d’hier n’était que du Gloubiboulga<img data-src=" />







Les mythes entretiennent l’idéologie chez les rouges :



Pour les marxistes, la spécificité de l’aventure coloniale était d’offrir des débouchés à la production nationale. Ni l’observation ni le raisonnement ne le confirment :




 – l’observation nous montre que l’économie française n’a pas été renforcée, au contraire, par la période coloniale, tant budgétairement qu’industriellement.   

– le raisonnement nous dit qu’un débouché doit être solvable : « qui n’a rien ne peut rien payer ». Les colonies françaises étaient très peu peuplées, contrairement aux britanniques. Leur populations étaient pauvres et n’avaient pas de ressources en devises (nécessaires pour que les producteurs français puissent payer leurs employés). Pour les devises, il leur fallait exporter vers la métropole ou des pays tiers. Ce à quoi se sont efforcés, avec un succès limité, certains colons (vins d’Algérie, caoutchouc africain ou indochinois) et certains « indigènes » (cacao) grâce aux infrastructures payées surtout par la métropole et un peu par les ressources locales. Mais il devient alors très difficile de distinguer ce qui est « colonial » de ce qui est « activité économique normale ». Les pays qui, à l’indépendance, ont décidé que « tout » était à eux se sont la plupart du temps trouvés face à des coquilles vides ou des entreprises lourdement déficitaires après le départ des responsables coloniaux, ce qui illustre qu’on ne leur « prenait » rien … Et ils ont souvent ensuite demandé aux pays du Nord de revenir investir… Ce qui rétablit le sens initial du mot « exploitation » ( « mise en valeur »), loin de son usage marxiste de « prélèvement indu ».




  • source



    La relation avec la “mondialisation” est une fable marxiste de plus.


Le 28/11/2019 à 11h 40







choukky a écrit :



Ça c’est la théorie, dans la pratique le contraire est aussi valable. <img data-src=" />





Si un produit est moins (ou plus du tout) acheté, c’est qu’il y a moins (ou plus du tout) de marché et donc il sera moins (ou plus du tout) fabriqué. Il n’y a pas d’autres possibilités logiques (du moins dans un marché normal).


Le 27/11/2019 à 20h 12







Idiogène a écrit :



Les consensus scientifiques ne sont pas spécialement en cause. C’est la performativité des modèles qui l’est.





Le consensus climastique n’est basé que sur des modèles : déjà ils sont circulaires, ce qui implique que même s’ils étaient corrects ils ne peuvent rien prouver que l’hypothèse programmée. Et si les modèles sont incorrects, et ils le sont, le consensus n’est qu’un nonsensus.









Idiogène a écrit :



Ensuite, la prédictibilité d’un modèle dépend de ses paramètres physiques qui eux seuls peuvent permettre des prédictions quasi-absolues.





En théorie, pour certains modèles oui. Mais en pratique en climastrologie, les paramétrages sont utilisés par les modeleurs comme variables d’ajustement pour masquer les dérives non physiques des équations qui n’ont pas de solutions connues et qui sont donc approximées.

Une autre technique grossière employée pour cacher la misère est de réaliser des ensembles de modèles, en assumant faussement que les erreurs vont disparaître par un moyennage (note : il n’y a qu’un seul climat).



Des “prédictions quasi-absolues” sont une illusion dans un système complexe comme le climat. Même le GIEC le reconnaît :



“In climate research and modelling, we should recognise that we are dealing with a coupled non-linear chaotic system, and therefore that the long-term prediction of future climate states is not possible.”

— IPCC report, TAR Section 14.2 “The Climate System”, p. 774.



Mais on fait comme si le problème n’existait en se disant que personne ne verra rien ou qu’il va disparaître en proclamant un consensus…









Idiogène a écrit :



Quant aux données recueillies c’est aux responsables des stations météo qu’il faut s’en prendre, pas aux scientifiques…





Les données brutes météo comportent leur lot de problèmes, et en particulier leur utilisation inadaptée dans un cadre d’étude climatique (stations des aéroports ou urbaines par ex.). Ce dont je parle est le révisionnisme (lire truandage) systématique de ces données pour qu’elles collent avec les modèles.









Idiogène a écrit :



Il n’y a pas beaucoup d’ignares dans les réchauffistes, il y a une tendance confirmée de toutes part. Le seul problème c’est le catastrophisme qui explique qu’il existe des responsables directs et un droit à la bonne conscience carbone leur répondant. Le reste n’est pas utile.





Quand je parle des réchauffistes, je ne vise pas spécialement les supposés climastrologues qui ont leurs propres motivations et intérêts à faire perdurer l’escroquerie mais des niais qui se contentent d’ahaner et braire ce qu’on leur dit de penser.


Le 27/11/2019 à 16h 32

Elle visait à illustrer mon point précédent : tous les pseudo “consensus scientifiques” finissent au trou.



“dont le domaine de recherche est encore bien trop jeune et mal connu pour parler de consensus”

C’est tout l’inverse, ce que montre amplement l’Histoire des Sciences : parce que justement la science est jeune, on essaie de l’établir en faisant miroiter du consensus inexistant puisque systématiquement réfuté plus tard comme le montrent les ex. de la liste.



Le réchauffroidissement climastrologique suit le même chemin : pas de théorie physique valide, pas de données probantes, pas de modèles corrects etc. en un mot, rien. Rien que de la parade et des anecdotes matinées de politiques avec ses cortèges habituels de croyants, de fous furieux et d’ignares.

Le 27/11/2019 à 15h 20







KP2 a écrit :



C’est la justification facile pour raconter n’importe quoi d’anti-scientifique… Fait gaffe, il te faudra pas longtemps pour croire à la mémoire de l’eau à ce rythme.

C’est bien connu que les plus grands génies scientifiques sont tous morts dans l’ignorance totale.





Croire est ton opium, pas le mien. Moi je ne crois pas, je suis convaincue par des arguments, et les tiens et ceux des croyants réchauffistes sont spécieux et scientifiquement nuls.



Liste non exhaustives des consensus erronés remplacés :

Copernic, Galilée et l’héliocentrisme

Ernst Chladni et les météorites

John Snow et le choléra

Dr Semmelweis et l’hygiène médicale

Darwin et l’évolution

L’éther et la vitesse de la lumière

Wegener et la dérive des continents

Joseph Goldberger et le pellagre

George Zweig et les quarks

L’eugénisme (début XXème siècle))

Barry Marshall et les ulcères

Stanley Prusiner et les prions

Le refroidissement climatique (1970-1980)

Barbara McClintlock et les transposons

Edward Krug et les (fausses) pluies acides

Exposition au Soleil et cancers

Nutrition (lipides, sel, viande, cholestérol, etc.)

Relation non linéaire avec seuil et hormesis (1950-2010)

La maladie d’Alzheimer (1980-2010)


Le 27/11/2019 à 14h 45







KP2 a écrit :



Je ne considère pas comme une marque d’intelligence de tellement vouloir aller contre un consensus scientifique au point d’en arriver à sortir des théories complotistes niant la réalité… Mais bon, si tu veux entretenir ton complexe de supériorité de cette façon, grand bien te fasse.





Le jugement de celui qui n’est assez courageux pour faire son travail de recherche et qui ne fait que répéter ce qu’il tient de 3ème ou 4ème main a zéro valeur.



La destinée d’un consensus scientifique est de finir dans les poubelles de l’Histoire, comme tous les consensus précédents.





“The object of life is not to be on the side of the majority, but to escape finding oneself in the ranks of the insane.”

— Marcus Aurelius


Le 27/11/2019 à 14h 40







Groupetto a écrit :



C’est vrai pour les externalités négatives qui INpactent une propriété privée (une nouvelle usine qui pollue le terrain des agriculteurs aux alentours), mais c’est plus compliqué pour les biens communs (“the tragedy of the commons”). Dans ce cas, c’est quand même dur de se passer des Etats.





Je pense que c’est le contraire : l’État comme tous les parasites ne peut pas se passer de nous. Il a inventé des concepts fictifs et autres buzzwords illogiques électoralement appétants (“biens communs”, service public”, “intérêt général” etc.) qui ne servent que de paravent pour justifier son existence mais dont les contradictions internes ne peuvent naturellement manquer de se découvrir.



Dans ce cas évidemment, ce sont les droits de propriétés qui ne sont pas définis. Le seul rôle (et encore, mais admettons pour le moment) de l’État est de protéger ces droits une fois définis.









Groupetto a écrit :



Certains économistes recommandent d’imposer un prix minimum (et croissant dans le temps) aux énergies fossiles. Pour que ça passe mieux que la “taxe carbone” à la Macron, il faudrait redistribuer une partie de l’argent collecté aux plus pauvres, qui ne pourraient sinon pas la supporter.

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/pas-de-taxe-carbone-sans-dividende-carbone-1023110





Un “économiste qui recommande d’imposer un prix minimum ” n’est pas un économiste mais une danseuse au service de son maître. Les énergies fossiles sont déjà hyper taxées, et redistribuer ce que a déjà été prélevé n’est juste qu’une nouvelle usine à gaz administrative comme seule des technocrates peuvent en imaginer.









Groupetto a écrit :



J’ai souvent les mêmes remarques dans mon entourage, tu es pas la seule personne (à priori) éduquée à être climato-sceptique. La controverse du “hockey stick” a fait beaucoup de mal.

Je vais pas trop commenter là-dessus…je pense que tu te trompes, mais c’est un autre sujet.





J’ai fais mon boulot de recherche à la différence de la plupart quasi totalité (des ignares) qui commentent.


Le 27/11/2019 à 13h 42







KP2 a écrit :



C’te troll <img data-src=" />



C’est con, le reste est intéressant… c’est juste dommage d’ajouter cette illustration anti-scientifique alors qu’elle n’a aucun interet dans la démonstration.





Cette ignorance !



Mon exemple est une excellente illustration mais si tu dormais pendant les cours de biologie et de physique, tu peux toujours (essayer de) rattraper ton retard maintenant.



Curieusement beaucoup de poseurs préfèrent le choix de la fainéantise et de laisser à d’autres le soin de penser et réfléchir à leur place. C’est comme cela qu’on se retrouve avec une meute d’ignares sophistiques et arrogants.


Le 27/11/2019 à 12h 21







Groupetto a écrit :



“Dès lors pourquoi vouloir imposer tes besoins aux autres contre leur volonté en leur faisant payer plus cher ce qu’ils désirent acheter ?”



-&gt; sur le principe, tu as raison, mais en pratique, les prix actuels ne prennent pas correctement en compte les effets sur l’environnement (pollution, réchauffement climatique…les “externalités négatives” comme on dit).



Si les prix étaient plus élevés (pour prendre en compte ces externalités), les consommateurs changeraient moins souvent de matériel et se dirigeraient vers des producteurs “vertueux”, qui font des produits réparables. En l’occurrence, les prix du matos électronique sont bas, et ça ne se passe pas comme ça.



C’est ce que le régulateur veut éviter, en essayant de mettre un prix sur les externalités qui ne sont pas suffisamment prises en compte par le marché. C’est pas parfait, mais c’est mieux que rien.





Ce qui caractérise les externalités (coûts externes), c’est précisément qu’on ne peut ni les comptabiliser ni les intégrer, sinon il y a longtemps qu’on l’aurait fait.



En ce qui concerne les externalités positives, il n’y a rien à faire en ce sens que le consommateur involontaire n’a rien demandé au producteur de l’externalité. Pas d’échange volontaire, pas de valeur. En revanche, c’est à la justice d’apprécier les externalités négatives au cas par cas, en fonction des droits de propriété, ce qu’elle fait généralement très bien. Encore faut-il que la propriété privée soit reconnue et respectée par l’État.



On pourrait être tenté de demander à l’État de définir la valeur des externalités négatives et de les compenser par des taxes ou des régulaions. Mais c’est en vain car l’État est par nature et par destination incompétent dans ce domaine (non régalien) et ne peut produire que de l’arbitraire, arbitraire qui n’est pas une malencontreuse externalité mais la conséquence directe d’interventions inappropriées dans son champ d’incompétence.



Les diverses tentatives de taxes carbones et leur rejet systématique par la population révoltée illustrent l’incompétence étatique de manière spectaculaire. Alors, il ne reste plus à l’État que la violence pour imposer son injustice, en attendant qu’il renonce ou qu’il s’effondre.



Il existe également des externalités négatives imaginaires. Par exemple, la croyance que le CO₂ serait une pollution et aurait une influence non marginale sur le climat est une externalité négative purement fantaisiste. Pourtant, les émissions de CO₂, parce qu’elles favorisent la croissance des plantes, sont en réalité une externalité positive non seulement non rémunérée mais, pire encore, lourdement taxée au nom d’une croyance farfelue. Double injustice.



Il convient donc d’aborder le sujet des externalités avec une infinie prudence, faute de quoi on crée plus de mal que de bien. Enfin, on note que ce sont les pays les moins respectueux de la propriété privée (URSS, Chine, Haïti, Corée du Nord…) où l’externalité négative de la pollution est la plus importante…


Le 27/11/2019 à 10h 40







Fuli a écrit :



Je suis POUR !





Réflexe conditionné.









Fuli a écrit :



Il manque aussi une précision: le cout de changement de batterie/accu doit être économiquement rentable: j’imagine mal avoir besoin de passer par le SAV pour changer une batterie pour un cout supérieur au prix d’un produit équivalent reconditionné.





Le coût sera nécessairement supérieur et ne dépend ni de toi ni des politiques, heureusement

 







Fuli a écrit :



Je viens de découvrir la joie des onduleurs tout publics de marque APC. La gamme Back-UPS référencée BX.

Pas cher à l’achat, une fois la batterie usée il n’est pas possible de ramener le produit dans un centre agréée pour changer la batterie =&gt; rachat d’un autre onduleur (j’ai changé de crémerie, eaton même en gamme eco permet le changement de batterie). Sinon je vais quand même changer les batterie de l’APC, mais du coup faut jouer du tournevis et c’est hors garantie. J’ai besoin de la garantie d’où le rachat. L’autre onduleur reservira pour autre chose ou la garantie n’est pas importante.





Attitude responsable qui permettra, si les autres agents économiques ont les mêmes besoins que toi, de sortir du marché ce type de produits.



Dès lors pourquoi vouloir imposer tes besoins aux autres contre leur volonté en leur faisant payer plus cher ce qu’ils désirent acheter ?



On pourrait appeler cela l’impérialisme individuel incohérent et égocentrique.


Le 27/11/2019 à 15h 36



l’Université de Californie a décidé que l’addition était trop salée et a rompu son contrat avec Elsevier : « en 2018, l’établissement a dû débourser 11 millions de dollars pour que ses chercheurs puissent accéder à 1 500 journaux scientifiques appartenant à Elsevier,



Il fallait débourser 5 ou 6 millions pour payer les bureaucrates qui s’occupent de “diversité”, d’“équité” et autres inepties socialos… autant les prendre sur les crédits recherche.

Le 27/11/2019 à 10h 46



Il n’est pas simple de tirer des conclusions des jugements techniques émis par les experts qualifiés



Amen.



C’est vrai dans tous les domaines, et là on ne parle que de machines simples (càd non complexes au sens scientifique) et de phénomènes purement déterministes.

Le 27/11/2019 à 09h 54







Patrick_C. a écrit :



Tant que tout le monde est en capacité de te fournir les produits, il n’y a pas de problème. Quand on laisse le monopole à un pays sur un produit essentiel (alimentation, énergie, technologie), on se met en position d’être sous tutelle de ce pays. Si ce pays n’est pas démocratique (type Chine) ou dérive à l’extrême droite (type US), on se met en position de devoir appliquer les décisions de ces pays sur notre territoire en contradiction avec nos valeurs (ex Chine qui veut empêcher la critique de son système aux chinois en Europe, mais aussi US qui imposent leur vision de sanctions selon leur vision de la démocratie variable).

  Nous avons déjà expérimenté ce genre de pratique sur l’alimentaire (accord protéine imposé par les US), il n’y a aucune raison de recommencer.





J’ai déjà répondu plus haut : ce n’est pas parce que les autres ont des politiques anti-économiques – c’est à dire anti-soci(ét)ales – qu’il faut les imiter, et les postures protectionnistes – c’est à dire nationalistes – de type “stratégique”, “vitale” ou autres coquilles vides de sens ne sont toujours pas plus convaincantes que les arguments de A. Smith qui les ont réfutées définitivement en 1776.


Le 27/11/2019 à 09h 48







Patrick_C. a écrit :



Alors on regarde la dépense de santé aux US (privée ton rêve apparemment)





Ce n’est pas “mon rêve”, la dépense n’est pas “privée” aux USA, et il n’y a aucun besoin de comparaison pour observer et constater le fiasco quotidien en terme de QoS (exécrable) et d’€ (trop coûteux) des sévices publics à la française que le monde nous envie mais ne copie pas.



6500 milliards de dettes publiques pour en arriver là, et on se pose en donneur de leçon !


Le 27/11/2019 à 09h 43







Patrick_C. a écrit :



Intéressante la vidéo, surtout pour les commentaires qui contredit ce que vous pensez:

“The top 10% in US pay higher proportion of income taxes because income inequality is far greater in US compare to Sweden and they take in a higher proportion of total incomes. In 2014, US top 10% earned 47% of the total incomes, Sweden top 10% earned 28%.“Bref, l’affirmation qui dit que c’est les pauvres qui payent la solidarité est foireuse, car de fait la société suédoise est moins inégalitaire que la société US.





Il ne faut pas confondre une supposée intention ou une conclusion préétablie avec la réalité des chiffres : la proportion payée par les riches en Suède étant beaucoup plus faible que celle payée les riches aux USA, cela implique nécessairement que les suédois pauvres sont plus taxés.



Le concept d’inégalité n’a de sens que dans celui d’accès aux biens et service. Tout autre notion est économiquement stupide, socialement inepte et ne dérive que de la jalousie et/ou de l’envie de mécréants incultures et/ou idéologiquement possédés. Autant dire inintéressants.


Le 27/11/2019 à 09h 22

Si tu veux faire ton cybersophiste libre à toi, les gesticulations individuelles ne m’intéressent pas plus que celles étatiques.

Le 27/11/2019 à 09h 20







Poppu78 a écrit :



Au contraire, le principe du dumping d’état c’est de sponsorisé l’industrie nationale pour qu’elle se retrouve en monopole de fait, mais une fois que c’est le cas et que les concurrents étrangers ne sont plus en capacité de rattraper techniquement l’industrie nationale le dumping cesse et les coûts sont remontés, pour au final se retrouver avec le pays à l’origine du dumping qui absorbe toute l’économie du secteur.





Magnifique plaidoyer contre l’interventionnisme étatique dans les affaires économiques !









Poppu78 a écrit :



Accepter de passer par les US sans développer de concurrence c’est de la vision court-termiste.





La concurrence se développe partout là où elle est nécessaire, aussi bien à l’extérieur qu’intra muros. Il n’y a aucune raison de ne pas utiliser des services commerciaux de X ou Y moins chers juste parce qu’ils ne sont pas de France ou des eurosoviets.









Poppu78 a écrit :



D’autre part on est ici sur du secteur militaire…





Ce dont il est question ici est commercial.


Le 27/11/2019 à 09h 08







Ami-Kuns a écrit :



Donc le protectionnisme américain et arriéré?<img data-src=" />





Absolument, et tu ne me verras pas le soutenir juste parce qu’il est américain !


Le 26/11/2019 à 11h 32







Citan666 a écrit :



“De plus en plus de denrées” au prix d’un épuisement de la fertilité des sols et d’une oblitération de la vie qui l’entretient.





Pure propagande escolo sans fondement.




       







Citan666 a écrit :



“De meilleure qualité” c’est d’ailleurs pour ça qu’il y a trois générations tu pouvais bouffer le légume en entier (bon fallait le laver avant quand même), tandis que là tu as le choix entre surcharge de toxines (pesticides et engrais) ou carence de vitamines (parce que tu enlèves la peau). Et accessoirement c’est pour ça que la moitié des fruits et légumes n’ont plus de goût, et qu’il faut payer un demi-rein pour avoir un vrai produit de qualité.





Mythe propagé par les fakenews du service anti-public.



       









Citan666 a écrit :



“Niveau et espérance de vie en constante augmentation” sûr si tu te réfères aux stats d’il y a 20 ans. Sûr aussi si tu te contentes de regarder l’âge où on crève, et non pas les conditions dans lesquelles on termine sa vie.





Les données les plus récentes. Des conditions arbitraires qui ne changent pas les chiffres.









Citan666 a écrit :



Le cap de l’espérance de vie “à qualité constante” a été atteint ou presque. À partir de 2025 l’espérance va diminuer, notamment parce que la santé de la population va se dégrader plus fortement, plus tôt, à “qualité environnementale équivalente” (sachant que celle-ci va également se dégrader sévèrement pour bon nombre de populations, à commencer par l’accès à l’eau dans certains pays, des événements climatiques catastrophiques dans d’autres, les changements de climats dont tous les producteurs terriens ne pourront se remettre, et la pollution en croissante permanente à peu près partout).

Les projections actuelles se basent sur des prévisions d’évolution de l’environnement optimistes, alors qu’on constate depuis 2 ans que les prévisions les plus pessimistes sont au mieux atteintes, au pire dépassées.

Fun fact : l’OMS estime qu’en 2050, 50% de la population MONDIALE sera asthmatique.  Et ça c’était selon les critères de projection anciens.





Je prédis que ces prédictions seront aussi fausses que la totalité des précédentes.


Le 26/11/2019 à 11h 13







Citan666 a écrit :



Anti-économique ? L’institution dont le dogme fondateur est le libéralisme ?





Un peu comme le libéralisme de Macron. <img data-src=" />





“La perversion de la cité commence par la fraude aux mots.”

— Platon









Citan666 a écrit :



l’approche globale étatique reste la plus performante pour les infrastructures et les services vitaux





Seulement pour les croyants. Les autres payent et subissent les sévices publiques à qualité lamentablement faible, la gréviculture comme seule activité fiable, les infrastructure à nids de poules ou déraillements intégrés, les plans d’urgence (Hôpital, sécu) qui se suivent régulièrement, etc.









Citan666 a écrit :



Qui se laisse bousculer par les États-Unis…





On a les imposteurs qu’on mérite.


Le 26/11/2019 à 10h 59







anagrys a écrit :



En clair, le plus grand pays communiste du monde a commencé à se développer quand… il a abandonné l’idéologie économique communiste.





On peut mentionner un évènement particulier qui a précédé et permis la fin des famines puis ce faisant l’essor de l’économie capitaliste chinoise : le pacte de Xiaogang