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crocodudule

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2757 commentaires

Le 14/11/2019 à 17h 52







Zerdligham a écrit :



On devrait voter une loi qui dirait que toute loi devrait avant de pouvoir être votée faire l’objet d’une analyse d’impact par un tiers indépendant. Coût, efficacité réelle, effets pervers prévisibles…



Le rapport serait public, afin que les parlementaires soient forcés d'assumer leur vote, et cessent de faire les vierges effarouchées quand ils apprenne que leur loi est inutile (façon google news récemment) ou absurdement couteuse.      






Et j'ai même pas peur que ma proposition fasse elle-même l'objet d'une analyse d'impact.








Que s'appelerio la Loi organique du 15 avril 2009, qui a été rendue inefficace par le Conseil Constitutionnel qui a rappelé que le législateur ne pouvait pas exiger du gouvernement de justifier de la réalisation de cette étude pour examiner un projet de Loi, tu ajoutes les problèmes structurels de la démarche:     



. celui qui fait réaliser l’étude d’impact, est celui qui est à l’initiative de la Loi, il est donc très improbable que la première contredise l’intérêt de la seconde,

. du fait de cette première difficulté, ceux à l’origine de la Loi ne vont respecter l’obligation de consulter les personnes concernées par la Loi qu’en prenant soin d’interroger ceux allant dans le sens de la Loi envisagée, ou ne pas le faire tout court puisqu’il n’y a pas de sanction et que l’obligation est de lister les consultations réalisées pas le contenue de celles-ci,

. Comme l’étude d’impact ne peut pas être rendue publique avant le “projet” de Loi, personne ne peut rattraper le coup faute d’information, étant précisé que l’AN a un truc en ligne te permettant de faire des observations (pas plus de 4000 caractères), mais qui dans les faits est résumé en 2 lignes par le rapporteur de la Loi (autant dire qu’il s’en tape totalement),

 . l’obligation de faire l’étude d’impact dès le début de l’élaboration de la Loi, n’existe que dans une circulaire. Elle n’est donc pas sanctionnée, ce qui fait que dans les faits, la Loi est préparée, les arbitrages faits, puis on demande en catastrophe aux services administratifs concernés d’évaluer l’impact de la Loi.



Tu ajoutes que ce gouvernement est le premier a avoir engagé un cabinet privé (d’avocats) pour rédiger l’étude d’impact d’une Loi, se traduisant donc par un travail de commande sur-mesure… (Loi transport, qu’heureusement le Conseil d’Etat a totalement démonté) tu peux en déduire l’intérêt de ce qu’est une étude d’impact pour le travail législatif… Du papier gâché…


Le 14/11/2019 à 17h 34







Furanku a écrit :



La fraude reste tout de même minoritaire quand on constate son montant face au total des remboursements. Ce n’est pas un prétexte valable, quand bien même il faut combattre cette fraude (en augmentant le nombre de contrôles dans certains officines ou chez certains médecins par exemple ?).





Tu as parfaitement résumé: un cout négligeable lié à la fraude, une dépense conséquente pour la mise en place du dispositif, des trous dans la raquette déjà nombreux s’agissant du RGPD et du dossier médical qui ne manqueront pas de se retrouver ici, le tout pour une prise de risque injustifiée par rapport à l’avantage anecdotique que l’on tirera de l’ajout du biométrique à la carte vitale.



Parallèlement, nos services hospitaliers sont sur les rotules, les chers de service démissionnent en masse pour protester, mais on va trouver de l’argent pour avoir des cartes vitales biométriques…


Le 14/11/2019 à 17h 18

Marc a subi ce que j’ai le déplaisir de vivre les rares moments où je suis obligé de passer les portes d’une Juridiction administrative:

L’étude sort des durées impossibles : « Ce sont les données en flux qui importent », ben de fait on peut pas les déterminer du fait des réponses erronées de l’étude, « L’étude d’usages utilisée par la Commission a forcément pris en compte les restrictions imposées à la société Molotov puisqu’elle s’est intéressée aux usages effectifs de la copie privée », ben comme précisément l’étude ne rapporte pas l’avoir fait on peut pas partir du postulat que c’est bien le cas, « les résultats de l’enquête Médiamétrie ont conduit la commission à remettre en cause le postulat de l’équivalence » mais deux secondes auparavant on vous démontre l’inverse ?!? « le moyen n’est pas assorti des précisions permettant d’en apprécier le bien-fondé » mais enfin le rapporteur public peut pas obtenir des parties le montant dans les autres pays ?!? (s’ils n’étaient pas fournis par archos…), « La requérante n’établit pas selon nous le caractère manifestement erroné du barème » mais on vient d’adopter une Directive européenne qui dit tout l’inverse reprochant aux plateformes dont youtube de faire leurs beurres sur des contenus publiés sans droit ?!?



Un amoncèlement de sophismes pour affirmer que l’administration a raison, on peut empiler les études qui contredisent les conclusions de l’administration, démontrer qu’à l’inverse les études de l’administration reposent sur du sable etc… Malgré cela on a parfois le sentiment que la présomption de légalité des décisions administratives est une présomption irréfragable et que donc il est impossible de la combattre.



Sachant qu’au final 90% des conclusions du rapporteur public sont suivies par la Juridiction, il y a peu d’espoir que la position de Molotov soit entendue…

Le 14/11/2019 à 14h 20







Obidoub a écrit :



Passez votre profil en privé…





Le problème n’est pas là, regardes ce qu’ils prévoient s’agissant de la protection des droits des ayant droits; ils vont fournir des hash des œuvres protégées pour que les algos de filtrage des plateformes tiltent et dégomment le fichier uploadé.



Ils en sont donc déjà là s’agissant de défendre les droits de quelques uns, alors imagines ce qu’ils feront lorsqu’ils seront en difficulté parce que vus comme particulièrement complaisant avec les “optimiseurs” fiscaux ou encore à la faveur d’un drame particulière sordide (pédo, terro etc…).

 

A partir du moment où une brèche est mise en œuvre dans la digue contre la surveillance généralisée des réseaux, tout le reste ne manquera pas de s’y engouffrer; d’abord en élargissant les infractions concernées, puis en faisant reposer une partie de l’algo de surveillance sur la plateforme elle-même pour dépasser le problème compte privé/public.



Ne pas oublier qu’aujourd’hui des mesures qui étaient vues comme exceptionnelles et uniquement tolérables dans une situation d’état d’urgence, sont devenues la règle s’appliquant dans le droit commun.


Le 14/11/2019 à 10h 48

La team-progressiste a un gros problème avec les libertés: mesures de l’état d’urgence dans le droit commun, filtrage automatisé des contenus sous prétexte de lutte contre les propos haineux ou pour protéger les droits d’auteur, entrave totalement disproportionnée et non réellement encadrée au droit de manifester etc…




 Et la formule "Vous voyez ce que je veux dire ?" est particulièrement parlante: ou il s'agit d'incompétence insondable ou de se moquer ouvertement du monde: par définition si l'algo ne tiltera que dans les trois cas annoncés, inévitablement l'agent au moment de la vérification prendra connaissance de l'ensemble de la publication repérée par l'algo; si celle-ci comporte d'autres infractions elles feront inévitablement l'objet d'un signalement et donc de poursuites en fonction du pouvoir d'appréciation parquet.       






 Alors oui pour répondre à Darmanin, on "voit très bien ce que vous voulez dire": vous avez fait pire que SAFARI et si la CNIL ne met pas tout son poids dans la balance, y compris la menace d'une démission collective, alors nous venons de mettre le doigt dans un processus nous menant inévitablement vers la surveillance généralisée par l'Etat.       






 Ce texte vient de rayer d'un trait plus de 40 ans de réglementation en matière de protection des données à caractère personnel, car c'est précisément contre cela que la CNIL et la Loi de 1978 ont été créées.

Le 13/11/2019 à 19h 05

La course à l’échalote dans les mesures sécuritaires démagogiques n’arrête jamais avec celui-ci

Le 13/11/2019 à 14h 25

On a une idée du succès en France de ces bidules ? Je ne connais absolument personne autour de moi qui en a une.

Le 08/11/2019 à 18h 32







Jarodd a écrit :



Mais il y a quelques mois, quand des crétins se sont amusés à lui faire peur (crier devant chez elle, tagguer son mur), elle a déclaré que ses enfants avaient été traumatisés <img data-src=" />



Elle les a mangé depuis ? Ou bien elle mythonne et adapte la réalité pour donner du crédit son discours ?







Elle est peut-être dans le perso comme dans la politique; un jour elle a pas d’enfant, le lendemain elle en a, le surlendemain elle a un poney …


Le 08/11/2019 à 13h 18







Mihashi a écrit :



« De fait, je n’ai pas d’enfant, je paye aussi pour le service public, celui de l’école. »



Elle n’a pas l’air d’être allée à l’école non plus…





Oui mais elle gagne pas le SMIC dont elle peut divorcer. C’est dredi !!


Le 08/11/2019 à 12h 02







fred42 a écrit :



Si on veut que ce soit universel, il faut que chacun potentiellement puisse y avoir accès. Qu’on l’utilise ou pas, ce n’est pas la même chose. De fait, je n’ai pas d’enfant, je paye aussi pour le service public, celui de l’école.




Allons jusqu'au bout de la comparaison : il n'y a pas une contribution spéciale pour le service public de l'école, c'est payé par le budget général de l'État, donc par les impôts divers.      






Il faut donc faire pareil pour l'audiovisuel public, le financer par le  budget général.      






C’est un contournement, mais qui est complètement légal. Non, ce n'est même pas un contournement.








Je t'admire de tenter de trouver une pseudo logique à la plus grande girouette politique de notre temps et d'argumenter pour démontrer la bêtise de son raisonnement. :chinois:  





Néanmoins et au regard de son passif, aujourd’hui elle est pour la transaction pénale, demain elle sera pour le lynchage public, le surlendemain pour la dépénalisation.&nbsp; <img data-src=" />


Le 07/11/2019 à 17h 27

L’ambiance est bonne <img data-src=" />

Le 06/11/2019 à 18h 29







Ricard a écrit :



Me parle pas de pelle. J’ai retourné du béton toute la journée. <img data-src=" />





Je doute qu’eux se fatiguent à creuser, ils doivent déléguer aux attachés parlementaires <img data-src=" />


Le 06/11/2019 à 18h 17







Ricard a écrit :



Allez, tous En Marche vers le ravin.<img data-src=" />





Ah ben là je pense qu’ils sont déjà tombés, ont touché le fond, et qu’ils attaquent le sol à la pelle … <img data-src=" />


Le 06/11/2019 à 18h 00

Etouffer l’avis du Conseil d’Etat du 20 septembre 2019 qui clairement remet en cause le véhicule pour faire passer ce texte, mais continuer à faire de la mousse dans les médias dessus tout en sachant qu’il ne passera pas le state du Conseil Constitutionnel s’il est adopté.



C’est un concept … <img data-src=" />

Le 04/11/2019 à 10h 25

On est d’accord que lorsque la fondation Canonical annonce le support officiel du Pi, ça veut dire aussi que l’ensemble des applications sur les dépôts officiels doivent suivre (ce qui serait bien cool) ?

Le 30/10/2019 à 18h 09







Sans intérêt a écrit :



Les trois élus ont-ils déjà produit un jour un résultat positif de l’installation des caméras où que ce soit ?



Pour rappel, les caméras de vidéosécurité n’avaient pas empêché l’attentat terroriste sur la Promenade des Anglais de 2016, alors que le camion avait été filmé durant ses repérages, circulant sur une voie qui lui était pourtant interdite.



À part ficher les gens, par pur fantasme sécuritaire, qu’espèrent-ils ?





Gagner les élections ?



L’efficacité de ces dispositifs n’a jamais été démontrée scientifiquement, et les quelques études sur le sujet tendent toutes à démontrer l’inverse : au mieux ils déplacent la délinquance, au pire ils sont détournés par ceux qui les contrôlent.



Un discours rationnel devrait conduire à dire qu’entre le coût, l’inefficacité et le danger pour les libertés, ces dispositifs devraient être écartés pour privilégier des personnes physiques sur le terrain.



Mais en terme de sécurité cela fait bien longtemps que tout discours rationnel n’a plus la moindre prise; lorsqu’on constate que celui qui devait nous permettre de faire barrage aux idées les plus nauséabondes, utilise les termes de “droits-de-l’hommistes” et “tiers-mondisme non-aligné aux relents marxistes” dans son dernier interview, comment peut-on espérer qu’un quelconque raisonnement rationnel existe dans l’espace politique ?



Donc faire dans la surenchère démagogique sécuritaire est dans leurs intérêts à ces trois élus.


Le 29/10/2019 à 21h 22

Intéressant en effet, je vais regarder pour voir si c’est pas trop exotique pour les distrib habituelles et probablement me laisser tenter car je pense faire l’impasse sur cette génération de Pi4. Merci :)

Le 29/10/2019 à 16h 48


Obidoub a dit:


A mon avis ça reste une mauvaise idée de faire un NAS avec un Raspberry Pi. Le fait qu’il n’y a pas de contrôleur SATA est un indice. Le stockage sur USB c’est quand même assez risqué.J’allais faire un commentaire sur les performances de transfert mais vous avez réussi à monter à un niveau correct, chapeau.


Tout va dépendre de ce que l’on souhaite: répondre à un usage perso/familial ou avoir des perfs.



Mais à prix égal je vois rien, sauf à passer par l’occas. (ce que j’ai fait pour avoir de bonnes perfs sur mon cloud pro notamment en édition collaborative, avec un hp proliant gen8 trouvé pour 120€, mais bon neuf l’équivalent c’est le triple d’un pi minimum).

Le 29/10/2019 à 13h 46


dyox a dit:


:mdr:



Tu n’es pas le seul, j’ai planqué mon installation dans mon ancien grille pain qui a claqué (si j’ai le courage un jour je couple l’allumage avec la tige du grille pain ^^ ):
https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/61ba+kP0T6L._AC._SR360,460.jpg

Le 29/10/2019 à 13h 31

Et comme certains cherchent des solutions pour encastrer tout ça proprement, perso j’utilise ça:
https://www.amazon.fr/Disque-Fixation-Pilote-Ventilateur-lespace/dp/B07H9B7NG1



Outre les DD, on peut même y caler le Pi en bricolant un adaptateur pour DD 2.5 -> 3.5.



Bref pour 20€ + 10€ on a un cadre propre pour tout mettre et on peut monter facilement un gros ventilo pour éviter le bruit :)

Le 29/10/2019 à 13h 17

Désolé, je ne peux pas enregistrer les modifs de mon commentaire, donc en bon français ça donne:
Pour ton dd principal (celui qui va accueillir l’OS et OMV) c’est normal. OMV considère la partition où il est installé comme une partition dédiée à ses données et pluguins. (C’est le seul choix discutable que fait OMV je trouve)



Si tu veux utiliser ton disque comme espace de stockage, dans FSTAB montes le répertoire voulu comme un disque dur, il sera alors dans média et montage. (J’ai lâché yunohost & co pour OMV, même mes serveurs nginx et mariadb sont gérés par lui, car la simplicité des backups (un pluguin pour OMV & ses pluguins, un pluguin pour les datas) fait vraiment la différence et bien souvent ses pluguins sont plus récents que ceux proposés par yunohost).

Le 29/10/2019 à 13h 14

Cool, a tester donc.



Pour ton dd principal (celui qui va accueillir l’OS et OMV) c’est normal. OMV le considère comme un disque dédié à ses données et pluguins.



Si tu veux utiliser une partie de ton disque comme espace de stockage, dans FSTAB monte le répertoire voulu commun un disque dur, il sera alors dans média et montage. (C’est le seul choix discutable que fait OMV je trouve, pour le reste j’ai lâché yunohost & co pour OMV, même mes serveurs nginx et mariadb sont gérés par lui, car la simplicité des backups (un pluguin pour OMV & ses pluguins, un pluguin pour les datas) fait vraiment la différence).

Le 29/10/2019 à 12h 42

Très bon tuto, est ce que tu relèves une différence notable de perfs par rapport à l’image OMV ? (qui permet d’avoir dès le depart la fonction NAS de base + des utilisateurs + du raid + du formatage + sauvegarde + montages), outre plex, docker, downloader etc…)



Et accessoirement est ce qu on peut installer OMV sur cette distrib ubuntu x64 ?



Merci :)

Le 29/10/2019 à 21h 13

Savoir que tu as ces trois moustiquaires contre toi est un bon moyen de te dire que tu as raison.



Hélas, la position de la CNIL est nécessaire et louable, mais il ne fait aucun doute qu’un texte ultra securitaire viendra autoriser la pratique dénoncée à raison, sous le prétexte fallacieux d’un encadrement purement formel.



Sur ce sujet, tout comme celui de la collecte de masse par l’Etat, la CNIL n’a plus qu’un seul outil symbolique et qui je l’espère portera: lorsque la proposition ou projet de Loi arrivera, la direction devra remettre sa démission collectivement et médiatiser celle-ci.



A défaut, elle deviendra malgré elle l’élément de légitimation de ces pratiques, les promoteurs du texte lui reservant un rôle fantoche de contrôle.

Le 28/10/2019 à 16h 35

Sébastien, bien qu’il s’agisse nécessairement d’une chose un peu arbitraire, dans les trucs automatiques et qui sont doués d’une intelligence artificielle, tu as la chouette d’Aristote dans la Politique, te permettant de dater l’invention de l’IA à -320 av JC (cf. Héphaïstos)

Le 28/10/2019 à 16h 20

“Saisie par un titulaire de droit, elle pourra contacter les FAI, les fournisseurs de noms de domaine ou les moteurs pour les inviter…”



Et leurs parents !

&nbsp;

“L’autorité plaide donc pour que l’intervention de l’Arcom soit cette fois contraignante, et non une « formalité supplémentaire ayant pour conséquence de retarder la saisine du juge ». Il reviendrait à l’intermédiaire technique de saisir le juge des référés s’il n’est pas d’accord. À défaut, il serait directement responsable des contrefaçons constatées s’il laisse prospérer le site ou le nom de domaine.”



Ben pourquoi s’embêter avec un débat contradictoire devant un Juge, le respect de la procédure vraiment contradictoire etc… alors qu’il suffit d’abord de mettre la sanction dans le cadre d’une procédure expéditive dirigée par une AAI juge et partie puis de voir si l’intermédiaire peut se dépatouiller devant le Juge des référés.&nbsp; <img data-src=" />

Le 28/10/2019 à 09h 29







TheStig a écrit :



Tiens, un adepte du LaTex?





Plus de Daniela car y a toujours de la place pour les copains qui passent.


Le 24/10/2019 à 08h 13

Et le caoutchouc super doux <img data-src=" />

Le 25/10/2019 à 09h 14

“Il évoque plutôt une « création de valeur » chez ses partenaires grâce à ses outils et la mise en avant de leurs articles sur sa plateforme.”



Ce fail sur toute la ligne… Se ridiculiser à ce point mais continuer à courir sur les plateaux télés et radios (comme hier sur inter) pour crier au scandale, alors qu’ils ont toutes les raisons de se terrer:

. ce texte est imbécile car on ne peut pas contraindre FB et Google a reprendre les résumés d’articles et donc à indemniser au titre de ce nouveau “droit voisin”,

. ce texte est injuste car fait pour satisfaire quelques intérêts privés, là où le seul combat qui a du sens est celui visant à faire payer leurs impôts aux GAFA.

Le 23/10/2019 à 16h 02







tazvld a écrit :



Plutôt que l’abus de position dominante, où il faut démontrer que Google est en position dominante, je pense plus à l’abus de dépendance économique.



Je suis de même intéressé par un avis d’expert.





Faute te tout rapport commerciaux entre la fonction d’indexation+résumé de Google et le Groupe de presse, je vois mal la notion trouver à s’appliquer, faut être à minima client ou fournisseur.



En revanche, le débat est tout autre sur la publicité.


Le 23/10/2019 à 15h 37

Les protestations de ces groupes de presse sont ridicules et Google n’a fait qu’appliquer à la lettre la règlementation, j’arrête de reprendre les résumés d’articles donc je dois rien payer.



En revanche, je suis étonné que Google ne borde pas plus la mise en place de la balise permettant d’afficher à nouveau les résumés. Sauf mauvaise lecture, y a pas un mot sur les droits que concède celui qui implémente cette balise, mais uniquement qu’il accepte la reprise et éventuellement le nombre de caractères:

developers.google.com GoogleSi Google a parfaitement raison sur le principe, en revanche, il ne peut pas nier que cette balise déclenche l’exploitation du droit voisin reconnu par la nouvelle réglementation. Aussi en ne bordant pas sur quel support cette exploitation est autorisée et qu’elle le sera à titre gratuit dans une sorte de “convention d’exploitation” de ce droit voisin, il me semble ouvrir la porte à des contestations.

Le 23/10/2019 à 14h 22


damaki a dit:


Merci pour l’info du 4 Go pas supporté ; Ubuntu arm64 est exactement ce que je voulais utiliser sur un raspi 4 pour me faire un bureau Linux transportable, pas cher et aux perfs honnêtes.David_G, auriez-vous aussi testé ce nouveau Ubuntu arm64 sur le Nvidia Jetson ?


Attention, sauf mauvaise compréhension, seule la version serveur est dispo pour l’instant, donc pas d’environnement graphique (bon on doit pouvoir l’ajouter après l’install)

Le 23/10/2019 à 12h 11

Effectivement intéressant de noter le manque de perfs de raspbian avec openssl.



David tu as déjà relevé un résultat similaire entre un raspbian et ubuntu sur pi3+ ?

Le 22/10/2019 à 08h 36

Autoréponse: a priori non, google se contente de fournir ce lien pour recopier la balise:

developers.google.com Google&nbsp;

Dans ce cas, en exposant pas les droits concéder dans le cadre de la licence de reprise des articles, google est monté avec un bas de ligne très léger…

Le 22/10/2019 à 08h 30

Tel que retranscrit, la seule présence d’une balise peut mettre en difficulté google pour manifester l’accord de l’éditeur.



Une licence qui consiste à titre gratuit à concéder la reprise des articles, ça se borde par un contrat.



Bon, néanmoins je présume que google ne donne la balise qui va bien qu’après la validation du dit contrat.

Le 21/10/2019 à 09h 06

Et combien de millions d’euros alloués cette communication “centralisée” (oui parce que faut pas rêver elle viendra en plus de celles existantes, pas en remplacement) ?

Le 18/10/2019 à 07h 36







Jarodd a écrit :



Arrête de jouer au pipomacrotron toi ! <img data-src=" />





Oui mais c’est pas ma faute Monsieur, c’est lui n’arrête pas de lancer des grands tirages de pipomacroton, donc je peux pas m’empêcher de jouer <img data-src=" />


Le 17/10/2019 à 13h 22







Jarodd a écrit :



Il joue encore au coq qui a le plus gros ergot… Il nous prend pour des Brigitte.



Google devrait lui répondre “Qu’ils viennent rechercher !” <img data-src=" />





« J’ai proposé à Mme la chancelière que nous développions au niveau européen de nouvelles règles pour réguler les grandes plateformes avec des mécanismes de sanction plus rapides ».

&nbsp;

“Et tout comme sur les impôts des GAFA je vais me gaufrer. Alors je ferai un grenelle des assises du grand débat, y aura une plateforme numérique et on fera une campagne TV pour faire connaître le nouveau numéro de téléphone d’un service public. Et si ça marche pas, je ferai un débat sur l’immigration pour que ça m’explose à la gueule façon dérapage incontrôlé comme aujourd’hui”.



En fait c’est à plutôt facile à synthétiser son action. <img data-src=" />


Le 17/10/2019 à 16h 17

Plus possible d’éditer: pardon Fl0Wer je voulais répondre à un autre commentaire.



Pour toi, si j’ai bien compris, on a pas à demander le consentement au cookie technique, mais également on a pas à informé de l’existence de ce cookie ?



Alors selon toi, pourquoi la CJUE précise dans sa décision :

“68. Cela étant précisé, il convient, en tout état de cause, de constater que l’article 5, paragraphe 3, de la directive 200258 fait référence au « stockage d’informations » et à « l’obtention de l’accès à des informations déjà stockées », sans qualifier ces informations ni préciser que celles-ci devraient être des données à caractère personnel.&nbsp;&nbsp;69. Ainsi que l’a constaté M. l’avocat général au point 107 de ses conclusions, cette disposition vise ainsi à protéger l’utilisateur de toute ingérence dans sa vie privée, indépendamment du point de savoir si cette ingérence concerne ou non des données à caractère personnel.&nbsp;70. Cette interprétation est corroborée par le considérant 24 de la directive 200258, selon lequel toute information stockée sur l’équipement terminal de l’utilisateur d’un réseau de communications électroniques relève de la vie privée de l’utilisateur, qui doit être protégée au titre de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Cette protection s’applique à toute information stockée sur cet équipement terminal, indépendamment du fait qu’il s’agisse ou non de données à caractère personnel et vise, notamment, comme il ressort de ce même considérant, à protéger les utilisateurs contre le risque que des identificateurs cachés ou autres dispositifs analogues pénètrent dans l’équipement terminal de ces utilisateurs à leur insu”.

Le 17/10/2019 à 16h 02







Fl0Wer a écrit :



&nbsp;



Mais dans son argumentaire, la CJUE fait expressement référence à l'information devant être fournie en amont de "l'accord" donné par l'utilisateur (Cf&nbsp; à cet égard les points 72 à 75 de l'arrêt). En ce sens, la CJUE ne me semble pas se prononcer sur l'information qui devrait être fournie dans le cas des exceptions prévus par la&nbsp;Directive "e-privacy"&nbsp;permettant&nbsp;l’utilisation et le dépôt de cookies sans consentement.







Comme indiqué le décision est pour le moins ambiguë sur ce point car elle cite l’intégralité de l’article 5, dont le passage “ne fait pas obstacle etc…”, mais n’explicite rien sur le ne fait de savoir ce qu’implique le “fait pas obstacle…”.



Et concrètement, admettons que pour fournir l’affichage du service tu as besoin d’un cookie purement technique, comment faire ? Tu vas réorienter (sans aucune implantation chez l’internaute) vers une page dénuée de tout cookie pour que l’internaute consente ou non à l’usage de ce cookie technique. Il le refuse donc tu n’implémentes rien et tu le renvoies vers la page du service qui, n’ayant aucune info puisque refusée par l’internaute, va renvoyer sans fin vers la page de consentement au cookie technique ? etc…



Je doute que la CJUE se fourvoie à ce point sur le plan technique. Je note encore que la CNIL mais surtout le G29 intègrent bien cette exception (aussi bien dans les lignes directrices que dans son courrier adressé au Figaro). Dès lors je me limite à penser que la CJUE veut une information complète de l’internaute, y compris sur l’existence de cookie technique, mais qu’en revanche elle n’exige pas le consentement au cookie technique.



Ou alors elle permet d’interdire le service à un internaute qui refuse le cookie technique (ce qui serait une autre aberration en plus de celle sur le plan technique).


Le 17/10/2019 à 10h 52







GehNgiS a écrit :



Non. Le RGPD ne pose pas de problème aux cookies de session. Il suffit de lire l’article 6. Le RGPD dit qu’il faut qu’il y ait consentement de l’utilisateur OU, entre autres, que ce soit nécessaire à l’exécution d’un contrat ou précontrat avec l’utilisateur.




Donc il n'y a pas besoin d'une autorisation explicite de l'utilisateur pour utiliser des cookies de session nécessaires techniquement à la navigation. Par contre, il faut bien veiller que ces cookies ne servent jamais à faire quoi que ce soit qui ne soit pas nécessaire, comme faire des stats de visite.








La décision de la CJUE est peu lisible sur ce point et peut laisser croire que l'on doit recueillir l'accord (consentement) de l'internaute même pour un cookie purement technique.      





Néanmoins à la lecture attentive de la décision du 1° octobre, la CJUE vise bien la directive 2002 modifiée en 2009 et donc l’exception à la demande d’accord de l’internaute (passage de l’article 5 “ne peut faire obstacle à …”).



Perso je l’interprète comme ça: si on a pas à permettre la navigation sans les cookies techniques (pas de consentement nécessaire comme tu le relèves), on doit en revanche informer l’internaute de l’existence de ces cookies. (but selon la CJUE “protéger l’utilisateur de toute ingérence dans sa vie privée, indépendamment du point de savoir si cette ingérence concerne ou non des données à caractère personnel” )


Le 16/10/2019 à 15h 58

Par contre je relève la formule (gratuite) du Conseil d’Etat à l’attention de la CNIL:

« que l’exercice du pouvoir de sanction ne serait, en tout état de cause, pas susceptible de faire respecter plus rapidement ».



Dans le genre aveu de l’impuissance de la CNIL…



Transposez dans un autre domaine pour rigoler, par exemple le délit de harcèlement, “Le Tribunal correctionnel a décidé d’engager une concertation avec les parties prenantes afin d’inciter au respect de l’interdit de harceler, que l’exercice du pouvoir de sanction du Tribunal ne serait, en tout état de cause, pas susceptible de faire respecter plus rapidement”.&nbsp; <img data-src=" />

Le 16/10/2019 à 14h 55

Bon en gros, le CE consacre le principe de l’opportunité des poursuites de la CNIL, estimant qu’il est indifférent de la question de l’entrée en vigueur de la réglementation qui est (roulement de tambours)… bien en vigueur.

&nbsp;

Le 17/10/2019 à 13h 05







jedipc a écrit :



J’ai vraiment pas écouté grand chose en histoire pendant mes études moi <img data-src=" />



Merci beaucoup pour ce résumé <img data-src=" /><img data-src=" />





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Le 17/10/2019 à 10h 25







ProFesseur Onizuka a écrit :



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Le 17/10/2019 à 10h 06







Patch a écrit :



C’est quoi un “”““tyran populiste”“” exactement? Sachant que le populisme est justement une idéologie qui met le peuple en première ligne, c’est une jolie oxymore de compétition…





Alors dissertons sur le terme populisme au sens politique et surtout qui aujourd’hui en revendique l’héritage.



A l’origine, le mouvement est né en Russie avec ce qu’on pourrait qualifier de socialisme démocrate, il est une théorie permettant d’arriver au socialisme sans violence, visant à la libération du peuple et aux idées clairement progressistes pour l’époque.



Néanmoins, les bolcheviks vont très vite les qualifier de traitres (d’un autre coté on se demande qui n’y a pas eu droit), les caricaturant en “petits producteurs” (expression consacrée à l’époque) : en même temps désignés comme utopistes (on peut pas arriver au socialisme et la libération du peuple sans violence) et réactionnaires (car leur discours revient à nier l’existence de la lutte des classes). En la faisant courte, il y aura un schisme le mouvement des populistes russes rejetant ce qu’ils vont appeler le populisme libéral (bon le résultat restera le même puisque tout le monde se fera plus ou moins zigouiller).



Chez nous, il y a dû y avoir une grève de la Poste parce que le mouvement russe populiste (appelé narodnichestvo) a donné le boulangisme, lequel n’a pas dû recevoir tout le programme, car d’une part il était très nationaliste (même pour l’époque, c’est dire, contribuant à faire le lit de la 1° guerre mondiale), antisémite (bien que son dirigeant s’en défende), et s’il était au départ progressiste sur plusieurs points sur le plan social, il intégrera très rapidement les plus réactionnaires (voulant renverser la République, certains historiens estiment qu’il s’agit d’un national socialisme avant l’heure), le tout se terminant pas un vrai faux complot contre l’Etat et le suicide de son dirigeant (manifestement débordé par ses deux extrêmes, gauche et droite, de son mouvement, bref un gros fail qui a certes contribué pour une part à la normalisation du socialisme au pouvoir, mais a surtout fédéré monarchistes et bonapartistes contre la République, le tout en faisant naître le nationalisme moderne qui nous permettra de ne pas manquer les grands rendez-vous souriants de la première moitié du 20 siècle).



Pour en finir avec le boulangisme, outre le nationalisme, l’antisémitisme, il se caractérisait par un antiparlementarisme primaire, qui donnera le “groupe nationaliste” qui s’opposera à Jaurès car ces nationalistes ne voulaient pas d’union avec les ouvriers allemands (que voulait Jaurès pour éviter de se mettre sur la gueule quelques années après ça aurait été dommage de rater ça…) et souhaitant l’instauration d’un référendum pour s’opposer au pouvoir du Parlement.



Ce “groupe nationaliste” finira par se rallier aux députés du “groupe antijuif”, le tout formant le “groupe d’union républicaine nationaliste” qui deviendra le “groupe de la défense nationale” pour pouvoir intégrer les petits copains monarchistes, l’ensemble prenant joyeusement parti contre Dreyfus naturellement… (C’est dans le cadre de cette affaire que le populisme, alors à l’extrême gauche, passe à l’extrême droite, ajoutant pour l’occasion la lutte contre le “complot maçonnique” aux thèmes classiques de tout bon parti d’extrême droite).



Ce joyeux mouvement populiste, qui se fédère déjà autour de l’antiparlementarisme, l’antisémitisme, le monachisme, la lutte contre le “complot maçonnique”, va ajouter à ses gimmick l’adhésion un syndicalisme jaune (d’où vient l’expression “les jaunes” pour désigner ceux qui ne font pas grève), s’opposant au repos hebdomadaire et à toute amélioration des conditions des travailleurs.



Enfin, ce beau monde et en particulier ses dirigeants, dont cavaignac, vont intégrer la “ligue de la patrie française” (créée bien avant et en réaction à la création à la ligue des droits de l’homme…) avec les tristement célèbres maurice barrès et charles maurras, nous menant tout droit à la non moins célèbre et détestable “action française”.



A partir de là, la filialisation du populisme est facile à établir, une simple recherche sur google “action française + [ceux qui se disent les populistes d’aujourd’hui]” permet d’achever l’arbre généalogique de ce mouvent qui n’a de populaire que le nom, et fondé sur le nationalisme, l’antiparlementarisme, l’antisémitisme, le fantasme du “complot maçonnique”, donnant raison à Jaurès qui les qualifiait déjà à l’époque de faux socialistes qui ont rejoint le camp des réactionnaires.



Bref, tu auras compris ce que je pense du populisme avec un tel héritage, lequel illustre s’il en était besoin que les ennemies du “peuple” prétendent bien souvent le défendre. (Tu connais par ailleurs mon opposition au gouvernement actuel, mais ce que je viens de rappeler me garde irréfragablement de la tentation de croire que les loups populistes seraient une solution à nos difficultés actuelles).


Le 16/10/2019 à 15h 51







Z-os a écrit :



Cela me donne l’impression qu’ils ne sont pas sûrs des effets de bords et des potentiels faux positifs..





Y a potentiellement de ça, mais ce n’est pas ce qui est annoncé.



Là ils prétendent faire de la “pédagogie”(sic) pendant un certain temps.



Une telle annonce est débile. Elle va être inévitablement interprétée comme “j’ai pas d’assurance, c’est pas grave j’ai le temps puisque je risque rien” (ce qui n’est pas le cas, puisque les contrôles classiques vont verbaliser, et ce qui n’est pas le cas tout court au regard des conséquences en cas d’accident).



S’il doit y avoir une phase de test, ils se limitent à dire à telle date le dispositif sera opérationnel, ils parlent pas de phase “transitoire” sur un tel sujet, formule qui sonne comme s’il s’agissait d’une phase de tolérance.


Le 16/10/2019 à 14h 47







jano31coa a écrit :



on peut imaginer qu’une personne décède suite à un accident faute de moyens financiers car les soins sont à la charge du responsable de l’accident (ou son assureur), même si la sécu avance la plupart des frais (pour le moment)





Non les soins permettant de vivre sont bien pris en charge par la CPAM. En revanche et dans certains cas, des reconstructions peuvent ne pas l’être.



Cela dit tu soulèves un vrai problème, on imagine pas le nombre de fois où la CPAM n’intervient pas devant le Tribunal pour faire valoir ses droits (et donc les nôtres) afin que les frais avancés par elle soient mis in fine à la charge du responsable qui n’était pas assuré.



Pour le voir régulièrement et même si les chances de recouvrement sont souvent rares, je ne comprends pourquoi la CPAM n’adresse pas systématiquement un courrier ou fax quelques jours avant l’audience au Tribunal pour que celui-ci au moment de juger intègre les frais à la condamnation du responsable. (J’ajoute que la CPAM est nécessairement informée de la procédure, car si vous êtes victimes et voulez faire valoir des préjudices corporels, vous devez impérativement appeler dans la cause la CPAM préalablement, justement pour lui permettre de faire valoir ses droits, à défaut le Tribunal ne pourra pas statuer sur vos demandes).


Le 16/10/2019 à 14h 32







dematbreizh a écrit :



Certes.

En revanche, je ne vois pas le lien (fait en tout dernier paragraphe de l’actu) avec le nombre de morts… l’assurance ne sauve aucune vie que je sache.





Le lien est pas celui-ci, du moins je pense, l’idée (en tout cas je le comprends comme ça) c’est qu’on entend pas verbaliser quelque chose qui est pourtant là afin de couvrir les conséquences d’un accident, lesquelles peuvent être dramatiques, pouvant aller jusqu’à la mort.



Donc, je pense pas que Xavier (j’ai pas encore fait une blague avec Xavier de Ligonnès, je manque à tous mes devoirs ! ) veut mettre en parallèle la légèreté du traitement du défaut d’assurance par les autorités, et en face la gravité du sujet (et sans sous entendre naturellement que l’assurance sauve des vies).


Le 16/10/2019 à 16h 28







Kerwan a écrit :



L’abonnement à 10€/mois c’est pour avoir la 4K et le 5.1 (+ les offres exclusives mais bon)

Gratuitement tu as accès à ton jeu en 1080p/60fps et stéréo, donc non l’abonnement n’est pas obligatoire.

&nbsp;

Par contre je trouve ça vraiment dommage aussi qu’il faut acheter ses jeux sur la plateforme, j’aurai largement préférer pouvoir utiliser ma bibliothèque Steam.&nbsp; Mais si j’ai bien compris c’est un OS particulier derrière, pas un Windows donc la bibliothèque de jeux est encore très limité.&nbsp; Ca pourrait m’intéresser à terme mais c’est encore trop limité.





J’ai pas bien suivi, il faudra acheter les jeux, mais les faire tourner et y jouer sera (est) gratuit ? (Sauf option 4k et 5.1). Je pensais qu’il y avait dans tous les cas un abo.



Ca laisse rêveur sur la puissance financière de Google qui peut déployer des pc à gogo en comptant uniquement sur une commission sur l’achat de jeux (je présume) et des espaces publicitaires sur sa plateforme.