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crocodudule

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2757 commentaires

Le 31/01/2019 à 16h 13

« L’intelligence artificielle va nous y aider beaucoup, heureusement nous sommes en 2019 »



J’espère sincèrement me tromper mais je pense qu’on aura jamais la communication de l’algo, et comme l’outil ne donne aucune décision administrative, il ne peut pas faire l’objet d’une demande CADA, et donc on aura aucun moyen de les contraindre.



Ca montre aussi qu’ils ont absolument personne sur le terrain, tous les maires des grandes villes se défaussent ne voulant rien organiser si synthétiser, là où des débats publics auraient probablement été plus simple à organiser.



Dans tous les cas il va falloir remettre la date de fin du grand débat, personne ne peut raisonnablement croire que le mois de mars est tenable.

Le 31/01/2019 à 09h 59

Je n’utilisais pas ce soft, mais ceci donne le sentiment que le travail de sape des grands groupes télévisuels (et de quelques ayants droits) ont réussi à tuer le projet d’origine, c’est bien dommage.



Ceci illustre aussi que si on aime bien se flageller sur notre incapacité à innover et notre règlementation qui serait anti-entrepreneuriat, à l’inverse des gens qui tentent de porter des projets sympas existent, ils arrivent à petit à petit trouver un modèle économique et à créer une entreprise, mais qu’en revanche les groupes en place refusent eux de se conformer à la réglementation en licenciant à des coûts raisonnables leurs contenus comme la Loi l’impose.



Du coup, qu’on vienne plus nous faire le coup de la tartuffe nation; l’ancien monde (cf. dailymotion) comme le nouveau (molotov) n’a d’yeux que pour la puissance économique, pas la création.

Le 31/01/2019 à 09h 47







Soriatane a écrit :



Peux-tu me dire quels article de cette loi concerne la confidentialité??  Cela m’intéresse.



Pour avoir travaillé chez un prestataire de santé, je confirme hélas tes dires. Ils ne sont qu’un reflet de la population. Par exemple, les médecins nous envoyaient les compte-rendus médicaux dont on avait que faire et dont extrayait parfois une ou deux lignes d’informations intéressante pour nous (sur 3 pages).

Une ordonnance nous aurait été plus utile et nous l’aurions pas eu 15 jours après la sortie de l’hôpital.



Quand je pose la question de l’informatique dans mon activité, j’ai l’impression d’avoir prononcé un gros mot. T_T





Je te retrouve ça dans la journée, ça doit être avec le passage sur l’agrément je pense.


Le 30/01/2019 à 16h 58







Soriatane a écrit :



Les conditions de remboursement (LPP), il me semble, autorisent quelques journées sans télésuivi.



J’ai oublié un intermédiaire dans les données télésuivi: le fabricant: j’ignore à quel point il a accès aux données de la machine.

Je crois me souvenir que certains fabricant demande beaucoup d’informations sur le patient lors de l’ouverture du télésuivi.





Je ne connais pas cet appareillage, néanmoins cette boite doit se conformer aux exigences de la Loi santé de 2016 qui est nettement plus restrictive, notamment pour les intermédiaires techniques, que le RGPD. (Bon par contre j’ai pu constater hélas qu’entre la théorie et la pratique il y avait souvent un monde y compris pour les prestataires de santé).


Le 29/01/2019 à 18h 14







dylem29 a écrit :



Je m’en suis rendu compte après, mais on ne peut pas supprimer un commentaire.&nbsp;<img data-src=" />





T’inquiètes pas de souci <img data-src=" />


Le 29/01/2019 à 18h 14







bourgpat a écrit :



Le problème étant que personne ne veux payer pour les couts de la santé et que ceux ci explosent sur un certain nombre de maladies qui sont liés à des comportements.

Enfin, la prévention c’est aussi lutter contre ces comportements à risques surtout quand on veux faire payer les autres.



Si c’est pas les assureurs qui le font, il faudra alors accepter l’augmentation pour tous des impôts qui est nulle en terme de politique de prévention des risques puisque les personnes estiment que la maladie leur est due puisqu’ils ont payés.





Ca c’est également faux, le système de la sécurité sociale d’une part ne va pas si mal au regard du déficit abyssal de l’Etat, d’autre part il serait largement à l’équilibre (il l’est quasiment cette année) et même bénéficiaire si l’Etat lui remboursait ce qu’il lui doit mais encore ne décidait pas de baisses de cotisations pour prétendre faire une geste pour relancer la compétitivité, geste en réalité fait sur le dos des cotisants et contre la volonté des organismes paritaires qui devraient avoir le dernier mot.


Le 29/01/2019 à 18h 06







dylem29 a écrit :



Parce que depuis Giscard et Pompidou, l’État n’a plus le droit de créer sa propre monnaie. ^^&nbsp;

Il est obligé d’emprunter au privée pour ça (avec intérêt), d’ailleurs la dette vient de là.



Avant l’État pouvait le faire, il remboursait l’argent, sans intérêt puisqu’il pouvait emprunter à la Banque de France (donc à lui-même) . :)&nbsp;





Si le système actuel est largement perfectible, il ne faut pas croire toutes les âneries et affirmations totalement fausses sur cette question :

https://www.liberation.fr/checknews/2018/12/18/la-loi-de-1973-a-t-elle-oblige-l-etat-a-emprunter-sur-les-marches-financiers_1697818


Le 29/01/2019 à 16h 56

Je suis pas certain que s’appuyer sur le RGPD soit le bon angle, on a déjà un certain nombre de textes encadrant la question des données de santé (hélas limités au parcours de soin), mais nettement plus protecteurs que ce règlement qui fait vraiment le minimum s’agissant des données sensibles (ce qu’est généralement une donnée de santé).



En revanche, le principe envisagé par ces députés me semble une bonne idée, faut juste l’articuler sur notre protection nationale des données de santé.

Le 30/01/2019 à 20h 14







tifounon a écrit :



Aucun souci avec les montages NFS + Syno.



Pour SMB, c’est fort possible si vos montages sont faits avec SMB v1. Vu que cette version est dépréciée.





Le problème est que le matos n est pas d toujours mis à jour, par exemple la freebox révolution ne gère que le smb 1.x.


Le 30/01/2019 à 18h 18







Pretexta a écrit :



Merci beaucoup ;o)





Avec plaiz :)


Le 30/01/2019 à 18h 01







schmurtz a écrit :



&nbsp;



Sachant qu'une extension vieille de plusieurs années ("Rom Collection Browser") le faisait et qu'il y'a une rude concurrence sur le marché éphémère du retrogaming je suis déçu. Pas de scrapping, pas de streaming de jeu légal en provenance de&nbsp;Internet Archive’s Retro Gaming Library&nbsp;, pas de streaming local avec la techno de steam ou nvidia/limelight... Non c'est décevant de ce coté surtout que la conccurance est rude avec recalbox,retropie,lakka et autres...  &nbsp;







&nbsp;Alors la recherche auto ne donne rien mais, pour encore l’utiliser (et souvent de façon détourner et lancer tout autre chose qu’un jeu) tu peux toujours ajouter les images et descriptions à la mano avec un nfo.







schmurtz a écrit :



Pour moi ils devraient mobiliser leurs efforts sur d’autres choses :



Une version en mode service pour concurrencer Plex/emby permettant ainsi de :







Je suis monté (un peu) en gamme passant d’un pi a un petit nuc, et je fais tourner les deux sans problèmes sous debian.



Après je suis d’accord, après le nettoyage du code et une interface revue, il serait bon maintenant que des nouveautés arrivent.







Pretexta a écrit :



Sur un RPI vous conseillez quoi comme OS pour profiter au mieux de KODI ?





Pour vraiment optimiser les ressources et pour un meilleur suivi des nouveautés PI: LibreElec sans hésité (OpenElec est bien à la bourre, alors que cela a été longtemps ma solution préférée).


Le 30/01/2019 à 17h 31

Ce texte, en plus de son inutilité démontre la fébrilité des gouvernants.



Surtout, les motifs d’inquiétude notamment développés par la ligue des droits de l’homme sont biens réels, ce texte passe un cap dans ce qui est possible de faire contre un opposant politique (ou perçu comme tel) et alors qu’il n’aura par ailleurs commis aucune infraction mais sous couvert d’un simple possible “trouble à l’ordre public”, ceci avec comme seule garantie un éventuel recours devant le Juge administratif et non judiciaire (et donc n’offrant que des garanties formelles, sans commune mesure avec les procédures et débats devant un Juge judiciaire).



Je me permets de mettre le texte signé, notamment, par la LDH (et il ne développe pas tout) :

https://www.ldh-france.org/wp-content/uploads/2019/01/CP-commun-Droit-manifester.pdf



Là il ne s’agit pas crier au loup.

Le 29/01/2019 à 14h 35

Je dois être neuneu mais comment l’OCLCTIC, relevant du ministère de l’intérieur, peut-il dans ce cas, et même sous le contrôle de la CNIL, enjoindre de déréférencer un contenu (même pour les cas strictement limités au terrorisme et à la pédophilie) et au titre de l’article 6 de la LCEN alors que rien dans sa mission ne le permet ?!?




Sauf à se limiter à son rôle de coordination et d'assistance entre police/gendarmerie/DGCCRF et l'international, elle ne peut agir comme enquêteur que sur instruction ou accord de l'autorité judiciaire !      






Voila la définition de ses compétences:      

" L'office est chargé :&nbsp;1° D'animer et de coordonner, au niveau national, la mise en oeuvre opérationnelle de la lutte contre les auteurs et complices d'infractions spécifiques à la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication ; [COORDINATION/ASSISTANCE]&nbsp;&nbsp;2° De procéder, à la demande de l'autorité judiciaire, à tous actes d'enquête et de travaux techniques d'investigations en assistance aux services chargés d'enquêtes de police judiciaire sur les infractions dont la commission est facilitée par ou liée à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication, sans préjudice de la compétence des autres offices centraux de police judiciaire [ENQUETE] ;&nbsp;&nbsp;3° D'apporter assistance aux services de la police nationale, de la gendarmerie nationale, de la direction générale des douanes et droits indirects, de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes et de tout autre service, en cas d'infractions visées à l'alinéa 2 de l'article 2, quant ils en font la demande. Cette assistance ne dessaisit pas les services demandeurs ; [COORDINATION/ASSISTANCE]&nbsp;&nbsp;4° D'intervenir d'initiative, avec l'accord de l'autorité judiciaire saisie, chaque fois que les circonstances l'exigent, pour s'informer sur place des faits relatifs aux investigations conduites [ENQUETE]".

&nbsp;

En l'état des éléments trouvés, sa demande de déréférencement s'apparente à une totale voie de fait, relevant de l'arbitraire le plus complet !






A nouveau merci Marc de nous alerter.      






(Et comme certains vont s'attacher à la photo, non Giscard 2.0 n'est en rien comparable à Pinochet, là n'est pas la question).

Le 28/01/2019 à 17h 19







dada55 a écrit :



Ne pas confondre gestion du hardware et le software. Un logiciel libre est bien plus apte à garantir une utilisation des données honnêtes qu’une cochonnerie obscure, et même si c’est tout ça tourne sur du matos non libre.

&nbsp;

En comparaison simple, le logiciel libre a la même fonction qu’une urne : c’est transparent et des assesseurs peuvent vérifier ce qui se passe dedans et autour.

&nbsp;





Je suis d’accord, un peu comme les machines de vote électronique, il faut à minima des procédures d’homologations permettant de garantir l’intégrité de ce qui est publié, néanmoins du fait de l’absence de procédure d’homologation prévue par décret et même l’impossibilité de faire dans le délai un audit du logiciel, la situation devait conduire à privilégier une solution dont le code est accessible à tous (et donc par facilité sous licence libre).


Le 28/01/2019 à 16h 30

Je ne suis pas fan des GJ, mais clairement ce grand débat tourne au ridicule, la plateforme donne le sentiment de fermer les questions, mais surtout la façon dont on peut poser des “questions libres” ou tout simplement contribuer donne le sentiment qu’on jette une bouteille à la mer, étant difficile voire impossible de structurer les sujets en dehors des thèmes imposés afin d’en offrir une synthèse.



Plus largement et dans ma ville, je n’ai pas de grand débat de prévu, le maire s’estimant incompétent (et honnêtement même si je suis pas franchement un de ses fans, je comprends sa position plutôt que de devenir malgré lui la cible des mécontents), les quelques réunions (2 si je me trompe pas) annoncées ne concernent qu’un thème et sont limitées à telle tranche d’âge, ou carrément organisées par d’ex GJ mais qui ont décidé (j’ai l’impression qu’on les a aidé…) a quitté les GJ pour fonder un truc autonome ayant des publications au penchant populiste…



Du coup, je peux sans mal comprendre que certains estiment que ce grand débat est un grossier enfumage.

Le 28/01/2019 à 15h 05







numerid a écrit :



<img data-src=" />







<img data-src=" />


Le 28/01/2019 à 15h 04







KP2 a écrit :



WHAAAAAAAAAT ??

J’aimerais trop savoir la réalité de cette affirmation qui pue le green washing…





Si c’est certifié par l’entreprise, ils trempent la coque dans de l’eau prélevée dans les océans, puis après ils rincent dans de l’eau douce prélevée dans les rivières, puis ils balancent toute la flotte dans le réseau général.

<img data-src=" />


Le 28/01/2019 à 15h 00







fred42 a écrit :



Avec son Yoga S940, Lenovo propose une caméra capable de suivre les mouvements des yeux pour réaliser certaines actions. Dell va plus loin avec son Latitude 7400 2-en-1 qui disposerait, selon le fabricant, d’un « sixième sens » grâce à son capteur de proximité. En plus de renforcer la protection de votre vie privée, ces technologies permettraient d’augmenter l’autonomie des machines.

Il n’y a que moi qui suis choqué que l’on puisse penser qu’une caméra renforce la protection de la vie privée ?





Non c’est bien ça, Dell s’assurera 24h/24 7h/7 que personne d’autre que lui ne viole ta vie privée.


Le 28/01/2019 à 14h 03

Question de choix, si tu peux te démarquer des éternelles carte intel, même de quelques dizaines de %, sachant de là où on part, ça peut être un argument intéressant.



Dommage surtout que toutes les tentatives permettant d’intégrer des cartes graphiques non moisies, voire celles d’y coupler une vraie carte externe, se soient plantées.



Là, je regarde pour changer mon petit portable acheté il y a 5 ans, et j’ai l’impression que du coté carte graphique rien n’a changé ou si peu.

Le 28/01/2019 à 11h 38

Faut aussi voir la qualité des plaintes, le nombre de personne qui gueulent après avoir exercé le droit à la portabilité mais qui s’étonnent de ne pas tout avoir, alors que portabilité != droit d’accès.



Le volume ne veut pas nécessairement dire que toutes tiennent la route et à mon avis loin de là, ayant parfois le sentiment que certaines plaintes s’apparentent à un ragequit d’un service plus qu’à la volonté d’exercer les droits sur ses données persos.

Le 28/01/2019 à 11h 34







OlivierJ a écrit :



Oh non, pas toi <img data-src=" />

Enfin une bonne nouvelle, le gouvernement (et le président) a fini par reconnaître ce que dit la science.

(cette obsession de certains contre le glyphosate est incompréhensible, étant donné ce qu’en disent toutes les agences sanitaires, dont l’OMS)





Non mais si tu prends un commentaire du dredi pour l’analyser comme celui d’un lundi ben ça va pas coller <img data-src=" />


Le 25/01/2019 à 16h 12

On peut en mettre une chez l’Enlisé pour avoir renoncé aujourd’hui à l’interdiction du glyphosate ou ça compte pas comme déchet polluant ? <img data-src=" />

Le 28/01/2019 à 11h 32







Fabimaru a écrit :



Comme je me l’imagine:




  • phase de prototypage: faut qu’on se donne à fond les gars, qu’on compte pas nos heures, on va révolutionner l’aérospatiale

  • phase de commercialisation : désolé, c’est une décision difficile à prendre mais vous êtes virés





    Oui c’est à mon avis ça, et ça peut parfaitement se comprendre économiquement.


Le 28/01/2019 à 10h 37

Tout de suite les grands mots …



Ma “vision du monde” n’a pas grand chose à faire ici, n’ayant jamais nié le droit de cette boite à licencier son personnel si son activité ne permet plus de les garder, ou plus exactement sa branche développement.



En revanche, elle pourrait tout aussi bien en fonction de sa stratégie et de l’état de son développement, vouloir “préparer les opérations commerciales” et dans le même temps accélérer son développement pour le finaliser à temps.



Ici, 1. virgin veut réduire la voilure coté développement et licencier, laissant entendre que celui-ci serait quasi terminé, 2. elle veut lancer les “opérations commerciales”, mais virgin prétend que 2 est nécessairement la conséquence de 1, alors que la relation logique n’a rien de systématique.

Le 28/01/2019 à 10h 00







Faith a écrit :



&nbsp;



 Il semble évident que les compétences requises en phase de&nbsp;développement de prototype et la&nbsp;phase de commercialisation ne sont pas du tout les mêmes. Donc quelques départs ne sont pas illogiques (on parle de 40 licenciements, soit 5%)       

Ce sur quoi on peut discuter, c'est que ça semble indiquer que l'entreprise va ralentir légèrement le développement. Mais encore une fois, ce n'est pas forcément étonnant: il vont se concentrer un moment sur la rentabilisation de ce qu'ils ont pu créer, et continuer de développer la suite à un rythme un peu moins forcé.








Donc y a pas de relation de cause à effet mais deux choses distinctes:     



. d’un coté la volonté de ralentir le développement impliquant qu’il y a un besoin moindre de personnel dans ce secteur, “permettant” de licencier,

. de l’autre, le souhait de passer à la commercialisation des vols (dont d’ailleurs on pourrait dire qu’il implique&nbsp; d’embaucher du personnel à cette fin “nouvelle”).



Du coup en prétendant à une relation logique entre “préparation des opérations commerciales” et licenciement, la communication de la boite ressemble à une tentative d’enfumage.


Le 28/01/2019 à 09h 53

Bon ça me rassure <img data-src=" />

Le 28/01/2019 à 09h 38

Y a que moi qui capte pas la relation de cause à effet que met en avant virgin, à savoir licencier pour “préparer” des vols commerciaux ?

Le 28/01/2019 à 10h 10

A la suite de la journée de la protection des données personnelles, Google, Facebook, Apple, Microsoft, Amazon etc… pris de terreur devant l’ampleur de la mobilisation et des protestations, annoncent qu’ils arrêtent tous les traitements des données de leurs utilisateurs à des fins de profilage.&nbsp; <img data-src=" />

Le 28/01/2019 à 09h 21

Série d’un exceptionnelle qualité ! Je les adore toutes !

Le 26/01/2019 à 08h 46







fred42 a écrit :



J’ai toujours cru, peut-être à tord qu’ils avaient des accords avec les sites cités “généreusement”.



Mais comme ils m’ont fait découvrir PC Inpact, je leur pardonne s’ils ont abusé.





Il y a eu des discussions entre yahoo et la presse dans les années 2008, par contre je n’ai aucun souvenir de si un accord avait été trouvé.


Le 25/01/2019 à 14h 37







Stel a écrit :



Certain sont assez vindicatif ici, je trouve que tout n’est pas aussi simple.



Ca fait des années que google propose du contenu en haut des résultat de recherche plutôt que les liens vers les sites eux même, tout ca pour capter un maximum l’internaute. C’est très loin de concerner que la presse. Il y a un vrai problème de fond sur ce sujet.





Si j’ai toujours trouvé que Yahoo allait bien au-delà d’une simple mention du titre et trois mots du contenu de l’article, à l’inverse pour Google la mention est succincte de sorte qu’on ne peut pas prendre connaissance de l’article sans effectivement cliquer sur le lien vers le journal.



Enfin et surtout, pour apparaitre ainsi, à un moment où un autre, l’éditeur de presse a fait le choix de permettre ce référencement. (options de référencement pour les robots).


Le 25/01/2019 à 11h 57







carbier a écrit :



Quel est le problème ?

Pour s’informer il suffit de surfer directement sur le sites d’info: Google n’est pas Internet.



Ensuite si Google, Bing et autres veulent faire des news, ils n’auront qu’à faire à la Netflix: produire leur propre contenu.





Penses tu vraiment que cela soit dans l’intérêt d’une presse libre et indépendante, que Google se lance dans l’idée de produire sa propre information qu’il imposera sans mal du fait de sa capacité de communication et sa puissance financière ?


Le 25/01/2019 à 11h 48







carbier a écrit :



C’est vrai c’est tellement mieux de permettre à Google de faire ce qu’ils veulent.



Mon rêve serait que Google aille jusqu’au bout et se retire de France voire d’Europe et que les internautes se tournent vers les solutions alternatives telles que Qwant





Je ne pense pas qu’il défende google, tout comme je crains que ton souhait soit très improbable; qui des deux entre Google (ou Bing, ou autre que j’ai pas en tête) et Qwant sera en mesure d’aligner le plus devant les éditeurs de presse pour avoir le droit d’utiliser les articles des grands groupes en mode openbar ?


Le 25/01/2019 à 11h 32







linkin623 a écrit :



Continuez comme ça amis éditeurs. Le réveil sera brutal.





Quel réveil ? C’est tout le problème, ils ne font qu’étendre à eux les privilèges exorbitants qui existent pour l’industrie musicale et du cinéma…



Hélas et malgré l’iniquité totale de cette réglementation, jamais rien n’est venu la remettre en cause.



D’accord Google a lui aussi une immense force de frappe, mais au final ce qui importe à savoir le journaliste, de plus en plus précarisé, et les acteurs du net français, déjà pas flambants, sont les dindons de cette farce entre GAFAM et éditeurs de presse.



Et même par effet ricoché, une question de l’accès à l’information va se poser surtout au regard de l’ambiguïté du passage sur la question du lien.


Le 25/01/2019 à 10h 01

&nbsp;







j34n-r0x0r a écrit :



Le RGPD c’est la réponse proportionné au laissé faire de la centralisation des données personnelles.









Typhlos a écrit :



Après, je pense que le modèle économique actuel sur Internet basé sur la publicité ciblée et l’exploitation de nos données personnelles est toxique et je préférerai largement payer pour financer un modèle économique plus respectueux de la vie privée comme payer un abonnement pour un service. Mais je sais que la plupart des gens n’ont pas cette habitude de payer pour les services qu’ils utilisent sur Internet et qu’il faut bien financer l’infrastructure qui est derrière…





Je fais un combo: le problème est que le RGPD est quelque chose de très timoré.



La CNIL tente de le blinder en donnant une vraie portée à l’exigence d’un consentement spécifique à la question du profilage des données, ceci devant conduire à mettre à mort le modèle du profilage publicitaire (et non la publicité non ciblée).



Sauf que cela dépendra de la validation de cette interprétation par la CJUE, je ne dis pas que cela ne sera pas le cas, mais que le RGPD, qui est le fruit d’un accord européen et donc d’un compromis, n’est pas l’arme que l’on prétend, mais un couteau bien émoussé que seules les CNILs pourront aiguiser.



A l’inverse, regardez la position de la CNIL sur le droit d’effacement, elle a tenté de monter une théorie (à mon avis totalement vaseuse depuis le début) sur le droit à l’oubli et la portée internationale de celui-ci depuis 2008.



Sauf que si la CJUE reprend les conclusions de l’Avocat Général (ce qui est généralement le cas) dans l’affaire CJUE GOOGLE C-50717, le droit à l’oubli comme le voulait la CNIL ne sera plus.



Bref, s’il faut défendre l’intérêt du RGPD, il faut surtout à mon avis le voir comme une étape vers une vraie protection des données à caractère personnel, non comme portant en lui-même la protection souhaitée.


Le 24/01/2019 à 13h 16







Typhlos a écrit :



Non, là il s’agit des délires de Google comme quoi le RGPD serait dangereux pour les créateurs de contenus et l’innovation technologique. Enfin plus particulièrement ici, la décision de la CNIL de coller une amende à Google.





C est hélas la position de certains y compris en Europe.



A ce stade je ne partage pas cette analyse, mais si le RGPD ne permet pas de diminuer la part de marché des outils détenus par des multinationales qui poutrent nos données, à un moment donné il n aura d une part pas atteint son objectif et, d autre part, ne sera qu une contrainte pesant sur les boites UE et pas les autres.



A charge pour les CNILs de ne pas se tromper de cible, car je crains que de lui-même le consommateur ne change pas ses habitudes.


Le 24/01/2019 à 16h 42







Radithor a écrit :



En même temps, c’est un peu la raison d’être d’une garde à vue ou d’une détention préventive, mais personnellement, je veux bien croire que l’aveu soit une preuve très utilisée par la police judiciaire japonaise (en France, on a aussi une certaine culture de la preuve par l’aveu, malheureusement).





Alors si cela cela a été longtemps l’objectif affiché, on veut sortir de cette religion de l’aveu en GAV, car on sait objectivement la fragilité du dit aveu, les cas où la personne craque et balance ce que l’OPJ veut entendre dans l’espoir de sortir plus vite n’étant pas rare et souvent chez les moins habitués.



En pratique cela va dépendre de la qualité de l’enquête et des enquêteurs qui la mène, ainsi que du procureur de permanence.



Y a des jours sans même préalablement te renseigner, tu peux déduire qui dirige le STD (service de traitement direct = procureur de permanence qui a le compte rendu des OPJ durant la GAV et les investigations menées) lorsque tu arrives pour assister un type en GAV; lorsque le dossier tient pas la route (même si théoriquement on a pas le droit de le consulter), que l’OPJ pose 15x la même question en espérant que la personne se plante enfin dans sa réponse, voire qu’un autre OPJ entre dans le bureau pour poser des questions à son tour sans jamais apparaitre sur le PV (t’imposant de le remettre à sa place), tu peux généralement facilement en déduire quels sont les procs qui dirigent le STD le jour en question.



Heureusement, ce n’est plus la majorité qui fonctionne comme ça.


Le 24/01/2019 à 14h 07







Kevsler a écrit :



Dans le cas présent un des contractants sera immanquablement l’UE, non ? On ne parle alors plus de pipeau mais de Cor des Alpes.




L'article 45 ne parle pas de BCR mais d'un réexamen de l'accord (au moins tous les 4 ans, sont gentils). J'ai commencé à fouiller le Journal Officiel de l'Union Européen en quête de plus d'information, puis je suis tombé sur ça et j'ai fermé les pages.      






Misère de misère...








Si tu veux une illustration de comment on peut monter un accord à la con violant notre réglementation sur les données à caractère perso (et au passage étant soupçonné de permettre notre espionnage éco), tu as le tristement célèbre :     



https://www.cnil.fr/fr/invalidation-du-safe-harbor-par-la-cour-de-justice-de-lunion-europeenne-une-decision-cle-pour-la-0

Et sa suite tout aussi détestable:

https://www.cnil.fr/fr/le-privacy-shield


Le 24/01/2019 à 13h 39







Kevsler a écrit :



Tu disais que l’accord permettait « seulement de transférer les données ». Oui, c’est bien ça le problème. Une fois les données exfiltrées l’UE n’a plus aucun contrôle sur leur traitement, leur stockage, ou leur transmission.





Tu as la possibilité de monter ton accord pour que le contrôle existe, par exemple en imposant dans tes contrats des BCR dont le respect pourra être contrôlé par chaque partie et qu’en cas de manquement telle juridiction (généralement arbitrale) sera compétente pour trancher des dommages et intérêts, pénalités, voire rupture des contrats.



Après je te l’accorde, lorsque le co-contractant est un Etat, c’est le plus souvent du pipeau…



PS: j’ai pas lu les termes de la décision pour le Japon parce que j’en ai rien à carrer, donc je sais pas ce qui est dit dedans <img data-src=" />


Le 24/01/2019 à 13h 56

Ah pour certains c’est une innovation de taille! Plutôt que de péter une face, ils pourront faire le triplet !

Le 24/01/2019 à 11h 49







Tandhruil a écrit :



Hélas, il existe aujourd’hui un moyen très simple de ne pas assumer ses responsabilités, c’est la décision collective en comité de décision… Pratique de plus en plus courante en entreprise.



Responsabilité partagée, pas de coupable identifié.





Si certains artifices permettent d’échapper à une responsabilité individuelle sur le plan civil (néanmoins la personne morale sera elle responsable), pénalement et dans l’éventualité d’une “corruption” comme dans l’exemple donné, le Société aussi bien que ses responsables physiques peuvent être poursuivis.


Le 23/01/2019 à 17h 49







Aloyse57 a écrit :



Soit le processus est automatique et dans un certain sens juste une fois qu’on a compris son algorithme.

Soit le processus est manuel et dans ce cas on a la certitude qu’il est corrompu.



Je préfère mille fois être jugé par un algorithme connu que par un humain : l’un est prévisible, le second non.





Etrange philosophie que celle qui prétend qu’un traitement uniquement par un algorithme (ce qui est heureusement strictement interdit) serait meilleur, alors que par définition le dit algorithme est nécessairement pas neutre et qu’à ce jour aucune des demandes visant à avoir l’explication du fonctionnement d’un algo d’Etat n’a donné satisfaction (au mieux des choses parcellaires)



A l’inverse si un humain est faillible ou corruptible, il est aussi responsable y compris devant un Tribunal, ce que ne sera jamais un algo.


Le 23/01/2019 à 16h 26

L’usage du numérique par les gouvernants est préoccupant, probablement involontairement (du moins je l’espère) mais par une absence de contrôle et d’évaluation de la pertinence de ce qui est fait, bien souvent le renvoi à un service en ligne par l’Etat se traduit par au mieux un défaut de transparence, ou au pire une impossibilité d’exercer ses droits et comme l’a relevé là encore le défenseur des droits s’agissant de la dématérialisation de l’administration (je vous laisse imaginer lorsque cela sera également le cas de l’accès au Juge).



En cette période où la défiance s’installe pour une partie de la population, donner le sentiment qu’on n’est orienté, administré ou jugé automatiquement, sans voir personne et sur des critères obscurs, va à un moment ou un autre poser un vrai problème de rejet de nos institutions.

Le 23/01/2019 à 09h 56







carbier a écrit :



Ensuite les questions de débat ouvert sur tout… Mais c’est une excellente idée, cela pourrait permettre de remettre le couvert sur le mariage pour tous, la peine de mort, l’IVG, l’indépendance de l’Etat et de la religion, etc. etc.)





C’est à mon avis une mauvaise approche de la question, si je suis opposé au RIC, en revanche ne pas permettre une discussion sur certains sujets dont les sensibles, laisse un boulevard aux populistes qui sont les seuls à s’exprimer publiquement et “argumenter” sur ces sujets.



Et de fait, les questions que tu évoques sont à mon avis redevenus un sujet de discussion d’actualité parce que les bienfaits de ces progrès sociaux et les conséquences désastreuses des souhaits des populistes ne sont plus exposés publiquement et rationnellement.



En revanche organiser un débat demande un certain savoir faire et une organisation reconnue par l’ensemble des participants, typiquement ce qui est fait dans une section d’un partie politique ou d’un syndicat.



Hélas, cette pratique de la discussion (ce qui n’empêche pas de s’engueuler là n’est pas la question) au sein de section est totalement méconnu par les marcheurs et les GJ.


Le 23/01/2019 à 09h 47







Tandhruil a écrit :



Ca me

rappelle la novlangue des jeunes cadres qui arrivent en entreprise quand tu les contraries :

“J’entends bien”

Quand je leur explique que tout le monde dans

l’entreprise traduit ça en “Cause toujours” ils paraissent surpris…





Oui c’est une manière de faire très courante pour diriger (pardon manager) les équipes hélas.


Le 22/01/2019 à 18h 16

J’ai profité de ce “grand débat” pour déposer des propositions, mais la mise en œuvre pratique du “débat” est moisie. Dommage car un débat intelligemment mené pourrait donner de bonnes choses.



Mais pour l’avoir vécu à mon échelle à l’occasion de la réforme de la Justice, je pense que ce Gouvernement ne comprend pas le terme “concertation”, qu’il le confond avec entendre ce qui n’est absolument pas la même chose qu’écouter ou débattre.

Le 22/01/2019 à 14h 04







Aloyse57 a écrit :



Il me semble que Trump a sorti les USA de l’OMC, donc plus moyen d’utiliser cette ressource.





Sauf erreur il est resté au stade des menaces de le faire.


Le 22/01/2019 à 13h 17







Herbefol a écrit :



Je trouve que tu occultes un peu facilement les dégâts occasionnés par le traité de Verdun. C’est louche. <img data-src=" />





Je peux pas tout révéler d’un coup, je suis surveillé !


Le 22/01/2019 à 11h 55







Kazer2.0 a écrit :



C’est question juridique me dépasse largement, mais dans le cas 2), ils ont pas plusieurs moyens de les faire plier ?



Google dépend de la pub et de l’aspiration des données, on bloque bien de site supposé terroriste (enfin avec un succès tout relatif vu la technique choisi en France), le fait de bloquer Google devrait avoir un sale impact en terme de revenu (vu que Mme Michu ne sait pas changer ses DNS) ?





Je doute qu’à l’échelle de la France on puisse faire plier google, éventuellement au niveau de l’UE, sauf qu’on a pas grand chose en terme d’outils juridiques sur l’exécution d’une Société d’un pays non membre.



Comme tu l’indiques peut-être sous l’angle de mesures économiques.


Le 22/01/2019 à 10h 42







WereWindle a écrit :



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