Victime de revenge porn en ligne, Benjamin Griveaux se retire des municipales pour Paris
Le 14 février 2020 à 09h56
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Droit
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« Le revenge porn est une infraction pénale et une plaie dans nos sociétés hyper connectées. Quelles qu'en soient les victimes, qu'elles nous plaisent ou non. Et il faut lutter contre. J'espère qu'une plainte sera déposée et aboutira » indique dans un tweet l’avocat Eric Morain.
La mise en ligne de vidéos de « revenge porn », attribuées à Benjamin Griveaux, suscite une vague d’indignations. « Un site internet et des réseaux sociaux ont relayé des attaques ignobles mettant en cause ma vie privée. Ma famille ne mérite pas cela. Personne, au fond, ne devrait jamais subir une telle violence » a déclaré le principal intéressé à l’AFP.
Le candidat de La République en marche pour la mairie de Paris a finalement retiré sa candidature
Depuis la loi pour une République numérique, le Code pénal sanctionne jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 60 000 euros d’amende ces diffusions d’images présentant un caractère sexuel « prises dans un lieu public ou privé ».
Le 14 février 2020 à 09h56
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