#Le brief du 24 mai 2023

Corsair 2000D : un boîtier Mini-ITX en hauteur, à partir de 124,90 euros

Corsair 2000D : un boîtier Mini-ITX en hauteur, à partir de 124,90 euros

Le 24 mai 2023 à 05h07

Le châssis mesure 27,1 x 20 x 45,8 cm (L x l x h) et propose un emplacement SFX pour l’alimentation (13 cm maximum). La connectique comprend un USB 3.1 Type-C, deux USB 3.0 et un port jack pour l’audio.

Il accepte les radiateurs de 120 à 360 mm, propose trois emplacements de 2,5" et accepte les ventirads jusqu’à 17 cm de hauteur. Les cartes graphiques occupant trois emplacements et mesurant jusqu’à 36,5 cm sont compatibles. 

Comptez 124,90 euros pour la version noire ou blanche et 169,90 euros pour ajouter trois ventilateurs RGB. Toutes les caractéristiques sont disponibles ici.

Le 24 mai 2023 à 05h07

Corsair 2000D : un boîtier Mini-ITX en hauteur, à partir de 124,90 euros

Le Motorola Edge dépasse deux fois les limite de DAS : mise à jour et amende de 7 500 euros

Le Motorola Edge dépasse deux fois les limite de DAS : mise à jour et amende de 7 500 euros

Le 24 mai 2023 à 05h07

C’est le DAS tronc qui est épinglé avec 2,12 W/kg, au-dessus des 2 W/kg réglementaire. Motorola déploie une mise à jour… qui fait pire avec 2,24 W/kg. 

Il faudra attendre une seconde mise à jour pour que le DAS retombe à 1,5 W/kg. Comme elle en a le pouvoir en cas persistance de non-conformité, l’Agence nationale des fréquences a prononcée une amende administrative de 7 500 euros, le maximum autorisé. 

Le 24 mai 2023 à 05h07

Le Motorola Edge dépasse deux fois les limite de DAS : mise à jour et amende de 7 500 euros

Netflix facture 5,99 euros par mois le partage de compte avec « quelqu’un qui ne vit pas avec vous »

Netflix facture 5,99 euros par mois le partage de compte avec « quelqu’un qui ne vit pas avec vous »

Le 24 mai 2023 à 05h07

Cela fait un moment maintenant que la plateforme de streaming s’est lancée dans une guerre contre ceux qui partagent leur compte en dehors de leur foyer. Pour rappel, « seules les personnes qui vivent avec vous peuvent utiliser votre compte ».

Netflix vient d’annoncer qu’un email est envoyé à ses « abonnés en France qui partagent leur compte Netflix en dehors de leur foyer ». Il y est indiqué que « vous pouvez partager votre compte Netflix avec quelqu’un qui ne vit pas avec vous pour un supplément de 5,99 euros par mois ». 5,99 euros par mois c’est le prix de l’offre de base avec publicité

Dernière précision : « La possibilité d’ajouter un abonné supplémentaire est actuellement indisponible pour les membres abonnés par l'intermédiaire d’un de nos partenaires ».

Le 24 mai 2023 à 05h07

Netflix facture 5,99 euros par mois le partage de compte avec « quelqu’un qui ne vit pas avec vous »

Apple lance les versions iPad de Final Cut Pro et Logic Pro

Apple lance les versions iPad de Final Cut Pro et Logic Pro

Le 24 mai 2023 à 05h07

Après une longue attente, les utilisateurs des deux applications peuvent les utiliser sur iPad. Comme on s’en doute, elles ont chacune une ergonomie pensée pour la tablette.

Selon Apple, les applications peuvent être utilisées pour l’intégralité des actions que l’on trouve habituellement sur Mac. Dans Final Cut Pro par exemple, c’est toute la chaine d’édition des vidéos qui peut être traitée, y compris l’enregistrement en ProRes RAW depuis la caméra. Le Pencil est bien sûr pris en charge et Apple a ajouté une molette tactile.

Attention cependant, car ces applications sont gourmandes en puissance. Final Cut Pro réclame ainsi obligatoirement un iPad muni d’une puce M1, et il n’y en a pas beaucoup : iPad Air 5, iPad Pro 2021 et 2022. Pour Logic Pro, une puce A12 suffit, lui ouvrant les portes des iPad 8, Air 3, mini 5 et Pro 2018, ainsi bien sûr que tous les modèles ultérieurs.

Ces versions, entièrement compatibles avec leurs grandes sœurs sur macOS (et mises à jour pour l’occasion), ne peuvent en outre s’utiliser que sur abonnement. Chaque application coûte ainsi 4,99 euros par mois ou 49 euros par an.

Le 24 mai 2023 à 05h07

Apple lance les versions iPad de Final Cut Pro et Logic Pro

Usurpation téléphonique : une « fraude à l’échelle industrielle » démantelée en traçant les bitcoins

Usurpation téléphonique : une « fraude à l'échelle industrielle » démantelée en traçant les bitcoins

Le 24 mai 2023 à 05h07

Tejay Fletcher, un Britannique de 35 ans, vient d'être condamné à 13 ans et quatre mois de prison pour une « fraude à l'échelle industrielle » estimée à 100 millions de livres sterling (115 millions d'euros) de préjudices, rapporte The Telegraph.

Fletcher avait été arrêté en possession d'une Lamborghini de 265 000 euros, et d'une Rolex à 13 000 euros. Il gérait alors le site iSpoof.cc, qu'il avait qualifié de « plate-forme d'usurpation de clients la plus sophistiquée », et qui permettait à ses clients de passer des appels téléphoniques en se faisant passer pour des banques ou d'autres institutions.

À son apogée, iSpoof comptait près de 70 000 clients, et aurait permis d'effectuer plus de 10 millions d'appels frauduleux. L'accusation estime à plus de 200 000 le nombre de victimes au Royaume-Uni – dont beaucoup de personnes âgées –, qui auraient perdu 43 millions de livres sterling (50 millions d'euros).

Les appels frauduleux visaient notamment à intercepter les mots de passe à usage unique censés permettre de renforcer la sécurité des transactions bancaires, les victimes étant invitées à saisir le code PIN via des appels automatisés.

Fletcher, qui n'était lui-même « pas particulièrement doué pour la technologie », et qui se faisait payer en Bitcoin, avait accumulé l'équivalent de plus de 2 millions d'euros de bénéfices. Il s'est bêtement fait avoir parce que la police britannique, qui avait payé un abonnement à l'essai, a ensuite tracé les bitcoins envoyés à iSpoof.cc, et réussi à remonter jusqu'à Fletcher.

iSpoof promettait à ses clients et utilisateurs sécurité et anonymat, mais les journaux d'appels de son site web ont permis l'identification et l'arrestation de 120 fraudeurs téléphoniques.

Le 24 mai 2023 à 05h07

Usurpation téléphonique : une « fraude à l’échelle industrielle » démantelée en traçant les bitcoins

FinFisher, l’ex-leader du marché des logiciels espions, poursuivi par le parquet allemand

FinFisher, l'ex-leader du marché des logiciels espions, poursuivi par le parquet allemand

Le 24 mai 2023 à 05h07

Le parquet de Munich vient d'annoncer qu'il requérait un procès à l'encontre de quatre anciens dirigeants de FinFisher, soupçonnés d'avoir enfreint la législation de l'Union européenne (UE) restreignant depuis 2015 la vente à des pays tiers de technologies de surveillance, rapporte l'AFP.

Filiale allemande du groupe britannique Gamma, FinFisher a longtemps été l'un des pionniers, et leaders, avec son concurrent italien HackingTeam, dans le marché des logiciels espions, au point d'être qualifié d'« ennemi de l'Internet » en 2013 par l'ONG Reporters sans frontières. 

Le parquet avait été saisi en 2019 par une plainte commune de quatre ONG. FinFisher avait en effet commercialisé son logiciel espion FinSpy à certains pays peu regardants en matière de droits humains, dont la Turquie, et « avec lesquels la majeure partie du chiffre d'affaires du groupe a été réalisée », selon le parquet.

Selon les ONG, FinFisher aurait notamment livré aux services turcs en 2017 un logiciel, utilisé ensuite sous la forme d'un « faux site du mouvement d'opposition turc dans le but de l'espionner », souligne le parquet.

Certains médias avaient également mentionné l'Égypte et la Birmanie parmi les acquéreurs potentiels des logiciels FinFisher. L'AFP précise qu'il revient au tribunal de Munich de décider ou non la tenue d'un procès. Devenue insolvable, dépassée par NSO, l'entreprise avait déposé son bilan en 2022.

Le 24 mai 2023 à 05h07

FinFisher, l’ex-leader du marché des logiciels espions, poursuivi par le parquet allemand

Comment l’algorithme de Sciences Po Bordeaux privilégie les élèves boursiers

Comment l’algorithme de Sciences Po Bordeaux privilégie les élèves boursiers

Le 24 mai 2023 à 05h07

Depuis 2020, Sciences Po Bordeaux a abandonné son traditionnel concours écrit pour lui privilégier l’examen des candidatures soumises via Parcoursup assorti d’un oral d’admission. Pour trier les dossiers, l’institut d’études politiques (IEP) a ouvertement paramétré son algorithme afin de favoriser les élèves boursiers et ceux qui viennent de lycées dits « cordées de la réussite », un dispositif d’accompagnement à l’orientation qui débute en quatrième.

Le Monde explique comment le dispositif s’appuie sur « l’écart à la moyenne », un principe différent de celui adopté dans l’« outil d’aide à la décision » (OAD) du ministère de l’Enseignement supérieur. Le but : éviter de discriminer les élèves issus de lycées à la notation sévère. Le revers de la médaille : la machine est défavorable à une autre catégorie d’étudiants, ceux qui viennent de classes où il y a peu de dispersion de notes.

Le résultat, enfin : pour la rentrée 2023, 72 % des admissibles auraient été les mêmes selon que l’IEP a utilisé l’OAD ou son propre outil, mais 28 % n’auraient pas été retenus sans l’algorithme maison. Autre manière de détailler ces chiffres : avec l’algorithme de l’IEP, 19 % des admissibles étaient issus du système cordées de la réussite, tandis qu’ils n’étaient que 3 % avec l’OAD. Les boursiers, eux, sont 15 % avec l’outil de l’IEP contre 5 % si le calcul adopté était celui de l’OAD.

Le dispositif joue aussi sur le type d’établissements dont viennent les admissibles puisque 14 % de ceux sélectionnés par l’algorithme de l’IEP viennent du privé, alors qu’ils auraient été 43 % avec l’OAD.

Sociologue et concepteur du projet, Vincent Tiberj regrette que, quatre ans après l’intégration de l’IEP à Parcoursup, aucune espèce de dialogue n’ait été possible avec les équipes du ministère de l’Enseignement supérieur sur les outils utilisés. Il se prononce pour une plateforme de sélection des étudiants qui propose différents choix d’algorithmes, laissant à chaque formation le rôle de choisir son outil, de manière transparente.

Le 24 mai 2023 à 05h07

Comment l’algorithme de Sciences Po Bordeaux privilégie les élèves boursiers

L’industrie prise d’une frénésie autour de la régulation de l’IA

L’industrie prise d’une frénésie autour de la régulation de l’IA

Le 24 mai 2023 à 05h07

Le plus souvent, on a l’habitude d’entendre les patrons de la tech promouvoir une régulation minimale, pour ne pas, disent-ils, brider l’innovation. Grand chamboulement ces dernières semaines : un nombre croissant d’entrepreneurs appellent à fixer des cadres pour l’intelligence artificielle.

Même Sam Altman, le cofondateur d’OpenAI, s’est prononcé la semaine dernière face à un comité sénatorial américain en faveur de standards internationaux sur l’IA.

Dans la Technology Review, la journaliste Melissa Heikkilä qualifie ce mouvement d’à la fois encourageant et frustrant : comme elle, la politiste Anna Lenhart s’inquiète des discours qui laisse entendre au Congrès américain qu’il faudrait « tout inventer », comme si aucun travaux n’avait été réalisé dans les cinq à sept dernières années sur les manières de réguler l’intelligence artificielle.

Entre divers textes américains, les principes de l’OCDE sur l’intelligence artificielle, le partenariat mondial sur l’intelligence artificielle co-fondé par 15 pays dont la France, ou les travaux sur un règlement européen sur l’intelligence artificielle, les sources d’inspiration sont nombreuses. Reste à voir à quoi ressembleront les textes finalement adoptés, puis à mesurer les effets de leur entrée en vigueur.

Le 24 mai 2023 à 05h07

L’industrie prise d’une frénésie autour de la régulation de l’IA

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