Un député souhaite « garantir un recours systématique au télétravail partout où cela est possible »

Un député souhaite « garantir un recours systématique au télétravail partout où cela est possible »

Un député souhaite « garantir un recours systématique au télétravail partout où cela est possible »

« J'ai (…) dans mon entourage des personnes à qui le télétravail est strictement interdit par leur employeur, alors que leur travail est réalisable à distance. Cette interdiction met en danger leur santé et celle de leurs proches, en leur imposant des transports bondés, et en multipliant les interactions au travail »

Dans une question parlementaire, le député LFI Bastien Lachaud plaide pour une mise à jour de la réglementation afin qu’un décret soit pris par le gouvernement pour imposer le télétravail. 

« Un tel décret permettrait d'ouvrir du moins un dialogue, et la possibilité d'une inspection du travail, voire d'une amende, si l'employeur continue à s'opposer au télétravail sans raison valable ». 

L’idée serait de « garantir un recours systématique au télétravail partout où cela est possible ». Avec une telle mise à jour, « la propagation de l'épidémie de covid-19 en milieu professionnel pourrait ainsi se trouver significativement freinée. Le recours à des mesures restreignant les libertés individuelles et pesant lourdement sur la vie sociale, tel que le couvre-feu, pourrait ainsi s'avérer superflu ».

La question a été publiée sur le site de l’Assemblée nationale alors qu’on se dirige vers un deuxième confinement en France pour une durée de plusieurs semaines.

Commentaires (26)


Il serait temps que la législation soit un peu plus favorable au télétravail.
Dans le public, les responsables/directions ne font pas confiance aux agents, difficile d’avoir ne serait-ce qu’un jour par semaine tellement c’est mal vu. Dans leurs têtes un agent qui télétravaille ne travaille pas.
Quand je vois que sur une petite ville de Normandie, les temps de trajet quotidien sont multipliés par 2 voire 3 avec le trafic (je plains les grandes villes), nous aurions tous à y gagner de favoriser le télétravail plusieurs jours par semaine !


Même chose dans le privé. “Maintenant que la période télé-netflix est derrière nous, il est important de retrouver la notion de vie d’entreprise.”
En expliquant qu’on doit tous revenir sur site et le site de nos clients.
On est une société de service informatique…



Alors que le télétravail, au final, c’est surtout le management qui doit s’adapter.


Toaster

Même chose dans le privé. “Maintenant que la période télé-netflix est derrière nous, il est important de retrouver la notion de vie d’entreprise.”
En expliquant qu’on doit tous revenir sur site et le site de nos clients.
On est une société de service informatique…



Alors que le télétravail, au final, c’est surtout le management qui doit s’adapter.


Ah le fameux discours de “ retrouver la notion de vie d’entreprise” ou bien “le cadre du travail”.



J’ai aussi eu :“On n’a pas pu apprécier l’impact du télétravail durant le confinement” du coup, retour en entreprise.



Mon client a difficilement lâché les 2 jours par semaine sous pression. Mais pas plus. Faut pas déconner.
Tout le service n’arrête d’ailleurs pas de s’en plaindre…



Et avec le gouvernement qui n’arrête pas de retourner sa veste, un coup, le télétravail, c’est bien, un autre, c’est pas bien… Maintenant, c’est de nouveau bien…



Enfin, tant que le gouvernement continue a “fortement recommander” le télétravail, on n’est pas sorti de l’auberge. Car bon, les recommandation, les entreprises s’en torche le cul comme pas possible…


Toaster

Même chose dans le privé. “Maintenant que la période télé-netflix est derrière nous, il est important de retrouver la notion de vie d’entreprise.”
En expliquant qu’on doit tous revenir sur site et le site de nos clients.
On est une société de service informatique…



Alors que le télétravail, au final, c’est surtout le management qui doit s’adapter.


La même ici, grand groupe privé, culture de vieille boîte industrielle française avec des vieux aux manettes arc boutés sur leurs vieux principes (“Le travail ça se fait au travail !”)
A chaque fois qu’on en parle, la réponse c’est qu’il y a une consigne d’en haut qui impose la présence sur site, mais bien entendu pas d’écrit et pas de nom..


Je suis dans le public (FPT) également et en télétravail depuis 3 ans !



D’abord un jour par semaine dans l’expérimentation puis la phase élargie, à temps complet pendant le confinement et 2 jours/semaine depuis.



Ça dépend des collectivités, mais visiblement les plus grosses sont celles qui avaient pris les devants sur le sujet.


Chez nous c’est encore pire, on a promis un jour de télétravail minimum par semaine à un gars qu’on voulait. Résultats : il n’y a pas droit et se tape 1h40 de train par trajet.



Il a fallu que le gouvernement rappelle que le télétravail était la règle et pas l’exception pour le moment pour qu’on accepte de laisser le personnel chez lui. Il y a troiss emaines c’était encore “maximum une fois par mois et ce n’est pas négociable”.



Notre boulot consistant essentiellement à traîner sur le net, paie ta logique. Et je suis en Belgique. Ce n’est clairement aps mieux ici.


Le télétravail existe depuis plus de 20 ans et il n’a jamais émergé.



Les patrons n’en veulent pas.



Quand je bossais dans des SSII, le télétravail était systématiquement refusé, même (surtout) pendant les périodes d’intercontrat, sinon les managers n’ont plus de moyen de pression.



Après, ayant discuté avec des amis dans une entreprise pétrolière française, ils étaient tous en télétravail. Le PDG a demandé des statistiques de connexions de ses salariés (qui sont tous des ingénieurs hautement qualifiés), le résultat était catastrophique donc arrêt du télétravail.



Payer ses salariés pendant qu’ils rénovent leur maison/jardin plutôt que de travailler, je peux comprendre que ça rebute les patrons.


Bravo la généralisation stupide d’un indicateur inadapté, la connexion n’est pas liée au travail effectif, surtout si le VPN de la boîte est sous-dimensionné et inadapté au boulot.
Après, si c’est le PDG qui prend directement ces décisions sur la base d’un log informatique, faut surtout se poser la question de l’utilité du management intermédiaire, grosses économies à la clé !


Certes.
Mais si la rentabilité est la même que sans télétravail, l’employeur devrait détecter un problème ailleurs que là…
(ce n’est pas en étant présente que la personne travaille plus)


C’est un peu plus compliqué que “c’est la faute au patron”. En pratique, c’et clair que sans volonté du management c’est impossible. Mais d’un autre côté, même avec la meilleur volonté du monde ce n’est pas forcément trivial à mettre en place.



D’une part il faut bien sûr avoir un VPN qui tourne et qui tienne la charge - c’est pas gratuit. Ensuite, dans les grosses boîtes, comme nous sommes en France il est impossible d’y aller sur un simple accord entre personnes de bonne compagnie (comme un manager qui laisse ses membres d’équipe s’organiser comme ils peuvent / veulent), il faut que ça soit cadré dans un accord d’entreprise qui nécessite parfois de longues, très longues discussions avec les syndicats (qui pour certains voient dans le télétravail une opportunité pour “le patron” pour prendre le contrôle de la vie privée des salariés).



Enfin, pour les sociétés de service, c’est bête à dire mais ce n’est possible que quand le client est d’accord et peut le mettre en place. Dans ma grosse boîte française, avant le confinement les prestataires n’avaient pas droit (de manière officielle) au télétravail parce-que tous les contrats de prestation devaient être modifiés en conséquence. En attendant que la chose soit faite, la possibilité n’existait pas. Le confinement a donné un gros coup d’accélérateur à ce “cadrage juridique”.


anagrys

C’est un peu plus compliqué que “c’est la faute au patron”. En pratique, c’et clair que sans volonté du management c’est impossible. Mais d’un autre côté, même avec la meilleur volonté du monde ce n’est pas forcément trivial à mettre en place.



D’une part il faut bien sûr avoir un VPN qui tourne et qui tienne la charge - c’est pas gratuit. Ensuite, dans les grosses boîtes, comme nous sommes en France il est impossible d’y aller sur un simple accord entre personnes de bonne compagnie (comme un manager qui laisse ses membres d’équipe s’organiser comme ils peuvent / veulent), il faut que ça soit cadré dans un accord d’entreprise qui nécessite parfois de longues, très longues discussions avec les syndicats (qui pour certains voient dans le télétravail une opportunité pour “le patron” pour prendre le contrôle de la vie privée des salariés).



Enfin, pour les sociétés de service, c’est bête à dire mais ce n’est possible que quand le client est d’accord et peut le mettre en place. Dans ma grosse boîte française, avant le confinement les prestataires n’avaient pas droit (de manière officielle) au télétravail parce-que tous les contrats de prestation devaient être modifiés en conséquence. En attendant que la chose soit faite, la possibilité n’existait pas. Le confinement a donné un gros coup d’accélérateur à ce “cadrage juridique”.


je n’ai pas dit que c’était la faute des patrons …
J’ai même dit que je peux comprendre les patrons qui refusent la mise en place.
Chaque contexte est différent.
Dans la boite où sont mes amis, il y a des moyens considérables donc le VPN supporte facilement la charge, c’est juste que certains profils n’ont aucune raison de se connecter car leur boulot est impossible à faire en télétravail, d’autres peuvent télétravailler mais ne se connectent pas etc …
ce qui conduit le PDG à dire on stoppe le télétravail et retour dans les locaux.



Je ne fais pas de jugement sur ce cas précis puisque le PDG a essayé de mettre en place ce dispositif.
Je critique plutôt les patrons qui refusent de mettre en place ce dispositif quand celui ci est possible.
Avant le confinement, le télétravail était systématiquement refusé dans la SSII où je bossais et du jour au lendemain, dès que le confinement a été mis en place, comme par miracle le télétravail a été instauré, là où c’était possible et avec accord des clients.
Comme quoi quand on veut, on peut.
Cela montre bien que c’était une volonté manifeste des patrons de retarder/empêcher la chose sous couvert de clients réticents/syndicats qui refusent etc …
Le télétravail devrait être imposer uniquement là ou le travail est réalisable à domicile et avec accord des syndicats/employés/patrons.


lololasticot

je n’ai pas dit que c’était la faute des patrons …
J’ai même dit que je peux comprendre les patrons qui refusent la mise en place.
Chaque contexte est différent.
Dans la boite où sont mes amis, il y a des moyens considérables donc le VPN supporte facilement la charge, c’est juste que certains profils n’ont aucune raison de se connecter car leur boulot est impossible à faire en télétravail, d’autres peuvent télétravailler mais ne se connectent pas etc …
ce qui conduit le PDG à dire on stoppe le télétravail et retour dans les locaux.



Je ne fais pas de jugement sur ce cas précis puisque le PDG a essayé de mettre en place ce dispositif.
Je critique plutôt les patrons qui refusent de mettre en place ce dispositif quand celui ci est possible.
Avant le confinement, le télétravail était systématiquement refusé dans la SSII où je bossais et du jour au lendemain, dès que le confinement a été mis en place, comme par miracle le télétravail a été instauré, là où c’était possible et avec accord des clients.
Comme quoi quand on veut, on peut.
Cela montre bien que c’était une volonté manifeste des patrons de retarder/empêcher la chose sous couvert de clients réticents/syndicats qui refusent etc …
Le télétravail devrait être imposer uniquement là ou le travail est réalisable à domicile et avec accord des syndicats/employés/patrons.


Désolé, je ne réagissais pas forcément par rapport à ton commentaire sur le coup du “patron qui refuse”, mais plus à un discours général sur le sujet : si le patron refuse, c’est pas forcément qu’il n’a pas confiance, mais aussi qu’il veut être sûr de ne pas prendre un risque juridique vis-à-vis de ses salariés (exemple idiot : tu glisses dans ta douche sur un savon pendant tes horaires de télétravail : accident de travail ou accident domestique ?). Cette complexité est liée au contexte français, ce n’est même pas une question de confiance entre l’employeur et lemployé.



J’imagine que pour le confinement de mars ce cadre réglementaire a été assoupli pour permettre à plus de boîtes… de juste continuer à travailler.



Attention, ça n’exclut pas aussi les mecs qui sont très contents d’être des petits chefs et qui font venir les membres de leur équipe parce-que c’est sur site qu’on travaille et c’est comme ça, j’en connais quelques uns qui ont été un peu forcés d’évoluer ces derniers mois sur ce point.


Je bosse pour une petite boîte qui fait du matériel et du logiciel. Ca doit faire 4 ans, en télétravail avec horaires flexibles.



Le pire, c’est que j’ai eu des gens qui n’en voulaient pas vraiment (pas trop le télétravail, les horaires flexibles). Peu importe, ils font leur 9h-17h, ça fait partie de la flexibilité. Mais quand j’explique à mes recrues que s’il fait beau dehors, ils n’ont qu’à aller à la plage et bosser le soir, ça… ne prend pas vraiment. Quelqu’un en entretien m’a demandé comment je faisais pour vérifier les heures de travail… Réponse : “si tu bosses 20h et que tu produis l’équivalent de 60h de boulot classique, je viendrai pas t’embêter… si tu bosses 60h et que tu produis l’équivalent de 20h de boulot classique, tu passeras pas la période d’essai”.



Ca m’horripile de voir des gens (en particulier mes équipes) se battrent pour ne pas s’endormir sur leur PC pendant les horaires de boulot. D’ailleurs ça m’horripile de devoir me battre pour ne pas m’endormir après le déjeuner :D



On m’a proposé de me faire un bureau parce que “quand [je suis] sur site, ça avance beaucoup plus !”. Réponse : “non, ça n’avance pas plus, on parle beaucoup, on ne fait pas grand chose, les problèmes sont vraiment résolus après”. Bon, depuis, on a enfin investi dans une machine de dev pour le debug à distance. Si quelqu’un de l’équipe de prod (ie l’équipe qui entre autre assemble le matériel… eux ils sont sur site une partie du temps) rencontre un problème, on connecte le device, on remote-debug et hop. Depuis (c’est relativement récent) je n’ai pas eu d’autre suggestion de bosser sur place, et les avancées ont été louées.


En même temps… On a un gouvernement pro entreprises. Les contraintes sur les entreprises seront les dernières à être adoptées décrétées


Nous, nous avons eu le droit à “Çà a tué l’équipe”, on s’est tous regardé avec des gros yeux… :keskidit:



Le télétravail, cépabi1pourléchef


Dans ma boîte (un grand groupe d’ingénierie) 90% des postes seraient éligibles au télétravail. Depuis un an un accord d’entreprise autorise 1 j/sem de télétravail, non reportable, sous couvert d’un avenant au contrat de travail, d’avoir le matériel informatique adapté et soi dit en passant en perdant le ticket resto du jour (contraire à la loi). Résultat pas encore d’avenant passé et on continue de renouveler les PC par des tours. Comme ça au moins ça régule.
Par contre quand il y a confinement on devient bizarrement tout de suite aptes au télétravail, sans régulation des heures (le confinement de printemps j’ai fait des semaines de folie…)


Pareil pour moi, tout le monde au bureau avant le confinement, depuis mars tous en télétravail, puis retour au bureau le lundi et mardi pour la partie informatique.



Mon patron a investi dans un serveur de virtu, un ptit NAS Syno et un bon routeur VPN pour continuer le télétravail dans les meilleures conditions.



Omnisilver a dit:


Ça dépend des collectivités, mais visiblement les plus grosses sont celles qui avaient pris les devants sur le sujet.




Bah pas dans le plus “gros” service public (Éducation nationale) en tout cas :D


Un souci bien présent qui freine le télétravail et que je vois peu mentionné, c’est l’état actuellement inadapté de la législation hygiène et santé au travail pour le télétravail.
Tant qu’il y aura risque pour les employeurs que des accidents domestiques (énorme proportion des dommages à la personne, proba hyper élevée) se retrouvent qualifiable trop facilement en accident du travail, les boîtes traineront les pieds car grosses primes d’assurances.
Actuellement, on n’y est pas.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F13851
“L’accident survenu sur le lieu où est exercé le télétravail pendant l’exercice de l’activité professionnelle du télétravailleur est présumé être un accident de travail.”
Je ne dis pas qu’il faut 100% dédouaner l’entreprise (ça dépend du poste et du matériel impliqué), mais il faudrait clairement faire mieux que ça.
Dans une grosse entreprise, ce ne sont pas les “petits chefs” qui font la loi, si on vous refuse le télétravail, c’est qu’au niveau plus haut, il y a un risque financier identifié. (et dans une entreprise qui pilote proprement ses dépenses/revenus, ça se sait que le télétravail ne baisse pas la productivité) ^^”


Pourquoi ne pas prendre le problème dans l’autre sens ? Plutôt que de galérer avec des employeurs qui refusent le télétravail, pourquoi ne pas chercher une entreprise qui propose du vrai télétravail à plein temps (et pas juste un jour par-ci par-là, avec obligation de venir bosser en entreprise le reste du temps).



Il y a plein d’entreprises à travers le monde à qui ça ne pose aucun problème d’embaucher des français pour bosser en télétravail.



Ce qui vous permettrait de choisir votre lieu de résidence pour le cadre de vie qu’il offre, parce que vous vous y sentez bien et non pas uniquement pour une question de coût et de durée de trajet vers l’entreprise. Avec une entreprise qui aurait la culture du télétravail (organisation, horaires flexibles…) et une confiance en ses employés.



En France, si tu ne vas pas bosser alors que t’as la grippe ou une gastro, tu seras limite considéré comme un tire-au-flanc. Puis faut continuellement faire acte de présence, qu’on soit malade ou qu’il n’y ait plus rien à faire. T’es payé pour être là bêtement, de telle heure à telle heure. Fort heureusement, ce n’est pas partout comme ça. Il y a aussi d’autres boîtes qui s’intéressent au bien être de leurs employés (et on ne va pas se leurrer, un employé heureux et épanoui est de toute façon bien plus productif). Dommage qu’on ne le comprenne pas ici.



Donc pour les développeurs, graphistes, traducteurs et tout un tas d’autres métiers qui ne nécessitent finalement qu’un ordinateur et une connexion Internet, vous feriez peut être mieux de chercher parmi les entreprises anglo-saxonnes, qui semblent bien plus en avance que nous sur la question.



Okki a dit:


En France, si tu ne vas pas bosser alors que t’as la grippe ou une gastro, tu seras limite considéré comme un tire-au-flanc.




Le pire est que des études ont démontré qu’un équipier malade impacte la productivité de l’équipe car celle-ci se nivelle automatiquement par le bas.


C’est un peu déjà le cas en fait : la loi travail tant décrié prévoit le droit au télétravail pour le salarié, ce n’est plus le salarié qui doit justifier le bienfondé de sa demande le télétravail, mais l’employeur qui doit justifier son refus :




Si je souhaite télétravailler, un simple courriel ou une demande orale à l’employeur suffisent-ils pour formaliser ma demande ?




Oui, le salarié peut informer l’employeur de son intention de télétravailler par tout moyen.




L’employeur peut-il refuser que je télétravaille ?




Oui, mais il doit motiver sa réponse.





Donc les patrons qui trainent des pieds, il suffit de rappeler la loi et d’éventuellement les menacer de prud’homme (tribunal administratif pour les fonctionnaires).



INirvana a dit:


Bah pas dans le plus “gros” service public (Éducation nationale) en tout cas :D




L’EN n’est pas une collectivité (mais un ministère relativement foireux…) :cap:


Certes, ça reste du public :)


Nirvana

Certes, ça reste du public :)


Mais pas le même employeur ni les mêmes règles :non:


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