Celui qui fut président jusqu’en 2016 de la SCPP (société civile des producteurs phonographiques) rempile.
L’ancien président d'Universal Music France vient d’être désigné à la tête de la SPPF, la Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France. Une société de gestion collective, qui représente les intérêts des labels indépendants.
Il remplace Emmanuel de Buretel (Because Music) en poste depuis 6 ans.
Commentaires (12)
#1
Ce mec est vraiment le vampire de la culture. Le parasite dans toute sa splendeur, rendu légal part son réseau d’influence !
#2
#3
Il a vraiment une tête de label indépendant…
C’est un putsch des grands labels?
#4
Carrément ! +1 !
#5
il pourrait être tenté de tout fusionner non ? Pour faire des économies d’échelles sur la captation des sous et des leur répartition ?
Non j’plaisante ! Non seulement il perdrait 2 salaires, mais aussi 2 voix à la commission charger de ponctionner les sous.
#6
C’est lui qui en avait sorti une belle à propos des téléchargements depuis le Japon, genre les mp3 prendraient des jours à arriver en France…
#7
Impartialité ne rime pas avec Pascal Nègre…
#8
Comme quoi on peut faire toute sa carrière dans la Mafia.
#9
Ca montre seulement un bel exemple de revolving doors à la française.
Mais on est loin d’être les seuls dans ce domaine.
#10
Attention la mafia risque de te faire un procès pour comparaison injurieuse.
#11
cette jalousie maladive des élites et de leurs six figure salary dans les commentaires
on comprends vite pourquoi la france tombe : dès qu’il s’agit des hauts, on les déteste, faire ça on est bon ;)
#12
Ah oui, c’est dredi !