Selon le Wall Street Journal, Meta se préparerait à une vague massive de licenciements, au moins aussi importante que celle de Twitter. Des milliers de personnes seraient ainsi débarquées pour éviter que le bateau ne prenne l’eau.
Si confirmée, la nouvelle n’en sera pas pour autant étonnante. En septembre, l’entreprise avait annoncé une réorganisation agressive de sa structure, et même si des licenciements n’avaient pas été confirmés, ils étaient à craindre.
Commentaires (19)
#1
encore et toujours la même histoires.
Les choix plus que discutable des dirigeants, la gestion calamiteuse des données et une communication on va dire au mieux chaotique, au pire incompréhensible, se répercute sur les salariés…
#1.1
Nan, nan, c’est à cause du marché … jamais à cause de la connerie des patrons
#1.2
En même temps, les sociétés américaines ne font pas dans le social. Ils ont besoins de tes compétences, ils t’embauchent. Quand ils n’en ont plus besoin, ils te jettent. En France, c’est un peu moins vrai dans le sens où le couperet met plus de temps à arriver, ce qui peut provoquer des mises au placard, ou les entreprises avec beaucoup de cash (banques, assurances…) gardent les employés par charité sociétale.
#2
Vu les deux premiers commentaires on comprend pourquoi la moitié de la population active est au chômage en France
C’est bien il tente des choses, ça fonctionne pas. On passe à AUTRE chose, rien de plus normal.
Y a que les fonctionnaires pour penser “emploi à vie”
#2.1
Belle tentative de diversion … un hors sujet au regard de ce qui est dit au dessus de ton commentaire …
#3
N’oubliez pas que les PDG sont révocables Ad-Nutum (du jour au lendemain) par leur Conseil d’administration.
-> C’est d’ailleurs ce qui est arrivé au PDG de Twitter quand ils se sont fait racheter par Elon Musk.
#3.1
Ça doit dépendre de la forme juridique même si on est aux states.
#3.2
Vu que ce ne sont pas des salariés, mais plus proche du mercenariat (gros salaire, gros bonus à l’arrivée, gros bonus pendant, gros bonus au départ), c’est plutôt normal
#3.3
Mark Zuckerberg a 55% des “voting shares” de Facebook/Meta. Le conseil d’administration, c’est lui ;-)
#4
Les employés retrouveront vite du travail dans le méta-monde du travail.
#5
C’est encore plus radical, Elon Musk a viré le PGD, le conseil d’administration et la moitié des employés.
#6
J’ai toujours été surpris par le nombre de salarié de ces sociétés. Après tout, Meta, c’est facebook, instagram et whatsapp … 3 pauvres applis …
#6.1
T’as juste oublié l’appli la plus importante pour Meta, ads manager.
Aussi faut pas oublier qu’ils construisent et maintiennent leur propres centres de données, sur plusieurs continents.
#7
D’accord avec toi, ils ont essayé eux :)
#8
Forcément, meta veut copier Twitter…
#9
Tu vois une entreprise, c’est comme une montgolfière. Et elle cherche à aller plus haut. Et parfois, suivant les vents, pour qu’elle monte la montgolfière, il faut lâcher du lest. Et aujourd’hui, le lest, c’est toi
#10
11000 c’est Meta qui gagne
#10.1
13 % contre 50 %, c’est qui qui gagne ?
#10.2
Ouais l’humour noir c’est toujours une histoire de point de vue
D’ailleurs 11000 licensiements contre 3 ou 4000 , si ce sont des chinois ou des indiens ça ne se voit même pas dans les statistiques de chomage nationales
Quand c’est IBM on n’en parle même pas car c’est tous les ans et ils sont (étaient) nombreux