L’association Framasoft veut savoir ce que vous pensez d’elle
Le 24 mai 2022 à 08h19
1 min
Internet
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Framasoft a lancé hier une enquête pour mieux cerner ce que l’on pense d’elle. Il s’agit d’un questionnaire demandant en moyenne entre 5 et 10 minutes.
Les questions vont de la tranche d’âge et du niveau de vie au rapport à l’informatique, l’éventuel militantisme, en passant bien sûr par plusieurs questions sur les actions de Framasoft, notamment ce que vous feriez… si vous en étiez aux manettes.
Le 24 mai 2022 à 08h19
Commentaires (23)
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Abonnez-vousLe 24/05/2022 à 08h26
Une occasion de remercier encore Framasoft pour tout ce qu’elle apporte au quotidien. Entendre dire dans ma boite “On se fait un Framadate” comme on dirait “On se fait un Zoom”, c’est quand même extraordinaire
Le 24/05/2022 à 08h28
Du bien !
Le 24/05/2022 à 08h59
J’espère qu’un jour ou dira “on se fait un Framatalk” ou un “Jitsi” au lieu d’un “Zoom”, car ça fait mal aux oreilles à chaque fois.
Le 24/05/2022 à 09h01
Je répondrai à leur formulaire avec plaisir, mais une remarque sur la forme : il est assez illisible. les bouton radios blancs sur fond gris clair ce n’est clairement pas accessible, ni agréable.
Le 24/05/2022 à 09h22
Questions à leur image. J’ai du mal à adhérer.
Le 24/05/2022 à 09h34
J’ai répondu au questionnaire aussi en indiquant que certains partis pris et prises de position hors IT posait un problème.
Le 24/05/2022 à 09h26
J’ai répondu à l’enquête.
Je suis pour une (re-)décentralisation du web et plus de diversité.J’ai donc un à priori positif à leur égard.
Le 24/05/2022 à 09h52
J’ai aussi répondu à leur formulaire, mais il y a beaucoup de questions où je ne connais pas leurs actions.
Le 24/05/2022 à 10h57
J’aime bien certains de leur produit/service frama_____ qui sont très bien finis. D’autres moins car ca fait un peu bricolage, mais ils ont le mérite d’exister.
Leur annuaire du libre n’est franchement pas à jour, ni trié/classé , donc n’est pas très utile au quotidien.
Enfin, j’ai du mal avec leur mission “d’éducation populaire” car cela place pour moi cette association sur le terrain de la politique… et pas sur celui du développement logiciel.
Le 24/05/2022 à 18h39
Leur action est politique
Le 24/05/2022 à 12h08
Tu peut pas trop demander à une association provenant du monde de l’éducation d’être un groupe de développeur.
Le 24/05/2022 à 12h49
Ils ont le mérite d’exister.
Dit autrement, ils manqueraient s’ils n’existaient pas.
Le 24/05/2022 à 13h04
J’entends surtout “On se fait une visio”, ce qui est encore mieux ;-)
Le 24/05/2022 à 13h10
Framasoft est une association qui promeut l’utilisation du logiciel libre, ce qui est en soi un projet politique (vs l’open source). Ils sont déjà de facto sur le terrain politique.
Après l’association va plus loin et a des partis pris tels l’écriture inclusive ce qui hérisse certain•e•s (pas moi lol). Je ne crois pas qu’ils aient envie de plaire à tout le monde, quitte peut-être à se passer des dons de certain•e•s qui ne sont pas aligné•e•s (bon j’arrête…).
Libre à chacun et chacune d’utiliser ou pas leurs services / logiciels. C’est ça la liberté :)
Le 24/05/2022 à 17h57
C’est bon, je les ai pourri dans mes commentaires. Framasoft, c’était mieux avant.
Mes dons annuels vont ailleurs depuis longtemps.
Le 25/05/2022 à 14h47
Pour moi, adepte et promoteur de très longue date du logiciel libre, c’est pour des raisons plutôt techniques au départ (supériorité déjà dans les années 90), et aussi parce que c’est très lié aux protocoles et formats ouverts.
Ma position pourrait s’apparenter un peu plus au côté politique avec le partage des connaissances et le côté similaire à la recherche avec du développement ouvert, cela dit pour des sociétés privées (ou publiques) on a vu tout l’intérêt du libre également, via la mutualisation des coûts (et le côté techniquement intéressant, sans parler de la sécurité).
Le 27/05/2022 à 08h48
Le libre, c’est politique, point. Et non : la politique, ce n’est pas uniquement les joutes verbales d’encostardés dans les parlements.
« Petit » rappel historique, par Lionel « Ploum » Dricot.
Et oui : l’informatique libre, c’est plutôt une informatique de gauche puisqu’elle veut bénéficier à tous et toutes, et pas seulement enrichir une poignée d’individus et asseoir leur domination sur les autres humains (comment peut-on vouloir de cette horreur abjecte, sérieux ?).
Le 27/05/2022 à 12h40
Avoir ce genre de vision “asseoir leur domination”, en 2022, franchement… Faut grandir après le lycée.
L’Open Source au sens large est également apprécié par les libéraux pas de gauche, qui y voient de l’émulation et de la saine concurrence et sélection des meilleurs projets. Je caricature mais il y a de ça.
Par ailleurs plein de sociétés vivent du logiciel libre et c’est très bien (d’ailleurs c’était aussi le souhait de Stallman au départ, libre != gratuit).
Le 27/05/2022 à 14h04
Super : non seulement, c’était bien rappelé dans l’article de mon lien (article que j’ai lu en entier, et oui, il est très long) ; mais en plus, je n’ai jamais parlé de gratuité.
Bien, de déformer mes propos et, à tout le moins, me faire dire ce que j’ai pas dit ? Ne recommence jamais.
Le 27/05/2022 à 14h40
Je n’ai pas déformé tes propos, je les ai même cités.
Je n’ai pas lu l’article, mais je l’ai peut-être déjà lu dans le temps car j’en ai déjà lu de ploum (connu sur linuxfr en particulier).
Le 30/05/2022 à 10h06
Pour moi, le “libre” c’est avant tout légal => accorder des droits aux utilisateurs de logiciels.
Que tu veuilles accorder ces droits pour des raisons éthiques/morales ou économiques ou techniques ou autre… c’est subjectif. Si ta raison c’est une politique “de gauche”, très bien. A l’inverse d’autre le feront pour des raisons mercantiles (MySQL c’est moins cher que Oracle).
C’est ta vision. Mais Je vois souvent des études qui montrent que les entreprises utilisent le libre sans vraiment y contribuer => un stratégie opportuniste destinée à réduire les couts d’achat/production… et donc d’enrichir une poignée d’individus. Pas très “de gauche”
Le 30/05/2022 à 12h23
Ce qui n’est pas l’esprit, donc.
Le 30/05/2022 à 13h47
Moi qui pensais que la liberté, c’était justement de faire ce que tu veux à ce sujet. Pas de police de la pensée.