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CNRS : « la canicule de juillet aurait été quasi-improbable dans un climat non modifié par l’homme »

CNRS : « la canicule de juillet aurait été quasi-improbable dans un climat non modifié par l’homme »

Le 02 septembre 2019 à 10h17

Des scientifiques de divers horizons (CNRS, CEA, Météo-France…) se sont retrouvés dans un groupe de recherche baptisé World Weather Attribution.

Leur conclusion est sans appel : « Le changement climatique d'origine anthropique a augmenté de manière significative l'intensité et la probabilité d'occurrence de l'épisode caniculaire extrême que la France et l'Europe de l'Ouest ont connu fin juillet ».

Le 02 septembre 2019 à 10h17

Commentaires (76)

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RévolutioN a écrit :



 Foutaises.




   Fournaises         



 

<img data-src=" /> <img data-src=" />




   Allez, c'est la rentré, on avance l'idée d'un petit fond de solidarité pour équiper les vieux de clims (aussitôt absorbé par quelques entreprises "agréés") comme d'hab.

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Quand on sait que lors de la dernière glaciation il ne faisait que 5 °C de moyenne en moins (avec un glacier jusqu’en Belgique), et qu’il a fallu environ 20 000 ans pour que ça remonte de 5 degrés… C’est dire si là prendre 2 degrés en un siècle ça va faire mal.



cf par exemple :https://jancovici.com/changement-climatique/predire-lavenir/ou-nous-situons-nous… .

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RévolutioN a écrit :



Foutaises.





Explique


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Ou le xkcd qui est encore plus parlant visuellement :https://xkcd.com/1732/

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misterB a écrit :



Explique







Il veut dire que le CNRS soutient implicitement qu’il n’y jamais eu de canicule aussi forte avant (1950, l’année retenue par le GIEC pour ce qui concerne les supposés effets du CO2), ce qui est en soi juste ridicule, et que la probabilité de survenue a augmenté, ce qui est non seulement impossible à déterminer mais va à l’opposé des conséquences (scientifiquement) attendues d’un réchauffement (quelles que soient les causes), c’est à dire la relative homogénéisation des températures (plus chaud où et quand il fait plus plus froid, en gros aux pôles en hiver de nuit), d’où diminution des différentiels (spatiaux et temporels) de température et donc des intensités et probabilité de survenue des évènements météo qui en dépendent.



De manière peu étonnante, c’est ce qu’on observe globalement (stabilité ou légère diminution selon les cas).



Bref ce ne sont que des élucubrations de personnes surfant sur l’escroquerie réchauffiste pour gagner en image, visibilité, prestige et donc finances, et non des résultats de recherche.



Prochainement, 3 jours de pluie de suite seront attribués aux effets dévastateurs du CO2 sur la météo, pour le climat c’est trop tard de toute façon. <img data-src=" />



Des foutaises donc.


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tmtisfree a écrit :



Il veut dire que le CNRS soutient implicitement qu’il n’y jamais eu de canicule aussi forte avant (1950, l’année retenue par le GIEC pour ce qui concerne les supposés effets du CO2), ce qui est en soi juste ridicule, et que la probabilité de survenue a augmenté, ce qui est non seulement impossible à déterminer mais va à l’opposé des conséquences (scientifiquement) attendues d’un réchauffement (quelles que soient les causes), c’est à dire la relative homogénéisation des températures (plus chaud où et quand il fait plus plus froid, en gros aux pôles en hiver de nuit), d’où diminution des différentiels (spatiaux et temporels) de température et donc des intensités et probabilité de survenue des évènements météo qui en dépendent.



De manière peu étonnante, c’est ce qu’on observe globalement (stabilité ou légère diminution selon les cas).



Bref ce ne sont que des élucubrations de personnes surfant sur l’escroquerie réchauffiste pour gagner en image, visibilité, prestige et donc finances, et non des résultats de recherche.



Prochainement, 3 jours de pluie de suite seront attribués aux effets dévastateurs du CO2 sur la météo, pour le climat c’est trop tard de toute façon. <img data-src=" />



Des foutaises donc.





Ok donc pas de réchauffement <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />





Cool on est sauvé <img data-src=" />


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La vache. Entre ça et le Linky, c’est la fête dans les commentaires aujourd’hui sur NI…



Oh, et pensez à appliquer le rasoir d’Occam : y’a une hausse de CO², et ça réchauffe la Terre, ou, y’a une vaste conspiration mondiale dans tous les milieux politiques et scientifiques qui font croire que la température monte, pour se faire du blé, et personne ne crache la vérité.

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que veux tu dire par “l’escroquerie réchauffiste” ?&nbsp;





tmtisfree a écrit :



Il veut dire que le CNRS soutient implicitement qu’il n’y jamais eu de canicule aussi forte avant





<img data-src=" />&nbsp;justement pas du tout, ils disent juste&nbsp;que c’était moins probable… ce qui est bien le cas.







tmtisfree a écrit :



&nbsp;la probabilité de survenue a augmenté, ce qui est non seulement impossible à déterminer mais va à l’opposé des conséquences (scientifiquement) attendues d’un réchauffement








      C'est plutôt simple à déterminer (statistiquement bien sûr)..            

&nbsp;&nbsp;

&nbsp;De plus une augmentation de la température implique bien plus d'épisodes caniculaires en moyenne, et c'est bien ce qu'on observe..





http://www.meteofrance.fr/documents/10192/26134040/Anomalie_temperature_France.jpg




 Voici l'étude:            



https://www.worldweatherattribution.org/wp-content/uploads/July2019heatwave.pdf




 &nbsp;Ils font de l'attribution statistique plutôt classique et basée sur des données, je pense qu'elle est bien plus fondée que ton analyse au doigt mouillé et ta réfutation fondée sur tes attentes et ta conviction d'une grande arnaque scientifique mondiale.

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Je n’ai pas écris cela.

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“Combining information from models and observations, we find that such

heatwaves in France and the Netherlands would have had return periods that

are about a hundred times higher (at least 10 times) without climate change.

Over France and the Netherlands, such temperatures would have had

extremely little chance to occur without human influence on climate (return

periods higher than ~1000 years).”

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wagaf a écrit :



De plus une augmentation de la température implique bien plus d’épisodes caniculaires en moyenne, et c’est bien ce qu’on observe.





Il n’y a aucun lien de cause à effet démontré entre les 2 (à part répéter la position avancée ce qui ne la rend pas plus audible/crédible). Le graphique illustre juste une augmentation de température, rien d’autre (et donc pas de canicules).







wagaf a écrit :



Ils font de l’attribution statistique plutôt classique et basée sur des données, je pense qu’elle est bien plus fondée que ton analyse au doigt mouillé et ta réfutation fondée sur tes attentes et ta conviction d’une grande arnaque scientifique mondiale.





C’est ça “l’escroquerie réchauffiste” : attribuer à l’aide de méthode statistique ou de modèles (ce qui est le cas ici) sans prouver le(s) mécanisme(s) sous-jacent(s). C’est non scientifique. De plus l’utilisation de modèles fait que la tentative d’attribution est circulaire puisque les modèles utilisés intègrent nécessairement l’hypothèse “réchauffiste” de départ. <img data-src=" />


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Merci mais je sais lire.

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Je rapporte le paragraphe pour les autres lecteurs&nbsp;<img data-src=" />

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Le graphique de température est pour la France seulement, on observe bien une augmentation et non pas un plateau ou une&nbsp; baisse pour “compenser l’augmentation au pole nord”.. Quand aux canicules spécifiquement, c’est justement le sujet de cette étude.

&nbsp;





tmtisfree a écrit :



C’est ça “l’escroquerie réchauffiste” : attribuer à l’aide de méthode statistique ou de modèles (ce qui est le cas ici) sans prouver le(s) mécanisme(s) sous-jacent(s). C’est non scientifique.





Au contraire c’est le fondement de la méthode scientifique. “prouver le(s) mécanisme(s) sous-jacent” est impossible car aucune observation n’est parfaite ou indiscutable, même le LHC n’a rien “prouvé” à 100%, ils ont attendu d’avoir une probabilité de 99.999999% pour dire qu’ils avaient observé un boson de Higgs.



Les modèles n’intègrent pas l’“hypothèse réchaufiste”, ils prennent en compte différents phénomènes physiques tel que l’effet de serre, le rayonnement solaire, les émissions humaines estimées, l’évaporation de l’eau etc., et sont confrontés à la réalité, puis les scientifiques tentent de comprendre les différences pour améliorer les modèles.


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Ce n’est pas la peine de me mettre en Réponse alors.



Si tu lis la section d’évaluation des modèles de l’étude, il est clairement indiqué que les modèles ou ensembles de modèles, dont certains figurent de nombreuses fois, ont été évalué et donc choisi ex post facto, c’est à dire sélectionné sur la base de la conformité de leurs résultats à des critères prédéterminés (facteur d’échelle) : c’est non scientifique.



De plus les auteurs notent les graves déficiences suivantes : “The difference in behavior between the France average and the stations could arise from several reasons and remains to be investigated. Averaging itself is probably not the reason as the large discrepancy was also found in June for the Toulouse site. The issue requires an in-depth investigation, but probable reasons may be in a difficulty of models to correctly simulate land-atmosphere interactions, resulting in a deficit of skill for the simulation of heatwaves especially in regions where evapotranspiration regimes undergo transitions from energy-limited to soil-moisture limited regimes.”



Ce qui est un comble pour une étude d’attribution !





Et une des tentatives pour expliquer les problèmes est : “Another possible cause is dynamical as France may occasionally be influenced by episodic advection of hot and dry air from Spain and North Africa leading to large excursions of temperature which models might not capture well.”



Et voilà toute l’étude d’attribution qui tombe à l’eau !

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tmtisfree a écrit :



Je n’ai pas écris cela.





Merde moi qui me réjouissait de klaxonner fin du réchauffement climatique <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />


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Je te cite : “De plus une augmentation de la température implique bien plus d’épisodes caniculaires en moyenne, et c’est bien ce qu’on observe.” Ton graphique ne montre pas cela.



Les modèles doivent intégrer les divinations des forçage du GIEC quant aux influences humaines (cf figure 5 page 14), sinon ils ne sont pas intégrés dans le round suivant des analyses du GIEC (CMIP6 actuellement). La seule influence permise est celle du soleil mais le GIEC a décidé qu’elle était ~nulle. Les modèles sont donc fatalement circulaires.

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tmtisfree a écrit :



Ce qui est un comble pour une étude d’attribution !&nbsp;





Pas un comble mais bien la norme scientifique: les études scientifiques s’intéressent évidemment aux limites de leurs modèles..



En l’occurence (pour la France) la différence entre le modèle et l’observation est que la vague de chaleur observée est encore plus forte que prévue par les modèles..



“Models generally exhibit a smaller change in intensity and likelihood than the observations. (…) the changes in intensity are underestimated, as they

range from 1.1°C (CNRM-CM6.1) to 1.6°C (EC-EARTH).”


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Ils ont ruiné toute la crédibilité de leur “étude” en admettant que “France may occasionally be influenced by episodic advection of hot and dry air from Spain and North Africa leading to large excursions of temperature which models might not capture well.”



Qu’ils démontrent d’abord rigoureusement que ces évènements météo naturels et très communs ne sont pas responsables de la canicule avant de répéter le mantra réchauffiste.

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Correction :









tmtisfree a écrit :



Je te cite : “De plus une augmentation de la température implique bien plus d’épisodes caniculaires en moyenne, et c’est bien ce qu’on observe.” Ton graphique ne montre pas cela.



Les modèles doivent intégrer les divinations des forçage du GIEC quant aux influences humaines (cf figure 5 page 14), sinon ils ne sont pas intégrés dans le round suivant des analyses du GIEC (CMIP6 actuellement). La seule influence naturelle permise est celle du soleil mais le GIEC a décidé qu’elle était ~nulle. Les modèles sont donc fatalement circulaires.





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C’est une hérésie et non une “norme scientifique” que de présélectionner les méthodes qui donnent les résultats attendus sur des critères préétablis, surtout quand les méthodes sont elles-mêmes biaisées. <img data-src=" />

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Le “Radiative forcing”&nbsp;n’a rien de divination, c’est la quantité d’énergie solaire absorbée (et sa variation&nbsp; en raison de l’effet de serre due à divers gaz, principalement CO2 et méthane).



C’est un phénomène aisément reproductible expérimentalement, utilisé par de nombreux agriculteurs, et facilement calculable à partir de phénomènes physiques bien compris (réfraction..)



Par ailleurs on estime avec une précision assez bonne les emissions humaines de gaz à effet de serre, et la quantité d’énergie solaire absorbée supplémentaire peut en être déduite assez facilement.



Le débat scientifique a dépassé ce stade depuis bien longtemps.. La question aujourd’hui est plutôt comment la Terre absorbe cette énergie supplémentaire et l’estimation des évolutions futures.

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“présélectionner les méthodes qui donnent les résultats attendus “&nbsp;Ah bon ?



&nbsp;Pourtant dans le commentaire précédent tu explique qu’ils ont “ruiné toute la crédibilité de leur étude” parce qu’ils&nbsp;se sont penché sur les limites de leurs modèles et qu’ils ont “admis” (hahaha)&nbsp;qu’ils ne donne justement pas toujours les résultas attendus..&nbsp;<img data-src=" />

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L’évolution historique à la baisse de la sensibilité climatique empirique (cf ci-dessous) démontre que ces “forçages”, tels que devinés par le GIEC ne sont pas tenables et donc sont invalides. Ils ne représentent que des abstractions inertes pseudo physiques qui ne font rien sinon exprimer la croyance des modeleurs sur la relation entre des facteurs mesurables et les températures globales ou n’importe quelle variable qui leur passe par la tête.



https://notrickszone.com/wp-content/uploads/2017/10/Climate-Sensitivity-Value-Es…



Note : la sensibilité selon le GIEC est à 3.

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Tu as mal lu. J’ai écris “Ils ont ruiné toute la crédibilité de leur “étude” en admettant que “France may occasionally be influenced by episodic advection of hot and dry air from Spain and North Africa leading to large excursions of temperature which models might not capture well.”



Ils ont “ruiné toute la crédibilité de leur étude” parce qu’ils ont donné l’explication naturelle du phénomène, que les modèles ne capturent pas.



Conclusion : les modèles capturent autre chose qui n’est pas la réalité.



C’est ce que les sceptiques soutiennent.

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Tu confond énergie et température. Le “forçage” n’est pas “deviné”, il est mesuré.



Le premier lien vers le rapport du GIEC indique le forçage en W/m^2, ton dernier lien parle de température (et ne concerne que le CO2).

&nbsp;

Si l’énergie du forçage est utilisé plutôt pour faire fondre la glace ou chaffer le fond des océans, l’augmentation de température peut être moins directement liée au forçage que prévu sans que ça ne change sa réalité.

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Ils n’ont pas “donné l’explication naturelle du phénomène”, ils ont émis une hypothèse pour expliquer la différence entre une des observations et leurs modèles. Ces vents en provenance du sud ne datent pas d’hier et n’“expliquent” donc pas à priori la canicule exceptionnelle&nbsp;observée l’an dernier, mais peuvent expliquer les observations&nbsp;plus chaudes que prévu à Toulouse.



À moins qu’il s’avère que ces vents du sud aient augmentés en&nbsp;fréquence mais ça serait l’objet d’un autre article.



“les modèles capturent autre chose qui n’est pas la réalité.&nbsp;&nbsp;C’est ce que les sceptiques soutiennent”



&nbsp;<img data-src=" />

Les modèles sont toujours imparfaits par construction.. les améliorer pour coller toujours mieux à la réalité fait partie de la méthode scientifique.

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Le forçage n’est pas mesuré, il est calculé d’après un modèle (une équation).



Le forçage principal (selon le GIEC) est celui dû au CO2 (voir la figure 5 page 14 du lien plus haut), et sa résultante finale (selon le GIEC) est une augmentation de la température de par une sensibilité du système plus élevée au CO2. Il existe donc un rapport très proche entre tous ces concepts/notions comme l’indique le Wiki : “La relation entre forçage radiatif et hausse des températures est donné par la valeur de la sensibilité climatique.”



Le fait que la sensibilité soit bien plus faible que celle prédite par le GIEC montre que son analyse et ses calculs sont incorrects.

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L’hypothèse est l’explication mais les auteurs préfèrent ne pas en tenir compte et étudier l’univers artificiel de certains modèles présélectionnés (étant circulaires, ils ne prennent pas de risques) et de leur attribution fantoche.



“Les modèles sont toujours imparfaits par construction.. les améliorer pour coller toujours mieux à la réalité fait partie de la méthode scientifique.”

Sophisme sous la forme d’un truisme que personne ne conteste. J’ai écris que “les modèles capturent autre chose qui n’est pas la réalité”. Ils sont plus qu’“imparfaits” quand ils donnent des résultats incorrects divergeant de la réalité : ils sont faux.

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La radiation solaire est bien mesurée. La part de responsabilité du CO2 dans l’augmentation&nbsp;de cette énergie solaire reçue est calculée (de manière relativement simple).




   &nbsp;La&nbsp;sensibilité climatique est un autre sujet, c'est le lien entre l'énergie solaire supplémentaire (forçage) et la température observée, encore peu précis avec les connaissances&nbsp;actuelles en raison de la complexité de la réalité (glaces, océans, atmosphère&nbsp;etc. qui peuvent absorber l'énergie).         






   &nbsp;L'estimation actuelle du GIEC est de&nbsp;1.5 à 4.5&nbsp;°C en plus en surface si la quantité de CO2 double, c'est une estimation plutôt conservatrice qui prend en compte les études que tu as indiqué.&nbsp;Je pense que cet article est assez clair sur ce sujet de la sensibilité climatique:        

&nbsp;https://en.wikipedia.org/wiki/Climate\_sensitivity











tmtisfree a écrit :



Le fait que la sensibilité soit bien plus faible que celle prédite par le GIEC montre que son analyse et ses calculs sont incorrects.



&nbsp; Pour être clair le GIEC ne fait pas de calculs, il se contente de faire un résumé de l’état actuel de la recherche. Aucune prédiction scientifique n’est parfaite, mais si tu peux faire plus précis on attend ton article.




&nbsp;Le GIEC remet en permanence à jour ses estimations en fonction des dernières études disponibles (c'est son rôle). Bien sûr, chaque mise à jour des donnée est utilisée par les "sceptiques" pour être isolée du contexte et attaquer les conclusions.

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“L’hypothèse est l’explication”L’explication à quoi ? Ils ont simplement remarqué que les observations en France étaient plus chaudes que les prédictions des modèles. Les modèles prédisent tout de même une augmentation de la fréquence des canicules.&nbsp;&nbsp;&nbsp;L’“explication” (l’hypothèse) explique une température plus haute que la prédiction des modèles pour la France, mais elle n’explique pas une augmentation des canicules.&nbsp;Un modèle est toujours faux: tu pourras toujours trouver une imprécision due à un phénomène pas pris en compte, ça ne signifie pas qu’il est inutile pour expliquer certains phénomènes.

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wagaf a écrit :



La radiation solaire est bien mesurée.





Oui, comme la couleur du cheval banc d’Henri IV. Quel rapport avec ce que tu as écris erronément : « Le “forçage” n’est pas “deviné”, il est mesuré. » à part faire semblant d’ignorer ton erreur ?







wagaf a écrit :



La sensibilité climatique est un autre sujet





C’est exactement par elle qu’on sait que les calculs, et donc la position anti-CO2 du GIEC, sont faux.







wagaf a écrit :



Aucune prédiction scientifique n’est parfaite, mais si tu peux faire plus précis on attend ton article.





Sophisme du renversement de la charge de la preuve : ce n’est pas à moi à prouver quoi que ce soit, mais aux réchauffistes de démontrer que leur position est scientifiquement valide, ce qu’elle n’est pas.


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“L’explication à quoi ?”

L’explication à la vague de chaleur transitoire observée dont les caractéristiques n’ont pas été démontrées comme étant situées hors de l’enveloppe naturelle permise par le système météo/climatique.



Les modèles ne font que prédire avec les bases sur lesquelles ils sont construits, ils ne donnent pas de “résultats”. Par ailleurs aucune augmentation des épisodes de canicules n’a été démontrée empiriquement (et encore moins de leur intensité donc).



On ne parle pas “d’imprécision” ici, mais de ratage total : l’attribution est fictive parce qu’il n’y a aucune relation causale physique démontrée, seulement la conjecture inclue dans les modèles qui sont par conséquent inaptes à attribuer puisque circulaires.

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tmtisfree a écrit :



Quel rapport avec ce que tu as écris erronément : « Le “forçage” n’est pas “deviné”, il est mesuré. » à part faire semblant d’ignorer ton erreur ?&nbsp;





La radiation solaire et son augmentation est bien mesurée.

&nbsp;



tmtisfree a écrit :



C’est exactement par elle qu’on sait que les calculs, et donc la position anti-CO2 du GIEC, sont faux.&nbsp;





Pour la sensibilité climatique, les derniers rapports du GIEC prennent en compte les études présentées sur le graphique que tu as faussement présenté comme invalidant l’analyse du GIEC.

&nbsp;

Quand au forcing lié au gaz à effet de serre (les gaz à effet de serre augmentent mécaniquement la quantité d’énergie solaire absorbée par la Terre), tu n’a rien présenté qui remette en cause ce phénomène simple à la base du réchauffement climatique et qui justifie les politiques de limitation des émissions de GES.

&nbsp;



tmtisfree a écrit :



Sophisme du renversement de la charge de la preuve : ce n’est pas à moi à prouver quoi que ce soit, mais aux réchauffistes de démontrer que leur position est scientifiquement valide, ce qu’elle n’est pas.





&nbsp;Leur position contrairement a la tienne représente le consensus scientifique mondial actuel. Or, tu ne présente aucun argument scientifique pour appuyer ta position.


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tmtisfree a écrit :



Par ailleurs aucune augmentation des épisodes de canicules n’a été démontrée empiriquement (et encore moins de leur intensité donc).&nbsp;





<img data-src=" />

&nbsp;

&nbsp;https://www.globalchange.gov/sites/globalchange/files/HeatWave_072919.png&nbsp;


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Les USA ? Sérieusement. Je suis certaine que sur 200 pays, au moins quelques uns ont eu les variations statistiques à la hausse qui correspondent à ce que tu cherchais… <img data-src=" />

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Je vous rappelle qu’on a officiellement dépassé la date du “changeons maintenant ou il sera trop tard”, la date limite de consommation était prévue en 2015. Donc depuis 4 ans, on est juste en sursis, profitons de la vie ça peut nous tomber dessus du jour au lendemain <img data-src=" />

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wagaf a écrit :



La radiation solaire et son augmentation est bien mesurée.





Certes mais cela n’a aucun lien avec le forçage radiatif (qui lui est calculé), objet de notre discussion jusqu’au moment où tu as dévié sur ce sujet pour éviter de reconnaître ton erreur… Mais continue dans le HS.

 





wagaf a écrit :



Pour la sensibilité climatique, les derniers rapports du GIEC prennent en compte les études présentées sur le graphique que tu as faussement présenté comme invalidant l’analyse du GIEC.





J’ai présenté le graphique. S’il est faux, c’est le problème du GIEC pas le mien. Il n’est pas faux, il est juste incomplet : le mandat du GIEC étant de s’occuper des facteurs supposément anthropiques, les autres facteurs (naturels) sont juste passés à la trappe. Pas étonnant que depuis 40 ans la climatologie officielle ne progresse pas.

 





wagaf a écrit :



Quand au forcing lié au gaz à effet de serre (les gaz à effet de serre augmentent mécaniquement la quantité d’énergie solaire absorbée par la Terre), tu n’a rien présenté qui remette en cause ce phénomène simple à la base du réchauffement climatique et qui justifie les politiques de limitation des émissions de GES.





C’est l’hypothèse non démontrée des réchauffistes. Comme dit plus haut, c’est le boulot de ceux qui avancent les hypothèses de les démontrer. Spécifiquement ici, changer la concentration en CO2 est un changement du système lui-même et non un changement du forçage, même si n’importe quel changement apporté au système peut être considéré comme équivalent à un changement spécifique du forçage à système constant, ce qui n’arrive jamais dans la réalité. Les sceptiques pensent que l’expression “peut être considéré comme équivalent” n’est pas physique/réelle et sert juste de béquille théorique au battage réchauffiste.

 





wagaf a écrit :



Leur position contrairement a la tienne représente le consensus scientifique mondial actuel. Or, tu ne présente aucun argument scientifique pour appuyer ta position.





Sophisme d’autorité qui ne démontre rien sinon la totale absence d’argument. On a l’habitude avec les réchauffistes quand ils n’ont plus rien à dire. J’attends maintenant les insultes. <img data-src=" />



“There is no authority but evidence.”

— R. S. Crane


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Jarodd a écrit :



Je vous rappelle qu’on a officiellement dépassé la date du “changeons maintenant ou il sera trop tard”, la date limite de consommation était prévue en 2015. Donc depuis 4 ans, on est juste en sursis, profitons de la vie ça peut nous tomber dessus du jour au lendemain <img data-src=" />





Je m’inscris en faux : la date de péremption est repoussée de 10 ans tous les dix ans.


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tmtisfree a écrit :



J’ai présenté le graphique. S’il est faux, c’est le problème du GIEC pas le mien. Il n’est pas faux, il est juste incomplet : le mandat du GIEC étant de s’occuper des facteurs supposément anthropiques, les autres facteurs (naturels) sont juste passés à la trappe. Pas étonnant que depuis 40 ans la climatologie officielle ne progresse pas.





Les scientifiques prennent bien sûr en compte depuis bien longtemps divers facteurs naturels comme les cycles solaires (celui ci par ex. n’a qu’un impact limité sur le réchauffement actuel), les phénomènes el-nino etc.







tmtisfree a écrit :



C’est l’hypothèse non démontrée des réchauffistes. Comme dit plus haut, c’est le boulot de ceux qui avancent les hypothèses de les démontrer. Spécifiquement ici, changer la concentration en CO2 est un changement du système lui-même et non un changement du forçage, même si n’importe quel changement apporté au système&nbsp;peut être considéré comme équivalent&nbsp;à un changement spécifique du forçage à système constant, ce qui n’arrive jamais dans la réalité. Les sceptiques pensent que l’expression “peut être considéré comme équivalent” n’est pas physique/réelle et sert juste de béquille théorique au battage réchauffiste.&nbsp;





Encore une fois, l’effet de serre est un phénomène assez fondamental, calculable relativement aisément, reproductible et mesurable, démontré de nombreuses manières différentes, utilisé en agriculture..

&nbsp;

Une plus haute concentration de CO2 (ou d’un autre gaz à effet de serre) cause mécaniquement une augmentation de la quantité d’énergie retenue dans le système (forçage), tu peux le reproduire en labo, le modéliser plutôt précisément, les phénomènes physique a la base de ça et le phénomène ne sont remis en cause par personne.



On peut l’observer pour la Terre de nombreuses manières, par exemple en comparant les emissions solaires reçues en un lieu avec la composition de l’atmosphère à cet endroit (observée par ballon sonde, satellite etc.).







tmtisfree a écrit :



Sophisme d’autorité qui ne démontre rien sinon la totale absence d’argument. On a l’habitude avec les réchauffistes quand ils n’ont plus rien à dire. J’attends maintenant les insultes.&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;







&nbsp;Il ne s’agissait aucunement d’un argument d’autorité, c’était simplement une observation que tu n’apportes aucun argument scientifique pour soutenir tes propos contrairement aux scientifiques dont c’est le métier..


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misterB a écrit :



Ok donc pas de réchauffement <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



Cool on est sauvé <img data-src=" />&nbsp;







Il faut je pense apprendre d’urgence à lire.

&nbsp;

Le CNRS faisant dans le sensationnalisme… voir le lyssenkisme… car les budgets vont à ceux allant dans le sens du vent politique c’est quand même triste.



Surtout que l’épisode de cet été pose quand même un problème important: Les températures observées chez nous et plus encore à l’extrême nord de l’Europe sont celles qui étaient prévues pour dans 30 ans!



Alors on a le choix:

-L’homme est bien responsable et les modèles qui les prévoyaient sont de la merde en bâtons.

-L’homme n’y est pour pas grand chose et il va donc falloir trouver ce qui explique cet écart, par exemple un cycle de réchauffement comme le terre en a déjà connu.



Curieusement, ce n’est pas vraiment ces hypothèses que l’on voit débattues en retex de la récente canicule, mais bel et bien le dogme encore et toujours matraqué, communicants de la croissante dite “verte” en embuscade derrière l’ado Greta arrivée pile au bon moment et alors que les prévisions saisonnières de Météo-France furent pour le coup très bonnes. Permettant de cibler pour un impact médiatique maximal?


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“Demain, il sera trop tard” <img data-src=" />

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Jarodd a écrit :



“Demain, il sera trop tard” <img data-src=" />&nbsp;





En fait, il y a 30 ans, ce devait déjà être pour il y a 20 ans (plus de pays bas etc…):

&nbsphttps://twitter.com/i/status/1168501950247292929



Les bataves ayant pris cela au pied de la lettre et qui ont alors acheté dans nos campagnes délaissées n’ont pourtant pas encore dû émigrer!


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yl a écrit :



Il faut je pense apprendre d’urgence à lire.

 

Le CNRS faisant dans le sensationnalisme… voir le lyssenkisme… car les budgets vont à ceux allant dans le sens du vent politique c’est quand même triste.



Surtout que l’épisode de cet été pose quand même un problème important: Les températures observées chez nous et plus encore à l’extrême nord de l’Europe sont celles qui étaient prévues pour dans 30 ans!



Alors on a le choix:

-L’homme est bien responsable et les modèles qui les prévoyaient sont de la merde en bâtons.

-L’homme n’y est pour pas grand chose et il va donc falloir trouver ce qui explique cet écart, par exemple un cycle de réchauffement comme le terre en a déjà connu.



Curieusement, ce n’est pas vraiment ces hypothèses que l’on voit débattues en retex de la récente canicule, mais bel et bien le dogme encore et toujours matraqué, communicants de la croissante dite “verte” en embuscade derrière l’ado Greta arrivée pile au bon moment et alors que les prévisions saisonnières de Météo-France furent pour le coup très bonnes. Permettant de cibler pour un impact médiatique maximal?





Mais qu’est ce qui fait bouger le cul, les fait ou le sensationnalisme ?



Si ce sont les faits va falloir m’expliquer Le Pen, Trump le bBrexit et autre Bolsonaro……



Au final on a quand même un réchauffement extreme, des canicules bcp plus fréquentes, Londres bat ses records de températures tout les ans par exemple, des tempêtes tropicales de plus en plus violentes et fréquentes. Je veut bien que l’homme n’y soit “pour rien” mais avouons quand même que c’est étonnant que ce phénomène coïncide avec l’arrivé de industrialisation massive…







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yl a écrit :



En fait, il y a 30 ans, ce devait déjà être pour il y a 20 ans (plus de pays bas etc…):

&#160https://twitter.com/i/status/1168501950247292929



Les bataves ayant pris cela au pied de la lettre et qui ont alors acheté dans nos campagnes délaissées n’ont pourtant pas encore dû émigrer!





Et il y a 40 ans on disais que le plastique c’est de la merde, mais notre petit confort est bien plus important <img data-src=" />



https://www.youtube.com/watch?v=3yw5FJJJqIs


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Cqoicebordel a écrit :



La vache. Entre ça et le Linky, c’est la fête dans les commentaires aujourd’hui sur NI…



Oh, et pensez à appliquer le rasoir d’Occam : y’a une hausse de CO², et ça réchauffe la Terre, ou, y’a une vaste conspiration mondiale dans tous les milieux politiques et scientifiques qui font croire que la température monte, pour se faire du blé, et personne ne crache la vérité.





Bonne idée pour le rasoir. Mais dans ce cas, quelle est l’explication la plus simple ?




  1. L’Homme a balancé des milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère, faisant passer son taux de 350ppm à 400ppm ce qui va provoquer un emballement catastrophique dans lequel on va tous mourir dans d’atroces souffrances et contre lequel il est trop tard pour signer mais donnez nous vos votes et vos chèques, on sait jamais, ou

  2. le climat a toujours évolué et continuera à le faire, humanité ou non, la solution la plus pragmatique serait de mettre en place des politiques pour nous y adapter ?



    Mon point 2 n’exclut pas la recherche pour des alternatives au pétrole, qui peuvent parfaitement être pertinentes dans certains contextes. Mais à mon sens, promouvoir un VAE comme “moyen de transport écologique” est au-mieux d’une grande naïveté (rasoir d’Occam, toujours). Quant à mettre des éoliennes partout… bref.


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anagrys a écrit :





  1. le climat a toujours évolué et continuera à le faire, humanité ou non, la solution la plus pragmatique serait de mettre en place des politiques pour nous y adapter ?







    Le climat à toujours évolué, mais pas aussi rapidement. C’est plus facile de s’adapter à une évolution naturelle du climat, qui s’étale sur plusieurs milliers d’années, qu’à une évolution (induite par l’homme) qui s’effectue sur seulement quelques dizaines.


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misterB a écrit :



Mais qu’est ce qui fait bouger le cul, les fait ou le sensationnalisme ?



Au final on a quand même un réchauffement extreme, des canicules bcp plus fréquentes, Londres bat ses records de températures tout les ans par exemple, des tempêtes tropicales de plus en plus violentes et fréquentes. Je veut bien que l’homme n’y soit “pour rien” mais avouons quand même que c’est étonnant que ce phénomène coïncide avec l’arrivé de industrialisation massive…





Le sensationnalisme est là car les faits sont têtus et ne vont pas forcément dans le sens du politiquement correct version verte: Puisque tu parles d’ère industrielle, pendant la période dite de l’optimum médiéval les températures étaient plus élevées que maintenant. Et si l’on parle d’optimum, c’est car les rendements agricoles l’étaient, loin de la catastrophe que l’on nous annonce.



Et il s’agit d’une période récente à l’échelle de la terre, qui n’a pas fondamentalement changé depuis ce moment et n’a pas de raisons de plus mal réagir.



S’il est bon de sortir du tout pétrole, c’est surtout car il va falloir à songer à en garder un peu pour la chimie et les secteurs ou l’on ne peut s’en passer (aérien…), tout en améliorant les problèmes de vraie pollution (cad avec de vrais polluants dangereux pour la santé, que le CO2 n’est pas, sauf à considérer les fosses à CO2 d’abatage bovin). Mais c’est moins vendeur de le dire ainsi alors on fait dans le catastrophisme.



Je suis pour ma part plus inquiet du sort des abeilles et de ces pesticides que l’on n’arrive pas à limiter que du CO2 qui jour le rôle d’appeau à CON.


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yl a écrit :



Le sensationnalisme est là car les faits sont têtus et ne vont pas forcément dans le sens du politiquement correct version verte: Puisque tu parles d’ère industrielle, pendant la période dite de l’optimum médiéval les températures étaient plus élevées que maintenant. Et si l’on parle d’optimum, c’est car les rendements agricoles l’étaient, loin de la catastrophe que l’on nous annonce.



Et il s’agit d’une période récente à l’échelle de la terre, qui n’a pas fondamentalement changé depuis ce moment et n’a pas de raisons de plus mal réagir.



S’il est bon de sortir du tout pétrole, c’est surtout car il va falloir à songer à en garder un peu pour la chimie et les secteurs ou l’on ne peut s’en passer (aérien…), tout en améliorant les problèmes de vraie pollution (cad avec de vrais polluants dangereux pour la santé, que le CO2 n’est pas, sauf à considérer les fosses à CO2 d’abatage bovin). Mais c’est moins vendeur de le dire ainsi alors on fait dans le catastrophisme.



Je suis pour ma part plus inquiet du sort des abeilles et de ces pesticides que l’on n’arrive pas à limiter que du CO2 qui jour le rôle d’appeau à CON.





https://www.lemonde.fr/cop21/article/2015/11/05/hoax-climatique-5-en-l-an-mil-il…


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wagaf a écrit :



Les scientifiques prennent bien sûr en compte depuis bien longtemps divers facteurs naturels comme les cycles solaires (celui ci par ex. n’a qu’un impact limité sur le réchauffement actuel), les phénomènes el-nino etc.





Les scientifiques du GIEC ne prennent en compte que les supposés facteurs anthropiques conformément à leur mandat, ce que montre la figure 5 page 14 du lien plus haut. Les facteurs naturels sont au mieux largement sous-évalués pour aboutir à la conclusion prédéterminée.









wagaf a écrit :



Encore une fois, l’effet de serre est un phénomène assez fondamental, calculable relativement aisément, reproductible et mesurable, démontré de nombreuses manières différentes,





Si c’était si “aisé”, pourquoi avoir besoin d’un GIEC et de plus de 40 ans (et ce n’est pas terminé) de rapports, jetsetters et conclaves climatiques qui n’ont aboutit à aucun progrès scientifique ?









wagaf a écrit :



utilisé en agriculture.





Tu dois confondre avec autre chose : étant dans le métier, personne n’utilise cette hypothèse qui n’a aucune utilité pour cette activité (ou n’importe où ailleurs).

 







wagaf a écrit :



Une plus haute concentration de CO2 (ou d’un autre gaz à effet de serre) cause mécaniquement une augmentation de la quantité d’énergie retenue dans le système (forçage), tu peux le reproduire en labo, le modéliser plutôt précisément, les phénomènes physique a la base de ça et le phénomène ne sont remis en cause par personne.





C’est l’hypothèse non vérifiée (et non vérifiable) expérimentalement que les modèles climatiques utilisent pour surchauffer par rapport à la réalité, preuve qu’ils ne sont pas corrects.









wagaf a écrit :



On peut l’observer pour la Terre de nombreuses manières, par exemple en comparant les emissions solaires reçues en un lieu avec la composition de l’atmosphère à cet endroit (observée par ballon sonde, satellite etc.).





Tu ne sais pas de quoi tu parles, tu ferais mieux de t’éduquer avant d’écrire n’importe quoi. Si on pouvait “l’observer”, on n’aurait pas besoin de modèle.



Les seules “observations” à faire du supposé “effet de serre”, c’est de comparer les conséquences prédites par la théorie et les modèles avec la réalité, et là c’est la déculottée :

1/ les satellites ErBE démontrent que les modèles représentent l’inverse de la réalité ;

2/ les ballons sondes démontrent aussi que le point chaud prédit an altitude par la théorie et les modèles est inexistant dans la réalité.









wagaf a écrit :



Il ne s’agissait aucunement d’un argument d’autorité, c’était simplement une observation que tu n’apportes aucun argument scientifique pour soutenir tes propos contrairement aux scientifiques dont c’est le métier..





C’est une observation sous la forme d’un argument d’autorité qu’on avance quand on n’a plus rien à dire. Comme déjà écrit, je n’ai pas d’argument à fournir puisque je n’ai pas avancé d’hypothèse. Que cela soit leur métier ou pas n’a aucune influence sur la véracité de leurs arguments.





Finalement et pour conclure, un papier en rapport avec la news : “The framework illustrates that unreliable climate simulations are prone to overestimate the attributable risk to climate change. Climate model ensembles tend to be overconfident in their representation of the climate variability which leads to systematic increase in the attributable risk to an extreme event.”.


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Paratyphi a écrit :



Le climat à toujours évolué, mais pas aussi rapidement. C’est plus facile de s’adapter à une évolution naturelle du climat, qui s’étale sur plusieurs milliers d’années, qu’à une évolution (induite par l’homme) qui s’effectue sur seulement quelques dizaines.





Installer une clim dans des salles d’examen, ça demande des millions d’années ? Parce-que “notre maison brûle et nous regardons ailleurs”, ça a été dit il y a 15 ans et depuis, les efforts d’adaptation faits en France ont été… proches de 0. Ah si, pardon, on a des beaux “plans canicule” où on embauche des jeunes pour forcer les personnes en maison de retraite à boire quand il y a plus de 30°. Mais par contre, pour les examens scolaires récurrents à cette période, nada. À la place, on préfère mettre des routes solaires en Normandie - au-moins, il y a des petits fours et du champagne à l’inauguration !


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misterB a écrit :



https://www.lemonde.fr/cop21/article/2015/11/05/hoax-climatique-5-en-l-an-mil-il…





Là encore, si on ne lit que le titre (tout un symbole vs ce que je disais, en réalité) on se dit que c’est des balivernes, partant du fumeux “greenland” pour faire passer la pilule pour l’essentiel du lectorat allant un peu au delà du titre (mais pas trop). Car derrière, tout est au conditionnel car à comparer à la situation actuelle on est en gros dans l’incertitude des estimations mais que ces variations de climat reconstituées sur 1000 ans collent quand même bien à l’activité solaire!



Pour le reste, tant qu’Inde/Chine/USA ne feront pas un effort énorme, dans tous les cas de figure on se flingue économiquement en pissant dans un violon car l’efficacité, on n’en sait en réalité pas grand chose.



En attendant, les bataves devraient être sur pilotis depuis 20 ans selon ce GIEC qui n’en était qu’a son 1er mensonge.


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anagrys a écrit :



on préfère mettre des routes solaires en Normandie - au-moins, il y a des petits fours et du champagne à l’inauguration !





Pour un résultat catastrophique et prévu, au delà de l’emballement médiatique habituel sur ce genre de débilités

&nbsp;

&nbsp;Mais c’est globalement le lot du renouvelable: Le rendement de l’éolien atteint en moyenne à peine le quart de la puissance installée!



Cad quand quand on dit X éoliennes feront le boulot d’une tranche nucléaire il faut en réalité multiplier par 4. Et encore, car les jours globalement sans vent, ce sera des centrales au fossile qui devront prendre le relais. Pas pour rien que les pays qui comptent le plus de “renouvelable” sont aussi les pires point de vue centrales gaz/fuel/charbon (privilégié à l’Est car abondant/pas cher).



Si on considère le photovoltaïque, il peine à rembourser son coût de fabrication/recyclage (des km2 de produit de fonderie silicium c’est pas gratuit) sur sa durée de vie! Cad qu’hors électrification d’un site isolé il n’a jamais eu aucun sens.



Et tout est à l’avenant. On est en plein foutage de gueule généralisé. Et le CNRS qui fait du Lyssenko désormais.


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yl a écrit :



Je suis pour ma part plus inquiet du sort des abeilles et de ces pesticides que l’on n’arrive pas à limiter que du CO2 qui jour le rôle d’appeau à CON.





Baliverne. Les abeilles vont très bien, merci pour elles. Les pesticides n’ont qu’une modeste influence.


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Ouais enfin la clim’ c’est du confort et très énergivore. Quand je parle de s’adapter, je parle pas des soucis mineurs qu’on aura à l’avenir, mais des trucs un poils plus chaud à gérer (sans mauvais jeu de mots), du genre montée et réchauffement des océans, impact sur l’agriculture, les animaux etc…

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tpeg5stan a écrit :



Ou le xkcd qui est encore plus parlant visuellement :https://xkcd.com/1732/





Merci pour ce lien, je ne connaissais pas et il est excellent, comme souvent.


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tmtisfree a écrit :



Baliverne. Les abeilles vont très bien, merci pour elles. Les pesticides n’ont qu’une modeste influence.&nbsp;





Pour la video, on est dans du travail bien léché de lobbyiste professionnels qui comme toujours en pareil cas lance plein de vérités afin de faire passer ce qui fâche et niveau graphique, c’est à croire qu’il est conçu pour ne pouvoir en tirer aucune conclusion (la pathologie peut avoir bien des causes, l’inexpliqué arrive second): Pas de quoi inciter les apiculteurs à plus systématiquement remplir les déclarations de pertes, si c’est pour en tirer ce type de synthèse!



En attendant, Bayer est bien parti pour y laisser sa chemise avec Monsanto (même si les désherbants sont actuellement plus dans le collimateur) et doit un peu s’en mordre les couilles de ce rachat.


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c’est du confort, pourtant, faute de ce “confort” on a dû reporter l’organisation du principal examen du système scolaire français de quelques jours. Ça n’a l’air de rien, mais ça n’a rien de gratuit. Sans parler des endroits où ce n’est pas juste du “confort” mais un équipement vital : hôpitaux, maisons de retraite…

Sur d’autres sujets, je suis plus d’accord avec toi : on pense qu’on aura de gros problèmes parce-que les océans vont monter de 3 mètres…? Concrètement, on fait quoi pour s’adapter à cette montée ? Est-ce qu’on a arrêté de construire dans les zones qui pourraient être submergées ? Est-ce qu’on a commencé à évaluer des solutions de rechange pour ce qui s’y trouve déjà ?

Si le réchauffement (et la montée des océans qu’on nous annonce) sont réels, il faudrait peut-être commencer par là, plutôt que remplacer des centrales nucléaires par des moulins à vent. Au passage, la France, c’est 1% des émissions de CO2 au niveau mondial en 2018. Si on passait à 0… quel serait l’impact sur les températures ? Et sur les océans ? Dans ces conditions, qu’est-ce qui est le plus urgent ? Dépenser des milliards pour éviter ce qu’on nous présente comme inéluctable, ou se demander comment on vivra avec ?

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La vidéo est destinée au grand public et donc avec une approche simple. Comme indiqué sous la vidéo, elle provient du journaliste indépendant Gil Rivière-Wekstien du site agriculture et environnement, voir ici ou ou encore celle-là pour d’autres exemples sur le sujet.



On est passé du climat aux abeilles et maintenant aux désherbants. J’attends le prochain commentaire anti-élevage/anti-viande/anti-OGM/anti-nucléaire/anti-capitaliste… <img data-src=" />

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anagrys a écrit :





  1. L’Homme a balancé des milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère, faisant passer son taux de 350ppm à 400ppm.







    J’arrive au milieu de la conversation, je corrige juste sur la forme : 350 ppm est le maximum acceptable, avant les émissions massives liées à la révolution industrielle, etc. le taux était plus proche de 280ppm.

    Les 350 ont été passés à la louche dans les années 1990


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anagrys a écrit :



Au passage, la France, c’est 1% des émissions de CO2 au niveau mondial en 2018. Si on passait à 0… quel serait l’impact sur les températures ?





Nul (= non mesurable), comme d’ailleurs la pleine réalisation hypothétique des objectifs de réductions des GES décidée à la COP15 (Paris).



Au niveau global, les projections montrent que la réalité est une maîtresse difficile.



Et comme il y a encore beaucoup de monde sur la planète qui espère nous rejoindre en terme de qualité de vie (ce qui passe par l’utilisation des énergies les moins chères possibles = émettrices CO2), il n’est pas interdit de penser que les émissions vont continuer à augmenter à la même allure que maintenant dans le futur proche (et sans doute à moyen terme selon BP, 2050-2080).



Autant dire que les stratégies de “mitigation” sont une totale ineptie si on en croit les réchauffistes eux-mêmes.



Quels que soient les croyances de chacun, la meilleure stratégie peut être résumée en 3 mots : adaptation, adaptation, adaptation.


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wagaf a écrit :



Les modèles n’intègrent pas l’“hypothèse réchaufiste”, ils prennent en compte différents phénomènes physiques tel que l’effet de serre, le rayonnement solaire, les émissions humaines estimées, l’évaporation de l’eau etc., et sont confrontés à la réalité, puis les scientifiques tentent de comprendre les différences pour améliorer les modèles.





Merci pour tes commentaires, mais tu te fatigues pour rien avec tmsisfree (free of reason en fait), il/elle a décidé que les centaines voire milliers de chercheurs qui alimentent les compilations faites par le GIEC (organisme onusien) étaient des incapables ou des manipulateurs.

Quant à savoir ce qui ferait que tous ces gens inventeraient le réchauffement anthropique, déduction alimentée par des observations très variées dans plein de domaines, on se demande… <img data-src=" />


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De la part de l’individu qui n’a qu’une seule source d’informations complaisamment en conflit d’intérêts financiers sur le sujet, c’est l’infirmerie (de l’école) qui se fout de l’hôpital (universitaire)… <img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />



Les articles scientifiques que je lis en ont “décidé” : un exemple parmi d’autres en lien avec la news.



“Quant à savoir ce qui ferait que tous ces gens inventeraient le réchauffement anthropique,” la recherche du prestige, du pouvoir, de jetsetter dans les endroits au noms imprononçables aux frais des contribuables, de la médiatisation ou du prochain financement du labo représentent des motivations suffisamment incitatives pour accepter n’importe quelle hypothèse de travail farfelue pour la durée la plus longue possible (tant qu’il y a des subventions en fait).

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tmtisfree a écrit :



De la part de l’individu qui n’a qu’une seule source d’informations complaisamment en conflit d’intérêts financiers sur le sujet, c’est l’infirmerie (de l’école) qui se fout de l’hôpital (universitaire)… <img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />





Ben voyons, toujours en train de raconter des inepties.

De quelle source parles-tu ?







tmtisfree a écrit :



Les articles scientifiques que je lis en ont “décidé” : un exemple parmi d’autres en lien avec la news.





Et je te balance un lien en anglais, alors qu’on a des résumés des compilations du GIEC avec plein de schémas et d’explications, y compris sur les incertitudes vu que c’est la base d’une étude.







tmtisfree a écrit :



“Quant à savoir ce qui ferait que tous ces gens inventeraient le réchauffement anthropique,” la recherche du prestige, du pouvoir, de jetsetter dans les endroits au noms imprononçables aux frais des contribuables





Tu délires complètement :-( .

C’est sûr, tous les scientifiques plus ou moins anonymes (à l’échelle de la société, sans doute moins dans leur milieu) qui ont acquis tant de prestige et de pouvoir avec leurs études, et qui roulent en Porsche maintenant.

Franchement, t’es pas crédible, arrête ton cirque et de faire perdre ton temps aux gens ici (dont wagaf qui est bien dévoué).







tmtisfree a écrit :



des motivations suffisamment incitatives pour accepter n’importe quelle hypothèse de travail farfelue pour la durée la plus longue possible (tant qu’il y a des subventions en fait).





Oui c’est bien connu, les scientifiques aiment étudier des sujets farfelus, et pas du tout des sujets de fond qui permettent de mieux comprendre le monde.



Quel clown. Je ne devrais pas m’abaisser à ça mais tant pis, aucun respect pour les charlatans.


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wagaf a écrit :



Les modèles n’intègrent pas l’“hypothèse réchaufiste”, ils prennent en compte différents phénomènes physiques tel que l’effet de serre, le rayonnement solaire, les émissions humaines estimées, l’évaporation de l’eau etc., et sont confrontés à la réalité, puis les scientifiques tentent de comprendre les différences pour améliorer les modèles.





Dans son derniers cours aux Mines de Paris, Jean-Marc Jancovici dans un de ceux-ci explique un peu tous les facteurs étudiés par rapport à l’évolution des températures moyennes, la différence océans / atmosphère, tous les facteurs qui augmentent ou diminuent le forçage radiatif, les conséquences à plein de niveau (pluie, nébulosité, aérosols, courant océanique, plantes, insectes, il y en a de surprenantes), c’est très intéressant comme souvent avec lui.





  • “Energie et changement climatique | 3 | Le changement climatique (1) | Jancovici | Mines de Paris”

    https://www.youtube.com/watch?v=gqa-2RQ9eZ8



  • “Energie et changement climatique | 4 | Le changement climatique (2) | Jancovici | Mines de Paris”

    https://www.youtube.com/watch?v=V4nyyhs3fnc



    (mais bon l’autre va nous expliquer que c’est pas de la science et que relâcher des quantités gigantesques de CO2 dans l’atmosphère ça n’influence pas l’effet de serre - et pas que du CO2)


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tpeg5stan a écrit :



J’arrive au milieu de la conversation, je corrige juste sur la forme : 350 ppm est le maximum acceptable, avant les émissions massives liées à la révolution industrielle, etc. le taux était plus proche de 280ppm.

Les 350 ont été passés à la louche dans les années 1990





Nan mais attends, tu ne vas pas croire qu’augmenter de façon très significative le taux de CO2 dans l’atmosphère sur un délai court à l’échelle climatique va changer quelque chose ?

(je suis bien sûr ironique)


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“De quelle source parles-tu ? ”




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Et quel serait le conflit d’intérêt de Jancovici à expliquer le travail de centaines de scientifiques et relecteurs ?



C’est un vulgarisateur remarquable par ailleurs, mais il y en a d’autres comme Bihouix sur les minerais et matériaux (et ça fait déjà un certain temps). A eux deux une sacrée “équipe”, ils ont réfléchi à beaucoup de tenants et aboutissants (pour une fois j’ai regardé le Thinkerview où ils sont tous les 2, je recommande cette vidéo-là).

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OlivierJ a écrit :



Et je te balance un lien en anglais, alors qu’on a des résumés des compilations du GIEC avec plein de schémas et d’explications, y compris sur les incertitudes vu que c’est la base d’une étude.





Si tu ne sais pas lire l’anglais, tu l’apprends. Les résumés du GIEC, on les connaît : ils sont dictés par les politiques réunis en conclaves après que le rapport soit écrit. Puis le rapport est édité pour que le corpus suive la ligne du parti. Très scientifique. <img data-src=" />









OlivierJ a écrit :



C’est sûr, tous les scientifiques plus ou moins anonymes (à l’échelle de la société, sans doute moins dans leur milieu) qui ont acquis tant de prestige et de pouvoir avec leurs études.





Généralisation fallacieuse n° 1 : tous, probablement pas. Mais la coterie des quelques 15 à 20 meneurs responsables de cette escroquerie, certainement. Quel directeur de labo refuserait des crédits si la simple mention du dogme du jour est suffisante pour en obtenir ? Comme l’a si bien Eisenhower dans son discours d’adieu à la nation (1961) :



Today, the solitary inventor, tinkering in his shop, has been overshadowed by task forces of scientists in laboratories and testing fields. In the same fashion, the free university, historically the fountainhead of free ideas and scientific discovery, has experienced a revolution in the conduct of research. Partly because of the huge costs involved, a government contract becomes virtually a substitute for intellectual curiosity. …



The prospect of domination of the nation’s scholars by Federal employment, project allocations, and the power of money is ever present – and is gravely to be regarded.







Yet, in holding scientific research and discovery in respect, as we should, we must also be alert to the equal and opposite danger that public policy could itself become the captive of a scientific-technological elite.





On y est.









OlivierJ a écrit :



Oui c’est bien connu, les scientifiques aiment étudier des sujets farfelus, et pas du tout des sujets de fond qui permettent de mieux comprendre le monde.





Généralisation fallacieuse n °2 : je me suis limitée aux “experts” (autoproclamés, et non des scientifiques) du GIEC et affidés. Pour les autres, c’est un autre sujet.


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Financiers.



Un peu comme Al Gore le multi millionnaire) qui prêche l’apocalypse climatique tout en en profitant…



Cela dit, c’est moins ridicule que de n’avoir qu’une seule source d’information sur un sujet aussi controversé après t’avoir fait déjà la remarque plusieurs fois. Comme quoi les clowns et charlatans ne sont pas forcément ceux qu’on croit.

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tmtisfree a écrit :



Les résumés du GIEC, on les connaît : ils sont dictés par les politiques réunis en conclaves après que le rapport soit écrit. Puis le rapport est édité pour que le corpus suive la ligne du parti. Très scientifique. <img data-src=" />





Oui oui c’est ça.

D’ailleurs aucun scientifique dont les travaux sont repris dans le rapport ne proteste, aucun relecteur non plus.

<img data-src=" />







tmtisfree a écrit :



Généralisation fallacieuse n° 1 : tous, probablement pas. Mais la coterie des quelques 15 à 20 meneurs responsables de cette escroquerie, certainement. Quel directeur de labo refuserait des crédits si la simple mention du dogme du jour est suffisante pour en obtenir ?





Haha il est beau le complot, avec 15 à 20 meneurs.

Quand à un directeur de labo, il a d’autres ambitions que ça, sinon on serait mal barré depuis longtemps avec la recherche.







tmtisfree a écrit :



Généralisation fallacieuse n °2 : je me suis limitée aux “experts” (autoproclamés, et non des scientifiques) du GIEC et affidés. Pour les autres, c’est un autre sujet.





C’est bien connu, aucun travail scientifique ne figure dans le rapport du GIEC, et aucun scientifique ne travaille sur le rapport.



Arrête d’écrire des inepties, en tous cas j’arrête de répondre (après l’autre).


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tmtisfree a écrit :



Financiers.



Un peu comme Al Gore le multi millionnaire) qui prêche l’apocalypse climatique tout en en profitant…





Ah oui, et comment ?

Et ton lien, il est supposé montrer quel conflit d’intérêt ?







tmtisfree a écrit :



Cela dit, c’est moins ridicule que de n’avoir qu’une seule source d’information sur un sujet aussi controversé après t’avoir fait déjà la remarque plusieurs fois. Comme quoi les clowns et charlatans, on les trouve partout.





J’ai plusieurs sources d’information, je l’ai déjà dit.

Et celle-là est excellente de toutes façons.



J’arrête là, c’est stérile de discuter avec un trolleur.


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1/ Ça, c’est avant la dictée du résumé et l’édition du corps pour y conformer. Une fois édité, les corrections sont très difficile à obtenir sans un battage médiatique intense.



2/ Tu es le seul à parler de complot. Un groupe d’intérêt est bien suffisant. Tu n’as jamais été dans un labo pour écrire une telle débilité : la principale préoccupation du directeur est de trouver (ou maintenir) le financement.



3/ Encore un argument fallacieux : tu en en forme !



4/ Excellent, je pourrais ridiculiser tes commentaires débiles comme d’habitude !

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1/ Je ne vais pas faire ton éducation si tu ne sais pas ce qu’est un conflit d’intérêt. Consulte le dictionnaire.



2/https://www.youtube.com/watch?v=LYAvhujK4nA



3/ Mémo du cyber-sophiste. Objet : pour éviter ou terminer tout débat en ligne et rester dans ta zone de confort idéologique, il suffit d’invoquer le mot magique adapté à la situation :




  • si tu ne veux pas/plus discuter d’évènements ou de rapprochements troublant, crier au « complot(iste) » permet de dévier le problème en tentant de faire passer à peu de frais le contradicteur pour un parano affabulateur ;

  • si tu es ignare sur un sujet scientifique quelconque, le plus simple est de te mettre du côté de la majorité : « consensus » fera l’affaire ;

  • si tu ne veux pas/plus discuter car à bout d’argument face à l’oppression cognitive et la profondeur intellectuelle de l’adversaire, le mot magique est « troll » (surtout si tu t’appelles OlivierJ).



    2 strikes, we have a winner! <img data-src=" />

CNRS : « la canicule de juillet aurait été quasi-improbable dans un climat non modifié par l’homme »

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