Cadeaux offerts par les industriels de santé : la transparence étendue aux vétérinaires
L'avenir appartient à ceux qui ont le véto
Le 31 janvier 2017 à 15h40
3 min
Droit
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Le site « transparence.sante.gouv.fr » s’apprête à évoluer. À compter du 1er juillet 2017, les industriels du médicament vétérinaire devront eux aussi rendre publics les avantages et liens d’intérêts qu’ils nouent avec les professionnels du monde de la santé au sens large.
En application de la « loi Santé », le gouvernement a publié au Journal officiel du 28 janvier un décret « relatif à la transparence des avantages accordés par les entreprises produisant ou commercialisant des médicaments vétérinaires ». Ces sociétés (de même que celles « assurant des prestations associées à ces produits ») seront bientôt tenues de transmettre chaque semestre aux pouvoirs publics :
- Des informations portant sur les conventions qu’elles nouent avec des professionnels de santé, des associations d’étudiants, des éditeurs de logiciels d'aide à la prescription, des journaux, etc. Il s’agira notamment de présenter l’objet de ces accords (la participation de tel vétérinaire à une conférence par exemple), ainsi que le montant de la rémunération versée à son bénéficiaire, de même que ses éventuels avantages en nature.
- Des informations sur les « avantages » procurés « directement ou indirectement » aux mêmes acteurs du monde de la santé : invitation au restaurant, etc.
Cette réforme, qui entrera donc en vigueur le 1er juillet prochain, vient étendre les dispositions prévues jusqu’ici pour les entreprises qui produisent ou commercialisent des produits « à finalité sanitaire et cosmétique » uniquement « destinés à l'homme » (voir notre article). Chaque montant est censé être décliné toutes taxes comprises et « arrondi à l'euro le plus proche » – même si seules les rémunérations ou avantages au montant supérieur ou égal à dix euros doivent être déclarées.
Le public pourra ainsi savoir en quelques clics si son vétérinaire a été approché par tel ou tel fabricant de vaccins, par exemple, et surtout contre quelles contreparties. Le site « transparence.sante.gouv.fr » permet en effet d’effectuer des recherches par entreprise ou par bénéficiaire. La CNIL s’est cependant opposée à ce que ces informations soient référencées par les moteurs de recherche. Impossible donc d’en avoir connaissance sans une démarche pro-active.
S’il est encore très compliqué d’extraire directement des données de ce site officiel (à cause de systèmes de captcha), le ministère de la Santé a mis en ligne en avril dernier un jeu de données réexploitables sur « data.gouv.fr », la plateforme nationale d’Open Data. On peut imaginer que celle-ci sera prochainement agrémentée des nouvelles informations fournies par les laboratoires vétérinaires.
Commentaires (75)
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Abonnez-vousLe 31/01/2017 à 15h48
Les laboratoires servier se reconvertissent dans la restauration ?
Le 31/01/2017 à 15h49
même si seules les rémunérations ou avantages au montant supérieur ou égal à dix euros doivent être déclarées.
Cool j’imagine déjà la fraude à multiplier les “avantages” à 9€, non tracés. " />
Sérieusement quel intérêt de mettre un seuil? Pouvoir faire des “petits” cadeaux “sans intérêt”? Au nom de quoi ce seuil de 10€ est fixé?
Le 31/01/2017 à 15h55
Ils ont créer l’equlepo qui donne le gout du lapin au cheval ou l’inverse.
Le 31/01/2017 à 15h57
Sachant que les groupes qui gèrent le pharma humain et le veto sont souvent les memes, c’est logique
Le 31/01/2017 à 15h59
Oui mais l’activité des véto est 100% privée pas un centimes d’argent public c’est pas un peu exagéré de mettre en place les même mesures que pour les médecins.
Le 02/02/2017 à 17h38
Le 02/02/2017 à 19h16
Le 02/02/2017 à 22h47
Le 02/02/2017 à 23h08
Au passage, de la part d’un médecin, ne pas prendre en considération le cout du produit pharmaceutique dans l’évaluation du coût de la consultation ça fait montre d’un tel “je m’en bas les steaks c’est la sécu qui paye” que ça me laisse sans voix….
Le problème avec les relations entre médecins et labo est peut être là….
Qu’un quidam ne l’appréhende pas, c’est plutôt normal, mais un médecin bordel….
Le 03/02/2017 à 10h05
Drepanocytose et moi évoquiont l’aspect industriel du médicament: l’AMM, la recherche et des développements (il faut tester des milliers de molécules avant de trouver un médicament).
Ce n’est pas tout à fait le sujet de cet article, mais à mon avis le défaut de transparence à ce niveau là est plus dommageable que de ne l’est les milliers de repas que payent les laboratoires chaque année aux PS et qui créaient des biais et des liens d’intérêts.
Après mon idée souffrent d’un écueil: l’offuscation: les laboratoires vont noyer le public et les autorités avec des études et cacher ainsi les informations importantes.
Le 03/02/2017 à 10h15
Le 31/01/2017 à 17h36
Le 31/01/2017 à 17h39
Ouhhh ça vas géner les labo de savoir qu’ils sont en affaires avec les véto, beaucoup plus que les liens avec les politiques.
Le 31/01/2017 à 17h48
Le 31/01/2017 à 17h52
Donc les politiques transfèrent leur responsabilités sur les véto.
Ils devraient mettre leur nez dans ce merdiers mais préfèrent accusé les vétos, il faudrai tout de même pas se facher avec bayer ou autre.
Le 31/01/2017 à 17h53
Je suis assez pour. Surtout que comme remonté par certains, ils sont à la fois prescripteur et vendeur (bien qu’il soit tout à fait possible de prendre son ordonnance et aller dans une pharmacie).
Le 31/01/2017 à 18h35
bon !! je me contente d’écrire sur le sous-titre : j’adore
genre de truc qui me met de bonne humeur, l’humour ^^ " />
Le 31/01/2017 à 19h35
Le 31/01/2017 à 19h36
Les vétos auraient tort de pas en abuser : il parait que leur patientèle est bête à manger du foin.
Alors ils en profitent, c’est humain.
Le 31/01/2017 à 19h44
Un peu comme certain parti politique.
Le 31/01/2017 à 20h56
Une amie vétérinaire m’explique que parfois, ils ajoutent une ligne sur la facture : TSC. Taxe sur la connerie, pour les clients emmerdeurs.
Le 31/01/2017 à 21h34
La news me fait à peu près ni chaud ni froid, je voulais juste approuver le sous-titre " />
Le 31/01/2017 à 21h52
Le 01/02/2017 à 06h32
Le 01/02/2017 à 06h35
Le 01/02/2017 à 07h58
Le 01/02/2017 à 08h15
Le 01/02/2017 à 08h30
Pourquoi pas ?
C’est généralement ce qu’on appelle un staff. En gros, le laboratoire envoie quelqu’un qui vient faire une présentation ou autre et ramène à manger pour le personnel présent dans le service.
Je ne suis pas prescripteur mais les laboratoires viennent me voir régulièrement.
D’ailleurs, pour faire le lien avec la même news publiée précédemment, j’ai réussi à faire enlever des prestations qui étaient affichées et auxquelles je n’avais pas participé.
Ce fut un peu long mais la procédure de correction fonctionne.
Le 01/02/2017 à 08h52
Il est très très rare que les AS soit conviés aux staff de presentation de traitements présentés par des labos … (en tout cas dans les CHU ou j’ai exercé).
Le 01/02/2017 à 09h59
Merci de ton retour.
Heureux de savoir que la correction est possible.
Le 01/02/2017 à 10h16
Le 01/02/2017 à 10h57
Le 01/02/2017 à 11h00
Le 01/02/2017 à 11h24
On ne peut évidemment pas etre contre sur le principe.
Mais dans le fond, braquer le projecteur sur les conflits d’interets des médecins et veterinaires tout en jetant un voile pudique sur ce qu’on appelle gentiment le lobbying, ca me gêne un peu. J’ai du mal à croire que quand la commission européenne ou l’état Français vote des textes très favorables aux industriels, ce soit juste basé sur de belles présentations powerpoint et l’argumentaire travaillé d’un lobbyiste convainquant.
Quand ca se gave au sommet, et que ce sont ceux là mêmes qui se gavent qui pointent du doigt le manant qui risque de tremper son doigt dans la soupe, ca m’énerve un peu. Et je ne suis ni médecin ni véto.
Le 01/02/2017 à 17h05
Tous les professionnels de santé sont concernés: du médecin à l’aide soignante en passant par le Kiné ou le pharmacien:
http://www.ordre.pharmacien.fr/Communications/Les-actualites/Des-dispositions-an…
Après les vétérinaires s’occupe plus de la santé animale, mais ce décret vient de les faire rentrer dans le cercle.
Le 01/02/2017 à 18h00
Merci " />
Je ne savais pas qui était concerné. Cool, de la recherche en perspective " />
PS: pour les vétos, j’avais lu quand même l’article mais comme dit + haut, pas le temps de tout lire " />
Le 01/02/2017 à 19h21
Cela juste mettre en lumiere ce que tous le monde dans le monde de la santé savait déjà: on est +/- en lien avec les laboratoires et c’est pas forcément nuisible.
Il serait agréable de faire la même chose au niveau de la classe politique: note de frais détaillé, agenda des lobbys rencontré par les élus, bizarrement ça pâtine et il faut attendre un scandale pour que la classe politique se bouge.
De même, la publication automatique de toutes études faits sur l’homme lors d’un dépôt d’AMM, pourrait être un plus.
Le 01/02/2017 à 20h05
Le 01/02/2017 à 23h10
Le 02/02/2017 à 12h49
Je suis concerné par cette loi en tant que professionnel de santé.
Les laboratoires ont la fonction de produire des produits (médicaments, équipements, etc …).
On peut avouer que cela a été efficace pendant plusieurs décennies et que l’on a un arsenal thérapeutique important. De plus ils forment (avec partialité) les professionnels de santé sur leur produits.
Je vois pas le ministère de la santé ou la CNAM se déplacer sur mes heures de travail et sur mon lieu de travail pour me faire une formation. Pour les professions libérales, il n’est pas toujours simple de se libérer une journée pour la formation continue (mais bizarrement c’est plus facile à trouver quand on la fait à Ibisa).
Que cela soit les laboratoires, la Haute Autorité de Santé, ou la CNAM tous font des formations +/- partiales qui vont dans le sens de leur intérêts.
L’obligation de transparence permet de mettre plus facilement en évidence ces liens et en tant que professionnel de santé on devrait avoir à cacher à ce sujet.
Le 02/02/2017 à 12h52
Disons quand on voit que Prescrire quand il veut des informations complémentaires sur un médicaments sur le marché se prend une fin de non recevoir, cela me dérange un peu.
Surtout quand tu apprends dans plusieurs scandales sanitaires (Coxib, Mediator, etc) que certains informations étaient connues du laboratoires voir découvertes lors d’études cliniques, mais ces études cliniques n’ont jamais été publiées avant le procès.
Le 02/02/2017 à 13h44
Wow c’est vrai, si on dévoile toute la vérité aux gens, que va faire Elise LUCET et son Cash Inv ?
* secret indus: bof personne ne veut reconnaitre ni montrer donc ça change rien
* vie privée: lol avec ce que les gens balancent sur FB, TWT, LKDin etc. bof
* réaction du public: oui, pour une fois il serait au courant qu’il peut y avoir des effets indésirables voire mortels mais que ça soigne autre chose (leurs maladies i.e.)
Bref, pourquoi ne pas mettre tout ça sur l’Agora " />
Le 02/02/2017 à 14h08
Ah, je comprends mieux le sens de la fin de phrase " />
Pour le 1er point, OK mais apparemment, je ne sais pas si c’est Hype, les gens retournent vers les remèdes de Mémé " /> (auquel je fait 1⁄2 confiance et encore, je pense pas qu’ils auraient pu me soigner " /> ) (Pegasys+Copegus n’existent pas à l’état végétal)
2ème point: mon toubib est comme toi donc, quand il y a formation par la CN-CR-AM, il ferme le cabinet et go à la formation. Il reçoit par contre les démarcheurs des labos au cabinet.
3ème: lapin compris “on devrait avoir à cacher à ce sujet. ” , il manque des mots ?
En fait, on comprend pas si tu veux cacher ou non ?
Ou alors, j’suis idiot " /> " />
PS: gigot, il pleute dans ma maison (un peu, pas trop) mais c’est comment dire URGENT !! A++
Le 31/01/2017 à 16h00
est ce qu’il ne faudrait pas mettre des caméras piétons sur les vétérinaires des fois qu’ils abusent des vaches et des juments ?
Le 31/01/2017 à 16h02
Le 31/01/2017 à 16h05
Le 31/01/2017 à 16h06
Je vois pas pourquoi le fait d’être privé dispense de transparence. Hors cadre vétérinaire, si tu vas te faire soigner dans une clinique privée plutôt que dans un hôpital public, ces informations ont la même importance.
Le 31/01/2017 à 16h09
Le 31/01/2017 à 16h11
Les vétérinaires sont la seule profession qui peuvent vendre ce qu’ils ont prescrit. Pour les autres professions (médecins, sages femmes, infirmières, kiné, etc) la vente est réservé à une seule profession: les pharmaciens (modulo quelques exceptions).
Pour le législateur, c’est dans le but que le prescripteur aura le souci de son malade, pas d’une prescription où il aurait un éventuel intérêt financier.
C’est d’ailleurs un sujet de discorde entre les vétérinaires et les pharmaciens (m’étonnerait pas que les pharmaciens est poussé cet élargissement).
Cela me semble aller dans le bon sens, la résistance aux antibiotiques est en partie du à l’usage immodéré de ceux-ci en médecin vétérinaire au sein des élevages en préventif.
Le 31/01/2017 à 16h11
J’ai utilisé des cliniques privées et c’est la sécu et ma mutuelle qui ont tous réglé aucun reste a charge.
C’était de l’argent public au moins la part sécu.
Le 31/01/2017 à 16h15
Tu mélanges résistance au antibiotiques dans les élevages intensif, et les liens avec les labos je comprends.
Le véto qui veux vendre un max d’antibiotiques a un éleveur en prenant sa commission c’est justement celui qui a le moins intérêt au “cadeau” des labo il a déjà sa vache a traire.
En prime ça ne change rien au fait qu’il peut prescrire et vendre tous ce qu’il veux.
Le 31/01/2017 à 16h16
Le 31/01/2017 à 16h19
Mon père est vétérinaire en rural. Les médicaments, c’est ce qui lui permettait de faire sa marge.
Et pour le lien avec l’élevage, il faut aussi voir que ce n’est pas le vétérinaire de ville (chiens et chats) ou le vétérinaire en rural classique qui s’en occupe.
C’est des vétos qui ne font que ça et qui sont parfois en contrat avec l’exploitation.
Donc sur le principe je ne suis pas contre, mais je doute que ça serve à quelque chose pour réduire l’utilisation d’antibios.
Sinon, comme exemple de cadeau, une association de vétérinaires, Vétocéan (http://www.vetocean.fr/), propose tous les ans des séminaires mélangeant présentation des nouveautés des laboratoires et plongée sous-marine à des prix très intéressants pour les vétos.
Le 31/01/2017 à 16h31
Pour moi, il y a un fil rouge dans les 2 cas ( l’antibiorésistance et liens avec les labos): l’indépendance du professionnel de santé qui ne doit pas rechercher son intérêt économique.
Cela est d’ailleurs paradoxal quand la marge est le moteur principal de rémunération du professionnel: le législateur exige mais ne donne pas les moyens de cette indépendance.
Le 31/01/2017 à 16h33
Des labo qui offrent des repas à des aides soignants ???
Etrange dans la mesure où ses derniers ne pourront jamais “renvoyer l’ascenseur” aux dits-labos …
Le 31/01/2017 à 16h37
Certains techniciens sont décideurs dans une certaine mesure.
Si le pansement est mal utilisé et que l’on obtient de mauvais résultat, le prescripteur en déduira que le produit est fautif.
Le 31/01/2017 à 16h38
Pour le bourrin qui vends des antibio a la tonne cette réglementation ne change rien a ça.
C’est pas un “séminaire” de trois jours a marrakech ,qu’il devra déclaré, qui vas changer quoique soit celui qui fait ça pour le fric aura juste a refusé ces cadeaux et engranger un max de pognons sans se faire remarquer.
Le 31/01/2017 à 16h40
Dedrak a bien mieux répondu que je pourrais le faire.
Le 31/01/2017 à 16h45
Merci " />
Pour compléter par rapport aux présentations de Vétocéan, même si je n’ai que le ressenti d’un membre de ma famille : ça ne convainc par grand monde.
Si un médicament marche, les vétos le prescrivent. Si ça ne marche pas, ils en changent.
Parce que l’éleveur qui perd son troupeau à cause d’un mauvais traitement voudra changer de soigneur. Mais aussi la personne qui a perdu son chien à cause d’un véto qui aura fait un massacre.
La médecine animale est peut-être moins subtile de ce côté là, vu que le ressenti du patient n’existe pas, on est face à des symptômes à traiter, et ça s’arrête là. Par contre le véto est bien face à la souffrance de l’animal et de son propriétaire quand ça ne va pas.
Le 31/01/2017 à 16h46
Raison de plus pour promouvoir la transparence.
Le 31/01/2017 à 16h51
Rien a voir avec la transparence si un tel produit existait les pouvoirs publics devrait l’interdire immédiatement.
La transparence ça voudrai dire tiens le vétérinaire Michu transforme les lapins en chevaux, et c’est mal " />
Le 31/01/2017 à 17h00
Quel produit ?
Non, la transparence dans le sens “montrer les conflits d’intérêt possibles.”
Le 31/01/2017 à 17h02
Le 31/01/2017 à 17h02
Perso, j’ai vu des poussins se transformer en poules après qu’on leur ait donné des graines. On nous cache des choses, je vous dis !
Le 31/01/2017 à 17h06
c’était sûrement des graines monsanto aux OGM actifs
Le 31/01/2017 à 17h07
Edit foirage de post
Le 31/01/2017 à 17h11
C’était par rapport a ma première réponse a uzak qui était débile.
Ces problème que sont les antibiorésistances, les OGM ça ne relève pas
de la transparence des praticiens mais des politiques qui autorisent ou
non ces pratiques.
La transparence c’est devenu la nouvelle pensée magique, d’autant plus pratique que nos cher dirigeants l’applique la ou elle est inutile.
Le 31/01/2017 à 17h14
Vu le fonctionnement des vétérinaires et les marges arrières démentes ça va être drôle
Le 31/01/2017 à 17h16
Le 31/01/2017 à 17h16
T’as du raté la réponse débile que je t’ai faites post #3
Le 31/01/2017 à 17h19
Le 31/01/2017 à 17h29
T’as du raté la réponse débile que je t’ai faites post #3
PS: j’ai quelque soucis avec les réponses et citation désolé pour le doublon avec le post #32
Le 31/01/2017 à 17h33
Faut arrêter de jouer à main-droite-main-gauche avec le clavier, maintenant.
Le 31/01/2017 à 17h33
D’ou l’inutilité de cette “transparence”.
Par contre faire la transparence sur les autorisations de mise sur le marché, réglementé l’usage des antibiotiques, la il n’y a plus grand monde quand c’est la responsabilité de l’état.
Le 31/01/2017 à 17h35
J’ai pas le gabarit pour mon pseudo alors il résiste ce foutu clavier.