Adobe Max 2017 : Lightroom devient Classic, conception d’interfaces, IA et performances
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Le 20 octobre 2017 à 09h21
12 min
Logiciel
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Adobe a présenté mercredi soir de nombreuses nouveautés pour ses diverses solutions, ainsi qu’un renforcement très net de ses abonnements. Désormais, les utilisateurs n’auront plus guère le choix, même pour Lightroom.
L’offre Lightroom subit une profonde transformation qui ne sera pas sans amener sans doute une certaine confusion chez l’utilisateur. L’actuel Lightroom CC devient en effet Lightroom Classic CC, tandis que le projet Nimbus est renommé… Lightroom CC.
Pourquoi de tels changements de noms ? Parce qu’Adobe veut proposer une nouvelle génération pour Lightroom. L’application que l’on connaissait devient donc Classic pour bien marquer l’héritage. Le nouveau Lightroom (tout court) est une nouvelle application prenant appui sur le service en ligne anciennement connu comme Nimbus. Il s’agit toujours d’une bibliothèque en ligne renforcée de fonctions d’édition.
En fait, le nouveau Lightroom se veut plus accessible au commun des mortels, tandis que l’édition Classic se veut davantage professionnelle. Elle n’est d’ailleurs pas simplement renommée, puisqu’elle passe pour l’occasion en version 7.
Adobe s’intéresse enfin aux performances de Lightroom
On se rappelle que l’éditeur avait avoué être conscient des problèmes de performances de son logiciel. Lightroom 7 représente donc une première étape dans ce voyage.
Adobe indique ainsi avoir travaillé sur une première série d’optimisations, notamment le temps de lancement de l’application, le passage de Bibliothèque à Développement (l’un des principaux reproches qui lui étaient faits), la génération des aperçus, le pinceau de retouche, le défilement des photos dans Développement ou encore l’importation avec l’option Fichier annexe incorporé.
L’éditeur n’a donné aucun chiffre ou renseignement précis pour se faire une idée des gains. Selon les premières constatations, les optimisations sont visibles mais pas extraordinaires. Pour certains points comme la création des aperçus, les améliorations sont plus ou moins visibles en fonction du type de fichier RAW avec lequel on travaille.
Adobe reconnait toutefois que le travail d’optimisation n’est pas terminé, et on peut donc s’attendre à ce que cette démarche – salutaire – se poursuive dans les prochaines moutures. Dans l’idéal, on peut espérer que l’entreprise n’attende pas Lightroom 8.
Les nouveautés de Lightroom ne sont à côté de ça pas si nombreuses. Adobe a ajouté quelques outils pour faciliter la sélection par couleur ou tonalité, comme le Pinceau de retouche ou le filtre Radial ou Gradué pour définir un masquage rapide. Mais c’est à peu près tout. La société promet toutefois un flux continu de nouvelles fonctionnalités dans l’avenir.
Et le nouveau Lightroom CC alors ?
On pourrait comparer ce service à Photos de Google, ou iCloud chez Apple. L’utilisateur dispose ainsi d’une bibliothèque centralisée, dont l’accès est unifié. Des applications pour Windows, macOS, Android, iOS et web sont disponibles, avec à peu près les mêmes fonctionnalités partout.
Pour Adobe, c’est l’aboutissement du projet Nimbus, en test depuis un peu plus d’un an. Le concept central est de permettre aux photographes d’avoir toujours la même chose sous les yeux, qu’il s’agisse de leurs données ou des capacités des applications. Il peut donc commencer le travail sur une machine et poursuivre sur une autre.
Attention toutefois, car la nouvelle application Lightroom CC contient beaucoup moins de fonctionnalités que l’ancienne, devenue Classic. Le photographe ne pourra par exemple créer ni livre, ni diaporama. Il n’aura pas accès non plus au module d’impression ni à bon nombre d’options qui font la richesse actuelle de Lightroom. Les deux versions auront une évolution parallèle, et Classic CC n’est pas censée disparaitre.
Notez que les applications mobiles et web existaient déjà, mais qu’elles s’enrichissent pour l’occasion. La mouture iOS prend par exemple en compte l’application Fichiers présente dans iOS 11. Il est également possible de créer des albums hiérarchiques pour les gérer au sein de dossiers, histoire de faciliter le classement. Sur le web, on note l’apparition d’une galerie publique permettant d’ajouter rapidement clichés et albums à une page visible par tous. Toutes les modifications effectuées sur les clichés (ajouts, retouches, etc.) sont synchronisées avec la galerie.
Maintenant que deux Lightroom se font face, se pose la question légitime de l’offre. Adobe propose donc trois abonnements :
- Lightroom CC, 1 To de stockage : 11,99 euros par mois
- Lightroom CC, Lightroom Classic, Photoshop CC, 20 Go de stockage : 11,99 euros par mois
- Lightroom CC, Lightroom Classic, Photoshop CC, 1 To de stockage : 23,99 par mois
Notez que les clients actuels pourront basculer sur cette dernière offre pour 17,99 euros par mois pendant un an. Ce découpage laisse par ailleurs penser qu’Adobe favorise cette formule, tant les 20 Go de la deuxième risquent de vite paraître bien courts. Tous les abonnements peuvent en tout cas recevoir du stockage supplémentaire à raison de 11,99 par To et par mois.
Adobe se met à l’intelligence artificielle avec Sensei
Toutes ces applications profitent par ailleurs d’une fonctionnalité qu’Adobe ajoute maintenant partout : Sensei. Comme chez d’autres entreprises, Sensei est un service dit « intelligent », qui permet aux utilisateurs d’effectuer rapidement des opérations complexes.
On le trouve par exemple dans le nouveau Lightroom CC. Il se charge dans ce cas de repérer les éléments constitutifs des clichés pour créer automatiquement des tags, afin de les appliquer à l’ensemble des photos et les synchroniser avec la bibliothèque. Adobe met ainsi en avant les gains de temps qu’un photographe peut en retirer.
Sensei sert également d’assistant personnel vocal, à la manière d’un Assistant (Google), Cortana (Microsoft) ou Siri (Apple). On peut l’appeler depuis une application, Sensei détectant alors de nombreux éléments dans le travail en cours. En écrivant sa requête dans le champ dédié ou la dictant dans le micro, l’utilisateur peut demander à Sensei d’effectuer des actions, le plus souvent trouver des contenus associés.
L’assistant analyse en fait tout contenu placé dans la zone de travail pour en extraire une série de mots-clés correspondant aux éléments trouvés, et identifier des zones classiques de retouche, comme les visages. Sensei étale ensuite les outils correspondants pour accélérer (toujours cette idée) le travail en court-circuitant les étapes rébarbatives. Selon l’activité en cours, comme déplacer un visage, il peut proposer la création d’un masque adapté. Fonds d’écran et polices sont en outre proposés pour accompagner le projet.
Entre le début et la fin du travail, Sensei génère un « creative graph » correspondant à l’arbre des sélections par l’utilisateur. Tous les éléments peuvent alors être modifiés, avec impact en direct sur le rendu final.
La démonstration d’Adobe est impressionnante (à partir de 2h11 dans la vidéo plus bas) et l’outil est visiblement efficace. Mais comme toute démonstration, le flux de travail a été répété à l’avance et est donc idéalisé. Ce ne sera qu’à l’utilisation que les limites apparaîtront, car il y en aura forcément.
En l’état, Sensei promet en tout cas de gagner du temps, mais à une condition : que l’utilisateur soit connecté à Internet. Toutes les opérations sont en effet calculées sur les serveurs d’Adobe. Si la connexion est coupée pour une raison ou une autre, l’assistant ne pourra plus faire grand-chose.
Deux nouvelles applications : Adobe XD et Dimension
Plusieurs nouveaux composants seront disponibles pour ceux payant déjà l’abonnement Creative Cloud à 59,99 euros par mois : XD CC et Dimension CC.
Adobe XD est un produit attendu de longue date, puisque le projet (Comet) avait été révélé il y a deux ans. Spécialisé dans le prototypage des interfaces, il vient combler un vrai vide dans l’offre de l’éditeur. Les concepteurs travailleront donc sur une grille pour disposer des éléments, avec possibilité d’y effectuer facilement des opérations telles que les déplacements, redimensionnements, ajouts de propriétés, liens entre les actions et ainsi de suite.
On retrouve également tout ce qui touche au travail d’adaptation des tailles d’écrans, la personnalisation des plans, la possibilité de dupliquer les éléments, etc. Pour être sûr de marquer des points face à la concurrence (notamment Sketch), Adobe lui ajoute des composants tiers comme ceux de Sympli et Zeplin, tout en permettant l’ajout de plugins (qui arriveront un peu plus tard).
XD se veut du coup adapté à toutes les conceptions d’interfaces mobiles et web. Des applications sont disponibles pour Android et iOS afin de pouvoir tester plus facilement les prototypes développés pour ces plateformes.
Dimension est de son côté l’ancien projet Felix. Le placement de ce produit est assez clair, Adobe évoquant le branding et le packaging dans sa présentation. Le nouveau venu permet des structures 3D et de les travailler pour obtenir un rendu photoréaliste. Produits divers, décors, emballages et autres peuvent donc être créés dans Dimension, avant d’être texturés, l’utilisateur pouvant ensuite jouer sur la lumière, l’angle de vision et autres afin d’obtenir le résultat attendu.
Comme on peut le voir sur la page des tarifs, ces logiciels sont disponibles de manière séparée, comme tous les autres produits chez Adobe. Ils n’ont cependant pas le même tarif mensuel : 11,99 euros pour Adobe XD, contre 23,99 euros pour Dimension. Quant à ceux qui payaient déjà le Creative Cloud complet, les applications viennent simplement s’ajouter dans leur collection.
Du neuf aussi pour Photoshop, Illustrator et InDesign
Toutes les applications du Creative Cloud ont évidemment été mises à jour. À commencer par Photoshop.
SI vous avez suivi les nouveautés présentées jusque-là, vous ne serez pas étonnés de voir la prise en charge de Sensei (Adobe y faisait sa démonstration) ou encore l’accès direct à la bibliothèque Lightroom. Car oui, il est enfin possible d’aller chercher une photo dans ce dernier depuis l'écran d'accueil de Photoshop, Sensei se chargeant d’ailleurs de filer un coup de main via l’utilisation des mots clés. Bien sûr, toute modification réalisée dans Photoshop sera automatiquement synchronisée avec Lightroom, que ce soit la version CC ou Classic CC.
Adobe affirme également avoir rendu son logiciel « plus simple à apprendre », notamment via l’ajout d’un panneau dédié aux débutants. Les autres améliorations sont nombreuses : optimisations de performances, classement plus précis des outils, possibilité de coller du texte sans formatage (enfin), prise en charge du format HEIF d’iOS 11, des panoramas à 360° (avec édition) ou encore des informations de profondeur fournies par l’appareil photo arrière des iPhone 7/8 Plus, ainsi que des améliorations significatives de performances pour le painting, surtout en cas d’écran HiDPI.
De son côté, Illustrator fait dans le confort et se concentre sur les flux de travail. L’utilisateur pourra par exemple s’amuser à créer jusqu’à un millier de plans, qui pourront être alignés par une nouvelle fonction. Les polices OpenType, SVG ou non, sont par ailleurs prises en charge, et un nouveau panneau de propriétés permet de se concentrer uniquement sur les détails du travail en cours. Là encore, Adobe mentionne des améliorations de performances, mais sans précisions.
InDesign laisse pour sa part aux utilisateurs la possibilité d’ajouter des notes de fin et annotations aux documents. Ces ajouts peuvent se faire directement depuis Word, sans perdre la mise en page, et être placés dans un tableau. L’application permet également désormais d’accéder aux styles d’objets, une généralisation en fait de ce que l’on pouvait déjà faire avec des polices pour changer rapidement les principaux attributs.
La nouvelle mouture ajoute en outre les bordures de paragraphes (pour compléter les ombrages), le stockage des textes dans le Creative Cloud, ou encore le filtrage des polices dans le panneau dédié, qui permettra de trouver plus rapidement celle que l’on cherche en fonction de certains critères.
Une année de cohérence pour Adobe
Les différentes annonces sont copieuses, mais montrent surtout qu’Adobe a fini sa transition vers le cloud et les abonnements qui l’accompagnent. La transformation de Lightroom fait sauter le dernier verrou, toutes les applications n’étant plus disponibles que sous forme d’une formule mensuelle ou annuelle. Notez que Lightroom 6 reste en vente séparément, mais qu’à compter de janvier 2018, plus aucune mise à jour ne lui sera accordée, même de sécurité.
L’éditeur n’a aucune raison de revenir sur cette stratégie qui fait tant de bien à ses finances et se montre encore assez souple dans ses gammes. Espérons d’ailleurs que cette granularité continuera et qu’Adobe ne poussera pas trop vers ses formules les plus onéreuses à l’avenir.
Notez enfin qu’en Amérique du Nord (États-Unis et Canada), le tarif de l’offre Creative Cloud passe d'ailleurs de 49,99 dollars à 52,99 par mois. Adobe n’a pas mentionné le reste du monde, mais il n’est pas impossible que cette petite hausse se répercute ailleurs par la suite.
Adobe Max 2017 : Lightroom devient Classic, conception d’interfaces, IA et performances
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Adobe s’intéresse enfin aux performances de Lightroom
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Et le nouveau Lightroom CC alors ?
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Adobe se met à l’intelligence artificielle avec Sensei
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Deux nouvelles applications : Adobe XD et Dimension
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Du neuf aussi pour Photoshop, Illustrator et InDesign
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Une année de cohérence pour Adobe
Commentaires (49)
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Abonnez-vousLe 20/10/2017 à 12h20
J’utilise l’abonnement “Photographe” en amateur et j’avoue le trouver pas mal fichu : pour 12€ par mois on n’a plus à se soucier des mises à jours (et quand je vois les problèmes de performances mentionnés sur LR avec des Raw de D800 à 36MP, ça m’aurait fait braire de repasser à la caisse pour ça).
Par contre je les trouve un peu radin sur le coût du To supplémentaire puisque l’on peut avoir 2 To chez Dropbox pour cela. De plus leur application IPad était franchement laborieuse au début. Je vais peut être profiter de la promo à 17€ par contre pour les abonnés existants.
Le 20/10/2017 à 12h29
Ma femme s’est abonnée… avant hier à l’offre CC de 11,99€/mois. Celle d’avant avec Lightroom CC + Photoshop CC sans espace de stockage en ligne. Elle va être ravie d’apprendre cette nouvelle (ou pas).
Perso, je trouve ça toujours scandaleusement cher. Office 365 c’est 10 balles pour une famille de 5 personnes avec toute la suite office + 1 To d’espace de stockage. Ici, ma femme est abonné pour 12 balles et je n’ai même pas le droit d’en profiter.
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Le 20/10/2017 à 12h33
Le 20/10/2017 à 12h53
si tu peux …
EDIT :
Toutes mes excuses , j’ai parlé trop vite
c’est bien debile mais c’est bien qu’un seul ordi à la fois
https://helpx.adobe.com/fr/x-productkb/global/creative-cloud-subscription-number-of-computers.html
Le 20/10/2017 à 12h58
Le 20/10/2017 à 13h13
ca reste débile quand meme, ma femme et moi faisons de la photo (alors oui je suis le seul a faire du lightroom apres ) mais si elle veut faire ses photos sous lightroom et moi les miennes en meme temps, on peut pas.
je veux dire à partir du moment ou on accepte 2 machines affiliées, on autorise la connexion des deux.
Apres c’est surement pour eviter les partages d’abonnements mais bon, l’ip qui arrive chez Adobe est celle de la box donc 2 machines avec la meme ip pourraient etre autorisées
quel dommage que dxo ne gere pas les retouches locales !!!
ca aussi je pige pas, on a un editeur, Français en plus, qui n’a pas a rougir, et qui continue a faire des licences perpétuelles (voir meme gratuites), qui a un boulevard devant lui pour tout ravager , et ils en profitent pas pour mettre les quelques outils lui permettant de devnir le roi du petrol !
Le 20/10/2017 à 13h23
C’est bien dommage effectivement, surtout que je pense que permettre un usage familiale sur 2 ou 3 (ou plus) postes en même temps (comme Microsoft), leur ferait gagner des clients plus que d’en perdre.
Le 20/10/2017 à 13h30
Le 20/10/2017 à 13h38
clairement oui
Le 20/10/2017 à 13h38
merci, je vais jeter un œil :-)
Le 20/10/2017 à 13h40
je viens de jeter un coup d’œil furtif, ca ressemble furieusement a the Gimp ;-)
je vais regarder plus en détails :-)
Le 20/10/2017 à 14h01
Licence perpétuelle LR : 80 à 150€ TTC suivant les promos.
Le 20/10/2017 à 14h07
Le 20/10/2017 à 14h30
Ce qui me chagrine surtout c’est que les produits d’adobe n’évoluent plus vraiment et pour les utiliser quotidiennement il y à vraiment des grosse grosse lacunes et ils ont de la chance que la concurrence n’essayent pas des les défoncer…
Ce qui me fait perdre du temps sur lightroom :
. Pas possible de faire des preset de retouche local… Du coup à chaque fois je doit choisir dans la liste déroulante chaque pinceau et l’appliquer et toujours dans l’ordre pour pas m’emmêler les pinceaux. Quand t’a un set de 20 images à retoucher toutes pareilles tu perd un temps monstre.
. Les slider n’ont qu’un range de -100 +100 du coup quand tu monte une exposition à +3 tu est obligé d’utiliser une retouche localisée car -100 dans les haute lumière n’est pas suffisant et parfois il faut même en utiliser 2.
. Si un setting de pinceau localisé est légèrement modifié il change de nom et ça deviens un bordel à gérer.
. Sur les outils de type filtre radial / gradué / localisé pas toutes les options de base ne sont pas disponible comme la gestion des couleurs tsl du coup si tu veut booster un pull rouge ça boostera aussi d’autre truc rouge sur l’image.
. Pas possible d’utiliser un crop qui sort de la zone de l’image alors que photoshop possède un outil mise à l’échelle via contenu très pratique pour passer un portrait en format portrait en carré sur un fond gris.
. L’outil HDR et panorama est très gadget et ne possède pas de système de batch + queue donc à partir de 15 images c’est impossible à gérer.
Et le meilleur pour la fin : Impossible d’avoir une chaine tout en raw malgré la présence du format dng… Une fois une photo balancée dans photoshop tout est statique du coup impossible de modifier la balance des blancs, l’étalonnage de l’appareil et photoshop n’est pas capable de reconnaitre les settings de lightroom. Du coup sur une photo sous exposées pour garder le maximum de flexibilité ont est aussi obligé de travailler sur celle la dans photoshop. Bien sur au passage l’utilisation du disque dur explose vu que un raw de 6mo deviens un tiff de 30mo :/
Franchement vu la puissance des pc actuels et du fonctionnement de photoshop ou quasiment chaque outil peut fonctionner sur des calques de réglage il est temps d’importer tous ces outils directement dans lightroom. D’ailleurs le fonctionnement du pinceau localisé devrais lui aussi fonctionner comme un calque avec une liste à droite et la possibilité en un clic d’en désactiver qu’un seul ou même de les mélanger.
Après je ne parle même pas de photoshop qui dispose lui aussi de lacune gigantesque… Le dernier truc en date qui m’a vraiment pris la tête c’est impossibilité d’avoir des règles de couleurs différentes pour faire des cartes de visites…
Au final pour résumer le fonctionnement d’adobe depuis 20 ans : Chaque outil est vraiment sympathique mais à utiliser avec parcimonie car si l’ont doit l’utiliser “à fond” alors c’est un bordel sans nom et ont doit constamment faire de la bidouille. C’est dommage car il y à vraiment un potentiel de malade mais sous exploiter ce qui fait perdre un max de temps au pros.
Le 20/10/2017 à 14h54
Le 20/10/2017 à 14h57
J’attends Publisher pour virer Adobe.
Et sinon :
L’éditeur n’a aucune raison de revenir sur cette stratégie qui fait tant de bien à ses finances et se montre encore assez souple dans ses gammes. Espérons d’ailleurs que cette granularité continuera et qu’Adobe ne poussera pas trop vers ses formules les plus onéreuses à l’avenir.
La blague Vincent, faut pas pousser. Trouves-tu vraiment que de passer de 1 à tout c’est granulaire ?
^^
Le 24/10/2017 à 15h53
La liste est longue dans les DAM (Digital Assests Managment).
Google m’a donné ceci :
http://www.patmo.net/logiciels.php
Le 25/10/2017 à 00h06
pour ton premier point : tu ne peux pas copier-coller tes “réglages locaux” ?
pour le reste : c’est effectivement l’équilibre à trouver entre un logiciel de “correction” d’image et un autre de “retouche”…
Personne ne parle de la gestion de la mémoire sur PS ? " />
Le 25/10/2017 à 00h09
bah du coup s’il y a des calques, c’est plutôt non destructif non ? " />
Le 25/10/2017 à 12h48
Le 26/10/2017 à 20h45
Oui bien entendu, mais LR c’est avant tout une bibliothèque virtuelle pour classer tes images et faire des corrections basiques mais rapidement.
Pour tes réglages, ‘Paramètres > Copier les paramètres’ te permet de copier toutes les corrections, pinceaux compris et des les appliquer ensuite à l’img de ton choix, cf https://postimg.org/image/9ksg9eupm3
Pour les presets, je ne les utilise pas, mais la copie des réglages pinceaux ne semble plus possible : https://postimg.org/image/6ulo7v0p0r/
Je suppose que c’est pour éviter de retrouver un trait de pinceau hors de l’image…
Pour les planches contact : Bridge (en natif avant CC), via le “volet Sortie”, te propose d’en créer avec vraiment pas mal d’options .
Le 20/10/2017 à 09h43
Pas de passage de Lr6 à Lr7 sans passer par la case de l’abonnement donc. Grosse déception.
Le 20/10/2017 à 10h00
Le 20/10/2017 à 10h10
Le 20/10/2017 à 10h24
C’est comme le LOA pour les voitures.
Ca a des avantages et des inconvénients. Les 2 plus gros avantages étant de ne pas avoir à s’occuper de matériel, de licences ou de logiciel, et d’avoir toujours la dernière version à jour automatiquement.
Chez Microsoft par exemple, la coût d’Office 365 avec la suite Office uniquement, est quasiment le même que l’achat d’une boite Office avec licence (comparaison sur 3 ans, le temps d’une nouvelle version).
Je me demande si c’est pareil pour Adobe?
Le 20/10/2017 à 10h46
Pour Microsoft Office : en pratique, les entreprises veulent garder Office bien plus longtemps que 3 ans, donc la licence “définitive” est bien moins chère…
Le 20/10/2017 à 10h51
Le 20/10/2017 à 11h06
Le 20/10/2017 à 11h23
Office 2007 est encore présent ici et là, mais là c’est quand même vieux, plus aucune mise à jour depuis ce mois-ci, donc en principe migration prévue pour vous, non ?
Le 20/10/2017 à 11h43
Le 20/10/2017 à 11h47
Pour ceux qui ne mettent plus à jour, effectivement. Mais si on veut comparé à l’online, c’est avec les mises à jour automatiquement.
Sinon, évidemment, garder la même version 10 ans est moins cher. Mais plus compliqué. Car il faut acheter des nouvelles versions pour les nouveaux collaborateurs, voir avoir des version en trop achetées si on se sépare des collaborateurs.
Le Online n’a pas ce problème : au jour prêt (ou au moins prêt au pire, ca dépend des éditeurs), on peut arrêter un abonnement. Et souvent, sur le online, on a des éléments en plus : stockage, outils diverses, appli téléphoniques, etc.
Comme dit, c’est juste une question d’avantages/inconvénients.
Le 20/10/2017 à 11h52
Le 20/10/2017 à 12h01
Le 20/10/2017 à 15h02
Le 20/10/2017 à 15h03
tu plains pas trop, ça pourrait être pire.
Rien que l’écran d’accueil, c’est une blague.
Je viens de découvrir la perte du bloc info / outil dans InDesign en haut. Ils ont décidé de le faire en tant que fenêtre. Alors que le contenu de cette fenêtre est dynamique. Mais borde* ils utilisent pas leurs outils ?
Sans oublier qu’Acrobat est parti sur des interfaces pour du tactile en oubliant (comme MS) que d’autres utilisent toujours un clavier et qu’ils sont / étaient plus rapides avec dans TOUTES les situations.
Je ne vais pas m’étendre sur le sujet, ils écoutent personnes.
Le 20/10/2017 à 15h10
Le 20/10/2017 à 15h11
Le 20/10/2017 à 15h12
Le 20/10/2017 à 15h13
Le 20/10/2017 à 15h29
Le 20/10/2017 à 15h30
Le 20/10/2017 à 15h35
Le 21/10/2017 à 08h20
A moyen terme la politique de l’abo mensuel d’abode est excellent pour ses finances. Mais je sais que dans les milieux universitaires par exemple même avec des prix négociés la facture commence a peser. Et ça commence a sérieusement a se pencher sur des alternatives moins chères avec des licences a vie.
Le 21/10/2017 à 12h26
Le 22/10/2017 à 08h25
je comprend pas trop ce qui est stocké dans cette bibliothèque en ligne, ce sont les RAW ? ça doit être énorme multiplié par le nombre d’utilisateurs, j’ai du mal a comprendre leur modèle économique
Le 23/10/2017 à 09h21
La nouvelle application Lightroom Classique (7) est un régal. La bibliothèque avec les RAW d’un D800 de 36Mpx sont très volumineux et s’était un calvaire à effectuer le traitement ou même visualiser les photos (bibliothèque de plus de 50 000 RAW).
Avec le nouvelle version, le catalogue et passe de de 1GO a 600Mo et tout et presque instantané, plus besoins d’attendre 4 secondes pour afficher le rendu de l’image à 100%.
Et avec la version Classique on peut publiquer que certaines collections dans la version CC pour les avoir sur son mobile, web ou nouvelle appli CC.
Pour le moment, que du bon de mon point de vue " />
Le 23/10/2017 à 09h25
Je crois pas que s’est les RAW mais des fichiers DNG generé par l’application qui sont moins volumineux.
On peut avoir ce genre de fichier en activant les apercu dynamique dans l’application je crois et ca permet d’avoir un espèce de version offline de ces raw si le HDD et deconnecté.
Le 23/10/2017 à 13h16
Quelqu’un connaît un concurrent sérieux à Lightroom ? Hors de question que je paie un truc avec abonnement.
Le 24/10/2017 à 15h49
Super !
Je ne suis, et ne serait jamais concerné pour les 8 licences que nous avons …
Rien que d’avoir supprimé les bibliothèques locales, c’est une honte.
Mais on peut assez facilement continuer de jouer avec.
Ce qui me rend fou, si j’étais à la place de l’architecte réseau, c’est la place perdu dans les bibliothèques partagées : une forme simple type carré que tu glisses dans la bibliothèque, hop, 2 Mo.
Pourquoi ?
Simple, ça utilise un ai de base, contenant des formes, des nuances, le profil ICC, etc.
Une fois tout supprimé (en éditant l’élément distant en local) avec le script fourni par Adobe (Supprimer les éléments inutiles des panneaux), 45 ko.
C’est plus un ratio de fou pour le stockage… perdu !
Ce principe est aussi valable en local avec toutes les versions précédentes depuis que Illustrator existe.
Un bon ai A4 vierge dans son répertoire AppData est c’est réglé !
Mais non, à quoi ça sert d’optimiser lorsque tu manipules 2000 liens dans un fichiers indd ? A rien voyons :)