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Le ministère de la Culture s’intéresse au marché de l’occasion numérique

Vds MP3 de Georges Moustaki, 431 écoutes, B.E.G.

Le ministère de la Culture s’intéresse au marché de l’occasion numérique

Le 04 juin 2013 à 09h15

Selon nos informations, le ministère de la Culture va lancer prochainement une commission sur le marché de l'occasion numérique. Le détail de ses missions n’est pas encore connu, mais le Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique devrait aborder plusieurs questions épineuses.

redigi

Quelques tarifs d'occasion sur Redigi.

 

Lors de sa dernière réunion, le CSPLA a décidé de poser les premières pierres d’une mission sur le marché de l’occasion numérique. Celui-ci préoccupe déjà les acteurs de l’industrie du jeu vidéo, mais pas seulement. Chargée de conseiller le ministre de la Culture en matière de propriété littéraire et artistique, cette instance consultative est composée en majorité d’ayants droit de l'audiovisuel, de la musique, etc.

 

Dans le secteur musical, la plateforme ReDigi a déjà tenté une percée. Aux États-Unis, elle s’était crue protégée par la doctrine numérique dite de la « première vente » pour lancer son business. Avec elle, en substance, l’ayant droit peut toucher des royalties mais seulement pour la première vente. Saisie par les majors, la justice lui a donné tort pour une raison simple : si outre-Atlantique cette doctrine permet bien la revente d’un livre ou d’un vinyle d’occasion, elle ne joue pas lorsque l’utilisateur vend un MP3 via un intermédiaire en ligne. En effet, l’utilisateur ne vend pas "LE" fichier, mais sa duplication stockée dans ses serveurs puis chez l’acheteur. Nuance.

Cependant, ReDigi n’a jamais caché sa volonté de faire commerce en Europe. Les travaux au ministère de la Culture permettraient d’apporter une réponse avant une possible hémorragie : des morceaux bradés à un niveau inférieur aux prix fixés sur les iTunes et équivalents, sans rétribution pour les ayants droit... Amazon et Apple ont d’ailleurs déposé des brevets dans ces opérations commerciales, anticipant l'avenir des marchés aux puces numériques.

Dans le monde du logiciel, une brèche a déjà été ouverte par la Cour de justice de l’Union européenne. Cette dernière a validé le modèle suivi par la société UsedSoft, celui de la revente de licence : l’acquéreur initial d’un logiciel peut ainsi le revendre en ligne à condition de « rendre inutilisable la copie téléchargée sur son propre ordinateur au moment de la revente. »

Commentaires (32)

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Vu que le dogme des gouvernements est “il faut relancer la consommation” (même si les français n’ont plus d’argent), nous connaissons déjà les résultats de la dite commission.

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dragonmares a écrit :



Mais c’est tout a fait normal que lors de la revente d’une chose en occasion les soit disant “ayant droit” ne touche rien !

Quand on achète quelques choses ça doit nous appartenir tout simplement et après on fait ce qu’on veux avec.

Bien universal va venir de demander des royalties parce que je donnes mes dvd, dc et cassette ou ikea parce que je donne mes meubles à emmaus ?

Qu’ils arretent d’essayer d’enfiler les consommateurs a chaque fois et là je commencerai à les respecter mais tant qu’ils continueront comme ça ça ne risque pas.







+1000



C’était plus que prévisible depuis des années et malgré toutes les mises en gardes des assos. Du coup, c’est aussi tous les marchés de vente d’équipements d’occaz qui risque de soufrir et ses milliers d’emplois.

Mais c’est pas grave, hein, continuons à acheter du dématérialisé….. ça donne du pouvoir et de la légitimité aux majors.


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Un peu HS mais faut quand même le dire… La dictature est là. Sarko était un enfant de choeur…

“Mur des cons” : demande de mise à pied de Clément Weill-Raynal

La direction de France Télévisions a soumis lundi 3 juin au vote des représentants du personnel la mise en œuvre d’une “mesure de mise à pied disciplinaire avec privation de salaire” à l’encontre de Clément Weill-Raynal, le journaliste auteur des images du “mur des cons”, filmées au siège du Syndicat de la magistrature (SM).

lemonde.fr Le Monde

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Stargateur a écrit :



étant donner le principe même de l’informatique la copie d’information je voie pas comment défendre un system d’occasion numérique qui ne souffre pas du vieillissement (en dehors de panne matériel) mais alors comment permettre un droit du commerce la revente d’un bien ?



à part mettre des DRM ultra intrusif je voie pas dans tout les cas pour une fois qu’une commission va peut être servir à quelques choses… ils font peut être trouver une bonne solution moi j’en ais pas en tout cas





Je me fais la meme réflexion en fait.



Nous sommes dans le domaine numérique. Il n’y a pas d’usure d’un produit physique. Pas de cession de matériel lors de la vente. Pas de 1ere ni 2e main. Que de la copie sans perte.



De ce point de vue, il ne devrait meme pas y avoir de concept de “vente d’occasion”

Et d’ailleurs même, à quoi correspond la notion de “1ere vente” en numérique ?



Autant dans le domaine des ventes physiques je peux comprendre.

Autant dans le domaine numérique, j’aimerais qu’on me précise ce qui est vendu avant de me prononcer.


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Bon, aller, je parie que ça va encore finir en “Il est urgent de ne rien toucher !!!”

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tazvld a écrit :



Bon, aller, je parie que ça va encore finir en “Il est urgent de ne rien toucher !!!”







Tant qu’on ne touche pas à thepiratebay =)


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Vous sentez aussi ? ce petit vent des lobbys …



Il serait intéressant de se pencher sur les propositions du CSPLA depuis la DADVSI : une défense systématique des monopoles.

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Natsume a écrit :



Je me fais la meme réflexion en fait.



Nous sommes dans le domaine numérique. Il n’y a pas d’usure d’un produit physique. Pas de cession de matériel lors de la vente. Pas de 1ere ni 2e main. Que de la copie sans perte.



De ce point de vue, il ne devrait meme pas y avoir de concept de “vente d’occasion”

Et d’ailleurs même, à quoi correspond la notion de “1ere vente” en numérique ?



Autant dans le domaine des ventes physiques je peux comprendre.

Autant dans le domaine numérique, j’aimerais qu’on me précise ce qui est vendu avant de me prononcer.





Et donc pour toi on n’aurait pas le droit de revendre ses jeux sur steam, sa musique sur itune ou d’autres ? Le futur fait peur si c’est ça.


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dragonmares a écrit :



Et donc pour toi on n’aurait pas le droit de revendre ses jeux sur steam, sa musique sur itune ou d’autres ? Le futur fait peur si c’est ça.







Mais c’est déjà le cas. Non?


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Je peux pas citer le premier commentaire parce que le lien vers

[Sondage] Êtes-vous tentés par la nouvelle offre Quad Play de Sosh ?

situé dans la colonne de droite entre les bons plans et prix du net déborde sur prix du net et le premier commentaire.



Tout ça pour dire + 1 au commentaire en question, car je crois qu’il dit déjà tout ce qu’il y a à dire.

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HS: quelqu’un sait comment accéder aux travaux du CSPLA ?

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Stargateur a écrit :



je voie pas comment défendre un system d’occasion numérique qui ne souffre pas du vieillissement







Disons que ça ne souffre pas d’usure. Du vieillissement, si.

Les hymnes officiels des star’ac et autres, ça vaut pas grand chose quand ça sort et plus rien du tout 1 mois après.


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chp2 a écrit :



Mais c’est déjà le cas. Non?





Pourquoi ne pas changer ça ?


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dragonmares a écrit :



Et donc pour toi on n’aurait pas le droit de revendre ses jeux sur steam, sa musique sur itune ou d’autres ? Le futur fait peur si c’est ça.







Je n’ai pas dit ça.

Je dis juste que les notions autour de la vente dans le monde physique ne sont pas forcément applicables dans le monde numérique.

Concernant un jeu steam, on achète/vend quoi ? Je n’ai pas de DVD dans mon placard quand j’achète sur steam. Je ne peux pas le prêter à un ami (sauf à lui transmettre mon login/mdp …). Quant à le revendre…







v1nce a écrit :



Disons que ça ne souffre pas d’usure. Du vieillissement, si.

Les hymnes officiels des star’ac et autres, ça vaut pas grand chose quand ça sort et plus rien du tout 1 mois après.





Excellent argument ça. Ca rejoint la loi de l’offre et de la demande, et la concurrence directe avec l’album que les majors continueront de vendre à prix fort 30 ans après malgré tout :/


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Natsume a écrit :



Je n’ai pas dit ça.

Je dis juste que les notions autour de la vente dans le monde physique ne sont pas forcément applicables dans le monde numérique.

Concernant un jeu steam, on achète/vend quoi ? Je n’ai pas de DVD dans mon placard quand j’achète sur steam. Je ne peux pas le prêter à un ami (sauf à lui transmettre mon login/mdp …). Quant à le revendre…





C’est triste mais c’est ce genre de truc qui font que je consomme pas de dématérialisé. C’est comme balancer son argent dans le vent si tu peux pas avoir de retour.


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dragonmares a écrit :



Et donc pour toi on n’aurait pas le droit de revendre ses jeux sur steam, sa musique sur itune ou d’autres ? Le futur fait peur si c’est ça.







Les conditions d’utilisation ont dû faire la part belle au profit, tu penses bien =/


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Mais c’est tout a fait normal que lors de la revente d’une chose en occasion les soit disant “ayant droit” ne touche rien !

Quand on achète quelques choses ça doit nous appartenir tout simplement et après on fait ce qu’on veux avec.

Bien universal va venir de demander des royalties parce que je donnes mes dvd, dc et cassette ou ikea parce que je donne mes meubles à emmaus ?

Qu’ils arretent d’essayer d’enfiler les consommateurs a chaque fois et là je commencerai à les respecter mais tant qu’ils continueront comme ça ça ne risque pas.

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Déjà dredi ?

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étant donner le principe même de l’informatique la copie d’information je voie pas comment défendre un system d’occasion numérique qui ne souffre pas du vieillissement (en dehors de panne matériel) mais alors comment permettre un droit du commerce la revente d’un bien ?



à part mettre des DRM ultra intrusif je voie pas dans tout les cas pour une fois qu’une commission va peut être servir à quelques choses… ils font peut être trouver une bonne solution moi j’en ais pas en tout cas

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Ah ces majors….

Pascal Nègre, non content de faire la sortie des cimetières pour vendre ses produits estampillés “Univers Sale” va maintenant nous traquer dans les brocantes et les marchés aux puces pour nous faire payer si jamais on a le malheur d’acheter un disque d’occasion ? Ne riez pas, il en est capable le bougre… Après tout, il lui faut bien du fric pour payer ses costards qui font plus peur que ses déclarations.

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dragonmares a écrit :



C’est triste mais c’est ce genre de truc qui font que je consomme pas de dématérialisé. C’est comme balancer son argent dans le vent si tu peux pas avoir de retour.





Notons que le monde des logiciels a apporté une réponse à cette question.

On n’achète pas le logiciel, qui reste propriété de son éditeur/etc. mais une licence d’utilisation, qui peut être à son tour cédée à un tiers, ou non suivant les fameux CLUF que personne ne lit <img data-src=" />



Une piste pour la musique ?



L’autre problème est beaucoup plus profond.

l’industrie musicale joue (et abuse) sur deux tableaux.




  1. Elle veut devenir le plus riche possible, ce qui est le domaine du business, et vient avec loi de l’offre et de la demande, et concurrence non faussée.

  2. Elle produit des oeuvres culturelles, domaine qui n’a RIEN à voir avec le pognon, et qui vient avec la notion d’auteur de l’oeuvre : un auteur peut céder des droits d’exploitation, mais personne ne peut lui retirer la paternité de l’oeuvre.



    Elles veulent faire le plus de business possible, mais abusent des protections du droit d’auteur pour interdire aux autres l’accès à ce business… type mismatch, fatal error.

    Ca tenait peut etre dans les années 80. Mais plus à l’ère numérique.



    Reste à trouver un politique qui aura les corones de tout remettre à sa place.


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Horrza a écrit :



Un peu HS mais faut quand même le dire… La dictature est là. Sarko était un enfant de choeur…

“Mur des cons” : demande de mise à pied de Clément Weill-Raynal

La direction de France Télévisions a soumis lundi 3 juin au vote des représentants du personnel la mise en œuvre d’une “mesure de mise à pied disciplinaire avec privation de salaire” à l’encontre de Clément Weill-Raynal, le journaliste auteur des images du “mur des cons”, filmées au siège du Syndicat de la magistrature (SM).

lemonde.fr Le Monde





Je te signale direct, encore une fois tu raconte du vent!


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dragonmares a écrit :



C’est triste mais c’est ce genre de truc qui font que je consomme pas de dématérialisé. C’est comme balancer son argent dans le vent si tu peux pas avoir de retour.







ah bon ?

tu vas jamais au cinéma, tu prend jamais les transports en commun ?


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linkin623 a écrit :



Je te signale direct, encore une fois tu raconte du vent!





Tu aurais pu le faire sans le citer.


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Winderly a écrit :



Tu aurais pu le faire sans le citer.





Pour qu’il sache que ça vient de moi



edit : ptre fallu que je vide le commentaire <img data-src=" />


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Stargateur a écrit :



étant donner le principe même de l’informatique la copie d’information je voie pas comment défendre un system d’occasion numérique qui ne souffre pas du vieillissement (en dehors de panne matériel) mais alors comment permettre un droit du commerce la revente d’un bien ?



à part mettre des DRM ultra intrusif je voie pas dans tout les cas pour une fois qu’une commission va peut être servir à quelques choses… ils font peut être trouver une bonne solution moi j’en ais pas en tout cas





J’avais plutôt à l’idée la limitation de la revente à partir de quelques mois après la sortie en commerce du bien, une fois que le temps de vente logique du produit est dépassé (c’est pas si déconnant en fait <img data-src=" />)


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Natsume a écrit :



Je me fais la meme réflexion en fait.



Nous sommes dans le domaine numérique. Il n’y a pas d’usure d’un produit physique. Pas de cession de matériel lors de la vente. Pas de 1ere ni 2e main. Que de la copie sans perte.



De ce point de vue, il ne devrait meme pas y avoir de concept de “vente d’occasion”

Et d’ailleurs même, à quoi correspond la notion de “1ere vente” en numérique ?



Autant dans le domaine des ventes physiques je peux comprendre.

Autant dans le domaine numérique, j’aimerais qu’on me précise ce qui est vendu avant de me prononcer.







+1, il faut savoir ce qui est vendu pour savoir ce qu’on peut en faire.



Et en ce qui concerne la musique numérique, il me semble que ce qui est vendu n’est pas le fichier, mais un droit de copie du fichier. Quand Mr X paie 1€ à Apple, Apple laisse Mr X réaliser une copie du fichier original présent sur les serveurs d’iTunes. Du coup Mr X a obtenu légalement (la copie est réalisée en accord avec les ayants droits, accords Apple/Universal & co) un fichier audio et peut donc l’utiliser pour son usage personnel (écoute, copie privée, …). Mais il ne peut pas revendre ce fichier, car tout ce qu’il peut faire c’est fournir une copie de son fichier, or cette copie n’est pas autorisée par les ayant droits, donc illégale (contre-façon).



Ce problème n’existait pas sur les support physique, puisque quand on revend un CD on revend la copie originale ( on ne crée pas une nouvelle copie).



Pour les logiciels c’est encore différent puisque ce qui est acheté est une licence d’utilisation, le logiciel fourni n’est que le moyen d’exploitation de cette licence. Donc lorsqu’on revend un logiciel, on revend la licence. Et c’est là que le jugement de la CJUE est intéressant, c’est qu’il dit qu’à partir du moment où la licence a été vendue, peut importe les conditions et clauses de celle-ci, celui qui possède cette licence peut en faire ce qu’il veut et surtout la revendre à qui bon lui semble.


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chp2 a écrit :



+1000



C’était plus que prévisible depuis des années et malgré toutes les mises en gardes des assos. Du coup, c’est aussi tous les marchés de vente d’équipements d’occaz qui risque de soufrir et ses milliers d’emplois.

Mais c’est pas grave, hein, continuons à acheter du dématérialisé….. ça donne du pouvoir et de la légitimité aux majors.





oui +10 000



a ce sujet je viens d’acheter le dernier Daft punk (bof en passant) et j’ai eu la joie et le plaisir de toucher jaquette .. le CD !

cela faisait tellement longtemps …

Pour moi les itunes store et autre connerie : sans façon , on s’est trop fait avoir sur ce coup !



Mon cd dvd je le prêterai à qui je veux.


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Chargée de conseiller le ministre de la Culture en matière de propriété littéraire et artistique, cette instance consultative est composée en majorité d’ayants droit de l’audiovisuel, de la musique, etc.



Désolé Marc. J’arrête la lecture de l’article ici, pas besoin d’aller plus loin.<img data-src=" />

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Stargateur a écrit :



étant donner le principe même de l’informatique la copie d’information je voie pas comment défendre un system d’occasion numérique qui ne souffre pas du vieillissement (en dehors de panne matériel) mais alors comment permettre un droit du commerce la revente d’un bien ?



à part mettre des DRM ultra intrusif je voie pas dans tout les cas pour une fois qu’une commission va peut être servir à quelques choses… ils font peut être trouver une bonne solution moi j’en ais pas en tout cas





Tout à fait d’accord. À partir du moment où il est possible de trivialement faire des copies d’un produit, utilisables sans difficulté même après cession de la licence d’utilisation, il y a une forme de préjudice. La position exprimée de la Cour de justice de l’Union européenne me semble plutôt de ce point de vue-là équilibrée.



Mais donc rares sont les produits numériques disponibles à l’heure actuelle concernés par celle-ci. À vrai dire, hormis les jeux sur Steam ou équivalent… L’initiative du ministère de la Culture me semble ici une bonne chose, à condition qu’au terme de la consultation on ait des réponses claires aux deux questions suivantes :

1 - Quelles sont les conditions dans lesquelles une cession est possible ?

2 - Pour les cas où le distributeurs gardent tout contrôle sur les copies qu’ils vendent, seront-ils obligés de devoir mettre en place des outils permettant la cession de droits d’utilisation ?


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En effet, l’utilisateur ne vend pas “LE” fichier, mais sa duplication stockée dans ses serveurs puis chez l’acheteur. Nuance.





C’est dingue qu’en 2013 la vieille-garde en soit encore à rêver que les règles du marché physique s’applique au marché numérique.



Perso, je n’achète pas de mp3 mais seulement les ondes sonores émises par mes HP. <img data-src=" />

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Kakuro456 a écrit :



Vu que le dogme des gouvernements est “il faut relancer la consommation” (même si les français n’ont plus d’argent), nous connaissons déjà les résultats de la dite commission.







Le gouvernement ne veut pas relancer la consommation.

l’autre veut juste assurer ses 55K€ de salaire mensuel en ouvrant au dernier sang les francais.

Il faut bien alimenter Negre,les Majors et cahusac.

Et si ce n’est lui,ce sera un autre vampire.


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