La Hadopi dévoile son étude sur le jeu vidéo protégé
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Le 30 octobre 2013 à 10h21
7 min
Droit
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Dans son rapport intitulé « Étude sur le jeu vidéo protégé » (pdf), basé sur l'enquête réalisée par l'institut GfK, la haute autorité cherche à définir les divers archétypes des joueurs et de comprendre leur attitude vis-à-vis des offres légales et illégales.
La première donnée sautant aux yeux cette étude concerne le ressenti des adeptes des loisirs vidéoludiques concernant l'importance de l'achat d'un jeu. 86 % des répondants sont d'accord pour dire qu'en achetant un jeu vidéo ils contribuent à son succès et à la réalisation de nouveaux épisodes. 94 % considèrent également qu'un vrai travail de création se cache derrière chaque titre.
Toutefois, tous les titres n'ont pas la chance d'être considérés ainsi, et les jeux sur mobiles seraient « sans véritable valorisation ni statut autre que celui de passe-temps jetable», leurs créateurs apprécieront. A contrario, les joueurs semblent plus enclins à bourse délester quand ils perçoivent qu'un jeu propose une certaine valeur créative.
Une donnée manque cependant à cette étude, il n'est pas question du taux de personnes se procurant leurs jeux de manière illégale par rapport à ceux passant régulièrement à la caisse. Alors que certains éditeurs affirment que seuls 7 % des joueurs sur PC payent pour leurs titres, il aurait été très intéressant de confronter ce genre de déclarations à la dure réalité. On apprendra seulement que « la phase qualitative a montré des pratiques illicites minoritaires par rapport au nombre de jeux joués »
Pourquoi pirate-t-on les jeux vidéo ?
« Plus de 70 euros franchement c’est de l’abus », la phrase est ressortie du côté de nombreux joueurs lors de l'étude mandatée par la Hadopi. Celle-ci fait très largement écho aux dernières déclarations de John Riccitiello, l'ancien PDG d'Electronic Arts pour qui « sortir un jeu à 60 dollars, c'est dire à des tas de gens d'aller se faire foutre ».
Les questions de coût motivent 72 % des joueurs s'étant déjà procuré un jeu de manière illicite. Pour 42 % d'entre eux, ils sont tout simplement trop chers, pour 37 % du panel « on ne peut pas tout acheter » et 32 % n'ont tout simplement pas envie de payer pour certains jeux. La non disponibilité d'une offre légale adaptée ressort également chez 62 % des personnes interrogées. L'absence de démo jouable et la non disponibilité d'un jeu en occasion font d'ailleurs partie des facteurs les plus importants.
Les joueurs ne se préoccupent pas des DRM/MTP
« Je regarde les graphismes, le gameplay, mais sincèrement le système de protection, non. Et puis ce n'est pas à moi de m'en préoccuper, le jeu doit marcher, point-barre », voilà ce qu'il ressort de l'étude de la haute autorité. Les joueurs ne tiennent pas compte des mesures de protection mises en place par les éditeurs, à condition que cela ne nuise pas à leur expérience de jeu.
Parmi les contraintes refusées en bloc par les joueurs, on retrouve celles concernant la revente des jeux d'occasion, celles concernant la possibilité de prêter leurs titres ainsi que la nécessité d'une connexion permanente dans le cadre de jeux jouables en solo, notamment sur consoles. Un message que les éditeurs ont certainement tout intérêt à retenir.
Hadopi et le jeu vidéo, une longue histoire
Pourquoi une telle étude ? Depuis des mois déjà, la Hadopi s’intéresse ainsi au secteur du jeu vidéo. L’an passé, dans les documents budgétaires annexés au projet de loi de finances pour 2013, la Rue de Texel ne cachait pas sa volonté de déployer ses ailes du côté du monde vidéoludique (notre actualité).
Dans ces pièces budgétaires, la Hadopi faisait état de son nouveau système d’information, en route depuis août 2012, capable de traiter l’ensemble des 125 000 « incidents » dénoncés par les ayants droit via TMG. Mais elle annonçait également l’arrivée d’un futur nouvel entrant, en plus des acteurs de la musique et de l’audiovisuel : les éditeurs de jeux vidéo. Pour l’année 2013, la Hadopi anticipait ainsi l’envoi de 1,1 million de recommandations, chiffrés gonflés «grâce au nouveau système d’information ainsi que, notamment, pour traiter les saisines en provenance éventuelle d’un nouvel ayant droit (jeu vidéo) ».
Dans sa houleuse histoire, la Hadopi a démultiplié dans le passé les signaux vers le monde des petits ou gros pixels. En avril 2013, par exemple, la Hadopi lançait un appel d’offres, dont est sûrement fruit l’actuelle étude, visant à jauger « le rapport des joueurs de jeux vidéo à la création de jeux vidéo et des droits y afférents ». Elle mettait ainsi jusqu’à 50 000 euros sur la table pour cette étude disposant d’un volet qualitatif et quantitatif.
Au Sénat, alors que menaçait l’amendement Assouline sur le transfert de la riposte graduée au CSA, le régulateur de l’audiovisuel, Marie-Françoise Marais, président de la Hadopi soulignait encore que « les missions de l’Hadopi portent non seulement sur la vidéo et la musique, mais aussi la photographie, le logiciel, le jeu vidéo, le livre numérique. Ces secteurs sont confrontés à des problématiques diverses et spécifiques. Ils doivent faire l’objet d’une expertise et d’un traitement différencié. »
Fin 2012, le SELL, syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs, qui rassemble les gros acteurs du secteur, avait cependant laissé planer le doute sur sa participation au mécanisme de la riposte graduée. S’il admettait devant la mission Lescure « avoir travaillé avec la haute autorité au regard du champ d’application du texte », déduisant clairement que « le jeu vidéo est concerné », Marc Mossé, admettait simplement « réfléchir » au processus. Le directeur des affaires publiques et juridiques de Microsoft France ajoutait cependant « que la première dimension est de favoriser l’offre légale », précisant que « lorsqu’il il s’agit de répression [il ne faut pas] oublier le volet de l’éducation, préférable avant de sortir le bâton. »
Le SELL s’était déjà plaint en juin 2010 du coût du dispositif de surveillance : « pour surveiller 100 titres et collecter 25 000 adresses par jour, la facture s’élève à 35 000 euros par mois, soit 420 000 euros par an. C’est beaucoup et on veut être certain que l’Hadopi traitera ensuite toutes les demandes ». Autant dire que le déploiement de son nouveau système d’information et ce genre d'études, remplit la Hadopi de l’espoir de charmer ces nouveaux acteurs. Plus les branches de la création s’intéresseront à ce mode de régulation, plus celui-ci pourra s’inscrire dans le paysage alors que les menaces planent selon le rythme des échéances électorales.
La Hadopi poursuit malgré tout ses travaux.
Outre l'étude dévoilée aujourd'hui, la Hadopi a ainsi labellisé 6 services dédiés au jeu vidéo et au logiciel, chiffre resté stable entre juin 2012 et 2013. « Le faible engouement des éditeurs et distributeurs pour la labellisation s’explique sans doute par un besoin moins avéré d’affirmer le caractère légal de leurs offres » écrit-elle dans son dernier rapport annuel.
En mai 2013, lors de l’initiative « Versailles au fil du Net », la Haute Autorité a encore animé un atelier de sensibilisation « au jeune public sur les usages responsables sur Internet et l’offre légale dans le cadre du festival du jeu vidéo organisé à « Cybersailles », dans la maison de quartier Bernard-de-Jussieu. »
La Hadopi dévoile son étude sur le jeu vidéo protégé
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Pourquoi pirate-t-on les jeux vidéo ?
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Les joueurs ne se préoccupent pas des DRM/MTP
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Hadopi et le jeu vidéo, une longue histoire
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La Hadopi poursuit malgré tout ses travaux.
Commentaires (74)
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Abonnez-vousLe 01/11/2013 à 09h22
Le 01/11/2013 à 10h55
Le 01/11/2013 à 17h18
À propos des prix des jeux à l’époque megadrive/snes j’avais en partie raison mais surtout tort.
J’ai vérifié et j’achetais bien mes jeux à 200 F environ.
Mais oh surprise, les jeux coutaient de 300 F à 450 F en moyenne.
Je profitais surement d’une réduction d’une manière ou d’une autre, que j’ai oubliée.
Le 30/10/2013 à 13h38
Le 30/10/2013 à 13h40
Le 30/10/2013 à 13h43
Les joueurs ne se préoccupent pas des DRM/MTP
A partir du moment où il faut Uplay ou origine, je n’achète pas (que le jeu soit bien ou pas).
Le seul DRM que je garde c’est Steam même si des fois il me fais quand même bien ch…
Le 30/10/2013 à 13h43
Le 30/10/2013 à 13h48
Ma consommation :
Je télécharge le jeu, je joue un peu avec,j’adore, j’attends qu’il soit moins cher pour l’acheter ou j’achète s’il est correct niveau prix (Comme Outlast)
Je télécharge le jeu, je joue avec, il ne me branche pas plus que ça, je n’y joue plus et n’achète pas.
Après les jeux exclu multi, je les achète généralement à leur sortie en le cherchant moins cher sur des site de vente de clé (Par ex Battlefield 4+dlc acheté aujourd’hui à 37,90€, c’est quand même moins cher (il était à 34,99€ il y a 1 semaine).
En gros je télécharge et j’achète ce qui me plait.
Le 30/10/2013 à 13h55
Le 30/10/2013 à 14h03
" /> La miniature !!
On avait dit : plus d’images de MFM " />
Le 30/10/2013 à 14h33
Le 30/10/2013 à 14h40
Le 30/10/2013 à 14h53
Le 30/10/2013 à 15h08
Le 30/10/2013 à 15h16
Le 30/10/2013 à 15h29
Le 30/10/2013 à 15h52
Le 30/10/2013 à 16h13
Le 30/10/2013 à 10h31
Plus de 70 euros pour un jeux console c’est franchement de l’abus
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Le 30/10/2013 à 10h32
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Le 30/10/2013 à 10h35
oui enfin l’histoire du prix c’est une excuse bidon, il suffit d’attendre 3-6 mois et l’on trouve les jeux bien moins cher, d’occas ou neuf en gb par exemple.
Le 30/10/2013 à 10h38
Une donnée manque cependant à cette étude, il n’est pas question du taux de personnes se procurant leurs jeux de manière illégale par rapport à ceux passant régulièrement à la caisse. Alors que certains éditeurs affirment que seuls 7 % des joueurs sur PC payent pour leurs titres
Mais bien sûr, c’est vrai que Steam est en faillite, en ne citant que lui.
Mais bon, on prend jamais en compte les stats du dématérialisé, tout ça pour dire.
“Voyez, les jeux PC ne se vendent pas, donc il y a 93% de typiak”
Enfin bon c’est le chiffre magique sorti de nul part.
Le 30/10/2013 à 10h41
Le 30/10/2013 à 10h42
Le 30/10/2013 à 10h46
Le PDF de la Hadopi est plutôt correcte et représentatif des joueurs en tout cas.
Reste à voir interprétation qu’il sera fait et les éléments mise en avant par les politique.
J’aime beaucoup la mise en avant du jeu en tant “Oeuvre” car, elle fais appelle à tout un tas de compétence et de corps de métier, allant du musicien au programmeur en passant par l’ergonome et le graphiste.
Le 30/10/2013 à 10h48
Le SELL s’était déjà plaint en juin 2010 du coût du dispositif de surveillance : « pour surveiller 100 titres et collecter 25 000 adresses par jour, la facture s’élève à 35 000 euros par mois, soit 420 000 euros par an. C’est beaucoup et on veut être certain que l’Hadopi traitera ensuite toutes les demandes ».
Merci pour le chiffrage, on sait maintenant combien la partie “milice privée” coûte réellement au contribuable…
…et on peut en déduire combien le reste de la Hahahadopi se met dans les poches !
" />" />" />" />" />
Le 30/10/2013 à 10h48
Le 30/10/2013 à 10h49
Le 30/10/2013 à 10h52
Le 30/10/2013 à 10h53
Le 30/10/2013 à 11h01
Le 30/10/2013 à 11h01
« Je regarde les graphismes, le gameplay, mais sincèrement le système de protection, non. Et puis ce n’est pas à moi de m’en préoccuper, le jeu doit marcher, point-barre »
Je suis plus que d’accord avec ça, je rajoute que je me tape de leurs excuses qui ne valent rien.
Le 30/10/2013 à 11h04
N’empêche que le jeu vidéo rassemble à peu prêt tout ce qui fait les arts : le dessin/la peinture, le cinéma/la photo, la musique, l’architecture, la littérature …
Ça fait réfléchir quand même vu le nombre de compétences nécessaires à la réalisation d’une œuvre vidéo ludique.
Le 30/10/2013 à 11h06
Le 30/10/2013 à 11h06
Le 30/10/2013 à 11h10
Le 30/10/2013 à 11h18
Le 30/10/2013 à 11h22
Le 30/10/2013 à 11h27
sans parler des add-ons, dlc et autres joyeusetés qui font que le jeu complet au final coute 100€ minimum (avec encore des tas de bug)
Le 30/10/2013 à 11h31
Le 30/10/2013 à 11h39
Le 30/10/2013 à 11h41
Le 30/10/2013 à 11h41
Pour ma part, 60€ pour un jeu je suis pret à les débourser si c’est pour un jeu exceptionnel en version collector (donc avec de zolis bonus inclus dans la boite)
J’avais acheté toutes les collector de GuildWars 1er du nom, malgré leurs 60-70€.
Et pour GW2, patatras : collector à 150€, foutage de gueule, adieu GW2. Je n’y ai meme pas mis les pieds.
Contre exemple, un jeu PC “standard” vendu 60€ avec… juste une galette de plastique dans la boite et un livret de deux pages expliquant comment insérer le DVD dans le lecteur…
Foutage de gueule.
Où sont les boites style Civilization et leur manuels de 100+ pages livrés avec les éditions STARDARD ?
Si la version boite n’apporte rien de plus qu’une version steam (par exemple), aucun interet. Autant attendre les promos steam.
Le 30/10/2013 à 11h46
Ah tiens… encore une etude avec nos impots…
Le 30/10/2013 à 11h48
Toutefois, tous les titres n’ont pas la chance d’être considérés ainsi, et les jeux sur mobiles seraient « sans véritable valorisation ni statut autre que celui de passe-temps jetable», leurs créateurs apprécieront.
Il n’y a que la vérité qui blesse. " />
ou pour des jeux anciens, de jeux spécifiques introuvables sur le marché français
le recours au téléchargement illicite est alors considéré comme légitime et pleinement justifié
Évidemment !
Si il y a de la demande et que l’offre suit pas que se passe-t-il dans 100 % des cas ?
Le demandeur va voir ailleurs.
Ça n’a rien de difficile à comprendre.
Woah les commentaires de certains concernant GTA font peur :
tu es dedans, tu t’y crois tellement c’est bien fait
plus de 70 € c’est de l’abus
Je l’ai déjà dit, il n’y a que la vérité…
Et encore perso, je trouve que 30 € font déjà mal au cul.
" /> Une étude commandée par la hadopi qui dit pas n’importe quoi.
Je suis choqué.
La Hadopi poursuit malgré tout ses travaux.
C’est ce qu’elle a toujours fait, comme ses créateurs.
Le 30/10/2013 à 17h22
Tu peux arrêter de systématiquement mettre un lien vers ton site a chaque news sur Hadopi et consort ?!
Merci " />
Le 30/10/2013 à 18h26
Le 30/10/2013 à 18h58
Bon filtré, ma patience a des limites.
Le 30/10/2013 à 19h01
Le 30/10/2013 à 19h06
Le 30/10/2013 à 19h39
Le 30/10/2013 à 19h47
Le 31/10/2013 à 10h07
Le 31/10/2013 à 11h09
Le 31/10/2013 à 22h43
Arxxx on a pas besoin que tu balance à chaque news Hadopi ton avis.
Ton article date de 2011, tu l’as recopié pour qu’il soit daté de 2013, on s’en cogne.
Tout le monde ici ne poste pas son blog, tu es le seul à faire ça systématiquement.
Si c’est pour alterner :
Voici mon blog / [insultes diverses & variés] on a pas besoin de ton avis " />
Désolé pour ceux qui l’ont filtré, je l’ai ban, du coup il reviendra sous un autre nick " />
Le 31/10/2013 à 23h29
note : si les pauvres types de pcinpact arrêtaient un peu de me censurer, ça me faciliterait la vie, tas d’idiots
Le 01/11/2013 à 00h01
Le 01/11/2013 à 00h24
Le 30/10/2013 à 11h51
Qu’un éditeur de jeu fricote avec l’Hadopi et je le boycott direct " />
Le 30/10/2013 à 11h53
je suis choqué, une étude qui reflete le comportement que j’ai pu observer ces dernieres années
Le 30/10/2013 à 12h07
Pour ma part, 60€ pour un jeu je suis pret à les débourser si c’est pour un jeu exceptionnel en version collector (donc avec de zolis bonus inclus dans la boite)
J’avais acheté toutes les collector de GuildWars 1er du nom, malgré leurs 60-70€.
Et pour GW2, patatras : collector à 150€, foutage de gueule, adieu GW2. Je n’y ai meme pas mis les pieds.
Contre exemple, un jeu PC “standard” vendu 60€ avec… juste une galette de plastique dans la boite et un livret de deux pages expliquant comment insérer le DVD dans le lecteur…
Foutage de gueule.
Où sont les boites style Civilization et leur manuels de 100+ pages livrés avec les éditions STARDARD ?
Si la version boite n’apporte rien de plus qu’une version steam (par exemple), aucun interet. Autant attendre les promos steam.
+1 à l’ancienne on avait des centaines d’heure sur un jeu possible.
il y avait de vrai scenario pour le solo et une re-jouabilité incroyable.
c’était l’époque des éditeurs fournis et des communautés addicts. (mod, New maps..)
je n’ai que 20 ans et je me sens déjà vieux… " />
on est tellement loin de toute cette époque… " />
Le 30/10/2013 à 12h08
Je regarde les graphismes, le gameplay, mais sincèrement le système de protection, non.
Même quand il plombe les perfs du jeu ?
Ca doit être un consoleux, pas un pciste “hardcore”. T’achètes pas une pc à 1000€ pour avoir l’équivalent d’une machine moitié prix à cause de leur drm à la con qui nuit très fortement à l’expérience de jeu.
Il parle de la màj de suppression du drm de The Witcher 2 et du très fort constrate avant/après dans l’étude ?
Le 30/10/2013 à 12h15
Moi je n’ai jamais pourquoi certains jeux n’autorise que 10 activations alors que la clé est attaché au compte du joueur.
Le 30/10/2013 à 12h18
Le 30/10/2013 à 12h25
Le 30/10/2013 à 12h38
Encore une étude de l’Hadopi qui tombe à pic " />
Le 30/10/2013 à 12h39
70€ du foutage de gueule? Certes c’est chères mais bon déjà y a 20 ans les jeux vidéo à l’époque des NES/SNES/Master System/MegaDrive…. valait 500 francs donc bon au final le prix n’a pas vraiment augmenté ou diminué.
La différence est dans la masse de JV qui sortent et leur contenu de base qui est souvent amélioré au fil du temps par des DLC payant.
Le 30/10/2013 à 12h49
En ce qui me concerne, le respect du consommateur ça n’est pas négociable, tout comme le fait que, pour me donner des leçons de morale et de respect, il faut être soi-même irréprochable de ce côté là, ce qui n’est absolument pas le cas des 3⁄4 de l’industrie du jeu vidéo actuelle (surtout sur PC) qui n’est mue que par le cynisme et une cupidité sans borne (hors petits studios indé of course) ce qui, pour rappel, a d’ailleurs valu à Microsoft et sa xbox 180 une belle déculotté de la part du consommateur qui, sur console, refuse d’être pris pour un jambon, comme c’est malheureusement le cas sur PC. " />
Si l’industrie du jeu vidéo s’imagine que je suis assez con pour lui filer 50€, alors qu’elle me méprise avec ses DRM privateurs (qui ne pénalisent à chaque fois que celui qui achète) qui m’interdisent de prêter, donner, ou revendre, voir même tout simplement de jouer aux jeux que j’ai pourtant payés, avec le fruit de mon travail, qui n’a visiblement pas grande valeur pour les éditeurs/distributeurs , comme c’est le cas avec steam, et ses clauses abusives, qui vous interdit tout accès votre bibliothèques de jeux, si vous refusez ses conditions d’utilisation, et bien elle se fourre méchamment le doigt dans l’oeil.
Bref vive le jeu indé, vive le free DRM (et vive la class action " />)…
Le 30/10/2013 à 13h03
Le 30/10/2013 à 13h05
Le 30/10/2013 à 13h16
Le 30/10/2013 à 13h19
Le 30/10/2013 à 13h30
Le 30/10/2013 à 13h37