Un mois avec un PC Copilot+ équipé d’un Snapdragon X
Oh, surprise !
Nous nous posions la question : peut-on utiliser quotidiennement une machine Windows on Arm, après tant d’années de déboires chez Microsoft ? J’ai passé un mois sur un PC Copilot+ prêté par l’entreprise. Si tout n’est pas parfait (loin de là), la situation a radicalement évolué avec la dernière génération de machines équipées de Snapdragon X. Retour d’expérience.
Le 25 octobre à 09h02
15 min
Hardware
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Les initiatives de Microsoft dans l’univers de l’architecture Arm ont longtemps été des échecs retentissants. La première vraie grosse tentative remonte à l’époque de Windows 8. Un peu plus récemment, Microsoft avait retenté l’aventure avec une nouvelle vague, dont la Surface X. À chaque fois, les deux mêmes problèmes revenaient en première ligne : le manque de performances et une bibliothèque logicielle anémique. À l’époque de Windows 8, aucun navigateur tiers ne disposait par exemple de version Arm.
Depuis juin, avec les machines estampillées Copilot+, l’entreprise tente à nouveau l’aventure. Cette fois, les planètes semblent bien plus alignées : une nouvelle génération de puces Qualcomm, des quantités de mémoire plus généreuses et surtout plusieurs années à motiver les éditeurs pour qu’ils publient des versions compatibles Arm.
Avec la rédaction, nous nous sommes donc posés la question : est-ce utilisable confortablement au quotidien ? J’ai ainsi proposé de passer un mois sur une de ces machines pour en écrire un compte rendu.
La machine
J’ai demandé à Microsoft de me prêter un ordinateur correspondant à l’usage dont j’avais besoin : une puissance raisonnable et un écran 15 pouces. L’idée était d’y passer (presque) tout mon temps, que ce soit pour le travail ou les loisirs.
La machine envoyée par Microsoft est le dernier Surface Laptop Copilot+ en version 15 pouces. Question puissance, j’ai été servi, puisque le Snapdragon X fourni est une version Elite 12 cœurs, épaulée par 32 Go de mémoire et 1 To de SSD. L’écran est tactile et HDR, la connectique comprend deux ports USB-C et un port USB-A, il y a bien une prise casque (jack 3,5 mm), la caméra intégrée est en 1080p, on a du Wi-Fi 7, etc. Une machine vendue 2 500 euros.
Dès les premières heures, le constat s’est imposé : la machine est rapide, très rapide. Initialement, je ne comptais pas faire de benchmarks, tant la sensation de vitesse est présente partout. Il s’agit d’une grosse configuration, donc il ne faut pas s’attendre à retrouver de telles performances sur tous les PC Copilot+, mais on sent que le Snapdragon X Elite en a sous le pied. On a rapidement envie d’installer toutes ses applications pour vérifier ce qu’il a dans le ventre.
Dans les jours qui suivent, un autre grand constat s’impose vite : l’autonomie est excellente. Microsoft pointe 22 h en lecture vidéo et 15 h en navigation web. Dans l’immense majorité du temps passé sur la machine, j’ai utilisé cette machine pour le travail. Il s’agissait donc surtout de navigation web, de rédaction (dans Word) et de quelques autres applications (nous y reviendrons). En moyenne, la machine me permettait de travailler un jour et demi avant de tomber à sec, soit environ 15 à 16 heures. Précisons d’ailleurs que le chargeur de 65 W est muni d’une prise magnétique se connectant à un port spécifique. Elle n’occupe donc pas un port USB-C. Un équivalent maison du Magsafe, qu’Apple avait d’ailleurs abandonné un temps, avant d’y revenir. Comptez deux bonnes heures pour une recharge complète.
Voici à titre indicatif les scores obtenus sur Geekbench 6.3.0 :
- Single-Core : 1 649
- Multi-Core : 12 738
- OpenCL : 19 031
- Vulkan : 22 934
Des défauts agaçants
Ce Surface Laptop a d’indéniables qualités, dont celle de sa fabrication, très « premium ». Elle n’est pas exempte de défauts cependant. Plusieurs points sont apparus plus ou moins problématique au cours de ces quelques semaines. Le son, par exemple, est de bonne facture pour un ordinateur portable. Cependant, il passe à travers le clavier. Si le rendu est convaincant (toutes proportions gardées), le fait d’utiliser le clavier provoque des variations de rendu, les mains perturbant par leur présence les ondes sonores. Écouter de la musique pendant que je travaillais a fini par devenir pénible.
Dans mon cas, l’écran tactile n’a pas servi. Ce n’est pas directement un défaut du Surface Laptop. Mais une version non tactile aurait pu être proposée, moins onéreuse. En l’état, si l’on souhaite simplement un ordinateur portable rapide et endurant pour un usage classique, ce composant ne sert pas. Le tactile de cette machine est en revanche très réactif, même si je n’ai pas senti le besoin de tendre la main pour toucher l’écran, quand la souris ou le touchpad (particulièrement réussi !) permettent d’en faire autant en ayant le bras posé sur le bureau.
Signalons également des surprises pas toujours agréables avec la veille. Parfois, après avoir rabattu l’écran, des notifications se faisaient encore entendre. D’autres fois, le rouvrir provoquait l’affichage de l’écran verrouillé, sans aucun contrôle. Seul un Ctrl + Alt + Suppr permettait d’afficher le champ du code PIN (la machine est bien sûr compatible Windows Hello et peut ouvrir la session par reconnaissance faciale). En cas de veille prolongée (machine refermée et batterie passant sous les 20 %), il fallait à Windows 11 un long moment pour se relancer.
Puisque l’on parle de Windows, on ne comprend pas bien pourquoi cette machine, dans toutes ses configurations, est vendue avec une édition Familiale. Une machine vendue 2 500 euros devrait avoir une édition Professionnelle. C’est d’autant plus étonnant que l’on ne peut même pas choisir l’édition au moment de l’achat.
À l’assaut du logiciel
En dépit de ces quelques défauts, le Surface Laptop Copilot+ est une machine agréable à utiliser. Il me tardait donc de savoir à quelle sauce j’allais être mangé dans l’utilisation quotidienne. Car cela impliquait d’installer de nombreuses applications. Or, les PC Copilot+ de Microsoft ne sont fournis qu’avec des SoC Snapdragon X, donc avec une architecture Arm. Le parc logiciel est-il prêt ?
Au risque de surprendre certains d’entre vous, il l’est en grande partie. J’ai été surpris par la quantité de logiciels disposant d’une version compilée en arm64. Pour mon environnement professionnel, je n’ai pas besoin d’un très grand nombre d’applications. Je me sers de Firefox et d’Office principalement, tous deux étant disponibles en Arm et sur le Microsoft Store. J’ai également besoin d’un client VPN pour me connecter au réseau de l’entreprise. Aucun problème, Wireguard est compatible. Même chose pour Mattermost et le toujours très bon Paint.net.
Les performances des applications compilées en arm64 sont excellentes. On sent qu’il s’agit de logiciels natifs, sans émulation. Tout est rapide et réactif. Il en va de même pour d’autres applications installées au fur et à mesure que j’étendais mon utilisation personnelle de la machine : 7-Zip (WinRAR aussi), Spotify, WhatsApp, Vivaldi, PowerToys, VLC, TeamViewer…
Tant que l’on reste dans les applications natives, tout va bien. La puce Snapdragon X est particulièrement puissante sur la partie CPU. Le quotidien sur la partie travail a été agréable et on « vole » d’une application à une autre sans jamais devoir attendre. Si l'on passe par le Microsoft Store, on est presque assuré d'avoir une application compatible arm64, mais ce n'est pas une garantie. D'ailleurs, il est assez difficile de savoir concrètement quand une application est native ou émulée. En outre, Windows se permet de nous avertir quand une application est installée depuis ailleurs que le Store. Un fonctionnement similaire aux Mac.
Les sentiers moins battus
Même si l’on est surpris par la quantité d’applications disposant d’une version arm64, on sait bien qu’il va arriver un moment où l’émulation se rappellera à notre bon souvenir. Ici, elle survient quand une application n’a été compilée que pour l’architecture x86 (x86-64, anciennement AMD64, pour être précis). Le cœur de la machine étant un Snapdragon, x86 doit être émulée, en l’occurrence par un composant nommé Prism. La problématique est identique à ce que nous avions relevé lors de notre retour d’expérience sur un MacBook Pro M1 en juin 2022.
C’est en avançant petit à petit dans l’utilisation quotidienne que l’on se rend compte que certaines applications fonctionnent différemment. Windows on Arm fait tout pour gommer la différence, mais en faisant un peu attention, on sent l’écart dès l’installation.
La première application non native que j’ai installée était le client Signal. Il existe une grande différence de réactivité entre ce que j’en connaissais sur mon PC habituel (PC fixe basé sur un Ryzen 5 5600X, 32 Go de RAM, SSD 980 Pro 2 To, RTX 3070 Ti) et la version émulée. C’est lent, et même très lent. Ce n’est qu’une petite application, mais la différence est flagrante. Autre exemple, l’excellente application de capture d’écran ShareX. Même constat de lenteur, qui se traduit par un délai entre l’exécution du raccourci clavier et la prise de la capture. Situation identique avec Discord.
Loin d’être impressionnant sur les jeux
Comme on peut s’en douter, la bibliothèque d’applications compilées nativement en arm64 s’amenuise encore quand on s’avance vers une utilisation plus récréative de la machine. Et puisque le jeu peut représenter une utilisation importante d’une machine Windows, quelle est la situation sur un PC Copilot+ ?
Pas brillante, malheureusement. À l’approche déjà, sur des applications très utilisées telles que Discord, Steam, Battle.net ou Epic, aucune n’est compilée en arm64. Pour Steam, ce n’est malheureusement pas une surprise. C’était déjà le cas sur Mac un an après la disponibilité des premières machines Apple Silicon. Aujourd’hui, Valve n’a toujours pas de version compilée nativement pour les puces Apple, et l’application continue de se trainer. Même constat pour Battle.net et Epic.
Sur Windows pour Arm, on ressent aussi la différence : les applications émulées sont plus lentes à lancer, moins réactives et vont globalement moins vite dans tout ce qu’elles font. Même l’installation prend plus de temps. Mais elles fonctionnent sans encombre, et c’est déjà ça.
Et les jeux ? Tout dépend de ce que vous voulez faire. La plupart vont se lancer sans problème : Baldur’s Gate 3, Civilization VI, Elden Ring, No Man’s Sky ou encore Starfield se sont lancés. Tout y est lent, mais on peut au moins jouer, si l’on n’est pas trop exigeant en qualité visuelle. D’autres en revanche n’ont rien voulu savoir, comme Satisfactory, dont le lancement se terminait invariablement par un plantage. Oubliez également tous les jeux protégés par un DRM, ils sont incompatibles pour l’instant.
Même quand les conditions sont réunies, le bilan est mitigé. J’ai passé par exemple environ 30 min sur World of Warcraft, l’un des rares titres compilés en arm64. L’expérience a été dans l’ensemble… pénible. Les performances n’ont rien d’incroyable. Alors bien sûr, on est sur un portable, sans GPU dédié. On pourrait également plonger plus avant dans les détails techniques du Snapdragon X et observer de plus près les choix d’architecture faits par Qualcomm, comme Pierre Dandumont l’a relayé chez MacG.
Mais c’est aussi un problème d’écran. Microsoft a fait le choix d’une dalle 15 pouces avec une définition de 2 496 x 1 634 pixels. Sous Windows, l’échelle (DPI) est réglée sur 150 % par défaut et on ne se rend pas compte de cette quantité de pixels. Si l’on choisit une échelle de 100 %, les éléments sont si petits qu’on peine à les lire.
Les jeux ont le même problème : en résolution native, il faut alimenter ces 2 496 x 1 634 pixels. Autant dire qu’un Snapdragon X ne fait pas ça de manière fluide, loin de là. Il faut donc jouer avec les réglages et baisser la résolution. On gagne en performances, mais on perd beaucoup en netteté. C’était un constat également sur le MacBook Pro M1 à l’époque. Tous les portables utilisant le DPI pour améliorer la netteté de l’image auront ce problème.
Pour le reste, n’espérez une grande fluidité d’affichage, même sur des jeux purement en 2D comme Vampire Survivors, Death Must Die ou Tiny Rogues (j’aime les roguelikes, il parait). La dalle 120 Hz n’y peut rien : ce n’est tout simplement pas fluide.
Une excellente machine…
Il faut rendre justice à Microsoft : l’offre centrée sur les Snapdragon X est très largement supérieure à toutes les tentatives précédentes de l’entreprise sur l’architecture Arm. Cette fois, la proposition est crédible. La bibliothèque logicielle s’est nettement étoffée et l’utilisation quotidienne est très confortable. Sur la partie travail et utilisation générale, je n’ai tout simplement senti aucune différence de performances avec mon PC fixe.
Je le redis ici, tant le point est important : l’autonomie est excellente. Conjointement avec la bonne disponibilité des apps arm64 et les performances, on obtient un trio de caractéristiques qui rendent véritablement agréable l’utilisation quotidienne. Elle l’est d’autant que l’écran HDR (et compatible Variable Bit Rate) affiche des couleurs vives et que le touchpad est une franche réussite. À propos de HDR, on aurait aimé que les paramètres d’énergie de Windows 11 puissent établir de vrais profils selon que l’alimentation est branchée ou pas. Le HDR consomme de l’énergie, et j’aurais aimé qu’il se coupe automatiquement dès que la machine n’était plus sur secteur.
Alors oui, ce type de configuration n’est pas taillé pour le jeu, du moins pour tout ce qui n’est pas petit jeu d’appoint. Mais elle constitue une excellente machine d’appoint, d’autant que le nombre d’applications compatibles augmente sans cesse. D’ailleurs, Blender a récemment été annoncé comme compatible, ainsi que d’autres applications comme Capture One et Digital Audio Workstation. Elle peut même servir de machine principale, si l’on sait un minimum ce que l’on fait.
Ajoutons que si les fonctions dopées à l’IA vous intéressent, c’est encore un point positif à ajouter dans la liste. Dans mon cas, ces fonctions n’étaient pas utiles. Notez que le fameux Recall n’était pas présent, puisque Microsoft retravaille sa copie, suite au tollé déclenché par les premières versions. Pour le reste, nous avions déjà fait un rapide tour d’horizon.
… mais il vaut mieux savoir où on met les pieds
L’un des points les plus importants à prendre en compte avant l’achat d’une telle machine est l’environnement dans lequel on va l’installer. Avez-vous des périphériques dont vous ne pouvez pas vous passer ? Alors assurez-vous que Windows on Arm les prend en charge avec sa banque de pilotes intégrés. Et non seulement qu’ils sont reconnus, mais qu’ils fonctionnent bien.
Dans mon cas, j’ai une imprimante laser Samsung M2020. Elle a été reconnue par Windows une fois branchée avec le câble, mais il a été impossible de la faire fonctionner via le Wi-Fi, comme elle est censée pouvoir le faire. Car au-delà du pilote, il faut un utilitaire pour lancer cette configuration, et il n’a jamais correctement fonctionné. Exit donc l’impression sans fil et les fonctions avancées.
Ce support des imprimantes est l’un des principaux reproches que l’on peut faire actuellement à la plateforme. Le problème s’amoindrit au fur et à mesure que l’on possède un modèle plus récent. Avec cette plateforme, Microsoft s’oriente essentiellement vers les modèles compatibles avec Mopria, qui permet une configuration plus complète des imprimantes sans passer par un pilote dédié. Attention donc au moment de faire votre choix.
Le constat est valable pour tous les périphériques que vous brancherez sur la machine. Aucun risque avec les produits courants comme les claviers, souris, stockages externes et autres. En revanche, dès que vous entrerez dans des catégories un peu plus spécifique (notamment tout ce qui touche au son), il faudra vérifier le degré de support.
Cette situation, couplée à l’état de la logithèque, représentent les deux barrières restantes. Côté matériel, performances et autonomie, les conditions sont réunies. À Microsoft de continuer ses efforts pour accentuer les points forts et gommer les points faibles. Cela étant, certains usages ne sont tout simplement pas alignés avec ce que peut offrir ce type de configuration aujourd’hui, dont les jeux.
Un mois avec un PC Copilot+ équipé d’un Snapdragon X
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La machine
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Des défauts agaçants
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À l’assaut du logiciel
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Les sentiers moins battus
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Loin d’être impressionnant sur les jeux
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Une excellente machine…
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… mais il vaut mieux savoir où on met les pieds
Commentaires (30)
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Abonnez-vousLe 25/10/2024 à 09h12
Le 25/10/2024 à 09h18
Le 25/10/2024 à 10h17
Et je fais exactement le même constat : finition premium, écran OLED magnifique, machine hyper réactive comparé à mes anciennes surfaces voire tous mes autres PC, superbe autonomie. Et j'ai trouvé dans le store toutes les apps que j'utilise régulièrement, elles tournent toutes très bien d'ailleurs.
Je suis très agréablement surpris.
Modifié le 25/10/2024 à 10h28
Une machine 'd'appoint' à 2500 €
Ça fait 4 ans que je n'ai pas acheté un laptop (inflation) mais à ce prix j’espère avoir une machine qui fait tout.
Le 25/10/2024 à 11h11
Le 25/10/2024 à 22h13
ps: Est-ce qu'un jour certains smiley jamais utilisés iront en retraite pour laisser la place à d'autres ?
Le 27/10/2024 à 09h46
Pas mal de gens ont un PC fixe pour les jeux et les apps lourdes, et un PC portable pour le reste.
C'est ce rôle de PC portable pour le reste que les Copilot+ peuvent remplir.
Le 27/10/2024 à 13h43
Le 28/10/2024 à 08h06
Le 25/10/2024 à 10h29
On a l'impression en lisant cet article que Microsoft s'est trompé de cible.
Ce PC haut de gamme aurait du avoir une version Windows Pro (et non famille).
Le 25/10/2024 à 11h12
Le 26/10/2024 à 09h35
Le 25/10/2024 à 10h31
Je trouve également le tarif comme prohibitif et disproportionné au regard des services proposés par la machine.
Le 25/10/2024 à 11h22
D'ailleurs, ce serait une bonne idée d'y faire un test avec un vrai Linux.
Le 25/10/2024 à 11h47
Le 25/10/2024 à 12h00
C'était mal dit, j'en convient.
Le 26/10/2024 à 23h13
Le 25/10/2024 à 12h19
* état du bootloader, présence d’un UEFI ?
* possibilité d’installer un linux dessus (avec ou sans secureboot) ?
* quid des possibilités de virtualisation sur une telle machine (ie, faire tourner un virtualbox / autre pour faire fonctionner plusieurs VMs, même arm64)
Le 25/10/2024 à 12h56
L'autonomie mise de côté, il y a quoi d'autre comme atout qui ferait acheter un Windows ARM plutôt qu'un x86 ?
Apple a été plus bourrin en basculant complètement son offre vers ARM. Microsoft n'est pas dans la même situation, ni même dans la position de le faire.
Le 26/10/2024 à 09h38
Il peut trouver son public, et il va gagner en maturité avec le temps.
Le 26/10/2024 à 09h53
Le 27/10/2024 à 08h32
Et le copilot+ risque de faire vendre a l'avenir, il ne faut pas l'oublier, c'est pas parce qu'on est sur un site très critique a ce niveau que les gens ne vont pas massivement l'utiliser quand MS l'aura finalisé/poussé.
Modifié le 25/10/2024 à 19h34
Comparé à un MBA, le châssis en plastique sonne creux, de même pour le clavier. Je trouve ça trop cher pour les performances proposées.
Le 25/10/2024 à 16h12
J'ai bien dit portable, je parle de l'époque où ils avaient une carte graphique à l'intérieur: c'était déjà catastrophique.
De nos jours ce n'est clairement plus une option à envisager.
Le 25/10/2024 à 19h47
Modifié le 26/10/2024 à 09h52
Pour en venir à ma question, @Vincent_H vu que tu as la machine sous les mains, ca aurait été sympa d'avoir quelques photos. Sans être expert je suis sûr que tu as un bon APN sur ton smartphone :) Tu peux demander à @SébastienGavois de te prêter une POP pour mettre à coté des photos je suis sûr
Le 26/10/2024 à 14h21
Le 11/11/2024 à 14h28
Modifié le 11/11/2024 à 21h08
Merci !
Le 13/11/2024 à 10h58