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#Replay : quand l’empire du football dérive, celui de Marvel remonte

Batman, le meilleur héros Marvel

#Replay : quand l'empire du football dérive, celui de Marvel remonte

Le 15 avril 2016 à 15h45

Ces derniers jours, les sujets ont une nouvelle fois été variés à la télévision. Parmi eux, le petit écran s'est penché sur plusieurs aspects de la culture pop, de la manière dont Game of Thrones est devenu une arme marketing à la renaissance de Marvel. Elle a également cofinancé le webdoc Hors-jeu, sur le milieu du football.

Chaque semaine, nous vous proposons une sélection manuelle de ce qu'il ne fallait pas manquer dans vos programmes TV. Garantie sans sponsoring et autre tracking de vos habitudes, vous permettant de savoir ce qu'il y a d'intéressant à regarder ce week-end (surtout s'il ne fait pas beau et que votre séance de VTT tombe à l'eau).

Nous utilisons ainsi seulement nos petits bras et éventuellement vos suggestions. Si vous repérez une émission qui mérite selon vous de paraître dans notre sélection, vous avez deux possibilités : 

Notez que la sélection se limite pour le moment aux replays de programmes TV, mais pourra s'étendre à d'autres médias. Nous avons pour le moment quelques idées et ferons sans doute des essais dans les semaines à venir. Mais n'hésitez pas à nous proposer vos idées, cette chronique évoluant pour vous et avec vous, à ciel ouvert ;)

E-sport, Game of Thrones et disparition des dinosaures

Comme les chroniques, les semaines et les produits passent. Consomag de France 2 s'est penché sur l'obsolescence programmée et explique comment faire jouer la garantie des appareils achetés. L'épisode est disponible jusqu'au 21 avril. 

De son côté, Le Tube de Canal+ a dressé le portrait de Fabien Devide, le manager de Team Vitality, l'une des principales équipes françaises d'e-sport, à partir de 38 minutes 45. L'équipe est composée de membres de plusieurs pays. Sur France 5, Médias le mag est lui revenu sur la « surveillance » des policiers lors des dernières manifestations, via la mise en ligne de vidéos par les manifestants. La séquence est visionnable à partir de 15 minutes, jusqu'au 17 avril.

Le Tube Canal+ E-sport

Sur un sujet bien différent, Avenue de l'Europe s'est intéressé au trafic dans les grandes villes européennes. L'émission, disponible jusqu'au 13 mai, analyse le problème et certaines des solutions, comme une application qui détermine en temps réel les meilleurs trajets. Elle explore aussi le trafic au port de Rotterdam, boosté par les commandes en ligne. L'épisode se conclut par un entretien avec Corinne Vigreux, la co-fondatrice de TomTom. 

On n'est plus des pigeons a, lui, consacré plusieurs sujets à certains de nos intérêts. L'émission s'est intéressée au marketing autour de Game of Thrones, de la manière dont la série est vendue au spectateur à sa récupération par des organisations pour leur propre intérêt. L'équipe a également testé des applications qui proposent des petits boulots, pour voir si elles sont viables pour l'utilisateur. Enfin, elle relate le cas d'une facture téléphonique de 5 400 euros, après des vacances en itinérance.

Arte a diffusé le documentaire Inondations : une menace planétaire (disponible jusqu'au 11 juin), qui essaie de comprendre les risques posés par la montée des eaux et comment les mégapoles côtières tentent de s'en prémunir. Le but : éviter de devoir quitter ces villes exposées.  Sur Nat Geo Wild, c'est Le Premier Tyrannosaure qui était passé en revue, pour mieux comprendre son fonctionnement et son mode de vie. La bande-annonce est disponible ici. Une émission à compléter avec Les derniers jours des dinosaures (disponible jusqu'au 16 avril), qui relate leur fin il y a 65 millions d'années.

Hors-jeu, un webdoc sur les dérives du football mondialisé

Cette semaine sortait le documentaire en ligne Hors-jeu, sur le monde du football. Via un jeu de cartes à collectionner, le site expose les différentes facettes du sport, des plus reluisantes aux plus graves, des grands joueurs aux manipulations financières et culturelles qu'il implique. Il compile les paroles de grands noms du secteur, y compris certains joueurs mythiques. 

Le documentaire prend le problème sous la plupart des angles possibles : sociologique, idéologique, économique et bien sûr sportif. Il montre comment certains de ses aspects peuvent entrer en conflit et les doutes qui parcourent une partie de ce milieu, comme Emmanuel Petit, qui s'interroge sur la victoire de la France lors de la Coupe du monde 98.

La renaissance de l'empire Marvel (jusqu'au 20 avril)

France 4 diffuse pour la première fois en clair le documentaire Marvel Renaissance, passé sur Canal+ l'an dernier. Il s'intéresse à la chute de Marvel au milieu des années 90, entre baisse des ventes et ballotage en bourse, avant sa « renaissance » grâce aux adaptations cinéma, qui ont à la fois renforcé l'aura des personnages et redressé la société.

Les auteurs ont discuté avec de nombreux employés, anciens patrons et fans de l'entreprise, qui détaillent comment Marvel a pu renaitre de ses cendres. Il évoque notamment l'époque des premiers films Marvel, loin du succès des actuels, qui ont tout de même lancé la carrière cinématographique du groupe. À noter que les auteurs du documentaire ont depuis sorti Marvel Univers, dont nous vous parlions à la mi-mars.

Futuremag : comprendre les animaux et les inondations (jusqu'au 9 avril 2017)

Pour sa part, Futuremag a voyagé pour comprendre comment des scientifiques utilisent les animaux pour comprendre le changement climatique. En exploitant les capacités de chaque espèce, il serait ainsi possible d'avoir une image bien plus claire du réchauffement de la planète et de ses conséquences sur les écosystèmes.

En complément du documentaire Inondations : une menace planétaire (jusqu'au 11 juin), dont nous vous parlions plus haut, Futuremag a consacré un sujet au problème. L'émission a simplement cherché comment les villes luttent contre les inondations, qu'elles interviennent dans des zones côtières ou non. Cela des modélisations des cours d'eau aux systèmes mis en place.

X:enius scrute couleurs et contenu des cheveux

L'émission X:enius, elle, a une nouvelle fois sorti deux sujets dans nos cordes. Le premier explique comment les couleurs sont captées par nos yeux et comment, au fil des siècles, nous avons appris à les utiliser, passant d'un « désert monochrome » à un monde conquis par la variété.

Le second sujet, lui, détaille toutes les données que contiennent nos cheveux et leur usage dans les affaires criminelles. L'émission relate entre autres les tâtonnements de leur analyse, et comment le FBI a utilisé pendant des années une méthode peu fiable, avant que de nouvelles techniques ne soient développées.

BiTS se demande comment les jeux vidéo décrivent le monde

BiTS, « l'émission de la culture pop » d'Arte s'est posé une question si, comme toute œuvre, les jeux vidéo sont le produit d'une époque qui permet de la comprendre. Mieux, même, sont-ils le meilleur moyen de la comprendre ? Des jeux indépendants les plus sérieux aux blockbusters à la GTA, l'émission revient sur les idéologies derrière ces créations et comment elles peuvent nous éclairer sur notre quotidien.

En parallèle de cet épisode, l'équipe a mis en ligne trois extraits d'entretiens avec les game designers Ian Bogost (Persuasive Games) et Paolo Pedercini. Ils y répondent plus précisément sur la portée idéologique des jeux, leur rhétorique propre ainsi que sur la place du capitalisme dans leur conception et leur contenu.

Commentaires (24)

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tmtisfree a écrit :



Mais cela ne devrait étonner personne que les rapports du GIEC soient non-scientifiques et partisans puisque son mandat définit le changement climatique comme « un changement de climat qui est attribué directement ou indirectement à activité humaine qui altère la composition de la globalité de l’atmosphère et qui vient s’ajouter à la variabilité climatique naturelle observée sur des périodes de temps comparables ».









L’hypothèse me semble valable, je vois pas de conclusion.


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Gundar a écrit :



L’hypothèse me semble valable, je vois pas de conclusion.





La conclusion est d’inférer explicitement que le changement climatique est uniquement d’origine humaine et que cette hypothèse est implicitement la seule correcte ; ce qui implique que le mandat du GIEC est de trouver des éléments qui la corrobore et rien d’autre.



Ce qui, en plus d’être contraire à la méthode scientifique, manque de bon sens puisque la propriété essentiel du climat est de varier en permanence à toutes les échelles.



N’importe quel scientifique digne de ce nom aurait donc d’abord posé comme hypothèse nulle que le climat a comme origine la variabilité naturelle (pour ensuite éventuellement regarder si d’autres facteurs explicatifs satisfont mieux les changement observés).


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tmtisfree a écrit :



La conclusion est d’inférer explicitement que le changement climatique est uniquement d’origine humaine et que cette hypothèse est implicitement la seule correcte ; ce qui implique que le mandat du GIEC est de trouver des éléments qui la corrobore et rien d’autre.



Ce qui, en plus d’être contraire à la méthode scientifique, manque de bon sens puisque la propriété essentiel du climat est de varier en permanence à toutes les échelles.



N’importe quel scientifique digne de ce nom aurait donc d’abord posé comme hypothèse nulle que le climat a comme origine la variabilité naturelle (pour ensuite éventuellement regarder si d’autres facteurs explicatifs satisfont mieux les changement observés).







Prendre un hypothèse contraire ne changera rien. C’est parfaitement conforme à une démarche scientifique de poser une hypothèse, n’importe laquelle, et de la valider / l’invalider par l’experience. Qu’elle ne te plaise pas c’est possible. Mais c’est un débat politique, en aucun cas scientifique. Tu peux remettre en cause les travaux effectués, si tu veux, mais charge à toi de le démontrer, par l’experience également. Rejeter l’hypothèse de départ c’est au mieux inutile et certainement pas plus scientifique.


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Gundar a écrit :



Prendre un hypothèse contraire ne changera rien.





Si c’était le cas, je n’aurais rien à dire, mais relis ma première phrase : la conclusion est affirmée et posée comme seule correcte dans l’hypothèse et seuls les éléments qui la supportent sont avancés : c’est évidemment à l’opposé de la méthode scientifique, ce qui explique que d’autres arrivent à des conclusions différentes en analysant l’ensemble de la littérature. Pas besoin d’avoir un doctorat pour comprendre ce simple point.


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tmtisfree a écrit :



Si c’était le cas, je n’aurais rien à dire, mais relis ma première phrase : la conclusion est affirmée et posée comme seule correcte dans l’hypothèse et seuls les éléments qui la supportent sont avancés : c’est évidemment à l’opposé de la méthode scientifique, ce qui explique que d’autres arrivent à des conclusions différentes en analysant l’ensemble de la littérature. Pas besoin d’avoir un doctorat pour comprendre ce simple point.







Non, une hypothèse c’est jamais qu’une conclusion vers laquelle on cherche à savoir si la réalité tend ou pas. Une hypothèse scientifique ne contient jamais plusieurs conclusions possibles, seulement une qu’on cherche à verifier ou écarter. Si l’hypothèse s’avère infirmée par l’éxperience, alors on en change et on recommence. On vois ça en première normalement, effectivement pas besoin de doctorat. L’hypothèse posée par le GIEC est ici encore une fois tout à fait valable scientifiquement. Préoccupe toi plutôt de leur protocole expérimental si tu veux les dénigrer, jusque là tu brasses juste du vent inutilement.


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 Il ne faut pas se voiler la face, le réchauffement climatique est bien présent.

 Né en 1984, je le perçois comme ceci (propos totalement tiré de mon expérience personnelle et n’ayant aucune valeur scientifique, seulement du ressenti) :

-Vacances à la mer dans le même bled (Normandie), montée des eaux plus importante au fil des années et érosion de la côte

-Je faisais le jardin avec mon Papi et maintenant le fais tout seul, les repères saisonniers ne sont plus les mêmes

-Discutant avec des vignerons dans le Cher, le réchauffement est bien présent

-Il m’arrivait de jouer en hiver dehors en Ile de France (j’avais 6ans) dans la neige, maintenant la neige ne tombe/ne tient plus.

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Gundar a écrit :



Non, une hypothèse c’est jamais qu’une conclusion vers laquelle on cherche à savoir si la réalité tend ou pas. Une hypothèse scientifique ne contient jamais plusieurs conclusions possibles, seulement une qu’on cherche à verifier ou écarter. Si l’hypothèse s’avère infirmée par l’éxperience, alors on en change et on recommence. On vois ça en première normalement, effectivement pas besoin de doctorat. L’hypothèse posée par le GIEC est ici encore une fois tout à fait valable scientifiquement. Préoccupe toi plutôt de leur protocole expérimental si tu veux les dénigrer, jusque là tu brasses juste du vent inutilement.





Une hypothèse qui contient la conclusion s’appelle par définition la conclusion, pas une hypothèse. Mais je ne vais pas me répéter alors qu’un dessin est plus parlant.



Le fait que d’autres scientifiques parviennent à des conclusions différentes en utilisant l’ensemble de la littérature alors que le GIEC persiste dans ses erreurs autant épistémologiques, méthodologiques que procédurales (cf plus haut) le discrédite complétement.









Vachalay a écrit :





Anecdotes, défaut de perception, biais de confirmation, observations douteuses, auto-renforcement des préjugés, etc, la panoplie pour se fourvoyer est large (juste pour rire, je doute que tu aies conscience que l’augmentation annuelle du niveau d’eau à Brest est de l’ordre de grandeur du mm depuis ~1850, cf fig. 8.1 p321 et tab. 8.4 p324).



S’il fallait se baser sur du « ressenti » pour affirmer quelque chose, autant le jouer à pile ou face : les probabilités sont à 50% en ta faveur.


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tmtisfree a écrit :



Une hypothèse qui contient la conclusion s’appelle par définition la conclusion, pas une hypothèse. Mais je ne vais pas me répéter alors qu’un dessin est plus parlant.



Le fait que d’autres scientifiques parviennent à des conclusions différentes en utilisant l’ensemble de la littérature alors que le GIEC persiste dans ses erreurs autant épistémologiques, méthodologiques que procédurales (cf plus haut) le discrédite complétement.









Ton schéma me donne pas tort. Une hypothèse c’est la conclusion qu’on veut démontrer, point. C’est la démarche scientifique en vigueur depuis quelques siècles maintenant, il n’y en a pas d’autres, et ça va pas changer parce que ça arrange pas tes petites affaires. “La science c’est caca parce que ça marche pas comme je veux” c’est à peine le niveau des trolls décérébrés sur Nioutaik.



Si les résultats du GIEC sont faux, les protocoles sont de toutes façons vérifiable et reproductibles. Sinon c’est pas de la science. A part pour les créationistes et les économistes évidement.



Donc si tu veux démontrer que c’est pas de la science, c’est ici qu’il faut faire levier, pas sur l’hypothèse qui est tout à fait valide, en tant qu’hypothèse. Sinon tu fais au mieux de la politique, au pire preuve d’ignorance. Mais la communauté ne va pas spécialement dans ton sens pour le moment. Et c’est suffisement compliqué de tricher pour pouvoir y faire un minimum confiance. Sauf pour les créationistes et les économistes, bien sûr.


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Gundar a écrit :



Ton schéma me donne pas tort. Une hypothèse c’est la conclusion qu’on veut démontrer, point. C’est la démarche scientifique en vigueur depuis quelques siècles maintenant, il n’y en a pas d’autres, et ça va pas changer parce que ça arrange pas tes petites affaires. “La science c’est caca parce que ça marche pas comme je veux” c’est à peine le niveau des trolls décérébrés sur Nioutaik.



Si les résultats du GIEC sont faux, les protocoles sont de toutes façons vérifiable et reproductibles. Sinon c’est pas de la science. A part pour les créationistes et les économistes évidement.



Donc si tu veux démontrer que c’est pas de la science, c’est ici qu’il faut faire levier, pas sur l’hypothèse qui est tout à fait valide, en tant qu’hypothèse. Sinon tu fais au mieux de la politique, au pire preuve d’ignorance. Mais la communauté ne va pas spécialement dans ton sens pour le moment. Et c’est suffisement compliqué de tricher pour pouvoir y faire un minimum confiance. Sauf pour les créationistes et les économistes, bien sûr.







Je vais defendre aucun de vos points de vue mais je vais juste vous dire que vous ne parlez pas de la même chose.



Depuis 2-3 postes, depuis l’exterieur de la conversation, cela se remarque bien.



Ce que tmtisfree veut dire c’est que ce qui n’est pas scientifique c’est de prendre uniquement les rapports qui vont dans le sens de l’hypothèse de départ. Ce qui n’est effectivement pas scientifique.



Ce que tu avances c’est que quelque soit l’hypothèse, il faut chercher à la démontrer. Pour au final la valider ou l’invalider suivant les découvertes faites.



Vous avez tout les deux raisons mais vous argumentez pas sur la même chose. Tout part d’une mauvaise compréhension l’un de l’autre.


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Gundar a écrit :



Ton schéma me donne pas tort. Une hypothèse c’est la conclusion qu’on veut démontrer, point. C’est la démarche scientifique en vigueur depuis quelques siècles maintenant, il n’y en a pas d’autres, et ça va pas changer parce que ça arrange pas tes petites affaires. “La science c’est caca parce que ça marche pas comme je veux” c’est à peine le niveau des trolls décérébrés sur Nioutaik.





J’ai fais assez d’année de recherche pure pour savoir quand une hypothèse ne tient pas la route. Une hypothèse est une question la plus simple possible (Occam) relative à une observation, pas un parti pris affirmatif avec attribution semi-quantitative comme c’est le cas ici. De plus si les résultats ne correspondent pas à l’hypothèse, l’hypothèse est rejetée. Elle est donc doublement (méthode et conclusion) fausse.









Gundar a écrit :



Si les résultats du GIEC sont faux, les protocoles sont de toutes façons vérifiable et reproductibles. Sinon c’est pas de la science. A part pour les créationistes et les économistes évidement.





Les conclusions du GIEC ne sont pas totalement fausses, en ce sens qu’elles sont justes partielles (elles suivent le mandat) et donc sont fondamentalement anti-scientifiques parce qu’elles ne recouvrent qu’une partie de la réalité observée. Le mandat (la conclusion erronée figurant dans l’hypothèse) n’est donc pas scientifique non plus. Je ne vois pas ce qu’il y a de difficile à comprendre.









Gundar a écrit :



Donc si tu veux démontrer que c’est pas de la science, c’est ici qu’il faut faire levier, pas sur l’hypothèse qui est tout à fait valide, en tant qu’hypothèse. Sinon tu fais au mieux de la politique, au pire preuve d’ignorance. Mais la communauté ne va pas spécialement dans ton sens pour le moment. Et c’est suffisement compliqué de tricher pour pouvoir y faire un minimum confiance. Sauf pour les créationistes et les économistes, bien sûr.





Autant commencer là où c’est le plus évident. On pourra toujours discuter science plus tard. Les économistes ont une avance certaine en statistiques, à la différence du GIEC et son ranking d’avis d’expert. Ton argument par autorité m’a fait bien rire !


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il serait ainsi possible d’avoir une image bien plus claire du réchauffement de la planète



Le conditionnel est de rigueur, la question étant réglée depuis des lustres : ENSO est le coupable et les conséquence seront les mêmes que la dernières fois.

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Arte s’est posé une question si, comme toute œuvre, les jeux vidéo sont le produit d’une époque qui permet de la comprendre.





A mon avis, ca reflète surtout la vision du marketing sur ce qui est “vendeur” à une époque.



Ctions les périodes “séquences AVI”, ou “3D”, ou “online”… et bientot “Virtual Reality”.

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tmtisfree a écrit :



Le conditionnel est de rigueur, la question étant réglée depuis des lustres : ENSO est le coupable et les conséquence seront les mêmes que la dernières fois.



Où est le conditionnel quand tu affirmes que ENSO est le coupable et que la question est donc réglée ?



Entre les partisans du catastrophisme et ceux qui, comme toi, nient absolument que l’activité humaine a une incidence sur l’état de la planète il doit bien y avoir un juste milieu non ?



C’est bizarre cette manie de tout vouloir trancher à coups de certitudes absolues…

Ça t’arrive parfois de douter un peu ? <img data-src=" />


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gavroche69 a écrit :



Où est le conditionnel quand tu affirmes que ENSO est le coupable et que la question est donc réglée ?



Entre les partisans du catastrophisme et ceux qui, comme toi, nient absolument que l’activité humaine a une incidence sur l’état de la planète il doit bien y avoir un juste milieu non ?



C’est bizarre cette manie de tout vouloir trancher à coups de certitudes absolues…

Ça t’arrive parfois de douter un peu ? <img data-src=" />





Argument fallacieux. Où ai-je écrit que l’Homme n’avait « absolument aucune incidence sur l’état de la planète » ? Nulle part. J’ai écrit que le coupable du réchauffement climatique était le cycle ENSO (et plus généralement la variabilité naturelle qui n’intéresse pas la pseudo-science officielle). Cela n’entraine pas que nous avons zéro incidence partout ailleurs, simplement que cette incidence est minuscule sur la température atmosphérique, quand on est capable de la mesurer/déterminer. Pas de conditionnel requis donc dans ce cas.



Tu remarqueras aussi que ma position est sceptique vis à vis de la pseudo-science officielle qui elle est sure à 99% (et qui en dépit de cette certitude absolue dilapide encore des milliards en pure perte). La réponse à ta 3ème question est donc oui.


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C’est vrai, c’est bizarre cette manie. J’ai souvent constaté que les sceptiques sont&nbsp; les gens les plus affirmatifs et catégoriques dans leurs propos. En revanche, ceux qui font plus facilement confiance à leurs congénères expriment généralement plus facilement leurs doutes.



Personnellement, j’explique ce phénomène par le fait que l’être humain a horreur du vide (du doute). Autrement dit, quand on ne sait pas, croire ou rechercher la Vérité (qui n’existe pas universellement), telle est la question.

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Non mais c’est clair que l’activité humaine n’a rien à voir avec le réchauffement climatique, la meilleure preuve c’est que donald trump l’a clamé haut et fort !!



Qui oserait mettre en doute les propos de cette intelligence supérieure ? <img data-src=" /><img data-src=" />

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-&gt; la science officielle ça n’existe pas

-&gt; le GIEC publie énormément de données vérifiable qui montrent l’homme comme principale raison de l’augmentation de la quantité de CO2 dans l’athmosphère, et donc de l’effet de serre. Ils ne nient pas du tout les autres cycles, ils prouvent juste que c’est l’Homme la principale raison.

&nbsp;

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artragis a écrit :



-&gt; la science officielle ça n’existe pas

-&gt; le GIEC publie énormément de données vérifiable qui montrent l’homme comme principale raison de l’augmentation de la quantité de CO2 dans l’athmosphère, et donc de l’effet de serre. Ils ne nient pas du tout les autres cycles, ils prouvent juste que c’est l’Homme la principale raison.





Le GIEC n’a rien de scientifique et il le reconnait lui-même. Les scientifiques (la plupart sont OK) et les activistes provenant d’ONG escrologistes (conflits d’intérêt et idéologique) sont sélectionnés par les États et gouvernements (d’où son nom : Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et compilent seulement certaines données de la littérature scientifiques sur l’influence de l’Homme sur le climat puisque c’est leur hypothèse de travail (qui n’est donc pas la variabilité naturelle), pour « conseiller » ces mêmes États (pas d’indépendance scientifique, pas de seconde équipe pour valider).



Ce sont encore ces mêmes États qui négocient les termes du résumé pour les décideurs politiques (pour eux-mêmes donc) avant que les rapports finaux soient édités/remaniés/purgés par les secrétaires du GIEC à Genève sans aucune intervention scientifique afin que le corps du texte ne contredise pas le résumé.



Les conclusions du GIEC n’ont rien de scientifique : elles ne sont pas basées sur des évaluations statistiques mais sur un ranking d’avis d’experts. Enfin les données empiriques (température et sensibilité) montrent que les prévisions des modèles sont archi-fausses et donc que l’hypothèse de départ est réfutée.



Les emails du climategate démontre qu’une clique d’activiste a noyauté le système du GIEC qui n’a jamais voulu remettre à plat ses procédures et méthodes corrompues contre l’avis et les recommandations du InterAcademy Council qui l’a audité en 2010.



Ce système a tout de la crapulerie politique sous couvert d’un vernis technique, ce qui fait que la valeur scientifique des rapports du GIEC est nulle.


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Je n’entrais pas dans le débat de fond. D’ailleurs, je suis plutôt d’accord avec ton commentaire précédent.

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joma74fr a écrit :



Je n’entrais pas dans le débat de fond. D’ailleurs, je suis plutôt d’accord avec ton commentaire précédent.



C’est bien ce que j’avais compris c’est juste que le gus que j’ai cité me paraît être un excellent exemple des “climato-sceptiques”. <img data-src=" />


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tmtisfree a écrit :



Les conclusions du GIEC n’ont rien de scientifique : elles ne sont pas basées sur des évaluations statistiques mais sur un ranking d’avis d’experts. Enfin les données empiriques (température et sensibilité) montrent que les prévisions des modèles sont archi-fausses et donc que l’hypothèse de départ est réfutée.





Le classique pseudo-science officielle suivit de la bonne vieille théorie du complot. Il manque plus que les illuminati et on a le trio gagnant. Donc parce que le modèle de prévision est faux , l’hypothèse de départ est fausse…. On atteint des sommets …


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Donc les gouvernements “payeraient” pour que l’on croient à une monté des températures d”‘origine humaine coûteuse en argent et en image pour eux quand il serait si simple de tout reporte sur une phénomène naturel incontrôlable …

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Mearwen a écrit :



Le classique pseudo-science officielle suivit de la bonne vieille théorie du complot. Il manque plus que les illuminati et on a le trio gagnant. Donc parce que le modèle de prévision est faux , l’hypothèse de départ est fausse…. On atteint des sommets …





Tu es le seul à parler de complot. On reconnait les sophistes à leur manie réflexive de répondre à des arguments par de grossiers hommes de paille. Si vous mettiez autant d’acharnement à creuser les questions scientifiques qu’à vous fourvoyer dans vos artifices fallacieux, vous vous épargneriez bien des déceptions.



J’ai parlé de non-indépendance des méthodes et procédures du GIEC (auditées par le IAC), de la non-validation/non-vérification de ses données/modèles et des résultats présélectionnés et incomplets de ses rapports, puisque d’autres rapports qui prennent en compte la totalité de la littérature pour arriver à des conclusions différentes.



Mais cela ne devrait étonner personne que les rapports du GIEC soient non-scientifiques et partisans puisque son mandat définit le changement climatique comme « un changement de climat qui est attribué directement ou indirectement à activité humaine qui altère la composition de la globalité de l’atmosphère et qui vient s’ajouter à la variabilité climatique naturelle observée sur des périodes de temps comparables ».



Quand la conclusion est posée dans l’hypothèse, ce n’est pas de la science.


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youri_1er a écrit :



Donc les gouvernements “payeraient” pour que l’on croient à une monté des températures d”‘origine humaine coûteuse en argent et en image pour eux quand il serait si simple de tout reporte sur une phénomène naturel incontrôlable …





À moins de croire sur parole l’abruti qui affirmé que « cela ne coute rien, c’est l’État qui paye », tout ce gaspillage est réglé directement ou indirectement par ceux qui travaillent et produisent. Les gouvernements ne payent rien, ils dépensent ce qu’ils taxent sur des problèmes qu’ils inventent pour proposer des solutions qui ne fonctionnent pas (comme d’habitude).



Quant à leur image de marque, à voir ces corrompus posturer comme des sauveurs de planète auto-attitrés pour une pseudo-calamité qui aurait déjà dû (selon leurs prévisions alarmistes) nous anéantir depuis 20 ans déjà et jet-setter toute l’année dans des endroits improbables pour savoir qui va payer et toucher le pactole, laisse-moi juste reprendre mon souffle pour cette bonne tranche de rigolade pendant que la bulle verte continue son business-crash et que le monde continue comme avant.


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