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Netflix frôle la barre des 100 millions d’abonnés malgré des recrutements plus bas que prévus

On s'échauffe avant les bilans des opérateurs

Netflix frôle la barre des 100 millions d'abonnés malgré des recrutements plus bas que prévus

Le 18 avril 2017 à 14h03

La valse des résultats trimestriels reprend, et c'est Netflix qui a dégainé en premier cette fois-ci. Le géant américain de la SVOD a manqué ses objectifs de recrutement de nouveaux abonnés, pourtant, l'entreprise est enfin parvenue à dégager un bénéfice en dehors des États-Unis.

Inéluctablement, Netflix poursuit son ascension. Le géant de la SVOD flirte avec la barre des 100 millions d'abonnés à travers le monde, mais ne l'a toujours pas franchie, alors que bon nombre d'observateurs s'y attendaient. Malgré ce contre-temps fâcheux, le groupe américain est encore très loin de la catastrophe.

Le bénéfice explose

Son chiffre d'affaires a en effet bondi de près de 35 % en un an, afin d'atteindre 2,637 milliards de dollars au premier trimestre 2017. Pour la première fois de l'histoire de l'entreprise, qui avait débuté avec de la location de DVD par correspondance, les revenus du streaming ont compté pour plus de 2,5 milliards de dollars sur les trois derniers mois. Un record que Netflix compte battre dès le prochain trimestre. 

Autre bonne nouvelle, le bénéfice opérationnel de l'entreprise a été multiplié par plus de cinq en l'espace d'un an et s'établit désormais à 257 millions de dollars. Un score en partie dû aux progrès réalisés par Netflix en dehors des États-Unis. Habitué à cumuler les pertes à l'étranger, le géant américain a inscrit un bénéfice de 43 millions de dollars hors de ses terres. Un exploit qui ne devrait pas être renouvelé, sauf surprise, au prochain trimestre. 

Le résultat net s'établit quant à lui à 178 millions de dollars, à comparer aux 28 millions enregistrés un an plus tôt à la même période. 

Les marges retomberont au deuxième trimestre

Cette embellie n'est toutefois que de courte durée. En pratique, Netflix a retardé le lancement de certains de ses contenus, notamment la saison 5 de House of Cards au deuxième trimestre, décalant d'autant l'imputation des coûts liés dans ses comptes. Ainsi, de 9,7 % de marge opérationnelle entre janvier et mars, l'entreprise passera plutôt à 4,4 % sur les trois mois suivants. Un recul qui ne remet toutefois pas en cause l'objectif de 7 % sur l'année.

Il sera également intéressant de voir quelle manière l'EBITDA du spécialiste de la SVOD évoluera. Netflix prévoit en effet de lever de nouvelles dettes lors de ce trimestre, ce alors que son taux d'endettement est déjà élevé. Il s'établit à environ 4,1x l'EBITDA des douze derniers mois, avec une dette brute à long terme de 3,365 milliards de dollars. 

Ces nouveaux emprunts seront nécessaires dans la mesure où Netflix brûle 2 milliards de dollars de liquidités chaque année en raison de ses importants investissements dans les contenus à fournir à ses abonnés. Les caisses sont toutefois loin d'être vides, avec quelques milliards encore bien au chaud.

Un recrutement qui se tourne de plus en plus à l'extérieur

Côté recrutement, comme nous l'expliquions plus haut, Netflix a loupé de peu la barre des 100 millions de clients. Au 31 mars, le service comptait 98,75 millions d'utilisateurs, dont 94,36 millions d'abonnés payants. Le reste étant principalement formé de personnes profitant de leur mois d'essai gratuit ou d'une offre similaire. 

Netflix croissance abonnés Q1 17

Sur le seul premier trimestre, ce sont 4,95 millions de clients qui ont rejoint le géant de la SVOD. La tendance observée depuis 2014 avec une part de plus en plus importante de nouveaux clients ne provenant pas des États-Unis se confirme encore, puisque seuls 1,42 million de nouveaux arrivants sont américains, contre 3,53 millions dans le reste du monde. Sur le cumul global, Netflix se rapproche d'une parité entre son nombre d'abonnés étrangers (47,89 millions) et ceux sur le territoire américain (50,85 millions). 

À l'étranger, les performances dépendent des régions du monde. Netflix se dit « très satisfait » de sa croissance en Amérique du Nord, en Amérique Latine et en Europe, mais assure avoir « beaucoup de progrès à faire » ailleurs dans le monde, notamment en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient. La société ne dit d'ailleurs pas inquiète, ayant déjà eu à relever ce genre de défis en Amérique du Sud.

Dans le détail des recrutements, on peut noter que les chiffres sont moins bons qu'il y a un an, aussi bien aux États-Unis qu'ailleurs. La société justifie ce recul par le fait qu'au premier trimestre 2016, elle avait profité de son lancement dans 130 pays, ce qui avait provoqué un pic de recrutements. Pour le reste, elle précise qu'une partie des abonnements attendus avant mars ont été repoussés au deuxième trimestre, en raison du décalage du lancement de certains contenus. Un point qui explique le score attendu bien plus élevé que l'an passé pour les trois mois à venir.

Quand y'en ARPU...

Si les recrutements sont clairement tournés au large des États-Unis et que la parité s'approche entre le nombre de clients américains et les autres, les deux branches de l'entreprise sont encore loin d'obtenir les mêmes résultats comptablement parlant. 

Ainsi, Netflix comptabilise 1,470 milliard de dollars de revenus avec ses 50,85 millions de clients américains, contre 1,046 milliard pour ses 47,89 millions d'abonnés étrangers. La marge brute est d'ailleurs bien plus élevée aux États-Unis (606 millions de dollars) que dans le reste du monde (43 millions de dollars). 

Selon le géant de la SVOD, la différence se trouve au niveau de l'ARPU (revenu moyen par abonné), plus faible en moyenne dans le reste du monde que chez l'oncle Sam, notamment du fait de pratiques tarifaires différentes et des fluctuations monétaires. Netflix affirme travailler sur ce point, et met en avant une hausse de 12 % sur un an de son ARPU auprès de ses clients étrangers, sans donner de chiffre précis pour autant.

Un milliard pour le marketing en 2017

Pour continuer sa progression dans le monde entier, Netflix entend mettre les bouchées doubles sur sa communication, avec un plan de plus d'un milliard de dollars pour ses dépenses marketing en 2017. Cela passera bien évidemment par de la publicité sur Internet (avec l'achat d'espaces en programmatique), ou par des « évènements et activités » à destination des journalistes et autres influenceurs. 

Le géant de la SVOD compte aussi promouvoir ses contenus au travers d'autres moyens, notamment en proposant certains de ses programmes à des partenaires. L'entreprise cite ainsi un exemple d'opération avec le câblo-opérateur Comcast qui avait pu offrir a certains de ses abonnés un accès d'une semaine aux contenus de Netflix un peu plus tôt ce mois-ci. Il sera d'ailleurs intéressant de voir si ce type d'action ponctuelle s'étendra à la France.

Pas peur de la concurrence

Reed Hastings, le PDG de Netflix, a enfin pris la parole pour s'emparer d'un sujet bouillant, celui de la concurrence grandissante qui s'organise autour de son entreprise. De plus en plus de sociétés comme Hulu, Sony (PlayStation Vue), Sling ou Google (YouTube TV) proposent des bouquets de chaînes payantes en dehors des offres des câblo-opérateurs, un sursaut de concurrence qui ne plait pas vraiment aux investisseurs de Netflix

Le responsable a donc tenu à les rassurer. « Nous pensons que les distributeurs virtuels de programmes vidéo (ou VMVPD) ont plutôt vocation à concurrencer les distributeurs existants puisqu'ils proposent les mêmes bouquets de chaînes à 30 ou 60 dollars par mois, et peuvent séduire la part de la population qui ne dispose pas déjà d'une offre de télévision payante. Mais nous ne pensons pas qu'ils auront un impact sur nous, car Netflix est largement complémentaire à ces offres. », pose-t-il. « Et puis nous nous concentrons sur la télévision à la demande, sans publicité, plutôt que sur le direct financé par la publicité » balaye ensuite le dirigeant.

Autre caillou dans la chaussure de Netflix : Amazon, qui va enrichir son offre Prime Video avec la diffusion de matchs de football américain. Là encore, la situation n'inquiète pas Reed Hastings, qui estime que son concurrent fait ici une mauvaise opération. « Ce n'est pas une stratégie qui nous sied, puisque nous pensons que nous pouvons attirer plus d'audience et de satisfaction en dépensant cet argent dans des films et des séries ». Pourtant, dans le domaine de la télévision payante, le sport a souvent été un produit d'appel très largement mis en avant dans les bouquets des diffuseurs, avec son lot de succès et de déconvenues.

Commentaires (32)

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 ” « évènements et activités » à destination des journalistes et autres influenceurs. “



Quand on voit la pauvreté de l’organisation de la promo de Narcos avec Lainkk et Terracid (qui me rappelle M6 à l’époque du Morning Live), je ne suis pas certain que ça plombe leurs revenus.

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Ils font des pubs au ciné de temps en temps aussi <img data-src=" />

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Et les diffuseurs (pré)historiques français, qui ont laissé Netflix s’installer sans (trop) broncher, vont maintenant venir chouiner que Netflix a piqué le marché…

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“Le géant de la SVOD”Il faut dire : “le géant de la VADA”! :p

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c’est combien l’abonnement mensuel ? (c’est peut être dans l’article.. mais il est beaucoup trop long pour le sujet pour moi)

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Je ne sais plus qui disait que Hollywood faisait des films tellement bas de gamme que les séries TV ont pu réussir à s’améliorer au point de devenir des chefs-d’oeuvre cinématographiques.



Netflix produit des séries TV locales (et des films/téléfilms) dans le monde entier et, à titre personnel, c’est un plaisir de suivre quelques séries locales dépaysantes qui changent du cinéma aseptisé et consensuel (d’origine hollywoodienne ou parisienne).



(en plus, contrairement à OCS/HBO, Netflix propose de la version doublée en plus de la VO sous-titrée)

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maxscript a écrit :



c’est combien l’abonnement mensuel ? (c’est peut être dans l’article.. mais il est beaucoup trop long pour le sujet pour moi)





Cela dépend de l’offre que tu choisis. Cela va de 7.99€ à 11.99€ par mois. J’ai souscrit à l’offre à 11.99 et la partage avec la famille (on peut regarder 4 écrans en simultané). et c’est tout de suite très avantageux.


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En plus à ce prix la on a la 4K <img data-src=" />

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&nbsp;







gnomesgames a écrit :



En plus à ce prix la on a la 4K <img data-src=" />





C’est pas faux. Encore faut-il avoir le matériel et aussi la ligne qui le permet.&nbsp; <img data-src=" />


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Je regrette que Netflix, en plus de la SVOD, ne propose pas les films récents en location VOD par paiement à l’acte.

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maxscript a écrit :



c’est combien l’abonnement mensuel ?









Vachalay a écrit :



Cela dépend de l’offre que tu choisis. Cela va de 7.99€ à 11.99€ par mois. J’ai souscrit à l’offre à 11.99 et la partage avec la famille (on peut regarder 4 écrans en simultané). et c’est tout de suite très avantageux.





Et tu peux partager financièrement l’abonnement avec la famille ou des potes en donnant tes accès (4 profils max). <img data-src=" />


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Et les populistes vont venir expliquer que LA solution évidente que “le système” essaye de cacher est de faire du protectionnisme pour avantager les concurrents français (cet à dire leur permettre de rester rentable sans avoir à innover).

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gnomesgames a écrit :



En plus à ce prix la on a la 4K <img data-src=" />





cela dit tout le catalogue n’est pas dispo en 4K ^^


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non, Je ne ferai pas de remarque sur le pseudo ^^



Perso la formule 2 écrans est suffisante pour la plupart des usages. J’ai même choisi ce mois ci de rouvrir mon abo avec le mono écran sans HD.

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joma74fr a écrit :



Je ne sais plus qui disait que Hollywood faisait des films tellement bas de gamme que les séries TV ont pu réussir à s’améliorer au point de devenir des chefs-d’oeuvre cinématographiques.



En même temps depuis les séries d’HBO des années 2000 (Soprano, The wire,etc…), les séries ont fait un bon qualitatif énorme <img data-src=" />



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joma74fr a écrit :



Netflix produit des séries TV locales (et des films/téléfilms) dans le monde entier et, à titre personnel, c’est un plaisir de suivre quelques séries locales dépaysantes qui changent du cinéma aseptisé et consensuel (d’origine hollywoodienne ou parisienne).



&nbsp;+10000

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joma74fr a écrit :



(en plus, contrairement à OCS/HBO, Netflix propose de la version doublée en plus de la VO sous-titrée)



Vite fait, les sous-titres c’est parfois assez aléatoire en termes de langues (certaines fois que francais)

Le son c’est pareil, c’est pas toujours du 5.1 et se taper du 2.0 c’est moche&nbsp; <img data-src=" />, surtout que tu trouves les films ailleurs sur le net en 5.1


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Ça s’appelle la chronologie des médias et, dans le cas de Netflix, il faut compter 36 mois <img data-src=" />

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Non, je ne parle pas d’un problème de chronologie des médias mais juste du fait de pouvoir louer des films en VOD via Netflix. Le paiement pourrait être ajouté au prix de l’abonnement lors du prélèvement ou alors payé directement lors de la location.



Ce serait bien d’avoir tout via la même interface qui est vraiment pas mal.

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digital-jedi a écrit :



Et tu peux partager financièrement l’abonnement avec la famille ou des potes en donnant tes accès (4 profils max). <img data-src=" />





Toutafé :)

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dematbreizh a écrit :



non, Je ne ferai pas de remarque sur le pseudo ^^



Perso la formule 2 écrans est suffisante pour la plupart des usages. J’ai même choisi ce mois ci de rouvrir mon abo avec le mono écran sans HD.





Lorsque l’on est 4 (de confiance) à vouloir Netflix, l’offre Premium est la plus intéressante<img data-src=" />


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Pour ceux qui ont l’abonnement en 4K, ça nécessite d’avoir la fibre ou un bon ADSL suffit ?



J’hésite à passer à cet abonnement ne sachant pas vraiment si le pauvre ADSL fera l’affaire (je suis à peu près à 20Mbps/s).



Sur le site, ils mettent qu’il faut 25Mbps/s au minimum donc je sais pas trop si c’est la limite basse ou si ils se rajoutent une marge de sécurité



&nbsp;

votre avatar

Pour la plupart des usages peut-être, mais si tu partages les coûts avec 3 autres personnes (dans mon cas : frère, copine, parents), tu te retrouves avec l’abo à 3€ / mois (un écran chacun au max), et c’est vraiment pas mal ;)

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Merci pour la réponse :)

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T’inquiète dans notre beau pays, les corporations, diriger par des potes de nos politiques, vont venir chouiner et l’état vas mettre en place une petite taxe quelque part. Au final le consommateur vas payer cette taxe, créant ainsi un transfert d’argent massif entre la population et des acteurs privée archaïque.

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Mais de quoi est-ce que tu parles? <img data-src=" />

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Je te traduis :



Canal+ & co, vont venir taper à la porte du gouvernement car Netflix “domine” le marché de la SVOD, donc ils vont faire chanter le GVT en disant, soit vous faites pas quelques chose, on supprime des emplois, blablabla….



Et là, poufffff, la taxe Netflix apparaît <img data-src=" />





<img data-src=" />

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bast73 a écrit :



Pour ceux qui ont l’abonnement en 4K, ça nécessite d’avoir la fibre ou un bon ADSL suffit ?



J’hésite à passer à cet abonnement ne sachant pas vraiment si le pauvre ADSL fera l’affaire (je suis à peu près à 20Mbps/s).



Sur le site, ils mettent qu’il faut 25Mbps/s au minimum donc je sais pas trop si c’est la limite basse ou si ils se rajoutent une marge de sécurité



&nbsp;





J’ai été obligé de m’abonner pour te répondre, mais bon ça me fait une bonne excuse&nbsp;<img data-src=" />



C’est ici :&nbsphttps://fast.com/fr/

25 mbps conseillés pour l’UHD, je suis à 11 perso en VDSL2 pourrie (SFR qualität)



&nbsp;



joma74fr a écrit :



Je ne sais plus qui disait que Hollywood faisait des films tellement bas de gamme que les séries TV ont pu réussir à s’améliorer au point de devenir des chefs-d’oeuvre cinématographiques.



Netflix produit des séries TV locales (et des films/téléfilms) dans le monde entier et, à titre personnel, c’est un plaisir de suivre quelques séries locales dépaysantes qui changent du cinéma aseptisé et consensuel (d’origine hollywoodienne ou parisienne).



(en plus, contrairement à OCS/HBO, Netflix propose de la version doublée en plus de la VO sous-titrée)





&nbsp;Complètement d’accord, je trouve actuellement que le nombre de bonnes séries dépasse celui des bons films, mais ça doit être sans doute parce que je ne vais que très peu au cinéma à cause du prix, ce qui fait que je m’assure bien que je vais aimer le film avant d’y aller.



Sinon pour Netflix j’attends vraiment une hausse du prix pour avoir un vrai catalogue de bons films/séries, récent ou non.

Et qu’ils proposent une bonne qualité audio et vidéo, parce qu’on atteint très vite les limites avec Netflix, et je me dis que le tipiak a encore de beaux jours devant lui avec ce qu’on peut trouver en format et qualités.


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wé, mais pour ça faut avoir des amis :(

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L’application Netflix est intégrée à ma TV.

J’ai un abonnement de base (9,90 €/mois) et je suis très satisfait de ce service.

Je trouve qu’il y a bien assez de choix (en tous cas pour mon usage) et la qualité du streaming est la plupart du temps excellente (FHD) avec mon débit ADSL de 10 Mb/s., l’audio est le plus souvent en 5.1.



Je trouve l’interface assez agréable et la gestion d’une liste ainsi que la reprise possible d’un film là où on l’a quitté plusieurs jours avant sont des plus appréciables.



J’aime bien aussi le fait d’être prévenu par email de l’ajout de nouveaux films ou séries, ce n’est pas intrusif et bien pratique.



Bref, pas grand chose à reprocher pour un prix raisonnable et le problème de chronologie personnellement ne me dérange pas du tout.


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bast73 a écrit :



Pour ceux qui ont l’abonnement en 4K, ça nécessite d’avoir la fibre ou un bon ADSL suffit ?



J’hésite à passer à cet abonnement ne sachant pas vraiment si le pauvre ADSL fera l’affaire (je suis à peu près à 20Mbps/s).



Sur le site, ils mettent qu’il faut 25Mbps/s au minimum donc je sais pas trop si c’est la limite basse ou si ils se rajoutent une marge de sécurité



&nbsp;





Je pense qu’il faut vraiment avoir 25 Mbps. Normalement Netflix va tester ta connexion au lancement de la vidéo pour voir si tu peux soutenir de la 4K stable pour éviter le buffering intempestif.

Sache qu’il faut aussi que ton équipement soit certifié 4K par Netflix, soit à ma connaissance :




  • Un PC avec le dernier processeur Intel, WIndows 10 et le navigateur Edge ou l’appli native (il y’a peut-être d’autres restrictions)

  • Une télé Android TV certifié 4K, les Phillips et Sony par exemple.

  • Une box Android TV certifié 4K comme la Nvidia Shield TV

  • Xbox One S ou PS4 Pro

    La liste complète ici : https://help.netflix.com/fr/node/13444

    &nbsp;

    Je suis abonné Netflix depuis le début à l’offre 11,99€ pour en faire profiter la famille (4 écrans en simultanés) et franchement c’est top. Ils sont tous très content de pouvoir découvrir de nouvelles séries, des documentaires et des anciens films.

    Alors oui l’offre est encore à étoffé et il est assez pénible d’avoir un catalogue de films assez restreint, je ne comprends pas pourquoi tous les films de plus de 3 ans ne sont pas présent…

    Au niveau de série, l’offre est excellente, le seul défaut est le nombre de saisons pour les séries non Netflix, il manque toujours les dernières ce qui oblige à se tourner vers des solutions moins légales…

    La 4K est sympathique sur ma TV mais vu le recul que j’ai, franchement je ne vois pas la différence avec le 1080p. Donc j’en profite car inclus dans mon offre et mon équipement est compatible mais sinon un bon 1080p me convient très bien.


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Netflix 4K passe chez moi avec du 20 Mbps sans buffering intempestif, le débit est adaptatif et il me semble que Netflix a optimisé son débit d’encodage depuis le lancement de leur streaming 4K.&nbsp;



En revanche, effectivement, à quelques mètres de la TV, il est difficile de cerner la différence avec du 1080p. Je dirais même qu’un Blu-Ray 1080p bien encodé est de meilleure qualité.



Au final, pas de miracle, la 4K se justifie surtout via le Blu-Ray UHD et ses débits entre 4 et 6 fois supérieurs à ceux de Netflix…

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CounterFragger a écrit :



…Au final, pas de miracle, la 4K se justifie surtout via le Blu-Ray UHD et ses débits entre 4 et 6 fois supérieurs à ceux de Netflix…



Entièrement d’accord, le codec H265 est très performant mais ne fait pas de miracle…

Donc le streaming en 4K ça va vraiment être pour ceux qui ont de la fibre et encore, vu qu’ils doivent compresser à mort il est bien possible qu’un BR FHD en qualité originale soit meilleur comme tu le fais justement remarquer d’ailleurs…


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Kerwan a écrit :



Alors oui l’offre est encore à étoffé et il est assez pénible d’avoir un catalogue de films assez restreint, je ne comprends pas pourquoi tous les films de plus de 3 ans ne sont pas présent…

Au niveau de série, l’offre est excellente, le seul défaut est le nombre de saisons pour les séries non Netflix, il manque toujours les dernières ce qui oblige à se tourner vers des solutions moins légales…





Je pense que le problème est que Netflix doit acheter les droits de diffusion pour chaque film/série qu’il ne produit pas et que tout avoir serait trop cher vu que l’abonnement n’augmente pas et que je pense que chaque nouveau territoire couvert&nbsp; nécessite une nouvelle négociation et donc une nouvelle rémunération pour ceux qui ont produit ces œuvres. Avec le nombre de clients qui augmente ça permet d’avoir de plus en plus de choses dans le catalogue mais il faut quand même faire des choix.

Et pour les dernières séries, les producteurs espèrent surement vendre plus cher à quelques chaînes&nbsp; ou en DVD alors que si c’est sur Netflix, l’intérêt pour une autre chaîne ou pour les acheteurs de supports physiques potentiels&nbsp; baisse beaucoup.


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dematbreizh a écrit :



wé, mais pour ça faut avoir des amis :(





un ami, c’est un pokémon ?


Netflix frôle la barre des 100 millions d’abonnés malgré des recrutements plus bas que prévus

  • Le bénéfice explose

  • Les marges retomberont au deuxième trimestre

  • Un recrutement qui se tourne de plus en plus à l'extérieur

  • Quand y'en ARPU...

  • Un milliard pour le marketing en 2017

  • Pas peur de la concurrence

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