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SebGF

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Blogger, writer, amateur photograph, tinkerer, solutions architect, problem solver, coffee addict.

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14037 commentaires

Le 18/11/2024 à 18h 45

Ah Factorio, j'y ai passé des heures de ma vie. Surtout quand l'armada de drones vient poser un blueprint.

Comme Satisfactory où je m'étais construit un réseau de métro pour rejoindre toutes mes installations avec quelques wagons de ressources.

Mais surtout, Dyson Sphere Program qui était excellent ! (pas retouché depuis un an, mais le jeu a beaucoup évolué depuis il me semble)

En ce qui concerne le parallèle du numérique, je donnerais un retour d'expérience plutôt simple du monde professionnel qui m semble faire écho avec l'édito.

Avant, quand on avait tout on-premise, l'infra ça coûtait cher, mais c'était le problème de l'infra. Les serveurs physique, ça faisait partie du budget du projet, c'était installé et on en parlait plus (le fait que ça consomme du jus, les projets s'en foutaient). Les switchs, les baies, le reste, on s'en fout, c'est la DSI qui paye.

Par la suite, y'a eu le Cloud magique qui a transformé la charge IT du CAPEX à l'OPEX. Sauf que certains ont gardé le vieux modèle et qu'en réalité, le Cloud provider restait payé par la DSI. Résultat, les projets métier ignoraient toujours le coût de leur IT et prenaient des décisions en conséquence. Le silicium ça coûte pas cher, on gonfle la VM, ça coûtera moins cher que d'optimiser l'appli. Et de toute façon, une fois l'appli passée en RUN, c'est plus le problème du projet.

Puis, à un moment, on s'est dit que ça serait 'achement bien de faire prendre conscience aux projets métier du coût de l'infra et qu'il faudrait aussi démanteler ce qui ne sert plus. On a inventé l'idée du FinOps, on a créé des dashboard pour dire que la qualif utilisée une fois tous les 36 du mois qui tourne H24, ça représente le coût de 3 ETP. Ou potentiellement 2x ton salaire annuel. Mais ils s'en foutaient toujours autant.

Puis, on a fini par décider que le coût infra build ET run entrait dans le budget opérationnel des directions métier. D'un coup, les infras à 30k€ mensuels qu'on gardait "parce que ça peut servir", ça devenait un sujet important à traiter parce qu'à côté de ça, c'était des ETP qui sortaient sinon.

Ce que j'en ai retenu de mon expérience dans plusieurs entreprises en tant que presta, c'est qu'au longtemps que c'est le problème "des autres", il n'y aura pas de prise de conscience. Quand bien même "les autres" sont financés par le même chiffre d'affaire que celui qu finance "son" projet.

Bref, c'est comme dire que "les autres" n'avaient qu'à écoper le Titanic.

Et si vous voulez faire un parallèle hors IT : regardez une copropriété. Des dégradations à réparer ? S'pas grave, c'est la copro qui paye. C'est financé par les charges ? S'pas grave, c'est récupéré sur les locataires (par contre les proprios occupants comme moi...). Tout ça pour dire que du moment que ça touche pas son propre compte en banque, généralement c'est "pas mon problème".

Le 18/11/2024 à 08h 34

Je m'auto répond, KeePass, KeePassXC, KeePassDX... gèrent les entrées TOTP. Vous pouvez donc remplacer Aegis par KeePass. Attention, chez MS, il faut spécifier que l'on utilise du TOTP sinon on se retrouve avec le protocole maison et donc l'obligation d'utiliser l'authentificator Microsoft.

J'utilise en partie KeepassXC pour le TOTP, mais pour ce que j'estime de moins critique. Utiliser le gestionnaire de secrets pour faire le MFA est un peu contradictoire sur le principe.

Ou alors séparer les fichiers kdbx, mais ça devient relou à gérer.

Le 17/11/2024 à 10h 32

Elle contient plusieurs évolutions significatives, dont le passage à Material You, avec adaptation automatique au thème utilisé sur l’appareil, qu’il soit clair ou sombre (la bascule était jusqu’à présent manuelle).
Bah en fait, il a juste la même gueule qu'avant mais avec +20% sur la police d'écriture.

Le 17/11/2024 à 10h 30

Ouais enfin d’après des quelques échos que j’ai pu avoir, travailler pour le Groupe La Poste c’est pas vraiment tout rose non plus.

Pour avoir bossé dans plusieurs entreprises "best place to work", je me demande toujours comment le titre est obtenu.

Le 16/11/2024 à 21h 18

Dans les faits c'est faux, les clients ne sont pas "achetés". Ce sont les contrats d'abonnement qui font partie des actifs de l'entreprise rachetée qui le sont.

Le 16/11/2024 à 21h 15

Y'a pas beaucoup de rachats d'entreprise qui sont tout rose je pense.

Une fusion / intégration à un autre groupe fini forcément par rationaliser et derrière y'a toujours un peu de casse (suppressions de postes car en doublon, mutualisation, etc).

Le 17/11/2024 à 10h 26

ouest-france.fr Ouest France

Dans un futur proche avec plus de smartphones que de casques VR et des ressources limitées, vu la raréfaction de la denrée, du 1080p se troquera plus facilement contre un paquet de Chocapics périmés que du matos pour quest 8 ! :windu:

T'es pas obligé d'avoir un casque VR, les smartphones savent le faire ;)

Quant au blocage de sites en ligne, ici le personnage n'aura pas de soucis avec le contenu dans son sac à dos. Il suffit qu'il s'installe Stash sur un raspberry alimenté au solaire et il pourra profiter de toute sa collection. Encore mieux que le solaire ! Une dynamo reliée au bras, comme ça il sera d'autant plus motivé :D

Il ne faut jamais sous estimer l'adaptabilité du geek quant il s'agit de ressources essentielles !

Le 16/11/2024 à 14h 35

Broarf, du 1080p pour le porno c'est has-been. Maintenant c'est full 4K VR ou rien !

Le 15/11/2024 à 15h 04

Valve expliquait il y a quelques semaines qu’on n’achète pas vraiment un jeu et que le paiement ne donne droit qu’à une licence d’utilisation : « L'achat d'un produit numérique accorde une licence pour le produit sur Steam ».
En soi, rien de nouveau. Dans le domaine du logiciel, on acquiert une licence d'utilisation et, éventuellement, un support contenant les binaires.

Vu qu'on est dans le domaine de la propriété intellectuelle, dire qu'on "achète" un jeu ou un logiciel est plus ou moins un abus de langage courant. C'est comme l'achat d'un livre : on achète le support physique ou numérique, pas l'oeuvre.

Le 15/11/2024 à 14h 16

Ask for forgiveness, not permission risque de rester le mot d'ordre pendant très longtemps encore.

Le 15/11/2024 à 13h 58

Oh punaise !!! Je me suis fait avoir... J'ai recherché Next en voulant l'ajouter et j'avais ajouté le compte nextiMpact.bsky.social avec un M !!! Je dois pas être le seul vu qu'il a 20 abonnées ce compte, le boulayyy.... Merci c'est corrigé !

Ce serait pas mal d'ajouter un petit TXT dans les DNS de Next.ink pour avoir un compte au nom de votre domaine

Ah tiens j'avais pas vu cette option, je viens de le faire, sympa.

Le 15/11/2024 à 10h 22

J'ai effectivement vu qu'il était un peu plus actif :yes:

Le 15/11/2024 à 13h 51

Oui il y a eu un article au sujet de l'attaque devant le Conseil d'Etat : next.ink Next

Le 15/11/2024 à 10h 40

Pas sur un smartphone, il me semble que la RAM est intégrée au SoC.

Le 15/11/2024 à 10h 21

Quand on parle d'inactivité, c'est vraiment l'appareil en veille et jamais utilisé (je vois sur la capture qu'il est en mode avion, mais comme ils disent que le réseau n'est, à priori, pas pris en compte...) ou bien le tripoter régulièrement suffirait à réinitialiser le compte à rebours ?

Le 15/11/2024 à 10h 32

La sous-traitance est la base de nos sociétés modernes, personne ne peut à la fois être médecin, clown, ingénieur, sociologue et agriculteur.
Ce n'est pas différent ici.

Ironiquement, les clients demandent aux sous-traits d'être moutons centipede pour un TJ de misère.

(genre les profils "devops" dans l'IT, AKA bullshit à qui on demande de faire du dev, du sys, du projet et de l'archi pour 400 boules par jour)

Le 15/11/2024 à 10h 27

Ah, on parle donc plus des solutions SaaS de Microsoft que d'Azure si je comprend bien.

(même si ça gueule aussi au sujet du licensing de produits MS plus avantageux dessus)

Le 14/11/2024 à 15h 50

Quelqu'un qui connaît ses classique, ça fait plaisir !

Tu baises les ménagères, c'est bien, tu dois avoir le cul qui brille.

Le 14/11/2024 à 11h 25

Est-ce qu'être et rester sur X vaut soutien ?
Je ne pense pas.

Est-ce quitter X fait changer les choses dans le bon sens ?
J'ai des doutes.

On pourrait facilement quitter X vu le reach qu'on y a, ça ne nous couterait pas grand-chose.
Mais ça ne changerait pas grand chose non plus.

Personnellement, je n'aime pas Elon Musk bien avant que ce ne soit tendance, depuis son émergence sur la scène publique (ouais je me la pète et vous allez faire quoi ?).
Et dernièrement, j'ai même tendance à le détester tellement il peut faire et dire des trucs de gros teubé.

Si on veut vraiment faire obstacle à l'empire Elon Musk, nous Next, on peut :
- dénoncer objectivement ses outrances (ce qu'on fait déjà, y compris sur X)
- être présent sur les réseaux sociaux alternatifs (ce qu'on pourrait sans doute améliorer)
- utiliser des icônes Twitter dans les liens des commentaires au lieu de X sur Next hihihihi.

Pour le reste, il faut :
- produire des voitures électriques performantes à coûts acceptables (désolé @yl je n'ai pas pu m'empêcher)
- éliminer les zones blanches sur notre territoire
- soutenir la filière espace européenne
- développer une Europe forte et souveraine

Voilà, nous on fait notre part, à vous de faire la vôtre maintenant !

Voilà, nous on fait notre part, à vous de faire la vôtre maintenant !
Les français le font quotidiennement : ils râlent. :D

Le 14/11/2024 à 11h 12

Les logiciels de création se dotent de plus en plus d'IA générative. La version 12 d'Antidote propose aussi des reformulations avec plusieurs niveaux de langues. C'est plutôt pratique, notamment pour les tournures passives pas souvent top top. D'après leur FAQ, ils utilisent un "modèle ouvert" qu'ils ont intégré en interne.

Le 14/11/2024 à 07h 41

Oh bah ya pas besoin de très gros hardware pour faire tourner Llama 70B (au pire si tu as pas assez de RAM, suffit de quantiser). Par contre comme ça tient pas dans la VRAM et que les 3/4 du modèles sont en RAM, c'est ultra-lent.

Mais Llama 3 8B non seulement je le trouve pas très bon, mais il a même carrément tendance à brainfart. Par exemple, pour le tester, je lui ai posé une question simple : "Comment obtenir des backlinks sur un site web". Sa réponse :

Obtenir des backlinks peut être un défi, mais il y a plusieurs stratégies que vous pouvez utiliser même si vous n'avez pas de contacts dans l'industrie. Voici quelques astuces pour obtenir des liens :
Broken Link Building : Recherchez les sites qui ont des liens brisés ou 404 et proposez une alternative valide en échange d'un lien vers votre site.
Resource Pages : Créez un article de qualité et partagez-le sur les pages de ressources de vos concurrents ou de sites similaires à votre niche.
Guest Blogging : Élest Gä
Éste
Voilà voilà... :D

Sa connaissance en culture gé française est également médiocre (et à chaque fois que je lui pose une question sur un journaliste ou animateur de télévision ou de radio, il veut absolument que celui-ci ait animé Les Grosses Têtes, je sais pas pourquoi), et pareil sur les questions techniques où il reste systématiquement vague et finalement peu utile.

Pour Llama 70B, je sais pas s'il est vraiment plus compétent, honnêtement c'était trop lent pour que j'aie le courage de le tester en détail (15 minutes par réponse). Je l'ai challengé un peu sur mon domaine de compétence (la traduction) et je l'ai trouvé "normal", ni meilleur ni moins bon que GPT-4o que je trouve lui-même ni meilleur ni moins bon que DeepL. 8B était un cran en-dessous, comparable à GPT-3.5 voire moins encore.

Utiliser uniquement les "connaissances" du modèle est pour moi un cas d'usage merdique. On atteint rapidement les limites de l'entraînement.

Ce n'est pas le mien, justement, qui est plus axé sur le RAG ou sa capacité à itérer des possibilités. Et là dessus, j'ai pas trop à me plaindre.

Le 11/11/2024 à 09h 03

Par contre Llama 3 8B est con comme la lune et part très vite en sucette total, et Llama 3 70B il génère 1 token à la seconde en descente avec le vent dans le dos à causes des transferts permanents RAM>VRAM vu qu'il tient pas entièrement dans la VRAM d'un GPU grand public.

Je n'ai pas le hardware pour faire tourner Llama 70B, donc je ne peux pas dire.

Le 8B ne me pose aucun souci dans mes usages là où Mixtral commence à montrer ses limites en matière de compréhension des system prompt.

Et au besoin quand ma machine ne suit pas, j'utilise les versions hébergées par Infomaniak. Le coût à l'usage n'est pas énorme.

Le 09/11/2024 à 22h 47

J'ai testé avec Llama3 et Mistral, j'ai vu aussi qu'il existe une webUI sinon il faut tout faire en ligne de commande. La petite baque, Mistral n'a pas compris :

salut, vu que ton modele est mistral. est-ce que tu met des vents ?
Oui, mon modèle Mistral peut prendre en compte les vents à différentes échelles de résolution dans son
environnement. Pour plus d'informations sur comment utiliser ces données météorologiques dans le modèle, je te
recommande de consulter la documentation officielle ou de contacter le support technique.

Oui tu as OpenWebUI qui permet d'avoir une interface beaucoup plus sympa que Ollama seul en CLI ;)

Et ouais, les LLM ont du mal avec l'humour.

Le 08/11/2024 à 20h 30

Avec ça, y-a-t-il des modèles en leur donnant un fichier audio d'un enregistrement d'une réunion ils font une transcription en texte ?

Mistral c'est pas bien comme modèle ? c'est français

Pour la Speech to Text, tu as Whisper d'OpenAI, l'un de leurs premiers modèles, qui fonctionne très bien.

Mixtral 8x7b fonctionne bien comme LLM, mais il commence à accuser son âge. Dans la mesure où les autres modèles de MistralAI ne sont pas diffusés en open-weight (dommage), les plus récents comme Large ne sont pas disponibles, donc leur offre est réduite.

J'oscille entre lui et Llama 3, mais clairement Mixtral se fait surpasser par ce dernier désormais.

Le 08/11/2024 à 15h 10

Encore plus facile d'accès, tu installes Ollama sur ta bécane et tu lances Llama 3.

Encore mieux : c'est offline une fois le modèle téléchargé.

Le 08/11/2024 à 12h 59

La question de la confidentialité des OS n'est pas nouvelle et elle ne se limite pas qu'à cette feature de Notepad. Windows est affublé de nombreux éléments connectés qui impliquent forcément une capacité d'extraction d'information.

Au même titre que Android communique régulièrement avec les serveurs de Google sans que l'on sache de quoi il s'agit en dehors de ce qui est écrit dans les CGU qu'il faut prendre comme argent comptant.

Dans tous les cas, un système critique portant des données qui ne doivent pas sortir ne doit pas être capable de sortir du réseau par lui-même. Faire confiance envers un éditeur, peu importe l'étiquette ou sa religion, est une faille en soi.

Le 13/11/2024 à 14h 50

De ma compréhension, il n'y a aucune différence entre Apple et Google qui dit :

Votre pays ou région sur Google Play détermine le contenu affiché sur le Play Store et dans les applications. Les applications, les jeux et les autres contenus du Play Store et des applications peuvent varier en fonction du pays ou de la région.

Reprenons les éléments reprochés par la Commission : (les parties en gras sont de moi)
Online access: Apple Media Services have a different interface for different countries in the EU/EEA. In the app version of these services, consumers are only allowed to access the interface made for the country where they have registered their Apple account and face significant challenges when attempting to change this, which is not allowed under EU's anti-geo-blocking rules.
Apple restreindrait la possibilité d'accéder à des services qui proviendraient d'un pays différent de celui depuis lequel le compte Apple a été créé. On ne parle pas ici des possibles restrictions d'accès que l'éditeur de l'application aurait mises pour l'utiliser (tout aussi illégales si ça ne rentre pas dans les exceptions autorisées, comme je l'ai dit précédemment).
Payment methods: When making paid purchases on Apple Media Services, consumers are only allowed to use means of payment (such as a credit/debit card) issued in the country where they registered their Apple account.
Restriction imposée par Apple, pas par l'éditeur d'une application.
Downloading: Since App Store does not allow consumers to access the version of another EU/EEA country, consumers are not allowed to download the apps offered in other countries. Consumers should be able to download apps offered in other EU/EEA countries when they travel to or temporarily stay in that country.
Même chose. Même si l'application n'est pas diffusée dans le pays en question, une personne venant d'un pays où le service est accessible doit pouvoir la récupérer ou y accéder.

Dans le cas que tu cites avec Google, c'est simplement l'aspect publication selon les pays. Google n'impose, à priori, pas les mêmes discriminations en fonction de la géolocalisation qu'Apple sur son magasin en ligne.

Le 13/11/2024 à 13h 39

Donc Google fait bien comme Apple, c'est l'éditeur de l'application qui décide au final, il y a juste un rappel à la loi que va devoir ajouter Apple dans sa documentation (je n'en ai pas trouvé trace).

Et c'est comme ça que se terminera probablement cette histoire car c'est logique, ce n'est ni Google ni Apple qui peuvent savoir si l'éditeur peut ou pas bloquer une application par pays.

De ma compréhension avec Apple, il y a une différence.

Apple modifie le comportement du magasin applicatif en fonction de la géolocalisation du client et du pays de création du compte (cf ce que dit @Esod ).

C'est ça qui est reproché.

Si, par contre, un éditeur d'application discrimine en dehors des cas prévus par le règlement en question, c'est sa responsabilité, pas celle d'Apple.

Le 13/11/2024 à 09h 57

Ton test confirme ce que je dis "l'une des premières est pour le Royaume Uni".
J'ai testé la même requête sur l'App Store, j'ai d'abord des applications en français, d'autres en anglais sortent plus loin.
Sur l'App Store il y a aussi des propositions de mots clés.

Et pour le Play Store, il y a la même possibilité pour un un éditeur de cibler des pays de diffusion, comme l'indique la documention de Google.

Et pour les utilisateurs, Google dit bien qu'un changement de pays n'est possible qu'une fois par an.

Mon test est potentiellement biaisé par le fait que mon portable est paramétré en anglais aussi.

Concernant le Play Store, Google indique bien qu'il est interdit de géo-bloquer selon le pays.
If you're distributing apps in the European Union (EU), please do not use unjustified geo-blocking to discriminate against users based on their nationality, place of residence, or establishment (see Geo-blocking Regulation (EU) 2018/302). For example, an app should be accessible EU-wide subject to other applicable laws and unless the main feature of the service is the provision of access to and use of copyright protected works or other protected subject matter.For more information, visit the European Commission's website.

Le 13/11/2024 à 08h 43

Chacun ses usages, mais perso c'est bien par le moteur de recherche de l'App Store que je passe quand j'ai besoin d'une application, jamais par les sites Web. Donc non, je n'imagine pas un faux problème.

Les moteurs de recherche ont tendance à contextualiser dans la langue de l'OS pour fournir les résultats. Si je reprend ton exemple, quelles sont les chances que tu aies une application spécifique lituanienne (et dans leur langue seulement) pour un besoin quelconque ?

J'ai cherché par exemple "randonee" dans le Play Store, j'obtiens des résultats d'un peu partout, l'une des premières est pour le Royaume Uni, mais une partie était française. Et j'ai des propositions de mots clés pour affiner les résultats type "randonnée france", "randonnée région ABC" etc.

Bref, qu'est-ce qu'il empêcherait l'App Store d'iOS d'avoir la même capacité d'adaptation ou intelligence ? Je n'ai pas d'appareil Apple, donc je ne peux pas m'en rendre compte, mais leur store est bien plus historique et expérimenté.

Le 13/11/2024 à 08h 21

Ok mais au final, ça va être un peu pénible pour les utilisateurs lors de la recherche d'applications. Des applications spécifiques à la Lituanie vont sortir sans intérêt pour un français. Il faudrait au moins un filtre par pays ou langue au niveau de la recherche, sinon ça va être gavant.

Perso je n'a pas ce souci avec le Play Store de Google, pourquoi en serait-il autrement chez Apple ?

Après, je ne passe pas mon temps à chercher des applications là dedans. Généralement, j'y vais parce que j'en ai une à installer. Et vu que les 3/4 des sites web spamment "install our shitty app" (ce qui doit possiblement faire de la transformation), cela va-t-il changer quelque chose pour les utilisateurs ?

J'ai l'impression que tu imagines un faux problème.

Le 13/11/2024 à 07h 40

Je ne comprends pas bien ce que tu veux dire. Je fais par exemple une application gratuite pour de la randonnée en Sologne et je dois la rendre disponible dans toute l'Europe ? Si c'est ça, il faut que je la traduise et me tape du support éventuel en lituanien ou d'autres langues, bref des coûts supplémentaires !

Non, tu peux la laisser uniquement en français. C'est la restriction d'accès et de diffusion entre Etats-membres de l'UE/EEE qui sont interdits. Il n'y a aucune obligation à devoir traduire un logiciel dans toutes les langues ni de fournir du support.

Typiquement, les appli touristiques sont généralement disponibles dans la langue du pays, en anglais, parfois en français ou encore en espagnol, et ça va pas plus loin.

Le 13/11/2024 à 13h 47

J'ai l'impression qu'on peut avoir son serveur aussi qui s'ajoute au réseau.
github.com GitHub
J'ai vu plein de comptes pas en .bsky.social

Oui, le protocole de Bluesky (AT Protocol) est décentralisé. Il existe d'autres instances que celle portée par l'entreprise derrière, même si l'inscription met la principale en avant.

Le 12/11/2024 à 19h 07

L'idée des gros modèles monolithiques ne me semble pas viable dans le temps. Que ce soit pour les LLM ou les modèles de diffusion, je crois plus en des modèles plus petits et spécialisés et autonomes que du gros machin à tout faire. En gros, l'idée de l'architecture micro service, ou ce bon vieux principe du KISS.

On voit fleurir de plus en plus de LLM de petite taille, y compris chez les grands acteurs (Llama 3 a une version 1, 3, et 8b (et plus), tout comme phi de Microsoft est proposé en 3.8b et gemma 2 de Google en 2b). Ils sont forcément moins performants et moins polyvalents, mais peuvent servir de base d'entraînement pour faire du fine-tuning et de la spécialisation. Tout comme ils peuvent répondre à des tâches simples.

C'est un peu ce qu'on voit aussi avec Stable Diffusion ou le modèle de base est raffiné par la communauté pour produire des modèles spécialisés (mais aussi beaucoup de généralistes). Sans oublier bien sûr les LoRA ou ControlNet qui viennent enrichir les capacités.

La techno est encore jeune, donc elle va forcément passer par une phase de maturité et se transformer (ça me rappelle l'essor du smartphone en fait). Et OpenAI reste un nabot parmi les autres géants de la tech, donc il vaut mieux pour eux qu'ils rendent rapidement compte des limitations de la stratégie actuelle pour savoir comment se retourner. Avec Microsoft et Google qui développent leurs propres modèles (et Meta, évidemment, avec Llama) qui ont une très forte capacité de pénétration de marché, ils peuvent très rapidement se faire dépasser et rejoindre du jour au lendemain bon nombre d'acteurs de la Tech qui ont été sur les feux de la rampe quelques années avant de sombrer dans l'oubli.

Le 12/11/2024 à 18h 52

Pas besoin, il y en a déjà (la générative, et la discipline en général liée au ML, c'est utilisé depuis des années en fait).

Le 12/11/2024 à 10h 26

Ce contexte n’a pas empêché Tesla de voir ses parts de marché légèrement augmenter en Suède en 2024, rapporte Reuters, lui permettant d’atteindre 8,5 %, contre 7,8 % du marché automobile local l’année précédente.
L'article source parle d'un peu moins de 17k voitures vendues, pour donner une échelle de valeur.

Le 11/11/2024 à 19h 49

Alors perso ça me sert à pas mal de choses. Déjà le suivi en direct de ma conso je trouve cela bien utile, ensuite j’ai aussi des scénarios qui se mettent en place suivant la conso et les heures/creuses/pleines pour une charge de voiture.

j’ai aussi des scénarios qui se mettent en place suivant la conso et les heures/creuses/pleines pour une charge de voiture.
J'ai trouvé plus simple perso.

Charger sur le parking du boulot :mrgreen:

Le 11/11/2024 à 15h 08

Au vu de la techno présentée, on est plutôt sur du cloud gaming. Le client reçoit donc seulement un flux vidéo.

Le 11/11/2024 à 09h 09

Bouerf. Ce qui fait un bon jeu porté sur la narration (type RPG), c'est beaucoup la qualité de l'écriture. Et de ce point de vue je trouve pas que les LLM brillent. C'est généralement d'une fadeur et d'une niaiserie impressionnante. À voir si le problème peut être corrigé avec un LLM spécialisé, mais en même temps, tu risques vite de te retrouver avec un paradoxe : plus le modèle sera spécialisé (par exemple, pour que ton PNJ de fantaisie ne se mette pas à te parler de voyage spatial), moins il aura de données d'entraînement et plus ça risque d'être de la redite de trucs déjà vus...

Tu risques même de te retrouver assez rapidement avec un serpent qui se mord la queue : plus l'IA générative sera utilisée dans les jeux, moins il y aura de nouvelles données humaines pour entraîner les modèles, plus ils seront entraînés sur des données synthétiques avec les effets de dégénérescence déjà observés dans ce genre de cas.

Ça dépend de l'usage, comme toujours.

Je n'ai jamais parlé de remplacer les scénaristes par des LLM, c'est d'une débilité sans nom.

L'écriture principale doit dans tous les cas rester à la charge des humains qui, contrairement aux LLM, ont de l'imagination (même si la production industrielle tant déjà à prouver l'inverse - le taux de recyclage la rendrait presque écoresponsable).

Pour du secondaire à faible valeur ajoutée, le travail d'un LLM suffit. Ce qui est peu ou prou la même position que j'ai sur l'usage de l'IA générative dans le code, par exemple.

L'un ne doit pas remplacer l'autre, ils doivent bosser ensemble. C'est comme ça qu'on en tire le meilleur.

Le 09/11/2024 à 10h 21

Je pense même qu'il y a beaucoup de potentiel sur la création de jeux avec des créations de décors assistées par IA pour générer divers éléments, de la structure d'une grotte (pour éviter les similarités comme dans Skyrim) aux détails personnalisés aléatoires mais pas vraiment en fait, et à la vérification (accès, loot, bugs, etc).
J'imagine la réduction de temps de création hors-ligne d'un open world avec une IA et les grosses bases de données de 3D.


Des discours plus réalistes de PNJ, ça serait top aussi. On pour même imaginer des discussions avec un LLM derrière et un micro pour le joueur 😅

Je pense que ça serait une évolution de la génération procédurale des jeux en monde ouvert. Ou encore du principe sur lequel reposait No Man Sky par exemple. Le souci avec ce dernier, c'est que même si les mondes se généraient aléatoirement, ça restait répétitif.

Pour les dialogues, il me semble que ça a déjà été expérimenté dans des jeux à travers de mods. Le souci, c'est que ça reposait sur des API type GPT et que le modèle brisait souvent le 4ème mur à cause des limitations qu'on lui impose.

Les LLM étant plutôt bon dans le domaine du jeu de rôle, des modèles spécialisés et raffinés avec la personnalité du PNJ donneraient sûrement quelques surprises aux joueurs.

Le 08/11/2024 à 16h 36

Ah oui ça va loin là, je ne pensais pas que la génération de contenu animé était déjà arrivée à un tel niveau avec en plus le côté interactif du jeu vidéo.

Un des cas d'usage de l'IA générative que je vois pour le domaine, c'est la prolongation de la durée de vie de ceux-ci. Quand on a fini un jeu et qu'on l'a torché à 100%, même si on aime l'univers, se balader dedans, explorer, etc, y'a plus rien à faire en dehors de rares perles qui permettent des combinaisons chiadées. On a bien la notion d'événements aléatoires, mais ils finissent souvent par se répéter car basés sur les mêmes patterns. Même si contenu peut s'auto-générer, à un moment on atteint la limite de ce qui a été prévu et le joueur tourne en rond.

La techno ouvre des possibilités intéressantes pour continuer d'étendre un jeu et ainsi continuer d'en profiter. Un point qui peut soulever des questions par contre, c'est le modèle économique. Les jeux s'enrichissent par extension et achats. Un jeu qui s'auto complète n'est pas rentable, donc le financement va devoir s'adapter (abonnement, notion de crédits, microtransactions pour débloquer les contenus, etc). Et ça peut aller au-delà de juste ajouter quelques PNJ avec des dialogues générés.
« processus de développement plus accessibles et moins coûteux, dans lesquels les jeux pourraient être développés et édités via des descriptions textuelles ou des images servant d’exemples ».
Ça m'a rappelé la dernière saison de Westworld qui avait bien imaginé le "duo" que pouvait former un scénariste et une IA générative.

Le 10/11/2024 à 10h 09

Ben simplement parce que ça fait vendre, le problème c'est la demande, pas l'offre. Un peu comme les SUV et cie.
Donc s'il y a des écrans dans les bagnoles, c'est parce qu'en moyenne, les gens vont se tourner vers des voitures qui proposent un écran.
Bref, j'aime bien le premier commentaire qui dit: maintenir le PIB. C'est juste cela, faut pas chercher plus loin. Et on ne sera jamais prêt à sacrifier du business pour les entreprises et du confort pour les particuliers sur l'autel de l'écologie, c'est triste mais c'est comme cela :/

Et quand on voit des gens comme Trump qui se font élire, c'est qu'une grosse majorité de la population met la priorité sur l'économie et le train de vie, pas l'écologie.

Il existera peut-être des solutions qui permettront à la fois de maintenir la partie économique tout en étant "écologique", mais pas sûr qu'on s'y dirige :|

Donc s'il y a des écrans dans les bagnoles, c'est parce qu'en moyenne, les gens vont se tourner vers des voitures qui proposent un écran.
Pour le coup, les écrans tactiles n'ont plus autant le vent en poupe et on voit revenir du bouton. Je pense que la hype du "c'est un écran tactile, c'est moderne, ça fait SF", retombe. En terme de praticité, c'est une horreur en voiture et ça demande trop de concentration là où un bouton physique se reconnaît au toucher.

Un comble pour ce qu'on qualifie de "tactile", comme le dit la personne dans l'article lié :D

Le 08/11/2024 à 21h 46

Ce n'est pas une autorité, simplement une association dont les remontées devront traités avec une plus haute priorité par les plateformes concernées par le DSA.

L'article 22 du DSA qui défini les signaleurs de confiance précise des moyens de recours dans le cas où l'entité concernée ne serait pas au rendez-vous en matière de pertinence des remontées. La voie de recours se fera par l'Arcom en France, vu qu'il s'agit de l'autorité à qui le rôle de coordinateur des services numériques a été confié. En cas de manquement, le statut peut être révoqué.

Le 08/11/2024 à 17h 16

J'en ai une, je ne vois pas le souci tant que le wifi n'est jamais activé…

J'ai juste pas envie d'un truc venant d'Amazon.

Le 08/11/2024 à 15h 07

Sur ta Kindle ? 🤭

J'ai une Kobo Sage :langue:

Je ne toucherai pas à une cochonnerie de chez Amazon, même avec un bâton qui a une capote au bout.

Le 08/11/2024 à 15h 06

Ma source c'est l'alinéa 3 du premier article de la loi que tu cites toi-même. Une seconde source est le Protocole d'accord sur les usages commerciaux de l'édition avec la librairie : « Le fait pour le libraire d'accepter, de la part des lecteurs, des commandes à l'unité, sur la totalité des titres publiés et disponibles, fait partie des services qualifiant le libraire eu égard aux contraintes de gestion que cette prestation engendre pour lui. »
Autrement dit un vendeur de livres qui ne propose pas ça n'est pas un libraire.

OK donc c'est bien ce que voulait dire l'alinéa 3. Merci pour le second document, c'est très clair :yes:

Le 08/11/2024 à 12h 51

C'est précisé par un texte plus global.
economie.gouv.fr République Française
Mais, dans les faits, j'ai lu que le refus de vente d'un livre n'était plus aussi risqué ou sanctionné qu'il y a quelques décennies :phiphi:

J'ai déjà cité cet article du code de la consommation. Un libraire qui n'a pas un livre en stock et ne souhaite pas l'avoir n'enfreint pas cette loi en précis de mon point de vue.

Cela ne l'oblige en rien à vendre tout livre disponible en France qui était le point de ma question. Je reste toujours preneur d'un texte de loi qui l'y contraint tel qu'affirmé au commentaire 1.1.5. Dans mes recherches, je n'ai pas vu de condamnation pour les refus de vendre les livres de personnalités ou de faits clivants (les cas Bardella et Paty sont récents, mais celui de Terweiler ou même Zemmour me semble-t-il sont plus datés, et je n'ai pas vu d'article parlant de condamnation).

Quant au refus de vente entre professionnels, le libraire étant le détaillant il se trouve ici dans la position de l'acheteur. Ce serait donc l'éditeur-distributeur qui refuserait de l'approvisionner. Et c'est légal.

S'il y a obligation légale, il y a texte de loi. Je trouve dommage de venir dire "c'est la loi" et ne jamais la sourcer. On est pas des bots GPT quand même !

Le 08/11/2024 à 11h 47

La loi Lang n'est pas une loi pour empêcher une concurrence déloyal c'est une loi corporatiste (sinon la revente à perte est interdite en France).

Pourquoi on ne met pas un prix minimum au pain pour préserver les boulangeries de quartier ?
Pourquoi il n'y a pas un tarif minimum de l'essence pour préserver les pompistes de centre ville ?
Pourquoi il n'y a pas un tarif minimum sur le kilo de bœuf pour préserver les boucheries familiales ?
Pourquoi il n'y a pas un tarif minimum sur le prix de l'accès internet pour préserver la diversité des FAI ?

Pour l'alimentaire, c'était l'un des enjeux de la loi EGalim dont la troisième itération s'étend au-delà de l'alimentaire. Il s'agit dans le cas présent d'un encadrement des promotions pour rééquilibrer la relation fournisseur - distributeur en définissant des seuils autorisés.

Après, comme toujours, il y a la théorie et la pratique, mais c'était bien l'esprit de cette loi.

Le 08/11/2024 à 14h 09

Tu m'en voudras pas, capture de l'illustration + ton comm partagés à mes collègues (on est les archis...)

Comme je vous comprend :smack:

Le 08/11/2024 à 11h 53

Le soucis c'est que la police utilise des méthodes de piratage, et en général on évite de laisser des failles de sécurité non corrigées parce que "ça pourrait servir à la police"... Oui, mais aussi à d'autres personnes que la police.

Il existe d'autres méthodes plus respectueuses des droits et moins "limite" niveau sécurité que de saisir le téléphone et tenter de le pirater (un peu à la manière d'une perquisition, la personne concernée est présente et assiste à la "visite" du téléphone par la police, mais ne peut pas s'y opposer, le tout soumis à un accord d'une autorité judiciaire)

Si l'appareil a été retrouvé ou que la personne propriétaire n'est pas disposée, c'est plus difficile d'obtenir la clé de déverrouillage par ce moyen par contre.