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babar 75

est avec nous depuis le 23 octobre 2009 ❤️

15 commentaires

Le 02/07/2022 à 13h 39

Il y a un gros vivier d’abonnés potentiels chez les collectivités locales (régions, départements, métropoles, agglo, villes et mêmes petites villes et villages vus la modicité de l’abonnement) en traitant de manière plus approfondie les thématiques territoires connectés (réseaux, usages et services, inclusion numériques, greenit, données etc.). En plus, l’écosystème privé sur ces sujets est très important (INFRANUM 220 membres qui bien entendu peuvent prendre bien plus d’un abonnement par structure, et qui sont aussi des annocneurs portentiels). Longtemps abonné j’ai arrêté justement parce que ces thématiques n’étaient plus assez abordées (elles l’ont été davantage à un certain moment). Courage et bonne chance.

Le 24/03/2022 à 10h 07

Pour hansi : oui le logiciel libre a été promu dans plusieurs interventions, notamment celle de LFI et la souveraineté numérique était un des grands mantras des présentations, avec effectivement des approches variables selon les candidats. Certes pas de révolution numérique, mais quand même un sujet présent dans les campagnes des candidats ayant participé à la matinée (au fait, ni Le Pen, ni Zemmour n’avait envoyé quelqu’un, Roussel non plus d’ailleurs à la différence de Lassalle).

Le 01/12/2021 à 09h 21

Bon les amis, faut chosir vos combats ! Vous voyez le binz que cela aurait été si You Tube avait censuré la vidéo du lancement de campagne de ZemmoUR ? Et le buzz pour lui ? Tandis que là, tout le monde a pu profiter de cette vidéo décadente, coincée, repliée, rance qui va faire son effet… Le combat pOur les droits d’auteur, qui je sais vous tient à coeur (:francais: , doit pouvoir parfois passer au seond plan derrière les nécessités de la démocratie (et ses effets pas toujours maîtrisés, certes, y compris par les diffuseurs de clips vidéos comment dire, aventureux et décalés)

Le 12/10/2020 à 12h 26

Pardon, mais heu… qui est Jérôme Nicolle ?

Le 19/12/2018 à 09h 24

“On peut aussi se demander ce qu’il en est dans le cas où un second boîtier serait acquis. En effet, un client s’étant désabonné pourrait décider par la suite de revenir, en payant un nouveau Player Devialet. Le premier serait-il aussi garanti même après deux ans ? Là aussi nous n’avons obtenu aucune réponse complémentaire de la part du FAI. ” Là les gars vous poussez le bouchon un peu loin : imagine l’abonné qui se tire après 6 mois (il faut qu’il soit pas content du tout et qu’il accepte de continuer à payer l’achat de sa box) et qui revient moins de 18 mois plus tard (tient, il a retourné sa veste rapidement !). Soit il a jeté/vendu sa box, et le problème ne se pose pas. Soit il l’a gardé, il la rebranche sans en acheter une nouvelle, et il reprend la garantie. Le cas évoqué est vraiment tordu et doit pouvoir trouver une solution au cas par cas. Sinon, les gars, faut pas rester à Next Inpact, faut adhérer sans attendre à l’UFC.

Le 17/09/2018 à 08h 11

Un point de réponse important c’est l’accompagnement personnalisé à domicile. Si le plan inclusion numérique passe à côté de ça, effectivement il perdra les 20% d’irréductibles.

Le 17/09/2018 à 08h 06

en même temps, si on veut qu’ils payent leurs impôts jusqu’au bout, va falloir quand même faire kekchose.

Le 11/01/2018 à 08h 32

Cette idée est tellement débile et surtout démagogique qu’elle justifie à elle seule la disparition inéluctable du parti socialiste auquel appartient la “généreuse” Juliette.

Le 30/09/2017 à 14h 56

Côté couverture mobile, le dialogue et le deal à venir semble n’impliquer que deux parties, l’Etat et les opérateurs, en laissant de côté les collectivités locales à la différence de ce qui se passe sur le fixe, notamment avec les RIP / réseaux d’initiative publique qu’elles pilotent. Bien sûr, on va nous dire que la renégocation des licences va s’accompagner d’un renforcement des obligations et des contrôles sur la couverture du territoire mais sous la seule surveillance de l’Etat (Agence du numérique sous dimensionnée pour ça) et de l’Arcep qui n’a pas non plus des moyens considérables et qui, par ailleurs, est en contact étroit et permanent avec les opérateurs. Même sans volonté de les avantager, et faisons leur grâce de leur neutralité, cette constante proximité n’est pas contrebalancée par un lien d’une telle nature avec les collectivités territoriales et finit forcément apr créer des biais. Alors comment avancer et s’assurer d’une meilleure prise en compte des demandes du terrain ? Deux pistes complémentaires :




  • renforcer un pouvoir, par exemple régional, dans le suivi des obligations de couvertures voir même dans la prise en main de certains projets territoriaux d’implantation de supports d’antennes avec obligation de mutualisation bien sûr mais aussi de présence de tous les opérateurs dans des conditions à discuter (qui paye quoi…)

  • mise en place par l’Arcep d’équipes régionales en charge de ce suivi de couverture (mobile et fixe aussi). Le CSA dans l’audiovisuel dispose de CTR / comités techniques régionaux qui suivent notamment les radios, pourquoi pas des CCR - comités de couverture régionaux à l’Arcep ?

Le 18/09/2017 à 19h 19

Je ne sais pas si ça a un rapport mais il y a une panne hot mail depuis la mi-journée. plus de messages depuis midi. SOS !

Le 12/09/2017 à 08h 16

C’est surtout le signe de la reprise en main de l’organisation par Drahi et ses sbires. Michel Paulin était apprécié dans l’entreprise, y compris par les salariés qui reconnaissaient ses qualités humaines et son expérience profonde dans les réseaux télécoms. Le départ de Michel Paulin est un mauvais signal pour les salariés eux-mêmes et va contribuer à la poursuite voir à l’amplification d’une gestion menée par les seuls impératifs financiers. Quant aux abonnés, ils verront leur facture continuer à augmenter subrepticement, leur service soumis aux aléas du moment (et du règlement des fournisseurs d’Altice) et leurs demandes prises en compte… à la Saint Glin-Glin. Business as usual.

Le 07/12/2016 à 13h 29

et ne jamais donner sa carte à un commerçant.

Le 07/12/2016 à 13h 28

Article intéressant, réponse de Visa édifiante mais quand même un petit malaise : décrire de manière aussi détaillée ce mécanisme pourrait donner des idées à quelque malfaisant. Liberté et responsabilité, toujours ce vieux débat… mais vieux ne veut pas dire con. Pas toujours.

Le 26/11/2016 à 11h 43

Je confirme ta réponse, en précisant que mieux vaut quand même lancer un deuxième marché différent pour le RIP 2e généation car c’est très différent (réseau de desserte vs réseau de collecte), ça coûte beaucoup plus cher, et ça donne l’occasion de changer de délégataire quand on n’est pas très content du délégataire du RIP 1. Je ne vise personne bien entendu…

Le 02/09/2016 à 07h 37

Pour Free la configuration du marché italien est très intéressante, notamment la part très importante de cartes prépayées. Avec des forfaits bs (les 2 € ?) c’est un marché qui peut être transformé. Il faudra voir comment la concurrence agira… ou regardera passer le train.