jchcaron
est avec nous depuis le 18 juillet 2010 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
111 commentaires
Fleur Pellerin veut réformer le statut de l’hébergeur
Le 02/02/2015Le 02/02/2015 à 15h 58
Décidément on aura tout entendu, voici une ministre de la Culture qui se plaint du trop grand succès de la diffusion de la culture par des moyens actuels, c’est un comble !. Au lieu d’en reconnaitre le succès inouï qui ne lui a réclamé aucun effort ni subventionnement, elle devrait tout au contraire l’encourager c’est dans son mandat originel, mais aussi l’étendre dans d’autres modes (théâtre, expositions, musées..). Voici un ministère qui aurait son véritable rôle, et sa véritable utilité sociétale, ce n’est pas celle d’une ministre chargée uniquement de gérer des rentes de situations, qui est le seul visage qui nous reste aujourd’hui.
Il est incroyable de constater l’absence totale de vision des derniers ministres en charge, et de cet aveuglement choisi sur la réalité des usages qui dictent pourtant très simplement les politiques à suivre. Comme le droit d’auteur ne peut être protégé dans certaines circonstances, il faut donc le modifier pour tenir compte de ces évolutions. Ni l’abroger, ni le nier. Même si cela signifie par ailleurs un subventionnement plus important du secteur, et une aide bien nécessaire à la création. Le savoir comme la culture n’a de valeur que s’il est partagé. Il est curieux de constater que ce terrain de friction, ce symptôme de l’incompréhension, à été transféré, de ministre en ministre, sur les hébergeurs, sur les usagers, sur les futures “plate-formes”, mais n’a jamais conclu que le mal venait de l’absence de définition claire du rôle du ministère de la culture, et de son dévoiement -total- aux intérêts privés.
[MàJ] Attentat : des mesures sécuritaires visant Internet attendues sous 8 jours
Le 12/01/2015Le 12/01/2015 à 15h 06
Une idée fausse, mais claire et précise, aura toujours plus de puissance dans le monde qu’une idée vraie, mais complexe. Ce qui est résumé en fin d’article est simple à admettre, mais par destination, également faux.
Étrangement, c’est le poids de l’individu face à l’état qui s’est exprimé hier, se réappropriant un de ces fondements, qui ne voit, ni ne comprends, ni les mêmes causes, ni les mêmes effets. C’est sur ces bases que devrait se faire la politique. Comme le disais marc, le glissement sémantique est manifeste, et choquant, parce qu’il n’avalise pas cet enseignement.
Le danger d’un patriot act est qu’une fois voté, il se révèle impossible à abroger par la suite. Le danger n’est pas une suspension temporaire des libertés, il est l’étouffement progressif de ces libertés pour “ la bonne cause”. Pour autant c’est précisément les limitations dans les durées de surveillance et l’absence de moyens qui en sont les causes.
Cette réponse ne peut être que temporaire et très partielle sur le long terme, tout au contraire ne faudrait il pas plutôt renforcer la liberté d’expression et la véhiculer dans toutes les sociétés ? Ce deuxième volet me parait au final beaucoup plus nécessaire que le premier, et c’est à l’échelle de cet horizon que l’on mesure la valeur d’une politique. Du pur pragmatisme.
#OpCharlieHebdo, un groupe d’anonymous veut venger Charlie
Le 08/01/2015Le 08/01/2015 à 22h 48
#JeSuisCharlie
Le 07/01/2015Le 08/01/2015 à 22h 03
Le 08/01/2015 à 21h 49
Le 08/01/2015 à 09h 30
Le 07/01/2015 à 22h 25
Le 07/01/2015 à 21h 27
Le 07/01/2015 à 19h 41
Alors que tout parait sombre en ces heures, je vois comme une source d’espérance nouvelle et définitive en ces multiples rassemblements partout en France. Incroyable !
Non les hommes de bonne volonté ne sont finalement pas tous anesthésiés. Ni par la politique, ni par la manipulation. Non la liberté d’expression n’est pas morte. Une seule certitude ce soir : le premier politique qui tentera de récuperer ces mouvements perdra définitivement tout soutien et toute crédibilité.
KEEP CALM and CARRY ON
CanalPlay change de look et gère les Philips Hue. Le hors-ligne ? Plus tard
Le 14/10/2014Le 14/10/2014 à 16h 57
L’ARES III d’ASUS arrive en France le mois prochain, à 1 699 euros
Le 12/09/2014Le 12/09/2014 à 13h 55
Autant dire que le public visé est plus que restreint.
Vous êtes arrivés à mi chemin de votre réflexion, ce qui est dommage. S’il n’y a pas d’intérêt à s’adresser à un public si restreint, c’est donc que sa finalité est autre, et la limite de 500 exemplaires permettra de s’en assurer.
Il parait pourtant évident que ceci est, avant tout, une opération de communication, dans laquelle NI saute a pieds joints… un piège à buzz. Le pourquoi de cette stratégie mériterait un dernier paragraphe…
Apple Watch, iPhone 6 (Plus), Apple Pay et l’album de U2 : ce qu’il faut retenir
Le 09/09/2014Le 09/09/2014 à 18h 27
Ce soir, Arte s’intéresse à l’avenir de la presse, du papier et du numérique
Le 26/08/2014Le 27/08/2014 à 12h 32
Le statut actuel des VTC sera examiné par le Conseil constitutionnel
Le 23/07/2014Le 23/07/2014 à 16h 43
Dans le futur, des droits et des devoirs pour les robots ?
Le 19/07/2014Le 23/07/2014 à 15h 44
Le 22/07/2014 à 09h 40
Le 21/07/2014 à 09h 17
Le 21/07/2014 à 08h 28
Le 20/07/2014 à 16h 29
Le 19/07/2014 à 10h 46
La Commission sur les libertés numériques torpille le blocage administratif
Le 22/07/2014Le 22/07/2014 à 10h 37
Pragmatisme et sagesse.. chapeau !
[MàJ] Russie : les entreprises devront héberger localement les données
Le 07/07/2014Le 07/07/2014 à 18h 54
Le coup est beaucoup plus subtil, et ce n’est surement pas pour pouvoir “espionner” en paix, il serait naïf d’imaginer que le FSB ai attendu cette occasion pour faire son travail. Non ce qui est en jeu ici, ce n’est pas le contenu qui importe mais le fait qu’il soit toujours disponible, en toute condition.
C’est un élément, et une conséquence, du jeu diplomatique, dont on a vu ces derniers mois les développements dans l’affaire ukrainienne. Ici, on souhaite se protéger d’un embargo numérique, à l’iranienne, qui pourrait survenir demain sur la simple requête d’un député US.
Imposer des serveurs sur le sol russe permet (mais simplement en théorie) de conserver une certaine continuité de fonctionnement en cas de possibles “sanctions” extérieures, donc de se protéger et de son application et de la menace. Fixer des sociétés américaines et leurs intérêts sur le sol russe rend l’obligation d’un accord indispensable plutôt qu’accessoire, et le coup le plus fin est bien finalement la, il crée une force d’opposition au sein même de l’appareil de son adversaire.
Les réactions d’Amazon et de la Fnac suite à l’adoption de la loi anti-Amazon
Le 27/06/2014Le 27/06/2014 à 20h 24
Le 27/06/2014 à 17h 10
Les géants du Net génèrent de nouveaux rapports de force
Le 14/06/2014Le 15/06/2014 à 11h 49
Le CSA valide le projet d’une plateforme de test du DVB-T2 et HEVC à Paris
Le 07/05/2014Le 07/05/2014 à 17h 05
Changer de nom : un passage délicat, des raisons différentes
Le 26/04/2014Le 26/04/2014 à 12h 17
On devine vos intentions, mais l’obsolescence du terme PC ne précédè t’il pas finalement celui d’inpact d’une courte tête ? Pourquoi ne pas aller plus loin dans le changement de nom ?
Car d’une pratique de geek avant la lettre on est passé a un usage généralisé, de l’informatique personnelle aux réseaux, puis la téléphonie, et l’informatique est aujourd’hui absolument partout. L’univers est notre prochain système d’exploitation. Dans une banalisation si grande qu’un grand nombre de sujets traversent maintenant les autres médias, meure ainsi l’identité qui était alors unique du propos, et avec elle l’enjeu même de mesurer l’impact de ces plus du tout si nouvelles technologies.
De fait, Il n’y a aujourd’hui plus de rupture sociétale, non plus que ce ressort puissant sur lequel s’est construite l’identité historique de PC inpact. Changer de nom, pourquoi pas, mais le Next n’est-il pas autre chose qu’une incantation un peu creuse en l’avenir ? Passer d’une affirmation à une incantation est étrange, quand le présent est en lui même assez clair, les conséquences profondes de la massification entraine des résistances croissantes à l’utilisation de la technologie tout simplement parce qu’elle déborde dans tous les autres domaines de la vie, domaines qui sont moins aptes au changement. Nous sommes clairement situés après “l’inpact”, et dans la phase juste avant “Extinctpact”, parce que le monde change, lui aussi. TransInpact, GlobalInpact peut-être ?
L’effectif français des cinq grands opérateurs en forte baisse en 2013
Le 19/04/2014Le 19/04/2014 à 10h 29
Internet et le téléphone mobile : des besoins quasi primaires
Le 11/01/2014Le 13/01/2014 à 21h 08
Le 13/01/2014 à 18h 05
Le 13/01/2014 à 17h 38
Le 13/01/2014 à 14h 07
La Chine autorise les consoles mais sera vigilante sur leur contenu
Le 13/01/2014Le 13/01/2014 à 15h 52
[MàJ] TVA à 2,1 % : la presse en ligne alignée sur la presse papier dès février
Le 17/01/2014Le 25/12/2013 à 18h 25
Le 25/12/2013 à 18h 00
Le 25/12/2013 à 17h 42
[Interview] Open Data : « La France est sur la bonne voie »
Le 20/12/2013Le 20/12/2013 à 20h 25
Le 20/12/2013 à 13h 27
Nous sommes dans une situation de retard abyssal par rapport à de ce qui existe aux Usa. La cause est sans doute culturelle, mais plus surement organisationnelle. Ces 40 dernières années ont vues la multiplication de structures étatiques à financement public spécialisées, ce qui en constitue, aujourd’hui, par sa fragmentation, le frein le plus puissant.
L’idée est toujours que l’information est la source d’un pouvoir et donc d’un contrôle. Financées pour collecter et analyser, elles ne diffusent pas tout ce qui appartient pourtant au public, paradoxalement ce sont les structures les plus organisées qui sont les plus rétives au changement :
Bref pour y arriver, il faudrait sans doute tout remettre à plat, introduisant la possibilité du deuxième chantier, sans doute plus essentiel encore qui est de faire communiquer les administrations entre elles (pour que ce ne soit plus à l’usager de rechercher les formulaires dans tout les sens quand l’information existe déjà par ailleurs…), en cause, le mille feuille des logiciels…
Toute information collectée par des fonds publics devrait pouvoir être consultable par tous.
Le CSA ne devrait pas être le gendarme du Net de sitôt
Le 19/12/2013Le 20/12/2013 à 12h 56
Conversations gênantes ? La NSA conçoit des réponses pour ses employés
Le 03/12/2013Le 03/12/2013 à 18h 04
C’est une mise au point bienvenue, ce qui est cause ne sauraient être les outils eux-mêmes, la NSA espionne d’abord parce que c’est son mandat. La responsabilité, et l’intention n’est que politique. L’utilisation des données fournies et les tractations d’informations entre états est une extension du soft power et de la diplomatie, qui les rends donc indispensables. L’équilibre mondial n’est plus que militaire ou seulement économique, l’information est bien le point central de l’évolution de la prochaine décennie, et de la survie des états, rendue possible par la technologie.
Voila pourquoi la plupart des pays occidentaux sont devenus des maillons du système global, et s’insurgent plus timidement contre la NSA que contre les agissement de Snowden. Le refus d’asile en est le révélateur le plus évident, au grand étonnement des populations des pays démocratiques, toujours formatées par l’influence de presse d’antan alors même que son rôle démocratique à lui aussi disparu.
Le lanceur d’alerte a remplacé le journaliste qui ne peux plus faire ce travail, pour des raisons économiques, et ce déficit de transparence de nos états n’arrange rien. Si les états anticipent et provoquent les évolutions, si les évolutions technologiques sont si rapides, il semble bien que la partie la moins capable d’évoluer est bien la population.
Il serait temps de faire preuve de transparence, l’outil semble avoir évolué beaucoup plus vite que les besoins qu’il entend satisfaire au yeux de l’exécutif américain.
La partie la moins crédible, ou la plus délicate est bien l’affirmation que 54 attentats ont été évités, puisque justement ils n’ont pas eu lieu, et que la liste précise n’est pas publiée. 25 attentats évités en Europe, dans ce cas, quelle est la nature effective de la coopération sinon celle décrite plus haut ? Quel serait donc le prix de l’aveu ?
Il est aujourd’hui étonnant de constater que la NSA ne prenne pas l’initiative de communiquer elle même les informations de snowden, puisqu’il est bien évident que tout sera publié dans les prochains mois.
Où en est le projet de loi sur les droits et libertés numériques ?
Le 29/11/2013Le 30/11/2013 à 22h 52
Sortir un projet destiné à protéger la vie privée après les dernières révélations de snowden (échange effectif de données des services français avec la NSA) paraitrait pour le moins ambigu, comme la reconnaissance d’une faute à corriger d’urgence, et un acte de défiance au niveau international, ou l’heure est à plutôt à l’apaisement et la coopération (cf: accords avec l’iran), on en comprends donc les délais.
La réponse est pourtant fort simple, des écosystèmes importants dépendent de l’exploitation de ces données personnelles, mais ils sont sans limites, et les franchissent une par une sans contrôle moral.
L’objectif d’internet est de satisfaire les besoins humains, et par un curieux renversement, on s’aperçoit que c’est l’humain, (la vie privée quelle horreur ! cf: Larry Page) qui devrait se modifier pour les besoins de fonctionnement de ce système. C’est la base d’un asservissement technologique, qui peut compter bien des étapes, et qu’il faut bien aujourd’hui appeler par son nom.
Il est temps de percevoir ce qu’un outil à le droit de nous imposer, et a quel moment nous en sommes propriétaires plutôt que d’en être la propriété. Un bon ordinateur est celui que l’on peut jeter par la fenêtre, littéralement. La vie privée n’est pas un dogme mais une conquête, qui est aussi celle de la liberté. Il est temps de lui restaurer son caractère sacré, inaliénable, essentiel.
« Piratage » : un sondage du JT de France 3 voilé sur le direct, pas sur le Net
Le 28/11/2013Le 28/11/2013 à 16h 35
Un sénateur UMP juge risqué le transfert de la Hadopi au CSA
Le 27/11/2013Le 27/11/2013 à 17h 26
Transférer Hadopi au CSA ne restaurera pas la crédibilité, ni de l’une ni de l’autre, ni de l’une par l’autre, et finira, probablement, par décrédibiliser les deux : mises en place par des lobbying (médias, producteurs), elles ne sont -in fine- qu’un moyen étatique de les contenir ou les contrôler politiquement. Le contrôle qui est dirigé vers le grand public ne semble d’ailleurs que la partie accessoire de l’ensemble (ce qui est de fait démontré par ces résultats effectifs).
Soit, c’est le rôle d’un état que de vouloir protéger ses citoyens en disposant de tous les pouvoirs, en en assumant la complexité et l’ambivalence, mais ce Statu-quo paralyse aussi les évolutions sociologiques extérieures en les niant, et rend à la volonté de contrôle une plateforme disponible. Et l’on se retrouve alors dans la situation, trop, ou trop peu, ce qu’illustre d’ailleurs (pour d’autres motifs), l’élu. Que le poids politique de l’un ou que l’influence économique progresse et nous aurons demain l’embryon idéal à une nouvelle Stasi.
L’enfer est pavé de bonnes intentions…et l’équilibre démocratique, précisément, le résultat d’un équilibre.. paralysant.
Le fichage systématique des échanges postaux adopté en trois heures
Le 21/11/2013Le 21/11/2013 à 18h 02
Ce qui va être amusant à suivre, c’est la montée équivalente des dispositifs protectionnistes des pays extérieurs… et leur conséquences.
Adieu le moratoire : le PS veut étendre le blocage administratif des sites
Le 18/11/2013Le 18/11/2013 à 15h 10
Les députés sont tout à fait dans leur rôle de réclamer l’application de la loi. Sur ce point la il n’y a pas de camp politique qui tienne, c’est juste le fonctionnement normal de l’institution. Il ne s’agit pas ici de discuter du bien fondé de la loi originelle, ni de l’opportunisme politique, mais bien des “innovations” apportées.
La procédure semble illogique, s’il y a une qualification de proxénétisme, elle ne peut se faire qu’après enquête et une intervention obligatoire d’un procureur de la république. L’appareil judiciaire étant déjà mobilisé pourquoi ne pas simplement demander à un juge de statuer sur ce point, dans le même dossier, au moment du jugement ? Au pire c’est un paragraphe de plus et un document à valider… c’est trop complexe ?
Pourquoi serait-il plus urgent de fermer les sites que de mener l’enquête et de juger ?
Le point important est bien la présence de ce juge. Sans lui n’importe qui pourrait bientôt décider que facebook, yahoo, gmail ou google est complice de proxénétisme…
Google, Facebook, Apple et Microsoft seront-ils nos futurs FAI ?
Le 16/11/2013Le 18/11/2013 à 13h 26
Le 18/11/2013 à 13h 12
Le 18/11/2013 à 05h 19
Le 17/11/2013 à 19h 39
Le 17/11/2013 à 19h 12