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Mina_V

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22 commentaires

Le 08/08/2017 à 12h 07

Ce n’est pas forcément le faire taire dans l’absolu, dans le sens où il peut parler autant qu’il veut en dehors de la boîte, mais par choisir l’ambiance dans ta boîte.

 

Son discours et incompatible avec le fait de pouvoir le faire bosser en groupe avec n’importe qui. Avec qui tu fais bosser un mec comme ça ensuite ?

 

Une fois qu’il a bien expliqué qu’il considère que les femmes et autres minorités dans ta boite sont soit des incompétents soit doivent prouver à la satisfaction de chaque homme blanc qu’ils ne le sont pas… aucun chef ne le ferra continuer a bosser avec des femmes, des minorités ou des gens qui pensent que son discours est gerbant… ne serait-ce parce que tu ne peux plus faire confiance en sa neutralité et qu’il fout une ambiance pourrie (voir invivable) pour ses collègues.



Moralité à moins qu’il soit indispensable, il est mieux dehors que dedans.



Il n’était pas indispensable ^^’



Dans ce sens, il y a un article d’un ancien ingénieur senior de Google (qui a quitté G une semaine avant donc n’est plus soumis à la close de silence) qui a publié un article assez intéressant :



https://medium.com/@yonatanzunger/so-about-this-googlers-manifesto-1e3773ed1788 

 

Le 06/03/2017 à 10h 12

Ils le rappellent juste dans l’encadré que si on le perd c’est foutu, ils auraient du y ajouter le lien là et pas que dans le tuto 7-zip.

Le 06/03/2017 à 09h 57

Je suppose que c’est parce qu’ils en ont fait il y a juste quelques semaines (avec un tuto Keepass) ;)



https://www.cnil.fr/fr/les-conseils-de-la-cnil-pour-un-bon-mot-de-passe

 

Le 04/12/2015 à 11h 22







Si on prend le même principe, on ne doit pas considérer qu’on puisse identifier quelqu’un sur une vidéo, parce qu’il peut se grimer ou porter une cagoule…



Autant le cambrioleur va porter une cagoule mais le passant lambda non. Du coup ne plus considérer l’adresse IP comme une donnée permettant d’identifier quelqu’un parce qu’on est pas toujours sûrs revient à ne plus protéger la personne lambda qui se fait filmer. Parce que si une donnée est reliée à un individu identifiable, c’est une données à caractère personnel et protégé par la loi Informatique et Libertés, si non on peut faire ce qu’on veut avec (au hasard, du tracking ?)



Après le côté 1 = 1 est stupide quand la personne est en train de faire quelque chose d’illégal, elle se planque. Mais il y a une différence en disant “une personne mal intentionnée ou utilisant certaines techniques peu changer d’IP ou usurper celle d’un autre” et dire “free for all” sur les IP ^^’

Le 05/11/2014 à 09h 42

Jarodd> La réponse doit être à cause des rageux/haters tels que neves ?



Avec des commentaires comme ça, ça va juste leur donner envie de fermer leur code, supprimer le logiciel et nous dire de nous démerder la prochaine fois.



 En tant que libriste, ce genre de réaction (que j’ai pas mal vu) me fait gerber ! On pousse les gens à faire du libre et ensuite on les assassine en leur disant “vous faites que de la merde”. C’est sur que là, on sent bien notre côté ouvert….



Neves> un type fait une IRresponsable disclosure et sur qui on tape ? sur l’éditeur qui aurait dû, qui réagit pas comme t’aurais voulu… franchement, Neves ?  tu en connais bcp des boites dont le logiciel n’est pas leur cœur de métier qui réagissent en moins de 24h, publication de la maj et comm pas trop pourrie comprise, suite à une faille de sécurité ?

 

Je suis crypto et franchement, la majorité des dev continuent à utiliser MD5 qu’on considère comme cassé depuis 15 ans !!! pas 24heures, 15 années. Et pourtant, je ne vois personne hurler là dessus à pars nous.

Même les dév en sécurité on tranquillement attendu 10 ans qu’il y ait “des attaques pratiques” pour vaguement considérer que, peut-être, il faudrait changer les occurences de MD5 par autre chose.

Et maintenant quand on dit arrêté SHA1, c’est l’heure de changer, c’est pas mieux.



 Alors, ok ils sont pas parfait à la CNIL, loin de là, mais là tu fais juste dans la méchanceté pure.

Le 15/05/2014 à 14h 37

une super initiative pour les cas où ce n’est pas un stagiaire que l’entreprise veut engager mais un employé sous-payé.



Le problème c’est les stages (notamment de recherche) en université. Les facs n’ont pas d’argent mais les stages y sont intéressants. C’est justement un des rares endroits où on ne ferra pas un stage-job. Mais à chaque revalorisation des indemnités de stage il y a diminution du nombre de stage proposables.



A une époque un étudiant de M2 qui se retrouvait planté par la boîte qui lui avait promis un stage au dernier moment pouvait faire un stage (intéressant!) dans le labo d’un de ses profs. Aujourd’hui, ce n’est plus possible parce que ça implique un budget… demain ce sera encore moins envisageable.

Le 10/10/2013 à 15h 14







Jarodd a écrit :



Pas forcément :



“L’autorité en question sera celle où l’entreprise visée aura son siège principal. Pour les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, les cybermarchands ou les sociétés spécialisées dans le stockage en ligne, il faudra donc essentiellement se tourner vers l’Irlande et le Luxembourg. Ces deux pays, du fait de leurs niveaux d’impositions attractifs, ont en effet attiré un grand nombre de multinationales pour leur siège européen. C’est notamment le cas de Facebook, Google, Apple, Microsoft, Twitter, eBay ou encore Amazon.”







Ben justement l’Irlande et le Luxembourg…..



L’irlande est l’autorité qui a dit que PRISM était légale et ne posait aucun problème avant que l’UE, le G29 (le groupe des autorités européennes) etc. disent que justement si il y avait un problème…



Le luxembourg est tout petit… moins de 20 agents… Si on veut comparer, en France c’est 180 personnes à la CNIL et encore on trouve qu’ils n’en font pas assez…. En pratique ça veut le Luxembourg a fait 18 contrôles en 2012, notre CNIL 4000 (daprés les rapports annuels des 2 autorités)…



Alors je veux bien mais comment ça va se passer ? on va être “défendus” face aux Google et consorts par ces deux là ? <img data-src=" />



Franchement, je préfère la commitologie que le néant qu’on va avoir là…


Le 09/10/2013 à 18h 19

Super, les Google, Fb et consort vont pouvoir choisir l’autorité la plus sympa avec eux ou la plus petite (i.e. qui aura pas les moyens pour venir les embêter). C’est gentil, non ?



Après le choix en fonction de la loi fiscale, le choix en fonction de la loi de protection des données… tout va bien. Encore une fois au lieu de niveler par le haut, ou de prendre la moyenne : on nivelle par le bas…



Parfait, non ?



EDIT : un lien expliquant mon cynismehttp://techcrunch.com/2013/07/25/ireland-prism/


Le 03/10/2013 à 06h 36










La subvention c’est quand même la plus belle enc…ade des opérateurs de téléphonie mobile. Et les Francais sont des veaux, ils ont plongé dedans sans même se poser de question.







Je suis d’accord sur le principe on appelle ça “subventionné” alors que ça revient plus cher qu’en prenant un prêt……



Mais c’est aussi une question de psychologie : pour ceux qui n’ont pas les moyens de sortir 500 ou 600 € pour un smartphone, faire un prêt à la consommation peut être plus effrayant que prendre un forfait subventionné qui va pourtant coûter plus cher (même si c’est un peu moins surréaliste qu’avant l’arrivée de free…).



Le truc qu’on peut espérer c’est que Free propose vraiment des téléphone “subventionnés” et oblige les autres à faire de même ;P


Le 01/10/2013 à 10h 18







crocodudule a écrit :



la CNIL a récompensé la thèse sur le droit a l oubli par son prix de thèse crée a cette occasion.







Euh, ce prix a été créé en 2009.. il y a 4 lauréats pour l’instant et aucun sur le droit à l’oubli

http://www.cnil.fr/linstitution/ip/prix-de-these/



Que tu sois pas d’accord ok, pas la peine de raconter n’importe quoi non plus…



Perso, je suis d’accord avec Chim, Tepec, mrotta je l’ai déjà dit d’ailleurs.



En soit faire une consultation pour savoir ce que pensent les gens avant de pondre un truc infaisable, je trouve ça plutôt malin.

Et le fait de permettre aux gens lambda non pas de se faire une virginité mais au moins de limiter les dégâts 10 ou 15 ans après, je trouve ça normal.



Par contre je suis super déçue du niveau des retours… plutôt que d’essayer de pondre des solutions innovantes et intelligentes prenant en compte la liberté de la presse et le droit de ne pas trainer un boulet 20 après parce qu’on a fait une connerie un jour, on a que des “on veut pas, ça va nous embêter, non mais !”


Le 19/09/2013 à 21h 34

Je trouve la 3éme proposition (en considérant un abonnement non payant) plutôt pas mal si on parle de 10,15 voir 20 ans à partir du moment où on exclu toute publication scientifique (hors de question que les articles publiés soient mis sous cloche au bout de 15 ans, au contraire…).



L’article du psychologue est bien beau mais si on l’écoute toutes les générations précédentes devaient avoir de gros problèmes psychologiques sans G* pour leur rappeler d’assumer publiquement tous les jours chacune des stupidité qu’ils ont dites/faites dans leur vie…. sans oublier la possibilité qu’ils avaient de pouvoir déménager pour recommencer leur vie à 0 ailleurs…. donc, pour moi : Bullshit !



Imaginons que Mme X cambriole une superette en 1993 et un article est publiée dans le journal régional. Est-ce que 15 ans après, la seule chose qu’on doit trouver en tapant son nom sur G* c’est ça ? Je ne pense pas.

Il y a 20 ans, elle aurait même pu déménager à l’autre bout de la France dans une ville où personne n’aurait su qu’elle avait eut un instant de folie et purgé sa peine.



Et j’avoue ne pas vraiment croire aux autres exemples :




  • les politiques tombent très vite dans la catégorie “faits historiques” donc pas applicable (l’impact d’un Cahuzac sur la politique publique nationale fait que ce n’est pas “oubliable”, c’est de l’histoire) ;

  • si il y a une raison de ressortir une histoire (par ex comme référence dans un nouvel article pour lier des faits anciens/nouveaux), ce sera un nouvel article et donc idéalement pas impacté par le délai de 1015 ans (que les journalistes doivent faire leur boulot en retrouvant une source dans un truc pas directement indexé me parait pas aberrant, mince journaliste c’est un boulot.).



    Ce qui est important c’est que




  1. les journalistes puissent faire leur boulot en faisant référence à des événements anciens quelque soit la date de ces évènements (logique quoi) ;

  2. que les articles scientifiques ne soient pas impactés;

  3. qu’il y ait une définition claire de ce qui est “historique” et donc pas impacté (ok tout ce qui touche le président, les ministres mais la naissance du gamin d’un/une ministre pas sur..).

Le 04/07/2013 à 08h 47







Turom a écrit :



Quand tu veux fermer leur clapet définitivement aux neuneus de la langue française, je te conseille ce site. Au moins comme ça les choses sont claires, victoire par K.O..







Je note ton site =&gt; crypter \o/


Le 14/06/2013 à 15h 24

Un mort né avec 405 551 utilisateurs c’est pas si mal… surtout pour une version 0.1 ;P (cfhttps://diasp.eu/stats )



Après c’est finalement “peu” décentralisé (162 pods référencés par diasp.eu, comme c’est déclaratif il doit y en avoir un peu plus mais pas tant que ça).



J’y suis depuis 2 ans et ça s’améliore peu à peu après à chacun de faire ses choix ^^


Le 23/05/2013 à 11h 28







fred42 a écrit :



Non, ce brevet correspond à un calcul par un appareil local d’une réponse à un challenge. C’est le principe des calculettes calculant un mot de passe différent à chaque authentification



Dans le brevet de Kim Dot Com, la réponse est transmise par un second chemin.



Ça n’a rien à voir sauf le fait qu’il faille saisir un code pour s’identifier.







Oui et non, dans le sens où le brevet spécifie que tu utilises un device (sans préciser lequel) auquel tu fais parvenir un challenge (sans préciser comment ou sa nature) et que tu obtiens une réponse à intégrer dans l’appli initiale.

C’est différent mais la question est de savoir est-ce “assez” différent ?



Je ne dit pas que s’il allait au tribunal son brevet tomberait forcément mais que même dans le peu d’antériorité qui a été faite (il n’y a aucune publication référencée autre que des brevets, rien que ça c’est étonnant), il y a déjà au moins un brevet qui pourrait lui poser des problèmes avec un bon avocat.



Il faut donc faire attention, surtout avec son habileté dans la com et le buzz (cf. Mega), et prendre ces propos avec les pincettes qui vont bien ^^


Le 23/05/2013 à 10h 21

Juste un tout petit peu d’info de contexte, pour ceux que ça intéresse :



Le système de (1er dépôt) de brevet en europe et aux US est très différent.



En Europe, l’OEB (Office Européen des Brevets) étudie avant acceptation qu’il n’y a pas d’antécédent qui annulerait l’utilité du brevet.

C’est une procédure qui prend un certain temps et qui ne garantit pas qu’ils soient passés à côté d’une publication ou d’un autre brevet mais qui au moins permet que la majorité des brevets soient “a priori” sur 1) une innovation (notamment pas quelque chose qui a déjà été publié ailleurs) 2) pas triviale (que n’importe qui du milieu aurait pu faire) 3) être une application industrielle.



Aux US (pour les brevets déposés directement là bas, pas pour les extensions de brevets déjà déposés ailleurs), l’étude de l’antériorité est très limitée au point que des brevets surréaliste sont “publiés” (comme le sandwich jelly + beurre de cacahuètes ^^’ … la section“controversial patents” de la page wiki[EN] de l’office US donne quelques exemples extrêmes…).

Du coup, la réelle étude est faite - par les parties- en cas de procès (ce qui explique la complexités de ces procès cf Apple vs Samsung…).



De ce fait, il est très aléatoire de savoir si oui ou non son brevet à réellement une raison d’être ou si il est juste dans le système parce que jamais passé devant une cour de justice américaine…



Notamment, si on regarde ce brevet de 1994 (cité en source du sien), on se rend compte qu’il y avait déjà de bonnes bases et il n’est pas sûr qu’il gagnerait s’il allait vraiment au tribunal.



Le droit des brevets des US est vraiment un panier de crabe…

Le 16/05/2013 à 20h 12

Je suis vraiment bisounours des fois…



Ma première pensée à été : il vont faire de la déduction fiscale sur l’argent qu’on met en crowdfunding tant que ça respecte certaines règles…



Une fois pris 2 min de recule ma 1ére idée est non seulement infaisable (comment on décide qu’un projet mérite ou pas une déduction et comment on la prouve…?) mais aussi dangereuse (blanchiment d’argent et fraude fiscale power).



Ou bon ben je vous rejoints : le “intéressant” fait peur… ^^’

Le 03/03/2013 à 15h 21







philoxera a écrit :



Il ferait mieux de s’occuper des fichiers de police et de qui y accède







Pourquoi faire l’un OU l’autre ? Il faut les deux : sinon on fait leur jeu.

D’ailleurs, au vu du niveau de ces fichiers là imagine qu’on fasse de l’open data dessus… Tu penses pas qu’il faudrait que ça soit fait de manière “propre” ?



Et puis c’est juste un sénateur… corriger et contrôler les fichiers de police c’est à la Cnil de le faire . Et apparemment “l’ennemie de la nation” essaye :

http://www.cnil.fr/nc/la-cnil/actualite/article/article/nouveau-controle-du-fich…

http://www.cnil.fr/la-cnil/actualite/article/article/taj-traitement-dantecedents…



Bon après… avec les moyens qu’on lui connait…

Pour Gorce, je ne suis pas sure qu’un sénateur qui siège à la Cnil puisse trop faire d”envolée lyrique pour demander plus de moyen pour une institution dans laquelle il siège… ça risque de pas être super bien vu, non ?


Le 03/03/2013 à 15h 14







Jarodd a écrit :



Il devrait donner des exemples concrets, parce que là je ne vois pas à quoi il fait référence. Comment on reconstitue l’identité d’une personne en prenant connaissance des horaires de bus de sa ville, ou du budget de la culture de l’agglo ?







Effectivement pour ces données là, il n’y a pas de raison que ça pose problème ^^

Le problème serait plutôt les données dérivées de données personnelles.



Par exemple imagine que tu publies des stats sur les impots qui indiquent par tranche d’impots combien tu as de contribuable par commune.

Tu vas pleins de petites communes ou de lieu dits ou tu auras 1 personne ou 2 dans une tranche.

Dans un lieu dit avec 3 contribuables, tu risques même de savoir combien paye chacun parce que tu risques d’avoir chaque personne dans une tranche différente… et là bonjour les querelles de voisinages si tu peux trouver ces infos facilement sur le net ^^’ (et pas que… ça peut être repris par gogole et consorts pour améliorer leur profilage…).



Ce qui est rigolo avec cet exemple c’est que c’est déjà de la donnée “publique” mais pas publiable en ligne : tout contribuable peut demander les impôts de toutes les personnes dans sa tranche. Ça permet de vérifier qu’il n’y a pas de truc chelou si on le souhaite. Mais aujourd’hui on a pas accès aux données des personnes qui payent bcp plus/moins que nous (i.e. pas de la même tranche que nous) et ce n’est pas publiable en ligne…


Le 26/02/2013 à 15h 06

Mon problème est de taper sur TPB et pas sur les personnes qui font la contrefaçon : ceux qui mettent en ligne.



En soit, TPB a répondu des centaines de fois (cf TPB AFK durant les passages auditions) aux ayants droits de prendre contact avec les seeder que ça ne les concernaient pas. Et en soit ça me parait tellement plus normal : le responsable d’un contenu est celui qui le met à dispo. Demander à un moteur de recherche quel qu’il soit de censurer ses réponses aux recherches, même pour de bonnes raisons, est pour moi surréaliste. Et c’est pas parce que Gogole le fait que c’est un argument, ça fait longtemps que je ne les considèrent plus comme une référence de neutralité.



Après il y a une question de loi et d’application de celle-ci qui ne suit pas forcément le bon sens. Et là, ben la loi est la loi (même si elle est stupide ^^‘).

Le 15/02/2013 à 15h 00

Pour ceux qui se demandent pourquoi, il suffit juste de lire les commentaires ici. C’est un milieu à 90% masculin on a tous les types de comportement classique dans les commentaires :

groupe 1 : la majorité, pas sexiste et se disent “c’est vrai mais je comprends pas trop pourquoi” =&gt; la majorité plus ou moins égalitaire

groupe 2 : quelques un font de l’humour de mauvais gout (du sexisme ordinaire, comme le racisme ou l’homophobie ordinaire pas forcément de personnes réellement sexiste souvent sans penser à mal). =&gt; certains sont des sexistes qui assument pas, d’autres ont juste un sens de l’humour pourri

groupe 3: quelques uns font carrément des postes sexistes expliquant que c’est la faute des femmes qui sont inférieures aux hommes et incapables de suivre des ordres (i.e. contrairement aux hommes ?). =&gt; Les vrais sexistes



Et que se passe-t-il ? ceux qui font de l’humour (groupe 2) renforcent la position sexiste du groupe 3 : ils les renforcent en allant dans leur sens même si c’est “juste pour rire”.

Le groupe 1, pourtant majoritaire, ne se regroupe pas pour écraser le groupe 3 qui pourtant à un comportement inacceptable et bouge encore moins contre le groupe 2 “parce que c’est de l’humour”.



Les rares femmes s’exprimant se font casser au mieux par un groupe 2 au pire par un groupe 3. Si groupe 2 alors si elle fait remarquer que ça dépasse les bornes on lui dit qu’elle “a pas d’humour” : elle est isolée du groupe et les membres du groupe 3 (pourtant extrêmement minoritaire) sont renforcés.

Aller dans le sens de la femme qui râle serait vu comme l’infantiliser par le groupe 1 (et certains du 2) et puis c’est pas grave c’est “juste de l’humour, ça va pas les tuer”, ils ne le feront donc pas. Ils restent neutres tant que ça part pas en flameware en bonne et due forme (très rare en public).



Moralité, le groupe force les femmes à se la fermer et à tolérer ces comportements inacceptables si elles ne veulent pas se retrouver seules contre tous.



En gros le problème c’est que :

-&gt; les comportements sexistes sont renforcés par la majorité silencieuse qui veut bien intellectualiser qu’il y a un problème mais qui ne bougera pas et par ceux qui font des blagues sexistes (groupe 2) sans penser à mal.

-&gt; ceux qui font remarquer qu’il y a un problème sont ridiculisé, isolé en pointant leur manque de tolérance/humour.



Simple comme tout, c’est le même problème pour toutes les minorités visibles. Sauf que sur internet ça ne s’entend pas sur un chat qu’on est pas un jeune cadre dynamique blanc par contre on ne peut pas louper la minorité femme. Dommage.

Le 13/11/2012 à 11h 25

Le principe de la liseuse, ok. Pour les long vols, je prend la liseuse de ma mère que je remplis de classique. C’est léger c’est bien. JE compte même peut-être dans les 20% du coup.



Par contre, pour tous les livres qui ne sont pas dans le domaine public ou libre c’est pas imaginable.



Je suis une bibliovore, je lis au grand minimum 3 bouquins par semaines.

Mon homme est comme moi, heureusement on a les même gouts ou presque donc tous les livres qu’on achète on les lit tous les deux.



Un livre que j’apprécie je le prête aussi à ma famille, à mes amis. Pour un achat inférieur au prix de l’ebook (je n’achète que du poche vu ma consommation…) il sera lu par un minimum de deux personnes mais souvent beaucoup plus. Et cela en toute légalité : j’en suis propriétaire et je peux en faire ce que je veux.



Un livre que je n’ai pas aimé, je le met dans le tas des livres à revendre d’occasion et on reremplit la cagnotte pour en acheter d’autres.



Mais pour les ebooks on n’est pas propriétaire, même si le bouton du site dit “acheter”. On achète une licence d’utilisation du livre.



Je n’ai pas le droit de prêter légalement le bouquin à qui je veux, quand je veux comme je veux. Je n’ai pas le droit de revendre mon bouquin ! Tout ça est limité par le format, les DRM et la licence qui bien souvent interdit même le prêt ou le limite tellement que ça en est risible.



Je suis propriétaire de mes livres papiers et seulement une vague locataire pour les ebooks. Je payerais plus cher les ebooks (dont le prix est calculé par rapport à la version grand format…. ^^‘) que je ne pourrais plus utiliser comme je veux.



Il n’y a pas photo : lire des bouquins libre/du domaine public sur ebook ok mais passer tout sous ebook c’est hors de question.



Plus cher pour moins de droit, désolé je suis pas un pigeon !

Le 27/08/2012 à 13h 21

J’ai l’impression de ne pas avoir joué au même jeu que la news qui est super défaitiste !



Sur Mer de Jade, le jeu marchait correctement jusqu’à samedi midi et demi. Ensuite j’ai été déco et impossible de me reco (des collègues ont pu continuer à jouer jusqu’à être déco vers 15h). Les serveurs ont été remis d’aplomb vers 16h30/17h et plus de problème de connexion (même plus rapide que samedi matin…).



Par contre l’HV qui fonctionnait nickel pendant la bêta est en maintenance… ils attendent pê la sortie ?? mais je trouve ça dommage.



La fonctionnalité pour rejoindre son groupe (fonctionnelle en beta) marche aléatoirement en fonction de la chance et de Murphy, c’est ce qui m’embête le plus.



Des pb mineurs avec les fonctions de Guilde (je ne pouvais pas accepter l’invitation avec ma main mais j’ai pu avec un reroll Oô ).



L’un dans l’autre une sortie classique pour un MMO avec ses hauts et ses bas. Mieux que beaucoup (C’est vrai qu’Aion c’était l’horreur… 7 à 8h d’attente pour commencer à jouer… et Diablo 3 argh… ) mais toujours un peu foireux. Je me rassure en me notant qu’en un we de jeu intensif on est tombé sur une seule quête buggée…



Les pré-release c’est toujours la dernière bêta, celle là est dans la moyenne basse en terme de bazar… pas si mal.