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344 commentaires

Revue de presse : chaud et froid pour SimCity

Le 05/03/2013 à 12h 29






Nithril a écrit :

C’est surement ce qu’attend 80% des gens.

80% des vieux-de-la-vieille, peut-être, oui. Mais il ne faut pas oublier que SimCity 4 ça date de 2003 et qu’ajourd’hui, dix ans après, il y a beaucoup de gens pour qui cet opus sera le premier auquel ils joueront, donc les attentes sont très différentes.



Le 05/03/2013 à 11h 36






RinSa a écrit :

Je sais pas si ça a déjà été posté, mais c’est à lire :
http://arstechnica.com/gaming/2013/03/simcity-impressions-we-waited-ten-years-fo…

Ils partent avec un avis biaisé.
Ils s’attendent à avoir exactement le même gameplay et les mêmes objectifs que SimCity 4, il y a dix ans.
C’est à dire qu’ils sont dans l’idée qu’une ville puisse être optimisée à 100%, auto-suffisante et que tout puisse être construit dans une seule parcelle de terrain.

Mauvais. Ce n’est pas comme ça que le gameplay a été orienté. On ne peut pas faire de ville “Kifétou”. Il faut faire des choix… et ces choix, ces testeurs ne s’y attendaient pas.
En fait, la toute première phrase du type qui s’appelle Kyle résume tout ce qu’il faut savoir sur le jeu:
Kyle: I build curvy roads. They make the city look more natural, and I’m not that concerned about just min-maxing.
(Malheureusement, les phrases d’après prouve qu’il cherche justement le rendement maximum.)

Ce jeu, c’est SimTown. Construire une ville spécialisée dans un truc, puis passer à une autre. C’est ainsi que ça a été pensé, c’est d’ailleurs plus logique, ça offre plus de possibilités et plus de “focus” sur les prises de décisions.

Le seul conseil qu’on peut leur donner, c’est d’aller jouer à SimCity 4.



299 ou 449 dollars ? Les analystes s'opposent sur le prix de la PS4

Le 22/02/2013 à 15h 18






Séphi a écrit :

En fait j’ai l’impression qu’il essaie d’appliquer une façon de voir sur un objet auquel cette dernière n’est pas destinée.
Grosso modo TOUS les fabriquant devraient vendre leur console et nous on devrait pouvoir faire ce qu’on en veut. Techniquement c’est possible, si j’ai envie de transformer ma PS3 en micro-onde libre à moi.
Mais à ce moment là je ne pourrais plus jouer avec.
Donc en parallèle les développeurs devraient aussi nous fournir les codes sources de leurs jeux afin que l’on puisse l’adapter aux modifications que l’on a fait à la console (changement d’OS ou de matos par exemple) ce qui serait logique dans ce cas.
Et puis donc du coup pourquoi pas nous fournir tout ça gratuitement et avec un bisou en prime ?
Nan franchement le principe du “çapuçaypalibre” ça commence vraiment à gonfler…

Il n’y a pas que ça.
Si un constructeur veut protéger sa machine contre le “bidouillage”, c’est principalement pour éviter un maximum le piratage.
Il ne faut pas se voiler la face ou être hypocrite, lorsqu’on veut faire exécuter du code non prévu par le constructeur, la plupart du temps c’est pour pouvoir balancer un homebrew qui peut lire les jeux piratés.

Dans quelques cas c’est pour modifier l’expérience utilisateur et rajouter de petites fonctionnalités, mais ça n’est pas vraiment représentatif.

En partant de cette constatation, on peut facilement deviner pourquoi les constructeurs veulent “protéger” leur machine. Ils sont aussi éditeurs et fournisseurs de services. C’est d’ailleurs ça qui représente leur revenu principal puisque la plupart du temps la vente de la console elle-même est faite à perte.

On a l’exemple inverse de la Ouya qui, elle, n’ayant pas de constructeur-éditeur, n’a aucun intérêt à protéger sa machine. Au contraire.



Le 22/02/2013 à 14h 34






sylware a écrit :

Ils nous enferment et avec un large sourire nous demande de passer à la caisse… chercher l’erreur.

Une erreur ? J’ai beau chercher, j’en vois pas. Va falloir nous éclairer.

Les composants de la machine ne sont pas interchangeables… oui, et ?
Le software qui permet d’utiliser la machine n’est pas libre… oui, et ?
Les fonctionnalités ont été développées et choisies par Sony… oui, et ?
Ils demandent de payer pour acheter leur produit… oui, et ?

C’est quoi le problème au juste ?
C’était juste un troll ou il y a un sens caché que je n’ai pas bien saisi ?



Le 22/02/2013 à 11h 25

Très peu de chances qu’elle soit à $300.
Plusieurs choses :




  • Les spec sont coûteuses, même s’ils ont pu économiser avec leur architecture GPU/CPU sur le même socle et qu’ils n’ont pas monté de rétrocompatibilité matérielle.

  • Presque impossible de faire une offre marketing et plannifier une baisse de prix de la machine si les prix sont aussi compressés au départ. S’ils la lancent à 300 balles, elle restera à 300 balles.

  • Balancer la console de salon à $300 et avoir une Vita qui coûte le même prix à côté, ça fait vraiment bizarre. Les consommateurs auront l’impression que l’une des deux consoles est une arnaque.

  • Si Microsoft balance sa console plus cher que $300, alors on aura une PS4 moins chère, ce qui fera entrer un “Si c’est moins cher, c’est moins bien” dans l’esprit des consommateurs.

    Bref, lancer un produit au plus bas prix pour maximiser les ventes initiales n’est pas toujours une bonne idée marketing, encore moins sur le long terme.


La clé USB du salarié est présumée professionnelle lorsqu’elle est branchée

Le 20/02/2013 à 14h 07






Djaron a écrit :

tiens question, est ce que la boite aux lettres email mise à disposition d’un employé est considérée comme personnelle ou bien le patron a le droit de la regarder/d’y avoir acces comme il veut ? (la ou je bosse c’est pas le cas, pour le moment)

et des lors, faire un backup de la dite boite sur sa clef hein ?

La boite mail fournie par l’entreprise, sensé être professionnelle, est consultable à tout moment par le patron. Que tu sois là ou non.

Cependant, tu peux tout à fait faire un dossier d’archives personnel, en le labellisant comme il faut. Avec ça, ce dossier est considéré comme faisant partie du cadre légal de tolérance à la vie privée sur le lieu de travail.

Maintenant, s’il fait une copie de ton dossier personnel, il est en infraction.



Le 20/02/2013 à 12h 58

J’imagine bien mon patron venir me voir et me dire :

“Bien, vu que vous posez vos fesses sur une chaise de l’entreprise qui vous sert à travailler, j’ai la possibilité de vous faire une coloscopie légalement. Il fallait marquer “privé/personnel” dessus. Aller, on se penche en avant maintenant.”


Erreur de prix sur le site Conrad, quels droits pour le consommateur ?

Le 19/02/2013 à 15h 27






tAran a écrit :

Mais alors, Captain Obvious, dis moi : il est donc normal de vendre des produits à perte ? <img data-src=" />

Vendre, non. Revendre, oui.
Un revendeur a tout à fait le droit de vendre à perte un produit qu’il a acheté à un fournisseur plus cher.

Ca se fait régulièrement, en fait. Un bon exemple de la raison pour laquelle on ferait ça, ce serait pour écouler des stocks qui commencent à coûter cher sur un produit qui a du mal à s’écouler.
A ce moment là, au lieu de payer des frais de stockage, tu (re)vends le truc à perte pour minimiser tes coûts finaux en te débarrassant de la marchandise.

C’est parfois la solution la moins coûteuse après une fausse estimation du marché. Tu ne peux pas faire dormir les trucs dans un entrepôt (ça coûte cher) et c’est moins terrible que de les détruire.
Ca reste négatif dans tous les cas, mais là, le but est de chercher la meilleure solution pour encaisser l’erreur.



Le 19/02/2013 à 15h 19






RaYz a écrit :

Dans ce cas pourquoi avoir annoncé qu’ils allaient livrer ceux payé par CB et rembourser les paiements paypal (pour l’instant aucun des deux n’a été fait) ?

Et question pub tu t’y connais toi par contre ? Parce qu’ils ont fait la une de tous les sites info et je ne sais combien de nouvelles inscriptions sur leur site + les mecs qui ont acheté quelque chose en plus du SSD et qu’ils auront la flemme de renvoyer. Et rajoute a ça le fait que beaucoup ne connaissaient pas Conrad avant et pour eux je pense qu’il vaut mieux être connu sur une petite bourde d’affichage que ne pas être connu du tout.

En termes de com’ c’est absolument pourrit.

Oui, on voit la marque partout, oui, elle se balade sur les sites de news. Mais l’image associée à la marque est bonne à foutre aux ordures tellement elle est mauvaise.
Tu ne bâtis pas un commerce en disant aux gens que tu n’honores pas des commandes et que tu fais des erreurs de prix. Surtout sur un e-commerce où sortir sa carte bleue pour payer sur Internet est encore un geste qui fait peur à une bonne partie de la population.

Une enseigne de e-commerce doit placer son image dans le cadre de la sécurité et de la fiabilité.
Ici, on a tout l’inverse. Le fait qu’on parle de la marque et qu’on la grave dans les esprits ne permet pas de dire que c’est une pub réussie, bien au contraire. Les gens sont doués pour retenir le nom de quelque chose qu’il faut éviter.

Dans quelques temps, les gens reverront “Conrad” écrit quelque part et ils associeront le nom à quelque chose de mauvais envers lequel on ne peut avoir confiance.
Et la confiance c’est bien la première chose qu’il faut à une image de marque quand on tient un commerce en ligne.

Donc personnellement, je dirais que c’est soit effectivement un soucis informatique, soit que leur service com’/leur presta com’ a fait une boulette d’une énormité impressionnante.

En fait, je me demande ce qui coûte le plus cher maintenant : honorer les commandes à perte ou payer la com’ qu’il va falloir pour redorer l’image de la société.



Le 19/02/2013 à 09h 58






Tim-timmy a écrit :

Il me semble délicat de dire qu’ils ne sont pas de bonne foi quand même. De plus dans ce cas il y clairement vente à perte, donc leur volonté d’honorer certaines commandes peut être considérée comme illégale de base, non? ..

Ne pas confondre “vente” et “revente”.



Electronic Arts, les consoles next-gen et l'occasion : une équation insoluble ?

Le 14/02/2013 à 14h 49






Fuinril a écrit :

Pour les activations en ligne tu racontes juste de la merde… La clé de Diablo 2 ne bloquait pas le jeu solo et tu n’avais pas besoin du net pour installer ton jeu. Le premier jeu à avoir fait ça, de mémoire donc je peux me tromper mais en tous cas c’était un des précurseurs de la méthode, c’était Bioshock (2007).

Je vais citer ce que j’ai dit :
. Depuis déjà les années 2000 on a des activations par clé-cd qui bloquent le jeu en ligne. Diablo II comme premier exemple qui me vient en tête.
Si tu vois la moindre insinuation au solo lorsque je dis “jeu en ligne”, c’est que tu as un net problème de compréhension.
Donc, avant de dire que je raconte de la merde, ouvre les yeux ou apprends à lire. Je n’ai jamais dit que la clé-CD bloquait le solo ni qu’il y avait besoin d’une activation en ligne. J’ai juste dit que ça bloquait le jeu en ligne, sous-entendu l’accès à battle.net.
Si t’achètes un Diablo II d’occasion, il y a de fortes chances que la clé-CD ait déjà été liée à un compte battle.net, ce qui t’empêchera de jouer sur les serveurs de Blizzard. C’est un fait.



Fuinril a écrit :

Pour finir tu es certes propriétaires d’une licence d’utilisation mais cette licence est cessible (CJUE : jurisprudence du 3 juillet 2012).

Encore une fois, j’ai jamais dit le contraire.
Concernant cette jurisprudence, elle est bourrée de failles et d’imprécisions.
Elle n’a également pas valeur d’application dans bon nombre de cas étant donné qu’elle traite de “programmes d’ordinateur” acquis via Internet et via le site de l’éditeur. Rien à voir avec la boite d’un jeu que tu veux revendre dans un magasin tiers.

C’est pas pour du vent que je répète un peu partout que ce jugement n’apporte rien de concret comme protection des droits de manière générale, et que se baser dessus pour un jugement serait une erreur (exemple de l’association allemande qui attaque Valve).



Fuinril a écrit :

Donc tu peux jouer sur les termes (propriétaire du jeu / propriétaire de la licence du jeu), mais l’un comme l’autre tu as le droit de revente et je jour ou un particulier aura les corones d’attaquer un éditeur en justice il gagnera pratiquement certainement (après c’est comme les CLUF bourrés de clauses illégales : qui va attaquer pour 45 ou 60 euros ?).

C’est pas un jeu sur les termes, hein. Tu n’es pas propriétaire du jeu, c’est tout. Tu achètes simplement le droit d’y jouer dans les conditions imposées par l’éditeur. Une simple licence d’utilisation.
Elle vient certes avec certains droits, mais elle est aussi bourrée de restrictions.

Maintenant tu parles “d’attaquer l’éditeur”. Ok, c’est bien, mais si la liaison du jeu à ton compte est requis par la console pour fonctionner normalement, cette responsabilité revient à Microsoft/Sony/… Ce n’est alors pas l’éditeur qui impose cette restriction, mais celui qui a fourni le matériel. Donc le jugement en faveur du particulier contre l’éditeur, désolé mais c’est loin d’être aussi évident.
“Bah l’éditeur n’avait qu’à choisir une autre plateforme !” Non, ce n’est pas une raison.


Donc, pour le moment, on a absolument rien sur quoi s’appuyer en termes législatifs clairs et précis. Ca reste un vide juridique quasi-complet et personne n’a encore eu le temps/courage de s’atteler à ce chantier.

Oui, c’est dommage pour le consommateur, je n’ai jamais dit le contraire. Mais là n’est pas la question. Le ouin-ouin du consommateur, c’est basique et banal et ça ne fait pratiquement jamais rien avancer (ouah, quelques milliers d’euros pour l’UFC, trop cool, ça va clairement faire basculer tout le système de l’économie actuelle et du droit des consommateurs, oulala…).

Bref, aujourd’hui, le meilleur moyen direct et à court-terme de ne pas se faire enfler par ce système anti-occasion (dont je me fous éperdument, au passage, vu que je joue sur PC et que j’achète mes licences de jeu neuves en démat’ et que je me moque de pouvoir revendre ou non), c’est encore de ne pas acheter ces futures consoles.



Le 14/02/2013 à 12h 14






malrepast a écrit :

Les bras m’en tombent à chaque fois que j’entends un abruti (il n’y a pas d’autre mot pour dépeindre celui qui me tient un tel discours), de l’industrie du jeu vidéo, affirmer et ce le plus sérieusement du monde, que le marché de l’occasion est un fléau, pour cette dernière.

Au-delà du simple fait qui devrait suffire à lui seul, à démontrer le grotesque d’une telle assertion et qui est que, le marché de l’occasion existe aussi pour tous les autres secteurs marchands, qui eux par contre ne passent pas leur temps à geindre, ni d’ailleurs à prétendre que cela nuit à leur prospérité, il est un fait tout aussi indiscutable et qui est que le marché de l’occasion contribue, pour beaucoup de joueurs, comme le rappelait deux représentants des boutiques game et micromania (gameblog podcast 246), à alimenter leur budget jeux, y compris pour en acheter des neuf et est donc parfaitement indispensable, pour faire tourner l’économie du jeu vidéo.

Vouloir porter atteinte au marché de l’occasion, c’est porter atteinte directement au pouvoir d’achat de ses clients et c’est donc aussi intelligent que d’affirmer que si les pauvres arrêtaient de boire et bouffer des saloperies, à pas cher, il ne fait aucun doute que le champagne et le caviar se vendraient bien mieux.

Si l’industrie du jeu vidéo manque à ce point d’argent, elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même, avec ses cycles de production toujours plus courts (bientôt on aura des franchises tous les 6 mois si ça continu), pour satisfaire un actionnariat toujours plus gourmand, avec pour résultat le fait d’inonder le marché, avec une profusion de titres, alors qu’en face le porte-monnaie du client lui n’est pas extensible à l’infini et qu’il doit donc, fort logiquement, faire des arbitrages.

Elle s’apercevra alors que l’attente étant plus forte et les titres plus rares (et on peut l’espérer aussi de meilleure qualité) les jeux neufs se vendront bien plus et bien mieux, sans que le marché de l’occasion ne lui pose le moindre problème.

Pour moi, la première contrepartie au fait d’acheter un jeu, c’est d’en être propriétaire, comme c’est d’ailleurs le cas pour n’importe quel autre produit de consommation et comme le stipule la loi, et d’être remercier et respecté par celui que mon argent fait vivre (c’est d’ailleurs pour cela que je n’achète aucun jeu démat ou en version physique qui intègre un DRM coercitif et spoliateur).

Désolé, mais c’est un tissu de bêtises.

Tout d’abord, tu assumes le fait que les acheteurs d’occasion achètent aussi du neuf, sans apporter aucune preuve ou statistique valable.
De la même manière, je peux t’affirmer que beaucoup de joueurs console ne font que rester dans l’occasion en utilisant les cartes de fidélités et échanges de jeux pas chers pour sauter d’un jeu à l’autre.

Cela permet à une seule galette de pouvoir faire jouer deux, trois, cinq ou même dix personnes, qui sait, alors qu’une seule licence n’a été vendue au départ. C’est une perte sèche pour les éditeurs. Affirmer le contraire serait aussi stupide que de réfuter le fait que la Terre orbite autour du Soleil.

Les magasins faisant de l’occasion ont tout intérêt à faire entrer les joueurs dans cette “boucle de l’échange d’occasion”, car c’est là dessus que se fait la principale partie de leurs chiffres d’affaire.

Pourquoi, à ton avis, le marché des jeux PC est mort depuis au moins dix ans ? Pourquoi les magasins de jeux vidéos vendant des jeux PC sont rares ? Non, je ne te parle pas de la Fnac ou d’Auchan, mais bel et bien des magasins ne faisant que du jeu vidéo, avec de l’occasion… C’est simple : car vendre du jeu neuf (ici, PC) ne rapporte presque rien.
Et comme les jeux PC ne peuvent plus se revendre d’occasion à cause des clés d’activation, le marché du jeu PC a été complètement abandonné par ces revendeurs. Et ça ne date pas d’aujourd’hui, hein. Depuis déjà les années 2000 on a des activations par clé-cd qui bloquent le jeu en ligne. Diablo II comme premier exemple qui me vient en tête.
Donc ce n’est clairement pas une tendance nouvelle.

Le seul domaine où le jeu d’occasion peut être bénéfique pour les studios, c’est par la promotion de celui-ci. Si on achète un jeu d’occasion d’un certain studio méconnu, et qu’on découvre que le jeu est bon, on aura plus de facilité à revenir acheter des titres dudit studio.
Mais, encore une fois, ça ne garanti en aucun cas que ce nouvel achat sera un jeu neuf.
Il le sera dans le cadre d’un cadeau, à noel ou à un anniversaire… mais un joueur achetant seul en “période creuse” ira certainement voir les rayons d’occasion plutôt que de regarder les jeux vendus au prix fort (ce qui est complètement logique).


Pour finir en reprenant ton dernier paragraphe, non, tu n’as jamais été propriétaire du jeu que tu achètes, tout comme tu n’es pas propriétaire du film qui est gravé sur ton DVD/Blu-Ray.
La seule chose que tu achètes, c’est une licence d’utilisation. Et c’est ainsi depuis un bon moment (depuis probablement avant même ta naissance).
Ne viens donc pas affirmer ça en balançant un “la loi dit que…” alors que c’est faux.



Microsoft est entré sur le marché des consoles pour arrêter SONY

Le 07/02/2013 à 14h 11






yvan a écrit :

Peu étonnant, et pas faux comme vision stratégique.
Sauf que le danger est venu du téléphone portable et là on sait ce qui est arrivé à Microsoft, ils ont quand même pris cher même sans mordre la poussière.

Le téléphone portable a prit le salon ?

Le but est juste d’implanter son matériel dans la pièce à vivre des usagers, sachant que le PC était plutôt dans un bureau ou, en tout cas, pas super proche de la télé.
SONY a voulu s’emparer de ce sacro-saint objet qui monopolise un bon morceau de temps de cerveau, et Microsoft a lancé une console pour que SONY ne s’y implante pas définitivement.

Le cas des téléphones portables et tablettes est tout autre.


En fait, tout ça rejoint un peu ce qu’avait dit Gabe Newell à propos de la Steambox et d’Apple qui pourrait balancer sa marque dans cette pièce.



Jeux d'occasion : Valve ne semble pas inquiet de la plainte de la VZBV

Le 06/02/2013 à 11h 31






SuperMot a écrit :

Oui clairement pour le marché physique, d’ailleurs j’ai jamais été fan.

Par contre imagine comme sa serais facile et plaisent à utiliser pour les licences dématérialiser, en trois click tu pourrais acheter ou revendre sans risque pour la qualité du produit, car contrairement aux versions physique il n’y a évidemment pas d’usure ou des risque de surprise désagréable.

Mais je pense aussi que sa ferais très mal au site de revente purement dématérialiser, on peu pas leur en vouloir de refuser de se tirer une balle dans le pied.

On est d’accord. Ils n’essayent pas de tuer le marché de l’occasion PC qui est déjà mort, mais bel et bien d’empêcher l’émergence d’un nouveau marché de “l’occasion dématérialisé”.

Et honnêtement, je ne pense pas que la revente de licences de jeux démat’ se fasse de si tôt… En tout cas, si ça se fait, ça ne se fera pas comme le marché physique actuel avec des revendeurs indépendants.



Le 05/02/2013 à 11h 11

Faut pas non plus être hypocrite, hein. Le marché de l’occasion PC est mort il y a plus de dix ans.


Le 04/02/2013 à 17h 10


L’éditeur ne semble pas tenir compte de la récente décision de la Cour de justice européenne invoquée par l’association.
Normal, vu que Steam n’est pas concerné.


Revue de presse : Dead Space 3 sauvé par son mode coop ?

Le 05/02/2013 à 16h 01


Pour rappel, les joueurs sur PC ne profiteront pas des ajouts apportés par DirectX 11 ni même de textures haute définition comme l’ont laissé entendre les développeurs, qui prônent une expérience identique sur tous les supports.
Les dernières news sur le sujet tendent à démontrer le contraire, que le portage serait de bien meilleure qualité que ce qui avait été annoncé.

Sauces:
-http://pcgamingwiki.com/wiki/Dead_Space_3
-http://www.reddit.com/r/Games/comments/17wij5/dead_space_3_not_a_straight_port_a…
-http://www.youtube.com/watch?v=OcxJoBUeUiU


Mojang aiguise l'appétit de grands éditeurs

Le 05/02/2013 à 11h 19


« (…) Nous essayons d’être les plus agiles possible, afin de sortir nos jeux rapidement ».
Ce passage était très rigolo.


Gabe Newell, Apple et les chapeaux de Team Fortress 2

Le 01/02/2013 à 18h 18






John Shaft a écrit :

La fameuse update PolyCount où les trucs était vendu un bras ?

Tout est encore vendu un bras <img data-src=" />.
Mais oui, je crois que ça vient de là… ou, du moins, ces premiers packs fournis par la communauté (enfin, on parle de 5-6 personnes, hein) font probablement partie du haut du panier en termes de revenus générés.



John Shaft a écrit :

<img data-src=" />

Faut dire que j’ai arrêté TF2 à peu prêt à l’époque de l’update PolyCount (pur hasard d’ailleurs, c’est la période où je me suis lassé du jeu) et que je vais jamais sur le Workshop :transpi;

Je viens de lire l’interview, et on remarque qu’il est question de 264 objets qui rapportent du fric à des gens de la communauté.
C’est assez peu finalement… ce qui veut dire que ces objets doivent être partagés entre un nombre vraiment restreint de personnes. Du moins pour le moment.
On est donc assez loin de pouvoir dire qu’on peut en vivre, même si certains ont réussi à passer le tamis.

Toujours est-il que toucher 25% des ventes sans rien avoir à faire après la soumission de l’objet, c’est quand même gras je trouve , et pus d’un artiste musical ayant signé chez un producteur doit pleurer en voyant ce ratio ^_^‘.

Cependant, je vois que l’intention de Valve est clairement de démocratiser le truc et augmenter la cadence d’objets vendus faits par la communauté. Donc quelque chose me dit que ça permettra sans doutes d’avoir plus de personnes dans le système qui toucheront de l’argent, mais aussi qu’il sera bien plus difficile de se faire un nom et que son objet soit acheté.

Je trouve quand même tout ce système assez intéressant d’un point de vue économique et social.



Le 01/02/2013 à 17h 56

Il me semble que l’utilisateur cité est un mec qui avait fait deux packs d’items qui ont été intégrés directement dans le jeu. Donc 5-6 objets.
Ca avait été posté sur un forum polycount.

Faut pas confondre les contenus de la communauté qui sont faits à la pelle, mais servent uniquement à modder le jeu (et ne sont pas vendables), avec les contenus que Valve ajoute directement au store in-game.


Le 01/02/2013 à 17h 35






John Shaft a écrit :

Certains arrivent à se faire pas mal de blé en vendant des chapeaux (faut voir les prix aussi du coup ! <img data-src=" /> ), mais quand même, Valve est-il obligé de se goinfrer à ce point ?

Leur jeu, leur plate-forme, leur système, leur workshop…
Le mec a just fait un pov’ modèle 3D, hein. Quand bien même il est très réussi (ou pas), je ne vois pas pourquoi il aurait plus.

Et franchement, quand tu gagne 500k par an en faisant juste quelques objets pour un jeu, il n’y a pas vraiment de quoi se plaindre.
Surtout si tu le compare à un système similaire : artiste/major.



Fichiers disparus sur MEGA : c'est la faute des moteurs de recherche

Le 01/02/2013 à 18h 03

En fait, MEGA est l’exact inverse de ce qu’était MegaUpload :

Ce dernier était moins un espace de stockage perso, et plus un système global de partage de fichier.

Là, Dotcom vient de dire, en gros, qu’on n’a pas le droit d’avoir du contenu public et de le diffuser, sinon il y a un risque qu’il parte à la benne sans sommations.

Du coup, on se retrouve avec un système de stockage où l’utilisateur doit garder un maximum de fichiers privés et ne pas diffuser publiquement ses contenus (ou, du moins, de ne pas se faire référencer).


Du coup, j’ai bien du mal à en voir l’utilité.


Le 01/02/2013 à 17h 53






Zyami a écrit :

Tu es pas sensé rendre une clé publique non plus.

Bien obligé si tu veux diffuser le contenu à un “large” public.
C’est le principe du dossier public, en fait.



Selon l’ADAMI, un artiste gagne 0,0001 euro sur le stream d'une chanson

Le 01/02/2013 à 12h 32






carbier a écrit :

Donc pas la peine de dire que l’artiste ne prend aucun risque…
De plus avec la réforme du statut des intermittents du spectacle qui se prépare, le risque va être bien plus présent pour les artistes et les techniciens…

Oui, mais ce risque est lié à son métier, pas au type de contrat qu’il peut signer, c’est pour ça que je l’ai exclu.

Si quelqu’un veut toucher du fric sans prendre aucun risque, c’est pas vers le domaine artistique qu’il faut se tourner.

Toujours est-il que ça ne change rien au fait qu’un artiste qui touche un cachet à 100% de chances de voir de l’argent rentrer sur son compte en banque, tandis que quelqu’un qui ne toucherait que sur un retour des ventes n’est absolument pas certain de pouvoir payer son loyer à la fin du mois… ce qui est probablement la principale raison pour laquelle la majorité des artistes interprètes choisissent cette première solution qui, je le répète, leur apporte également un soutient financier sur la production de leur musique (matos, studio, promo…) qu’ils n’auraient sûrement pas avec leurs propres moyens.



Le 01/02/2013 à 12h 20






loic_1715 a écrit :

Ce que tu appelles un “cachet”, c’est une avance sur les ventes ?

Le problème, c’est ce qu’ils ne touchent quasi rien sur les ventes Internet alors que ça génère de l’argent. Ce me semble légitime que chacun ait une part du gâteau (cf le cas des scénaristes US qui ont fait grève il y a qq années).

Avance sur les ventes… oui et non.
C’est un montant d’argent défini entre le producteur et l’artiste visant à rémunérer son dernier soit avant soit après l’enregistrement (souvent après).

En général, c’est le producteur qui estime le montant, car c’est lui qui sait comment il va mener le marketing et sur quelles ventes il pense avoir un retour.

Si le producteur se plante dans ces estimations, alors il n’aura pas un retour sur investissement comme attendu, mais l’artiste, lui, aura quand même déjà touché son argent.

Au final, dans cette configuration, l’artiste ne prend pas de risque, il est payé peu importe si il devient populaire ou non.
Évidemment, le montant est assez faible… mais pour une prise de risque égale à zéro (ou presque*), on comprend vite pourquoi la majorité souhaitent signer avec un producteur qui, en plus de leur assurer un revenu fixe, leur fourni souvent une place pour enregistrer, leur paye tout ce qui est com’, etc.


*: Si l’artiste est mauvais ou qu’il ne devient pas populaire, il aura peut-être touché son argent comme convenu, mais il ne signera probablement pas d’autre contrats si le producteur voit que les gens ne veulent pas de sa musique. Donc c’est un risque pour l’artiste, mais ce risque est présent dans absolument tous cas de figure.



Le 01/02/2013 à 11h 56

On dirait que les gens de PCI ne comprennent pas que l’artiste est peut-être lésé en terme de gains post-prod, mais qu’ils touchent bien un cachet à l’enregistrement.
En gros, qu’ils aient du succès ou pas ne change pas vraiment le montant qu’ils gagnent.

Vous préféreriez que les artistes n’aient pas de cachet mais aient un simple retour via les ventes et l’écoute en streaming ? Et donc qu’ils prennent le risque de ne pas avoir de succès et de se retrouver à jouer de la guitare dans le métro pour quelques pièces le mois d’après ?

Et vous, vous auriez “les couilles”, comme vous dites, de choisir un tel système ? Rigolos <img data-src=" /> .


Un procès oppose Valve et la VZBV sur la vente de jeux d'occasion

Le 01/02/2013 à 12h 04

Il me semblait que la décision de la cour de justice mentionnait spécifiquement qu’il était de la responsabilité du détenteur des droits de la licence originale (en gros, l’éditeur (ou le développeur s’il est indé)) de permettre la revente (ou la cession contre rémunération si vous préféréz).

En gros, si vous achetez un jeu Bethesda, c’est Bethesda qui doit s’assurer que vous pouvez revendre votre licence d’utilisation. Si vous achetez ce jeu sur Steam, ça ne change rien, ce n’est pas à Steam de vous permettre de faire ça.

Steam n’est pas éditeur, c’est un revendeur, un magasin.
Si vous achetez un jeu à Auchan, Auchan n’est en rien obligé de vous permettre de le revendre.

Donc, à mon avis, si la VZBV tente de s’appuyer sur la décision de justice précédemment établie, ils vont se casser les dents car Steam n’est pas celui qui cède les licences d’utilisation, il ne fait que servir d’intermédiaire entre l’éditeur et le client.


Firefox bloquera bientôt tous les plug-ins à l'exception de Flash

Le 31/01/2013 à 11h 36






calahan59 a écrit :

quid de ABP ?

C’est une “Extension”, pas un “Plug-in”.
Il ne semble donc pas affecté par ce blocage si on s’en tient au terme exact.



Le producteur de Dead Space 3 veut la même expérience sur consoles et PC

Le 29/01/2013 à 17h 38

C’est stupide comme décision. Si les gens achètent des systèmes différents, c’est justement pour ne pas avoir la même expérience de jeu que le voisin.
Si un mec investi dans un PC cinq à dix fois plus cher qu’une console qui a huit ans, c’est pour avoir un meilleur rendu graphique.

C’est comme si le clash avec Dark Souls n’avait fait tilter personne chez Viceral Games.

Ca plus le coup des micro-transactions dans le jeu pour s’acheter du matos dans un jeu survival horror (probablement plus orienté action cette fois-ci, mais on s’en fout), pour une campagne single-player…

Et après ils viennent se plaindre qu’il y a beaucoup plus de pirates sur PC.
Bah à prendre les joueurs pour des vaches à lait, il n’y a aucune raison pour que ceux-ci décident de participer aux marges financières des développeurs qui se foutent de leur gueule.


Guild Wars 2 : retour sur le lancement, et les problèmes de sécurité

Le 29/01/2013 à 16h 01

Ca fait -très- longtemps que les soucis de débordements liés à la sortie du jeu et à l’afflux de joueurs sont résolus.


Une amende et des dommages et intérêts pour 18 films téléchargés en P2P

Le 21/01/2013 à 16h 24






canard_jaune a écrit :

Chanceux d’avoir été choisi parmi les milliers de téléchargeurs Français pour servir d’exemple.

Il a normalement été jugé sous DADVSI, hein. Pour avoir fait du P2P (DL & UL) pendant 4 ans à ~90 par mois, il aurait pu se taper de la taule et 300k.

Donc oui, il a été chanceux, et non, il n’a pas servi d’exemple, sinon là, il serait entre quatre murs.
Il a juste fait office de piqûre de rappel comme quoi la HADOPI ne sert à rien et que tout le monde peut s’en passer.



Le 21/01/2013 à 15h 22

La joie de pouvoir faire dire ce qu’on veut aux chiffres…

Aller, ajoutons un peu de piment dans cet article : le condamné a avoué télécharger une moyenne de 90 films par mois, et ce pendant 4 ans. Il n’a cependant été poursuivit que pour une seule journée où il a téléchargé 18 films.

Donc, pour avoir avoué télécharger, en gros, 4 300 films, il se tape 2 650€ à payer.
Et encore, on n’a même pas compté le nombre d’upload potentiels qu’il a fait pendant ces 4 ans (ou peut-être était-il un simple leecher ? Qui sait…)

J’espère qu’il se considère chanceux.


D'après Kim Dotcom, MEGA a attiré 1 million de visiteurs en 14 heures

Le 21/01/2013 à 12h 48






anonyme a écrit :

Non mais c’est juste que tout le monde s’extasie pour un truc merdique.
Certes, c’est offert (pour le moment), mais c’est merdique, fermé à mort, et comme son grand frère, soit se fermera de lui même, soit se fera fermer parce que hébergeant du contenu illégal.
Mais soit, continuer à engraisser ce porc de Kim (via pub ou abo payant) pour partager vos film/musique pour lesquels vous n’avez pas acquis légalement les droits de diffusion

Alors oui, je préfère de très loin mon serveur FTP sur mon rPI sur ma connexion ADSL en IPv6, avec certes un débit pas top (1Mo en UP) et une place pour le moment très réduite (la machine n’a pas encore reçu son DD USB).
Parce que le Net (enfin Web, vu que c’est un service Web only) centralisé à mort, c’est bien beau, mais perso, je connais la fin =&gt; minitel)

Ah mais j’ai pas dit le contraire, juste que faire dire à divide qu’il comparait ça à un FTP n’était pas juste alors qu’il parlait simplement d’espace de stockage gratuit.

Je suis même d’accord sur le fait qu’un FTP (oups, un “serveur FTP”, pardon) perso, qu’il soit hébergé chez soi, sur sa propre machine, ou même loué à une boîte genre OVH, c’est beaucoup mieux qu’un service de stockage en cloud, et ce pour tout un tas de raisons.

Mais on ne peut pas nier le fait que 50Go d’espace gratuit ça peut être tout à fait intéressant dépendant des usages qu’on en fait.
J’imagine très bien un photographe freelance à qui on demanderait de balancer tout un tas de raw à un client qui n’aurait pas envie de se prendre la tête à louer un serveur ou n’ayant pas forcément les compétences/ressources disponibles pour en faire un chez lui.

Mais 50Go c’est beaucoup, faut en avoir l’usage… Dans la plupart des cas, un service comme Dropbox suffit largement pour l’exemple que je viens de citer.
C’est la seule chose que je reproche à MEGA, cet effet doublon avec les services déjà en place, juste en rajoutant un “avec nous, c’est 50Go gratuit et pas 2 ou 3 !”.



Le 21/01/2013 à 12h 24






bzc a écrit :

J’aime bien les gens qui essayent de péter plus haut que leur cul alors que évidemment l’utilisation courante de “un FTP” désigne un serveur FTP.

Pour t’aider je te propose de reprendre la prochaine personne qui dit “une IP”, de faire semblant de pas comprendre qu’elle parle d’une adresse IP et de lui dire que IP est un protocole donc ça veut rien dire.

Me semble pas t’avoir causé. Mais admettons.
Je reprenais griffin car il a fait semblant de ne pas comprendre ce que divide a dit en lui imputant le fait de comparer “un FTP” au service MEGA sur le fait qu’il ne s’agissait pas d’un FTP, alors qu’il ne faisait que dire qu’il ne connaissait pas de service de stockage gratuit offrant autant d’espace.

A vouloir jouer sur les mots j’ai donc pris la peine de simplement lui faire savoir qu’on peut toujours corriger l’autre sur ses imprécisions.

Mais il est évident que je sais très bien qu’on utilise “FTP” et “adresse IP” d’une manière vulgasirée, par abus de langage, pour que ce soit plus simple pour tout le monde.

Content, Ô Chevalier Blanc, grand défenseur des commentaires opprimés ? <img data-src=" />



Le 21/01/2013 à 12h 08






anonyme a écrit :

Oui et ?

Sa réponse est de comparer un FTP (de taille inférieure à 50Go) à un service tout fermé de 50Go, avec comme sous entendu que le truc tout fermé est mieux que le FTP.

Un FTP n’est pas un espace de stockage, c’est un protocole de communication, lui donner une “taille en Go” n’a aucun sens.

Malsendou a au moins prit la peine d’utiliser le mot “serveur FTP” ou de mettre FTP entre guillemets pour lui donner son sens implicite.



League of Legends revoit son système de classement des joueurs

Le 17/01/2013 à 13h 24

C’est assez clair comme système, et surtout beaucoup plus abordable pour le nouveau joueur ou le joueur lambda que le classement ELO (ou simili).
Quelqu’un qui me dit “J’suis ligue Or division 2” ça me parle beaucoup plus qu’un type me disant “j’ai 1264 ELO”.


Plainte de l'UFC contre Free Mobile : les réponses de Xavier Niel

Le 17/01/2013 à 13h 19






Salocin a écrit :




  • Free ne se considère pas comme du low cost

    C’est bien pour ça que l’UFC se permet de grogner.
    Quand on se dit à la hauteur des concurrents en termes de qualité de service et que ce n’est pas le cas, il y a un soucis.
    B&You, red et Sosh sont complètement assumées par leurs propriétaires comme étant des “sous marques”. Evidemment, tu ne vas pas avoir marqué “Merci d’avoir souscrit un forfait low-cost” à la fin de ton contrat, mais c’est tout comme.

    Pour Free, c’est différent. Ils ont la tarification de ces “sous-marques”, une qualité en dessous de ce qu’ont les 3 gros sur leurs réseau principal, mais persistent à vouloir être sur le même piédestal.

    Ils sont arrivés tel un chevalier sur son cheval blanc, clamant être les sauveurs des “clients-pigeons”, en cassant les prix mais en restant au même niveau qualitatif… mais force est de constater que techniquement c’est encore à la ramasse pour beaucoup de monde. Perso, c’est ça que je reproche à Free en premier lieu : ne pas vouloir se coller une étiquette low-cost alors que leur service en est tout proche.

    Ca peut se comprendre, d’ailleurs. S’ils se montraient en tant que low-cost, il aurait été très difficile de décoller en proposant d’autres forfais plus onéreux ou tout simplement lorsqu’ils auront leur propre réseau quasi-complet.
    Mais en attendant, les clients douillent et on continue de leur dire qu’ils sont chez un concurrent direct des 3 gros… alors que Free ne reste qu’au niveau des marques dites “populaires” de ces opérateurs. Donc boum, un coup d’UFC dans sa tronche.



Selon François Hollande, Google participera au financement de la presse

Le 16/01/2013 à 19h 15






Orphis a écrit :

La personne qui gagne, ce n’est pas Google, c’est l’utilisateur qui cherche des news. Google a déjà bien assez de trafic comme ça, pas besoin d’en générer plus sur leur moteur de recherche.

Le Google News, c’est autre chose, d’avoir les news directement pompées d’un site sans générer de trafic sur le site du journal lui profite clairement à Google car il génère du trafic. Mais ce n’est pas ce qui est débattu en ce moment il me semble.

Si ton réflexe pour chercher des news est d’aller sur Google, alors ce dernier a déjà gagné.

L’objectif de Google est d’enfermer l’utilisateur dans une sphère de services, et proposer un agrégateur/référencement de news, que ce soit dans Google Search (en gagnant de l’argent au passage avec les liens sponsorisés) ou dans Google News, l’objectif reste le même : que tu utilises Google et que cela devienne ton réflexe pour tes prochaines recherches.

Et pour le moment, à en constater les chiffres d’utilisation de Google par les français, il réussit plutôt bien.



zaknaster a écrit :

J’ai un peu de mal à comprendre pourquoi il devrait y avoir partage des gains en fait. Comme cette notion de “Google utilise le travail de la presse”, pour moi il n’utilise rien, la presse s’indexe chez Google Actualités, c’est bien pour profiter du référencement dans les pages du moteur afin d’augmenter la visite sur ses sites.
[…]

C’est pas aussi simple, il faut aussi prendre en compte la position dominante de Google ainsi que la concurrence entre journaux.
Ne pas vouloir que ses articles soient référencés c’est effectivement se couper d’un certain nombre de lecteurs qui iront chez le voisin qui, lui, est référencé.

En ça, on peut facilement se dire qu’être référencé sur Google est presque une obligation, et le peu d’exceptions confirment cette règle.

Il y a aussi une différentiation à faire entre les visiteurs simples, passant par Google pour aller sur un article précis, qui quittera le site du journal sitôt la lecture terminée, et le lecteur “abonné” qui, lui, vient tous les jours et lit plusieurs articles.
Ce n’est absolument pas la même audience et, je te le donne en mille, l’audience que génère Google est largement moins attendu par les journaux que le lecteur fidèle. Donc en termes de cible de lectorat, Google ne sert pas à grand chose.

Mais c’est bien uniquement là que l’analyse doit s’arrêter, vu qu’on a strictement aucun chiffre sous la main permettant de dire si oui ou non ce qu’apporte Google aux journaux est équivalent à ce que Google gagne en retour à fidéliser les internautes à rester dans sa “galaxie de service” (cf le commentaire au dessus).
Evidemment, la presse dit que Google gagne plus, et Google affirme le contraire.
Impossible de vraiment savoir de quel côté de la balance se trouve le grand gagnant… c’est bien pour ça que je dis que le débat qui va plus loin que ça n’est qu’un ramassis de suppositions douteuses et d’avis biaisés (bonjour les fanboys et autres haters).



Le 16/01/2013 à 18h 35






piwi82 a écrit :

Google et la presse (mais pas seulement) c’est du donnant-donnant.

Ca ne suffit évidemment pas.
C’est effectivement du “donnant-donnant”, ou plutôt du “gagnant-gagnant” des deux côtés (du moins, à première vue), mais la question est de savoir si les choses sont équitables et s’il y a un équilibre des gains.

En gros, il faut pouvoir comparer ce que gagne Google à utiliser le travail de la presse par rapport à ce que gagne la presse des visites que renvoie Google.

Et tant que personne ne pourra chiffrer ça, débattre là dessus ne sera que du vent et autres théories de fan-boy sans cervelle.



Pour André Manoukian, Hadopi, « c’est trop tard »

Le 16/01/2013 à 14h 53






chris_lo a écrit :

conserver 100 jeux 360 sur un HDD externe, 500 films ou plus de 1000 albums tipiakés, je doute que ce soit si répandu que tu ne le penses, d’autant plus aujourd’hui où l’ère du “jetable” a commercialement conditionné le consommateur.

Et bien comme Skeeder a utilisé une source d’une fiabilité extrême, je vais faire la même chose : la quasi-totalité de mes potes ont leurs dossiers de musique avec des centaines de morceaux conservés, de films qu’ils gardent en les passant aux copains de temps en temps style “ah tiens, j’vais te passer ça, tu vas voir c’est cool !” ou encore de jeux vidéos.

Faut pas oublier non plus que télécharger un jeu vidéo ou un BluRay, c’est long pour une bonne partie de la population. On doit taper dans les 4Mbits/s en France au niveau de la BP descendante moyenne. C’est 5 heures pour télécharger 10Go.
On a beau pouvoir télécharger “quand on veut” (en admettant qu’on trouve les sources, hein, ce qui n’est parfois pas facile quand on sort des oeuvres un peu mainstream), il n’en reste pas moins que ça peut prendre du temps. Et ce qui prend du temps à obtenir, généralement on ne le balance pas deux minutes après l’avoir eu.

Personnellement, je ne connais personne qui ait besoin de 12 To pour garder ses photos de famille tout en jetant l’album qu’ils viennent de télécharger, 5 minutes après l’avoir écouté, hein. Par contre, des gens qui gardent leurs fichiers piratés, ça oui, j’en ai partout autour de moi.

Et le marché des disques de stockage va plutôt dans mon sens.
Pourquoi on vendrait des disques externes de plusieurs tera octets si, comme il a été dit, un disque dur de 80Go permet de regarder tous les films du monde ? (Et non, ne me dites pas que c’est pour les photos de tata Jeannette.)



Le 16/01/2013 à 14h 22






Skeeder a écrit :

Cet argument est soit obsolète, soit bidon. Déjà, à part les collectionneurs, je connais peu de personnes qui stockent ad vita eternam leurs fichiers téléchargés de manières illégale (ou légale).[…]

Navré mais c’est toi l’exception.

Il y a énormément de personnes avec des titres piratés ici ou là qui traînent sur leurs iPods et compagnie. Tout comme des disques externes servant à stocker les jeux vidéos crackés du fiston qui a eu une 360 à noël et pour lequel pôpa veut pas payer 60 balles par galette.

Quand le gars qui télécharge la discographie d’un artiste peu connu pour lequel l’offre légale est inexistante et que t’as 3 pauvres types à l’autre bout de la planète qui seedent le fichier, je peux te dire que ta discographie, tu la gardes.

Et non, tout le monde n’a pas 12To de photos de famille à stocker…


Si l’offre de stockage s’est diversifiée et que les supports sont de plus en plus gros, ce n’est clairement pas car les gens font ce “je télécharge, je regarde/j’écoute/je joue, je supprime” comme tu le dis.
On a plutôt une tendance à la conservation plutôt qu’à la consommation éphémère.

Tu aurais pu avoir ce discours il y a dix ans, lorsque la technologie n’avait pas encore sauté dans le train, mais aujourd’hui ce n’est clairement plus la tendance.
(Et encore, si les gens supprimaient ce n’était pas par habitude ou envie, c’était par simple restriction matérielle.)



Un député veut connaître le coût du nouveau site Internet de l’Élysée

Le 15/01/2013 à 11h 19

Il y a eu au moins 6 personnes qui ont bossé dessus (en tout cas, 6 noms ont été cités dans le mail que j’ai reçu).
Le vois également 4 noms d’agence de com’ (Web) comme concurrents qui ont participé à l’appel d’offre (+1).

C’est tout ce que je sais vu que je n’ai pas bossé sur ce projet. Je ne peux pas non plus dire combien de temps ça a prit, j’en ai aucune idée.
Bref, ce sont les seules infos chiffrées que je peux vous donner (au moins 6 personnes et au moins 5 agences en compétition pour ce projet).

Si je regarde les tarifs habituels facturés et le poste des personne qui y ont participé… 50k c’est tout à fait correct. Mais bon, comme je l’ai dit, je ne connais pas les détails.
Je sais juste que pour les appels d’offres publics, le tarif joue un rôle très important, ce qui signifie que les agence qui ont perdu l’appel d’offre ont du poser un devis plus élevé.

Mes sources ? Bah… C’est ma boite qui a remporté l’appel d’offre pour la refonte visuelle.

(Et non, vous n’aurez aucun nom.)

Edit: pakiaki est dans le vrai lorsqu’il donne le coût des profils par jour (quoi que 600-800 c’est un peu surestimé).


Microsoft tacle Valve et les nouveaux arrivants sur le marché des consoles

Le 14/01/2013 à 11h 39

C’est pas un tacle, juste un regard sur la réalité. C’est pas non plus valable uniquement que pour Valve mais pour n’importe quel nouvel entrant sur le marché.

Valve n’est pas une marque forte. Ils ont des ressources humaines limitées et ils n’ont jamais mit les pied dans le monde du hardware avant aujourd’hui.
Leur job, c’est de concevoir des jeux de temps en temps et servir de magasin en ligne.
De là à vouloir imposer une “Console-PC” dans tous les salons, il y a un bon bout de chemin à faire. Et ce n’est pas un tacle que de dire ça, c’est juste regarder les choses en face.


Leetgion EL'DRUIN : une souris originale pour les amateurs de MMORPG

Le 10/01/2013 à 13h 51

El’druin est le nom de l’épée de Tyraël de l’univers de Diablo.


PS Vita : « l'important c'est le long terme » selon le PDG de SONY

Le 09/01/2013 à 14h 48






spidermoon a écrit :

Voyant fleurir les promotions à l’approche de Noël, j’ai eu envie d’une Vita. Le prix en pack me convenait, 270€ avec deux jeux voutcher et une carte 4Go. Ne connaissant pas ce terme voutcher, je me suis renseigné. Il désigne un coupon pour télécharger les jeux, ok, pourquoi-pas, c’est la mode. Du coup, j’ai approfondit le sujet afin de connaitre la taille des jeux, et surprise, avec la carte carte de 4go généreusement offerte, on ne peut pas installer les deux jeux en même temps. <img data-src=" />
Bon, bien de déjà un peu refroidi, je me suis dit, “ajoutons une carte de 8go ou 16go, cela ne doit pas couter si cher” Ben si, près de 50€ pour une 16Go Sony. C’est le prix d’une µSD 32Go class 10 de marque.
Finalement, j’ai laissé tombé l’achat de la Vita et je me suis téléchargé FF VIII, un plaisir très longue durée sur ma bonne vielle PSP, pour 10€.
Ce qui manque à la Vita, ce sont des titres phares, des jeux pour vrai joueur, pas des démos que l’on termine en 10H au maximum. J’ai acheté la PS2 pour FF VII et Gran Tourismo, la PSP pour FFVII Crisis Core et Gran Tourismo et rien de cela sur la Vita.

Si les jeux sont liés à ton compte PSN, alors tu peux y jouer sur la Vita.
Mais oui, les cartes mémoires sont chères… Il ne faut pas cependant oublier que c’était également le cas (et ça l’est encore, dans une moindre mesure) pour les cartes PSP. Si t’as téléchargé FF8, t’as pu te rendre compte qu’il fait genre ~1.4Go (je ne me souviens plus très bien). Du coup, avec une carte 4Go pour PSP, t’en installes deux et basta. T’oublies l’installation sur disque de données comme celles de Dissidia, ou encore le téléchargement d’autres jeux PSN ou encore l’écoute de bonne musique (perso, je me sert de ma psp comme d’un lecteur MP3 la plupart du temps. Un peu gros, mais bon ^^‘) en passant par regarder quelques films/épisodes convertis tant bien que mal pour faire passer le temps dans le train.

Bref, de ce côté là, la Vita souffre du même problème que la PSP : le stockage affreusement cher.
Si on ajoute à cela que la majorité des jeux dispo pour Vita viennent de la ludothèque des vieilles consoles (Playstation, PSP…) et qu’ils sont donc uniquement dispo en téléchargement, on arrive vite à la limite.

Ajoutons un manque flagrant d’offres data 3G abordables pour une Vita 3G et on a une console bridée à peine sortie de la boite…
Bridée, ou hors de prix.

Il va falloir attendre que la console elle-même baisse de prix, que les offres 3G soient moins chères, que la ludothèque de jeux Vita only se développe (genre avoir des licences comme Monster Hunter, au lieux de les balancer sur une DS pourrie sur laquelle tu dois acheter un second stick séparément…) et que les accessoires (stockage) baissent de prix et là on aura une bonne portable.

En gros, comme le dit le PDG de Sony, faut plancher sur le long terme et être patient. Très patient.



Le 09/01/2013 à 14h 15

Je ne pense pas que la Vita ait à craindre des projets comme Shield.
Shield a une si petite cible marketing et une utilisation tellement occasionnelle que ce sera juste un gadget et non une véritable station de jeu.
Un gagdet destiné à un très faible nombre de personnes… Bref, même une console qui est pour le moment en échec comme la Vita n’a pas vraiment de soucis à se faire.


Guild Wars 2 : 200 joueurs bannis pour avoir profité d'un bug

Le 04/01/2013 à 18h 08






Elwyns a écrit :

Dur dur de te suivre, je trouve même que le sujet dévie là … faut il rappeler que Guild Wars 2 n’est pas Diablo 3 avec un hotel des ventes à argent réel ? où je comprends mal que tu fasses une liaison “stabilité de l’économie dans la vie réelle” ou je dois relire et relire un pavé d’analogie que je trouve pas propre

Tu as mal compris ma conclusion, je disais que l’économie du jeu est aussi importante pour lui-même que l’est l’économie réelle pour la vie réelle elle-même.

Je ne dis pas que les deux sont liées et d’importance égale, juste qu’elles sont importantes chacune à leur niveau dans leur univers respectif.

De fait, la punition d’un joueur abusant d’une faille du système est tout aussi valable que celle qu’on peut infliger à quelqu’un dans le monde réel.



Le 04/01/2013 à 17h 55






Lafisk a écrit :

en même temps va peut être falloir stopper l’analogie merdique, entre un vol dans la vraie vie et utilisé un bug dans un jeu … Y’a un monde (réel) …

Puis quitte à vouloir faire dans l’analogie, fait la correctement, car à aucun moment il n’y a de vol dans le jeu … Les actions ont certes des incidences dans un environnement totalement fictif, mais ils n’ont volé personnes … Mais bon tu pourras jamais pousser ton analogie jusqu’au bout car on voit rarement un objet être multiplié par deux par magie dans la vraie vie … A croire que le monde réel n’est pas buggé bizarre …

Tu as très bien compris mon analogie et tu sais très bien que le vol n’est absolument pas l’aspect du sujet à retenir.

L’image donnée par cette analogie concerne évidemment le manque de discernement et de jugement de certaines personnes qui ont pensé qu’on pouvait subitement se passer de valeurs morales et de la capacité de définir soi-même quelles sont les limites à ne pas franchir, quand bien même la possibilité nous en est donnée, juste car on est dans un jeu vidéo.

Si demain tu trouves un moyen de dupliquer un peu d’argent sur ton compte en banque car la société bancaire a fait une petite erreur dans le fin-fond de son site, tu peux être certain que si tu en abuses et que c’est découvert, on viendra te demander des comptes… il y a même des chances pour que tu partes faire un séjour en prison si ton abus est important.

Enfin, tu dis que le “monde réel n’est pas buggé” ? Laisse moi-rire. Tout ce qui touche à la fiscalité est un énorme ramassis de règles plus ou moins bancales que tout le monde essaye de contourner ou de tirer à son avantage.
C’est même une actualité assez brûlante d’ailleurs. Surtout si on prend en exemple tout ce que le fisc vient réclamer à Google après toute sa soi-disant “optimisation fiscale”.

Donc les abus possibles dans un jeu vidéo et dans le monde réel ne sont pas si éloignés que ce que tu peux penser.

Oh et, quand je rentre chez moi le soir, je vois toujours des vendeurs à la sauvette qui proposent des DVD pirates sur le bord du trottoir. Ces films ont bien été dupliqués sur un nouveau support, le tout en totale illégalité, puis revendues à profit par ces personnes.
Donc l’analogie avec un voleur n’est peut-être pas la meilleure car, effectivement, rien n’est volé (même si tu as très bien compris que l’analogie se concentrait sur la porte ouverte plutôt que sur le vol en lui-même, hein.), quand bien même il y a des tonnes de comparaisons possibles d’abus et de tricheries possibles dans le monde réel. Et la grande majorité de celles-ci sont généralement punies d’une manière ou d’une autre.

Il n’y a aucune raison pour que ce soit différent dans un jeu vidéo persistant et massivement multijoueur où l’équilibre économique est aussi important pour le jeu lui-même que la stabilité de l’économie dans la vie réelle.



Le 04/01/2013 à 16h 52






Lafisk a écrit :

Comme je l’ai dis, je n’ai pas joué au jeux, je commentes donc sur ce que la news dit, et ici c’est pas super clair que le bug est évident à ce point. Maintenant la faute étant partagée entre l’éditeur et les profiteurs, ben désolé bannir me parait abusif quand même.

Tu veux les punir ? un rollback te suffit pas ? ben tu reset leurs comptes et ils devront recommencer depuis le début et puis voila … mais certainement pas les bannir parce que l’éditeurs à fait une boulette dans son code …

Donc on ne puni pas le voleur qui a profité que la porte de la maison était mal fermée, on ne fait que lui retirer les objets qu’il a volé.

En fait, ça l’incite même à recommencer, vu qu’il sait que la pire des sanctions qu’il peut avoir, c’est de devoir rendre les objets.
Au final, tant qu’il est pas pris, c’est tout bénef pour lui. Et même s’il l’est, il ne perd rien si ce n’est un peu de temps.

Pas mal.



Le 04/01/2013 à 12h 04






Freud a écrit :

Ok, un bug.

Maintenant, moi pauvre joueur, comment je suis censé savoir que c’est un bug ?

J’utilise un mécanisme normal du jeu.

Quand tu est à ce niveau là du jeu et que tu sais comment il fonctionne, quelle est la rareté des objets, leur prix sur le marché et que tu trouves quelque chose comme ça… soit tu devines qu’il y a un truc qui cloche, soit tu es le joueur le plus stupide et naïf de la planète.



Freud a écrit :

Je me retrouve avec 2 ectoplasmes à partir de mon simple ectoplasme. Ok, je peux me dire que c’est bizarre, mais est-ce que je mérite d’être banni ?

Quand tu le fais des centaines de fois en tenant compte de ce que je viens de dire plus haut, et que tu te mets à revendre le tout sur le marché à un prix largement inférieur au prix normal pour faire un profit non mérité, alors oui, tu mérites d’être banni.
Du moins, du point de vue d’AreaNet.