Il y a déja plein de moyens de le savoir de manière plus ou moins directe :
-binding du téléphone mobile sur l’antenne à proximité (quand ce n’est pas une appli qui fuite la localization GPS)
-activité de la ligne internet (pas en terme de navigation/utilisation, juste le traffic)
-caméra de surveillance de la circulation
-carte de transport (abonnement identifié)
-RG campé dans la rue ou en filature
-activité sur les réseaux sociaux (ceux qui postent des photos/statuts publiques en vacances/soirées..)
…
Le
27/03/2018 à
14h
40
bloossom a écrit :
c’est là que ça devient vicieux.
Une connaissance aussi poussée de la consommation d’un foyer n’apporte rien en terme de planification de la production d’électricité, et du coup des gens ont le sentiment que l’atteinte à leur vie privée n’est pas proportionnée.
Sur un foyer non.
Sur un million de foyers, si.
Si le million de foyer lance la machine à laver le lundi à 22h30, en terme de planification, c’est évident.
Encore plus pertinent si on met en relation les sources de production, de consommation et les puissances disponibles/consommés.
Le
27/03/2018 à
14h
36
Il ne faut pas mélanger les postures de facebook et enedis.
Facebook se rémunère sur la pub et sur l’exploitation/revente des données perso. Facebook disparait si on lui enlève les données persos. L’utilisateur ne paye pas le service fournit par facebook.
Enedis se rémunère sur la distribution d’electricité. Sans la revente de données perso (aspect revente à confirmer), il y a toujours la distribution pour se faire payer. L’utilisateur paye (indirectement) le service fournit par Enedis.
““Se faire payer par des “partenaires” pour leur filer tes infos, voire carrément prendre une commission si tu achète un nouvel équipement suite à leur “tuyau”“.”
Autant avec Facebook et la pub, c’est évident.
Dans le cas d’ENEDIS, quel serait le type de tuyau remonté vis à vis de la consommation d’électricité?
Comment Enedis toucherait une commission? Untel regarde la télé à 20h tous les jours, untel lance la machine à laver à 22h30 toutes les semaines…. c’est quoi le tuyau marketing?
Les gens ne payent forcément pas tout le temps de la même manière (cash, CB, chèque, TR, cagnotte, bons…), donc la tracabilité d’une personne n’est pas optimale
Par contre, tout centraliser dans la carte de fidélité est plus efficace.
A l’origine, l’objectif de la pub est d’influencer les consommateurs. Si la pub ne marchait pas on n’aurait déjà plus eu de pub. Et l’analyse des données personnelles avait permis d’augmenter l’influence sur les capacités de décisions.
Sauf que maintenant, on fait beaucoup plus. Depuis l’arrivée de la télé-réalité, des chaînes d’information continue, et des réseaux sociaux, beaucoup d’information fournie est orientée sensationnelle au dépend de la qualité. Beaucoup de forme, très peu de fond (sauf exceptions), mais visant à “marquer”.
Grâce à l’analyse des données et au tracking (une “régie” peut vous suivre à travers plusieurs sites), il est désormais plus facile d’attraper le quidam avec des fake news, des articles mensongers, des articles putaclic etc…
Et comme avec la pub, pas difficile d’imaginer comment on peut influencer le quidam.
L’enjeu des données personnelles, ce n’est pas seulement que de la pub ou du respect de la vie privée, c’est également comment empêcher/prévenir une entité (étatique ou privée), disposant/exploitant ces données, d’influencer/manipuler les masses en s’adressant comme il faut.
C’est un corollaire de l’enjeu de la qualité et de l’indépendance de l’Information.
Le
23/03/2018 à
09h
16
Juste pour préciser
Côté FB, il y a un manquement de cloisonnement des données (surtout ceux des amis). Le principe du consentement portait sur les données de l’utilisateur, mais pas des amis (en fonction des permissions). Donc l’autre société a pompé les données des amis au passage sans donner leur consentement.
Au niveau 1 (l’utilisateur installeur) a donné son consentement à ce que l’autre société prenne ses données persos.
Au niveau 2, les amis non.
Sa mesure principale va être d’empêcher la collecte des données des amis. Ca ne change pas pour l’utilisateur installeur (ni le modèle économique de FB)
Jusqu’à récemment, l’utilisation des données personnelles semblaient percues comme limitée à l’économie (publicité ciblées). Personne ne songeait à ce que ces données soient utilisées dans un cadre sociétale et politique.
Ce qui semble être un scandale aujourd’hui n’est que la prise de conscience que les données personnels peuvent servir à manipuler.
Au final, avec le recul, la publication n’est pas erronée je trouve.
Déjà dans le coin haut gauche de l’image : “En bref” (vous l’avez vue?), donc c’est une brêve.
La brève emploie le conditionnel sur les vulns et leur conséquence. Et mentionne à 2 reprises l’absence de détails.
A la limite, changer le titre en “Une société annonce 13 failles dans les processeurs AMD” (sans préciser le “inconnue”) sans changer le contenu, aurait changé totalement notre perception de l’article (notre attention aurait porté sur la publication et non le contenu de la publication).
On pourrait crier la “putaclic”, mais dans ce contexte de brève, l’auteur/la rédaction a choisit que le sujet d’attention principal porte sur les failles, non les conditions de publications (dans tous les cas, un article sera probablement publié ultérieurement, surtout grâce aux gueulantes vu en commentaires)
En fait, le soucis serait plutôt, que le format de la brève est trop identiques aux articles. Le “En bref” est bien trop petit. Que ce soit dans la page, ou dans le fil, on ne distingue pas aisément les brèves (non approfondies) et les articles (détaillés). Et de plus, contrairement aux brèves qui disparaissent dans le fil, chez NXi, ça reste parmi les articles.
Sur les chaînes d’info, il y a la banderole de brèves, et les reportages…
Si je résume l’article:
“CTSLabs publient, sans respect du responsible disclosure, dans 20 pages sans détails techniques, 13 failles qui toucheraient les processeurs dernière génération d’AMD, en particulier des éléments de sécurisation., et permettraient diverses exploits. Les chipsets Promontory seraient également touchés. A suivre”
Le
13/03/2018 à
18h
41
Un mécanisme de protection ne réponds pas forcément à un problème de sécurité.
Eviter les corruptions mémoires parce que des processus sont codés comme des pieds ne réponds pas nécessairement à un problème de sécurité (au sens attaque)
Même si plus tard, c’est devenu une attaque informatique possible.
Quand on apprend à coder, le soucis premier est d’éviter les segmentations fault, pas les buffer overflow… nuance !!!
Le
13/03/2018 à
16h
33
C’est plutôt qu’à l’époque les processeurs étaient moins complexes.
A moins que la gestion de l’intermédiaire soit transparente (pour voir notamment ses dépenses), a moins de la présence de concurrents (on partirait sur le moins cher) etc etc etc
Des travers oui c’est possible, mais on peut toujours essayer de limiter les risques.
Parce que d’abord, le mining ne vise pas à payer l’achat de la licence mais à contribuer financierement.
L’utilisateur peut prendre la version gratuite et miner quand même.
Et ensuite, étrangement, des personnes ne veulent pas claquer la CB pour un achat mais par contre, diluer le même montant dans la facture d’électricité, ou dans l’amortissement du matériel, ne leur pose pas de problème.
L’article lève surtout la problématique de rémunération des dev sur les projets indépendants, avec un modèle freenium.
Côté dons, pas folochon (5€ par an!!!). On crie non à la pub mais c’est bien la pub qui finance les projets au final.
Côté licence, apparemment ça ne se gène pas pour pirater. Il ne précise pas combien il a touché par licence dans la même période de mining cependant.
Le développeur a proposé une autre méthode de rémunération sous la forme de contribution mining. En plus de cela, à ses dires, la communication était présente, transparente, et l’option désactivée par défaut. Malgré ça, bronca..
Mais pour le déplacement intra-urbain, ça devrait être gratuit (payé par nos impôts quoi).
Tu donnes (ou alors pas cher) un pass navigo à tous les résidents IDF. Les touristes continuent de payer.
Économiquement, ça doit passer à l’aise. Et hop, la fraude disparait !
Juste les touristes, mais bon, tu contrôles à la tour Eiffel et c’est marre :)
D’une part, ca veut dire que c’est financé par les impôts, payé par l’ensemble des contribuables des zones concernées. Il y en a qui gueuleront qu’ils n’utilisent pas les transports en commun et qui ne voient pas pourquoi ils paieraient.
D’autre part, si on considère que cette taxe est corrélé au nombre et type de lignes locales, cela induit encore plus que les municipalités bien desservies seraient habités par ceux qui peuvent se le permettre. Ceux aux revenus limités se retrouveraient dans les zones moins bien desservis.
Dans quelle mesure appliquer l’impôt par rapport à une ligne (commune, département, région, national)?
En plus de la vérification, faudrait aussi renforcer les contrôles. Je ne sais plus à combien monte l’amende en IDF mais comparé au prix du navigo à l’année (11*75€ me semble), pour certain, ça reste économiquement rentable tant de ne pas se faire contrôler x fois (et osef de la contribution aux transports)
Ca change quoi entre le technicien qui fait ça dans le transformateur au péril de sa vie et l’opérateur à distance derrière sa console ? Et si l’opérateur lui chante, centrale off :).
Hormis le problème de vie privée, ben une cisaille (et les protections bien sur) et c’est du pareil au même. Cf les vols de câble de cuivre. C’est quand même plus simple non ?
Les cas de délestage sont rares (les investissements visent à entretenir et a faire évoluer le réseau) mais sous certaines conditions (et combinés à des problématiques structurelles), delester est la solution pour éviter une propagation généralisée.
Perso, pour ma part, la seul chose qui craint est le NAS (classique). Backup régulier sur DD externe.
Et pour le nombre de fois que l’interrupteur de la multiprise a off à cause du pied (pas de NAS), sans problème après. (après, expérience perso hein, je décline toute responsabilité si ça cause des problèmes chez vous :) )z
Le
22/11/2017 à
21h
27
Même sans Linky, il a toujours été spécifié qu’en cas de force majeure (problème sur le réseau électrique), il est possible que des coupures ponctuelles soient réalisées. Sauf que là, ces coupures se font radicalement au niveau des transformateurs, via l’intervention des techniciens (et les risques associés).
En gros, voilà une petite ville, ou tout un quartier qu’on coupe d’un coup.
L’avantage, est qu’on peut par exemple, couper les habitations d’une zone, sans couper l’hopital en plein milieu. Dans les cas d’urgence, la priorité de la redondance n’est pas aux résidents, mais bien aux services d’urgence.
Si un particulier veut de la redondance, c’est comme pour les entreprises, il doit payer pour la seconde ligne électrique, le second réseau, voire la seconde centrale.
Autant avoir son groupe pour ceux qui sont vraiment en dépendance.
(et l’état de dépendance est dû à la fois au client mais aussi à la politique énergétique de ces dernières décennies qui a vu “l’abondance et le bon prix” de l’électricité grâce au nucléaire)
D’un côté, en effet, ça me semble aussi beaucoup plus censé.
De l’autres, est-ce qu’un juriste peut éclairer sur l’obligation d’assurance ? “Toute voiture en circulation doit être assuré” ==> ça coule de source.
Mais quid des voitures qui ne roulent plus (pour X raisons, collections, remisés, en mille morceaux etc).
Je suis d’accord pour les dérives. Pour le contrer, il aurait fallu baisser les plafonds (pour obliger à changer d’AE, qui aurait causé des contraintes, pour pousser à l’embauche)
Seulement, de l’autre côté, l’AE avait également été pensé que dans le cas d’un travail temporaire, fallait permettre à l’AE de vivre décemment (loyer, charges etc..).
Par contre, dire que c’est une ineptie, pas d’accord. L’AE me semble super adapté pour ceux qui veulent un complément de salaire ou qui veulent légaliser de menu travaux. Après, que des employeurs voyous exploitent la détresse de certains, n’a rien à voir.
Le gs63 est intéressant, mais voilà l’inflation récente de ce modèle depuis les derniers processeurs INTEL et carte NVDIA… Ca se rapproche du prix du Razer
En parallèle de la transition énergétique, il faut revoir nos habitudes de vie
-chaudière h24
-box h24
-vie de nuit/grasse mat
-cuisine de plats préparé à conserver // cuisine produit du marché (conservable plus facilement sans frigo)
-réduire la consommation de produit d’origine animal (pour des raisons de conservation j’entends, la majorité des légumes/fruits peuvent se garder des jours à l’air ambiant)
-fin de la bière fraîche
-etc…
En changeant nos exigeances en terme de disponibilité de la ressource électrique, les irrégularités des ER deviendront plus acceptables.
Ca implique également un changement drastique de la société.
Les versions abonnés de certaines publications pourraient être intéressantes.
Cependant, quid du catalogue de titre disponible? Une éventuelle censure de B si des acticles tapent sur le groupe, ou une filiale, ou un actionnaire etc…
Un commerçant ou prestataire de services est libre d’accepter ou de refuser le paiement par chèque ou par carte bancaire, à condition d’en informer les clients, préalablement et de manière apparente par voie de :
de marquage ;
d’étiquetage ;
d’affichage ;
ou par tout autre procédé approprié (par un panneau à l’entrée de son commerce ou dans un endroit visible : près de la caisse, par exemple).
Merci de mettre toute la citation pour ceux qui ne cliquent pas sur le lien.
Mais après, oui, la mauvaise foi est toujours là. Pour contrer le défaut d’affichage, la panne…
Le
15/05/2017 à
12h
29
Cela dépends si le chauffeur a monté une structure.
Sans troller, je ne suis pas certain que tous ont monté au moins une micro-entreprise.
La stupidité d’UBER, c’est de vouloir contrôler le service de A à Z (comprendre le chauffeur, le trajet etc).
S’il se serait tenu à n’être qu’une plateforme et prélevant une commission fixée à l’avance, les autorités n’auraient rien à dire, vu qu’il revient aux chauffeurs d’ouvrir leur structure et d’assumer le cadre légal (discussion déjà vu ici).
L’article présente bien les éléments qu’Uber aurait dû se limiter pour éviter d’être qualifié de service de transport.
Dans ce scénario, la libéralisation ne concerne pas Uber (plateforme de mise en relation), mais à la multitude de créations d’entreprises (individuelles ou PME) de type VTC pouvant exercer à concurrence des taxis.
A chacune de ces entreprises de monter leur business plan, leurs tarifs, leurs perspectives d’évolution… et leurs viabilités (et donc de continuer ou de fermer).
Les ententes et les distorsions de concurrence n’ont rien à voir avec le libéralisme. C’est même le contraire. Entente=autorégulation et perte de liberté.
Et rien ne dit que sans entente, on aurait payé beaucoup moins cher. Moins surement, mais pas 4€.
EDIT : c’était en réponse à Niktareum page 3.
Le
05/05/2017 à
08h
43
Oui, le libéralisme profite à la fois aux entreprises, et aux acheteurs (le 2-vitesse du premier commentaire)
C’est justement la difficulté des gouvernements, de concilier l’intérêt des 200 salariés victimes d’une délocalisation avec celui des milliers d’acheteurs qui ne sont pas contre (pour hausse de pouvoir d’achat, car prix plus bas).
C’est bien le libéralisme qui a permit l’arrivée de Free mobile et la baisse globale des prix (guerre des prix). Sans Free on serait encore à payer des abonnements mobiles à 30-50€. Quand les gens profitent des promo forfait mobiles à 4€, ils pensent aux impacts sur les salariés derrière ?
Le
05/05/2017 à
08h
30
Il peut y avoir une différence de taxation. Entre une TVA à 5% et une autre à 20%.
Si des organisations doivent initier ces recours, il faut qu’il les formulent maintenant pour les prochaines années.
D’autant que a ce que je lis, le ballotScreen n’avait qu’une durée limitée (5 ans).
Microsoft s’étant déjà fait épingler pour ça, s’il recommence, c’est que l’amende n’est toujours pas assez élevée.
Le
03/05/2017 à
13h
20
Je soulevais déjà cette problématique dans mon autre post.
Il faut en effet surveiller les aspects de concurrence, de libertés et de vie privée.
Déjà avec Edge ça commence mal.
C’est là que le législateur pourrait entrer en scène.
Le
03/05/2017 à
12h
53
Il faut bien distinguer 2 cas :
-en entreprise avec AD.
-à domicile sans AD.
Dans le second cas, pas de restrictions du à une politique SI ou SSI d’entteprise.
Le
03/05/2017 à
12h
47
Pour Android ou iOS, les développeurs se sont bien pliés aux API du début, et qui ont évolués par la suite.
Windows présente le passif d’avoir été un système déjà existant avant l’arrivée des stores (avec ses libertés). Dès lors, la première version de l’UWP ne peut être percue que comme une régression.
Considérant que des installeurs tapent à peu près partout sur le pc lors de l’installation en mode privilégié (y compris les registres), je ne vois pas en quoi mettre des garde-fous poserait un problème. Juste que les éditeurs ont été léger dans le développement de leur application. Qui vérifie qu’un .msi ne fait pas plus qu’il n’est censé faire ? Qui vérifie qu’un applicatif ne fait pas plus qu’il n’est censé faire ? Pourquoi Windows ne devrait pas implémenter une gestion de permissions comme depuis Android 6 ?
Si le système n’est pas parfait, ce n’est pas avec l’absence de retour des besoins des dev (ou éditeurs) que Microsoft pourra faire évoluer UWP. On peut reprocher à Microsoft un manque de pédagogie sur UWP (et autres) mais surtout une mauvaise fois aux éditeurs de ne pas jouer un jeu qui permettrait de renforcer la sécurité.
Le
03/05/2017 à
11h
58
Je vois plutôt une volonté de révolutionner (au sens changement radical, pas au sens nouveau usage) l’installation de tout soft sur un OS à l’instar des stores sur mobiles.
Tant qu’il y a la possibilité d’installer par Sources inconnues (surtout pour les utilisateurs avancés), je ne vois pas pourquoi un système qui existe sur les mobiles et tablettes poserait un problème sur le fixe. Comme chez Android, même le dev lambda peut publier son appli.
La prochaine étape pourrait être alors l’extension du SecureBoot aux softs vérifiés et installés (bon vu le bouzin, il y aura des runlevel).
Bien sûr qu’il y a des points négatifs et des risques, surtout en terme de liberté et de protection des données.
Mais avant de lever le haro, voyons la vraie politique de Microsoft vis à vis de tout éditeur (particulier, ou société, libre ou propriétaire), des libertés, et de la concurrence. Pour l’instant je ne lis rien sur ça (qu’on attends les développeurs à faire l’effort).
Alors par contre, pour les softs piratés, les cracks et compagnies oui ça fait chier pour ceux qui les utilisent ^^.
Tant qu’il ne tue ou ne blesse personne, où est le mal ?
Donc tant qu’il n’y a pas d’accident, il n’y a pas de problème. Et donc tant que le conducteur n’a rien, il peut continuer à picoler ou autre sans problème.
Le
25/04/2017 à
10h
50
JCDentonMale a écrit :
Autant je suis d’accord pour que les interventions qui ne sont pas relatives à la sécurité routière ne soient plus signalées, autant je ne suis pas du tout d’accord pour tout le reste. Là clairement c’est utiliser l’excuse de la lutte contre le terrorisme pour empêcher les signalisations de contrôle d’alcoolémie et de vitesse.
C’est sûr qu’un type qui roule avec 2g dans le sang (pas inconscient qu’il conduit, mais avec reflexes et attention amoindries) ou à 150km/h, doit savoir où sont les contrôles pour les éviter ou faire attention uniquement dans ces zones.
Quelqu’un a le compte et la liste des “agences nationales” et autres “autorités administratives” ?
Oui certaines sont utiles et pertinentes, mais d’autres, je me demande si on peut transférer leurs missions ou prérogatives à d’autres (et faire des économies de budget au passage).
Bah c’est pareil que sur une box ADSL : oui, les 15/17/18 sont routés depuis un fixe connecté à une box, qu’elle soit fibre, ADSL, ou VDSL. Ça fait partie des obligations des opérateurs.
Quand EDF fait défaut, obligation des opérateurs ou pas, la box éteinte ne sert pas vraiment.
joma74fr a écrit :
Pourquoi ? Ça fait longtemps que le mobile a mis tout le monde d’accord pour remplacer l’auto-alimentation des lignes téléphoniques fixes.
Ok dans ce cas, quelqu’un peut dire si les opérateurs ont des obligations pour l’alimentation de secours des antenne-relais ?
Je demande à mon ami, mais pour l’instant, il ne dit que vaguement, batterie de quelques heures (c’est déjà ça) mais surtout pour le fixe…
Le
19/04/2017 à
15h
39
Reste encore et toujours les numéros d’urgences.
On appelle encore le 15/17/18 depuis les fixes ? ou c’est 112 ?
Ou va-t-on devoir remplir les poches des fabricants d’onduleurs, de batteries, de groupe électrogène?
Déjà, ils ne font pas payer les coûts de migration vers les nouveaux OS (je pense qu’en interne des salariés avait déjà fait le boulot pour y jouer sur les machines récentes mais bon…).
Cela ne représente rien comparé au prix du travail à réaliser sur les graphismes. Et s’il reprennent le moteur de SC2, ça me m’étonnerait pas qu’il y ait du taff côté scénario et mécaniques
On parle du contenu (vidéos, émissions, etc), pas de l’habillage du site web & co qui flique et fait subir les minutes de pub vidéo.
Les box FAI ne polluent pas avec ça, ce n’est pas dans leur intérêt. Je n’ai qu’un FAI avec la télé qui fonctionne, et pas de TF1 replay dedans (ou je n’ai pas trouvé) donc pour les autres… Et je ne me souviens pas d’avoir subit tout ça. On ne voit que la surcouche FAI. Ce qui se passe derrière, est entre le FAI et le fournisseur.
Que le FAI nous flique, ou redistribue des info perso au fournisseur (attention légalité), est une autre histoire.
Et comme je l’ai dit dans ma seconde partie, en raison de considération de droits par exemple, il y a eu forcément négociation / collaboration (d’ou le contrat précédent)
joma74fr a écrit :
Pour le moment, le groupe TF1 veut monétiser les applications et les services web pour faire face à la concurrence des TV connectées et des applications comme MyCanal. Donc TF1 coupe la diffusion par internet ou demande à être rémunéré.
Oui, juste la sempiternelle bataille de l’ayant droit (chaine) qui se fait spolier par l’intermédiaire (FAI), qui se fait des sous (abonnement, bouquet, surenchérissement des prix VOD…) sans autorisation (contrat unilatéral aux termes favorables à et imposé par l’ayant droit) et sur le dos de l’ayant droit (pas de rétribution à l’ayant droit).
Rien de nouveau, toujours la même chose.
Le
14/04/2017 à
08h
35
Ce qui est considéré, ce sont les services qui ne rentrent pas dans le cadre de la diffusion en directe.
La VOD, le replay sont des services certes à la base accessible via navigateur. Mais les FAI ont intégré la plupart des services VOD/replay etc dans leur box.
C’est cette intégration qui me semble la source du conflit.
Il y a 2 postures à confronter:
-l’opérateur prends l’initiative de l’intégration. Il intégre les services dans sa box, en profitant des API disponibles sur Internet. Malgré l’exposition étendue des services au public, la démarche fait que la chaîne pourrait exiger une rémunération pour l’accès et la diffusion (hypocrite car déjà accessible sur internet via navigateur) depuis la box directement (et doublement hypocrite car le FAI paye le dev de l’intégration dans la box)
-la chaîne demande à un opérateur d’intégrer ses services dans sa box. Ici, la chaîne doit payer un service, et l’intégration dans la box.
Evidemment, c’est encore plus compliqué que ces 2 postures. Par exemple, sur la TNT, le diffuseur d’un contenu est bien la chaîne (qui a donc payé les droits de diffusion). En Vod, si on passe par la chaîne, c’est pareil. Mais si un FAI veut utiliser la box, il devrait négocier les droits de diffusion avec la chaîne (ayant droit).
On se retrouve dans le même sujet (censuré) régulièrement couvert sur NXI (ayant droit & co), comme les liens hypertexte de je ne sais plus, loi et création etc etc
Le
14/04/2017 à
07h
33
Attention les gens, on parle de la diffusion en OTT (en dehors des canaux standard de diffusion, par ex, over IP via navigateur, androidTV, etc…) et du service de replay.
On aura toujours les chaînes via le bouquet des opérateurs (canal de diffusion normal, même si derrière c’est de l’IP) ou la TNT.
Le
14/04/2017 à
07h
21
Et aussi, on ne demande pas à TF1 de payer les opérateurs pour la bande passante nécessaire à leur service (Free/Youtube)…
Si TF1 fait payer, qu’ils payent leur contribution au déploiement du réseau pour les transporter.
Surtout pour un service qui je devine, fait commencer par une belle pub vidéo (je ne sais pas, jamais regardé).
Il n’y a aucun problème à ce qu’une entreprise développe des technologies sur fonds propres, pour des concepts, des démonstrateurs.
Par exemple, les constructeurs développent des concept-cars. Des modèles produits à 1 prototype pour déterminier la faisabilité de technologies ou autre. Du pure perte économiquement, mais des retours potentiels car réutilisés sur les modèles commerciaux.
Pour Hyperloop, IMHO, il n’y a rien d’insurmontable technologiquement (quand on s’en donne les moyens, comme pour la lune).
Par contre, ce qui pose soucis:
-le soit disant coût faible du projet, bien ridicule quant aux contraintes en conditions réelles, en situation de production (génie civil, tube résistants chaleurs/météo/déformation/usure, sécurité etc). Se pose la rentabilité commercial (la rentabilité des TGV est discutable vu le tarif pharaonique du génie civil + entretien des voies. RFF historiquement )
-le développement des dit démonstrateurs est financés par des investisseurs qui attendent un retour sur investissement à une certain échance. Si ce n’est pas rentable?
Pour rappel, les 50 milliards sur 30 ans pour ITER visent à déterminer si le projet est économiquement viable….
Je pense qu’on en reviendra vite de cette libéralisation de l’entreprenariat.
Les contraintes, les charges associées, font que tout le monde ne pourra pas tenir les coup. Quand les statistiques de faillite seront significatifs dans quelques années, il sera temps de se poser des questions.
Des questions pour ? Il y a plein de raisons possibles de se planter. Le business plan a pour but de présenter la viabilité de l’entreprise. Si les gens faisaient la démarche de création d’entreprise, ils verraient et soupèseraient peut-être les contraintes avant de se lancer dans l’activité. A trop simplifier, on ne voit plus les contraintes.
A moins d’être une société de VTC, qui utilise Uber comme plateforme de mise en relation, je ne vois pas de viabilité pour un indépendant (sauf s’il sacrifie ses heures de repos, ses protections etc..)
Par contre, comme complément de salaire pour d’autres, je vois l’intérêt complet. Et que ça fasse mal aux taxis, on revient à leur problème.
TaigaIV a écrit :
J’ai un pote coursier à vélo qui passe par ces “plate-formes innovantes”, pour reprendre le langage de NXI, ils font tout leur possible pour les empêcher d’utiliser plusieurs plusieurs applications en même temps, sans le dire directement, en gros ils veulent des indépendants travaillant exclusivement pour eux mais sans le status de salarié. Elle est belle l’innovation.
Parce que commercialement chacune veut s’assurer pour sa “clientèle” un service disponible et garanti. Et financièrement, des prestations réalisée ailleurs, c’est autant de commissions en moins à toucher. Le modèle économique est toujours en recherche (toujours pas viable, fonctionne à perfusion des investisseurs…et je parlais de business plan :-) ) et la concurrence n’a même pas été prise en compte. Ebay ne s’est pas construit du jour au lendemain. Maintenant il y a plein de marketplaces/alternatives.
Au lieu d’invectiver leur affilié à n’utiliser que leur service, leur offrir plutôt la/les conditions de n’utiliser qu’eux. Et bien souvent c’est la commission.
Rien à voir avec l’innovation. Certaines plateformes se prennent pour des sociétés de transports alors qu’elles ne sont que des plateformes. Si l’affilié trouve mieux ailleurs, l’obliger à rester c’est reconnaître que son service proposé a un problème mais ne pas vouloir pas le résoudre.
Le
22/12/2016 à
00h
12
darkbeast a écrit :
Peut être parce qu’au début uber leur permettaient de gagner de l’argent, mais en changeant les règles de façon unilatéral, ils l’ont dans l’os.
Et aussi le fait qu’une fois que le mec s’est endetté pour acheter sa voiture, difficile de laisser tomber pour faire autre chose.
Ca change quoi par rapport au salarié qui a investit dans un logement mais dont l’employeur pour des raisons X ou Y délocalise/licencie/augmente la charge de travail sans compensation? Ca en parle régulièrement dans la presse pourtant.
Pas spécifique à Uber & cie, juste que ceux qui “s’affilie” sans statut, deviennent par conséquent encore plus précaire.
Avant de crier au scandale, faudrait peut-être mieux sensibiliser les gens/affiliés à la création d’entreprise, en particulier les contraintes (business plan, visibilité, publicité, base client, cotisations, facturation….) pour comprendre l’intéret de ce genre de plateforme (comme ebay, leboncoin, airbnb et autres marketplaces). Ca n’est qu’externaliser des fonctions afin que l’affilié ne se concentre que sur son coeur de métier (=bcp de simplification).
Le
21/12/2016 à
17h
04
tica68 a écrit :
En tant qu’indépendant (les VTC savent dans quoi ils s’engagent, faut pas se leurrer hein) tu te fais tes congés sur le restant de l’année, la retraite est rikiki et en cas de maladie t’as une couverture minimale.
Tout à fait d’accord,
Faire le statut autoentrepreneur. C’est facile, simple. Les garanties sont très minimal, cela ne dure pas longtemps, mais il y a la sécu.
Micro entreprise : après l’expiration de l’autoentrepreneur. Les cotisations deviennent bonbons (CFE, TVA etc) mais si on a le CA qu’il faut, ça passe. Je doute déjà qu’en solo, c’est viable sur le long terme.
SARL/EURL : commencer à grossir (plusieurs personnes dans la structure). Les économies d’échelles viennent avec la mutualisation des moyens de mise en relation et marketing. Il y a des frais (dirigeant en engraisser) ==> ça commence à se transformer en VTC ça
Pour les moyens de mise en relation et marketing, soit développer depuis 0 (site web, appli, base client etc), soit s’affilier à quelque chose d’existant (Uber?)
J’ai plutot l’impression qu’on a diabolisé Uber sur le statut des chauffeurs (alors qu’à l’origine, c’est un problème d’impôt) que sur le vrai problème d’origine…
258 commentaires
Compteur Linky : la CNIL met en demeure Direct Energie pour sa gestion du consentement
27/03/2018
Le 27/03/2018 à 14h 50
Il y a déja plein de moyens de le savoir de manière plus ou moins directe :
-binding du téléphone mobile sur l’antenne à proximité (quand ce n’est pas une appli qui fuite la localization GPS)
-activité de la ligne internet (pas en terme de navigation/utilisation, juste le traffic)
-caméra de surveillance de la circulation
-carte de transport (abonnement identifié)
-RG campé dans la rue ou en filature
-activité sur les réseaux sociaux (ceux qui postent des photos/statuts publiques en vacances/soirées..)
…
Le 27/03/2018 à 14h 40
Le 27/03/2018 à 14h 36
Il ne faut pas mélanger les postures de facebook et enedis.
Facebook se rémunère sur la pub et sur l’exploitation/revente des données perso. Facebook disparait si on lui enlève les données persos. L’utilisateur ne paye pas le service fournit par facebook.
Enedis se rémunère sur la distribution d’electricité. Sans la revente de données perso (aspect revente à confirmer), il y a toujours la distribution pour se faire payer. L’utilisateur paye (indirectement) le service fournit par Enedis.
““Se faire payer par des “partenaires” pour leur filer tes infos, voire carrément prendre une commission si tu achète un nouvel équipement suite à leur “tuyau”“.”
Autant avec Facebook et la pub, c’est évident.
Dans le cas d’ENEDIS, quel serait le type de tuyau remonté vis à vis de la consommation d’électricité?
Comment Enedis toucherait une commission? Untel regarde la télé à 20h tous les jours, untel lance la machine à laver à 22h30 toutes les semaines…. c’est quoi le tuyau marketing?
Exploitation de nos données : quand le sage pointe le problème, l’idiot ne regarde que Facebook
22/03/2018
Le 23/03/2018 à 16h 52
Les gens ne payent forcément pas tout le temps de la même manière (cash, CB, chèque, TR, cagnotte, bons…), donc la tracabilité d’une personne n’est pas optimale
Par contre, tout centraliser dans la carte de fidélité est plus efficace.
Retour sur le scandale Cambridge Analytica et la (molle) réponse de Facebook
23/03/2018
Le 23/03/2018 à 12h 25
A l’origine, l’objectif de la pub est d’influencer les consommateurs. Si la pub ne marchait pas on n’aurait déjà plus eu de pub. Et l’analyse des données personnelles avait permis d’augmenter l’influence sur les capacités de décisions.
Sauf que maintenant, on fait beaucoup plus. Depuis l’arrivée de la télé-réalité, des chaînes d’information continue, et des réseaux sociaux, beaucoup d’information fournie est orientée sensationnelle au dépend de la qualité. Beaucoup de forme, très peu de fond (sauf exceptions), mais visant à “marquer”.
Grâce à l’analyse des données et au tracking (une “régie” peut vous suivre à travers plusieurs sites), il est désormais plus facile d’attraper le quidam avec des fake news, des articles mensongers, des articles putaclic etc…
Et comme avec la pub, pas difficile d’imaginer comment on peut influencer le quidam.
L’enjeu des données personnelles, ce n’est pas seulement que de la pub ou du respect de la vie privée, c’est également comment empêcher/prévenir une entité (étatique ou privée), disposant/exploitant ces données, d’influencer/manipuler les masses en s’adressant comme il faut.
C’est un corollaire de l’enjeu de la qualité et de l’indépendance de l’Information.
Le 23/03/2018 à 09h 16
Juste pour préciser
Côté FB, il y a un manquement de cloisonnement des données (surtout ceux des amis). Le principe du consentement portait sur les données de l’utilisateur, mais pas des amis (en fonction des permissions). Donc l’autre société a pompé les données des amis au passage sans donner leur consentement.
Au niveau 1 (l’utilisateur installeur) a donné son consentement à ce que l’autre société prenne ses données persos.
Au niveau 2, les amis non.
Sa mesure principale va être d’empêcher la collecte des données des amis. Ca ne change pas pour l’utilisateur installeur (ni le modèle économique de FB)
Jusqu’à récemment, l’utilisation des données personnelles semblaient percues comme limitée à l’économie (publicité ciblées). Personne ne songeait à ce que ces données soient utilisées dans un cadre sociétale et politique.
Ce qui semble être un scandale aujourd’hui n’est que la prise de conscience que les données personnels peuvent servir à manipuler.
Bizarrement, les gens tombent des nues.
13 failles de sécurité trouvées dans l’ensemble des processeurs Ryzen/EPYC d’AMD et leurs chipsets
13/03/2018
Le 15/03/2018 à 17h 12
Au final, avec le recul, la publication n’est pas erronée je trouve.
Déjà dans le coin haut gauche de l’image : “En bref” (vous l’avez vue?), donc c’est une brêve.
La brève emploie le conditionnel sur les vulns et leur conséquence. Et mentionne à 2 reprises l’absence de détails.
A la limite, changer le titre en “Une société annonce 13 failles dans les processeurs AMD” (sans préciser le “inconnue”) sans changer le contenu, aurait changé totalement notre perception de l’article (notre attention aurait porté sur la publication et non le contenu de la publication).
On pourrait crier la “putaclic”, mais dans ce contexte de brève, l’auteur/la rédaction a choisit que le sujet d’attention principal porte sur les failles, non les conditions de publications (dans tous les cas, un article sera probablement publié ultérieurement, surtout grâce aux gueulantes vu en commentaires)
En fait, le soucis serait plutôt, que le format de la brève est trop identiques aux articles. Le “En bref” est bien trop petit. Que ce soit dans la page, ou dans le fil, on ne distingue pas aisément les brèves (non approfondies) et les articles (détaillés). Et de plus, contrairement aux brèves qui disparaissent dans le fil, chez NXi, ça reste parmi les articles.
Sur les chaînes d’info, il y a la banderole de brèves, et les reportages…
Si je résume l’article:
“CTSLabs publient, sans respect du responsible disclosure, dans 20 pages sans détails techniques, 13 failles qui toucheraient les processeurs dernière génération d’AMD, en particulier des éléments de sécurisation., et permettraient diverses exploits. Les chipsets Promontory seraient également touchés. A suivre”
Le 13/03/2018 à 18h 41
Un mécanisme de protection ne réponds pas forcément à un problème de sécurité.
Eviter les corruptions mémoires parce que des processus sont codés comme des pieds ne réponds pas nécessairement à un problème de sécurité (au sens attaque)
Même si plus tard, c’est devenu une attaque informatique possible.
Quand on apprend à coder, le soucis premier est d’éviter les segmentations fault, pas les buffer overflow… nuance !!!
Le 13/03/2018 à 16h 33
C’est plutôt qu’à l’époque les processeurs étaient moins complexes.
Ultracopier : les raisons de l’abandon d’un mineur de crypto-monnaie
28/02/2018
Le 28/02/2018 à 10h 48
Des travers oui c’est possible, mais on peut toujours essayer de limiter les risques.
L’utilisateur peut prendre la version gratuite et miner quand même.
Et ensuite, étrangement, des personnes ne veulent pas claquer la CB pour un achat mais par contre, diluer le même montant dans la facture d’électricité, ou dans l’amortissement du matériel, ne leur pose pas de problème.
L’article lève surtout la problématique de rémunération des dev sur les projets indépendants, avec un modèle freenium.
Côté dons, pas folochon (5€ par an!!!). On crie non à la pub mais c’est bien la pub qui finance les projets au final.
Côté licence, apparemment ça ne se gène pas pour pirater. Il ne précise pas combien il a touché par licence dans la même période de mining cependant.
Le développeur a proposé une autre méthode de rémunération sous la forme de contribution mining. En plus de cela, à ses dires, la communication était présente, transparente, et l’option désactivée par défaut. Malgré ça, bronca..
Recouvrement des amendes : SNCF et RATP devraient bientôt accéder aux données du fisc
13/02/2018
Le 13/02/2018 à 19h 08
La SEC s’interroge sur la sécurité des fonds en crypto-monnaie
23/01/2018
Le 23/01/2018 à 09h 10
Probablement à cause du délais de transaction.
Dans les marches classiques, on parle bien de trading hyperfréquence.
Linky, Gazpar : la CNIL revient sur la collecte des données par les compteurs communicants
22/11/2017
Le 22/11/2017 à 23h 42
Ca change quoi entre le technicien qui fait ça dans le transformateur au péril de sa vie et l’opérateur à distance derrière sa console ? Et si l’opérateur lui chante, centrale off :).
Hormis le problème de vie privée, ben une cisaille (et les protections bien sur) et c’est du pareil au même. Cf les vols de câble de cuivre. C’est quand même plus simple non ?
Les cas de délestage sont rares (les investissements visent à entretenir et a faire évoluer le réseau) mais sous certaines conditions (et combinés à des problématiques structurelles), delester est la solution pour éviter une propagation généralisée.
Perso, pour ma part, la seul chose qui craint est le NAS (classique). Backup régulier sur DD externe.
Et pour le nombre de fois que l’interrupteur de la multiprise a off à cause du pied (pas de NAS), sans problème après. (après, expérience perso hein, je décline toute responsabilité si ça cause des problèmes chez vous :) )z
Le 22/11/2017 à 21h 27
Même sans Linky, il a toujours été spécifié qu’en cas de force majeure (problème sur le réseau électrique), il est possible que des coupures ponctuelles soient réalisées. Sauf que là, ces coupures se font radicalement au niveau des transformateurs, via l’intervention des techniciens (et les risques associés).
En gros, voilà une petite ville, ou tout un quartier qu’on coupe d’un coup.
L’avantage, est qu’on peut par exemple, couper les habitations d’une zone, sans couper l’hopital en plein milieu. Dans les cas d’urgence, la priorité de la redondance n’est pas aux résidents, mais bien aux services d’urgence.
Si un particulier veut de la redondance, c’est comme pour les entreprises, il doit payer pour la seconde ligne électrique, le second réseau, voire la seconde centrale.
Autant avoir son groupe pour ceux qui sont vraiment en dépendance.
(et l’état de dépendance est dû à la fois au client mais aussi à la politique énergétique de ces dernières décennies qui a vu “l’abondance et le bon prix” de l’électricité grâce au nucléaire)
Le défaut d’assurance verbalisable « à la volée » par caméra à partir de 2018
02/11/2017
Le 02/11/2017 à 10h 38
D’un côté, en effet, ça me semble aussi beaucoup plus censé.
De l’autres, est-ce qu’un juriste peut éclairer sur l’obligation d’assurance ? “Toute voiture en circulation doit être assuré” ==> ça coule de source.
Mais quid des voitures qui ne roulent plus (pour X raisons, collections, remisés, en mille morceaux etc).
Quid des voitures volés ?
Quid des véhicules étrangers ?
Les revenus télécoms encore en baisse, malgré la montée de la fibre et de la 4G
10/10/2017
Le 10/10/2017 à 08h 24
Pour l’IP dynamique, me semblait que le dyndns disponible dans certaines box et modem/routeur était la solution.
Après, il ne faut pas non plus que l’ip change trop souvent (caché et délais de MAJ des dns).
Auto-entrepreneurs : l’obligation d’utiliser un logiciel anti-fraude va (presque) disparaître
15/06/2017
Le 16/06/2017 à 08h 54
Je suis d’accord pour les dérives. Pour le contrer, il aurait fallu baisser les plafonds (pour obliger à changer d’AE, qui aurait causé des contraintes, pour pousser à l’embauche)
Seulement, de l’autre côté, l’AE avait également été pensé que dans le cas d’un travail temporaire, fallait permettre à l’AE de vivre décemment (loyer, charges etc..).
Par contre, dire que c’est une ineptie, pas d’accord. L’AE me semble super adapté pour ceux qui veulent un complément de salaire ou qui veulent légaliser de menu travaux. Après, que des employeurs voyous exploitent la détresse de certains, n’a rien à voir.
MSI : Mini PC, maxi ordinateurs portables et carte PCIe Gaming Storage Card
08/06/2017
Le 08/06/2017 à 19h 11
Le gs63 est intéressant, mais voilà l’inflation récente de ce modèle depuis les derniers processeurs INTEL et carte NVDIA… Ca se rapproche du prix du Razer
Le ge62 est plus abordable, mais même constat…
Les États-Unis quittent l’accord de Paris sur le climat, sous les critiques de la Silicon Valley
02/06/2017
Le 02/06/2017 à 12h 26
En parallèle de la transition énergétique, il faut revoir nos habitudes de vie
-chaudière h24
-box h24
-vie de nuit/grasse mat
-cuisine de plats préparé à conserver // cuisine produit du marché (conservable plus facilement sans frigo)
-réduire la consommation de produit d’origine animal (pour des raisons de conservation j’entends, la majorité des légumes/fruits peuvent se garder des jours à l’air ambiant)
-fin de la bière fraîche
-etc…
En changeant nos exigeances en terme de disponibilité de la ressource électrique, les irrégularités des ER deviendront plus acceptables.
Ca implique également un changement drastique de la société.
Bouygues Telecom intègre LeKiosk en illimité dans certaines offres fixes et mobiles
22/05/2017
Le 22/05/2017 à 12h 23
Les versions abonnés de certaines publications pourraient être intéressantes.
Cependant, quid du catalogue de titre disponible? Une éventuelle censure de B si des acticles tapent sur le groupe, ou une filiale, ou un actionnaire etc…
L’avocat général de la CJUE estime qu’Uber est un service de transport, pas un service numérique
15/05/2017
Le 15/05/2017 à 13h 53
Un commerçant ou prestataire de services est libre d’accepter ou de refuser le paiement par chèque ou par carte bancaire, à condition d’en informer les clients, préalablement et de manière apparente par voie de :
de marquage ;
d’étiquetage ;
d’affichage ;
ou par tout autre procédé approprié (par un panneau à l’entrée de son commerce ou dans un endroit visible : près de la caisse, par exemple).
Merci de mettre toute la citation pour ceux qui ne cliquent pas sur le lien.
Mais après, oui, la mauvaise foi est toujours là. Pour contrer le défaut d’affichage, la panne…
Le 15/05/2017 à 12h 29
Cela dépends si le chauffeur a monté une structure.
Sans troller, je ne suis pas certain que tous ont monté au moins une micro-entreprise.
Le 15/05/2017 à 12h 28
Enfin ce n’est pas à volonté.
service-public
Après en effet ça manque de “repression”.
EDIT : grillé par Fred42 (avait pas tout lu)
Le 15/05/2017 à 09h 18
La stupidité d’UBER, c’est de vouloir contrôler le service de A à Z (comprendre le chauffeur, le trajet etc).
S’il se serait tenu à n’être qu’une plateforme et prélevant une commission fixée à l’avance, les autorités n’auraient rien à dire, vu qu’il revient aux chauffeurs d’ouvrir leur structure et d’assumer le cadre légal (discussion déjà vu ici).
L’article présente bien les éléments qu’Uber aurait dû se limiter pour éviter d’être qualifié de service de transport.
Dans ce scénario, la libéralisation ne concerne pas Uber (plateforme de mise en relation), mais à la multitude de créations d’entreprises (individuelles ou PME) de type VTC pouvant exercer à concurrence des taxis.
A chacune de ces entreprises de monter leur business plan, leurs tarifs, leurs perspectives d’évolution… et leurs viabilités (et donc de continuer ou de fermer).
La Nintendo Switch et l’IA ont fait les affaires de NVIDIA au 1er trimestre
10/05/2017
Le 10/05/2017 à 13h 50
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/filon/33759
L’abus de politique nuit gravement à la santé :).
Valve durcit encore les règles pour les cadeaux sur Steam
05/05/2017
Le 05/05/2017 à 15h 09
Les ententes et les distorsions de concurrence n’ont rien à voir avec le libéralisme. C’est même le contraire. Entente=autorégulation et perte de liberté.
Et rien ne dit que sans entente, on aurait payé beaucoup moins cher. Moins surement, mais pas 4€.
EDIT : c’était en réponse à Niktareum page 3.
Le 05/05/2017 à 08h 43
Oui, le libéralisme profite à la fois aux entreprises, et aux acheteurs (le 2-vitesse du premier commentaire)
C’est justement la difficulté des gouvernements, de concilier l’intérêt des 200 salariés victimes d’une délocalisation avec celui des milliers d’acheteurs qui ne sont pas contre (pour hausse de pouvoir d’achat, car prix plus bas).
C’est bien le libéralisme qui a permit l’arrivée de Free mobile et la baisse globale des prix (guerre des prix). Sans Free on serait encore à payer des abonnements mobiles à 30-50€. Quand les gens profitent des promo forfait mobiles à 4€, ils pensent aux impacts sur les salariés derrière ?
Le 05/05/2017 à 08h 30
Il peut y avoir une différence de taxation. Entre une TVA à 5% et une autre à 20%.
Windows 10 S : questions et réponses autour d’un système bien étrange
03/05/2017
Le 03/05/2017 à 14h 48
Je ne sais plus.
Si des organisations doivent initier ces recours, il faut qu’il les formulent maintenant pour les prochaines années.
D’autant que a ce que je lis, le ballotScreen n’avait qu’une durée limitée (5 ans).
Microsoft s’étant déjà fait épingler pour ça, s’il recommence, c’est que l’amende n’est toujours pas assez élevée.
Le 03/05/2017 à 13h 20
Je soulevais déjà cette problématique dans mon autre post.
Il faut en effet surveiller les aspects de concurrence, de libertés et de vie privée.
Déjà avec Edge ça commence mal.
C’est là que le législateur pourrait entrer en scène.
Le 03/05/2017 à 12h 53
Il faut bien distinguer 2 cas :
-en entreprise avec AD.
-à domicile sans AD.
Dans le second cas, pas de restrictions du à une politique SI ou SSI d’entteprise.
Le 03/05/2017 à 12h 47
Pour Android ou iOS, les développeurs se sont bien pliés aux API du début, et qui ont évolués par la suite.
Windows présente le passif d’avoir été un système déjà existant avant l’arrivée des stores (avec ses libertés). Dès lors, la première version de l’UWP ne peut être percue que comme une régression.
Considérant que des installeurs tapent à peu près partout sur le pc lors de l’installation en mode privilégié (y compris les registres), je ne vois pas en quoi mettre des garde-fous poserait un problème. Juste que les éditeurs ont été léger dans le développement de leur application. Qui vérifie qu’un .msi ne fait pas plus qu’il n’est censé faire ? Qui vérifie qu’un applicatif ne fait pas plus qu’il n’est censé faire ? Pourquoi Windows ne devrait pas implémenter une gestion de permissions comme depuis Android 6 ?
Si le système n’est pas parfait, ce n’est pas avec l’absence de retour des besoins des dev (ou éditeurs) que Microsoft pourra faire évoluer UWP. On peut reprocher à Microsoft un manque de pédagogie sur UWP (et autres) mais surtout une mauvaise fois aux éditeurs de ne pas jouer un jeu qui permettrait de renforcer la sécurité.
Le 03/05/2017 à 11h 58
Je vois plutôt une volonté de révolutionner (au sens changement radical, pas au sens nouveau usage) l’installation de tout soft sur un OS à l’instar des stores sur mobiles.
Tant qu’il y a la possibilité d’installer par Sources inconnues (surtout pour les utilisateurs avancés), je ne vois pas pourquoi un système qui existe sur les mobiles et tablettes poserait un problème sur le fixe. Comme chez Android, même le dev lambda peut publier son appli.
La prochaine étape pourrait être alors l’extension du SecureBoot aux softs vérifiés et installés (bon vu le bouzin, il y aura des runlevel).
Bien sûr qu’il y a des points négatifs et des risques, surtout en terme de liberté et de protection des données.
Mais avant de lever le haro, voyons la vraie politique de Microsoft vis à vis de tout éditeur (particulier, ou société, libre ou propriétaire), des libertés, et de la concurrence. Pour l’instant je ne lis rien sur ça (qu’on attends les développeurs à faire l’effort).
Alors par contre, pour les softs piratés, les cracks et compagnies oui ça fait chier pour ceux qui les utilisent ^^.
Sites, GPS, applications ne pourront plus signaler les opérations de police dans certains périmètres
24/04/2017
Le 28/04/2017 à 17h 05
Le 25/04/2017 à 10h 50
Au Journal officiel, l’Agence nationale des techniques d’enquêtes numériques judiciaires
25/04/2017
Le 25/04/2017 à 09h 10
Quelqu’un a le compte et la liste des “agences nationales” et autres “autorités administratives” ?
Oui certaines sont utiles et pertinentes, mais d’autres, je me demande si on peut transférer leurs missions ou prérogatives à d’autres (et faire des économies de budget au passage).
Très haut débit : les « zones fibrées » se détaillent, avec les obligations des opérateurs
19/04/2017
Le 19/04/2017 à 17h 35
Le 19/04/2017 à 15h 39
Reste encore et toujours les numéros d’urgences.
On appelle encore le 15/17/18 depuis les fixes ? ou c’est 112 ?
Ou va-t-on devoir remplir les poches des fabricants d’onduleurs, de batteries, de groupe électrogène?
Starcraft Anthology disponible gratuitement (et légalement), comment le récupérer
19/04/2017
Le 19/04/2017 à 15h 32
Je ne sais pas, la story peut-être?
Le 19/04/2017 à 11h 56
Cela peut se comprendre.
Déjà, ils ne font pas payer les coûts de migration vers les nouveaux OS (je pense qu’en interne des salariés avait déjà fait le boulot pour y jouer sur les machines récentes mais bon…).
Cela ne représente rien comparé au prix du travail à réaliser sur les graphismes. Et s’il reprennent le moteur de SC2, ça me m’étonnerait pas qu’il y ait du taff côté scénario et mécaniques
OTT : Orange n’envisage pas de céder face à TF1
14/04/2017
Le 14/04/2017 à 11h 49
On parle du contenu (vidéos, émissions, etc), pas de l’habillage du site web & co qui flique et fait subir les minutes de pub vidéo.
Les box FAI ne polluent pas avec ça, ce n’est pas dans leur intérêt. Je n’ai qu’un FAI avec la télé qui fonctionne, et pas de TF1 replay dedans (ou je n’ai pas trouvé) donc pour les autres… Et je ne me souviens pas d’avoir subit tout ça. On ne voit que la surcouche FAI. Ce qui se passe derrière, est entre le FAI et le fournisseur.
Que le FAI nous flique, ou redistribue des info perso au fournisseur (attention légalité), est une autre histoire.
Et comme je l’ai dit dans ma seconde partie, en raison de considération de droits par exemple, il y a eu forcément négociation / collaboration (d’ou le contrat précédent)
Le 14/04/2017 à 08h 35
Ce qui est considéré, ce sont les services qui ne rentrent pas dans le cadre de la diffusion en directe.
La VOD, le replay sont des services certes à la base accessible via navigateur. Mais les FAI ont intégré la plupart des services VOD/replay etc dans leur box.
C’est cette intégration qui me semble la source du conflit.
Il y a 2 postures à confronter:
-l’opérateur prends l’initiative de l’intégration. Il intégre les services dans sa box, en profitant des API disponibles sur Internet. Malgré l’exposition étendue des services au public, la démarche fait que la chaîne pourrait exiger une rémunération pour l’accès et la diffusion (hypocrite car déjà accessible sur internet via navigateur) depuis la box directement (et doublement hypocrite car le FAI paye le dev de l’intégration dans la box)
-la chaîne demande à un opérateur d’intégrer ses services dans sa box. Ici, la chaîne doit payer un service, et l’intégration dans la box.
Evidemment, c’est encore plus compliqué que ces 2 postures. Par exemple, sur la TNT, le diffuseur d’un contenu est bien la chaîne (qui a donc payé les droits de diffusion). En Vod, si on passe par la chaîne, c’est pareil. Mais si un FAI veut utiliser la box, il devrait négocier les droits de diffusion avec la chaîne (ayant droit).
On se retrouve dans le même sujet (censuré) régulièrement couvert sur NXI (ayant droit & co), comme les liens hypertexte de je ne sais plus, loi et création etc etc
Le 14/04/2017 à 07h 33
Attention les gens, on parle de la diffusion en OTT (en dehors des canaux standard de diffusion, par ex, over IP via navigateur, androidTV, etc…) et du service de replay.
On aura toujours les chaînes via le bouquet des opérateurs (canal de diffusion normal, même si derrière c’est de l’IP) ou la TNT.
Le 14/04/2017 à 07h 21
Et aussi, on ne demande pas à TF1 de payer les opérateurs pour la bande passante nécessaire à leur service (Free/Youtube)…
Si TF1 fait payer, qu’ils payent leur contribution au déploiement du réseau pour les transporter.
Surtout pour un service qui je devine, fait commencer par une belle pub vidéo (je ne sais pas, jamais regardé).
La SEC sanctionne la publication d’articles sponsorisés déguisés en avis d’investisseurs
12/04/2017
Le 12/04/2017 à 13h 45
Pour ceux qui se pliaient à cette règle, les rémunérations étaient plutôt coquettes, sans non plus être pénélopesques
Nouveau mot ?
EDIT : grilled (à 31s près)
Hyperloop TT débute la construction d’une capsule, un système commercial pour « bientôt »
22/03/2017
Le 23/03/2017 à 12h 59
Il n’y a aucun problème à ce qu’une entreprise développe des technologies sur fonds propres, pour des concepts, des démonstrateurs.
Par exemple, les constructeurs développent des concept-cars. Des modèles produits à 1 prototype pour déterminier la faisabilité de technologies ou autre. Du pure perte économiquement, mais des retours potentiels car réutilisés sur les modèles commerciaux.
Pour Hyperloop, IMHO, il n’y a rien d’insurmontable technologiquement (quand on s’en donne les moyens, comme pour la lune).
Par contre, ce qui pose soucis:
-le soit disant coût faible du projet, bien ridicule quant aux contraintes en conditions réelles, en situation de production (génie civil, tube résistants chaleurs/météo/déformation/usure, sécurité etc). Se pose la rentabilité commercial (la rentabilité des TGV est discutable vu le tarif pharaonique du génie civil + entretien des voies. RFF historiquement )
-le développement des dit démonstrateurs est financés par des investisseurs qui attendent un retour sur investissement à une certain échance. Si ce n’est pas rentable?
Pour rappel, les 50 milliards sur 30 ans pour ITER visent à déterminer si le projet est économiquement viable….
Les pseudo-engagements d’Airbnb pour éviter l’obligation d’enregistrement à Paris
28/02/2017
Le 28/02/2017 à 18h 02
Je sens surtout venir le airbnb à 2 offres pour les proprios si l’enregistrement externe ne passe pas.
Si par exemple, il prends une commission de 5% sur la nuitée (je ne connais pas la valeur réelle donc je prends un exemple).
Offre standard :
-5% de commissions
-120/jours sans déclaration aux autorités, déclaration au-dela
Offre Premium:
-10% de commission
-aucune déclaration de votre activité aux autorités (ah zut, on dira simplement, protections des données personnels)
La « responsabilité sociale des plateformes » devrait devenir réalité en 2018
21/12/2016
Le 22/12/2016 à 11h 25
Le 22/12/2016 à 00h 12
Le 21/12/2016 à 17h 04