votre avatar

wpayen

est avec nous depuis le 10 octobre 2012 ❤️

720 commentaires

Le 24/10/2017 à 09h 35

Si pour les centres de transparence, ils suivent le modèle de Microsoft, c’est à peu près ce système.



A savoir que quand tu récupères les binaires, tu passes par un système (qui certes reste soumis aux attaques externes type CCleaner) dont l’organisme tiers valide la concordance binaire = source. Le centre de transparence de Microsoft à Bruxelles permet aux états d’accéder au code source des solutions de Microsoft et de builder leur propres releases. Après, ils le font pas par paresse (administrative).

Le 24/10/2017 à 08h 55







127.0.0.1 a écrit :



Bref, en closed-source il n’y a pas de confiance possible tant que toute la chaine de production n’est pas inspectée et que le binaire final n’est pas signé par les inspecteurs.





Pareil en open-source.

Un binaire d’un soft open-source présent sur les serveurs de la communauté régissant le projet peut très bien avoir été touché par le même type d’attaque de CCleaner. Si tu veux être sûr à 100%, il faut compiler soit-même le code source venant d’un dépôt sécurisé en sécurisant le flux lors de la récupération.



L’assurance que le binaire disponible soit le même que les sources vérifiées est un pari. Que ce soit en open ou en closed source. Je reconnais cependant que le pari a pas les mêmes cote partout&nbsp;<img data-src=" />


Le 23/10/2017 à 16h 31

Et juste pour savoir, quel est l’âge requis pour décider qu’il faut laisser la place ?

Le 10/10/2017 à 06h 16

C’est surtout à @127.0.0.1 que je répondais en fait <img data-src=" />





Ce sera (encore) un échec pour les mêmes raisons qu’avant: l’unification tant désirée est un idéal technique et/ou marketing, mais certainement pas une attente des utilisateurs et des développeurs qui veulent un environnement spécialisé pour chaque appareil/usage.&nbsp;

Le 10/10/2017 à 05h 42


  1. Les gens s’en foutent. Ils ne sont pas partisan d’une vision technologique ou d’une autre.





    1. On parle là “d’arrière boutique”. Les gens non-technique ne s’intéressent pas à ce changement. C’est un changement technique qui peut amener une évolution invisible pour l’utilisateur à court/moyen terme.



      Vous surestimez l’intérêt du publique et en plus, vous lui prêtez des pensées qui sont en fait les votre.


Le 07/10/2017 à 22h 10

C’est tendance.



Je pense que ce type de commentaire politique devrait être inscrit à côté de la définition de “Français” dans le dictionnaire.

Le 04/10/2017 à 14h 21

Je bosse au Jura.

Mais je serai au MAD.

Le 04/10/2017 à 13h 07

ENT-S4-APS.



Copain<img data-src=" />

Le 04/10/2017 à 09h 55







YohAsAkUrA a écrit :



&nbsp;a peu près 80% de la population du 3ème age j’ai envie de te dire :p



le smartphone ne rentre pas en ligne de compte. c’est le simple fait d’avoir un accès internet quel qu’il soit… que se soit sur un forfait mobile ou fixe. ;)

&nbsp;

Je suis employée swisscom et je peux te garantir que le passage au All IP a créé pas mal de problèmes chez le 3ème age car beaucoup de nos clients n’ont pas DU TOUT accès a internet et que par conséquent il a fallu trouver une solution avec un boitier qui fait office de modem mais qui n’a qu’une prise telephone … donc pas de data en dehors de la VoIP ;)

&nbsp;



Le modèle allemand = que t’aies ou pas un forfait Data, tu payes <img data-src=" />





On doit être collègue, c’est beau. :)


Le 04/10/2017 à 08h 38

Merci, j’y vis.



Et tu oublies que le smartphone rentre également en compte.

Pour ne pas payer Billag, il faut :




  • Aucune radio

  • Aucun abo TV

  • Aucun abo Internet

  • Aucune data dans ton forfait mobile



    D’où ma généralisation qui correspond au modèle allemand. Si tu as un PC ou un smartphone, tu payes. (Qui aurait un PC ou un Smartphone et aucun abo internet (fixe ou mobile) ?)

Le 03/10/2017 à 18h 09

Ce qui est impressionnant sur ce fil de commentaire, c’est le nombre de personnes qui n’ont pas de TV, n’écoutent jamais la radio ou n’ont qu’un PC pour regarder des documentaires en ligne (dont on se demande bien qui les produit).



Et surtout le meilleur, c’est le nombre de ces personnes qui ont une réflexion universaliste basée sur leur mode de consommation. L’universalité du propos à partir d’un échantillon qui doit représenter 0.5% de la population française.

Le 03/10/2017 à 13h 50

C’est le cas aussi en Suisse avec Billag.

Le 27/09/2017 à 09h 29

C’est déjà fait.

La France n’en est plus à violer ces conventions. Le stade actuel c’est se dire que la trace de merde qu’on a laissé en se torchant avec est jolie.

Le 27/09/2017 à 09h 26

Depuis Office 2016, il ouvre dans des instances multiples par défaut.

Le 27/09/2017 à 08h 24

Parce que tu as deux classeurs ouvert dans une seule instance d’Excel.

Ouvre Excel une première fois, ouvre le classeur 1.

Ouvre Excel une deuxième fois, ouvre le classeur 2.



Manipule tes deux Excel indépendant.

Le 26/09/2017 à 15h 51

Effectivement.

Mais ces empreintes étaient également comprises dans le fichier des passeports, non ? Il y a 25 Millions de citoyen français qui ont un passeport.



Ce qui me gêne particulièrement dans ce débat c’est que l’on se concentre particulièrement sur ce fichier TES alors qu’en soit, il n’est qu’un agrégat de données existantes (Et un refresh de sécurité au passage, le fichier des CNI doit être sympathique vu qu’il date de 1997…).



Pour moi le point gênant là-dedans, c’est surtout l’obligation d’avoir une pièce d’identité biométrique. Que le passeport, utilisable à l’international, soit obligatoirement biométrique ne me paraît pas être une mauvaise idée.

Qu’aucune autre pièce d’identité nationale n’existe sans biométrie m’est incompréhensible.



&nbsp;

Le 26/09/2017 à 14h 16







fred42 a écrit :



Non, c’est un remplacement des bases de données non centralisées qui étaient dans chaque département et qui géraient les demandes de carte d’identité par la base de données TES qui gérait jusqu’à présent uniquement les demandes de passeports.







Je ne vois pas d’où tu tiens cette information.

Le décret régissant les cartes d’identité datant de 1955 dans sa version consolidée de 2015 (avant les mentions du TES qui datent de 2016) &nbsp;mentionne ça.





Sous réserve des dispositions des articles 11 et 11-1 ci-après, ne peuvent accéder aux données contenues dans le système de gestion informatisée que les fonctionnaires et agents chargés de :1° L’application de la réglementation relative à la carte nationale d’identité et au passeport au ministère de l’intérieur ;2° L’établissement des cartes nationales d’identité et des passeports :a) Dans les préfectures et les sous-préfectures ;b) Dans les services du représentant de l’Etat dans les collectivités régies par l’article 74 de la Constitution et en Nouvelle-Calédonie ;c) Dans les postes diplomatiques pourvus d’une section consulaire et dans les postes consulaires à l’étranger ainsi que dans les services du ministère des affaires étrangères chargés de suivre l’établissement des cartes.





&nbsp;C’est d’ailleurs un article abrogé par le décret instituant TES.

On parle d’un système qui ne serait joignable que dans les préfectures, à aucun moment qu’il est stocké dans les département.



De même l’article suivant



Le ministre de l’intérieur est autorisé à créer un système permettant la fabrication de cartes nationales d’identité sécurisées et la gestion informatisée desdites cartes. Ce système est conçu et organisé de façon à limiter les risques de falsification ou de contrefaçon des cartes. Il ne peut être utilisé qu’aux fins ci-après :1° Permettre au titulaire de la carte de justifier de son identité dans les cas et conditions définis par les lois et règlements en vigueur ;2° Faciliter pour les services de la police nationale et de la gendarmerie nationale l’exercice de leurs missions de recherches et de contrôle de l’identité des personnes, notamment à l’occasion du franchissement des frontières ;3° Permettre aux services de police et de gendarmerie ainsi qu’aux services de renseignement du ministère de la défense d’exercer la faculté qui leur est ouverte à l’article 9 de la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relatives à la sécurité et aux contrôles transfrontaliers.





De ma compréhension, vu que les articles mentionnés datent de 2007 dans la version citée, il est juste de dire que le TES n’est qu’un agrégat de deux bases pré-existante.

Après, je ne parle pas des données biométriques de la nouvelle CNI.


Le 22/09/2017 à 07h 35







carbier a écrit :



Mais oui, mais oui…

Le droit des peuples à diposer d’eux mêmes: ce qui est bien avec les indépendantistes catalan c’est que leur discours sent bon le discours identitaire qu’on a connu en France il n’y pas si longtemps.

Mais bon quand c’est tenu par les Catalans c’est bien, quand c’est tenu par d’autres c’est mal. Surtout quand il est attenant à un discours purement économique (on ne veut pas payer pour les plus pauvres)…



De plus un tel discours identitaire tenu à un moment où peu de gens restent vivre dans la même région toute leur vie est un discours d’un autre temps tenus par une minorité qui parle plus fort que les autres. D’ailleurs qui aura le droit de voter ? tous les résidants catalans ou seulement les natifs, les “pures souches” ?





Bien sur que oui leur discours est un discours identitaire. Le même que celui tenu en Écosse.



La situation actuelle est la même que cella de l’Écosse. Des négociations pour un statut d’autonomie de la région qui amène à une décision puis cette décision est cassée ensuite.



En Écosse, c’est l’Angleterre qui est revenue sur les promesses faites.

En Catalogne, c’est le tribunal constitutionnel (à majorité de membre proche du parti conservateur (et celui-ci avait demandé la récusation et a obtenu la démission de deux juges opposés)) qui a cassé une partie de la décision.



Dans la demande du PP en 2006, il avait attaqué pour le statut d’autonomie de la catalogne des articles qui étaient en vigueur dans d’autres régions… Les considérations économiques existent parce que la Catalogne, très fortement contributrice au budget, est déficitaire et s’endette.

Que ce soit une région riche qui doive contribuer à la péréquation espagnole, c’est normal.

Que cette péréquation creuse ses déficits, ce n’est pas normal.


Le 19/09/2017 à 11h 54







il doit être établi qu’antérieurement à la pénétration dans le domicile, les prévenus ont commis une effraction ou une escalade ou affronté une résistance ou une opposition quelconque





La beauté de la loi.

Une maison pas fermée à clé = pas de violation (Mon exemple était mauvais)

La même maison pas fermée mais avec un portail = Violation



Bref, dommage pour l’exemple&nbsp;<img data-src=" />





&nbsp;

Le 19/09/2017 à 11h 22







joma74fr a écrit :



L’arrêt de la Cour de cassation dit seulement que l’employeur ne peut pas licencier pour faute sur une simple suspicion de vol de données confidentielles. À la charge de l’employeur de prouver la faute de l’employé qu’il souhaite licencier pour faute. Rien de plus.



Ceci-dit, on peux toujours se faire un roman de ce qu’a effectivement fait le salarié. On peut aussi penser que le salarié était un espion d’une puissance étrangère, mais c’est de la littérature. Le fait est qu’un employeur ne peut pas licencier un salarié pour faute sans faute clairement établie.





Qu’on ne puisse pas licencier pour faute quand il n’y en a pas, c’est normal, on est d’accord.



Ma problématique c’est qu’on ne puisse pas caractériser la faute parce que l’employé a eu le temps de supprimer des preuves, et que le temps en question alors qu’il était tenu de donner les preuves, ne soit pas retenu contre lui.&nbsp;


Le 19/09/2017 à 11h 18







joma74fr a écrit :



Ceci-dit, qu’il existe des salariés malveillants qui ne se font pas prendre la main dans le sac, ça existe sûrement et c’est dommage pour l’entreprise et pour l’employeur. Mais c’est toujours pareil, il existe des procédures à mettre en place pour éviter des incidents pareils (la vidéosurveillance, les autorisations d’accès à un poste de travail, des accès limités avec identifiants et mots de passe, etc). Et au cas où ça arriverait, il existe parfois des assurances.





Je suis d’accord.&nbsp;

Tout comme la société est clairement pas blanche dans l’histoire.&nbsp;Mais ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de moyen technique pour empêcher le vol de données que le vol est autorisé.&nbsp;


Le 19/09/2017 à 11h 17







Zulgrib a écrit :



Fausse excuse, c’est à l’admin de configurer l’interdiction d’écriture sur les périphériques amovibles qui ne sont pas dans une liste blanche.





Non.

Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de moyen technique pour empêcher le vol de données que le vol est autorisé.

Rentrer dans une maison avec une porte sans serrure n’enlève pas la caractérisation du viol de domicile.


Le 19/09/2017 à 08h 59

La justice est du ressort de la France, certes.

Mais la cassation se base sur la violation de code de travail, civil et de procédure pénale propre à la Nouvelle-Calédonie.



Je ne suis pas assez juriste pour dire si la portée de la jurisprudence s’appliquerait à la métropole. D’où le “me semble”.

&nbsp;



la cour d’appel a, par refus d’application, violé les dispositions des articles Lp. 122-5 et Lp. 122-6 du code du travail de Nouvelle-Calédonie ;







la cour d’appel a violé les articles 9 du code de procédure civile de Nouvelle-Calédonie, Lp. 121-1 du code du travail de Nouvelle-Calédonie et 1134 du code civil de Nouvelle-Calédonie ;

Le 19/09/2017 à 08h 56







joma74fr a écrit :



Je crois que tu te trompes, il faut remettre en contexte, et éviter les généralités qui n’aboutissent à rien : l’employeur n’a pas pu prouver l’existence de la copie de données confidentielles, c’est ça le soucis à la base. Il n’a même pas consulté le contenu de la clé USB quand le représentant du personnel lui a remis la clé USB, au motif que le salarié aurait eu largement le temps d’effacer les données confidentielles.




  extrait de l'arrêt (j'ai souligné les passages en question) :        






  « 1°/ que l'employeur ne peut procéder à la consultation du contenu de la  clé USB personnelle d'un salarié sur le lieu de travail en son absence  ou sans qu'il ait été dûment appelé ; qu'ainsi, dès lors que l'employeur demande au salarié de consulter en sa présence le contenu de sa clé USB personnelle sur le lieu de travail, celui-ci est tenu de lui en assurer l'accès ; qu'en l'espèce, la cour d'appel a décidé, par motifs propres  et adoptés, d'écarter l'existence de toute faute commise par le salarié  concernant la copie, invoquée par l'employeur, de fichiers du serveur de l'entreprise au moyen de sa clé USB personnelle ; qu'elle a notamment relevé que le seul fait que le salarié n'obtempère pas, sur le champ, à l'injonction que lui a fait l'employeur de lui remettre sa clé USB personnelle afin de vérifier son contenu, ne constitue pas en soi un comportement fautif ; qu'elle ajoute qu'il n'est pas contesté que cette  clé a été remise un quart d'heure plus tard par le délégué du personnel  au directeur général, mais que celui-ci n'a pas voulu en prendre connaissance au motif que les fichiers copiés avaient pu être effacés ;  qu'en statuant ainsi, alors que l'employeur était en droit d'exiger du  salarié la vérification du contenu de sa clé USB personnelle au sein de  l'entreprise et qu'il a été mis dans l'impossibilité de réellement vérifier si des données appartenant à l'entreprise avaient été ou non transférées, la cour d'appel a violé les articles 9 du code de procédure civile de Nouvelle-Calédonie, Lp. 121-1 du code du travail de  Nouvelle-Calédonie et 1134 du code civil de Nouvelle-Calédonie ; »







On dit la même chose.

L’employé n’est pas fautif de ne pas avoir obtempéré sur le champ alors qu’il est tenu de remettre la clé. Rien ne l’empêche d’avoir supprimé les preuves (c’est long 15min…).



Vu que ce n’est pas considéré comme une faute de prendre suffisamment de temps pour détruire les preuves avant de donner le média, qu’est-ce qui t’empêche de tenter de le faire et de supprimer les preuves si tu te fais prendre ?

Quant au fait que l’employeur n’ait pas pu constater, il a présenté des preuves de copies. Ce qui caractérise la décision c’est le fait qu’il ne puisse pas prouver que la clé USB était la cible de la copie. Mais la preuve en question est restée 15min en possession de l’employé une fois que celui-ci savait qu’il s’était fait prendre.



Le bénéfice du doute a joué en sa faveur (Ce qui est normal) mais je continue de dire que la “morale” de l’histoire est que si tu te trouves dans son cas, tu as légitiment droit de prendre le temps de nettoyer avant de remettre les preuves.


Le 19/09/2017 à 07h 32







revker a écrit :



Je comprends parfaitement la décision de la cour, la clé USB est un matériel personnel. Ou sinon, pourquoi pas fouiller carrément la personne pour voir si elle n’a pas imprimé de documents compromettants cachés dans ses sous-vêtements ?



Blague à part, rien n’empêche l’entreprise de porter plainte pour vol de propriété intellectuelle par la suite. Ici, ça n’est pas ce qui est critiqué.





Sauf que la cour dit aussi que le salarié, si on lui demande en sa présence de contrôler un matériel privé dans l’enceinte de l’entreprise, est tenu de le présenter.


Le 19/09/2017 à 06h 04







joma74fr a écrit :



D’ailleurs, où as-tu lu que l’employé a volé des données confidentielles dans son entreprise ? Moi, ce n’est pas ce que j’ai lu.







Je cite les griefs présentés par l’employeur en cassation.





l’utilisation de la messagerie professionnelle de la société aux fins de transmettre des renseignements internes à un tiers

&nbsp;





d’écarter l’existence de toute faute commise par le salarié concernant la copie, invoquée par l’employeur, de fichiers du serveur de l’entreprise au moyen de sa clé USB personnelle





C’est certes une interprétation de dire que les données étaient confidentielles. Mais ma réflexion se base sur le fait que quand tu as ces motifs de licenciement, les fichiers en question n’étaient certainement pas les photos du trombinoscope de la boite.



Quant à mon interprétation, elle se base également sur l’arrêt.





Mais attendu, que sous le couvert d’un grief non fondé de défaut de base légale, le moyen ne tend qu’à remettre en cause l’appréciation souveraine de la cour d’appel qui a estimé que le grief imputé au salarié d’appropriation sur sa clef USB personnelle d’informations à caractère confidentiel n’était pas établi ;





Les motifs étant :




  • Que la copie n’est pas vérifiable parce que l’entreprise a refusé de vérifier la clé USB (après le délai de 15min -suite au premier refus de l’employé, alors que celui-ci est tenu de donner accès à sa clé (CF Arrêt)).

  • Que le fait de refuser de fournir la clé alors que tu es tenu de le faire n’est pas un comportement fautif.



    Donc, si tu as copié des documents confidentiels et que tu prends 15min pour fournir ta clé à ton employeur - 15 minutes que tu utilises pour supprimer des preuves -, tu ne risques rien. C’est ça, le résumé de l’arrêt.



    PS : Je passe volontairement le fait qu’au vu des griefs de harcèlement moral invoqué plus bas dans l’arrêt, la relation entre employeur et employé devait vraiment être sympa et que l’employeur a vraiment l’air d’être un parfait idiot. C’est pas ce cas particulier qui m’intéressait plutôt la jurisprudence qui vient d’être émise.



    PS2 : Cette jurisprudence ne me semble pas avoir d’impact en France, la décision cassée est de Nouvelle-Calédonie. (C’est un ancien TOM avec ses lois propres).


Le 18/09/2017 à 16h 51







fred42 a écrit :



En cas de flagrant délit, bien sûr que si :





Les faits reprochés sont passibles de prison, donc l’article est applicable.





La loi de 2014 m’était inconnu.



Je connaissais la version originale





Sans préjudice des dispositions des articles 73 du code de procédure pénale et 122-7 du code pénal, il est interdit aux personnes physiques ou morales qui exercent l’activité mentionnée à l’article 20 de recourir à quelque forme que ce soit d’entrave au libre usage des biens et de coercition à l’égard des personnes.



&nbsp;


Le 18/09/2017 à 16h 49







nikon56 a écrit :



il suffit dans ce cas tout simplement a l’entreprise d’interdire aux salarié d’utiliser / d’avoir, sur le lieu de travail, des cle USB personnelles, et de fournir des clé appartenant a l’entreprise selon les besoins.



1- tu peut verifier a volonté le contenu des cles

2- l’usage par un employé d’une le personnelle devient de fait une faute







Je suis d’accord. C’est d’ailleurs le cas dans beaucoup d’entreprise par ici.

Je trouve juste dommage que sans règlement de la sorte, la seule réponse soit : “On vous a volé des documents confidentiels ? Bah dommage, puis en plus vous allez payer pour le licenciement du gars”.&nbsp;&nbsp;


Le 18/09/2017 à 12h 49







PtiDidi a écrit :



Et pourquoi pas?



Je me ballade toujours avec mon PC perso, mon téléphone avec le cable USB et une clef USB dans mon sac.

Je branche mon portable à mon poste pour le recharger; si besoin d’une clef USB, j’utilise la mienne au lieu de perdre 20minutes à en trouver une; il m’arrive aussi d’utiliser mon PC (moins lourd que le pro)





Si ton SI (si il y en a un) te dit rien, pourquoi pas.

&nbsp;

J’ai vu des clients où ce type de comportement t’aurait juste amené à être raccompagné à la porte. (Domaine bancaire, etc.)


Le 18/09/2017 à 11h 34







odoc a écrit :



Petite remarque à tous, attention à bien prendre en compte le contexte du jugement : ici le jugement indique que l’unique fait de ne pas donner une clé perso n’est pas suffisant pour justifier un licenciement pour faute.

Pas qu’on ne peut être licencié en cas de preuve d’espionnage industriel.





Sauf qu’ils ont refusé le motif d’espionnage.

La société a refusé que le fait de regarder la clé 15min après. Ce refus a été caractérisé comme un manque de preuve.



“qu’elle ajoute qu’il n’est pas contesté que cette clé a été remise un quart d’heure plus tard par le délégué du personnel au directeur général, mais que celui-ci n’a pas voulu en prendre connaissance au motif que les fichiers copiés avaient pu être effacés ; qu’en statuant ainsi, alors que l’employeur était en droit d’exiger du salarié la vérification du contenu de sa clé USB personnelle au sein de l’entreprise et qu’il a été mis dans l’impossibilité de réellement vérifier si des données appartenant à l’entreprise avaient été ou non transférées,”


Le 18/09/2017 à 10h 59







uzak a écrit :



Et toutes les entreprises naissent libres et égales économiquement !



Ceci dit, je suis d’accord, il ne faudrait pas que les libertés humaines commencent à empiéter sur les libertés économiques.







On peut rentrer dans le grand débat libertarien si tu veux. Je n’oppose pas ces deux libertés, à aucun moment.

Toutes les libertés sont bornées et limitées.



La déclaration des droits de l’homme dit :&nbsp;&nbsp;La « liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ».


Le 18/09/2017 à 10h 52







Freeben666 a écrit :



Quand un de tes employés te vole (que ce soit des données ou des biens matériels), tu as le droit d’appeler les forces de l’ordre, qui eux pourront l’arrêter (après enquête de préférence), et saisir ses moyens informatique si nécessaire.







Tu n’as pas le droit de le retenir en attendant que les forces de l’ordre viennent. Juridiquement, tu te retrouves dans le même cas.&nbsp;


Le 18/09/2017 à 10h 49







Xire a écrit :



On devrait même te faire un lavage de cerveau au cas ou ! <img data-src=" />





Si tu mets sur le même point les connaissances liées à l’expérience dans ta boite et le vol de documents confidentiels, grand bien t’en fasse.

&nbsp;

Et une clause existe déjà pour le premier. Cela s’appelle une clause de non-concurrence. (Avec tous les à côté d’une telle clause, etc.)


Le 18/09/2017 à 09h 57

C’est quand même beau l’histoire.



Tu as un gars qui peut se barrer de chez toi en copiant l’intégralité de la documentation client et des fichiers confidentiels, tu peux le prendre en flagrant délit mais tu n’as pas la possibilité de faire plus.

Tu ne peux pas exiger le contenant qui contient vraisemblablement les données confidentielles prises.

Vu que tu peux pas, tu ne peux pas prouver que le mec a bien pris ces documents.



Je suis pour le respect de la vie privée. Mais quand celui-ci empiète sur la liberté économique de ta boite (et sur sa sécurité dans le cas présent), durant tes heures de travail, il y a un problème.

Le 15/09/2017 à 08h 44







Ellierys a écrit :



Sur PC c’est compliqué, tous les utilisateurs ne cherchent pas la même chose. Certains voudront plus de détails, quitte a se trimballer 30 fps, alors que d’autres préfèreront des textures floues à 140 fps. S’il faut se taper un DL de plusieurs Go dès qu’on touche aux paramètres, ça va vite devenir gonflant.







C’est un peu déjà le cas avec les “World of XXX”.

Activer le rendu HD lancera le téléchargement des textures HD, si ce n’était pas encore fait.&nbsp;


Le 14/09/2017 à 14h 25







cyril8 a écrit :



Quand on lit skankhunt42 on commence un peu à comprendre pourquoi il existe des grammar nazis <img data-src=" />



Le français n’est pas fait pour épater la galerie et ça me fait toujours rire de lire les ayatollahs de la liberté de faire des fautes nous expliquer en quoi se focaliser sur la grammaire, l’orthographe et la conjugaison est à la limite du puéril et que ça bride leur créativité. Se relire un minimum et donc faire preuve de rigueur permet de corriger 90% des fautes au minimum. S’ils mettaient autant d’ardeur à corriger ce qu’ils écrivent qu’à faire du code ou je ne sais quoi, ça ferait un grand bien à mes yeux qui saignent <img data-src=" />



Sinon je suis encore une fois d’accord avec carbier. Je pense qu’il est temps de revenir aux fon da men taux. Quand on n’est pas fichu de faire une addition en 4ème, d’écrire sans faire une faute à chaque phrase au mieux (du vécu tout frais), il faudrait revenir à des pratiques d’éducation qui ont fait leur preuve. Encore une fois je suis sidéré quand on veut mettre la charrue avant les boeufs, l’usage des nouvelles technologies avant l’apprentissage des fondamentaux qui permettent de s’en servir.





Pour les fondamentaux, d’accord. Mais on parle du collège là, non ?



Les fondamentaux genre addition, soustraction et la maîtrise de la base de la grammaire de l’orthographe, c’est pas au collège que tu es censé apprendre ça.



Apprendre Pythagore en collaboration avec la physique (gravité, etc.) et potentiellement les cours de technologies et la SVT. Tu fais bâtir une serre avec un potager dedans ?


Le 14/09/2017 à 10h 50







Coeur2canard a écrit :



Tu t’es cru au 22ème siècle ou quoi?&nbsp;

Avant de faire évoluer les gens là-dessus (y a qu’à voir un certain nombre de commentaires), y a du boulot. Ca rend forcément plus intelligent d’apprendre des formules par coeur (oubliées 3 jours après le bac) et savoir utiliser une règle à calcul (voire un boulier) que ds outils modernes qui risqueraient de rendre débiles nos petits chérubins. La preuve : on les utilise nous ces outils et on est complètement con.&nbsp;

A noter que dans je ne sais quel pays nordique, l’examen final (le bac) se fait pour plusieurs épreuves avec une connexion Internet. Alors on demande plus un bête calcul d’intégrale, mais on pose des problèmes qui obligent à mobiliser ces connaissances et où on est sûr de ne pas trouver de réponse toute faite sur le Web. Avec des contrôles pour éviter certains partages entre élèves, sachant qu’en fait ce type même de pb ne te laisse pas le temps pdt l’épreuve d’essayer de gruger.&nbsp;

Mais certains diront tjs qu’il vaut mieux savoir calculer une bonne primitive même si on sait pas à quoi ca sert…





C’est le même pays où tu as des examens de code sur feuille dans des écoles d’ingénieur, donc bon…



J’en vois moi des gens fraichement sorti d’école qui se noie dès qu’ils sortent de leur zone de confort. Aucune capacité d’apprentissage ou d’expérimentation.&nbsp;


Le 14/09/2017 à 10h 48







Naneday a écrit :



this, l’ecole c’est devenue une garderie, mais c’est pas la faute des eleves ou des profs, c’est celle des parents, aucune éducation..





A un moment, on a voulu en faire des garderies.



Rythmes scolaires merdiques : Parce que 35h de cours + devoir à 13 ans, c’est pas possible.

Surpopulation : Parce que 35 par classe, c’est pas possible.

Enseignement inadapté : Enseigner des mathématiques non-appliquée à des gens qui n’ont pas vocation à faire de la recherche, c’est inutile.

Manque de moyen : Le nombre de prof qui font des photocopies de livre sur leurs deniers…

Pédagogie aléatoire : Un prof de 24 ans qui a 3mois d’expérience devant une classe de 35 élève de 13 ans aura jamais d’autorité ni de pédagogie suffisante pour obtenir quoi que ce soit.



Même des enfants, bien éduqué, sans apport extérieur, sortiront du collège avec la connaissance d’une huître.&nbsp;


Le 14/09/2017 à 10h 07

Et si on arrêtait les examens basés uniquement sur le contrôle de connaissance mais que l’on partait vers du contrôle d’apprentissage ?



Dans le domaine scientifique :

Là où tu dois apprendre les formules en France, tu bénéficies en Suisse d’un recueil http://www.vsmp.ch/crp/Sauv_dream_ancien/Redactions/publis.html). Le fait de savoir une formule n’est pas recompensé, il faut savoir s’en servir.



A partir de là, la possibilité d’avoir accès à son natel est inutilisable par un élève.

Le 14/09/2017 à 08h 37







finiderire a écrit :



Prenez cet autre exemple : on décide collectivement (on est dans une démocratie) qu’il est trop dangereux pour des véhicules de circuler au-delà d’une vitesse donnée. Des solutions techniques existent pour empêcher ces excès de vitesse. Et pourtant pour le moment seuls les utilitaires, les camions (limiteur 90km/h) et les bus de tourisme (limiteur 100km/h) y sont soumis. Pour les particuliers la question d’un limiteur (par exemple à 180km/h pour ne pas froisser les plus téméraires) n’est même pas à l’ordre du jour. Cela n’avance pas. À 35h par semaine rien d’étonnant cela dit.





Oui, je propose également la mise en place d’une puce avec une charge explosive incorporée dans chaque prisonnier. S’il sort du périmètre de la prison, il saute.&nbsp;Le concept technique existe et on a déjà décidé qu’il était interdit à un prisonnier de sortir de prison.



Passer de “la loi interdit” à “des moyens techniques vous empêche de faire ce qui est interdit”, c’est le lancement d’un engrenage que l’on ne pourra jamais arrêté et qui mène systématiquement à un état policier.&nbsp;



Puis pour le limitateur, on remarque déjà que ça fonctionne extrêmement bien avec les 50cc limité à 45km/h. Jamais personne n’a débridé son scooter.


Le 13/09/2017 à 15h 56







eliumnick a écrit :



Ou alors de pouvoir surveiller plus de zones avec un budget identique ?





Oui, potentiellement.

Disons qu’il sera nécessaire de faire plus attention sur les routes :)


Le 13/09/2017 à 13h 02

On est d’accord que ce genre de surveillance par drone à quand même juste la vocation d’économiser le prix des heures de vol par Hélicoptère ?



Parce que de la surveillance aérienne filmée de manifestation et/ou d’événement publique, y’en a déjà pas mal. La gendarmerie effectue des contrôles routiers par hélicoptère depuis plusieurs années.

Le 13/09/2017 à 12h 17







fred42 a écrit :



Et on peut savoir quel est ce pays d’accueil qui a l’air si merveilleux ?





Aucun.

Tout les pays occidentaux ont un fichier généralisé contenant les données biométriques.


Le 12/09/2017 à 11h 44







carbier a écrit :



Ouaip d’ailleurs en acceptant de naitre, tu acceptes de mourir alors pourquoi perdre du temps à se soigner ?





La réponse que tu fais est bête parce que tu ne te places pas dans la même zone temporelle.

Le médicament ne prévoit rien, il soigne.



Si tu voulais faire ton analogie foireuse, tu aurais pu faire cela avec le vaccin.

Et il te répondra que les vaccins bénéficient d’un contrôle afin de vérifier que l’efficacité (diminution du risque) n’est pas contrebalancée par un risque plus fort.



Dans le cas présent, nous courrons juste après l’objectif du risque zéro en matière d’événement imprévisible du type Attentat. Le tout en se masquant les yeux vis-à-vis de toutes les augmentations de risque que cela amène, sur la liberté, sur la sécurité des minorités, etc.


Le 12/09/2017 à 09h 42







PtiDidi a écrit :



À moins que @jackjack2 ne soit dans les petits papiers des hautes instances administratives de notre pays, je doute qu’il connaisse la finalité exacte de la chose, mais comme il le dit, s’il y a tant d’insistance pour inscrire la surveillance de masse malgrès la levée de boucliers qu’elle soulève (venant d’expert comme de citoyens lambda), c’est que ce n’est pas juste une lubie comme ca.



Et pour imaginer des réponses qui te satisferont, par exemple anticiper les contestations (manifestations, occupation des lieux de projet controversés (barrage, aéroport))





Alors je pense que la raison est encore plus conne que ça.

C’est la différence entre sécurité utile et sécurité visible.



Contrôler tout le monde avec une palpation à l’entrée de l’aéroport, c’est de la sécurité visible. L’utilité reste beaucoup plus basse. (Parce qu’une file d’attente de 30min qui se fait attaquer à l’arme de guerre, tu as un résultat “mort” plus grand que si tu t’attaques à l’avion, avec moins d’investissement).



Clairement, ces histoires de collecte de masse, c’est de la sécurité visible. La visibilité étant liées à plusieurs critères :




  1. Le fait que des gens se plaignent permet d’en parler à la TV et que les politiques disent que c’est pour la sécurité, que eux ils font quelque chose, etc.

  2. On va parler de la mise en place de ces choses, au niveau administratif il va y avoir la création de cellule d’enquête, la création de poste dont on pourra se prévaloir par la suite.

  3. Puisque le système est inefficace par nature, on pourra arguer qu’il faut changer les choses une nouvelle fois après la prochaine attaque.



    On est simplement dans l’application de remède “simpliste” à un problème complexe, le tout dans le cadre d’une communication et d’un plan de marche qui ne respecte que l’instanténaeïté des événements. Basiquement, ils vendent du vent. Mais du vent très dangereux si mal utilisé.


Le 12/09/2017 à 06h 12







dematbreizh a écrit :



Et pourquoi pas?



La démocratie n’est-elle pas le pouvoir du peuple? pour le peuple? par le peuple?

Il n’y a pas de “postier” qui se présentent?

L’actuel président n’a-t-il pas fait publicité de l’origine “civile” de sa majorité?



Alors soit tu as raison et donc tu considères que ces élites nous mentent en ce moment (quel prestige!) soit tu dois admettre qu’ils n’ont pas besoin d’être admirés, surtout quand tu vois les idioties qu’ils balancent à longueur de temps.



Et pour ton ancien commentaire, c’est très insultant pour les (vrais) chefs de projet… comme si être mauvais ministre était plus compliqué que d’être bon chef de projet… et ne parlons pas de la rémunération vis à vis des résultats obtenus.



Non, je n’ai pas plus d’admiration pour “eux” que pour mon chef de projet qui serait à sa place en politique (niveau effort fourni et salaire… )





C’est une belle réflexion. Mais la France n’est pas une démocratie au sens que tu l’entends.

C’est un régime représentatif.



C’est le pouvoir d’un parlement élu par le peuple qui représente le peuple. Pour être une vraie démocratie au sens que tu l’entends, les grandes décisions devraient être prises par référendum et il ne devrait pas y avoir d’élection du législatif.



Le premier écueil que va rencontrer ce régime représentatif, c’est justement la représentativité du parlement élu. Quand tu vois que plus de 50% des députés (peut-être plus le cas dans cette législature) vient de l’administration.



Le deuxième écueil, c’est le mode de scrutin. Outre le scrutin français dit “majoritaire” qui écrase les minorités dans la représentation nationale, le système électorale est un problème. La proportionnelle (réclamée en France) n’est pas beaucoup mieux puisque l’élu doit tout à son parti (question de position dans la liste).



La France a le bonheur de proposer les deux à son peuple. Une assemblée non-représentative de sa population qui lisse l’ensemble des courants minoritaires.&nbsp;Ajoutée à ça le fait qu’avec le dictateur républicain qu’est le président, l’assemblée nationale ne devient qu’une chambre d’enregistrement s’il n’y a pas cohabitation.


Le 11/09/2017 à 12h 55

Un ptit squid à la maison + Wifi Ubiquity avec filtrage Mac/Heures.

Le 06/09/2017 à 12h 55







Poppu78 a écrit :



+1.

C’est son role. Elle ne juge pas, elle se contente de dire si le premier jugement a été fait dans les règles ou non.

Comme tu le fais justement remarquer, c’est l’équivalent d’une court de cassation, on casse le jugement mais on ne le refait pas.







A noter que je&nbsp;&nbsp;trouve ça très symptomatique d’en savoir plus sur le fonctionnement des institutions de l’UE que certaines personnes qui y vivent :)


Le 06/09/2017 à 10h 51







Furanku a écrit :



De grandes chances pour que l’amende soit bien moindre par la suite…

A se demander quels intérêts l’UE défend : ceux des entreprises ? Ou des consommateurs ?





C’est une cour de justice, elle ne défends ni les intérêts de l’un ni les intérêts de l’autre.

Et dans le cas présent, elle ne juge pas la culpabilité d’Intel.



Elle juge que la commission a volontairement refuser d’examiner des arguments à décharge et que cette décision n’est pas justifiée.&nbsp;Le jour où sera en procès, tu sera ravi qu’une cour de cassation casse un jugement pendant lequel tu as été interdis de présenter tes arguments.


Le 05/09/2017 à 06h 49







Cetera a écrit :



La société qu’ils ont connu? Mais quelle société?

J’ignorais qu’il existait une société pour trentenaires, une autre pour quinqua, et encore une autre pour les moins de 20 ans?

La société n’est ni ta propriété ni celle de ta génération ni celle de la génération précédente ou de la génération suivante.

De ce qu’il ressort de ce que tu écris, je pense que tu es un de ces trentenaires qui croit être la génération Elu.



Le pire est que vous y croyez. Vous vous prenez pour l’alpha et l’oméga et que les Autres, trop vieux mais aussi trop jeunes, ne sont ici que pour se soumettre à vos caprices d’adulescents qui puisent dans la consommation de quoi nourrir votre ego démesuré.

Vous ne raisonnez qu’individu et au prétexte fallacieux de liberté vous supprimer en réalité celle des autres.



Vous feriez mieux de vous (re)mettre à la lecture, changez de logiciel, justement..





Ce que le monsieur voulait dire, c’est que le système social français ainsi que le monde du travail sont régi par un modèle et des lois qui datent d’une époque révolue.



Non, rentrer dans une entreprise industrielle &nbsp;à 16ans en apprentissage et y faire toute sa vie n’est plus forcément possible.

Non, le modèle social français n’est pas équilibré. Trop d’aide pour pas assez de cotisation (Je ne débats pas de ce qu’on doit baisser ou augmenter, c’est votre problème).

Non, la norme n’est plus au Papa qui travaille à 100% pendant que Maman va chercher les enfants et tout le monde se retrouve en famille le dimanche, mettre ses beaux habits et aller à la messe.



Et oui, il y a une fracture générationnelle en France. Parce qu’il y a une génération qui a connu les 30 glorieuses et qui base toute sa réflexion sur ce modèle. Et surtout parce que celle d’après, qui a vécu la chute des crédits dans l’enseignement, l’impossibilité d’entrée sur le marché du travail, la non-représentativité au niveau politique découvre en plus qu’elle devra travailler plus longtemps pour payer un système de retraite auquel elle n’est même pas garanti d’avoir accès.



De nombreuses personnes, forcées ou non par le métier qu’elles ont choisi, organisent leur vie non plus autour d’un jour unique de repos mais en fonction de deux ou trois partagés. De nombreuses familles ont maintenant un des parents qui travaille le week-end (parfois ou systématiquement) mais où les enfants bénéficient d’un jour de semaine où Papa/Maman sera à la maison.&nbsp;

Je ne dis pas que la vie de couple et de famille ne passe pas par des moments partagés ensembles, je dis juste que la systémique du “week-end” comme moment défini est en passe de disparaître. Être ensemble le dimanche ou le mercredi, où est la différence au fond ?