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wpayen

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720 commentaires

Le 14/12/2017 à 07h 00







OlivierJ a écrit :



Je rappelle une fois de plus qu’il s’agit seulement des minarets, pas des mosquées. C’est quand même assez différent, l’absence de minaret n’empêchant pas les musulmans de se réunir pour pratiquer leur foi.







Tu prêches un convaincu, hein.

Le minaret n’a “d’utilité” que si tu as un muezzin qui fait l’appel à la prière.



Le 13/12/2017 à 12h 30







crocodudule a écrit :



Concrètement si, du moins pour mes valeurs; il n’y a pas dans nos Lois certains interdits xénophobes, classiquement l’exemple des minarets.







Ce n’est pas xénophobes. Anti-musulman si tu veux, mais pas xénophobe.

Après, je sais pas ce qui est le pire :




  • Une votation populaire interdisant les minarets

  • Des maires qui refusent sans raison valable des permis de construire pour des mosquées



    Et autre détail.

    La Suisse n’a pas de séparation de l’Église et de l’état. Tu payes ici un impôt ecclésiastique suivant ta religion (rien si tu te déclares Athée). Et il y a encore dans les lois de certains cantons l’interdiction que le clocher du temple protestant soit plus haut que le clocher de l’église catholique (et réciproquement à d’autres endroits).



Le 13/12/2017 à 11h 05







Patch a écrit :



Ca s’appelle une vision manichéenne.

Dans les faits, c’est “si tu n’acceptes pas ce que je t’impose, il y a plusieurs millions de personnes qui attendent derrière la porte”.





Oui.

Il n’existe aucun système social où un individu n’est pas soumis à un quelconque rapport de force.



Que ce soit face à l’état, un employeur, la collectivité (dans le cadre du communisme idéal), tu as toujours tes intérêts qui à un moment vont diverger de ceux de ton interlocuteur.



Le principe n’est pas d’empêcher ce mécanisme mais de protéger le partie faible d’un rapport de force. A noter que le principe du “Tu es très facilement remplaçable” est vu comme de l’exploitation alors que le “Je peux me barrer en 5min dans n’importe quelle autre boite” n’est absolument pas vu comme quelqu’un cherchant à arracher quelque chose à son patron.



Le 12/12/2017 à 14h 48







ActionFighter a écrit :



Je suis d’accord avec ça.



C’est juste que personnellement, je préfèrerai qu’on prenne en référence un dictionnaire établi par des linguistes que par une institution conservatrice.



C’est une forme de revendication démocratique <img data-src=" />





Leurs décisions sont très souvent basées justement sur des définitions étymologiques. C’est d’ailleurs de là que vient leur conservatisme. Vouloir systématiquement rattaché l’usage de la langue à une descendance greco-latine.



Le 12/12/2017 à 13h 14

Je ne défends pas le conservatisme de l’Académie française, je partage ton point de vue là-dessus.

La problématique est la suivante, lorsqu’il y a débat sur la définition d’un mot ou sur son usage, il est nécessaire d’avoir une entité décisionnelle “officielle” dont le rôle serait de déterminer si l’usage est bon ou pas.



Dans le cadre de la langue française, cette entité est l’Académie Française. C’est son rôle et ce pourquoi elle a été créé. Sa décision ne correspond peut-être pas aux usages, mais le principe même des usages c’est qu’ils sont multiples.



Parce que si dans le cadre d’un “conflit”, on pouvait choisir le référentiel que l’on veut, on est pas sorti.


Le 12/12/2017 à 12h 27

Non.

C’est le rôle de l’académie française de définir la langue.



Avec toutes les différences entre usage et règle que cela implique.

Mais la source standard de la langue française et de son usage, c’est le dictionnaire de l’académie française.


Le 12/12/2017 à 09h 44







ActionFighter a écrit :



Citoyen peut officiellement s’employer comme adjectif : section C.2.c





http://www.academie-francaise.fr/citoyen



L’académie française dit le contraire.



Le 12/12/2017 à 09h 24

Si le comité de quartier a décidé ça, oui, il faut la fermer ensuite.

C’est le principe de la démocratie.



La démocratie n’est rien d’autre qu’un régime autoritaire majoritaire. Une fois une décision prise, elle s’applique avec force y-compris sur ceux qui y étaient opposés. Et ceux-là doivent s’y plier même si ils ne sont pas d’accord.



Parce que le principe de respecter un vote uniquement s’il va dans notre sens, ce n’est pas un système politique.


Le 12/12/2017 à 06h 25







hansi a écrit :



Entre les fachos qui ont tué l’égalité entre candidats via la loi Urvoas un an avant la dernière élection présidentielle, les enfoirés qui ont fait un bras d’honneur au référendum de 2005 avec des français qui avaient pourtant dit NON à la constitution européenne, et enfin les collabos du IVème Reich qui sont en train d’assainir facebook, pour empêcher l’UPR et Asselineau de s’exprimer, vous croyez sérieusement que les 5 salopards de TF1 et leurs copains milliardaires vont demain vous construire un magnifique outil réellement démocratique de vote numérique à distance ?

Si c’est le cas, allez vous soigner d’urgence, parce qu’être con à ce point, ça mérite une prise en charge thérapeutique.







Pourquoi c’est toujours les malades qui invitent les gens à prendre des médicaments ?



Déjà, lorsque l’on sort l’argumentaire sur la constitution européenne de 2005, il faut être capable :




  • De dire sur quoi on a voté

  • En quoi la situation actuelle ressemble à ce qu’elle aurait été si la constitution avait été acceptée



Le 12/12/2017 à 06h 21







crocodudule a écrit :



La Suisse est pas franchement le modèle de vivre ensemble qui m’attire… et le fait qu’il soit donné libre cours à tous les populismes, au point où la xénophobie est considérée comme une valeur politique comme une autre, étonnamment ça me motive moyen de me lancer dans l’aventure…&nbsp;







Disons que y’a plusieurs problématiques sur la question :




  • Les régions frontalières voient passer 300.000 étrangers tous les jours. Le mythe du travailleur étranger sous-payé qui vient te prendre ton boulot, bah dans les zones frontalières, c’est pas un mythe. Et cela amène énormément de xénophobie envers le “frouze” (Dans le cas de la frontière qui nous intéresse).



  • Les différences linguistiques et sociales. Il n’y a pas une Suisse. Il y a beaucoup de Suisses différentes qui parlent des langues différentes et vivent des vies différentes. Et elles cohabitent parce que le fédéralisme le permet. Je suis pas sûr que la centralisation jacobine à la Française soit mieux pour respecter les non-citadins de grande agglomérations.



  • La politique suisse est pas plus populiste ou xénophobe que la Française. Elle a malheureusement les mêmes dérives qui ne passent certes pas par les mêmes moyens. Dans les deux pays, il y a une charge émotionnelle insensée envers l’Islam avec des débats type Voile, etc. La différence étant qu’en France c’est un débat de posture entre politiques alors qu’en Suisse, le peuple vote à la fin.



    Je ne pense pas que la situation suisse soit meilleure ou moins bonne. Elle est différente et incomparable par rapport à la France. Parce que ce n’est pas le même modèle de gouvernement, parce que ce n’est pas le même type de politique (parlement de milice), parce que ce n’est pas le même héritage culturel.



Le 08/12/2017 à 16h 17

Outre l’aspect philosophique, aucun.


Le 08/12/2017 à 15h 15

Les dépôts RedHat ?


Le 05/12/2017 à 12h 43

Le business modèle est d’être dans une position hégémonique lui permettant de fixer les conditions du marché. C’est le but de toute entreprise agissant dans un milieu avec une concurrence non-faussée.



Je ne dis pas qu’ils sont tout roses. Mais ils ne font ni plus ni moins que ce que toutes les autres entreprises ont vocation à faire.


Le 04/12/2017 à 19h 53

Oui, je dis pas.

Mais c’est la réponse qui sera donné par un SAV quand tu diras : “Ces problèmes ne me permettent pas d’accéder mon serveur”


Le 04/12/2017 à 14h 29

Les Conditions d’Utilisation des lignes non-pro autorisent-elles l’auto-hébergement ?


Le 29/11/2017 à 17h 40







latlanh a écrit :



La prostitution (du latin prostitutio) est une forme d’échange économico-sexuel ponctuelle, explicite et préalablement négociée.

–&gt; ca fonctionne pour le porno non?





Non, une actrice porno ne vend pas de prestation sexuelle.

Elle n’est pas payée par les personnes avec qui elle va avoir des relations sexuelles.



Une actrice porno va jouer la comédie (au sens premier) en simulant des relations sexuelles avec pénétrations réelles. Je dis bien simuler parce qu’une scène est montée, avec des raccords, du maquillage, des pauses pour permettre aux acteurs de se reprendre physiquement.



Le 29/11/2017 à 13h 32







Patch a écrit :



Tu es donc en train de dire que tu es totalement irresponsable avec tes gosses, si je comprends bien…







Si c’est irresponsable de considérer qu’il est inutile de chercher à contrôler le moyen d’accès (vu que la pluralité rend le contrôle inefficace) mais qu’il est largement plus utile d’éduquer son gamin.



Tu peux avoir avoir déjà vu du porno sans que cela fasse de toi un prédateur sexuel en puissance. Tout comme le jeu vidéo ou les films ne rendent pas violent. Si les parents prenaient un peu plus de temps pour discuter avec leurs enfants et de leur parler de cul sans se comporter comme des vierges effarouchées…



Quant à la prostitution…

Si on note le niveau de connerie qui ont déjà pu être dire :




  • Les prostituées choisissent, elles auraient pu faire un autre boulot de merde comme moi : Parce que la généralisation sociale à partir d’un microcosme fonctionne toujours. Certaines prostituées choisissent ce métier, ce sont souvent les “libérales” qui gèrent leur corps seule et uniquement seule. Mais avec les politiques d’interdiction, la majorité des prostituées sont liées à des réseaux et ne choisissent pas.



  • Les actrices porno sont des prostituées : Ne pas différencier faire devant une caméra et le faire avec des tiers, faut avoir de sacré préjugés moraux pour être capable de faire cette analogie.



  • Oui, il y a un problème de sexisme dans le porno actuel. Parce que les pratiques présentées sont de plus en plus dégradante et de plus en plus dangereuse. Être passé en 15 ans du film érotique de M6 aux vidéos de 5min qui commencent directement par une sodomie “douloureuse” sur une fille attachée et baillonées, c’est aussi le résultat de toutes les actions d’état sur le contrôle du porno.

    Rendre moins visible, quitte à le rendre plus dangereux.



Le 29/11/2017 à 10h 34







Monmon34 a écrit :



Il peut aussi aller chez son copain qui lui a un accès libre à internet la première chose qu’il regarderons … J’en ai des cas à la pelle dans mon entourage.



Jamais je ne laisserai mon gosse s’approcher d’une tablette, ordi ou TV, sauf très rare exception (en l’utilisant devant moi).







Le tout et son contraire.

Tu te retrouves juste avec un ange à la maison qui regarde ce qu’il veut en dehors avec en plus l’aspect “rébellion/hors des limites” que tous les ado adorent. L’interdiction ou le contrôle ne sert à rien. Il suffit de voir la consommation de porno venant de pays avec un trafic internet totalement contrôlé et où le porno est interdit et peut te mener à la prison.



C’est systématiquement le mauvais choix qui est fait.

On pense qu’en interdisant, on arrête les usages. Ce n’est pas jamais vrai, on les rends juste plus cachés et dangereux.



Les gros sites de streaming sont tombés : Les gens vont sur des autres sites plus méconnus et plus dangereux (risque de connerie sur leurs machines).

Le téléchargement est illégal et les sites tombent : Ils sont remplacés, les usages sont de plus en plus répandu.

La prostitution est interdite : La prostitution existe toujours, de manière plus cachée et l’intégralité des prostituées “à leurs comptes” ont été remplacé par des femmes issues de la traite d’être humain.

Le Porno est interdit : Il sera encore regardé et la course à la brutalité (pratiques de plus en plus extrêmes) continuera comme si de rien était.

La drogue (lourde et légère) est interdite : La guerre de la drogue est en très bonne voie.



Penser régler des considérations sociétales mondiales en y appliquant une loi, fusse-t’elle la plus stricte possible, applicable uniquement à la France, c’est voué à l’échec. Systématiquement. Mais la merde est sous le tapis, on la voit plus, donc tout le monde est content.



Le 27/11/2017 à 21h 46

L’avenir est dans la déconcentration des services.



Un peu d’AWS pour les reverse proxy redirigeant le trafic vers des services self-hosted (Open Source & Microsoft).



Pour les emails, un exchange self-hosted en mode hybrid. Les mails sont sur un serveur chez moi, le CAS utilise Office 365 pour l’envoi. Ils ont ainsi analysé, mais tout comme ils le seront à l’arrivée chez mon ami qui a Gmail.



&nbsp;


Le 27/11/2017 à 11h 43







Kurton a écrit :



Ce qui est toujours inquiétant, de mon humble avis, c’est de voir des politiques monter au créneau, en se servant de polémiques ou de débats en cours, pour vouloir promulguer des lois qui sont censées déjà exister et qui ne demandent qu’à être appliquées…



Ca me donne toujours le sentiment qu’ils veulent étendre encore plus les griffes du contrôle et censurer tout ce qui peut l’être… Au lieu de simplement appliquer correctement ce qui doit déjà l’être…&nbsp;



Bref, j’suis perplexe…







Je ne pense malheureusement pas que cela tienne d’une politique précise, sauf peut-être un ou deux hurluberlus.

C’est plus souvent lié au principe très connu :

Un fait divers = Une réaction politique (pour, contre, neutre, on s’en fout. Faut dire quelque chose = Une loi (qui fera sûrement doublon et dont on ne regardera jamais les effets à long terme).



La politique joue malheureusement dans l’instantanée alors que son rôle est de jouer majoritairement dans le long terme. Donc on fait n’importe quoi.



Le 27/11/2017 à 07h 15

Ne pas oublier qu’il y a deux droits sur une œuvre.



Le droit d’auteur va s’arrêter en 2037 rendant l’utilisation de l’image relevant du droit public.

Mais les droits voisins sur l’ensemble des film/bd/muisque/etc. utilisant cette image va perdurer.



Ce n’est pas parce qu’un livre passe en domaine public qu’il n’y a pas de protection sur son adaptation cinématographique.



Pareil avec une reprise de chanson. (C’est le principe de la poule aux yeux d’or des albums “d’hommage”)


Le 22/11/2017 à 12h 14

La question est surtout l’utilisation du Buzz de commande d’objets dont tu sais que tu n’es pas tenu d’assurer la livraison. Parce qu’avant cette histoire, qui connaissait ce site ?


Le 22/11/2017 à 06h 58

Ou&nbsp;

“Journée mondiale de la condescendance culturelle dans les commentaires de NextInpact”


Le 20/11/2017 à 14h 17

On s’en fout du peu de voix.

C’est pas un vote à l’unanimité, c’est un vote à la majorité.



De toute manière, de par le principe même de fonctionnement, la France n’est pas une démocratie.

La France est une république parlementaire représentative.

&nbsp;


Le 14/11/2017 à 13h 26

Parce que la taxation de l’héritage, ça ne touchera jamais la cible voulue.

Cela fait longtemps que les très riches n’héritent plus de rien.&nbsp;Ils se cèdent des parts dans la holding familiale.



Ceux qui seront touchés, comme d’habitude, ne seront pas les très méchants riches mais ceux qui ont eu la chance (et le travail qui va avec) de créer quelque chose (une PME tiens) qu’ils souhaiteraient céder à leurs enfants.


Le 06/11/2017 à 11h 52







wanou2 a écrit :



&nbsp;

D’ailleurs une question, un auteur peut&nbsp;s’opposer&nbsp;à&nbsp;l’utilisation de son œuvre. Dans&nbsp;le cadre d’un bâtiment exceptionnel que celui du château de Chambord qui&nbsp;peut exercice le droit moral attaché à ce Château ?

&nbsp;





C’est à mon avis surtout le débat derrière, plus que la problématique monétaire.

Dans le cadre de l’affaire Kronembourg, les négociations pécunières n’avaient pas abouti.



A mon avis, le principe en question est de dire :





  1. C’est payant d’utiliser l’image

  2. Pour les usages qui ne nous conviennent pas, c’est 1 Milliard.



    Mais pour moi, c’est le même débat que les interdictions de photographier des oeuvres du domaine public exposée dans un musée. Souvent c’est parce que des photos de ladite oeuvre sont vendus en boutique.



Le 06/11/2017 à 10h 37







wanou2 a écrit :



&nbsp;



Alors là je ne suis quand même pas persuadé du truc… je pense que&nbsp;dans le cas présent la publicité profite plus à Kronenbourg qu’à Chambord… je dirais même que Chambord pâti de l’image de bière bas de gamme qu’offre Kronenbourg !





ça c’est un jugement de valeur sur la marque.



Le 06/11/2017 à 09h 58

Cela se tient comme raisonnement, mais :



La France est un pays de tourisme et une grande partie du revenu des bâtiments publiques en question viennent de là.&nbsp;Dans la définition, une agence de voyage devrait payer une redevance pour faire de la publicité pour un voyage pendant lequel une visite serait prévue sur un site public.



Quid d’un photographe professionnel ? (Si les photos sont vendus, on sort de l’artistique au sens légal).



La problématique est claire, ils cherchent à monétiser la publicité gratuite qui est faite de leurs biens. La publicité Kronembourg dont on parle fait étal de la bière mais d’une vue magnifique du château sous le terme “Le goût à la Française”.

C’est une publicité gratuite pour le château.


Le 06/11/2017 à 11h 49







Mihashi a écrit :



Non, d’où est-ce que tu sors cette définition abracadabrantesque d’un véhicule en circulation ?

Un véhicule en circulation, c’est soit qu’il roule, soit qu’il est sur la voie publique (même stationné), pas quand il est chez toi .





Non.

Légalement, un véhicule est en circulation dès lors qu’il est immatriculé.





  • La loi assume qu’un véhicule ne peut être légalement mis en circulation si il n’est pas immatriculé. (Article R322-1 VII)

  • La loi assume qu’un véhicule non-maintenu en circulation doit voir son immatriculation annulée.(Article R322-6 I)



    Dès lors, le statut de “En circulation” est irrémédiablement lié à son statut d’immatriculation. Tu ne peux pas être immatriculé et non en circulation.

    Immatriculation = obligation d’assurance pour la responsabilité civile.



    Donc même si ton véhicule est dans ton garage, sur chandelles, sans batterie et sans pneu, si il est encore immatriculé, il doit être assuré. Ce n’est pas un statut physique qui implique son obligation d’assurance, c’est un statut administratif.&nbsp;



    “Est-ce que le véhicule est déclarer comme véhicule en circulation ?”

    &nbsp;

    Et dans la loi française, cela s’appelle l’immatriculation. La loi suisse appelle le même document : Permis de circulation. Et on aurait pas ce débat issu d’une interprétation (certes correcte en français) de l’expression légale : En circulation.



    Par contre, si il n’est plus immatriculé, il n’y a pas d’obligation (cas d’une voiture musée par exemple). Juste que c’est très fortement conseillé parce que tout les dégâts causés par cette voiture non-immatriculé ne seront pas pris en charge par une assurance habitation.



Le 06/11/2017 à 10h 35







Mihashi a écrit :



Relis bien la phrase, où est-ce qu’elle parle d’assurance ? Ça fait quatre fois que je le dis ici, pain de bdel à bte de que de cille de m*de !

Cette phrase c’est la définition du terme «&nbsp;véhicule.&nbsp;»



Celle qui parle de l’assurance, c’est celle là : « Toute personne …, dont la responsabilité civile peut être engagée en raison de dommages subis par des tiers… dans la réalisation desquels un véhicule est impliqué, doit, pour faire circuler celui-ci, être couverte par une assurance garantissant cette responsabilité… »







Et un véhicule est considéré en circulation à partir du moment où il réponds aux caractéristiques de véhicule et qu’il bénéficie d’un certificat d’immatriculation.&nbsp;Tu as une voiture avec une carte grise ? C’est un véhicule mis en circulation MEME SI IL EST GARE SANS BOUGER DANS TON GARAGE.&nbsp;En circulation, cela ne signifie pas qu’il est sur la route.





Article L324-2

I.-Le fait, y compris par négligence, de mettre ou de maintenir en circulation un véhicule terrestre à moteur ainsi que ses remorques ou semi-remorques sans être couvert par une assurance garantissant sa responsabilité civile conformément aux dispositions de l’article L. 211-1 du code des assurances est puni de 3 750 euros d’amende.





Tant que ton véhicule est en circulation, donc immatriculé, il doit être assuré. Point.



Le 06/11/2017 à 09h 01

https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073984&amp;idArticle=LEGIARTI000006795331&amp;dateTexte=&amp;categorieLien=cid





Pour l’application du présent article, on entend par “véhicule” tout véhicule terrestre à moteur, c’est-à-dire tout véhicule automoteur destiné à circuler sur le sol et qui peut être actionné par une force mécanique sans être lié à une voie ferrée, ainsi que toute remorque, même non attelée.





Ta voiture est sur ses roues et peut bouger ?

Elle doit être assurée, point.


Le 02/11/2017 à 14h 44

Ou sinon, comme en Suisse.



Tu as besoin d’être assuré pour avoir tes plaques d’immatriculation.

Si tu n’as pas d’assurance, tu dois les déposer au service des autos. Si tu ne le fais pas, la police vient les chercher (avec le coût pour ta pomme).



Résultat : Il n’y a pas de voiture non-assuré circulant en Suisse.&nbsp;



Et pas besoin de mettre d’amende, des services de verbalisation à la con. Etc.


Le 06/11/2017 à 09h 45

Tu récoltes ce que tu sèmes.



Cela fait longtemps qu’ils font du beurre sur les annonces autour de ce forum en bénéficiant de sa réputation de zone de non-droit où se côtoient tout et n’importe quoi.



Le bébé leur explose entre les doigts suite à une énième polémique, normal.

&nbsp;


Le 02/11/2017 à 13h 33







jon1138 a écrit :



Pas toutes. Pas la Nef déjà. Le crédit Coopératif non plus (sauf une filiale en Belgique pour une raison autre que d’optimiser). A priori, La banque postale non plus (présent à Monaco mais rien ailleurs apparemment). Ce sont apparemment les 3 banques les plus cleans sur pas mal de critères. Mais surtout La Nef puis le CC.



Mais je lis des trucs pas super positifs sur le CC, du coup, j’hésite à aller chez eux et j’ai tendance à attendre que la Nef propose des comptes courants. A moins de craquer pour Orange Bank ou N26 (à condition que j’arrête de bloquer sur le fait de devoir déclarer ce compte)…





La NEF n’est pas une banque.

C’est un établissement de crédit spécialisé qui a le droit de fournir des prestations d’épargne ou de compte à vue (aux personnes morales).&nbsp;Tu ne peux pas ouvrir de compte “salaire” ou courant chez eux.



Le crédit Coopératif est membre de la maison BPCE (fusion des banques populaires et des caisses d’épargne).



Donc le premier ne peut pas avoir de filiale et le deuxième est membre d’un groupe qui pratique toutes les choses que tu citais.



Le 02/11/2017 à 08h 48

Tu vois le niveau de vie d’une population aux frais bancaires.

Quand la plupart des frais bancaires sont sur les incidents, cela signifie quand même que c’est assez récurrent.



&nbsp;

&nbsp;


Le 31/10/2017 à 15h 32

Serveur mail qui te garantit exactement les mêmes SLA, RPO/RTO, etc.

C’est pas comparable.


Le 30/10/2017 à 12h 04







Freeben666 a écrit :



En même temps, en confiant ses mails à Outlook, GMail et consorts, on sait ce qu’on signe normalement : ils ont un accès illimité à nos données, et ce quelle que soit la localisation du DC où sont stockées les données…







Certes, mais on l’a vu aussi avec le procès à New York gagné par Microsoft, avoir les données hébergées en dehors des US est pas forcément une mauvaise chose.&nbsp;



Le 30/10/2017 à 12h 11







tazvld a écrit :



Le gros point négatif que j’ai pour intégrer l’e-sport dans les JO c’est surtout que le “matériel” de base ne fait pas partie du domaine public. En effet, tout le monde peut faire son ballon de foot (enfin avec certain moyen) et son terrain de foot sans qu’une quelconque autorité aille faire chier ladite personne pour avoir copié, spolié….

Derrière la très grande majorité des jeux e-sport, il y a un éditeur de jeu vidéo qui veut et va faire jouer ses droits sur le matériel de base.





C’est le cas parce que la majorité des sports concernés sont dans le domaine publique.

Le tir, par exemple.



Les munitions étaient sous brevet originellement avant qu’elles ne deviennent un standard.



Le 27/10/2017 à 15h 32







ragoutoutou a écrit :



Plus le disque est grand, mois il peut tourner vite. La force centrifuge exercée sur les plateaux peut les faire vibrer très fort voir les briser ou les déformer.&nbsp; On préfèrera donc limiter le diamètre pour tenir les hautes vitesses de rotation.





Avec la démocratisation des SSD, on pourrait envisager des baies avec des HDD “plus gros” mais plus lent “en vitesse de rotation” mais avec un flash cache ?



&nbsp;barlav a écrit :

ragoutoutou t’as cite une limite;



moi je rajoute que contrairement au CD qui met plus de donnees sur l’extérieur que l’intérieur, pour un DD c’est séparé en secteurs; donc en gros tu écriras toujours au hasard 512 octets sur 1 secteur.ce qui va te définir cette limite c’est la piste la plus a l’intérieure, et celle a l’extérieure aura les bits très écartés.

<img data-src=" />



Pourtant, tu stockes plus de données sur un 3’5 que sur un 2’5.

Cette taille supplémentaire ne semble pas avoir un impact, si ? Surtout depuis qu’on écrit à la perpendiculaire.



Le 27/10/2017 à 12h 59

Question con : Pourquoi un nouveau format (type 4’5) n’est pas standardiser pour les grosses consommations de Datacenter ?



On cherche à augmenter la densité mais pourquoi on n’augmente plus l’espace ?


Le 27/10/2017 à 10h 49

Bonjour, c’est pour une balle dans le pied. C’est ici ?


Le 25/10/2017 à 12h 26

Projet d’hypervisor.

Carte mère + Ryzen 1800X = prix inférieur à 4*16Gb de RAM DDR4



Narmol


Le 25/10/2017 à 11h 16







OlivierJ a écrit :



(je suppose une certaine ironie dans ton commentaire)

A ce sujet, on peut saluer l’initiative prise par Eolas vers 2005 quand il a lancé son blog de vulgarisation (ayant constaté le peu de connaissance du public), qui m’a beaucoup appris sur la justice et m’a même fait m’y intéresser.





Vivi. Grosse ironie même.



Le 25/10/2017 à 10h 21







Ricard a écrit :



Gné ?





ça n’existe pas dans le droit.

C’est un adage fictif.



C’est ce vers quoi on devrait tendre mais c’est impossible.

La loi, c’est 8000 lois et plus de 100 000 décrets. Personne ne peut tous les connaître.



Le 25/10/2017 à 10h 19







127.0.0.1 a écrit :



Il n’y aucune demande de contrôle directe mais la demande d’un accès simplifié à une information déjà publique.



Refuser la simplification de l’accès c’est sous-entendre que l’accès actuel est volontairement complexe.

Et c’est là un terreau fertile pour les théories complotistes.





La constitution ne prévoit pas le contrôle de la justice par le peuple. Ni par la représentation nationale.



La justice est contrôlée par le CSM.

Le président doit garantir son indépendance.



Utiliser la publication des décisions de justice pour que des tiers effectue un quelconque contrôle de l’instrument judiciaire est inconstitutionnel.



Le 25/10/2017 à 10h 05







127.0.0.1 a écrit :



En France on nomem des juges qui ne sont pas redevables devant les citoyens avec les problèmes sous jacents d’incompréhension des décisions ou de scission entre les élites et le peuple. Bref, c’est pas mieux.





Et il est clair et sûr que la fracture entre peuple et juges est du fait des juges et pas du fait qu’à peu près 1% de la population n’a ne serait-ce qu’une fraction d’idée de comment fonctionne la justice en France.



Le 24/10/2017 à 14h 14







OlivierJ a écrit :



Ben détrompe-toi…

Les quelques fois où j’ai eu des collègues qui bossaient sur des Windows en datacenter, il y avait souvent des antivirus dessus, “parce que c’est du Windows” <img data-src=" />

Apparemment ça se fait souvent.





Désolé de te le dire. Tes collègues sont mauvais.

Dans le cadre d’une politique correcte de gestion d’infrastructure, des antivirus sur les serveurs, ce n’est pas nécessaire.



Et se pose la question du coût.

Est-ce qu’il vaut mieux lâcher 15k /an pour les licences ou investir sur une vraie gestion.



Le 24/10/2017 à 12h 22







OlivierJ a écrit :



Les gars (oui il n’y a presque jamais de fille ici), vous ne changerez pas la réalité :



les gens qui utilisent Linux sur leur ordinateur personnel (ou autre) n’ont pas besoin d’anti-virus.



Toutes les boîtes que je connais qui fonctionnent sous Linux dorment sur leurs 2 oreilles de ce point de vue (et moi à titre personnel avec mes ordinateurs fixes et portables).







Tu peux juste rajouter “pour l’instant” dans ta phrase et c’est parfait.

C’est même exactement ce que l’on dit.



Le 24/10/2017 à 12h 21







OlivierJ a écrit :



Oui il y a plus de postes client sous Windows que Linux, ça joue. Mais côté serveur c’est l’inverse.





Oui, et un antivirus sur un serveur Windows n’est pas utile. (Pour peu que tu fasses pas de VDI ou TS dessus, on est d’accord).



Le 24/10/2017 à 11h 41

La grosse différence entre monde Unix et monde Windows, plus que sur la perméabilité de l’OS au virus est liée à deux choses :





  • Un concept de rentabilité. Il est plus rentable de concevoir une attaque visant le monde Windows car le parc est plus grand, plus grand public donc moins orienté sécurité.



    Ce point est vérifié par la création de plus en plus récurrente d’attaque vers les Macs puisque cette cible, par la croissance du parc, devient de plus en plus rentable. (Des études ont de plus montré que les utilisateurs de MacOs était les plus prompt à répondre au fishing).



  • Un concept de modèle de sécurité. Il est normal sous Windows d’être administrateur avec le compte courant.



    Antivirus ou pas, si les gens sont administrateur (directement ou pas élévation) de leur machines et ne font pas gaffe à ce qu’il se passe, bon courage.&nbsp;



    Pour finir, quand tu vois les dernières grandes attaques de type Cryptologger et autre, si ta réaction est de te dire : “Je vais chercher à protéger les clients” et non pas “Je vais chercher à protéger les données”, c’est que tu as tord dans ta réflexion.