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wpayen

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720 commentaires

Le 03/08/2016 à 07h 18

Ici, personne particulièrement. C’est une news abonné, déjà, ça limite.

Plus une remarque globale.


Le 03/08/2016 à 07h 17

Il y a sensibilisation à la sécurité des informations et “hype” du tout-contrôle suite aux révélations de Snowden.

Vous protégez quoi en désactivant toute la télémétrie par exemple ?


Le 03/08/2016 à 06h 29

Ce qui est impressionnant dans n’importe quelle news Microsoft, c’est les gens qui n’utilisent pas les produits en question et qui viennent pour commenter en disant systématiquement “ C’est de la m*, je préfère machin”.



On dirait des stéréotypes de Vegan qui sont incapables de pas te dire dans les 5 premières minutes qu’ils le sont et pourquoi c’est mieux.


Le 29/07/2016 à 05h 30

Cette news sert juste de détecteur “à commentateurs ne sachant pas lire ou préférant le bashing à la refléxion basée sur la news”.



C’est encore plus visible que sur certaines.


Le 28/07/2016 à 11h 17







Konrad a écrit :



Qu’ils l’acceptent ou qu’ils continuent de râler on s’en fout, car si cela arrive l’État sera au moins dans la légalité et ne pourra pas être attaqué en justice.



Alors que pour l’instant, avec ce « partenariat » l’État est complètement hors-la-loi.





Hors-la-loi, non.

Ce sera au tribunal de le décider.



Il est remis en question par des associations pour l’instant. Si le tribunal dit “C’est ok”, c’est ok.



Le 28/07/2016 à 10h 59

La grande question est :



“Si c’est requalifié en marché public et soumis à un appel d’offre ouvert et que Microsoft gagne, est-ce que les gens qui râlent parce que Microsoft a un partenariat avec l’EN vont l’accepter ?”


Le 28/07/2016 à 09h 15

MS Office, LibreOffice ou OO ne sont pas des “technologies”.

Ce sont des outils informatique.



Une formation basique d’utilisation d’un traitement de texte et/ou de tableur sera neutre technologiquement entre ces différents outils. Si la formation intègre Outlook, cela reste un outil qui reste fonctionnel avec l’ensemble des technologies de serveur mail existant.

Si la formation intègre du scripting Basic, c’est le moment où on commence à avoir une différence puisque deux technologies (VBA et Open Basic) existent en parallèle. (Même si il existe des moyens de passer de l’une à l’autre).



Je suis pour des marchés publics ouverts où Microsoft n’est pas forcément vainqueur par défaut. Mais utiliser l’argument du “ça fonctionne pareil” quand on veut que les gens passent de MS Office à LibreOffice (ou de Windows à Linux) et dire “les pauvres seront perdus” quand on parle de formation basique faite sur des produits Microsoft, c’est un peu antinomique.


Le 26/07/2016 à 07h 54

Et un ingénieur qui cherche du boulot quelque part. Un


Le 22/07/2016 à 14h 31

Ma question sera simple : Backup ?

Parce que dans le cas de l’auto-hébergement, le plus gros problème c’est ça.



(Auto-hébergement de petite entreprise ou de particulier, j’entends)


Le 22/07/2016 à 13h 56

Quelle que soit la solution utilisée, mettre en ligne directement des documents liés à du dépôt de brevet (les appels de projet du CNRS sont publiques) c’est juste du suicide.



La conservation des données en interne c’est bien beau.

Mais si ton “interne” est directement accessible à travers une simple solution tierce avec une simple couche de gestion de droit dessus. C’est avoir un château-fort avec une porte en chewing-gum.

Le principal problème architectural ici c’est le fait de considérer qu’étendre sa bulle de sécurité à des tiers au travers d’un réseau publique est quelque chose qui peut être sécurisé. C’est absurde.



Il gère comment la protection contre le DLP Owncloud ?

 


Le 22/07/2016 à 13h 41

Le CERN ou le CNRS qui utilise un système en accès direct pour héberger des documents confidentiels. Mais bien sûr.



Dans le cas du CERN, ils publient des documents publiques au travers de ce système.


Le 22/07/2016 à 13h 38

Avant de parler de respect de la vie privée, il faut surtout savoir catégoriser ses informations personnelles.

L’auto-hébergement peut être très utile pour les mails et les documents légaux (banque, assurance, médical, etc.) mais n’a que très peu d’intérêt pour les photos de vacances. Ces photos n’ont aucune utilité (à part peut être les éventuels géotags et autres) pour une quelconque société ou état.



Sauf si vous êtes un éminent chercheur, un membre du confrérie secrète ou un professionnel de niveau national, vos métadonnées ont plus de valeur que vos données brutes. Ce qui intéresse c’est :




  • Qu’est-ce que tu achètes ? Où ?  (Carte de fidélité, promotion ciblée)

  • Quelle est la source d’information que tu utilises ? (Journaux, sites, etc.)

  • Quels sont les services que tu utilises ? (transport, téléphonie, etc.)

  • Quelles sont des habitudes de consommation ?



    Avoir ses photos chez Google, quel est le risque ?

    De déterminer où tu es parti en vacances ?  C’est déjà une information publique (péage autoroute, billet de train ou pire billet d’avion).

    De déterminer qui tu vois ? Si tes fréquentations ont un besoin de secret, tu ne prends pas de photo.



    LinkedIn, Facebook, Twitter. Avoir un compte et y mettre des données n’est pas important. Les données qui y sont mises n’ont aucun intérêt et si vous les avez publié en ligne (quel que soit le service) c’est que vous estimez qu’elles ne sont pas secrète. 

    Le danger avec ces services là, encore une fois, ce ne sont pas vos données mais le fait que Facebook par exemple vous trace même si vous n’avez pas de compte (merci le bouton “j’aime”).



    La plus grande sécurité possible de données en ligne, c’est qu’elles ne le soient pas. Le reste c’est de la foutaise et de la réduction de risque.

     


Le 10/07/2016 à 10h 06

Tu te fais du mal.



C’est dur de débattre avec des gens qui ne savent pas de quoi ils parlent. Tu discutes techniques, ils te répondent émotions.



Objectivité contre subjectivité, c’est un débat sans fin.


Le 09/07/2016 à 10h 29

En 2016, on doit encore avoir le débat entre prix US Hors-Taxe et prix Europe avec TVA + douane ?


Le 05/07/2016 à 14h 14







ActionFighter a écrit :



<img data-src=" />



A noter que pour la génération actuelle en France, la mobilité sociale est plutôt au déclassement, c’est à dire que malgré les diplômes, la génération actuelle gagne moins que ses aïeuls.



Surtout parce que en France, les diplômes n’ont que très peu d’impact sur l’insertion dans l’emploi. Les cursus les plus prisés en nombre sont ceux dans lequel il y a le moins de débouché.

L’élévation sociale par l’école ne peut pas fonctionner pour 100% des gens puisque 100% des postes ne demandent par de connaissance scolaire (académiques, donc).



Après, est-ce une évolution pour un fils d’ouvrier d’avoir son entreprise de plomberie à 30 ans ? De devenir “Patron” et d’avoir potentiellement d’autres employés ?

Parce qu’il n’y a pas besoin d’aller en formation supérieure et d’avoir de diplôme pour ça (‘fin si, le CAP est un diplôme mais c’est pas de l’académique au sens propre).



M’est avis qu’on va redécouvrir les bienfaits de l’apprentissage bientôt…

&nbsp;



Le 05/07/2016 à 06h 26

De toute manière, dès que l’on fait rentrer l’émotionnel et l’idéologie dans un débat qui devrait être rationnel, ça partira en vrille.



Et un peu comme garn, je n’ai pas de parti pris. J’utilise les deux “mondes” et je conçois/gère/vends/design des solutions qui sont basés sur les deux.&nbsp;Le jour où une solution libre permettra de faire avec autant de simplicité un combo exchange/SP/Office Web Apps dans le cas d’un intranet collaboratif d’entreprise, je serai à la retraite.



(Même si un alfresco ou un Umbraco fait très bien son boulot tout seul face à SP par exemple)


Le 04/07/2016 à 10h 37







jul a écrit :



Ce mois-ci, je me suis débarrassé de Office 365 que je traînais depuis le début, et ça fait du bien ! &nbsp;<img data-src=" />





C’est parfait, je suis sûr que la faim dans le monde et le paludisme vont reculer grâce à toi.



tazvld a écrit :



Autant, l’aspect libre devrait être un critère pesant dans la balance du choix, autant ce ne doit pas être éliminatoire. Cependant, si il y a un critère que moi je considère clé c’est le format/protocole utilisé. Celui ci doit être libre et le logiciel doit le respecter (en tout cas, faire au mieux).





Exactement ça.

Les personnes qui se plaignent d’avoir des marchés truqués et qui veulent exactement la même chose mais en faveur de leur poulain<img data-src=" />



L’aspect libre est un critère départageant. Rien de plus, il n’est pas nécessaire et n’est pas suffisant.

Il peut avoir un intérêt plus ou moins grand suivant l’appel d’offre et le produit (Exemple d’un outil sécurisé face à un traitement de texte).



De plus, puisqu’on parle de support parce que l’on arrive très vite sur le conflit Office/OpenOffice, la suite Office 2013 permet la lecture et l’écriture en&nbsp;OOXML selon le standard strict (Office 2010 ne permettait que la lecture). Donc si on prends une comparaison simple des deux outils en prenant l’universalité du format comme plus grand argument, bah la décision se fait sur le reste.

&nbsp;







philoxera a écrit :



Je ne comprends même pas qu’on puisse autoriser des solutions propriétaires dont le code n’est pas ouvert. M’enfin, je suppose que ca va dans le sens de la trahison qui consiste à vendre la France en pièces détachées.





C’est de la faute des étrangers tout ça.

Alors qu’en 40 avec du libre, ça allait beaucoup mieux.<img data-src=" />



Le 01/07/2016 à 12h 16

Bah oui mettons tout le monde en prison en basant le jugement sur une vision émotionnelle de la réalité légale.



Quand tout le monde se tire à l’étranger (employeur comme employé) foutre tout le monde en taule est une solution innovante. On peut aussi construire un mur tout autour du pays et on rajoute démocratique dans le nom du pays.



&nbsp;


Le 28/06/2016 à 10h 34

Le problème de ces beaux sites c’est qu’ils ne contiennent que du discours idéologique.



J’ai pas besoin qu’ils m’expliquent le principe d’un salaire à vie. Surtout que leur définition fumeuse de salaire à vie face au revenu inconditionnel, voilà quoi.



J’ai besoin qu’ils m’expliquent quel montant sera fixé. Combien ça coûte. Qui le finance et à hauteur de combien.&nbsp;C’est de ces informations là que l’on a besoin pour décider si on est pour ou contre (L’application du projet, pas l’idée).

Dans mon cas, je suis pour le RBI mais j’ai voté contre son adaptation lors de l’initiative populaire.


Le 28/06/2016 à 09h 39

Le deuxième soucis c’est le problème du serpent qui se mords la queue.



Tu peux pas financer un RBI sur l’activité traditionnelle (Impôt, taxe, etc.) en partant du principe que ton RBI va redéfinir une nouvelle vision de l’activité traditionnelle.



Parce que si le truc que tu conçois va sur le futur casser sa propre source de financement, c’est compliqué sur le long terme.


Le 28/06/2016 à 09h 36

Pour regarder côté financement, regardez juste comment les Suisse souhaitaient financer le leur (Sans rentrer dans les commentaires politiques de type pilier de bar).



RBI = Revenu de base inconditionnel

&nbsp;




  1. Soit tu supprimes toutes les aides sociales. Et dans le cas de la Suisse, cela amenait un revenu inférieur au minimum pour vivre dans les villes (Le RBI à 2500 chf / jour est trop bas pour vivre en centre-ville/banlieue). Dans le cas des 8Millions de Suisse, ça coutait 50 Milliards / An.



  2. Soit tu considères que le RBI est la “sécurisation” du revenu. Tu gagnais 5000 ? Tu gagnes maintenant 2500 de RBI et 2500 de salaire. Le financement était fait en prenant 30% du salaire des gens. Sauf que dans le cas de la Suisse y’a pratiquement plus de 40% de la population dont 30% du salaire &gt; 2500 (Mon cas par exemple).

    Tu te retrouves avec un mécanisme financeur/financé qui est trop bas et c’est pour ça que les gens ont voté non.



    &nbsp;Le problème reste toujours le même. Avoir un RBI suffisamment haut pour qu’il soit suffisant pour vivre tout en s’assurant qu’il soit suffisamment&nbsp;bas pour ne pas représenter une part trop haute du revenu de la majorité des gens.


Le 28/06/2016 à 09h 07

Le fonctionnement en soit est relativement simple.



La question est toujours la même. Comment on le finance.


Le 28/06/2016 à 09h 09

Et vu que les versions pro ne sont pas soumise à l’upgrade vers W10, tu justifies comment la perte de boulot sur une license non-commerciale ?


Le 17/06/2016 à 09h 33

Sauf que l’on parle d’un Lycéen et non d’un étudiant en CPGE.

Donc il est là-bas parce que c’est le lycée de zone.



Par ailleurs, on peut aussi sortir de ce lycée en CPGE (donc sur dossier) sans être un fils à papa ou avoir le bras long ou la possibilité de se payer un avocat. Commentaire d’aigri de type café du commerce par excellence.


Le 14/06/2016 à 10h 51

“Si il a&nbsp;&nbsp;des règles de putes merdiques et vampiriques”, tu fuis ses services.Haïr le fournisseur est inutile et ne t’apporte personnellement rien. Après, si tu es prêt à passer du temps pour venir te plaindre tous les jours d’un truc que tu fuis et qui ne te concerne pas directement, soit tu as trop de temps à perdre soit vraiment rien à faire.Tu peux faire du rite vaudou en maudissant Microsoft parce que c’est le MAAAAL absolu. Pisse dans un violon, ça te prendra moins de temps.


Le 14/06/2016 à 06h 12

Ce qui est impressionnant, c’est le caractère émotionnel que certains mettent sur ce qui sont des outils.



Que tu utilises ou que tu n’utilises pas LinkedIn ou les produits Microsoft, c’est un choix (et un droit, rien ne t’y force), mais quand tu n’utilises pas l’outil parce qu’il ne convient pas à tes besoins ou à ta “morale”, je ne comprends pas le fait de “haïr” le fournisseur derrière.



On parle de fournisseur informatique et certains ont des réactions habituellement visible entre ex-couples. C’est sociologiquement relativement intéressant.



Pour la News en elle-même, Microsoft vient de mettre la main sur un des plus grands outil actuel de référencement de RH et de visibilité Business. Dans mon cas, la fonctionnalité de veille technologique (en étant dans les bons groupes) est assez énorme et mes trois derniers changements de carrière viennent de LinkedIn (Headhunter sur profil).


Le 13/06/2016 à 11h 40

SEP fait ce qu’on lui demande de faire, hein.

Les consoles d’administration et de déploiement, c’est pas fait pour les chiens&nbsp;<img data-src=" />



Mais je conviens que les gammes SEP sont pas les meilleurs sur leurs marchés.


Le 13/06/2016 à 11h 23

Je pense que les appliances BlueCoat sont pas faite pour afficher une Synergie avec SEP ou SSS.

Plus avec ça :&nbsphttps://www.symantec.com/products/information-protection/vip-access-manager

ça :&nbsphttps://www.symantec.com/products/threat-protection/data-center-security

ou ça :&nbsphttps://www.symantec.com/products/information-protection/data-loss-prevention



SEP ou SSS, ça fait bien le boulot quand tu es dans une bonne disposition. Après, la sécurité des “postes”, c’est 5% du boulot. Sur que SEP c’est pas le plus optimisé (Je vous raconte même pas quand on a du remplacer le Forefront sur du SharePoint…. (PS : McAfee au final)).



Leur idée, c’est de pondre une sorte de cloud privé hardené, chiffré et protégé comme un conteneur (un tout ) depuis l’extérieur. Les produits Bluecoat s’intègrent particulièrement dans cette optique.

Et dans l’optique de sécurisation globale d’une plateforme, ils ont clairement leader.



PS : Le pognon pour acheter Bluecoat vient de la revent de Veritas à Carlisle pour 8Milliard en Janvier si jamais.





&nbsp;


Le 13/06/2016 à 11h 10

Quand tu vois les commentaires de certains, Symantec, y compris entreprise, c’est Norton.

Et comme Norton, c’est de la bouse, bah Symantec c’est de la bouse.



Sinon, en vrai, y’en a combien qui ont réellement manipulé les solutions pro ? Qui ont fait comparaison avec d’autres systèmes ? Bref, qui ont pas juste “Que de la gueule”.

&nbsp;


Le 10/06/2016 à 12h 36

Il n’y a pas de relation cause-conséquence ici.

Mais il est clair que mettre en place ce type de possibilité en supprimant les instruments de contrôle n’est pas une évolution conforme aux respects des travailleurs.



&nbsp;


Le 10/06/2016 à 11h 36

Oui, tout à fait.

Mais ai-je fait le contraire ?


Le 10/06/2016 à 11h 00

Tu parles de livraison de particulier.

Sache que l’amendement ne vise pas que ce domaine mais ajoute à la loi une liste d’exception permettant d’ouvrir les discussions sans devoir justifier le besoin qui comprendrait :&nbsp;





  • « – transport et logistique ;

  • « – activités liées au commerce numérique ;

  • « – commerce de détail non-alimentaire ;

  • « – vente à distance ;

  • « – restauration ;

  • « – hôpitaux ;

  • « – casinos ;

  • « – discothèques ;

  • « – production automobile.



    Tant je suis d’accord qu’une commande Amazon peut attendre 48h, tant un équipement de rechange dans une entreprise industrielle ne peut pas.


Le 10/06/2016 à 10h 53

Tu te méprends, je ne compare pas, je dis juste que l’argument de l’exploitation des gens n’est pas correct.

Après, en chiffre officiel, ce sont les conducteurs de véhicules les premiers suivi des tâches régaliennes puis l’ensemble des ouvriers qualifiés et des employés de gardiennage/nettoyage/manutention.&nbsp;



Encore une fois, merci de tenter de m’apprendre le principe du&nbsp;Syllogisme. Sauf que je n’en fait pas. Je ne cherche pas à justifier la non-nocivité du travail de nuit (que je n’ai pas contesté d’ailleurs) par le fait que de nombreuses personnes cherchent à travailler dans ce mode là. La condescendance dans ton propos ne sert pas ton argumentation.



L’étude la plus complète sur ce thème est une étude qui a démontré chez des infirmières américaines qu’après 5 ans de shift de nuit sur des durées de shift longue (plus de trois semaines consécutive) et avec un temps de repos faible (shift de jour effectué également), on observait particulièrement une augmentation de 11% des cas de maladie cardio-vasculaire. Cette étude bien que très complète ne s’extrapole pas hors du cadre particulier des infirmières ou des travailleurs de la santé (Le travail de nuit est un cas aggravant de condition de travail déjà délétère à cause du manque de ressources). Les rédacteurs de cette étude le dise d’ailleurs eux-mêmes.

Dans le cas de travailleurs “standard”, les études démontrent que les principaux problèmes impliqués par le travail de nuit sont :




  • Les maladies cardio-vasculaire

  • Les troubles graves du sommeil

  • La prédisposition à devenir fumeur

  • Les troubles digestifs



    Des études ont démontrés que ces troubles peuvent être réduit à un écart statistique faible par rapport aux travailleurs de jours si les mesures d’encadrement appropriées sont prises :

  • Des shifts de nuit cour (pas plus de 4 nuits) avec des jours de repos consécutif.

  • Des interdictions encadrées dans les cas de santé pré-existant qui pourrait être aggravé (Diabète, grossesses, épilepsie).



    Après, le travail de nuit n’est pas une panacée. Il a des implications familiales et organisationnelles très importantes qui dépassent largement le contexte de la santé et son utilisation ne peut pas être imposée ou effectuée en dehors de critère stricte.

    Dans le cadre d’une réflexion organisée et structurée, sur la base d’un volontariat encadré et contrôlé avec les mesures de contrôle et de suivi qui s’imposent, le travail de nuit doit pouvoir rester une possibilité.



    Dans le cas de la vente en ligne, il ne faut pas croire que 100% des effectifs seront encore présent la nuit. Le besoin n’est pas si grand que cela.

    Par contre, dans des périodes fixes type noël, soldes ou autres, pourquoi pas ? La loi n’instituera pas l’obligation du travail de nuit. Elle ouvrira la possibilité dans discuter au cas par cas dans les entreprises. Et m’étonnerait que l’inspection du travail soit très coulante sur ce point.


Le 10/06/2016 à 10h 26

Il veut rien déréguler.

Il veut ajouter ces points





  • « – activités liées au commerce numérique ;

  • « – commerce de détail non-alimentaire ;

  • « – vente à distance ;



    Dans la liste des types d’emploi permettant le recours au travail de nuit.


Le 10/06/2016 à 09h 45

Mon commentaire faisait surtout référence à ceux qui voient en la possibilité de travail de nuit :





  • Un pas vers l’escalavage

  • Un retour sur les avancées du front-populaire

  • Tout autre joyeuseté.



    Le régime de travail de nuit est quelque chose qui existe déjà, qui est très encadré au niveau des modalités et des contre-parties (salaire majoré, pénibilité prise en compte dans le calcul de la retraite, mise en place de contrôle de la médecine du travail plus régulier) et du caractère volontaire (Un licenciement qui arriverait après le refus de passer en travail de nuit a intérêt à être justifié).



    Dans le cas présent, on parle bien de l’argument de la continuité de l’activité économique. Sachant que les transporteurs de colis (Poste ou privé) ont des centres de tri qui fonctionnent déjà en équipe, il ne me semble pas inconcevable de reconnaître que l’argument de la continuité puisse être utilisé.

    “Nos prestataires fonctionnent 24h/24h alors que nous nous devons assumer un rush de préparation en début de journée pour assurer la mise à disposition avant envoi”.&nbsp;Dans cette logique de lisser le traitement sur 24h, je pense que la pression générée par le fait que le shift du matin commence de base avec un retard de traitement pourrait diminuer.



    Pour résumer :






  1. ça se justifie dans le cas de ce modèle là

  2. Le travail reste encadré dans un régime très largement utilisé et très contrôlé (A voir que c’est le public qui fait le plus recours au travail de nuit (Pompier, médecin, police, agent territoriaux, etc.))



    Quant à l’inuhamité du travail de nuit, il n’y a qu’à voir le kilo de frontalier qui vient travailler dans ce contexte là dans l’horlogerie par chez moi.



    &nbsp;


Le 10/06/2016 à 09h 08

Y’a un truc que je comprends pas trop dans vos commentaires.



&nbsp;A quel moment en France le travail dit “en équipe” (en 3x8) a été supprimé ?

C’est un régime existant toujours ? On parle donc d’ouvrir la possibilité aux e-commercant d’utiliser un régime de travail encadré qui existe légalement ?&nbsp;



Il est où le problème ?


Le 31/05/2016 à 11h 07

Rien ne vaut un HTPC pour ça. Tu limites l’incompatibilité hardware.


Le 25/05/2016 à 11h 46

On ne peut pas parler de défendre la langue comme si elle était un bastion inviolable entouré d’ennemi.

C’est une idée très récente qui est surtout issue de la montée des nationalismes dans le début du XXème et qui perdure encore maintenant.



La langue française n’est pas matérialisable, c’est un concept fait d’un ensemble de règles, d’un corpus plus ou moins élargi qui n’a eu de cesse de vivre au fur et à mesure du temps et de l’histoire. Il ne faut pas oublier que sur son histoire, le français a plus souvent été une langue de gueux non-codifiée qu’une langue noble.



Elle n’a eu de cesse d’évoluer. Il suffit de lire un poème de Baudelaire ou de Verlaine puis un de Ronsard et finir par un de Villon pour voir qu’en 4 siècles, tout a changé.&nbsp;


Le 04/05/2016 à 05h 54

Usage particulier toussa toussa.



Comme si je te demandais de vérifier la proportion de Gnu/Linux&Unix sur les serveurs Exchange dans le monde.


Le 29/04/2016 à 05h 57







BrainBSOD a écrit :



question que va-t-advenir de PowerShell du coup ? ceux qui connaisssent les 2 shell peuvent-ils nous dirent si les languages sontrès différents ?





Oui.



Les deux langages n’ont clairement pas la même cible d’utilisation ni la même base. Il est impensable de traduire en Powershell un script Bash et je mets au défi quiconque de faire de la maintenance de produit ayant un API powershell développé (Codeplex ou natif) avec du Bash.



Le 11/03/2016 à 08h 36

Et Wikipedia tourne comment ? Par la volonté du saint-esprit ?



Partie intégrante du système économique ne veut pas dire à but lucratif, ça veut dire que tu t’intègres dans un système qui te fournit à la fois tes utilisateurs et tes financements, tes moyens de fonctionner aussi. M’étonnerai que Wikipedia soit hébergé par un hébergeur associatif à but non-lucratif.


Le 01/02/2016 à 22h 05

IE en remoteapp dans une machine DMZ interne.



Et hop, en avant mamie.


Le 01/02/2016 à 22h 00







seblutfr a écrit :



De la 2007 à la 2016, les outils n’ont pas bougé de place, sauf décalage d’un cran pour cause de nouveauté (les sparklines dans Excel par exemple). Le design a changé (passage au flat), mais c’est tout.

Si tu retrouves ce qui t’avais dérangé, ça m’intéresse, parce qu’honnêtement, rien n’a bougé depuis 9 ans.





J’ai exactement la même réflexion.

Je vois pas ce qui a bougé.



Je dis pas que des icones ont pas changé mais comparativement à office2003 vs office2007, y’a rien de comparable. J’ai pas une énorme utilisation d’excel (reporting et dwh majoritairement) donc c’est peut-être moi.



Le 01/02/2016 à 15h 19







eliumnick a écrit :



L’inertie que tu dénonces est celle qui fait que MS Office change complétement d’UI à chaque version ?





Oui, la même.

Le changement massif d’UI de 2003 à 2007 aurait très bien pu être utilisé par la communauté comme argument. “Quitte à changer, viendez chez nous”



Après, honnêtement, un changement de 2007 à 2010 ou à 2013 est moins violent qu’un passage à LibreOffice. Mais c’est un avis propre.



Le 01/02/2016 à 11h 00







durthu a écrit :



c’est un peu ça….



J’ai juste écrit ma thèse avec LaTeX !!! <img data-src=" />





J’ai écrit toute la documentation client propre à des environnements full Microsoft (SharePoint + Dynamics + DWH SQL2012) sous LaTex.

LaTex est très pratique pour la rédaction de documents figés, mais une documentation interne avec un cycle de révision cours (documentation de release par exemple) serait faite avec un EdT pour plus de simplicité.



Le 01/02/2016 à 10h 53







thedan a écrit :



Ils font la meme avec les ecoles de dev depuis des années…





Et ?

En quoi une formation basée à 100% sur des technologies JAVA serait mieux qu’une formation basée à 100% sur des technologies .Net ?



Pour moi, elles sont aussi mauvaise l’une que l’autre. Les formations devrait être en grande partie full stack avec des modules d’approfondissement. N’importe quelle formation sur plusieurs années qui base son cursus sur une technologie possiblement déprécié à la fin est inutile.





carbier a écrit :



Sérieusement ?

Les gamins actuels jonglent entre Android, iOS (voire WP) puis le plus souvent avec Windows sur PC et tu crois que l’OS qu’ils utilisent à l’école va les déranger ?

C’est comme pour les logiciels, croire que parcequ’ils ont utilisé Office ou Libroffice à l’école, ils n’utiliseront pas l’inverse revient à prendre les gamins pour des retraités qui exècrent le changement…





La génération précédente faisait avec ce qu’ils avaient (à disposition).

La génération actuelle fait avec ce qu’elle a (en possession).



Dans les deux cas, ils n’ont pas choisi. (Ou peu).

Les gens choisissent une marque pas un environnement ou un logiciel. C’est là que se paye le déficit des communautés libres.



Le 01/02/2016 à 10h 45







durthu a écrit :



D’où l’utilité de pas laisser Microsoft marabouter nos enfants à l’école pour qu’il ait le même environnement à la maison.

Microsoft a tout compris, c’est exactement comme l’industrie du tabac.





Et tu fais ça comment ?

Tu bannis les produits Microsoft sous prétexte que t’aimes pas ?



Tout ceux qui parlent d’un changement d’Office vers une solution libre n’ont jamais eu à engager de processus de changement et les contraintes qui vont avant.

Si c’était aussi simple que de changer de marque de couche ou de convaincre (par la force de votre idéologie) des gens qui ont pas eu le choix type votre père/mère/famille proche (rayez les mentions inutiles), ça ne serait pas un métier.



Que l’on soit pour ou contre idéologiquement les produits Microsoft (Et lorsqu’on parle d’outil de travail à un niveau décisionnel, l’idéologie ne rentre pas en compte), il faut reconnaître que l’inertie due à leur position dominante légitiment acquise (parce que peu de concurrence) est très forte.

Les gens sont réticents à changer au boulot parce qu’ils n’auront pas la même chose qu’à la maison et ne changeront pas à la maison parce que :




  1. Hors personnes concernées (travail, geek, idéologie), ils ne connaissent pas le produit concurrent

  2. Ils connaissent le produit mais ne connaissent pas les avantages/incovénients (ou ils s’en foutent)

  3. Ils s’en foutent et prennent ce qu’il y a d’installé.



    Les points 1 et 2 sont du à une communication inexistante des communautés en question hors de leur sphère habituelle.&nbsp;Le 3 est le même motif que celui qui caractérise l’explosion des produits Clouds. “C’est ce qu’il y a avec mon téléphone”.



    Je n’ai rien contre les produits libres, j’en utilise au quotidien quand c’est le meilleur produit pour faire le job. Mais choisir systématiquement le produit libre quelque soit la concurrence propriétaire relève au mieux de l’idéologie bornée, au pire d’un manque de compétence en matière de gestion de système informatique.



Le 25/01/2016 à 15h 40

Et les règles de Bâle 3, c’est pour les chiens ? :)


Le 22/01/2016 à 09h 09

C’est vrai que ça marche comme ça avec pas mal de gens maintenant.&nbsp;

&nbsp;


Le 22/01/2016 à 08h 59







Exception a écrit :



Et voilà encore une fois MS veut imposer ses choix et aux autres d’être compatibles avec MS…





If subject contains Microsoft then

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bash Microsoft

&nbsp;