C’était par rapport au commentaire cité que je disais ça.
Après, y a tellement de facteurs qui entrent en jeu (y compris la com’ entre les équipes de l’ESA, avec des supputations d’un côté ou de l’autre)…
Et puis ils sont bien moins rodés que la NASA et ont moins de budget…
Ça joue aussi.
Le
28/11/2016 à
15h
44
Éparpillée façon puzzle.
Mais on peut pas comprendre, c’est de l’art.
Le
28/11/2016 à
15h
29
tomcat a écrit :
Ce que je ne comprend pas c’est qu’en en déduisant une altitude négative, le programme a mis en œuvre une série d’actions ayant mené à la perte de atterrisseur !
WikipediaSur la carte topographique, on peut voir que sur Mars, il y a des altitudes négatives. Jusqu’à -8km.
Pour les CGU, ça dépend des lois (dont réglementation) auxquelles sont soumises les entreprises.
Une CGU “correcte” aux US ne le sera pas en Suisse, par exemple (qui a des lois pour protéger les données personnelles).
Donc, la définition de l’usage abusif est très relatif.
Et pour moi, c’est une question de confiance.
De la même manière que Mamie va envoyé de l’argent liquide à son petit-fils par la Poste, que ton FAI ne va pas lire tes mails, que ton prestataire de cloud ne va pas farfouiller dans tes fichiers, etc.
Les technologies ont changées, mais on revient toujours au même problème : doit-on faire confiance au prestataire de service ?
Le
17/12/2014 à
11h
43
Si tu pense réellement que mettre un fichier sur le cloud offre un droit “limitatif”…
Un changement de CGU et paf, le droit n’est plus limitatif.
Et comme tu dois accepter les CGU pour utiliser le cloud…
Après, si ta banque demande à son prestataire de lui fournir ta demande de prêt dans le carton X, ça veut dire que t’auras un archiviste qui va aller ouvrir le carton, chercher le papier en question et le retirer du carton. S’il est un tant soit peut malveillant, il pourra faire plus que “juste” le reconnaître.
Là aussi, c’est un problème de confiance, mais sur lequel nous ne pouvons strictement pas agir.
Imagine maintenant que le prestataire qui stocke tes fiches de paye et informations pour virement bancaire numérisées soit aussi bien sécurisé que le réseau Sony. Es-tu réellement certain qu’il est sécurisé ? Qu’il pourrait se rendre compte s’il y a un vol de données ? En aurais-tu conscience ?
Ce n’est pas parce que tu ne sais pas que ça ne se produit pas.
Pour les restrictions, ça veut dire qu’il y a une réglementation particulière à respecter. Ça veut pas dire qu’elle soit pertinente.
Le
16/12/2014 à
13h
14
Zyami a écrit :
Exact et le pire étant les données relatives à la carte vitale, c’est certainement dans la nature, certainement que la sécu est aussi une vraie passoire.
De plus avec la LPM, il y a de fortes chances que les banques soient espionnées par nos chers services de renseignement.
Pas que, en fait. Tout ce qui a valeur légale pour X années (10, 15, 30 ans ou à vie) peut potentiellement se retrouver dans les cartons d’un prestataire.
Dedans, en vrac, y a tout ce qui concerne les RH (fiches de paye…), demande de prêt, contrats signés faisant foi (contrat d’assurance vie…), etc.
Autrement dit, toute notre vie est DEJA chez des prestataires choisis sans aucune consultation avec les personnes concernées.
Pour l’archivage électronique, comme c’est encore frais, il n’y a pas réellement de lois (mais ça explose, en ce moment, donc potentiellement n’importe comment).
Pour ce qui est des archives d’administration publique, il y a des restrictions, mais les prestataires certifiés existent.
Et ça, c’est imposé. Alors que les cloud Microsoft et cie, c’est le choix de chacun de mettre des données dessus.
Alors s’inquiéter des données personnelles qu’on donne volontairement a X ou Y, ça me parait un peu trivial.
Le
16/12/2014 à
12h
38
Sans vouloir être vexant, que vous le vouliez ou non, vos données sont déjà “dans la nature”.
Que ce soit dans un cloud ou dans un entrepôt.
Qu’il soit français ou non, en france ou non.
Pour les papiers (archivage physique), les banques, assurances, comptables, administration publique, etc. peuvent faire appel à des “tiers archiveurs”.
Grosso modo, ils stockent dans les entrepôts (contrats avec signatures, etc.) ou sous forme numérique (assimilable cloud, archivage numérique).
En france, il n’y a pas que des entreprises françaises qui se partagent le marché.
Pour passer devant la cité du cinéma tous les jours, ce qui a été flagrant, c’est le public qui doit être dans la salle.
La première fois, du monde qui faisait la queue, avec des barrières qui cassaient les coui sur le trottoir (pourtant large). La seconde fois, moitié moins de monde. Et jeudi dernier, presque personne.
Le code ça reste très différent. C’est pas vraiment quelque chose que tu vois tous les jours comme la musique, où qui peut être observé, admiré comme une œuvre d’art. (j’ai toujours trouvé ridicule les gens qui s’esclaffe devant un fichier en disant “Comment ce code est trop sale, le gars il code avec ses pieds ou quoi ?”)
Pour moi, le code et la logique de programmation ne sert à rien hormis programmer des logiciels. Mais ce n’est que mon avis :/
La logique est importante, parce que :
ça permet d’apprendre à décomposer un problème en éléments simplistes qui seront plus facile à résoudre
ça apprend à aborder un problème selon des axes différents pour apporter la meilleure solution possible
Déjà, rien que ça, c’est énorme.
Après, le code écrit avec les pieds, c’est un peu l’équivalent du langage SMS en français.
Du beau code bien indenté, avec des variables bien nommées, de petits commentaires explicatifs du pourquoi du comment, c’est plaisant à lire. C’est la différence en un Skyblog et un auteur de littérature.
Commentaire de choose-another (traduction libre) :
OneDrive for Business _est_ SharePoint, c’est le nouveau nom pour SharePoint Workspace pour être plus précis. Il permet de synchroniser avec SharePoint dans le cloud de Microsoft. C’est cependant une chose totalement différente de OneDrive (pour utilisateur, grand public). Je ne comprendrais jamais pourquoi le marketing de Microsoft a permit une telle confusion.
SharePoint est un gestionnaire de documents (DMS, Document Management System) et pas un système de fichiers. Il synchronise les méta-données des documents depuis et _dans_ le document (en fonction du format du fichier).
Dans les fichiers de type contenant (binaires…), c’est fait dans les méta-données et non dans le contenu, votre document n’est donc pas touché (essayer avec des documents office avec signatures électroniques, la signature restera valide car il valide le contenu, non les méta-données). Dans certains formats de fichiers, il va inclure des commentaires (3ème captures de la news) qui n’affectent pas le contenu (comme vu précédemment).
Si quelqu’un voit des modifications à faire à la traductions, n’hésitez pas.
Le
29/04/2014 à
11h
58
Lafisk a écrit :
Donc, en gros, un mec s’en est rendu compte des annees apres, et il poste ca sur le net et ca fait juste le buzz quoi ???
En substance.
Poppu78 a écrit :
Sauf que là c’est un changement de comportement qui a eu lieu quand ils sont passés à Sharepoint… Après tu as raison s’en apercevoir maintenant c’est un problème. Mais ça reste un changement.
Vu le gros morceau qu’est Sharepoint, ils ont probablement pas “changé”, mais c’était plutôt une feature (et la manière de s’en passer est documentée, voir commentaire de Dez en page#1) qui date au moins de 2009.
Donc mettre 5 ans à se rendre compte d’un truc qui modifie tes propres fichiers…………
Je pense qu’il est permit de douter de l’origine du non professionnalisme plutôt que de taper et s’enflammer sur Microsoft par pur réflexe pavlovien.
Le
29/04/2014 à
09h
46
Lafisk a écrit :
Donc quand tu as choisis ton outil il y a X temps et que entre temps la politique a changee, c’est ta faute … " />
Onedrive Pro c’etait claire comme de l’eau de roche que c’etait “sharepoint” depuis des annees ? Apparement non, mais c’est sur tu es tellement fort que tu le savais avant tout le monde faut croire
SkyDrive for business était sous Sharepoint.
OneDrive est un changement de nom, pas de logiciel ni de fonctionnement.
Donc on pouvait assez naturellement s’attendre à ce que OneDrive soit sous Sharepoint (2013, actuellement).
Donc c’est pas franchement caché. Faut juste s’inquiéter un minimum des logiciels et services que l’on utilise.
Et dans une entreprise, c’est quand même un truc assez naturel de savoir ce qu’on utilise.
180 semaines ou plus, je m’en fou, les annonces/decouvertes/rumeurs sont faites surtout en ce moment et elles sont plutot decevantes
Poppu78 a écrit :
–> Ben là visiblement personne n’était au courant…. Donc si ce n’est pas signalé, tu ne peux pas vraiment faire ton choix sur ce critère…
Même réponse : ça veut dire que ceux qui ont poussés l’utilisation ne savent même pas ce que le truc est censé faire ni comment il le fait. Alors que c’est documenté.
S’en apercevoir maintenant, c’est pas de la responsabilité de Microsoft, mais de ceux qui ont choisis/imposé l’utilisation de outil.
C’est un peu irresponsable et puérile, quand on utilise un outil, de dire : “ah bah ça fonctionne pas comme je l’attends, c’est votre faute !”
Quand on est de bonne foi, on choisit justement un outil en fonction de ce qu’il fait, pas de ce qu’on pense qu’il fait ! Dans le but de répondre à un besoin. Si l’outil ne répond pas au besoin, on en prend un autre.
Et gérer des binaires dans le cloud, comme ça, ou des documents chiffrés, question sécurité et maîtrise, ça laisse à désirer.
seb2411 a écrit :
Disons que parler d’un point qui pose problème c’est important si tu veux que les choses changent. Si tu ne dis rien ca va continuer comme ça. Et honnêtement leur solution technique est quand même farfelue pour une grosse boite comme Microsoft.
Là, par contre, je suis d’accord : discuter d’une amélioration d’une fonctionnalité est naturelle (et oui, je trouve ça étrange).
Mais comme la-dite fonctionnalité est documentée et visible, je trouve que les réactions sont déconnantes : jeter la pierre sur Microsoft plutôt que d’admettre qu’on ne sait pas comment fonctionne l’outil que l’on utilise (ce qui est dangereux) et donc se remettre en question…
Le
29/04/2014 à
08h
40
Poppu78 a écrit :
C’est d’autant plus lamentable pour du pro… […]
Lafisk a écrit :
[…]Franchement, les choix effectues ces dernieres semaines sont de plus en plus decevant cote MS et n’augure pas forcement de tres bonne chose pour l’avenir …[…]
C’est vrai qu’un truc qui a été décidé comme ça, à la volée depuis près de 180 semaines, qui est non documenté et surtout qu’on ne peut pas désactivé est réellement inadmissible.
Bon, après, on a pas la même notion de “ces dernières semaines”.
Après, les gestionnaires de contrôles de code source, c’est quand même pas pour les chiens.
Et si les utilisateurs ne sont pas contents d’une offre, y a quand même d’autres choix dans la nature. Y compris du cloud privé qu’une entreprise peut monter sans dépendre de personne.
En gros, c’est les (grosses) entreprises qui aiment se tirer une balle dans le pied en se séparant des gens qui ont la connaissance.
D’autres boîtes sont plus intelligentes et ignorent cette “règle” des 3 ans.
L’interne, effectivement, tu le garde ad vitam, y compris quand il n’y a plus de budget pour les projets et donc qu’il glande cordialement (alors que le presta, il est déjà rentré dans sa SSII ; c’est du vécu).
Pour la cantine, ça dépend.
Exemple : dans une société où j’ai bossé, il y a des frais pour tous le monde. Pour les internes, plus le salaire est faible, plus les frais sont faibles (jusqu’à 2€). Pour les externes (et les hauts salaires), c’est plein pot (jusqu’à 6€).
Pour les présentations…J’ai fais jusqu’à présent 6 clients différents en tant que prestataire. A chaque fois, y a présentation au minimum requis (càd du service). Des fois, t’es placé sur le poste d’un gars en vacances en attendant que t’ai un bureau et un PC dans un coin (temps variable en fonction du moment de l’année, très galère en mai).
Après, les internes peuvent aussi avoir une mobilité importante au sein de l’entreprise. Que ce soit dans le même étage, bâtiment, ville…pays ou continent.
Grosso modo, on peut pas faire de cas général, parce que toutes les entreprises ont leurs particularités. Les boites du CAC40 ont tendance à se ressembler (du fait que c’est les mêmes tout en haut), mais dès qu’on en sort… (mais c’est ça qui est fun, aussi, quand on est presta)
Et honnêtement, si les internes coûtaient réellement moins cher que les prestataires, les SSII ou ESN se porteraient pas aussi bien ! (même si les tarifs sont tirés à la baisse).
Le
09/04/2014 à
09h
57
cyrano2 a écrit :
Dans le cas d’une prestation à la journée, les frais annexes (bureau, ordinateur) sont les mêmes pour un prestataire et pour un CDI. J’ai déjà vu des calculs de cout ou l’on ne prennait en compte que le cout journalier pour un prestataire, et un cout du salaire + gestion de l’immeuble pour un CDI. Ce calcul est faux. Le cout de l’immeuble est le même dans les 2 cas.
Certes, mais ce n’est pas les seuls coûts.
Par exemple, il y a le badge d’accès. Les frais de cantine (plus cher pour l’employé), les frais d’intégrations (parcours RH…plus cher pour l’employé).
Après, l’employé va souvent avoir une visite des locaux avec présentations de tout le monde. Le prestataire aura que la présentation des personnes avec qui il va bosser uniquement.
C’est peu de chose et c’est vraiment très con, mais faut voir le cumul.
Mettons que c’est le chef de service qui s’occupe d’accueillir la personne. Il va la trimbaler toute la journée pour faire des présentations.
Ce qui veut dire que lui et l’employé n’auront pas “travailler”, donc 2 jour / homme de perdus. S’ils ont fait intervenir d’autres personnes, ça augmente.
Quand un presta arrive, on lui dit parfois : “là, c’est ton bureau, là, c’est la doc” et pis c’est tout.
Le
09/04/2014 à
08h
44
cyrano2 a écrit :
J’imagine que cela se trouve que dans la banque/assurance. A ce prix-là, cela coute bien moins chère de les embaucher, non ?
Oui, banque/assurance. C’est majoritairement ce milieu qui utilise encore du gros système DB2/AS400/Cobol et cie. Mais non, embauché, ça coûterait pas forcément moins cher. C’est plus compliqué que ça.
Le seuil de rentabilité d’un prestataire est en général autour des 30% (plus si le gars est exploité, moins si la SSII veut s’incruster durablement et/ou peut compenser ailleurs).
En SSII, un presta est mieux payé que chez client final, mais avec moins d’avantages (CE par exemple). Donc, s’il est embauché, il pourrait coûter moins cher dans le cas où il accepte que sa rémunération annuelle soit inférieure d’un montant correspondant aux frais divers (non liés au salaire) que l’entreprise doit payer.
Et y a beaucoup d’autres facteurs qui entrent en jeu dans les rémunérations d’un presta…
Et ce, sans compter tous les autres intervenants / matériel requis dans un projet informatique…
Après, le gros avantage d’un prestataire, c’est que dégager un prestataire, ça coûte rien à un entreprise. Par exemple, s’il n’y a pas d’évolution pendant X mois, tu le paye pas. S’il est employé, l’entreprise doit le payer, même s’il fout rien. Et virer un employé, ça coûte assez cher à une entreprise (surtout contre sa volonté ; et ça, c’est une raison pour laquelle les SSII existent).
Le
08/04/2014 à
18h
41
Tim-timmy a écrit :
plein de SSII ont les acréditations et font bosser des gens au quotidien sur ce genre de projets critiques/défense, c’est pas le plus compliqué, ça (il me vient l’exemple de la DGA à Bruz, qui en emploie quelques pelletées)
Oui, et ?
Effectivement, avoir une accréditation, c’est pas compliqué.
Mais est-ce que ça implique un travail de qualité ?
cyrano2 a écrit :
En général, on compte 100k€/an/personne pour un ingénieur, tout compris.
Ce tarif, c’est pas partout, pas pour toutes les compétences, pas pour tous les profils. Un développeur de niche pourra coûter BIEN plus cher.
Exemple bête : y a des développeurs Cobol qui sont facturés 1 000€ / jour. Toute l’année.
Tous les ingénieurs ne sont réellement pas logés à la même enseigne (parce que, de fait, ingénieur n’est pas un métier ni une fonction, c’est un titre).
cyrano2 a écrit :
On parle d’une suite Office ! Pas d’une usine à gaz. C’est facile de choisir LibreOffice et de définir ce qui manque pour l’implémenter de façon la moins chère possible. La gendarmerie fonctionne comme ça.
On parle de “remplir un poste de travail de toutes les licences Microsoft de son choix” (dixit l’article), c’est qui est bien plus que “simplement” la suite Office. Ce qui pourrait donc inclure Microsoft Project (c’est quoi, l’équivalent sur LO ?), Visual Studio, Windows 7 ou 8…
Donc, déjà, avant de réduire à LO, faudrait savoir quel est le panel complet des outils concernés !
Le
08/04/2014 à
15h
48
cyrano2 a écrit :
On parle de 20M€ !
C’est l’équivalent de 200 ingénieurs en France.
Je rappelle que Sun avait racheté StarOffice car cela coutait moins chère que de payer les licences annuelles d’Office !
Avec 200 ingénieurs, ils ont largement de quoi faire pour corriger tout ce qui peut les gêner. Ils peuvent monter une équipe de 50 personnes avec un tier de testeur, et le reste serait dépensé en consulting avec les personnes qui bossent déjà sur le produit.
Par an, un prestataire va travailler environ 218 jours (ou 220 jours dépendant des contrats).
Donc, 200 prestataires, par an, ça donne 43 600 jour/homme.
Sachant que la facturation moyenne d’un prestataire de qualité (sur Paris) va excéder les 500€ jour, ça nous donne du 21 800 000€ en un an.
Ceci dit, un projet avec 200 ingénieurs, c’est juste du délire et disproportionné dans le cas présent.
Mais il faut aussi compter le coût des équipements (immobilier, bureau, PC, chaise, fournitures de bureau…).
Après, pour que les prestataires puissent travailler, il faut que la phase d’avant projet (recueil du besoin, spécifications fonctionnelles et techniques) soient au moins débutées (dépendant de la méthode de gestion du projet).
Ce qui veut dire qu’il faut des MOA ou PO (selon la méthode).
Sachant aussi que dans certaines administrations (dans le privé aussi), il y a la politique du moins disant, c’est à dire qu’on prend systématiquement celui qui annonce le prix de départ le moins cher, c’est en général source de plantages monumentales et de coûts qui s’envolent.
L’implication des équipes (développeurs, MOA/PO, utilisateurs) n’étant pas un élément gagné d’avance, il est aussi possible d’avoir un produit final qui ne corresponde pas au besoin.
Après développement, il faut des équipes de tests. Ce qui rajoute un coût.
Ensuite, il faut aussi compter la formation des utilisateurs (en général sous estimé), surtout quand les-dits utilisateurs n’ont pas eu d’implications dans le projet (waterfall, cycle en V).
Enfin, il faudrait avoir une SSII pure française pour ne pas risquer des fuites d’infos gênantes. Quand on regarde le top des SSII françaises, celles qui sont 100% FR et qui ont les reins assez solides pour gérer un projet de cette envergure…et bah y en a pas légion Wikipediad’autant plus que là, on parle de développeurs spécialisés dans un domaine précis (de niche, j’oserais dire).
Je parlais de l’ex concessionnaire mais j’en pense pas moins sur ceux de l’hadopi ou gouvernement qui retournent leur veste suivant le sens du vent.
Tout dépend de qui. Généraliser est aussi peu intelligent/intéressant que de dire que tous les internautes sont des pirates.
choukky a écrit :
Franchement, la double peine ne concernent que ceux qui la cherche.
Tous les internautes ne sont pas aussi doués en informatique que les gens qui peuvent traîner ici (et même là, j’ai des doutes). Pirater un wifi d’une box d’un petit vieux qui veut faire plaisir à ses petits enfants et le faire tomber dans les filets d’HADOPI est assez simple. De même, y a des gens qui téléchargent des trucs illégaux sans même le savoir (que c’est illégale).
Faut pas croire que tous ceux qui sont sur internet comprennent ce qu’il s’y passe !
Le
18/03/2014 à
09h
58
choukky a écrit :
Après nous avoir pris pour des cons pendant des années, faut pas s’étonner qu’on ne s’émeuve pas d’un retournement de veste.
Des coup de pieds dans les tibias, c’est tout ce que ça mérite ! " />
HADOPI ou gouvernement ? Y en a un qui a élevé cette activité au rang de sport olympique. Pour l’autre, ils sont dans le carcan de lois à la con.
malock a écrit :
Tu es en train de dire que l’on raque pour le résultat A, que l’on obtient un résultat B, alors savourons la victoire… moui…
Bah ouais, de toute manière, on raque quoi qu’il arrive, de toute manière.
Mais je préfère raquer pour un truc qui me fera pas raquer une seconde fois (du genre double peine). Surtout que la seconde fois, c’est pas du tout le même tarif (de mémoire jusqu’à 1.500€ pour l’infraction, peut être plus si poursuites + avoir la honte pour s’être fait chopper pour des chansons de Rihanna).
Après, ça fait du truc du genre 7€ par an et par habitants, ils auraient pu nous offrir un abonnement Netflix à la place " />
Compare le coût de l’HADOPI qui pourrait être utile au coût du CSA qui veut juste institutionnaliser la censure sur Internet. Je préfère l’HADOPI, perso.
Pour la rentabilité, tu n’en a pas parlé, mais c’est un truc qui revient souvent.
Enfin, elle peut remuer pour sauver les meubles ou enfin être libre de ses chaînes. Ça reste à voir ce qu’ils vont faire, mais avec les discussions qu’il y avait eu sur les Labs, je pencherais pour le second (wait&see, donc).
Commentaire_supprime a écrit :
Bref, pour les grenoblois, on aurai eu la ligne E jusqu’à Pont de Claix au lieu de la voir s’arrêter à Louise Michel si on avait mis l’argent de la Hahahadopi à ce poste de dépense.
Ouais, mais tout le monde s’en cogne aussi des transports publiques " />
(en IDF, ça aurait aussi été utile, ils font des nouveaux pôles d’activités sans prévoir les transports qui vont avec, normal…)
Le
17/03/2014 à
15h
02
malock a écrit :
Si c’est ni l’un ni l’autre, alors c’est quoi ?
Parce que ce n’est ni un radar automatique, ni un mécanisme de répression, il est possible d’y voir une victoire ?
“Environ 10 millions d’euros partent vers la Hadopi chaque année, ni pour la répression ni pour le flashage automatique alors c’est une victoire ! Chouette !”
C’est une victoire parce que justement c’est pas un radar automatique (ce qui nous aurait probablement foutu dans une merde noire).
Et dans l’esprit, c’était bel et bien ça son job, pas de travailler sur une offre légale (ça, gouvernement et ayants droits s’en cognent) : matraquer les vilains pirates pour stabiliser et sanctuariser des revenus. Y a qu’à voir les débats de l’époque pour le comprendre.
Le CSA est plus…à l’écoute…des ayants droits, donc la CPD affectée au CSA pourrait effectivement donner un radar automatique.
Et une AAI n’a pas à être “rentable”, c’est pas sa mission.
Après, si la HADOPI semblait avancer (trop) timidement au début, maintenant (ou parce que ?) qu’elle est “condamnée”, y a des chantiers intéressants qui émergent : la rémunération proportionnelle du partage, les différentes analyses d’usages (que les ayants droits auraient dû faire), régulations des exceptions et fair use, etc.
C’est la seule organisation proche du gouvernement (qui pourrait donc faire du lobbying ; parce que écouter les électeurs, c’est trop mainstream) qui porte ce genre de choses.
Le
17/03/2014 à
13h
23
Commentaire_supprime a écrit :
Deux choses :
Hors répression, quel est le bilan d’Hadopi à l’heure actuelle ?
Je n’ai jamais voté pour les promoteurs d’Hadopi en ce qui me concerne.
[…]
Les ayants droits l’ont voulus radar automatique, les politiques l’ont pensé répressives.
Au final, ce n’est ni l’un ni l’autre, ce qui est, pour moi, une victoire : à savoir que finalement un organisme dédié à la chasse aux sorcières…ne fait pas de chasse aux sorcières.
S’il avait punit à tour de bras, les internautes auraient gueulés. Il ne punit pas à tour de bras, mais les internautes gueulent aussi. Fallait quoi du coup ? Qu’il soit le radar automatique que les ayants droits voulaient ? Qu’on se fasse tous flasher et qu’on ai tous 500.000k€ à payer à des parasites ???
Moi non plus l’offre légale ne me convient pas. Elle est trop chère, trop morcelée, faut avoir 5-6 abonnements à 10€ par mois pour tout couvrir et n’en profiter qu’à moitié. Je n’aime pas la chronologie des médias que je juge stupide.
Mais au final, qui fait bouger les lignes ?
Les ayants droits vont rien faire puisque ça leur rapport.
Les “artistes” bougent pas leur (gros, pour certains) cul parce qu’ils veulent pas toucher à l’argent, mais veulent vivre de leurs “œuvres” (les guillemets parce que tous ne sont pas égaux).
Les internautes piratent parce que veulent pas débourser trop de fric.
Alors on fait quoi ?
La HADOPI peut (peut encore ? pouvait ?) faire bouger les choses, alors j’applaudis à deux mains cette mini-victoire. Dans le domaine, tout évènement nouveau pourrait faire avancer les choses pour que tout le monde y trouve son compte.
Après, si tout le monde gueule en campant sur ces positions, c’est juste stupide.
tAran a écrit :
Walter m’a donné effectivement l’image qu’il n’y a pas que du blanc ou du noir dans sa tête et qu’il était très compliqué de trouver des solutions sans léser personne " />
C’est pas blanc ou noir, mais avec plein de nuances de gris (pas que 50).
Mais au moins, eux, ils ont arrêtés de gueuler pour tenter de faire bouger les choses. Et rien que pour ça, ils ont mon admiration. Parce qu’en France, j’ai souvent l’impression de voir plus de campeurs que dans un bon vieux FPS.
Le
17/03/2014 à
10h
44
Railblue a écrit :
C’est écrit ci-dessous :
Justifier une répression aussi ubuesque qu’inefficace, c’est de l’incompétence. Essayer de faire le boulot des majors en termes de marketing, c’est un bon emploi de la compétence.
Malheureusement, cet emploi n’est que cosmétique… A part des labels à la con dont tout le monde se fout, et des campagnes de pub plus pathétiques qu’autre chose, ça a donné quoi, le volet non-répressif d’Hadopi ?
L’HADOPI n’a pas été créé QUE pour ça, c’est la CPD qui a la charge du côté répressif (qui est plus voulu éducatif/préventif par les gens dedans, source de mécontentement côté ayants droits qui voulaient un radar automatique).
Après, c’est nos chers élus qui ont fais en sorte que ce soit comme ça.
Elus qui sont élus par…ceux qui râlent ici, en autres.
Pour le côté promotion de l’offre légale et régulation des MTP, faut aussi que les “consommateurs” suivent et regardent un minimum ce qui est fait, sinon quoi qu’il arrive, c’est un coup d’épée dans l’eau.
Et tant que l’offre légale rapportera pas assez, elle ne sera pas développée.
Cercle vicieux.
Le
17/03/2014 à
09h
43
damrod a écrit :
le probleme d’hadopi c resleir and co, les dirigeants qui ne sont la que pour palper de l’oseille :)
le reste peut tres bien avoir des compétences mais de la a ce qu’elles soient bien utilisées…
Faut définir “bien utilisées”, alors.
Parce que trop souvent, ici, les compétences sont “mal utilisées” dès que c’est l’HADOPI qui fait.
Le
17/03/2014 à
09h
30
tAran a écrit :
J’ai regardé ce week end le 56Kast avec Eric Walter en invité, et j’ai été plutôt surpris par ce qu’il disait : non seulement c’était intéressant, mais en plus c’était plutôt intelligent " />
C’est le cas de plusieurs personnes au sein de l’HADOPI, mais les haters et les bashers de base ne semblent toujours pas disposer à utiliser la matière spongieuse entre leurs deux oreilles pour faire autres chose que…basher.
C’est assez dommage parce que la HADOPI aurait pu être un allié de poids qui écoute les internautes qui veulent de la culture dispo (ex:http://www.offrelegale.fr/oeuvre-introuvable ).
Ceci dit, maintenant qu’ils sont en “instance” de transfert au CSA (et ça, c’est drôle), ils ont, semble-t-il, les mains moins liées.
Après, déterminer la véracité de ces informations… je n’en suis pas capable.
Ah, j’avais vu l’info sur la suisse, mais pas au niveau de l’europe.
Je serais donc moins con en me couchant, ce soir :)
Après, nous faudrait un testeur volontaire-sacrifiable pour la cause ! " />
Le
12/03/2014 à
17h
14
levhieu a écrit :
Sans SIM, sur téléphone récent ou pas, j’ai toujours vu s’afficher la possibilité des appels d’urgence. Certes je n’ai jamais testé, je ne vois pas appeler les pompiers ou la police pour dire «c’était juste pour tester…»
Euh, en gros t’es en train de comparer les écoutes judiciaires françaises, c’est-à-dire des écoutes décidées par un juge dans les conditions déterminées par la loi, aux écoutes effectuées par la NSA, service de renseignement qui agit bien souvent en dehors de tout cadre légal et sous le sceau du secret défense ?
Je dis pas que la loi française est parfaite en ce qui concerne la réglementation des écoutes judiciaires, je pense notamment qu’on devrait informer les personnes écoutées qu’elles ont été écoutées une fois l’enquête terminée, mais ce n’est vraiment pas comparable avec les pratiques de la NSA.
Dans les faits, il y a déjà eu des affaires où les écoutes étaient réalisées sans l’aval d’un juge. Avec la LPM, les conditions changent aussi et donnent plus de “flexibilités”.
Ce que je veux dire, c’est que les écoutes (et par extension la surveillance) s’accroît en France sans que ça choque personne alors que les effets sur notre vie sont potentiellement bien plus impactant que ce que fais la NSA.
malock a écrit :
Ah bon ? J’ignorais… il faut bien que le téléphone soit compléter d’une sim non ? Une qui permet de passer des appels ?
Normalement, si le téléphone respecte la norme, même s’il est verrouillé, tu dois avoir un bout “Urgences” ou assimilable. Ce qui implique que même sans le code pin, tu dois avoir accès aux urgences.
Après, je ne sais pas si la sim est obligatoire ou non, jamais testé.
Par contre, la date d’entrée en vigueur du truc…je sais pas, donc il se peut que les plus vieux téléphones ne le permettent pas.
Pour les écoutes, oui, tu as bien compris ce que je critique. Ce qui est donc applicable à Skype ou tout autre logiciel qui serait ciblé.
Le
12/03/2014 à
15h
23
malock a écrit :
Moi, témoin d’un accident, je prends mon smartphone est utilise skype (vu que maintenant, c’est que de la VOIP papy, faut se tenir à jour) : “pour joindre le 18, veuillez acheter du crédit pour un minimum de 10€. Celui-ci sera disponible dans l’heure suivante votre achat”.
Super.
Sauf que c’est déjà possible avec le téléphone, et ce, quelque soit le téléphone.
Donc prendre l’exemple de Skype sur smartphone n’a pas réellement de sens.
Après, ça “peut” être pertinent sur les PCs, mais je suis pas réellement convaincu.
Mais surtout, ce qui me gène, c’est que les gens gueulent contre les écoutes de la NSA. Que l’Europe veut des garanties de la vie privée, mais que dans le même temps, on va imposer à une société de permettre les écoutes judiciaires qui vont être plus ou moins opaques.
Mais j’ai préféré me faire mon propre avis plutôt que de ressortir un avis prémâché, donc j’ai discuté avec eux, participé aux Labs quand ils étaient ouverts.
Mais y a malheureusement plus de gens qui préfèrent cracher sur tout ce qui passe plutôt que d’avoir un comportement réfléchit et constructif. C’est beau et facile d’être stupide et avaler comme un veau ce qu’on nous donne.
Concernant les attaques personnelles, il y en a eu de très nombreuses (collabo, vendus…) et des attaques professionnelles (ils foutent rien…). Mais pareil, au final, qui a été vérifié que l’idée préconçues étaient (ou non) vraie ?
Après, l’HADOPI agit dans un cadre légal rigide qui est fixé par les politiques.
Si les-dits politiques avaient décidés que favoriser l’offre légale et aider les consommateurs et artistes étaient une chose importante, alors la mission de l’HADOPI serait différente : pas axée sur la répression (qui a bien été rognée dans les faits, par l’HADOPI elle-même). Mais ça n’a pas été le cas.
Idem pour l’ancien label PUR : il ne représente en AUCUN cas quelque chose de qualitatif puisque ce n’est en AUCUN cas son but. Il est là pour désigner une offre légale de vente sans préjuger de la qualité effective du contenu.
On accuse pas un enfant d’avoir le seul tort d’être né. Pareil avec l’HADOPI, faut se pencher sur sa genèse. Le problème vient plus du fait que les politiques ont offerts une loi aux ayants droits, ce qui se rapproche plus d’une ploutocratie que d’une démocratie.
Le
11/12/2013 à
09h
40
Mail d’information :
—————————————-
Paris, le 11 Décembre 2013
Pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs en matière d’offre légale et concrétiser les propositions émises dans son dernier rapport d’activité, l’Hadopi a défini une nouvelle stratégie en d’encouragement au développement de l’offre légale qui poursuit trois objectifs :
Informer
Un nouveau site internet, offrelégale.fr, recense 335 offres culturelles en ligne. Ce site présente également le nouveau label « Offre Légale Hadopi » simplifié et plus souple pour ses titulaires. Conçu par les équipes de l’Hadopi comme un observatoire de l’offre culturelle en ligne, le site donne la parole aux utilisateurs qui peuvent évaluer la qualité des offres recensées et suggérer l’ajout de nouvelles offres. Il a été réalisé en partenariat avec le CNL (Centre National du Livre) l’AFJV (Agence française pour le jeu vidéo) et l’Observatoire de la musique.
Expliquer
En poursuivant et en renforçant les ateliers à destination des équipes pédagogiques et du jeune public, l’Hadopi répond au besoin d’information exprimé par la communauté éducative et permet aux élèves de maîtriser leurs pratiques culturelles en ligne. Conçus et réalisés en collaboration avec les équipes pédagogiques, ces ateliers interactifs portent sur les grands principes du droit d’auteur sous divers aspects (la législation existante, les débats actuels, les licences libres, le domaine public, etc.) et sur les mécanismes de la création.
Appuyer
En créant les ateliers Culture numérique et entreprenariat à destination des entrepreneurs susceptibles de créer et de financer des offres en ligne dédiées à la diffusion de contenus culturels, l’Hadopi souhaite valoriser les retours d’expérience de plateformes de diffusion et les éclairages d’experts sectoriels. Ces ateliers, conduits en partenariat avec des incubateurs et organisations professionnelles d’accompagnement, abordent et reflètent les principales problématiques rencontrées par les entrepreneurs de la culture (l’accès au catalogue, les modèles économiques, l’accès au financement, etc.).
Pour en savoir plus, consultez le dossier de presse en cliquant ici.
Paris, le 11 Décembre 2013
Pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs en matière d’offre légale et concrétiser les propositions émises dans son dernier rapport d’activité, l’Hadopi a défini une nouvelle stratégie en d’encouragement au développement de l’offre légale qui poursuit trois objectifs :
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Un nouveau site internet, offrelégale.fr, recense 335 offres culturelles en ligne. Ce site présente également le nouveau label « Offre Légale Hadopi » simplifié et plus souple pour ses titulaires. Conçu par les équipes de l’Hadopi comme un observatoire de l’offre culturelle en ligne, le site donne la parole aux utilisateurs qui peuvent évaluer la qualité des offres recensées et suggérer l’ajout de nouvelles offres. Il a été réalisé en partenariat avec le CNL (Centre National du Livre) l’AFJV (Agence française pour le jeu vidéo) et l’Observatoire de la musique.
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Une partie de propositions qui avaient vu le jour sur les Labs sont présentes ici.
Donc, ils écoutent les gens. Et agissent quand ils peuvent.
D’autant plus que maintenant que tout le monde s’est prononcé sur leur arrêt de mort (qui tarde à venir dans les faits), ils font ce qu’ils veulent.
Autrement dit, l’HADOPI et surtout les gens qui y travaillent pourraient être une aide précieuse contre les ayants droits et en faveur des consommateurs ET artistes. Si d’aventure les gens arrêtaient de leur cracher dessus.
Donc, au lieu de gueuler de façon stérile, puérile et assez déplacée sur les gens travaillant à l’HADOPI, faudrait peut être se pencher sur la source du problème : les politiques.
Car au final, c’est eux qui ont fixés le cadre légal et renforcé l’aspect répressif, qu’ont achetés les ayants droits, au détriment du développement de l’offre légale.
Si l’HADOPI était le grand méchant que tous les fantasmes décrivent, l’autorité serait “rentable” et les transmissions de dossiers à la justice seraient plus importantes.
Je pense qu’il est important de promouvoir l’exception culturelle Française en imposant des quotas de diffusions de séries Françaises auprès des SMAD.
Prenons un exemple: De nos jours beaucoup de jeunes ne jurent que par des séries US (comme Desperate Housewife ou Games Of Thrones dont je juge le contenu plus que discutable notamment la violence…)
Je pense qu’il serait de bon ton de promouvoir par la loi des séries Française auprès de ce jeune publique afin de l’éduquer dans nos valeurs républicaines.
C’est par la promotion de l’exception culturelle Française que notre pays peut rayonner dans le monde et montrer la voie.
Ahahahahahahahah.
Désolé, mais j’ai bien ris.
J’espère que c’était quand même bien ironique. Sinon, bah…je vais encore plus rire !
Déjà que la culture française a du mal à rayonner en France…
Après, promouvoir par la loi, c’est aussi brider le libre arbitre.
Et sur les frontons de certains bâtiments publiques, on retrouve “Liberté, Egalité, Fraternité”.
Déjà que les deux derniers, c’est mort et enterré, faudrait voir à pas pourrir le premier non plus…
D’ailleurs, en parlant d’Open Data, ça en est où entre PCI et le ministère de la culture ?
Ils jouent le jeu où ils espèrent que vous lâcherez l’affaire ?
Mis à part ça, l’Open Data, c’est quand même un peu la base de la démocratie (que le peuple puisse voir et vérifier ce que fait le gouvernement / l’administration, entre autres).
Donc s’ils le font pas réellement…et bien, faut en tirer les conclusions utiles…
Je dirais « quand c’est possible ». Le cache peut aussi être une source de problèmes. Exemple, j’ai pas une seule page identique à cause d’information dynamiques affichés sur la page : j’ai été obligé de forcer la non mis en cache.
Tout ne peut pas être mis en cache, je suis d’accord.
Mais les fichiers statiques (images, js et css par exemples) peuvent l’être.
Après, tout dépend du langage, mais en .Net (MVC/C#), il est possible de mettre en cache des parties de pages/contenu ou même de conditionner le cache en fonction d’un paramètre (par exemple un identifiant).
zefling a écrit :
J’avais jamais fait attention à ça… pourtant ça pourrait me servir.
Le coup de sous-domaines est réellement avantageux.
Mais il peut être contrebalancé par le nombre de fichiers.
zefling a écrit :
Le gain est négligeable. Ça reste plus souvent à rendre le code illisible qu’autre chose…
Tout dépend des commentaires en question " />
Et après, il y a le serveur qui peuvent le faire à la volée comme l’indique Virtual_Spirit.
zefling a écrit :
Ça dépends pour qui. Quelqu’un qui utilise un CMS est qui n’en a jamais vu le code, j’irais pas lui demander ça.
Khalev a écrit :
Mais pour cette partie Fasterize n’y peux rien non plus.
Y a les bons développeurs et les mauvais développeurs :P
Et aussi ceux qui ne le sont pas.
Après, c’est comme tout, il peut y avoir un très bon CMS qui fait les optimisations et un mauvais gestionnaire qui fait le goret…
Mais que ce soit pour les développeurs ou les gestionnaires, un brin de formation et tout rentre dans l’ordre.
Par contre, faut quand même reconnaître que les gars de chez Fasterize, ils sont pas mauvais. 85ms pour leur page principale et 45ms au refresh, c’est assez respectable (mais à temporiser par le fait que le contenu n’est pas complexe, plutôt statique).
Le
17/09/2013 à
11h
35
Compression GZIP au niveau du serveur Web.
Activer le cache
Utilisation de sous-domaines pour tous les fichiers statiques (images, JS, CSS…; le nombre de connexion de l’explorateur à un domaine est limité, donc plus de sous-domaines = plus de connexions en parallèles)
Suppression de tous les commentaires en CSS, JS et HTML (octets inutiles)
Ne pas charger de fichiers (scripts, css…) qui ne sont pas utilisés
Fusion de tous les JS d’un côté et de tous les CSS de l’autres (1 fichier de 6ko est plus rapide à DL que 2 de 3ko)
Minification des fichiers JS et CSS (donc 2 fichiers en vertu du point précédent)
Tailler les images pour leur affichage (si elles s’affichent en 150*150px, avoir une miniature de cette taille et ne pas utiliser width/height)
Charger les images à posteriori en JS quand elles ne sont pas sur le premier écran
Tout ça, c’est pas très compliqué ni dur…
Après, y a l’optimisation du code côté serveur.
Là, ça peut être plus compliqué si on code comme un porc…
Ou bien, transférer la Hadopi au ministère de l’intérieur…je suis sur qu’on en est capables. " />
ah putain " />
1 aussi
Tant que c’est pas une milice privée des ayants droits, ça restera toujours plus gérables…
Quoique, j’allais dire “en changeant de gouvernement” mais en fait………….
Le
11/09/2013 à
09h
51
Si ça peut les rassurer, je promets solennellement de ne pas participer au piratage massif des produits du divertissements français.
Bon, maintenant, vu la merde qu’ils produisent, ça fait longtemps que c’est le cas…
Mais bon, dans 5 ans, ils se rendront compte que ça marche pas mieux avec le CSA, donc ils réfléchiront à mettre un firewall (et pas Open-Office, il marche pas très bien) national pour empêcher les vilains piratespédonazis de violenter la “culture” sur internet.
Par contre, l’offre légale, on pourra toujours se gratter.
58 commentaires
Ubisoft explose ses objectifs du 1er semestre, grâce à Mario et aux Lapins Crétins
08/11/2017
Le 08/11/2017 à 14h 04
Ouais, enfin siege et wildlands, ils font bien n’importe quoi, quand même…
Sur wildlands, quand ghost war (pvp) est sortit (courant octobre 2017), y avait 2000-2500 personnes connectées dessus chaque soir
Ces derniers temps, c’est plutôt 500 personnes…et les cheaters apparaissent…
Y a des chances que le pognon qu’ils fassent avec perdure pas trop…
ExoMars : Schiaparelli pensait avoir atterri alors qu’il était encore à 3,7 km d’altitude
28/11/2016
Le 28/11/2016 à 16h 11
C’était par rapport au commentaire cité que je disais ça.
Après, y a tellement de facteurs qui entrent en jeu (y compris la com’ entre les équipes de l’ESA, avec des supputations d’un côté ou de l’autre)…
Et puis ils sont bien moins rodés que la NASA et ont moins de budget…
Ça joue aussi.
Le 28/11/2016 à 15h 44
Éparpillée façon puzzle.
Mais on peut pas comprendre, c’est de l’art.
Le 28/11/2016 à 15h 29
Un accord entre Microsoft et FireEye crée des remous sur le partage de la télémétrie
28/11/2016
Le 28/11/2016 à 15h 33
Microsoft lutte contre les botnets https://blogs.technet.microsoft.com/mmpc/2015/12/02/microsoft-assists-law-enforc…
Donc, plus leur OS est sécurisé de base, moins ils ont à investir pour lutter contre les effets.
Sur le court terme, ça peut coûter, sur le long terme, c’est plus intelligent.
Vivendi franchit le seuil des 20 % du capital d’Ubisoft
20/06/2016
Le 20/06/2016 à 11h 42
Pis être qu’avec l’arrivée de tunes fraiches, ils vont enfin mettre en place un contrôle qualité…
Largement soutenu, Microsoft tente de protéger les emails stockés en Irlande
16/12/2014
Le 19/12/2014 à 10h 54
Joli effort ! :)
Pour les CGU, ça dépend des lois (dont réglementation) auxquelles sont soumises les entreprises.
Une CGU “correcte” aux US ne le sera pas en Suisse, par exemple (qui a des lois pour protéger les données personnelles).
Donc, la définition de l’usage abusif est très relatif.
Et pour moi, c’est une question de confiance.
De la même manière que Mamie va envoyé de l’argent liquide à son petit-fils par la Poste, que ton FAI ne va pas lire tes mails, que ton prestataire de cloud ne va pas farfouiller dans tes fichiers, etc.
Les technologies ont changées, mais on revient toujours au même problème : doit-on faire confiance au prestataire de service ?
Le 17/12/2014 à 11h 43
Si tu pense réellement que mettre un fichier sur le cloud offre un droit “limitatif”…
Un changement de CGU et paf, le droit n’est plus limitatif.
Et comme tu dois accepter les CGU pour utiliser le cloud…
Après, si ta banque demande à son prestataire de lui fournir ta demande de prêt dans le carton X, ça veut dire que t’auras un archiviste qui va aller ouvrir le carton, chercher le papier en question et le retirer du carton. S’il est un tant soit peut malveillant, il pourra faire plus que “juste” le reconnaître.
Là aussi, c’est un problème de confiance, mais sur lequel nous ne pouvons strictement pas agir.
Imagine maintenant que le prestataire qui stocke tes fiches de paye et informations pour virement bancaire numérisées soit aussi bien sécurisé que le réseau Sony. Es-tu réellement certain qu’il est sécurisé ? Qu’il pourrait se rendre compte s’il y a un vol de données ? En aurais-tu conscience ?
Ce n’est pas parce que tu ne sais pas que ça ne se produit pas.
Pour les restrictions, ça veut dire qu’il y a une réglementation particulière à respecter. Ça veut pas dire qu’elle soit pertinente.
Le 16/12/2014 à 13h 14
Le 16/12/2014 à 12h 38
Sans vouloir être vexant, que vous le vouliez ou non, vos données sont déjà “dans la nature”.
Que ce soit dans un cloud ou dans un entrepôt.
Qu’il soit français ou non, en france ou non.
Pour les papiers (archivage physique), les banques, assurances, comptables, administration publique, etc. peuvent faire appel à des “tiers archiveurs”.
Grosso modo, ils stockent dans les entrepôts (contrats avec signatures, etc.) ou sous forme numérique (assimilable cloud, archivage numérique).
En france, il n’y a pas que des entreprises françaises qui se partagent le marché.
Rising Star : Social TV is not enough
11/10/2014
Le 11/10/2014 à 16h 32
Pour passer devant la cité du cinéma tous les jours, ce qui a été flagrant, c’est le public qui doit être dans la salle.
La première fois, du monde qui faisait la queue, avec des barrières qui cassaient les coui sur le trottoir (pourtant large). La seconde fois, moitié moins de monde. Et jeudi dernier, presque personne.
Apprentissage du code : Interview de la députée Laure de la Raudière
09/07/2014
Le 09/07/2014 à 16h 09
Le CSA ne veut pas être ignoré de la Commission du Numérique
30/06/2014
Le 30/06/2014 à 12h 07
Il peut en découler des stratégies de délocalisation et une tentation du moins-disant culturel
C’est pas ce qui est déjà fait sur la TV française ?
OneDrive Business modifie bien les fichiers, mais ce n’est pas nouveau
29/04/2014
Le 29/04/2014 à 14h 00
Pour info, j’ai lu le billet du monsieur.
Et l’un des commentaires est très éclairant.
http://www.myce.com/news/microsoft-onedrive-for-business-modifies-files-as-it-sy…
Commentaire de choose-another (traduction libre) :
OneDrive for Business _est_ SharePoint, c’est le nouveau nom pour SharePoint Workspace pour être plus précis. Il permet de synchroniser avec SharePoint dans le cloud de Microsoft. C’est cependant une chose totalement différente de OneDrive (pour utilisateur, grand public). Je ne comprendrais jamais pourquoi le marketing de Microsoft a permit une telle confusion.
SharePoint est un gestionnaire de documents (DMS, Document Management System) et pas un système de fichiers. Il synchronise les méta-données des documents depuis et _dans_ le document (en fonction du format du fichier).
Dans les fichiers de type contenant (binaires…), c’est fait dans les méta-données et non dans le contenu, votre document n’est donc pas touché (essayer avec des documents office avec signatures électroniques, la signature restera valide car il valide le contenu, non les méta-données). Dans certains formats de fichiers, il va inclure des commentaires (3ème captures de la news) qui n’affectent pas le contenu (comme vu précédemment).
ShartePoint (OneDrive Pro) va procéder de la même manière et c’est une fonctionnalité documentée depuis une dizaine d’années - voir http://weblogs.asp.net/bsimser/archive/2004/11/22/267846.aspx
Si quelqu’un voit des modifications à faire à la traductions, n’hésitez pas.
Le 29/04/2014 à 11h 58
Le 29/04/2014 à 09h 46
Le 29/04/2014 à 09h 22
Le 29/04/2014 à 08h 40
Contrat Open Bar entre Microsoft et la Défense : la réaction de l’AFUL
24/04/2014
Le 24/04/2014 à 14h 51
Il connait les informaticiens qui bossent là bas, le monsieur ?
Non, parce que bon, dire direct qu’il y a une “incompétence informatique programmée au sein de son ministère”, c’est quand même un brin méchant.
Par contre, je ne résiste pas à citer le même monsieur dans le dernier article de l’AFUL :
Le logiciel libre a gagné ! Il est partout, inévitable, devenu indispensable et jamais la production de code sous licence libre n’a été aussi grande.
https://aful.org/blog/logiciels-libres-fiers-chemin-parcouru-n-en-sous-estimons)
Le mindef est donc l’irréductible gaulois ! " />
Des chercheurs assimilent le piratage de fichiers au marché de la drogue
10/04/2014
Le 10/04/2014 à 13h 14
Bah, c’est du peer to beer.
C’est pourtant bien connu !
Une députée confronte le libre au contrat open bar entre Microsoft et l’Armée
08/04/2014
Le 09/04/2014 à 13h 31
Le 09/04/2014 à 09h 57
Le 09/04/2014 à 08h 44
Le 08/04/2014 à 18h 41
Le 08/04/2014 à 15h 48
Leu lenguage SMS né pa raisponsabl D difQLt an ortaugraf
19/03/2014
Le 19/03/2014 à 14h 57
C’est peut être pas dangereux pour l’orthographe, pas contre, pour la compréhension et les yeux…………..
Hadopi : 70 000 euros pour estimer les échanges de manière plus effective
17/03/2014
Le 19/03/2014 à 10h 27
Le 18/03/2014 à 09h 58
Le 17/03/2014 à 15h 02
Le 17/03/2014 à 13h 23
Le 17/03/2014 à 10h 44
Le 17/03/2014 à 09h 43
Le 17/03/2014 à 09h 30
Opérateur ou logiciel ? Le statut de Skype objet d’une enquête
12/03/2014
Le 12/03/2014 à 18h 31
Le 12/03/2014 à 17h 14
Le 12/03/2014 à 16h 49
Le 12/03/2014 à 15h 23
Un malware exploite une faille Java corrigée en juin dernier
29/01/2014
Le 29/01/2014 à 13h 30
La solution pour se prémunir contre cette menace est relativement simple : il suffit de mettre à jour votre version de Java si ce n’est pas déjà fait.
Le désinstaller, comme flash, ça marche aussi pas mal.
Après, faut avoir le choix et l’opportunité de le faire…
La Hadopi remplace le label PUR par le LOL
11/12/2013
Le 11/12/2013 à 17h 01
Bon, j’ai remis la main dessus :
http://labs.hadopi.fr/forum/debats-publics/les-evolutions-possibles-du-site-pur
Moteur de recherche, filtres, fiche pratique, open data, aspect contributif…toutes les idées étaient là.
Les réponses d’Eric Walter (concernant Loi et réglementation) sont éclairantes.
Mais entre mars 2012 et maintenant, beaucoup de choses ont changées.
Le 11/12/2013 à 13h 17
@lanoux : as-tu jamais discuté avec les gens qui travaillent dans l’HADOPI ?
@NonMais : pas employé, non.
Mais j’ai préféré me faire mon propre avis plutôt que de ressortir un avis prémâché, donc j’ai discuté avec eux, participé aux Labs quand ils étaient ouverts.
Mais y a malheureusement plus de gens qui préfèrent cracher sur tout ce qui passe plutôt que d’avoir un comportement réfléchit et constructif. C’est beau et facile d’être stupide et avaler comme un veau ce qu’on nous donne.
Concernant les attaques personnelles, il y en a eu de très nombreuses (collabo, vendus…) et des attaques professionnelles (ils foutent rien…). Mais pareil, au final, qui a été vérifié que l’idée préconçues étaient (ou non) vraie ?
Après, l’HADOPI agit dans un cadre légal rigide qui est fixé par les politiques.
Si les-dits politiques avaient décidés que favoriser l’offre légale et aider les consommateurs et artistes étaient une chose importante, alors la mission de l’HADOPI serait différente : pas axée sur la répression (qui a bien été rognée dans les faits, par l’HADOPI elle-même). Mais ça n’a pas été le cas.
Idem pour l’ancien label PUR : il ne représente en AUCUN cas quelque chose de qualitatif puisque ce n’est en AUCUN cas son but. Il est là pour désigner une offre légale de vente sans préjuger de la qualité effective du contenu.
On accuse pas un enfant d’avoir le seul tort d’être né. Pareil avec l’HADOPI, faut se pencher sur sa genèse. Le problème vient plus du fait que les politiques ont offerts une loi aux ayants droits, ce qui se rapproche plus d’une ploutocratie que d’une démocratie.
Le 11/12/2013 à 09h 40
Mail d’information :
—————————————-
Paris, le 11 Décembre 2013
Pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs en matière d’offre légale et concrétiser les propositions émises dans son dernier rapport d’activité, l’Hadopi a défini une nouvelle stratégie en d’encouragement au développement de l’offre légale qui poursuit trois objectifs :
Informer
Un nouveau site internet, offrelégale.fr, recense 335 offres culturelles en ligne. Ce site présente également le nouveau label « Offre Légale Hadopi » simplifié et plus souple pour ses titulaires. Conçu par les équipes de l’Hadopi comme un observatoire de l’offre culturelle en ligne, le site donne la parole aux utilisateurs qui peuvent évaluer la qualité des offres recensées et suggérer l’ajout de nouvelles offres. Il a été réalisé en partenariat avec le CNL (Centre National du Livre) l’AFJV (Agence française pour le jeu vidéo) et l’Observatoire de la musique.
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En poursuivant et en renforçant les ateliers à destination des équipes pédagogiques et du jeune public, l’Hadopi répond au besoin d’information exprimé par la communauté éducative et permet aux élèves de maîtriser leurs pratiques culturelles en ligne. Conçus et réalisés en collaboration avec les équipes pédagogiques, ces ateliers interactifs portent sur les grands principes du droit d’auteur sous divers aspects (la législation existante, les débats actuels, les licences libres, le domaine public, etc.) et sur les mécanismes de la création.
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Paris, le 11 Décembre 2013
Pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs en matière d’offre légale et concrétiser les propositions émises dans son dernier rapport d’activité, l’Hadopi a défini une nouvelle stratégie en d’encouragement au développement de l’offre légale qui poursuit trois objectifs :
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En poursuivant et en renforçant les ateliers à destination des équipes pédagogiques et du jeune public, l’Hadopi répond au besoin d’information exprimé par la communauté éducative et permet aux élèves de maîtriser leurs pratiques culturelles en ligne. Conçus et réalisés en collaboration avec les équipes pédagogiques, ces ateliers interactifs portent sur les grands principes du droit d’auteur sous divers aspects (la législation existante, les débats actuels, les licences libres, le domaine public, etc.) et sur les mécanismes de la création.
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En créant les ateliers Culture numérique et entreprenariat à destination des entrepreneurs susceptibles de créer et de financer des offres en ligne dédiées à la diffusion de contenus culturels, l’Hadopi souhaite valoriser les retours d’expérience de plateformes de diffusion et les éclairages d’experts sectoriels. Ces ateliers, conduits en partenariat avec des incubateurs et organisations professionnelles d’accompagnement, abordent et reflètent les principales problématiques rencontrées par les entrepreneurs de la culture (l’accès au catalogue, les modèles économiques, l’accès au financement, etc.).
Pour en savoir plus, consultez le dossier de presse en cliquant ici http://www.hadopi.fr/sites/default/files/Dossierdepresse.pdf)
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Une partie de propositions qui avaient vu le jour sur les Labs sont présentes ici.
Donc, ils écoutent les gens. Et agissent quand ils peuvent.
D’autant plus que maintenant que tout le monde s’est prononcé sur leur arrêt de mort (qui tarde à venir dans les faits), ils font ce qu’ils veulent.
Autrement dit, l’HADOPI et surtout les gens qui y travaillent pourraient être une aide précieuse contre les ayants droits et en faveur des consommateurs ET artistes. Si d’aventure les gens arrêtaient de leur cracher dessus.
Donc, au lieu de gueuler de façon stérile, puérile et assez déplacée sur les gens travaillant à l’HADOPI, faudrait peut être se pencher sur la source du problème : les politiques.
Car au final, c’est eux qui ont fixés le cadre légal et renforcé l’aspect répressif, qu’ont achetés les ayants droits, au détriment du développement de l’offre légale.
Si l’HADOPI était le grand méchant que tous les fantasmes décrivent, l’autorité serait “rentable” et les transmissions de dossiers à la justice seraient plus importantes.
Selon Malek Boutih, les pires pulsions galopent sur le Far-West Internet
15/11/2013
Le 15/11/2013 à 12h 58
Je ne pensais pas que toutes les attaques à l’encontre Christiane Taubira (ou Cécile Kyenge en Italie) venait d’internet…
Comment le Sénat veut accentuer le contrôle du CSA sur la vidéo en ligne
18/09/2013
Le 18/09/2013 à 15h 41
Open Data : la piqûre de rappel de Matignon à destination des ministres
18/09/2013
Le 18/09/2013 à 09h 32
D’ailleurs, en parlant d’Open Data, ça en est où entre PCI et le ministère de la culture ?
Ils jouent le jeu où ils espèrent que vous lâcherez l’affaire ?
Mis à part ça, l’Open Data, c’est quand même un peu la base de la démocratie (que le peuple puisse voir et vérifier ce que fait le gouvernement / l’administration, entre autres).
Donc s’ils le font pas réellement…et bien, faut en tirer les conclusions utiles…
Fasterize veut accélérer les sites web en modifiant / optimisant le code HTML
17/09/2013
Le 17/09/2013 à 13h 12
Le 17/09/2013 à 12h 56
Le 17/09/2013 à 11h 35
Tout ça, c’est pas très compliqué ni dur…
Après, y a l’optimisation du code côté serveur.
Là, ça peut être plus compliqué si on code comme un porc…
Le « piratage massif » pour justifier au plus vite le transfert Hadopi-CSA
11/09/2013
Le 11/09/2013 à 12h 33
Le 11/09/2013 à 09h 51
Si ça peut les rassurer, je promets solennellement de ne pas participer au piratage massif des produits du divertissements français.
Bon, maintenant, vu la merde qu’ils produisent, ça fait longtemps que c’est le cas…
Mais bon, dans 5 ans, ils se rendront compte que ça marche pas mieux avec le CSA, donc ils réfléchiront à mettre un firewall (et pas Open-Office, il marche pas très bien) national pour empêcher les vilains piratespédonazis de violenter la “culture” sur internet.
Par contre, l’offre légale, on pourra toujours se gratter.
Prism : Microsoft et Google n’ont pas l’autorisation d’en dévoiler davantage
02/09/2013
Le 02/09/2013 à 11h 40