kerrubin
est avec nous depuis le 5 avril 2013 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
58 commentaires
Ubisoft explose ses objectifs du 1er semestre, grâce à Mario et aux Lapins Crétins
Le 08/11/2017Le 08/11/2017 à 14h 04
Ouais, enfin siege et wildlands, ils font bien n’importe quoi, quand même…
Sur wildlands, quand ghost war (pvp) est sortit (courant octobre 2017), y avait 2000-2500 personnes connectées dessus chaque soir
Ces derniers temps, c’est plutôt 500 personnes…et les cheaters apparaissent…
Y a des chances que le pognon qu’ils fassent avec perdure pas trop…
ExoMars : Schiaparelli pensait avoir atterri alors qu’il était encore à 3,7 km d’altitude
Le 28/11/2016Le 28/11/2016 à 16h 11
C’était par rapport au commentaire cité que je disais ça.
Après, y a tellement de facteurs qui entrent en jeu (y compris la com’ entre les équipes de l’ESA, avec des supputations d’un côté ou de l’autre)…
Et puis ils sont bien moins rodés que la NASA et ont moins de budget…
Ça joue aussi.
Le 28/11/2016 à 15h 44
Éparpillée façon puzzle.
Mais on peut pas comprendre, c’est de l’art.
Le 28/11/2016 à 15h 29
Un accord entre Microsoft et FireEye crée des remous sur le partage de la télémétrie
Le 28/11/2016Le 28/11/2016 à 15h 33
Microsoft lutte contre les botnets https://blogs.technet.microsoft.com/mmpc/2015/12/02/microsoft-assists-law-enforc…
Donc, plus leur OS est sécurisé de base, moins ils ont à investir pour lutter contre les effets.
Sur le court terme, ça peut coûter, sur le long terme, c’est plus intelligent.
Vivendi franchit le seuil des 20 % du capital d’Ubisoft
Le 20/06/2016Le 20/06/2016 à 11h 42
Pis être qu’avec l’arrivée de tunes fraiches, ils vont enfin mettre en place un contrôle qualité…
Largement soutenu, Microsoft tente de protéger les emails stockés en Irlande
Le 16/12/2014Le 19/12/2014 à 10h 54
Joli effort ! :)
Pour les CGU, ça dépend des lois (dont réglementation) auxquelles sont soumises les entreprises.
Une CGU “correcte” aux US ne le sera pas en Suisse, par exemple (qui a des lois pour protéger les données personnelles).
Donc, la définition de l’usage abusif est très relatif.
Et pour moi, c’est une question de confiance.
De la même manière que Mamie va envoyé de l’argent liquide à son petit-fils par la Poste, que ton FAI ne va pas lire tes mails, que ton prestataire de cloud ne va pas farfouiller dans tes fichiers, etc.
Les technologies ont changées, mais on revient toujours au même problème : doit-on faire confiance au prestataire de service ?
Le 17/12/2014 à 11h 43
Si tu pense réellement que mettre un fichier sur le cloud offre un droit “limitatif”…
Un changement de CGU et paf, le droit n’est plus limitatif.
Et comme tu dois accepter les CGU pour utiliser le cloud…
Après, si ta banque demande à son prestataire de lui fournir ta demande de prêt dans le carton X, ça veut dire que t’auras un archiviste qui va aller ouvrir le carton, chercher le papier en question et le retirer du carton. S’il est un tant soit peut malveillant, il pourra faire plus que “juste” le reconnaître.
Là aussi, c’est un problème de confiance, mais sur lequel nous ne pouvons strictement pas agir.
Imagine maintenant que le prestataire qui stocke tes fiches de paye et informations pour virement bancaire numérisées soit aussi bien sécurisé que le réseau Sony. Es-tu réellement certain qu’il est sécurisé ? Qu’il pourrait se rendre compte s’il y a un vol de données ? En aurais-tu conscience ?
Ce n’est pas parce que tu ne sais pas que ça ne se produit pas.
Pour les restrictions, ça veut dire qu’il y a une réglementation particulière à respecter. Ça veut pas dire qu’elle soit pertinente.
Le 16/12/2014 à 13h 14
Le 16/12/2014 à 12h 38
Sans vouloir être vexant, que vous le vouliez ou non, vos données sont déjà “dans la nature”.
Que ce soit dans un cloud ou dans un entrepôt.
Qu’il soit français ou non, en france ou non.
Pour les papiers (archivage physique), les banques, assurances, comptables, administration publique, etc. peuvent faire appel à des “tiers archiveurs”.
Grosso modo, ils stockent dans les entrepôts (contrats avec signatures, etc.) ou sous forme numérique (assimilable cloud, archivage numérique).
En france, il n’y a pas que des entreprises françaises qui se partagent le marché.
Rising Star : Social TV is not enough
Le 11/10/2014Le 11/10/2014 à 16h 32
Pour passer devant la cité du cinéma tous les jours, ce qui a été flagrant, c’est le public qui doit être dans la salle.
La première fois, du monde qui faisait la queue, avec des barrières qui cassaient les coui sur le trottoir (pourtant large). La seconde fois, moitié moins de monde. Et jeudi dernier, presque personne.
Apprentissage du code : Interview de la députée Laure de la Raudière
Le 09/07/2014Le 09/07/2014 à 16h 09
Le CSA ne veut pas être ignoré de la Commission du Numérique
Le 30/06/2014Le 30/06/2014 à 12h 07
Il peut en découler des stratégies de délocalisation et une tentation du moins-disant culturel
C’est pas ce qui est déjà fait sur la TV française ?
OneDrive Business modifie bien les fichiers, mais ce n’est pas nouveau
Le 29/04/2014Le 29/04/2014 à 14h 00
Pour info, j’ai lu le billet du monsieur.
Et l’un des commentaires est très éclairant.
http://www.myce.com/news/microsoft-onedrive-for-business-modifies-files-as-it-sy…
Commentaire de choose-another (traduction libre) :
OneDrive for Business _est_ SharePoint, c’est le nouveau nom pour SharePoint Workspace pour être plus précis. Il permet de synchroniser avec SharePoint dans le cloud de Microsoft. C’est cependant une chose totalement différente de OneDrive (pour utilisateur, grand public). Je ne comprendrais jamais pourquoi le marketing de Microsoft a permit une telle confusion.
SharePoint est un gestionnaire de documents (DMS, Document Management System) et pas un système de fichiers. Il synchronise les méta-données des documents depuis et _dans_ le document (en fonction du format du fichier).
Dans les fichiers de type contenant (binaires…), c’est fait dans les méta-données et non dans le contenu, votre document n’est donc pas touché (essayer avec des documents office avec signatures électroniques, la signature restera valide car il valide le contenu, non les méta-données). Dans certains formats de fichiers, il va inclure des commentaires (3ème captures de la news) qui n’affectent pas le contenu (comme vu précédemment).
ShartePoint (OneDrive Pro) va procéder de la même manière et c’est une fonctionnalité documentée depuis une dizaine d’années - voir http://weblogs.asp.net/bsimser/archive/2004/11/22/267846.aspx
Si quelqu’un voit des modifications à faire à la traductions, n’hésitez pas.
Le 29/04/2014 à 11h 58
Le 29/04/2014 à 09h 46
Le 29/04/2014 à 09h 22
Le 29/04/2014 à 08h 40
Contrat Open Bar entre Microsoft et la Défense : la réaction de l’AFUL
Le 24/04/2014Le 24/04/2014 à 14h 51
Il connait les informaticiens qui bossent là bas, le monsieur ?
Non, parce que bon, dire direct qu’il y a une “incompétence informatique programmée au sein de son ministère”, c’est quand même un brin méchant.
Par contre, je ne résiste pas à citer le même monsieur dans le dernier article de l’AFUL :
Le logiciel libre a gagné ! Il est partout, inévitable, devenu indispensable et jamais la production de code sous licence libre n’a été aussi grande.
https://aful.org/blog/logiciels-libres-fiers-chemin-parcouru-n-en-sous-estimons)
Le mindef est donc l’irréductible gaulois ! " />
Des chercheurs assimilent le piratage de fichiers au marché de la drogue
Le 10/04/2014Le 10/04/2014 à 13h 14
Bah, c’est du peer to beer.
C’est pourtant bien connu !
Une députée confronte le libre au contrat open bar entre Microsoft et l’Armée
Le 08/04/2014Le 09/04/2014 à 13h 31
Le 09/04/2014 à 09h 57
Le 09/04/2014 à 08h 44
Le 08/04/2014 à 18h 41
Le 08/04/2014 à 15h 48
Leu lenguage SMS né pa raisponsabl D difQLt an ortaugraf
Le 19/03/2014Le 19/03/2014 à 14h 57
C’est peut être pas dangereux pour l’orthographe, pas contre, pour la compréhension et les yeux…………..
Hadopi : 70 000 euros pour estimer les échanges de manière plus effective
Le 17/03/2014Le 19/03/2014 à 10h 27
Le 18/03/2014 à 09h 58
Le 17/03/2014 à 15h 02
Le 17/03/2014 à 13h 23
Le 17/03/2014 à 10h 44
Le 17/03/2014 à 09h 43
Le 17/03/2014 à 09h 30
Opérateur ou logiciel ? Le statut de Skype objet d’une enquête
Le 12/03/2014Le 12/03/2014 à 18h 31
Le 12/03/2014 à 17h 14
Le 12/03/2014 à 16h 49
Le 12/03/2014 à 15h 23
Un malware exploite une faille Java corrigée en juin dernier
Le 29/01/2014Le 29/01/2014 à 13h 30
La solution pour se prémunir contre cette menace est relativement simple : il suffit de mettre à jour votre version de Java si ce n’est pas déjà fait.
Le désinstaller, comme flash, ça marche aussi pas mal.
Après, faut avoir le choix et l’opportunité de le faire…
La Hadopi remplace le label PUR par le LOL
Le 11/12/2013Le 11/12/2013 à 17h 01
Bon, j’ai remis la main dessus :
http://labs.hadopi.fr/forum/debats-publics/les-evolutions-possibles-du-site-pur
Moteur de recherche, filtres, fiche pratique, open data, aspect contributif…toutes les idées étaient là.
Les réponses d’Eric Walter (concernant Loi et réglementation) sont éclairantes.
Mais entre mars 2012 et maintenant, beaucoup de choses ont changées.
Le 11/12/2013 à 13h 17
@lanoux : as-tu jamais discuté avec les gens qui travaillent dans l’HADOPI ?
@NonMais : pas employé, non.
Mais j’ai préféré me faire mon propre avis plutôt que de ressortir un avis prémâché, donc j’ai discuté avec eux, participé aux Labs quand ils étaient ouverts.
Mais y a malheureusement plus de gens qui préfèrent cracher sur tout ce qui passe plutôt que d’avoir un comportement réfléchit et constructif. C’est beau et facile d’être stupide et avaler comme un veau ce qu’on nous donne.
Concernant les attaques personnelles, il y en a eu de très nombreuses (collabo, vendus…) et des attaques professionnelles (ils foutent rien…). Mais pareil, au final, qui a été vérifié que l’idée préconçues étaient (ou non) vraie ?
Après, l’HADOPI agit dans un cadre légal rigide qui est fixé par les politiques.
Si les-dits politiques avaient décidés que favoriser l’offre légale et aider les consommateurs et artistes étaient une chose importante, alors la mission de l’HADOPI serait différente : pas axée sur la répression (qui a bien été rognée dans les faits, par l’HADOPI elle-même). Mais ça n’a pas été le cas.
Idem pour l’ancien label PUR : il ne représente en AUCUN cas quelque chose de qualitatif puisque ce n’est en AUCUN cas son but. Il est là pour désigner une offre légale de vente sans préjuger de la qualité effective du contenu.
On accuse pas un enfant d’avoir le seul tort d’être né. Pareil avec l’HADOPI, faut se pencher sur sa genèse. Le problème vient plus du fait que les politiques ont offerts une loi aux ayants droits, ce qui se rapproche plus d’une ploutocratie que d’une démocratie.
Le 11/12/2013 à 09h 40
Mail d’information :
—————————————-
Paris, le 11 Décembre 2013
Pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs en matière d’offre légale et concrétiser les propositions émises dans son dernier rapport d’activité, l’Hadopi a défini une nouvelle stratégie en d’encouragement au développement de l’offre légale qui poursuit trois objectifs :
Informer
Un nouveau site internet, offrelégale.fr, recense 335 offres culturelles en ligne. Ce site présente également le nouveau label « Offre Légale Hadopi » simplifié et plus souple pour ses titulaires. Conçu par les équipes de l’Hadopi comme un observatoire de l’offre culturelle en ligne, le site donne la parole aux utilisateurs qui peuvent évaluer la qualité des offres recensées et suggérer l’ajout de nouvelles offres. Il a été réalisé en partenariat avec le CNL (Centre National du Livre) l’AFJV (Agence française pour le jeu vidéo) et l’Observatoire de la musique.
Expliquer
En poursuivant et en renforçant les ateliers à destination des équipes pédagogiques et du jeune public, l’Hadopi répond au besoin d’information exprimé par la communauté éducative et permet aux élèves de maîtriser leurs pratiques culturelles en ligne. Conçus et réalisés en collaboration avec les équipes pédagogiques, ces ateliers interactifs portent sur les grands principes du droit d’auteur sous divers aspects (la législation existante, les débats actuels, les licences libres, le domaine public, etc.) et sur les mécanismes de la création.
Appuyer
En créant les ateliers Culture numérique et entreprenariat à destination des entrepreneurs susceptibles de créer et de financer des offres en ligne dédiées à la diffusion de contenus culturels, l’Hadopi souhaite valoriser les retours d’expérience de plateformes de diffusion et les éclairages d’experts sectoriels. Ces ateliers, conduits en partenariat avec des incubateurs et organisations professionnelles d’accompagnement, abordent et reflètent les principales problématiques rencontrées par les entrepreneurs de la culture (l’accès au catalogue, les modèles économiques, l’accès au financement, etc.).
Pour en savoir plus, consultez le dossier de presse en cliquant ici.
Paris, le 11 Décembre 2013
Pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs en matière d’offre légale et concrétiser les propositions émises dans son dernier rapport d’activité, l’Hadopi a défini une nouvelle stratégie en d’encouragement au développement de l’offre légale qui poursuit trois objectifs :
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Un nouveau site internet, offrelégale.fr, recense 335 offres culturelles en ligne. Ce site présente également le nouveau label « Offre Légale Hadopi » simplifié et plus souple pour ses titulaires. Conçu par les équipes de l’Hadopi comme un observatoire de l’offre culturelle en ligne, le site donne la parole aux utilisateurs qui peuvent évaluer la qualité des offres recensées et suggérer l’ajout de nouvelles offres. Il a été réalisé en partenariat avec le CNL (Centre National du Livre) l’AFJV (Agence française pour le jeu vidéo) et l’Observatoire de la musique.
Expliquer
En poursuivant et en renforçant les ateliers à destination des équipes pédagogiques et du jeune public, l’Hadopi répond au besoin d’information exprimé par la communauté éducative et permet aux élèves de maîtriser leurs pratiques culturelles en ligne. Conçus et réalisés en collaboration avec les équipes pédagogiques, ces ateliers interactifs portent sur les grands principes du droit d’auteur sous divers aspects (la législation existante, les débats actuels, les licences libres, le domaine public, etc.) et sur les mécanismes de la création.
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Pour en savoir plus, consultez le dossier de presse en cliquant ici http://www.hadopi.fr/sites/default/files/Dossierdepresse.pdf)
—————————————-
Une partie de propositions qui avaient vu le jour sur les Labs sont présentes ici.
Donc, ils écoutent les gens. Et agissent quand ils peuvent.
D’autant plus que maintenant que tout le monde s’est prononcé sur leur arrêt de mort (qui tarde à venir dans les faits), ils font ce qu’ils veulent.
Autrement dit, l’HADOPI et surtout les gens qui y travaillent pourraient être une aide précieuse contre les ayants droits et en faveur des consommateurs ET artistes. Si d’aventure les gens arrêtaient de leur cracher dessus.
Donc, au lieu de gueuler de façon stérile, puérile et assez déplacée sur les gens travaillant à l’HADOPI, faudrait peut être se pencher sur la source du problème : les politiques.
Car au final, c’est eux qui ont fixés le cadre légal et renforcé l’aspect répressif, qu’ont achetés les ayants droits, au détriment du développement de l’offre légale.
Si l’HADOPI était le grand méchant que tous les fantasmes décrivent, l’autorité serait “rentable” et les transmissions de dossiers à la justice seraient plus importantes.
Selon Malek Boutih, les pires pulsions galopent sur le Far-West Internet
Le 15/11/2013Le 15/11/2013 à 12h 58
Je ne pensais pas que toutes les attaques à l’encontre Christiane Taubira (ou Cécile Kyenge en Italie) venait d’internet…
Comment le Sénat veut accentuer le contrôle du CSA sur la vidéo en ligne
Le 18/09/2013Le 18/09/2013 à 15h 41
Open Data : la piqûre de rappel de Matignon à destination des ministres
Le 18/09/2013Le 18/09/2013 à 09h 32
D’ailleurs, en parlant d’Open Data, ça en est où entre PCI et le ministère de la culture ?
Ils jouent le jeu où ils espèrent que vous lâcherez l’affaire ?
Mis à part ça, l’Open Data, c’est quand même un peu la base de la démocratie (que le peuple puisse voir et vérifier ce que fait le gouvernement / l’administration, entre autres).
Donc s’ils le font pas réellement…et bien, faut en tirer les conclusions utiles…
Fasterize veut accélérer les sites web en modifiant / optimisant le code HTML
Le 17/09/2013Le 17/09/2013 à 13h 12
Le 17/09/2013 à 12h 56
Le 17/09/2013 à 11h 35
Tout ça, c’est pas très compliqué ni dur…
Après, y a l’optimisation du code côté serveur.
Là, ça peut être plus compliqué si on code comme un porc…
Le « piratage massif » pour justifier au plus vite le transfert Hadopi-CSA
Le 11/09/2013Le 11/09/2013 à 12h 33
Le 11/09/2013 à 09h 51
Si ça peut les rassurer, je promets solennellement de ne pas participer au piratage massif des produits du divertissements français.
Bon, maintenant, vu la merde qu’ils produisent, ça fait longtemps que c’est le cas…
Mais bon, dans 5 ans, ils se rendront compte que ça marche pas mieux avec le CSA, donc ils réfléchiront à mettre un firewall (et pas Open-Office, il marche pas très bien) national pour empêcher les vilains piratespédonazis de violenter la “culture” sur internet.
Par contre, l’offre légale, on pourra toujours se gratter.
Prism : Microsoft et Google n’ont pas l’autorisation d’en dévoiler davantage
Le 02/09/2013Le 02/09/2013 à 11h 40