Bref, qu’ils continuent avec leurs barèmes délirants… Ils peuvent même taxer à hauteur de 5000€ de l’octet s’ils veulent, ça m’empêchera pas d’acheter dans des pays plus raisonnables à moins de quitter le marché unique.
Ça ne te gêne pas que la majorité des Français, qui ne connaissent pas ce mécanisme ni les moyens de s’en protéger, financent ces escrocs? C’est un peu comme dire que la mafia peut bien racketter ce qu’elle veut, parce que de toute façon tu sais t’en prémunir…
MarcRees a écrit :
pas d’inquiétude, j’ai la CADA au ceinturon.
" />
Le
23/10/2017 à
15h
01
C’est pas garanti. Dans certaines procédures, il faut gagner une préseléction pour avoir accès à l’appel d’offre complet.
Sinon, l’analyse caviardée des éléments financiers serait déjà instructive.
Le
23/10/2017 à
14h
55
Je suis intrigué par cette notion d’aller ausculter les disques durs des sondés.
Je suppose qu’il y avait un appel d’offre, et que cet appel d’offre décrit une certaine façon de faire, ou des exigences. Si dans ces exigences, il y a l’auscultation (ce qui est douteux, mais c’est un autre débat), alors l’offre de Médiamétrie n’est pas recevable. Si elle n’y est pas, mais que le CSA la propose, ça ne devrait pas favoriser le CSA. Je suppose que le CCTP, les offres et leurs évaluations ne sont pas diffusées?
Ce qui serait aussi intéressant à analyser, ce serait la liste des questions posées par les sondeurs. J’en avais vu un extrait il y a quelques années, c’était clairement orienté pour que les gens se trompent et répondent en incluant tout ce qui était piraté.
Quand le système informatique te permets de faire un acte illégal, mais pas de revenir dans les clous quand tu t’en aperçois…
Le
23/10/2017 à
11h
05
Faith a écrit :
Oui, c’est triste d’avoir toujours à le rappeler.
C’est aussi assez triste que certaines personnes associent la honte à l’acte de dénoncer et pas au fait qu’il s’agissait à l’époque de spolier voir de faire tuer un innocent.
Associer la dénonciation de quelqu’un qui vandalise (je prends cet exemple parce que c’est un débat qui revient souvent à propos des casseurs dans les manifs…) à la Shoah, ça démontre une vision de l’histoire et de la morale assez particulière.
Si tu as un comportement aussi différent avec les deux OS, c’est que tu en maitrise bien un bien et pas du tout l’autre (ce qui n’est pas une critique, tu as parfaitement le droit de ne pas t’intéresser à Windows).
Quelqu’un qui connait Windows aussi bien que tu connais linux, et linux aussi bien que tu maitrises Windows aboutirait à la conclusion exactement inverse, ça ne démontrerait pas pour autant que linux est plus complexe à réinstaller.
Tu ne peux pas extrapoler de ça le temps nécessaire à remettre en place des machines de façon générale.
Les gens compétents que je connais sont capables de réinstaller de façon quasi-automatisée les deux systèmes en quelques heures (en fait c’est le réseau qui limite).
Les gens incompétents galèreront avec les deux systèmes.
Le
19/10/2017 à
12h
28
2show7 a écrit :
C’est bien de croire que toutes les sociétés ont un admin compétent en permanence. Certain envoi leur PC en réparation.
Ce que je remarque c’est la façon facile que vous avez de parler en croyant que vous avez à faire à votre double compétent et que la logique veut que ce soit facile. Les difficultés sont différentes selon les cas.
Je ne crois pas que toutes les sociétés ont un admin compétent. Je dit juste que si on veut comparer Windows et Linux, il faut les comparer à ‘compétence d’admin’ égale.
Quand tu dis
2show7 a écrit :
C’est à vous de voir si vous préférer passer de 10 h à une journée ou 1 h à 2 h (dans le pire des cas sur linux). Ensuite tout dépend de ce que vous aimez utiliser et pour quelle utilité.
tu pars implicitement du principe que le type qui gère le Windows ne sais pas ce qu’il fait (puisqu’un admin compétent le fait en quelques heures, moi-même, qui ne suis pas admin du tout, ça me prends ~3 heures pour refaire mon PC à neuf, le gros du temps étant passé à attendre que les programmes se téléchargent).
Il faut donc pour que la comparaison soit juste partir du principe que l’admin linux ne sait lui non plus pas ce qu’il fait. Est-ce que quelqu’un qui ne sait pas ce qu’il fait est vraiment capable de réinstaller et reparamétrer un linux en moins de 2h?
Le
18/10/2017 à
12h
12
2show7 a écrit :
J’ai dit “gravement”.
Je parlais d’une réinstall complète. Je ne vois pas trop ce qu’il peut y avoir de plus lourd comme mesure suite à une atteinte grave du poste de travail.
2show7 a écrit :
Il faut aussi tenir compte du temps de réaction et de la compétence de l’employé dans l’informatique (chacun sa spécialité)
Si l’objet est de comparer Windows et Linux, il faut partir du principe que les admins Windows et Linux sont de compétence égale. Idem pour le délai de réaction.
Des guignols admins sous linux font certainement autant de dégâts que leurs équivalents sous Windows.
Le
18/10/2017 à
11h
49
2show7 a écrit :
Dans une société si ça tombe gravement en panne le matin et qu’il faut tout réinstaller. l’employé ne pourra rien faire de la journée sur son PC (dans le meilleur des cas), avec Linus, ça lui prendra environ 2 h (dans le meilleures des cas si pas plus, mais jamais autant)
Qu’est-ce qui te fait dire qu’il faut une journée?
Chez nous, il faut 3 heures pour remettre en état un PC Windows. Sauvegarde des données, descente MDT, MAJ & install de logiciels complémentaires depuis le WSUS, réinjection des données. Et je suis absolument certain qu’on pourrait faire mieux en se donnant un peu plus de mal.
Si après il y a des logiciels ‘métiers’ spécifiques sur le poste, tout dépend du logiciel et de la façon dont il a été codé, mais ça c’est ni mieux ni pire qu’avec Linux.
Le
18/10/2017 à
08h
25
Honnêtement, 5 ou 20 minutes, à mon avis, ça n’a pas grande importance. C’est une opération qu’on fait assez rarement, même si on est un gros geek, et le gros du temps passé n’est pas là mais dans la réinstallation / reparamétrage des logiciels utilisés. Ce qui est significatif, c’est l’ordre de grandeur, car si c’était effectivement 2j comme certains le prétendent, ça serait effectivement différent.
En fait, le vrai critère de confort selon moi, c’est le moment où l’interactivité est requise. Si c’est tout au début ou tout à la fin, parfait. On lance, on va faire un tour, quand on revient c’est fini. S’il faut faire des choses tout le long, galère.
On est en 2017 pour information, et les administrations ont eu tout le loisir de s’adapter/évoluer depuis le temps.
Autant certaines administrations sont clairement dans l’obstruction, autant c’est un peu simpliste que de dire ça.
L’affichage politique de faire de l’open data est relativement récent, assez peu engageant, et les budgets SI étant ce qu’ils sont, il est assez logique que les administrations aient plutôt pour priorité de continuer à tourner que de s’améliorer sur ce sujet. Mêmes pour celles qui sont de bonne volonté, et même s’il y a plein de gens dans les administrations qui le regrettent.
Ne pas oublier non plus que certaines administrations vivent en partie de la vente de données et se demandent bien comment elles vont survivre si elles doivent les publier gratuitement sans que la perte de revenu soit compensée par autre chose.
Il me semble par contre tout à fait légitime de critiquer l’absence de cohérence entre le discours politique et les allocations / priorisations budgétaires, qui traduisent bien mieux la réelle volonté politique que le blabla faits lors des meetings.
J’aurais plutôt dit l’inverse : plus cher au guichet, mais pas forcément plus cher au final.
L’exemple donné va clairement dans le sens du libéral, même s’il ne fait aucun doute qu’il doit aussi exister des exemple inverses.
Le
13/10/2017 à
15h
28
vanesh a écrit :
Les pays-bas sont un pays plus libéral que la France, qui subventionnent les musées bien moins qu’en France mais au final avec leur carte, cela coûte moins cher au citoyen.
C’est marrant que tu présentes ça comme une contradiction. Par construction, ce qui est libéral coûte moins cher au citoyen, au moins dans ce domaine. Un musée bien subventionné n’a qu’un intérêt modéré à faire venir du public, alors qu’un musée privé a besoin de faire du chiffre pour survivre.
Après, est-ce que le mercantilisme associé nuit à la qualité, c’est un autre débat.
Non. La latence fait la mesure, c’est la variation de la latence qui fait l’imprécision.
Si tu tiens vraiment à utiliser le vocabulaire informatique, c’est la gigue le problème.
Inodemus a écrit :
Moi je comprends ça dans le sens où on ne connaîtra jamais la valeur exacte d’une seconde, mais qu’on sait qu’elle est plus proche de la 9 192 631 770 ème vibration que de n’importe quelle autre vibration.
Non non. Par définition, la seconde c’est exactement 9 192 631 770 vibrations. Pas 0.01 de plus, pas 0.01 de moins. L’imprécision est dans la mesure, pas dans la définition.
En fait, on pourrait arbitrairement décider que la seconde c’est un autre nombre d’oscillations. Physiquement, ça tiendrait très bien (même si ça changerait la valeur de certaines constantes).
On a probablement choisi ce nombre parce que c’est ce qui est le plus proche de l’ancienne définition, et qu’il n’y avait aucune raison de perturber tout le monde en faisant un changement significatif.
OlivierJ a écrit :
Non non.
Je grossissait le trait, j’avais pas la prétention d’être scientifiquement exacte. Cela étant, j’ai appris des choses grâce à toi et tmtisfree et je reconnais que ma métaphore n’est pas terrible. Si je comprends bien le lien de tmtisfree, c’est plus une notion de perturbations extérieures du système imparfaitement maitrisées qu’il s’agit.
Peut-être que la métaphore adaptée c’est une horloge dans un bateau dont le balancier est influencé par les vagues, alors que la définition correspond à une mer calme. (mais c’est moins parlant je trouve)
Le
13/10/2017 à
16h
35
C’est pas la latence du signal le problème. Au contraire, le principe même du GPS c’est de mesurer la latence pour en déduire la position.
C’est d’une part la précision du récepteur (des histoires de capacité de mesure de différence de phase pour les plus précis, me demande pas les détails), qu’on peut imaginer améliorer avec le temps, mais aussi, et c’est là que restera la limite à long terme, la météo. Les signaux radio ne vont pas à la même vitesse selon les propriétés de l’air (température, hygrométrie…) entre le satellite et le récepteur, ce qui crée des imprécisions dans la mesure.
Pour aller au-delà, il faudrait pouvoir connaitre l’état de toutes les couches d’air sur l’ensemble de l’atmosphère, cad avoir accès à des données météos ultra-précises sur tous les récepteurs GPS.
Aujourd’hui, on n’a pas ces données, c’est même plutôt l’inverse qu’il se passe : des exploitants de systèmes de positionnement remontent des infos aux météorologues (ils ont des stations dont la position est très précisément connue, ils arrivent donc à déduire des infos sur l’atmosphère à partir des erreurs de mesure de leurs GPS)
Le
13/10/2017 à
16h
25
Gats a écrit :
Ça voudrait dire que la référence n’est pas la vibration de l’atome de césium, mais autre chose. Alors quoi exactement ?
C’est pas la définition de la seconde qui est imprécise, c’est l’outil de mesure. C’est bien la vibration du césium qui définit la seconde, mais rien ne dit que l’horloge arrive à les compter parfaitement.
Pour grossir le trait, tu peux imaginer une horloge à balancier (le césium), et un type qui compte fait un bâtons sur une feuille à chaque oscillation (l’horloge). La balancier peut être aussi parfait qu’il veut, si de temps en temps le type rate une oscillation, ou a un tremblement et fait un bâton de trop, le décompte sur son papier n’est plus parfaitement fiable.
Je me suis toujours demandé comment les députés faisaient pour travailler avec des amendements qui reprennent textuellement des modifications. Un outil ressemblant graphiquement à un Word en mode modification semble infiniment plus clair.
Chez Google, ils sortent des maj comme une horloge et ça tourne plutôt pas mal globalement. Mais les mecs qui sont censés supporter leurs produits hard font pas le job derrière…
Certes, le gros de la responsabilité est chez les constructeurs, mais il y a quand même plusieurs failles où la position de Google était de ne la corriger que dans la dernière ou les deux dernières versions majeures de l’OS, et de dire à tous les autres qu’ils n’ont qu’à changer de version majeure.
Si MS faisait ça sur Windows (ce qui correspond à arrêter les MAJ de W7 à la sortie de W10, y compris de sécurité), ça ferait un beau scandale.
Après on peut argumenter sur le fait que la MAJ de Google est gratuite, mais ça reste une position discutable.
Si ma mémoire est bonne, dans ce genre d’enquête c’est le recel qui est utiliser pour faire tomber les admins, donc il faut prouver des liens financiers. Pour ça il faut une enquête avec des ‘droits’ assez élevés, que la Hadopi n’a certainement pas.
Pour lancer cette enquête ils ont besoin d’une action en justice, ce document a probablement pour objet de justifier celle-ci, donc d’avancer des bonnes raisons de penser qu’il y a baleine sous caillou, même s’ils ne sont pas en mesure d’apporter des preuves.
Le
09/10/2017 à
11h
34
Je suppose (j’espère) que l’objectif est d’avoir une analyse factuelle précise utilisable en justice. Ils devaient eux aussi avoir un avis sur le résultat avant de mener l’étude.
Ca me semble très discutable. Dans les deux cas, l’objectif est de faire des sous. Dans les deux cas, la consommation de puissance de calcul est un moyen (connu et assumé par le webmaster). Mais c’est vrai que l’inconfort apporté à l’utilisateur n’est pas le même.
Si on considère qu’utiliser sans l’annoncer du CPU est un comportement de malware, je pense qu’on devrait logiquement considérer qu’exfiltrer en douce des données personnelles l’est aussi.
Évidemment, CloudFlare ne va pas le faire, la majorité de sa clientèle étant probablement dépendante de ce modèle.
Le
06/10/2017 à
11h
13
Les pubs vidéos pourries et les 350 outils de tracking utilisent eux aussi des scripts ajoutés dans la page chargée et consomment ta puissance de calcul (et ta bande passante) pour faire de l’argent, et sans consentement autre que le fait d’avoir ouvert la page.
Autant je n’approuve pas l’idée de faire miner les clients en douce, autant j’ai moi aussi du mal à voir en quoi c’est plus malveillant que la pub.
Je dirais même que ça l’est moins puisque si ça me plait pas, il suffit que je quitte le site pour arrêter, alors que le tracking publicitaire, je ne peux pas le défaire.
C’est un faux combat… A ce train là autant interdire les passagers, la radio, la musique au volant… le conducteur aussi, ça serait pas mal ça… " />
L’étude coût / bénéfice, ça te dis quelque chose?
S’interdire de téléphoner au volant coûte bien moins à la société que s’interdire d’avoir des passagers.
A risque égal (à supposer qu’il le soit), il est bien plus utile d’interdire le téléphone que les passagers.
Le
02/10/2017 à
14h
33
WereWindle a écrit :
Ensuite, (et dans le même temps) tu compares le fait de tuer quelqu’un bourré en voiture au fait de simplement passer un coup de fil ou en recevoir un. Encore une fois, on ne peut qu’admirer la pertinence de l’argument. Comme ça, au pif, mon petit doigt me dit que le mec dans le pays étranger a écopé de la perpet pour le meurtre, pas pour la conduite en état d’ébriété.
Proposition pour le prochain bac de philo : est-il juste de sanctionner différemment une prise de risque selon que le risque se soit réalisé ou non?
Le
02/10/2017 à
14h
22
YohAsAkUrA a écrit :
Alors maintenant je veux bien que tu m’expliques la différence d’attention qu’il peut y avoir entre ton interlocuteur quand tu l’as sur une oreillette ou quand tu l’as sur le système audio de ta voiture ou n’importe quelle autre enceinte Bluetooth dans ta caisse?
Quand tu téléphones tu écoutes et tu réfléchis à ce que tu va répondre. Il faut de plus que tu te concentres sur l’écoute, car le son est souvent de qualité médiocre. Avec la radio et la musique, tu ne participes pas à la conversation, et si la route nécessite ton attention, tu arrêtes naturellement d’écouter sans avoir à t’en justifier à qui que ce soit.
Cela étant, si on faisait des études sur le sujet, je ne serais pas étonné que la radio fasse légèrement augmenter le nombre d’accidents (à moins qu’elle le fasse diminuer en aidant à rester éveillé?).
maverick72 a écrit :
Si la personne n’arrive pas a comprendre qu’elle met sa vie ainsi que la vie des autres en danger alors oui pourquoi pas la prison a vie.
BTW c’est déjà le cas (la prison à vie) pour les gens qui tues en étant bourré dans certains pays (et c’est très bien) donc oui c’est pas si délirant comme idée.
135 euros et 3 points ca ne dissuade personne.
Le matheux que je suis a un jour demandé à un agent de la RATP pourquoi l’amende en cas d’“oubli de compostage” était si faible qu’il était statistiquement rentable (et de loin) de frauder, alors qu’il m’aurais paru bien plus logique que le montant soit calculé de façon à rendre la fraude perdante.
Celui-ci m’a répondu qu’un montant trop élevé ferait juste fuir les fraudeurs, qui se mettraient à traverser les voies en courant pour échapper au contrôleurs, et autres techniques très raisonnables.
Je trouve dans le principe qu’on pourrait largement augmenter l’amende pour téléphone au volant (contrairement à un petit excès de vitesse ou même à un feu rouge grillé, c’est forcément volontaire, il n’y a vraiment pas d’excuse), mais il faut rester raisonnable pour pas que ça devienne la fête du slip.
Il n’y a qu’à regarder le nombre de gens qui conduisent sans permis pour voir que ça ne peut pas répondre à tout.
C’est un consultant en vadrouille à la campagne qui s’arrête à côté d’un berger.
[…]
Maintenant vous me rendez mon chien !
[/HS]
Je la connaissait sous une forme différente où on ne savait que le type est consultant que tout à la fin, je la trouvais encore meilleure. Dans la mienne, le type était aussi polytechnicien, histoire de cumuler un peu.
Avast a été pris en flagrant délit de minimisation en situation de crise. A court terme au moins, ils ont perdu toute crédibilité à mes yeux.
Au moins dans les quelques mois à venir, en attendant que tout le monde ait fini sa reverse-ingénieurie j’applique le principe de précaution, et je considère que toutes les variantes de la 5.34 sont vérolées, et que les autres versions sont suspectes (ce qui est la recommandation de l’ANSSI, certes ceinture et bretelles comme à leur habitude).
En plus honnêtement, c’est pas du tout contraignant de se passer d’un logiciel comme CCleaner quelques temps (c’est pas comme s’il fallait par exemple se priver de client mail).
Il est vrai que CCleaner n’est pas forcément plus vérolé que d’autres trucs que j’ai sur mon PC, mais pour les autres je n’ai pas (encore?) de raison de les suspecter!
Le
22/09/2017 à
16h
12
Kerghan a écrit :
Aussi détecté par SEP sur certains postes au boulot (normalement CCleaner n’est pas installé par défaut sur nos postes mais certains se font plaisir dès que tu leurs donnes des droits d’administrateur local qui sont “essentiels” dans leur travail). " />
Après qu’on ait fait l’annonce aux employés qu’il y avait du CCleaner vérolé sur le réseau, que les machines concernées devaient être déconnectées du réseau, et qu’on allait passer les réinstaller, certains CCleaner 5.33 ont mystérieusement disparu.
Je crois qu’ils se sont senti bien cons quand on leur a mis l’historique de l’outil d’inventaire sous le nez et demandé ce qui avait bien pu se passer entre l’annonce et notre passage. " />
Avast s’est fait piraté. Ils n’ont rien vu pendant un mois, jusqu’à ce que quelqu’un d’autre le leur signale.
Ils nous expliquent ensuite que sur 30% des machines infectées, il y avait leur anti-virus, et que comme celui-ci n’a rien vu, c’est probablement qu’il ne s’est rien passé.
Puis d’autres éditeurs apportent la preuve qu’il s’est passé des choses redoutables. Preuve manifestement convaincante puisqu’Avast revient sur sa déclaration précédente.
Autant le niveau 1 tient plus de la fonction gadget (si vous commencer à franchir les lignes sans vous en rendre compte, c’est qu’il est temps de faire une pause)
Je trouve au contraire que c’est pas du tout un gadget mais un gros bonus de sécurité, justement parce que ça permet de prendre conscience qu’il faut faire cette pause avant d’être arrivé dans le fossé.
Le niveau 2 effectivement, aucun intérêt selon moi.
crocodudule a écrit :
Ca semble malgré tout curieux que le pilote “automatique” ne capte pas qu’il va droit sur un obstacle pour au moins freiner même avec un retard.
Il n’a jamais vu l’obstacle. Évidemment qu’il a pas freiné.
Je suis sûr que dans les conditions qui vont bien, ta golf est elle aussi aveuglée. La différence est que comme tu ne la laisses pas conduire toute seule, tu gères ces situations sans même t’apercevoir qu’elle a raté quelque chose.
Si on veut pinailler sur le vocabulaire, ce serait plutôt l’inverse.
Dans la majorité des cas, quand on parle de racisme, c’est surtout une affaire de couleur (ok, je grossis le trait). Or d’un point de vue taxinomique, la notion de race est beaucoup plus proche de cela que la notion d’ethnie : ethnie fait référence à des aspects culturels, race fait référence à des caractères physiologiques héréditaires.
Si on voulait être vraiment précis, je crois que c’est de sous-espèce qu’on devrait parler (pas 100% sûr), la notion de race faisant écho à de la sélection artificielle (évolution relativement récente de la définition).
Après en pratique (et y compris dans la loi), on parle effectivement d’ethnie parce qu’on a décidé un jour qu’il ne fallait plus parler de race parce que ça alimentait le racisme (ce qui consiste à se cacher derrière son petit doigt, de mon point de vue). Dans ce contexte, il eut été plus logique à défaut d’être scientifiquement exact de parler d’ethnie dans ce document.
Ce n’est pas un élément de langage, creux pas définition, mais un qualificatif qui est plutôt adapté au concept.
Proposez-en un autre plus adéquat.
Par ailleurs, ce n’est pas une idéologie mais un concept pragmatique et rationnel, rien à voir donc.
L’usage de “privateur” est volontairement péjoratif, et découle directement de l’idée selon laquelle l’utilisateur a un droit inaliénable à pouvoir connaitre le détail du fonctionnement de son ordinateur et ce quel que soit les logiciels qu’il utilise… ce qui est clairement une position idéologique (sans connotation péjorative).
Donc oui, c’est bien un élément de langage idéologique. La dénomination non connotée est “logiciel propriétaire”.
Patch a écrit :
Pour le voir dans mon taf, je peux le confirmer : pour la gestion des tickets de demandes et d’incidents, on utilise GLPI, dans une version légèrement modifiée pour coller à notre utilisation… Ca a quasi rien coûté à l’Administration, reste simple à utiliser une fois la logique comprise, et a évité de créer ou acheter des licences pour un truc proprio qui serait en prime certainement moins pratique (comme, au hasard, ces 2 horreurs que sont Easyvista (qui nous sert à suivre le parc informatique, avec une interface tellement logique qu’on a 2 sous-menus nommés “Inventaire” dans le même menu déroulant, et ne menant pas du tout à la même chose!) ou Chorus (le cauchemard de ceux qui gèrent les budgets dans l’Administration))…
Le ‘défaut’ des logiciels libres, c’est que certaines entreprises et administrations veulent croire que c’est magique : comme c’est gratuit, pas besoin de budget, de marché ou de projet, et c’est la fête du slip. GLPI a été très mal accueilli chez nous parce que très mal amené (périmètre trop large et mal défini, paramétrage pas suffisamment éprouvé, infra très très peu performante…). Et même si les gens s’y habituent petit à petit, le fond du problème reste : il est maintenu à bout de bras quand ils en ont le temps par 3 personnes de bonne volonté dont ce n’est pas le travail.
Mais ce n’est pas un défaut du logiciel libre évidemment, c’est un défaut d’organisation qui, dans mon expérience, se présente plus facilement avec les logiciels libres parce que quand le directeur doit signer un chèque de 200k€, il fait plus attention à ce que l’organisation derrière soit à la hauteur.
Ce qui est fantastique dans tout ça, c’est que la conclusion que pas mal de gens en tirent, c’est que le logiciel libre c’est bien dans le principe, mais ce n’est décidément pas à la hauteur des logiciels payants (le fait qu’ils utilisent payant par opposition à libre étant assez révélateur de l’état d’esprit)
Pas perdu le nord chez Equifax… ils ont mis une page web en ligne pour vérifier si vous êtes victime du hack… en vous imposant un eula qui vous empêche de les poursuivre en justice par la suite…
L’idiophilie, source infinie de grands moments " />
Si ces gens se contentais d’acheter des trucs hors de prix dans leur coin, ça irait.
Le problème, c’est que quand les honnêtes gens cherchent des conseils pour des enceintes pour leur home cinéma, il sont pollués par des milliers de commentaires comme ‘à moins de 4000€, on entend le carton’, ‘en dessous de 800W on sonorise pas plus de 5m²’ ou ‘si le bobinage de ton ampli est pas en platine, ça te grattera les oreilles’.
En tant que piéton je suis pas du tout d’accord avec l’idée d’être la potentielle victime pour sauver 1 voir 4 occupants. Quand des personnes montent dans 1T de taule pour se déplacer ils font un choix.
Sans ça, les marques vont être tentées de privilégier d’écraser des piétons pour afficher le moins de risque possible pour leur conducteur.
Mais avec ça, des rigolos vont s’amuser à se jeter devant une voiture auto pour la faire partir dans le décors (ou à jeter un mannequin suffisamment bien fait).
elec a écrit :
Ouh la laaa.. on va vite voir débouler les ayatollahs de la défense des animaux, qui sont déjà très, très actifs sur les réseaux sociaux et ont acquis un tel pouvoir qu’ils arrivent à faire voter des lois… (pas tapeeeer !!)
On trouve quand même pas grand monde pour (sérieusement) soutenir qu’il faut privilégier une vie animale à une vie humaine.
elec a écrit :
Quand à endommager les biens, je rejoins ArchangeBlandin sur un principe : “Comme on ne sait pas ce qu’il y a, on doit éviter d’y envoyer la voiture”. En effet, derrière le mur d’une maison il peut y avoir une famille en train de dormir paisiblement.. (déjà que ça arrive IRL, des gens qui se retrouvent avec un camion dans le salon…)
Autre approche, le faire sur la base de probabilités. Si 99% des murs ne cassent pas quand la voiture rentre dedans, il ne pourrait être préférable de ne ‘pas trop’ tenir compte de la famille qui pourrait être derrière.
Moche pour celle qui est effectivement derrière un mur en carton, mais efficace globalement.
elec a écrit :
Un truc qu’il va falloir gérer, aussi: les pannes “hardware” et leur détection : Une explosion d’un pneu ok ça se détecte, mais un simple bruit bizarre dans le maître-cylindre de freins annonciateur d’un pépin plus sérieux ?Il va falloir de plus en plus de capteurs sophistiqués, donc sources de nouvelles pannes eux aussi (et de faux-positifs!).
Là-dessus, je ne vois pas vraiment de différence avec une voiture non-automatique. Certaines pannes sont déjà détectées, d’autres nécessitent la jugeote du propriétaire de la voiture.
Certes, de là à virer quelqu’un… Après je ne sais pas ce qu’il s’est passé en interne. Il a peut-être eu de multiples rappels à l’ordre, ce qui rendrait le licenciement plus compréhensible.
(je serais étonné que l’admin voit vraiment ce qu’il veut. Si ma mémoire est bonne, le secret des correspondances peut être levé, mais que pour des raisons qui doivent être annoncées à l’avances, et il faut que la mesure soit ‘proportionnée’ (donc même si c’est flou, ça ne peut pas être n’importe quelle raison). Chez nous, les raisons invocables sont la sécurité et la stabilité du SI, la continuité de service (et bien sûr toute demande qui proviendrait d’un juge). Un admin ne peut pas regarder ce qui lui plait et un chef de service ne peut pas demander un extrait des mails d’un membre de son équipe sans une autorisation tierce.)
Le
29/08/2017 à
16h
11
Il me semble qu’en France, regarder le contenu de la messagerie professionnelle est légal, et peut servir de base à un licenciement, mais à certaines conditions. Notamment l’employé doit avoir été explicitement informé de cette surveillance.
Par contre, à moins qu’il ne faisait plus que ça de ses journées (auquel cas il doit y avoir moyen de le virer pour l’absence de travail), licencier quelqu’un pour quelques discussions persos, c’est bien con et ça ressemble à un prétexte.
Tu essayes de m’emmener sur un autre chemin glissant, mais je m’en tiendrais à ça: il n’y a pas une unique forme d’homosexualité, et tout rassembler sous un même terme ne peut qu’encourager les comportement délirants comme ceux des parents qui rejettent leurs enfants parce qu’il s’imaginent immédiatement La Cage aux Folles parce que leur fils a fait un bisous à son meilleur ami.
C’est absurde. Il y a une définition communément admise à l’homosexualité. Elle englobe des tas de réalités, et elle n’est peut-être pas assez rigoureuse pour mener des études scientifiques, mais elle est suffisamment claire pour ne pas sous-entendre homosexuel cage aux folles.
Celui qui fait cette association d’idée est bourré de préjugés. Il s’imagine probablement aussi que les femmes ne savent pas faire de créneaux. Ce n’est pas l’emploi du mot ‘homosexuel’ qui lui a donné ces préjugés, pas plus que celui du mot ‘femme’ l’a rendu sexiste.
Je ne pense pas que cette exigence aigüe sur le vocabulaire aille dans le sens de la banalisation de l’homosexualité. Bien au contraire, elle maintient un caractère spécial et sensible au sujet, alors que la diversité des cas individuels n’a rien de propre à l’homosexualité, elle existe dans toute catégorisation qu’on peut faire des humains.
A l’inverse, je défend le fait que l’acceptation de l’homosexualité passera, entre autres, par le fait de la considérer comme une caractéristique parmi tant d’autres, qui ne justifie ni mépris ni rejet, mais pas non plus de précaution oratoire particulière ou d’accusation de haine à la moindre maladresse.
Le
24/08/2017 à
08h
54
On parle de statistiques, de corrélations, ça n’a pas de lien avec les multiples façon de vivre son homosexualité. Quand on fait des études statistiques sur les habitudes de consommation des différentes catégories socio-professionnelles par exemple, on se fiche du fait qu’il y a des cadres sup qui consomment comme des ouvriers et l’inverse, on s’intéresse aux tendances. Ça n’a rien de méprisant ni stigmatisant, et ça n’a rien de contradictoire avec le fait qu’il y ait autant d’histoires personnelles que d’individus.
Au fond de notre discussion, c’est peut-on se permettre d’utiliser des termes flous dans une discussion de comptoir ou dans des commentaires sur internet. Mon avis est que tant qu’on ne prétend pas démontrer quelque chose de spécifique sur le groupe mal défini, ce n’est pas quelque chose de très important.
Par exemple, si je prétends que ‘les homosexuels le sont parce que machin’, il faut que je sois très spécifique par ce que je désigne sous ce terme, parce que l’usage d’une autre définition rendrait mon affirmation fausse (si elle ne l’est pas dès le départ!)
Si je dis ‘je ne pense pas qu’il faille s’interdire de rechercher d’éventuelles corrélations entre l’homosexualité et des facteurs biologiques’, la définition précise du terme n’a pas vraiment d’importance. Ma position sur le sujet (qui est discutable, c’est pas ça le soucis) ne changera pas si on change ce qu’on classifie comme homosexualité. Il est même impossible pour moi d’être plus spécifique, parce que je ne sais pas quelle serait la définition pertinente (et même s’il y en a une).
Dois-je pour autant m’interdire d’en parler?
Faith a écrit :
Ben oui, justement…
Parce que les “noirs” n’ont aucune raison d’avoir un profil sanitaire spécifique:
La couleur de peau est très fortement corrélée au taux de mélanine. Si un médicament a un effet secondaire lié à la mélanine, les noirs ont clairement un profil spécifique, et cela peut justifier des recommandations d’usage différentes selon la couleur de peau du patient.
Après, évidemment, les études visant à évaluer cet effet se baseraient sur quelque chose de plus spécifique (pour l’exemple, disons que l’étude détermine un taux de mélanine à partir duquel les effets secondaires dépassent les effets positifs).
Mais dans la discussion de comptoir sur le shitstorm que déclenchent invariablement ce type de conclusions, est-ce raisonnable de s’attendre à ce que les gens ne disent pas ‘les noirs’, ou ‘les personnes ayant la peau sombre’, mais utilisent la définition précise ‘les personnes ayant plus de x mg de mélanine par cm² de peau’ et s’interdisent d’en parler s’ils ne connaissent pas la définition exacte de l’étude?
Tout cela étant des choses sur lesquelles aucun jugement de valeur sur les groupes mentionnés n’est fait, ce serait évidemment un autre débat si c’était le cas.
Le
23/08/2017 à
16h
43
FunnyD a écrit :
Parce que tout le monde ne veut pas d’enfants tout simplement.
Pourquoi? " />
Le
23/08/2017 à
16h
42
Oui, une étude sérieuse sur le sujet commence par définir les termes qu’elle emploie. Je pensais que le contexte l’impliquait clairement, mais il faut bien comprendre à chaque fois que j’ai utilisé un mot de la famille d’homosexuel que c’est ‘au sens de l’article’.
L’idée que je présente (qu’il est toujours utile de connaitre les causes potentielles des choses) est totalement indépendante de la définition précise de la chose en question et je n’ai d’aucune idée de la définition pertinente qui serait à utiliser pour cette étude (à supposer qu’il en existe une).
Je ne vois pas ce que ça apporterait que j’essaie d’être plus spécifique.
Dans le même ordre d’idée, il y a certains médicaments qui sont déconseillés aux noirs (me demande pas pourquoi, mais il y a consensus dans le monde médical, donc je suppose qu’il y a des raisons sérieuses).
Est-ce que c’est stigmatisant de discuter du bien-fondé de faire des études sanitaires spécifiquement sur les noirs (ce qui peut être vu comme du racisme), sans définir précisément ce que signifie le mot noir? (dans le genre flou, celui-là est aussi pas mal)
Le
23/08/2017 à
11h
39
J’ai écrit ‘Si l’homosexualité est liée à’ et pas ‘L’homosexualité est causée par’. Je n’ai ni affirmé que l’hypothèse était vraie, ni évoqué l’éventualité que ce serait l’explication absolue à tous les cas d’homosexualité.
J’ai juste défendu l’intérêt de savoir si l’affirmation était fondée (la réponse pouvant être partiellement).
Je ne connais pas les études en question, mais je n’avais même pas imaginé qu’elles puissent prétendre démontrer une relation de cause à effet systématique.
Je suppose qu’il s’agirait - si c’est confirmé - d’un ‘facteur de risque’ (le terme est maladroit puisqu’il s’applique normalement à une maladie, mais je n’en connais pas d’équivalent plus neutre), cad cela augmenterait la probabilité d’être plus tard homosexuel, sans que ce soit ni une cause certaine, ni l’explication de tous le cas d’homosexualité.
On peut sans soucis affirmer que le tabac est un facteur de risque pour le cancer du poumon sans oublier pour autant qu’il y a des tas de cancers différents, des tas d’autres causes (génétique, gaz d’échappements, amiante…), que c’est multi-factoriel, et aussi qu’assez souvent ça semble être la faute à pas de chance (ie pas de cause clairement identifiable).
Le
23/08/2017 à
09h
40
La curiosité, l’envie de comprendre les causes d’un phénomène, les conséquences, d’éventuelles choses liées… Si l’homosexualité est vraiment lié à des différences hormonales, il ne semble pas absurde de penser que ces différences hormonales puissent avoir d’autres effets qui seraient du coup fortement corrélés à l’homosexualité. Par exemple une plus forte prévalence de tel type de cancer, qui justifierait de tester plus souvent les homosexuels. Ou l’inverse, l’effet n’étant pas forcément négatif.
Bref, le même intérêt que celui qui motive toute démarche scientifique.
Après, si ça se confirme, il y aura certainement des gens qui vont en conclure qu’il faut suivre les hormones pendant les grossesses pour si besoin ‘soigner’ les homosexuels de façon prénatale, ce qui est éthiquement douteux, mais si on s’interdisait toute recherche scientifique ayant potentiellement des retombées négatives, on pourrait redevenir chasseurs-cueilleurs.
C’est le multi-device que tu décris, sauf que les données sont téléchargées pour au choix:
être accessibles même si on a pas internet (train, …)
être plus confortable en cas de connexion limitée / gros fichiers (sorte de cache)
être rassuré à l’idée que si on se fait bannir de google / whatever, on a encore les données (si on utilise un service cloud pour la librairie centrale)
Merci, mais… je ne comprends pas plus l’intérêt que suite à la lecture de l’article.
Dans ce contexte, c’est qui qui signe? toi en tant qu’ajouteur du bloc sensible? l’auteur du code d’origine?
Comment tu t’aperçois si quelqu’un l’a modifié? un robot qui parse le texte et qui vérifie la cohérence des signatures ? dans ce cas il se passe quoi si l’autre retire aussi les morceaux liés à PGP, et que ça redevient du code ‘normal’?
Pourquoi ne pas gérer l’intégrité ces moreaux de code sensibles via les droits d’édition ?
David_L a écrit :
Tu peux aussi vouloir chiffrer / signer un fichier entier mais chercher à le faire directement depuis un éditeur du genre que tu as sous la main, sans avoir à taper une ligne de commande ou à sortie une GUI du genre de GPA/Kleopatra " />
Merci, ça je vois bien, c’est vraiment sur la signature partielle que j’ai du mal à comprendre.
(perso, si j’avais l’usage de la signature, je chercherais plutôt un outil avec intégration au clic droit de l’explorateur, ça me semble être le plus simple pour un usage léger)
Le
17/08/2017 à
15h
58
Il me semble en pratique bien plus simple de chiffrer/signer un fichier entier
Éventuellement signer un diff (si on veut authentifier le travail de chacun sur un fichier commun)
Mais chiffrer / signer un morceau de fichier, je ne vois pas l’usage.
(C’est tout de même bien moins de connexions entrantes qu’un serveur Web, pour peu qu’on ne laisse pas traîner ces adresses n’importe où)
Perso, de ce que j’ai constaté sur mon serveur web maison, la majorité des requêtes de la part de bots se fait par l’IP, donc redirection ou pas de ton NDD, c’est pas dit que ça change la charge de ton ADSL.
(résumé de moi-même : Le WPA c’est trop compliqué par rapport au WPS, les gens ont besoin de WPS)
C’est marrant, j’ai toujours pensé l’inverse.
Je trouve nettement plus complexe de suivre une procédure en plusieurs étapes à suivre dans un ordre précis (allumer le wifi du pc, trouver le réseau, aller appuyer sur la box, valider sur le PC) que de taper une clé, fut-elle compliquée.
C’est fastidieux, si on est maladroit il faut s’y reprendre à plusieurs fois, mais ce n’est pas un concept difficile à comprendre. C’est même un concept très familier de tous les gens qui vont sur internet : quand un truc n’est pas en accès libre, je rentre login/mot de passe. Mon wifi n’est pas en accès libre, je rentre mon mot de passe (c’est même plus simple que bcp de choses, il n’y a pas de login).
::1 a écrit :
c’est indispensable, les gens en ont leur dose des clés wpa.
la preuve? j’ai demandé à ma voisine, et au retraités qu’habitent deux maisons derriere : ils savent pas comment le wifi marche, ca se met tout seul à l’allumage de l’ordi depuis six ans et c’est très bien ainsi, répond le grand-pere.
Et pourtant ils ont suivi (ou quelqu’un a suivi pour eux) une procédure d’accouplement la première fois. Est-ce que ça aurait changé grand chose à leur capacité de le faire si la procédure avait dit de taper une clé plutôt qu’aller appuyer sur un bouton au bon moment? certainement pas si c’est le neveu geek qui l’a fait pour eux, et même s’ils l’ont fait eux-mêmes, ça ne me semble pas évident.
::1 a écrit :
dans mon entourage, familial ou professionnel, on maudit le manuel.
je dis pas que c’est bien, je dis pas que c’est pas bien : je dis que c’est une tendance depuis cent ans, que les gens n’ “ont jamais ouvert le manuel” ni l’envie.
Pourtant, quand ils achètent un meuble Ikéa, les gens lisent le mode d’emploi, et arrivent à suivre la procédure, y compris les gens pas particulièrement adroits ni intéressés par le bricolage.
De ce que j’ai pu constater, c’est surtout une façon d’aborder l’informatique d’un défaitisme déprimant. Les gens partent du principe que comme c’est de l’informatique, c’est compliqué, ils ne sauront pas faire, et du coup n’essaient même pas.
Alors que le niveau 0, à savoir suivre le guide fait par des experts, n’est pas plus compliqué que dans n’importe quel autre domaine. Le guide de montage d’un meuble Ikéa compte bien plus d’étapes que la connexion d’un PC à un Wifi sécurisé.
2206 commentaires
Étude d’usages et copie privée : comment l’Institut CSA a remporté le marché
23/10/2017
Le 24/10/2017 à 12h 08
Le 23/10/2017 à 15h 01
C’est pas garanti. Dans certaines procédures, il faut gagner une préseléction pour avoir accès à l’appel d’offre complet.
Sinon, l’analyse caviardée des éléments financiers serait déjà instructive.
Le 23/10/2017 à 14h 55
Je suis intrigué par cette notion d’aller ausculter les disques durs des sondés.
Je suppose qu’il y avait un appel d’offre, et que cet appel d’offre décrit une certaine façon de faire, ou des exigences. Si dans ces exigences, il y a l’auscultation (ce qui est douteux, mais c’est un autre débat), alors l’offre de Médiamétrie n’est pas recevable. Si elle n’y est pas, mais que le CSA la propose, ça ne devrait pas favoriser le CSA. Je suppose que le CCTP, les offres et leurs évaluations ne sont pas diffusées?
Ce qui serait aussi intéressant à analyser, ce serait la liste des questions posées par les sondeurs. J’en avais vu un extrait il y a quelques années, c’était clairement orienté pour que les gens se trompent et répondent en incluant tout ce qui était piraté.
Que sont devenus les ex-députés spécialistes des dossiers numériques ?
23/10/2017
Le 23/10/2017 à 15h 53
C’est mal de ne pas avoir de problèmes financiers?
Un salarié commet une faute grave en cas de téléchargements illicites et d’avertissement Hadopi
20/10/2017
Le 23/10/2017 à 11h 07
Quand le système informatique te permets de faire un acte illégal, mais pas de revenir dans les clous quand tu t’en aperçois…
Le 23/10/2017 à 11h 05
« Open Bar » : une sénatrice réclame une commission d’enquête sur l’accord Microsoft-Défense
19/10/2017
Le 19/10/2017 à 16h 03
Je pense que vous vous prenez la tête. Tous les partis…. cités dans le paragraphe précédent.
Installation de Windows 10 : comment gagner du temps ? Le test face à Ubuntu Budgie
17/10/2017
Le 19/10/2017 à 13h 30
Si tu as un comportement aussi différent avec les deux OS, c’est que tu en maitrise bien un bien et pas du tout l’autre (ce qui n’est pas une critique, tu as parfaitement le droit de ne pas t’intéresser à Windows).
Quelqu’un qui connait Windows aussi bien que tu connais linux, et linux aussi bien que tu maitrises Windows aboutirait à la conclusion exactement inverse, ça ne démontrerait pas pour autant que linux est plus complexe à réinstaller.
Tu ne peux pas extrapoler de ça le temps nécessaire à remettre en place des machines de façon générale.
Les gens compétents que je connais sont capables de réinstaller de façon quasi-automatisée les deux systèmes en quelques heures (en fait c’est le réseau qui limite).
Les gens incompétents galèreront avec les deux systèmes.
Le 19/10/2017 à 12h 28
Le 18/10/2017 à 12h 12
Le 18/10/2017 à 11h 49
Le 18/10/2017 à 08h 25
Honnêtement, 5 ou 20 minutes, à mon avis, ça n’a pas grande importance. C’est une opération qu’on fait assez rarement, même si on est un gros geek, et le gros du temps passé n’est pas là mais dans la réinstallation / reparamétrage des logiciels utilisés. Ce qui est significatif, c’est l’ordre de grandeur, car si c’était effectivement 2j comme certains le prétendent, ça serait effectivement différent.
En fait, le vrai critère de confort selon moi, c’est le moment où l’interactivité est requise. Si c’est tout au début ou tout à la fin, parfait. On lance, on va faire un tour, quand on revient c’est fini. S’il faut faire des choses tout le long, galère.
Transparence : le ministère de la Culture n’est plus celui de la communication
17/10/2017
Le 18/10/2017 à 12h 14
Le lent déploiement du Pass Culture de 500 euros pour les jeunes de 18 ans
12/10/2017
Le 16/10/2017 à 13h 02
J’aurais plutôt dit l’inverse : plus cher au guichet, mais pas forcément plus cher au final.
L’exemple donné va clairement dans le sens du libéral, même s’il ne fait aucun doute qu’il doit aussi exister des exemple inverses.
Le 13/10/2017 à 15h 28
Il y a 50 ans, la seconde passait officiellement de l’échelle astronomique à l’échelle atomique
13/10/2017
Le 16/10/2017 à 12h 55
Le 13/10/2017 à 16h 35
C’est pas la latence du signal le problème. Au contraire, le principe même du GPS c’est de mesurer la latence pour en déduire la position.
C’est d’une part la précision du récepteur (des histoires de capacité de mesure de différence de phase pour les plus précis, me demande pas les détails), qu’on peut imaginer améliorer avec le temps, mais aussi, et c’est là que restera la limite à long terme, la météo. Les signaux radio ne vont pas à la même vitesse selon les propriétés de l’air (température, hygrométrie…) entre le satellite et le récepteur, ce qui crée des imprécisions dans la mesure.
Pour aller au-delà, il faudrait pouvoir connaitre l’état de toutes les couches d’air sur l’ensemble de l’atmosphère, cad avoir accès à des données météos ultra-précises sur tous les récepteurs GPS.
Aujourd’hui, on n’a pas ces données, c’est même plutôt l’inverse qu’il se passe : des exploitants de systèmes de positionnement remontent des infos aux météorologues (ils ont des stations dont la position est très précisément connue, ils arrivent donc à déduire des infos sur l’atmosphère à partir des erreurs de mesure de leurs GPS)
Le 13/10/2017 à 16h 25
À l’Assemblée, des tablettes pourraient remplacer les liasses d’amendements
09/10/2017
Le 09/10/2017 à 16h 23
Je me suis toujours demandé comment les députés faisaient pour travailler avec des amendements qui reprennent textuellement des modifications. Un outil ressemblant graphiquement à un Word en mode modification semble infiniment plus clair.
Windows 10 Mobile n’est plus une priorité pour Microsoft
09/10/2017
Le 09/10/2017 à 13h 48
La Hadopi sonde le succès de Zone-Telechargement.ws, la réplique de Zone-Telechargement.com
09/10/2017
Le 09/10/2017 à 13h 26
Je me suis mal exprimé.
Si ma mémoire est bonne, dans ce genre d’enquête c’est le recel qui est utiliser pour faire tomber les admins, donc il faut prouver des liens financiers. Pour ça il faut une enquête avec des ‘droits’ assez élevés, que la Hadopi n’a certainement pas.
Pour lancer cette enquête ils ont besoin d’une action en justice, ce document a probablement pour objet de justifier celle-ci, donc d’avancer des bonnes raisons de penser qu’il y a baleine sous caillou, même s’ils ne sont pas en mesure d’apporter des preuves.
Le 09/10/2017 à 11h 34
Je suppose (j’espère) que l’objectif est d’avoir une analyse factuelle précise utilisable en justice. Ils devaient eux aussi avoir un avis sur le résultat avant de mener l’étude.
Cloudflare bannit les sites utilisant des mineurs de crypto-monnaies
05/10/2017
Le 06/10/2017 à 12h 58
Ca me semble très discutable. Dans les deux cas, l’objectif est de faire des sous. Dans les deux cas, la consommation de puissance de calcul est un moyen (connu et assumé par le webmaster). Mais c’est vrai que l’inconfort apporté à l’utilisateur n’est pas le même.
Si on considère qu’utiliser sans l’annoncer du CPU est un comportement de malware, je pense qu’on devrait logiquement considérer qu’exfiltrer en douce des données personnelles l’est aussi.
Évidemment, CloudFlare ne va pas le faire, la majorité de sa clientèle étant probablement dépendante de ce modèle.
Le 06/10/2017 à 11h 13
Les pubs vidéos pourries et les 350 outils de tracking utilisent eux aussi des scripts ajoutés dans la page chargée et consomment ta puissance de calcul (et ta bande passante) pour faire de l’argent, et sans consentement autre que le fait d’avoir ouvert la page.
Autant je n’approuve pas l’idée de faire miner les clients en douce, autant j’ai moi aussi du mal à voir en quoi c’est plus malveillant que la pub.
Je dirais même que ça l’est moins puisque si ça me plait pas, il suffit que je quitte le site pour arrêter, alors que le tracking publicitaire, je ne peux pas le défaire.
Contre le téléphone au volant, un sénateur plaide pour des brouilleurs d’ondes
02/10/2017
Le 02/10/2017 à 14h 37
Le 02/10/2017 à 14h 33
Le 02/10/2017 à 14h 22
Deloitte confirme avoir été piratée, mais manque de transparence
26/09/2017
Le 29/09/2017 à 14h 46
CCleaner : un malware plus complexe que prévu, des grandes entreprises visées
22/09/2017
Le 26/09/2017 à 07h 25
Avast a été pris en flagrant délit de minimisation en situation de crise. A court terme au moins, ils ont perdu toute crédibilité à mes yeux.
Au moins dans les quelques mois à venir, en attendant que tout le monde ait fini sa reverse-ingénieurie j’applique le principe de précaution, et je considère que toutes les variantes de la 5.34 sont vérolées, et que les autres versions sont suspectes (ce qui est la recommandation de l’ANSSI, certes ceinture et bretelles comme à leur habitude).
En plus honnêtement, c’est pas du tout contraignant de se passer d’un logiciel comme CCleaner quelques temps (c’est pas comme s’il fallait par exemple se priver de client mail).
Il est vrai que CCleaner n’est pas forcément plus vérolé que d’autres trucs que j’ai sur mon PC, mais pour les autres je n’ai pas (encore?) de raison de les suspecter!
Le 22/09/2017 à 16h 12
Accident mortel : le NTSB pointe du doigt le pilote automatique de Tesla
18/09/2017
Le 18/09/2017 à 16h 05
Le salarié qui refuse de remettre immédiatement une clé USB personnelle n’est pas fautif
18/09/2017
Le 18/09/2017 à 15h 47
Méthode pour les nuls : Copie l’empreinte, accède au site depuis chez toi, et vérifie que c’est la même.
#LeDebrief : les GAFAM publient leurs nouveautés aussi pendant l’été
18/09/2017
Le 18/09/2017 à 15h 21
Si on veut pinailler sur le vocabulaire, ce serait plutôt l’inverse.
Dans la majorité des cas, quand on parle de racisme, c’est surtout une affaire de couleur (ok, je grossis le trait). Or d’un point de vue taxinomique, la notion de race est beaucoup plus proche de cela que la notion d’ethnie : ethnie fait référence à des aspects culturels, race fait référence à des caractères physiologiques héréditaires.
Si on voulait être vraiment précis, je crois que c’est de sous-espèce qu’on devrait parler (pas 100% sûr), la notion de race faisant écho à de la sélection artificielle (évolution relativement récente de la définition).
Après en pratique (et y compris dans la loi), on parle effectivement d’ethnie parce qu’on a décidé un jour qu’il ne fallait plus parler de race parce que ça alimentait le racisme (ce qui consiste à se cacher derrière son petit doigt, de mon point de vue). Dans ce contexte, il eut été plus logique à défaut d’être scientifiquement exact de parler d’ethnie dans ce document.
« Argent Public ? Code Public ! » exhortent des ONG
14/09/2017
Le 14/09/2017 à 15h 21
Piratage d’Equifax : jusqu’à 143 millions de victimes, des données très sensibles dérobées
08/09/2017
Le 12/09/2017 à 20h 03
Les majors du disque en passe d’obtenir la fermeture du convertisseur YouTube-MP3
04/09/2017
Le 05/09/2017 à 16h 32
Éthique des voitures autonomes : « premières lignes directrices au monde » en Allemagne
29/08/2017
Le 30/08/2017 à 08h 12
La surveillance des communications d’un salarié examinée en Grande chambre à la CEDH
29/08/2017
Le 30/08/2017 à 07h 30
Certes, de là à virer quelqu’un… Après je ne sais pas ce qu’il s’est passé en interne. Il a peut-être eu de multiples rappels à l’ordre, ce qui rendrait le licenciement plus compréhensible.
(je serais étonné que l’admin voit vraiment ce qu’il veut. Si ma mémoire est bonne, le secret des correspondances peut être levé, mais que pour des raisons qui doivent être annoncées à l’avances, et il faut que la mesure soit ‘proportionnée’ (donc même si c’est flou, ça ne peut pas être n’importe quelle raison). Chez nous, les raisons invocables sont la sécurité et la stabilité du SI, la continuité de service (et bien sûr toute demande qui proviendrait d’un juge). Un admin ne peut pas regarder ce qui lui plait et un chef de service ne peut pas demander un extrait des mails d’un membre de son équipe sans une autorisation tierce.)
Le 29/08/2017 à 16h 11
Il me semble qu’en France, regarder le contenu de la messagerie professionnelle est légal, et peut servir de base à un licenciement, mais à certaines conditions. Notamment l’employé doit avoir été explicitement informé de cette surveillance.
Par contre, à moins qu’il ne faisait plus que ça de ses journées (auquel cas il doit y avoir moyen de le virer pour l’absence de travail), licencier quelqu’un pour quelques discussions persos, c’est bien con et ça ressemble à un prétexte.
« Savoir si mon fils est gay », l’argument d’un vendeur de logiciels espion
22/08/2017
Le 24/08/2017 à 17h 25
Le 24/08/2017 à 08h 54
On parle de statistiques, de corrélations, ça n’a pas de lien avec les multiples façon de vivre son homosexualité. Quand on fait des études statistiques sur les habitudes de consommation des différentes catégories socio-professionnelles par exemple, on se fiche du fait qu’il y a des cadres sup qui consomment comme des ouvriers et l’inverse, on s’intéresse aux tendances. Ça n’a rien de méprisant ni stigmatisant, et ça n’a rien de contradictoire avec le fait qu’il y ait autant d’histoires personnelles que d’individus.
Au fond de notre discussion, c’est peut-on se permettre d’utiliser des termes flous dans une discussion de comptoir ou dans des commentaires sur internet. Mon avis est que tant qu’on ne prétend pas démontrer quelque chose de spécifique sur le groupe mal défini, ce n’est pas quelque chose de très important.
Par exemple, si je prétends que ‘les homosexuels le sont parce que machin’, il faut que je sois très spécifique par ce que je désigne sous ce terme, parce que l’usage d’une autre définition rendrait mon affirmation fausse (si elle ne l’est pas dès le départ!)
Si je dis ‘je ne pense pas qu’il faille s’interdire de rechercher d’éventuelles corrélations entre l’homosexualité et des facteurs biologiques’, la définition précise du terme n’a pas vraiment d’importance. Ma position sur le sujet (qui est discutable, c’est pas ça le soucis) ne changera pas si on change ce qu’on classifie comme homosexualité. Il est même impossible pour moi d’être plus spécifique, parce que je ne sais pas quelle serait la définition pertinente (et même s’il y en a une).
Dois-je pour autant m’interdire d’en parler?
Le 23/08/2017 à 16h 43
Le 23/08/2017 à 16h 42
Oui, une étude sérieuse sur le sujet commence par définir les termes qu’elle emploie. Je pensais que le contexte l’impliquait clairement, mais il faut bien comprendre à chaque fois que j’ai utilisé un mot de la famille d’homosexuel que c’est ‘au sens de l’article’.
L’idée que je présente (qu’il est toujours utile de connaitre les causes potentielles des choses) est totalement indépendante de la définition précise de la chose en question et je n’ai d’aucune idée de la définition pertinente qui serait à utiliser pour cette étude (à supposer qu’il en existe une).
Je ne vois pas ce que ça apporterait que j’essaie d’être plus spécifique.
Dans le même ordre d’idée, il y a certains médicaments qui sont déconseillés aux noirs (me demande pas pourquoi, mais il y a consensus dans le monde médical, donc je suppose qu’il y a des raisons sérieuses).
Est-ce que c’est stigmatisant de discuter du bien-fondé de faire des études sanitaires spécifiquement sur les noirs (ce qui peut être vu comme du racisme), sans définir précisément ce que signifie le mot noir? (dans le genre flou, celui-là est aussi pas mal)
Le 23/08/2017 à 11h 39
J’ai écrit ‘Si l’homosexualité est liée à’ et pas ‘L’homosexualité est causée par’. Je n’ai ni affirmé que l’hypothèse était vraie, ni évoqué l’éventualité que ce serait l’explication absolue à tous les cas d’homosexualité.
J’ai juste défendu l’intérêt de savoir si l’affirmation était fondée (la réponse pouvant être partiellement).
Je ne connais pas les études en question, mais je n’avais même pas imaginé qu’elles puissent prétendre démontrer une relation de cause à effet systématique.
Je suppose qu’il s’agirait - si c’est confirmé - d’un ‘facteur de risque’ (le terme est maladroit puisqu’il s’applique normalement à une maladie, mais je n’en connais pas d’équivalent plus neutre), cad cela augmenterait la probabilité d’être plus tard homosexuel, sans que ce soit ni une cause certaine, ni l’explication de tous le cas d’homosexualité.
On peut sans soucis affirmer que le tabac est un facteur de risque pour le cancer du poumon sans oublier pour autant qu’il y a des tas de cancers différents, des tas d’autres causes (génétique, gaz d’échappements, amiante…), que c’est multi-factoriel, et aussi qu’assez souvent ça semble être la faute à pas de chance (ie pas de cause clairement identifiable).
Le 23/08/2017 à 09h 40
La curiosité, l’envie de comprendre les causes d’un phénomène, les conséquences, d’éventuelles choses liées… Si l’homosexualité est vraiment lié à des différences hormonales, il ne semble pas absurde de penser que ces différences hormonales puissent avoir d’autres effets qui seraient du coup fortement corrélés à l’homosexualité. Par exemple une plus forte prévalence de tel type de cancer, qui justifierait de tester plus souvent les homosexuels. Ou l’inverse, l’effet n’étant pas forcément négatif.
Bref, le même intérêt que celui qui motive toute démarche scientifique.
Après, si ça se confirme, il y aura certainement des gens qui vont en conclure qu’il faut suivre les hormones pendant les grossesses pour si besoin ‘soigner’ les homosexuels de façon prénatale, ce qui est éthiquement douteux, mais si on s’interdisait toute recherche scientifique ayant potentiellement des retombées négatives, on pourrait redevenir chasseurs-cueilleurs.
Cryptomator : un outil multiplateforme pour chiffrer vos données stockées dans le « cloud »
18/08/2017
Le 22/08/2017 à 17h 04
C’est le multi-device que tu décris, sauf que les données sont téléchargées pour au choix:
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17/08/2017
Le 22/08/2017 à 14h 00
Le 17/08/2017 à 15h 58
Il me semble en pratique bien plus simple de chiffrer/signer un fichier entier
Éventuellement signer un diff (si on veut authentifier le travail de chacun sur un fichier commun)
Mais chiffrer / signer un morceau de fichier, je ne vois pas l’usage.
Quelqu’un aurait des exemples pratiques?
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Le 17/08/2017 à 15h 43
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Le 16/08/2017 à 13h 02