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7412 commentaires

Le 31/01/2018 à 09h 08







127.0.0.1 a écrit :



Rappel sur les NATU:





  1. Une société facture ses clients pour un service.

  2. Elle délègue la fourniture du service (tout ou partie) à des intermédiaires.

  3. Elle propose aux intermédiaires une faible rémunération à l’unité en promettant un gros volume.

  4. Elle met en concurrence les intermédiaires via un système d’évaluation.



    Si vous trouvez que ca ressemble au méchant Uber ou Deliveroo, vous avez raison.

    Si vous trouvez que ca ressemble au gentil Netflix, et bah vous avez raison également.



    Est-ce la faute de Free: oui, 100 fois oui.

    Est-ce la faute de Netflix: oui, 100 fois oui.






Le 31/01/2018 à 08h 56

à mon tour, je te renvoie aux réponses que j’ai faites à 127.0.0.1 : commentaires #163 et #165











Jeanprofite a écrit :



Payer moins cher pour un coût plus important, ce n’est pas tout à fait payer…





il faut que je me répète ou tu peux relire mon commentaire précédent ?


Le 31/01/2018 à 08h 27

Analogie foireuse, car Netflix paie sa bande passante. Le problème est que Free ne donne pas accès au service web de Netflix à ses abonnés : les réseaux télécom sont interconnectés, donc soit le FAI Free dimensionne son réseau, soit le FAI Free achète de la bande passante à Orange, SFR, Cogent ou autres. Un opérateur télécom et FAI se rémunère avec les abonnements de ses clients finaux, pas sur les revenus générés par des offres OTT.



Pour le coup, Free agit comme un diffuseur de contenus et souhaite valoriser son offre FreeboxTV comme avec Canal dont l’enrichissement de l’offre audiovisuelle a provoqué l’augmentation du tarif de l’offre triplay Freebox (ou du moins est vendu en option tarifée à l’abonné Free).

Le 30/01/2018 à 19h 35

Se faire livrer une box triplay, payer l’infrastructure TV de FreeboxTV alors qu’on ne regarde pas la TV et encore moins le bouquet Canal ?



Ton raisonnement est un peu ridicule en l’état actuel des choses (ce n’est pas parce que Canal paie cher l’opérateur Free, que les abonnements Free diminuent. Ben non, ils augmentent puisqu’il y a plus de contenus disponibles).

Le 30/01/2018 à 19h 30

Rien n’empêche FreeboxTV de construire une offre OTT comme celle de Netflix ou celle de SFR. Ça s’appelle la concurrence. Et Free aime la concurrence.

Le 30/01/2018 à 19h 22

Entièrement d’accord. Dans ce cas se pose la question de la pertinence des offres OTTet des offres triplay des opérateurs télécom :




  • Est-ce concevable qu’un FAI soit également un diffuseur de contenus audiovisuels ?

  • Pourquoi favoriser le streaming et non le P2P ?

  • Est-ce qu’il y a abus de position dominante de quelques acteurs du marché de la diffusion audiovisuelle ?



Le 30/01/2018 à 19h 14

“Moins de rémunération” ne veut pas dire “surcoût”. Que le diffuseur de TV/replay/SVOD/VOD Free souhaite être rémunéré par Netflix pour dimensionner correctement son infrastructure, ça ne veut pas dire que ça coutera plus cher à Free si Netflix n’accepte pas cette conception des choses, ça veut dire que Free souhaite une rentabilité plus forte de son partenariat avec Netflix.



D’ailleurs, même si je comprends la problématique posée par les GAFAM et les NATU de l’Ouest américain, je ne vois pas pourquoi Netflix devrait financer une infrastructure qui appartiendra finalement à l’opérateur télécom Free.

Le 29/01/2018 à 12h 55

C’est sûr que “bridage” ne fait pas très vendeur…

On peut dire qu’il s’agit d’une limitation implicite dans l’offre “illimitée” ?

Le 29/01/2018 à 12h 10

On sait que le streaming est gourmand en bande passante : pendant plusieurs heures (le temps de regarder un film, voire pire: le temps de regarder une saison entière d’une sérieTV sur Netflix), chaque abonné utilise le maximum (en tout cas une bonne partie) de sa capacité réseau et ça finit par coûter cher en réseau de transit et en réseau de transmission. D’autre part, Netflix via le web (hors de la Freebox) représente une concurrence aux contenus audiovisuels de FreeboxTV.



Mais voilà, sans avoir un réseau national très important, Bouygues Telecom sait faire fonctionner le service Netflix. Pourquoi pas Free ? (je connais la réponse de la défense freenaute: bonne gestion du réseau, pas de coûts supplémentaires “imposés” par les vampires de bande passante que sont les GAFAM et les NATU, etc. Moi je suis internaute, pas freenaute).



Et mes références :




  • Tu parles de Netflix.

  • J’ai personnellement fait l’expérience de Youtube et de Vimeo sur Freebox v5 entre 2008 et 2011.

  • Je n’ai jamais entendu personne se plaindre d’un problème de débit en téléchargement direct, même si je me rappelle du bridage de eMule en P2P (pour le coup, pas spécifique à Free).



Le 29/01/2018 à 11h 31

« C’est bien beau tout ça, mais actuellement, le réseau Free est complètement saturé

[supporte très mal le streaming vidéo] vers certaines destination. »



<img data-src=" />

Le 29/01/2018 à 11h 06







boogieplayer a écrit :



on peut toujours pas lire les 78 tours, ça sert à rien <img data-src=" />





<img data-src=" />



Et la Freebox ne fait toujours pas le café… Un futur partenariat avec Nespresso ? What else ?



Au moins, l’interface Freebox a évité le blanc immaculé de la Bbox et la couleur criarde de la Livebox.


Le 30/01/2018 à 22h 51







tmtisfree a écrit :



Quand on est pour la neutralité du Net, on est pour d’un bout à l’autre, de ce qui plaît à ce qui ne plaît pas.





Pour être précis, la Neutralité du Net ne concerne que les opérateurs télécom et les réseaux, par rapport au transport et à la distribution des données qui leur sont confiées.


Le 30/01/2018 à 21h 56

Actuellement, je regarde Van Helsing saison 2 : j’avais oublié comme cette série TV était sanglante et gore, pour un peu je deviendrais presque végan <img data-src=" />

Le 30/01/2018 à 20h 23

Effectivement. Même si les effets spéciaux ne sont pas les mêmes et qu’ils sont surchargés (épileptiques s’abstenir).

Le 30/01/2018 à 19h 50

Culture japonaise, mythes et légendes japonaises… toussa.

Le 30/01/2018 à 16h 38

L’avantage des toits plats parisiens est qu’on peut marcher dessus et aller de toiture en toiture sans être Spiderman. Faites le même film à Lyon ou à Montpellier, ce sera plus rock’n roll. <img data-src=" />

Le 30/01/2018 à 20h 58

« In God We Trust »

<img data-src=" />

Le 30/01/2018 à 10h 39

Alcatel-Lucent, la fusion franco-américaine ratée qui a déclassé un groupe leader de son secteur d’activité derrière les équipementiers chinois et surtout derrière Nokia. Comme quoi, ce n’est pas en fusionnant et en devenant plus gros, qu’on devient performant. D’ailleurs, Alcatel-Lucent n’avait bien que son siège social qui soit resté français.

Le 30/01/2018 à 10h 10

Le Japon a cannibalisé l’industrie automobile étasunienne. La Chine cannibalisera l’industrie des équipements réseau étasunienne : psychose patriotique <img data-src=" />

Le 30/01/2018 à 16h 02







laurentj a écrit :



Il faut aussi noter que Mozilla Corp est détenue à 100% à la fondation Mozilla. Pas d’actionnaire donc. MoCo existe uniquement pour développer les produits voulus par la fondation.





Ou plutôt, il y a 1 actionnaire : la fondation Mozilla.



La raison d’être de Mozilla corp. est bien d’avoir une activité commerciale concurrentielle vis-à-vis des géants du web et de trouver des partenariats commerciaux, élaborer des produits dans un but lucratif, etc… ceci pour financer la fondation grâce à des bénéfices commerciaux (à côté des dons, subventions, etc).


Le 30/01/2018 à 15h 53







js2082 a écrit :



Je ne sais pas aux US mais en France, une asso peut très bien gérer et signer des contrats à plusieurs millions.





En France, une association ne peut pas entrer en concurrence avec les offres d’organisations commerciales : il y a le statut commercial d’un côté (but lucratif) et le statut associatif de l’autre (but non-lucratif de rendre des services à ses adhérents). Ce qui n’empêche pas une association d’avoir une activité commerciale et de faire des bénéfices (qui sont reversés dans le “pot commun”).



Ceci-dit, le statut de fondation US est un peu différent de celui d’une association loi 1901 en France, et Mozilla corp. a peut être une autre utilité.


Le 29/01/2018 à 12h 39

Virgin mobile était un full-MVNO (sorte de dégroupage), comme Lycamobile ou Euro-Information Telecom (NRJ mobile entre autres marques).



Prixtel est un simple MVNO qui loue l’infrastructure complète des opérateurs de réseau (dont la fourniture et le paramétrage des SIM) en achetant des capacités-réseau.

Le 29/01/2018 à 11h 17

Tout compte fait :Offres à volonté : que vaut la promesse ?

« Ce nouveau numéro de Tout Compte Fait est consacré aux offres à volonté. Faut-il craquer pour l’illimité qui se multiplie dans tous les secteurs ? Que valent les forfaits mobiles à moins de 10 euros ? Côté consommateur, quels sont les pièges à éviter ? » - france.tv

Le 28/01/2018 à 20h 38

J’imagine que l’intérêt est l’internationalisation, être connu et reconnu aux 4 coins du monde (un peu comme McDonald’s, Orange, Mastercard, Burger King, Oneplus, etc).

Le 26/01/2018 à 16h 42







127.0.0.1 a écrit :



Le menu déjeuner + deux bières s’appellera le Just Eat bi-bière



<img data-src=" /> –&gt; [ dehors ]





Et les menus de la Brasserie Lipp (groupe Bertrand) commandés par l’intermédiaire de Just Eat s’appelleront :




Le 26/01/2018 à 16h 28

Le marketing n’est fait que d’injonctions et de soumission aux désirs générés par la frustration publicitaire. L’anglais est donc tout indiqué au pays de Molière.



PS: je viens de me rendre compte que j’écris ça sur un site qui s’appelle Next INpact. <img data-src=" />

Le 26/01/2018 à 16h 18

oui, ou on peut traduire plus simplement par : Mange !



C’est un peu infantilisant, moi je le comprends comme : Mange ta soupe ou je vais me fâcher !

Le 27/01/2018 à 12h 54

Il faut dire que Compte Nickel est un établissement de paiement et non une banque de plein exercice (pouvant faire des crédits, des découverts).



J’ajoute que Free n’accepte pas les cartes à autorisation systématique, les cartes bancaires rechargeables et les e-cartes bleues (lors de l’achat d’une carte SIM, d’une téléphone portable ou d’accessoires).

Le 26/01/2018 à 22h 44

C’est comme la 4G qui est en fait de la 4G– ou plutôt de la 3G+, alors que ce qu’on appelle la 4G+ est en fait de la vraie 4G. Là on nous fait de la 4G+ qu’on estampillera 5G… parce que le marketing est encore plus rapide en vantardise que la technologie ne l’est en performances.

Le 26/01/2018 à 18h 51

« De son côté, Arte Creative diffusela série (Tr)oppressé, »

« la semaineà l’hypertension artérielle pulmonaire (non, pas le film avec Jason Statham) »

(article Next Inpact)




Le 26/01/2018 à 17h 51

Pas de nouvelles du groupe M6 sur Freebox ?



(pas de nouvelle, bonnes nouvelles)

Le 26/01/2018 à 14h 06

À mon grand étonnement, c’est une position que j’entends de plus en plus à propos du modèle économique de Google/Android (basé sur la publicité ciblée) de la part d’hacktivistes s’adressant à un public lambda. J’imagine bien que lorsqu’on a les moyens d’installer Debian ou LineageOS ou autre sur son appareil, il n’y a pas de question à se poser.

Le 26/01/2018 à 13h 21

C’est un peu comme un service “Bloctel” by Google spécifique aux services Google ?

C’est de l’ironie ?



Ça me fait penser aux réglages de confidentialité de Facebook (d’ailleurs, qui changent trop souvent) sensés rassurer l’utilisateur que ses publications seront confidentielles (mais quand même publiques: dans publication, il y a la racine “public”).



Ça m’étonne de moins en moins de lire ici et là, qu’il est préférable d’éviter le modèle économique d’Android (et éventuellement lui préférer l’écosystème iOS, certes très fermé, mais un peu plus vertueux concernant la vie privée).

Le 25/01/2018 à 23h 57

Pourtant, à mon humble avis, il me semble que la Neutralité du Net n’interdit pas les débits différenciés, mais interdit les services différenciés selon le destinataire, le type de données, l’origine des données, etc.



Payer pour avoir plus de débit correspond plutôt à payer plus cher pour avoir une plus grande bande passante (qu’on fasse du streaming vidéo, du mail avec pièces jointes ou qu’on consulte Facebook ou Framasphère). Ceci-dit, d’aucuns diront que différencier les débits consiste à favoriser la connexion des uns par rapport à celle des autres qui ne peuvent pas payer plus pour avoir une connexion de qualité pour streamer à l’envie.

Le 25/01/2018 à 23h 53

La vidéo de Burger King ne m’a pas paru claire, mais je suis plutôt mauvais en anglais à l’oral.



La pétition m’a semblé plus claire : hors Net Neutrality, les services partenaires du FAI sont plus rapides que les services web communs qu’est susceptible de consulter l’internaute.

Le 25/01/2018 à 18h 07

En tout cas, tout ça n’a pas tant d’importance que ça vu que le Droit constitutionnel est d’ors-et-déjà fortement écrit par le Conseil européen (les Chefs d’États de l’UE), par la Cour européenne des Droits de l’Homme et par la Cour de justice de l’Union européenne (au Luxembourg).

Le 25/01/2018 à 17h 53

Oui, pourquoi pas. Alors d’autres personnes pourront aussi proposer de mettre la confidentialité des communications des réseaux postaux et des réseaux électroniques. La liste peut encore s’allonger à l’infini. Autrement-dit, le libre accès aux réseaux numériques publics, n’est pas différent du réseau routiers ou du réseau postal ou de n’importe quel réseau public : ça doit respecter la liberté de réunion, la liberté d’expression, la liberté de conscience, l’égalité entre Citoyens, etc.



Je suis d’accord, on peut estimer que certaines choses méritent de figurer dans la Constitution : on peut toujours ajouter l’interdiction de la peine de mort (comme tu disais, constitutionnalisée en 2007), le principe de précaution en matière d’environnement (Charte de l’environnement inscrite en préambule de la Constitution), l’égalité entre les sexes, le droit à l’IVG,… le libre accès aux réseaux numériques. Ça se discute et c’est tout à fait valable.



Mais je le répète le problème est : une liste à la Prévert - une Constitution longue comme le bras - des modifications plus fréquentes du fait des aspects particuliers qu’on y fait entrer et qui peuvent changer avec les évolutions de la Société. Donc un texte fondamental qui devient moins solennel et qui se rapproche d’une loi qu’on aurait voté avec moins de formalisme et plus d’efficacité législative.



J’ajoute qu’une constitution, c’est d’abord et avant tout un équilibre entre les organes qui y sont décrits et un texte qui engage le moins de dissension possible au fil des siècles. Et à mon humble avis, lester un texte constitutionnel ne sert à rien car personne ne le lira à part des personnes procédurières, donc autant ne pas avoir de constitution écrite et codifiée comme c’est le cas du Royaume-uni de Grande-Bretagne qui est régit par des lois issues du Moyen-Âge et par des coutumes.

Le 25/01/2018 à 12h 33

Oui, on peut inscrire tout et n’importe quoi dans la Constitution, je suis d’accord. La question n’est pas de savoir depuis quand les réseaux informatiques publics existent, la question est de savoir à quoi sert la Constitution.



Et plus on y met de choses particulières, plus on est amené à modifier le texte. Bref, en France on change de constitution tous les 50 ans en moyenne depuis 1792, donc autant faire une 6e République avec des concepts modernes et contemporains, ça aurait le mérite de gagner en clareté.

Le 24/01/2018 à 21h 24







Jarodd a écrit :



La Constitution doit accueillir les grands principes, du genre “tout le monde a le droit de communiquer librement”, et la loi interdit de faire des débits différents par exemple. Le net c’est technique, ce n’est pas un principe. Si dans 20 ou 30 ans on communique par la pensée, qu’est-ce qu’un moyen de communication obsolète viendra y faire ? C’est comme s’il y a 50 ans on avait mis dans la Constitution un article parlant de la télévision…





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La Constitution, n’est pas la liste des ingrédients qu’on inscrit sur l’emballage d’un produit alimentaire (du prêt-à-manger, du clé-en-main). La Constitution, c’est la recette qu’on garde en main en faisant ses courses et qui va permettre à l’ensemble des convives de ripailler à leur aise.



Qu’il existe des réseaux numériques publics libres n’est qu’un exemple que des principes fondamentaux inclus dans la Constitution solennisent déjà. Sinon, constitutionnalisons la CNIL (à côté du Président de la République, du Parlement, du Congrès, du CESE), puisqu’il existerait une mention des “réseaux numériques” à l’article 1er de la Constitution.


Le 25/01/2018 à 12h 20

Oui, comme dit à la fin de mon commentaire précédent, les opérateurs français peuvent faire comme AT&T aux États-unis, c’est toujours possible (Free n’a pas de réseau 2G, ça prouve que c’est possible, est-ce que c’est mieux, je ne pense pas, sinon Free n’aurait déjà plus d’itinérance 2G).

Le 24/01/2018 à 23h 28

Il faut savoir aussi que déployer un réseau dans une zone de population très dense (en gros, les zones urbaines) est beaucoup plus “facile” que dans une zone peu dense, car le nombre d’abonnements et la rentabilité de l’infrastructure y sont beaucoup plus importants.



On parle ici des dernières zones blanches de l’Hexagone (le dernier 1% du territoire), car les investissements sont énormes par rapport au nombre d’utilisateurs qui utiliseront ces réseaux dans ces localités.



Or le réseau qui permet d’appeler partout en France actuellement c’est plus certainement la 2G que la 3G : la 3G partout ce sera dans 5 ans (quand les abonnements actuels auront amorti les investissements déjà réalisés), la 2G partout c’est à court terme : le but est de pouvoir appeler et recevoir des appels dans un ou deux ans dans ces zones très peu fréquentées.



Ceci-dit, on peut aussi faire comme AT&T aux États-unis et décréter que couvrir l’ensemble du territoire ne sert à rien pour ce que ça rapporte et les clients qui vivent ou qui se déplacent à 20 km de la première autoroute, au milieu de nul part n’ont qu’à se passer de mobile pendant qu’on déploie la 4G dans le monde “civilisé”.

Le 24/01/2018 à 15h 31

C’est déjà le cas, le spectre de la 2G diminue depuis plusieurs années déjà (la fréquence 1800 MHz par exemple). Et les spectres de fréquences de la 5G et de la 4 fixe sont même d’ors-et-déjà décidés.



D’ailleurs, personne n’a dit que la 2G était favorisée au détriment de la 3G ou de la 4G (ou alors j’ai mal lu). Le réseau 3G est encore moins étendu que le réseau 2G, on parle de couvrir l’Hexagone entièrement, on ne parle pas de ralentir le déploiement de la 3G ou celui de la 4G, ça n’aurait effectivement aucun sens.

Le 25/01/2018 à 09h 52







wpayen a écrit :



[…] Après si l’idée est de se faire chier à estimer à l’aveugle les risques encourus par une entité en-dehors de ton champs d’action, c’est un concept.





C’est le complexe de la “petite phrase”, on voit souvent ça à la TV-radio-rézosocio : on réagit pour avoir quelque chose à dire et se donner une contenance, voire une existence dans un groupe. Donner l’impression de s’insurger, c’est toujours le plus rapide pour obtenir de l’attention.


Le 25/01/2018 à 09h 48

ça dépend de ce qu’on appelle “Se plaindre”. Se plaindre pour ne pas avoir à faire l’effort d’améliorer sa vie ? ou se plaindre pour commencer à (ré)agir ?



Telle est la question (dixit Hamlet).

Le 25/01/2018 à 09h 45

Je dirais que, privé ou professionnel, c’est la même chose : pourquoi les données dans le cadre professionnel seraient analysées par l’éditeur d’un logiciel, alors que cela exige de la confidentialité ou du moins un partenariat commercial consenti (contrat commercial). Je n’ai jamais vu aucune entreprise d’accord pour avoir une quelconque transparence avec ses fournisseurs (à part peut-être avec les gros fournisseurs qu’elle connait de longue date et avec qui elle possède des intérêts communs).

Le 25/01/2018 à 09h 39

Windows 10 ressemble furieusement à une tendance vers un modèle économique à la Android quand même : de la publicité, certes désactivable dans le menu Windows, mais de la pub ciblée avec des données collectées par défaut. On me dira que c’est désactivable… Je répondrais tant mieux, mais on fait mieux comme modèle économique (c’est peu de le dire).

Le 25/01/2018 à 07h 04

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Il est souvent recommandé de recouper ses sources pour :




  • éviter le prisme de la perception de la réalité,

  • élargir son point de vue de la réalité.



    (le prisme, le point de vue, comme en optique)



    Or, le problème actuel des médias “main stream” est de répéter les infos que la concurrence a lancé ou va lancer ou risque de lancer dans la journée. Et, faut-il encore le répéter, l’objectivité n’existe jamais dans un discours, sauf peut-être dans un texte de plusieurs centaines de lignes avec les avertissements, les mises en contexte, les mises en garde,… nécessaires. Or un article, un reportage vidéo ou sonore correspond plutôt à quelques dizaines de lignes.





    Le paradoxe de l’info - Pourquoi on n’a jamais été aussi mal informé - mercialfred.com - 16/01/2018

    Frédéric Taddeï, des conseils pour s’informer- Thinkerview sur youtube.fr - 06/12/2017

Le 25/01/2018 à 00h 04

nextinpact.com Next INpact

Le 24/01/2018 à 14h 01

« L’entreprise Opposetel est désignée dans le cadre d’une délégation de service public […] le 25 février 2016 pour une durée de cinq ans.



Cette entreprise est cogérée par quatre entreprises liées au télémarketing : Amabis, HSK Partners, AID et CBC Developpement. »

fr.wikipedia.org WikipediaIl faut en parler à ton député… en espérant qu’il n’ait aucun conflit d’intérêts dans le domaine du marketing et des big data <img data-src=" />

(je dis ça… mais un compte Bloctel, c’est déjà mieux qu’un compte Google sur Android pour télécharger une application de protection de vie privée sur Google PlayStore)

Le 24/01/2018 à 13h 34







fred42 a écrit :



[…]

Sinon, j’aimerais bien que la CNIL retrouve le même pouvoir contre l’exécutif que contre les sociétés privées. Il y a eu un recul fort quand la loi a changé à ce sujet.





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