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7412 commentaires

Le 18/08/2017 à 18h 15







plauda a écrit :



Bravo Guénael pour cet extrait anxiogène de FRNOG, absolument pas représentative des échanges qui plus est…



 Sérieusement, relayer des rumeurs de malware (Russe !) à quelques heures du début d'un incident vous semble-t-il digne d'un professionnel de l'information ?       

D'autant que Next est censé être spécialisé... et critique !






Idem pour les spéculations sur le routage, la diversité des impacts porte à croire que l'hypothèse est peu pertinente.       

 

Allez, vous ferez mieux la prochaine fois ! Enfin espérons.






En tout cas, c'est quasi terminé en IDF en tout cas.      

 








Et les gars ! On peut faire le récit d'un événement précis indépendamment du fait qu'on ne connaît pas tout le fin mot de l'histoire sur le bout des ongles, ou qu'on ne fait pas la publicité des acteurs de l'événement en question ?       



 

Il n’y a pas que le fait, la vérité vraie dans la vraie vie, il y a aussi la synthèse, les débuts d’indices ou de preuves, les témoignages, les hypothèses probables, etc. Un peu de recul sur un événement ne fait pas de mal plutôt que de regarder le détail des faits au microscope. 

 

C’était mon coup de gueule de fin de semaine contre les gens qui se disent cartésiens et qui érigent le “fait” réel et vérifié en dogme.


Le 18/08/2017 à 09h 32

C’est certain, le prosélytisme des idées qui poussent à trouver un bouc-émissaire à tous les problèmes est un terreau fertile pour le totalitarisme. Mais ceci ne déboucherait sur rien sans la misère et l’absence de perspective d’une partie de la population et sans la détérioration rapide de l’ordre public.




 L'exemple du Rwanda est révélateur à ce sujet : un ordre social modifié par le colonisateur pendant des dizaines d'années, avec 2 ethnies organisées en fonction de leurs tâches socio-professionnelles, l'une qui dirige et l'autre qui occupe les fonctions subalternes (une répartition des tâches fondée sur le racisme, la hiérarchisation des races). Et quand le colonisateur s'en va quand l'indépendance du Rwanda est proclamée, celui-ci laisse ce petit monde continuer à gérer la Société sur ce mode ségrégationniste sans que personne ne sache préserver l'ordre public.       






 Un autre exemple est la crise de 1929 en Europe associée à la peur de la montée du communisme avec la Révolution russe de 1917 et à un antisémitisme larvé qui dure depuis la fin du XIXe Siècle (affaire Dreyfus en France). On connait la suite.

Le 18/08/2017 à 08h 29

à part Arnold Schwarzenegger, je n’écoute aucun gourou de la pensée.&nbsp;&nbsp;&nbsp; <img data-src=" />

Le 18/08/2017 à 06h 45

Encore peut-on ajouter que “Pour triompher, le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien.” (Edmund Burke)

Le 17/08/2017 à 14h 43

Les plateformes numériques deviennent des juges de paix.&nbsp; <img data-src=" />



&nbsp;C’est comme Facebook qui supprimait 30 000 comptes à cause des fakenews à quelques jours du 1er tour de l’élection présidentielle en France au lieu de s’occuper des fakenews au quotidien.

Le 17/08/2017 à 08h 39

C’est ce que j’appelle dans mon précédent commentaire le “devoir d’information du patient”, parce qu’on estime que le patient doit pouvoir choisir sa thérapie en conscience et que le médecin n’a pas à faire ce choix à la place de son patient. C’est une conception protestante des relations entre patient et médecin (l’omission d’information ou le mensonge est une faute).

Le 16/08/2017 à 14h 14

Même si les professionnels de santé sont soumis à des règles plus sévères aux Etats-unis (devoir d’information du patient, obligation de résultat) et que tout se paie en monnaie sonnante et trébuchantes (alors qu’en France on a des assurances obligatoires pour ça), il faut avoir subi un dommage pour faire un procès (même si le pronostic vital n’est plus menacé). Sans être lésé, il n’y a aucune raison que la justice indemnise un individu (même aux States).

Le 16/08/2017 à 13h 56

Pour faire un procès, il faut qu’il y ait un préjudice. Même aux States, je vois mal un plaignant obtenir de la justice une indemnisation au motif du non-respect du 4e amendement de la Constitution.

Le 16/08/2017 à 12h 18

« 15 juillet 2004 : sous l’impulsion d’Alex Türk, nouveau président de la CNIL, le Parlement adopte une refonte de la loi informatique et libertés, particulièrement critiquée, notamment par d’anciens commissaires de la CNIL.



Entre autres choses, elle éxonère l’Etat de tout risque de sanction, libéralise la création des fichiers portant sur l’ensemble de la population (tels que la carte électronique d’identité ou les traitements relatifs à l’administration électronique), retire les données génétiques, biométriques, sociales et psychiques des données dites sensibles, protége les fichiers policiers (existants et futurs), et couvre le fait que nombre d’entre-eux sont pourtant “hors-la-loi”. »



Les atteintes à la vie privée - Jean-Marc Manach - 2004

Le 16/08/2017 à 09h 53

Sinon, il y a la Nouvelle-Zélande qui est encore plus éloignée de la France que le Japon et je suis sûr qu’on aime les crêpes là-bas.

Le 16/08/2017 à 09h 16

ou Hongrie, Pologne : c’est plus proche et pas besoin de visa d’entrée.

Le 15/08/2017 à 09h 44

Mais, en effet, il y a débat pour savoir si l’Homme de Neandertal correspond à une espèce à part entière ou à une sous-espèce.

Le 15/08/2017 à 08h 57

« MÉTIS, -ISSE, adj.

A. − Issu du croisement de deux races ou de deux variétés différentes de la même espèce. »

http://www.cnrtl.fr/lexicographie/métis



on parle aussi de bâtard, de corniaud, etc.



Le mot “race” est inapproprié concernant l’Homme de Neandertal, j’insiste. Il y a confusion.

Le 15/08/2017 à 06h 30

En fait il ne faut pas s’occuper du problème A, tant que le problème B n’est pas réglé? Je ne trouve pas ça logique.



Et dire qu’on (je ne sais pas qui est “on” mais peu importe) ne parle jamais de régler le problème de la fraude fiscale est, au pire, une affirmation gratuite ou, au mieux, une opinion. Quant à dire que le législateur ne fait aucune loi contre la fraude fiscale (je prend “fraude fiscale” dans un sens très très large en englobant l’optimisation fiscale, les niches fiscales et les fraudes stricto-sensu de grande ampleur), c’est ignorer les quelques avancées qui sont faites malgré les pressions de toutes parts de puissants lobbies.



Ceci n’est pas une raison pour faire des comparaisons foireuses et râler dès qu’on parle d’un sujet qui n’intéresse pas sa petite personne parce qu’on s’INtéresse à d’autres sujets.

Le 15/08/2017 à 06h 17

Je ne sais pas si tu fais de l’ironie, mais il y a un amalgame entre les mots race et espèce :



la race humaine n’a pas de sens biologique, il faut l’entendre sous le sens anthropologique et culturel (on dit qu’il n’y en a qu’une pour éviter l’amalgame avec le sens biologique du terme). Plus généralement, les mots “espèce” et “sous-espèce” servent de classification biologique, alors que le mot “race” est un terme dont le sens renferme beaucoup d’homonymes divers et dont le sens vis-à-vis du mot “espèce” est un peu plus détaillé : espèce &gt; sous-espèce &gt; race.



D’ailleurs, dans le cas du mélange de 2 races, on parle de métissage ou de race mixte. Dans le cas du mélange de 2 espèces (ou sous-espèces), on parle d’hybride.



L’Homme de Neandertal n’est pas considéré de la même espèce que l’Homo Sapiens.

Le 14/08/2017 à 21h 26

tu amalgames la proportionnalité des peines (le fait que le juge conditionne la peine à la situation de l’individu) et le fait d’attribuer légalement une peine à un type d’infraction (un travail de législateur et de juriste).



Et en plus tu compares un délit avec une contravention, en feignant d’ignorer que menacer l’intégrité physique d’une personne peut entrainer la prison (sans compter que faire une blague de blonde devant une femme blonde n’entraînera pas forcément une infraction, à part bien sûr si on cherche à blesser la dite-personne).

Le 14/08/2017 à 15h 44

Apparemment, il y a tout de même des exceptions : « Toutefois, une diffamation prononcée entre 2 personnes visant 1 personne non présente et dans un cadre confidentiel (courrier privé…) n’est pas punissable par la justice pénale. Par exemple, si un salarié diffame son employeur dans un SMS adressé à un autre collègue. »

http://www.justice.fr/fiche/diffamation-2#ancre-2



Ceci-dit, je ne vois pas en quoi porter atteinte à la dignité d’une personne serait souhaitable ?

Le 16/08/2017 à 09h 34

Y a un ‘blème ?

Le 14/08/2017 à 07h 25

« Il suffira d’un signe, un matin

Un matin tout tranquille et serein

Quelque chose d’infime, c’est certain

C’est écrit dans nos livres, en latin

[…]

Tu ris mais sois tranquille un matin

J’aurai tout ce qui brille dans mes mains

[…]

Nous n’avons plus que ça au bout de notre impasse

Le moment viendra tout changera de place »

J-J. Goldman

Le 13/08/2017 à 14h 25

A ceci près que je ne le connaissais pas encore, alors que Altice, SFR, Neuf-Cegetel et surtout Club-internet (mon 1er FAI en dégroupage), je m’en rappelle encore aujourd’hui.

Le 13/08/2017 à 13h 48

En 2007…





  • Altice était un petit câblo-opérateur franco-luxembourgeois,

  • Club-internet appartenait encore à T-online,

  • SFR était encore actionnaire minoritaire (28%) de Neuf-Cegetel (créée en 2005 après la scission provisoire SFR-Cegetel).





    merci Wikipedia&nbsp; <img data-src=" />

Le 12/08/2017 à 12h 55

En tout cas, j’ai bien compris que dès que tu entends les mots “nucléaire” ou “Etats-unis”, tu sors ta Grosse Bertha : tu te perds dans des détails pour fustiger tout ce qui pourrait ressembler de près ou de loin à une critique de tes opinions. Quand tu fustiges mes approximations, c’est l’hôpital qui se fout de la charité : si tu veux vraiment qu’on parle de faits tangibles, alors donnes-en. En tout cas, tu n’avais pas visionné le documentaire d’ARTE au moment d’écrire ce commentaire, c’est certain.

Le 12/08/2017 à 12h 17

Je répondais à un commentaire, je ne faisait pas une dissertation d’histoire. Merci de ne pas détourner mes propos.

Le 12/08/2017 à 09h 10

erreur de ma part: ce n’est pas des millions de tués, mais des centaines de milliers de morts, sans compter les survivants plus ou moins atteints.

Le 12/08/2017 à 08h 45

&nbsp;Comme dit dans le documentaire, le Japon a fait plusieurs tentatives de réddition sous conditions. Or les États-Unis souhaitaient une réddition sans condition du Japon dans le but de faire la démonstration au Monde (à l’URSS de Staline en particulier) de la puissance destructrice de l’armée US. Une fois la bombe atomique développée, pourquoi accéder à une demande de paix sous condition de la part du Japon ?



  &nbsp;        

&nbsp;C'est vrai, pourquoi ? L'armée avait l'occasion de la tester en conditions réelles sur une population nombreuse, pourquoi s'en priver ? Peut-être parce que si on est intelligent et humain, on utilise la voie diplomatique initiée par l'adversaire plutôt que de tuer des millions de civils, non ?

&nbsp;

&nbsp;Prenons l'hypothèse que l'armée US avait abandonné les combats : la paix aurait été signée et l'Empire du Japon serait peut-être resté un ennemi militaire des États-Unis, je te l'accorde. Cela-dit, la stratégie des États-Unis de soumettre ses ennemis par la force militaire a ses limites vu que l'industrie japonaise a, par la suite, terrassé l'industrie US. Si on ajoute à ça la Guerre froide contre les Soviétiques et l'hérésie économique de la course aux armes de destruction massive, et si on regarde le désastre de cette politique militaire en Afghanistan (Al-Qaïda) et en Irak (Daesch), on voit que les États-Unis réussissent à se construire des ennemis qu'ils ne savent pas forcément bien contrôler. Et je ne parle pas de l'échec de cette politique militaire au Viet-Nam (Indochine), où l'arme chimique (Napalm) a été testée, mais peut-être aurait-il fallu utiliser l'arme nucléaire pour éradiquer la résistance communiste ?






&nbsp;En tout cas, le documentaire a très bien énuméré les faits historiques et la conclusion est une vérité lucide : le nucléaire a fait basculé le Monde dans une nouvelle ère pleine de craintes et de fantasmes (le pire fantasme étant la croyance dans les années 1950 que la radioactivité aurait été bonne pour la santé). Tu devrais revisionner ce documentaire avec moins de certitudes.

Le 11/08/2017 à 16h 35

« Combray



&nbsp;Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint. Cette croyance survivait pendant quelques secondes à mon réveil ; elle ne choquait pas ma raison, mais pesait comme des écailles sur mes yeux et les empêchait de se rendre compte que le bougeoir n’était plus allumé. Puis elle commençait à me devenir inintelligible, comme après la métempsycose les pensées d’une existence antérieure ; le sujet du livre se détachait de moi, j’étais libre de m’y appliquer ou non ; aussitôt je recouvrais la vue et j’étais bien étonné de trouver autour de moi une obscurité, douce et reposante pour mes yeux, mais peut-être plus encore pour mon esprit, à qui elle apparaissait comme une chose sans cause, incompréhensible, comme une chose vraiment obscure. Je me demandais quelle heure il pouvait être ; j’entendais le sifflement des trains qui, plus ou moins éloigné, comme le chant d’un oiseau dans une forêt, relevant les distances, me décrivait l’étendue de la campagne déserte où le voyageur se hâte vers la station prochaine ; et le petit chemin qu’il suit va être gravé dans son souvenir par l’excitation qu’il doit à des lieux nouveaux, à des actes inaccoutumés, à la causerie récente et aux adieux sous la lampe étrangère qui le suivent encore dans le silence de la nuit, à la douceur prochaine du retour. …] »




Du Côté de Chez Swann - [première partie  

&nbsp;À la Recherche du Temps Perdu (Marcel Proust)

Le 11/08/2017 à 18h 00

ton commentaire me fait penser à la scène des humains dans le film d’animation WALL-E :

&nbsp;

&nbsp;[spoiler] Fitless Humans (WALL·E) [spoiler]

Le 11/08/2017 à 16h 05

Moi, je n’ai pas réussi à comprendre comment marchait cette application. Autant j’ai compris le fonctionnement de Tinder, autant SnapChat m’a laissé démuni et dans l’expectative. C’est moche, moi qui espérait m’acheter des Spectacles

&nbsp;<img data-src=" />

Le 11/08/2017 à 17h 21

Merci pour ces précisions. C’est vrai que ça fait peur quand ça pète avec des sommes pareilles (surtout quand on apprend un peu tard qu’il y a eu des malversations).

Le 11/08/2017 à 17h 08

Récupérer la moitié de la dette d’une société en cessation de paiement, c’est déjà pas mal.

Le 11/08/2017 à 13h 52

la crise des subprimes est une crise systémique. C’est un peu plus grave.



Concernant la banqueroute d’Enron, je ne connais pas suffisamment le sujet. Mais tu peux peut-être m’en dire plus ?

Le 11/08/2017 à 13h 47

Plus précisément, la crise des subprimes a été précipitée par la titrisation des dettes immobilières (des particuliers américains qui s’achetaient une maison) qui permettait aux banques de s’échanger des dettes douteuses (ou pourries - des dettes qui ne seraient jamais remboursées par l’acheteur de sa maison) mélangées à des dettes solvables.



les banquiers ont préféré cacher les dettes insolvables à leurs concurrents et ont donc essayer de les refourguer à d’autres banques ni vu ni connu (en d’autres termes, ils ont vendu des créances insolvables en laissant penser qu’elles étaient solvables). Le scénario a duré quelques temps avant que les banques perdent confiance mutuellement entre elles et refusent de se prêter mutuellement des liquidités : d’où la crise des subprimes et le blocage du système financier.

Le 11/08/2017 à 13h 34

Plus précisément, Lehman Brothers est la 1ère banque à être tombée et l’autorité publique n’a pas jugé bon de la renflouée. Ce qui a aggravé la crise financière, et il a fallu renoncer aux principes du néo-libéralisme (qui veut que l’État ne se mêle pas d’économie).



Pour le reste, c’est sûr que les banques peuvent compter sur les États pour les aider, surtout du fait que la dette des États appartiennent à ces mêmes banques (chacun un flingue sur la tempe de l’autre).

Le 11/08/2017 à 13h 26

Tu confonds actions (titre de propriété) et actifs (les infrastructures, les machines-outils, le matériel, etc): la banque ne se paiera pas avec des actions, elle se paiera en revendant les actifs (en liquidant les biens de son emprunteur).



Une société peut déscendre en bourse avec des actifs dont la valeur ne bouge pas (voir augmente si la société augmente ses actifs, comme un opérateur télécom qui déploie la fibre sur un territoire par exemple).



La crise des subprimes, ce sont des biens immobiliers qui n’ont pas pu être vendus parce qu’il y avait trop d’emprunts immobiliers impayés, donc le prix de l’immobilier s’est effondré (c’est le système qui s’est effondré).

Le 11/08/2017 à 12h 50

la faillite d’un seul emprunteur n’engagera jamais la survie de la banque. La banque prend ses garanties et ses précautions. Pour que la banque fasse faillite se serait à cause de l’écroulement d’une majeur partie de ses gros clients emprunteur (ce qui n’arrive pas tous les jours).

Le 11/08/2017 à 12h 42

Lehman Brothers est tombée parce que le système est tombé (les banques ne se faisaient plus confiance entre elles tellement il y avait des impayés). Quand les banques réussissent à s’assurer entre elles, c’est avant tout l’emprunteur qui tombe et qui renfloue la banque avec ses actifs, les intérêts du prêt étant là pour rémunérer la banque comme n’importe quel commerçant.



La banque prend un risque, c’est certain, mais elle prend ses garanties avant de prêter : si la banque tombe, c’est que les garanties (celles du prêt et celles du système bancaire) n’ont pas suffit.

Le 10/08/2017 à 15h 04

C’est amusant (ou inquiétant) de se rendre compte que plus une entreprise détient d’actifs, plus elle est reconnue comme solvable, cela en dépit de la dette en cours.

&nbsp;

A ce rythme-là, Altice sera capable d’acheter tout et n’importe quoi, comme Time Warner ou Vivendi Universal dans les années 2000, pour finalement devoir tout revendre par manque de liquidité quand les banques décideront de ne plus charger la barque (ou pas).

Le 11/08/2017 à 15h 16

Quelle-est la différence entre taxe, impôt et redevance ?



Pour ceux que la précision juridique intéresse&nbsp; <img data-src=" />

Le 11/08/2017 à 13h 18

3e commentaire et on parle déjà de délation. Comme quoi, l’occupation nazie du début des années 1940 laisse encore des traces dans l’inconscient collectif des Français.

Le 11/08/2017 à 13h 16

la TVA est unimpôt indirect.



L’impôt sur les sociétés est un impôt direct, comme l’impôt sur les revenus des personnes physiques.

Le 11/08/2017 à 13h 12

Il faut préciser que l’impôt sur les revenus ne représente qu’un quartdes recettes de l’État.

Le 11/08/2017 à 12h 37

“les roulettes qui font du bruit”, c’est le moyen de repérer une location Airbnb pour se focaliser sur un bien immobilier qui serait éventuellement en location. C’est comme partir à la chasse au lièvre.

Le 11/08/2017 à 10h 46







Patch a écrit :



A quel niveau c’est du bashing? Dans le fait qu’ils fassent objectivement de la merde, et que ca a largement empiré depuis qu’ils sont passés sous la direction de Drahi en revendiquant en prime prendre leurs clients pour de parfaits pigeons? Si pour toi ca c’est du bashing, je sais franchement pas ce qu’il te faut…





Non, c’est pas du bashing, c’est dudénigrement<img data-src=" />


Le 09/08/2017 à 21h 05







Patch a écrit :



[…] Et étrangement, on ne les appelle pas “low cost.”





C’est toi qui le dit. Moi, je n’ai parlé que de la freebox jusqu’à présent. C’est toi qui déborde sur les offres rivales. Bien sûr que des offres low cost existent ailleurs, le champion du low cost en France étant BouygTel (peut-être pas pour longtemps puisque, apparemment, les prix remontent aussi pour les offres Bbox).


Le 09/08/2017 à 15h 03







Patch a écrit :



Lowcost?

Je ne vois pas trop ce que font les concurrents qui n’est pas inclus dans la mini (à part à la limite les mobiles illimités, mais qui sont toujours soit en option soit sur des forfaits plus chers, comme chez Free)…





Ma foi, l’offre Freebox mini 4K est beaucoup moins “tout compris” que l’offre Freebox Revolution. Low price si tu préfères, même si ça veut dire la même chose*. Et c’est pas pour vanter les mérites d’autres opérateurs, mais il y a des offres très intéressantes à part la Freebox (pour peu qu’on s’intéresse à la TV/SVOD).





* Low Cost « Expression anglo-saxonne utilisée pour désigner une entreprise qui pratique des prix très bas, grâce à la conduite d’une politique rigoureuse de coûts très bas,une planification de l’activité le plus longtemps possible à l’avance et une automatisation maximum (ou une suppression)des prestations habituellement assurées par des employés. »



Low price « « On n’est pas low cost, on est low price et bien géré ». Interrogé sur les facteurs du succès de la Freebox Revolution, il a livré quelques recettes.

« Pour réussir le lancement d’un produit, il faut qu’il soit désirable mais surtout que son prix soit en adéquation avec sa qualité. Si son prix est trop élevé, il devient inaccessible et sa désirabilité baisse ». L’autre facteur clef, selon lui, c’est le bouche-à-oreille. « Les réseaux sociaux jouent maintenant un rôle colossal. Vous gagnez si votre produit réussit à créer de la viralité ». »


Le 10/08/2017 à 11h 56







OlivierJ a écrit :



[…]

Un opérateur mobile français (ou européen) n’a rien à voir avec la concurrence américaine, en plus.





Altice est plus qu’un opérateur mobile européen : présent dans plusieurs pays du Monde (République dominicaine, France, Israël, Portugal, USA) et des activités dans les réseaux télécom, la production/diffusion de contenus et la publicité ciblée.&nbsp;http://altice.net


Le 10/08/2017 à 11h 42







alex.d. a écrit :



Bah si, Cablevision, tout ça…

&nbsp;





Altice, le “AOL” européen&nbsp; <img data-src=" />

&nbsp;

(même si AOL alliait FAI et services internet, alors que Altice allie plutôt FAI et services TV ; et même si Altice ne connaîtra pas forcément le destin tragique de AOL)


Le 10/08/2017 à 09h 37







Ramaloke a écrit :



Ca le ferait pas de marquer un modèle de calcul du genre :




Bénéfice anticipé - ~1% pour faire style = Royalties modèle Altice      






Tant bien même tout le monde sait que c'est comme cela que ça fonctionne pour les multinationales .       

&nbsp;

Je me demande combien de temps on va encore tolérer ce système de Bénéfice - Royalties = Pas d'impôts. On devrait sortir les royalties à l'international du calcul des bénéfices et conserver uniquement les Royalties vers une société de droit fançais. Y'aurait encore des magouilles mais pas au niveau actuel.








Je comprends le raisonnement, mais dans le détail, les bénéfices de SFR ne correspondent pas exactement à la redevance "modèle Altice". Il y a aussi les dividendes payés à Altice, et si on va plus loin les dettes de SFR et aussi d'autres dépenses. La redevance "modèle Altice" correspond à un calcul précis. Peut-être que SFR sera tout juste rentable d'un point de vue fiscal chaque année (pour ne pas payer d'impôt sur les sociétés en France), mais toute dépense se calcule, même dans une relation entre une filiale et la société-mère.   





Pour schématiser, c’est simple de dire :

&nbsp;redevance “modèle Altice” = 100% du résultat comptable après impôt


Le 10/08/2017 à 09h 23

Justement, il s’agissait de détailler le calcul de la redevance payée par SFR à Altice correspondant au “modèle Altice” du bénéficie soit-disant SFR.

&nbsp;

&nbsp;&nbsp;L’AMF pointe un manque de transparence dans l’OPE d’Altice sur SFR&nbsp; - Next inpact - 06/10/2016

Le 09/08/2017 à 20h 54







Fyr a écrit :



Tu y crois vraiment à ce Credo ?





C’est l’objectif visé en tout cas. Ceci-dit vu que la chronologie des médias est remise en question par la profession elle-même, l’objectif ne semble pas atteint.