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7412 commentaires

Le 08/02/2018 à 15h 34

Après avoir lu cet article, ça sent l’embrouille, alors que l’article précédent m’aurait plutôt rassuré sur les intentions de l’État qui semblait avoir laché du lest sur les contraintes financières pesant sur les 4 opérateurs propriétaires de licences mobiles.



Quid du contrôle plus précis sur la 2G ? N’est-ce finalement que du bluff, de la poudre de Perlinpinpin ?

Le 08/02/2018 à 09h 25

L’illimité 4G français est quand même très publicitaire. Je ne comprendrais jamais cette notion de “fair use” qui rend la connexion à internet quasi-inutilisable, et je ne supporte pas les variations de débits qui vont du simple au double et qui donnent l’impression parfois d’avoir un débit 3G alors qu’on est en 4G.

 

Je ne sais pas si en Belgique les débits sont plus respectés qu’en France, en tout cas, le “fair use” à l’air plus respectueux de l’appellation “illimité”.

Le 08/02/2018 à 00h 39

Parfaitement. On considère généralement que l’employeur doit respecter la vie privée de ses salariés, mais visiblement, quand le salarié laisse l’accès libre à son compte Facebook, il ne peut pas espérer que le Conseil des Prud’hommes reproche forcément à l’employeur d’utiliser cet accès pour motiver un licenciement.

Le 07/02/2018 à 23h 59

S’il s’agissait d’un poste personnel et si Mme X avait montré des signes de recherche de confidentialité vis-à-vis de sa page Facebook, la question que tu poses serait valable. Or ce n’est pas le cas. Mme X n’a jamais tenté de démontrer que son profil Facebook n’était pas en accès libre. Le tribunal ne peut quand même pas faire la défense de la salariée à sa place.



Il suffit de lire le jugement pour s’en convaincre.

Le 07/02/2018 à 22h 08

Personnellement, je n’ai jamais compris ces gens qui font n’importe quoi dans le but de se faire licencier. Il me semble plus logique de demander un entretien avec son employeur en essayant de négocier un licenciement ou une rupture du contrat de travail. Dans le pire des cas, il suffit de démissionner et basta cosi ! 



NB: je dis ça, mais je n’ai jamais eu le cran de démissionner <img data-src=" />

Le 07/02/2018 à 21h 39







127.0.0.1 a écrit :



Comment on différencie “volontairement resté ouvert”, et juste “resté ouvert” ?




 Mais bon, si c'est la  supérieure hiérarchique qui le dit, c'est surement vrai.











Romaindu83 a écrit :



Je suis consterné. Oui, consterné… non pas par la justice de mon pays mais pas la naïveté, la stupidité et l’incrédulité des Internautes. Comment peuvent-ils penser qu’ils sont libres de dénigrer librement sur les réseaux sociaux les entreprises qui les emploient, leurs patrons, leurs responsables et leurs collègues de travail ?




 Enfin, il est évident que si vous laissez ouvert une session privée d'un réseau social, celle-ci sera accessible à tout à un chacun... Suivant d'où vous vous connectez, il faut toujours fermer sa session. C'est plus prudent.       






 Et, de toute façon, hormis si vous êtes community manager, un lieu de travail n'est pas l'endroit pour consulter des réseaux sociaux, à part peut-être ceux du même type que Yammer.








 Suivant l'attestation de l'ancienne supérieure de Mme X, Mme X laissait volontairement sa session facebook ouverte pour que ses collègues et sa hiérarchie prenne connaissance de son opinion de l'entreprise. Et suivant des témoignages d'anciennes collègues, Mme X dénigrait son entreprise et ses collègues.   





D’ailleurs Mme X n’a jamais contesté cette attestation.


Le 07/02/2018 à 21h 29

En plus, faut-il rappeler que le service de Facebook est un outil de publication et de partage, donc parler d’un simple système de traitement de données en parlant de Facebook, c’est un peu faire le déni de ce pourquoi on utilise Facebook.

Le 07/02/2018 à 21h 22

Ici, ce n’est pas un problème pénal, mais un problème du droit du travail : c’est en application du Code du travail que la Cour d’Appel a jugé.

&nbsp;

Pour avoir une chance de faire appliquer cet article que tu mentionnes, il faudrait que Mme X porte plainte et que le parquet se saisisse de l’affaire. Mais, en fait, comme il s’agit du système de traitement automatisé de données de Facebook (comme tu le dis dans un commentaire suivant), j’imagine qu’une plainte de Facebook serait plus appropriée.

Le 07/02/2018 à 23h 37

Arrête ton char Ben-Hur. C’est toi qui t’énerve tout seul.



Tu veux un lien ? tiens en voilà un : Organisation juridictionnelle (France) - Wikipedia

(sauf erreur de ma part, dans le jugement que tu as mis en lien dans ton commentaire, il n’y pas le mot juridiction, je dois être trop con pour faire une recherche dans un document texte)

&nbsp;

Si tu as envie de qualifier la Cnil de “juridiction” fait toi plaisir, mais ne dit pas que j’ai tort et surtout, ne m’assimile pas à OlivierJ, tu ne me connais pas. D’ailleurs, pour ma part, je n’ai plus envie de te connaître.



Quel besoin d’avoir raison contre les autres ? On peut même plus discuter. Bon vent l’ami. Tu as raison.

Fin du débat <img data-src=" />

Le 07/02/2018 à 12h 45

Dans une démocratie, il y a 3 pouvoirs séparés. Un autorité administrative indépendante n’a pas plus de pouvoirs qu’un procureur ou qu’un officier de police judiciaire.



Je disais juste que la Cnil ne rend pas la justice, ce n’est pas une juridiction. C’est tout.



Libre à toi de critiquer l’indépendance du parquet ou l’indépendance de la Cnil. Ce n’était pas l’objet de ma remarque.

Le 07/02/2018 à 11h 56







crocodudule a écrit :



[…]



Je trouve que pour une autorité qui se veut être une juridiction, ce n'est clairement pas satisfaisant.








La Cnil est une autorité administrative indépendante, ce n'est pas une autorité judiciaire. Elle est sensée faire un travail "technique", elle ne rend pas la Justice : dans les cas les plus grave, la Cnil peut faire appelle à l'autorité judiciaire et chacun peut contester les décisions de la Cnil.   





« En cas d’atteinte grave et immédiate aux droits et libertés, le président de la CNIL peut demander, par référé, à la juridiction compétente, d’ordonner toute mesure nécessaire. Il peut également dénoncer au Procureur de la République les infractions à la législation dont il a connaissance. »

&nbsp;https://www.cnil.fr/fr/les-missions


Le 07/02/2018 à 22h 16

J’ai mis presque 10 ans à comprendre le fonctionnement de Twitter. J’ai essayé SnapChat pendant quelques mois et je crois qu’il me faudra 20 ans pour m’y mettre <img data-src=" />



(si SnapChat existe encore d’ici là)

Le 07/02/2018 à 20h 07

Je veux bien croire que le déploiement 4G va plus vite (sauf exceptions, les emplacements sont déjà là - les autorisations administratives et contractuelles sont moins nombreuses, etc). Cela-dit, comme tu l’as écrit, la 4G ce ne sont pas seulement des antennes à placer, c’est toute une infrastructure à déployer. Il y a 4G partielle et 4G complète. Il y a 4G publicitaire et 4G technique.



&nbsp; Et théoriquement, la 4G LTE n’est en fait que de la 3G++, la 4G correspondant à l’origine à la norme “LTE Advanced”.

Le 07/02/2018 à 19h 41

Je disais “heureusement” en comparaison avec les zones blanches actuelles en 3G. C’est un fait que le déploiement est plus rapide à déployer en zones de population très denses. Mais bien sûr, c’est “logique”, je n’ai jamais dit le contraire (seulement que lorsqu’on habite ou travaille dans une zone blanche, le réseau mobile n’existe pas).

&nbsp;

Et pour le pifomètre, oui c’est mon évaluation personnelle, et alors ? Depuis les 1990, je suis l’actualité des réseaux télécom, c’est à partir de mon expérience personnelle que je dis ça. Et encore une fois, je n’ai pas la prétention d’annoncer une étude statistique avec résultat à l’année près. C’est seulement un commentaire que je fais sous un article qui dit qu’on ne verra pas la 5G avant 2020.



D’ailleurs, je viens d’apprendre que, d’après le président de l’Arcep, l’attribution des fréquences de la 5G ne se fera pas avant 2020, donc la commercialisation ne risque vraisemblablement pas de commencer en 2020 (il y a plus sûrement des retards que des avances de calendrier).

Le 07/02/2018 à 12h 29

Avec l’expérience des déploiements du réseau GSM et du réseau 3G, on sait qu’il faut bien compter environ :





  • 2 ans pour voir les premières zones couvertes,

  • 5 ans pour couvrir les zones de population les plus denses,

  • 10 ans pour couvrir les zones relativement denses,

  • 20 ans pour couvrir une grande partie des zones les moins denses (en laissant malheureusement de nombreuses zones blanches ou grises).



    J’ajouterais que, heureusement, les zones urbaines denses sont plus rapides à couvrir car plus rapidement rentabilisées.

Le 07/02/2018 à 10h 41

« Orange organisait ce matin une conférence autour de la 5G. Pour rappel, le déploiement commercial de ce réseau de nouvelle génération n’est pas attendu avant 2020 chez l’opérateur, alors que les premiers smartphones pourraient arriver dès le milieu de l’année prochaine. »

(article Next inpact)



    &nbsp;          

Encore 2 ans à attendre... enfin, pour quelques quartiers de la dizaine de métropoles de l'Hexagone.

Il faudra bien attendre 7-8 ans pour les villes moyennes, 12-14 ans pour toutes les zones urbanisées et les zones touristiques saisonnières, et 25 ans pour l'ensemble du territoire (à part 3% ou 4% du territoire qui auront au moins la 3G... on l'espère).

Le 06/02/2018 à 20h 21

Moi, la bande-annonce de “Gaston Lagaffe Le Film” me fait penser à “Mes Chers Voisins” (programme court de TF1)…



… Oh mais c’est un partenariat OCS / myTF1 / Le journal de Mickey : une pensée pour Orange qui n’aura probablement pas besoin de myTF1 Premium pour diffuser ce film aux jeunes abonnés d’OCS sur Livebox.

&nbsp;

<img data-src=" />

Le 06/02/2018 à 17h 10







CryoGen a écrit :



[…]



 Pour les caractéristiques du corps, je pense que ca tiens plus à la musculature par exemple, la taille etc. Par contre je ne crois pas avoir vu le concept poussé jusqu'a avoir des "points" (façon rpg) en beauté etc.








 J'ai cru comprendre dans les premiers épisodes que le corps du personnage principal avait eu des critères très précis de vélocité et de robustesse (il en est question également lors d'une séance de torture).      






La femme du Math "assassiné-ressuscité" (l'aguicheuse voluptueuse séductrice etc) parle également de spécificités d'attraction sexuelle qu'elle possède (elle parle dans des termes techniques dont je ne me souviens pas).     





Mais peut-être ne s’agit-il pas de mutations génétiques ou bioniques, mais seulement de critères corporels naturels du corps qui est commandé (un peu comme le calibre des fruits et légumes).


Le 06/02/2018 à 13h 01







SirGallahad a écrit :



Pour l’histoire des plan serrés et centrés sur le personnages ou des couleurs, je ne doit pas jouer au bon jeux :)





&nbsp;https://www.qwant.com/?q=fps&t=images


Le 06/02/2018 à 10h 30







SirGallahad a écrit :



Et sinon, je ne vois pas le parallèle avec les jeux vidéo&nbsp; &nbsp;: /






Je ne voudrais pas dévoiler une partie de l'intrigue, mais les techniciens qui appuient sur les icônes rigolotes d'un écran tactile ça fait genre "je joue avec les boutons de ma tablette ou de mon smartphone" (même si on peut admettre que ça sert éventuellement à créer un décalage avec les scènes de torture qui se déroulent au même moment).     





Et j’ajouterais le fait que cette série TV est filmée comme les scènes d’un jeu vidéo : des plans très serrés sur les personnages, beaucoup d’action, parfois des effets visuels très colorés et très dynamiques. Moi, ça me fait penser aux blockbusters actuels pour ados avec des effets spéciaux qui rendraient presque épileptique n’importe qui.


Le 05/02/2018 à 18h 28

il y a quand même plusieurs scènes qui ressemblent, si ce n’est à un jeu vidéo, à une virtualité qui fait mal à l’esprit quand on appuie sur les boutons d’un écran tactile sans endommager le corps physique (qui n’est rien sauf quand il s’agit d’inter-agir avec les autres).



Personnellement, ça me semble pas vraiment crédible (mais c’est un détail).

Le 05/02/2018 à 17h 57

Sans vouloir faire de hiérarchie entre le film Blade Runner et la série TV Altered Carbon, l’un fait moins blockbuster pour ados que l’autre (à mon humble avis).

Le 05/02/2018 à 13h 03

Après avoir vu les 10 épisodes, je dois dire que je n’ai pas vu le temps passer à partir du septième épisode. J’ai tout de même passé 6 épisodes à supporter la froideur de plusieurs personnages, et à passer outre quelques scènes qui ne me semblaient pas réaliste. Et finalement, quelques personnages ont brisé l’armure et les enjeux de l’histoire se sont quand même éclaircis.



Après ça, j’ai regardé le film sur Robert Boulin (en replay France5), et je suis devenu complètement cynique et froid (pas à ce point-là quand même).

Le 04/02/2018 à 13h 03

Personne ne t’a jugé puritain.

Le 04/02/2018 à 12h 26







empty a écrit :



De la nudité et du sexe montrés gratuitement, inutiles à l’intrigue. Le réalisateur a eu des consignes ou quoi ?

[…]





Netflix, c’est comme Twitter : ça change du puritanisme de Facebook&nbsp; <img data-src=" />



(encore faut-il rappeler que Altered Carbon est recommandé 16 ans et plus)


Le 04/02/2018 à 10h 27

Pour être plus clair, dans Matrix, j’accepte la convention cinématographique qui veut que les personnages acquièrent un savoir-faire en quelques secondes après téléchargement d’une capacité physique (l’esprit navigue dans une sorte de jeu vidéo et la mort virtuelle entraîne la mort du corps réel).



Dans Altered Carbon, la convention cinématographique qui veut que le corps physique soit interchangeable, que le corps puisse avoir des caractéristiques définies (robustesse, vélocité, attrait de séduction physique, etc) qu’on a demandé me semble impossible, je n’accepte pas cette hypothèse. En y réfléchissant, je pense aux adolescents qui changent de corps en 5-6 ans et qui développent des maladies psychologiques (de la simple dépression à l’anorexie). Dans le film, on nous explique bien qu’il y a des implications psychiques et physiologiques, mais pourtant, au cours de la série, on voit des trucs qui me semblent invraisemblables.



Bref, je sais que Matrix a eu le même genre de reproches, donc bon… passons sur l’aspect moral d’acquérir un corps aux caractéristiques précises définies à l’avance et passons sur l’aspect de mettre un esprit donné dans n’importe quel corps. Visiblement, ce n’est pas le coeur du sujet de cette histoire (mais ça ne m’empêche pas de soupirer à chaque fois que je vois des scènes où il en est question).

&nbsp;

&nbsp;

NB: j’ai vu les 5 premiers épisodes

Le 03/02/2018 à 18h 52

Je parle bien de l’humain augmenté qui a le corps qu’il a commandé avec des caractéristiques définies.



&nbsp;Les hologrammes, c’est une autre histoire et je peux comprendre.

Le 03/02/2018 à 17h 44

Personnellement, j’ai regardé le premier épisode et je dois dire que je n’accroche toujours pas aux histoires d’humain augmenté (ça dépasse ce que je peux admettre comme réaliste ou ça dépasse mes valeurs morales personnelles, je ne sais pas).



En revanche, les petites références aux algorithmes et à l’intrusion dans la vie privée, aux relations entre humain/machine ou humain/intelligence artificielle, m’amusent beaucoup plus.

Le 06/02/2018 à 15h 58

L’abandon de poste d’un salarié est une faute en cas d’absences répétées ou en cas d’absence de plusieurs jours sans justification de la part du salarié (plusieurs rappels et ensuite, mise en demeure avant licenciement).



&nbsp;Or quand l’entreprise en est à une centaine d’abandons de poste (un tiers des licenciements) et que les effectifs de l’entreprise chutent drastiquement, il y a un gros problème de ressources humaines, soit :





  • il y a des problèmes de conditions de travail à résoudre rapidement,

  • les licenciements pour faute sont des licenciements économiques déguisés (pour éviter le paiement d’indemnités de licenciement).



Le 06/02/2018 à 10h 15

Licencier les salariés pour abandon de poste… pourquoi pas… de nos jours le Code du Travail est trop épais, vivement qu’il n’en reste qu’une brochure et que la convention collective soit rédigée par le service de Ressources humaines… et vive les open spaces !



 &nbsp;       



<img data-src=" />

Le 06/02/2018 à 13h 44

La Neutralité du Net concerne a priori uniquement les opérateurs télécom. Je sais qu’il existe différentes définitions, je me réfère donc à celle de La Quadrature du Net :



&nbsp;      

&nbsp;« La neutralité du Net est un principe fondateur d'Internet qui garantit que les opérateurs télécoms ne discriminent pas les communications de leurs utilisateurs, mais demeurent de simples transmetteurs d'information. Ce principe permet à tous les utilisateurs, quelles que soient leurs ressources, d'accéder au même réseau dans son entier. Or, la neutralité est aujourd'hui remise en cause à mesure que les opérateurs développent des modèles économiques qui restreignent l'accès à Internet de leurs abonnés, en bridant ou en bloquant l'accès à certains contenus, services ou applications en ligne (protocoles, sites web, etc.), ainsi qu'en limitant leur capacité de publication. »

&nbsp;

&nbsp;Pour ce qui est des hébergeurs, comme écrit dans l'article ci-dessus, il y aurait plusieurs statuts qui vont du simple hébergeur à la plateforme qui hiérarchise des contenus.

Le 06/02/2018 à 09h 54

« L’amendement a donc été retiré, en attente d’une réécriture. Nul doute que les pressions ont été fortes depuis pour qu’il ne soit pas adopté, ou qu’il soit réduit au strict minimum. De la part de Google, bien entendu, mais aussi de tous les acteurs du secteur qui n’ont pas la vie privée comme préoccupation première, ou des industriels qui pourraient voir les revenus issus de Google fondre en cas d’application d’une telle règle. »

(article Next inpact)



J’aimerais bien connaître les groupes de pression (lobbies) qui communiquent le plus souvent et/ou avec la plus grande insistance avec les députés et avec le gouvernement (et quel sollicite le plus quel élu/ministère?). J’imagine aisément que Google fait partie du lot, et j’imagine bien Criteo, mais y a-t-il aussi d’autres agrégateurs de données comme Mediapost, Carrefour Media, Amazon, Clear Channel, etc ?

Le 06/02/2018 à 09h 44

« Constance Le Grip&nbsp;(Les Républicains) a elle aussi poussé pour une telle solution, estimant que l’attente d’ePrivacy pouvait constituer un acte manqué :&nbsp;« Je conçois que l’on puisse s’interroger sur l’articulation avec le projet de loi, mais il serait préjudiciable d’attendre un texte européen sur l’ePrivacy, car les discussions sont loin d’être finies à ce niveau. Nous devons faire passer nos messages dès maintenant ». »

(article Next inpact)

&nbsp;

Il m’est avis que, comme à l’accoutumée, il sera décidé d’attendre une directive européenne au motif qu’on ne va pas faire une loi qu’il faudra abroger dans quelques années parce que incompatible avec ce que demande les institutions de l’Union européenne (une logique que, personnellement, je peine à comprendre).

Le 05/02/2018 à 23h 08







OlivierJ a écrit :



Et ce n’est pas l’État qui va décider, ce sera la Justice.



&nbsp;



&nbsp;La Justice, c'est l'État (le 3e pouvoir de l'État). Et rendre la justice par référé, ce n'est pas vraiment rendre la justice : en référé, il n'est pas question d'étudier les responsabilités de chacun en quelques jours, voire en quelques heures. Il est uniquement question de faire cesser la publication d'informations (fausses) dans l'urgence. Or la justice d'urgence, ça n'existe pas (ou alors dans une dictature).      






Mais, tout ceci n'a pas d'importance car cette proposition de loi ne passera pas en l'état (sinon le Gouvernement assumerait lui-même son projet de loi) et on obtiendra une extension des pouvoirs du CSA sur les contenus du web (à mon humble avis).      






&nbsp;





OlivierJ a écrit :



Quand je vois les conneries qui ont été relayées sur les réseaux sociaux dans la journée de l’attentat contre Charlie Hebdo, je me dis qu’il faudrait quand même trouver un moyen de faire quelque chose



&nbsp;



La connerie est la chose la plus partagée en ce bas monde. Si l'humain agissait toujours rationnellement et en toute conscience, ça se saurait. Comme disait Jean Gabin à Robert Dalban dans "Le Pacha" : « Quand on mettra les cons sur orbite t'as pas fini de tourner. »      






Faire des lois contre la connerie, ce serait comme faire pomper les Shadoks ou comme une mission de Buzz l'Éclair : c'est infini, et au-delà.

Le 05/02/2018 à 20h 28

Tout ça pour donner au CSA un pouvoir de régulation sur les activités du web…

Le 05/02/2018 à 20h 20

Maintenant on va juger des fausses informations en référé… À quand la justice par algorithme ?

Le 05/02/2018 à 13h 09







wanou2 a écrit :



&nbsp;Le contrat d’Orange est échu et les négociations continuent. Les contrats de&nbsp;Canal et de Free&nbsp;arrivent à échéances et les négociations sont en cours.





Si tu le dis.&nbsp;


Le 05/02/2018 à 13h 07







Patch a écrit :



Première phrase du brief :









wanou2 a écrit :



&nbsp;

https://www.groupe-tf1.fr/fr/communiques/activité-du-groupe-développement-acquisition-cession-diversification/fin-des-accords-de-distribution-du-service-mytf1-et-des-chaînes-en-clair-du-groupe-tf1-avec-orange




En conséquence, le groupe TF1 a dû suspendre, ce jour, la fourniture à Orange du service replay MYTF1.      

Il a également demandé à ce que le distributeur cesse la vente des chaînes TF1, TMC, TFX (ex NT1), TF1 Séries Films (ex HD1) et LCI, à ses abonnés.








Au temps pour moi :transpi:  





Ceci-dit, le groupe TF1 n’a toujours pas pris les mesures pour supprimer la diffusion des chaînes en ipTV sur les box.


Le 05/02/2018 à 12h 03

Le contrat d’Orange est en cours de négociation, pas ceux de Canal et de Free.



Et oui, Free, Canal et Orange ont tout intérêt à s’entendre dans leur relation avec TF1.

Le 05/02/2018 à 11h 19

Ce qui va se passer : TF1 va vendre myTF1 Premium à Free et à Orange avec un contrat un peu plus cher qu’auparavant (sauf peut-être en ce qui concerne la Freebox qui préférera éventuellement se passer des services “Premium” de TF1 comme elle se passe des services de Netflix).



C’est une négociation, c’est pas une guerre de tranchée. Personne ne se fera virer ni chez TF1, ni chez les propriétaires de réseaux de diffusion.

Le 05/02/2018 à 11h 10

Encore faut-il savoir ce que comportent les contrats de partenariat en cours. Si l’opérateur télécom ne respecte pas ses contreparties, ça ne va pas le faire d’un point de vue juridique.

Le 05/02/2018 à 11h 07

myTF1 Premium ne concerne pas la diffusion des chaînes de TF1 classique. myTF1 Premium, c’est grosso modo : le replay à 30 jours au lieu de 7 jours, la UHD 4K, le retour au début d’une émission, etc.



TF1 n’a jamais demandé à Orange l’arrêt de la diffusion en ipTV de ses chaînes.

Le 05/02/2018 à 11h 53

En l’occurence, un carrefour giratoire n’est pas un endroit légitime pour s’arrêter (moteur allumé ou éteint).



D’une manière générale, si on veut téléphoner, on se gare sur le bas-côté et on éteint son moteur (pour ne plus être “en circulation”), ou mieux on se gare sur un emplacement de stationnement. C’est simple, on éloigne le danger (le danger réel, pas le danger futile de se faire verbaliser).

Le 05/02/2018 à 11h 40







arkaow a écrit :



Pourquoi n’a-t-il pas été verbalisé pour stationnement dangereux, plutôt ?&nbsp; C’est 3 points et 135 euros aussi.









127.0.0.1 a écrit :



Hum… Je suis donc le seul à penser qu’il serait plus logique de le condamner pour “arrêt momentané sur une voie de circulation sans réel cas de force majeur” plutôt que pour “usage du téléphone à l’arrêt”.




Du genre, s'il s'était arrêté pour piquer un roupillon au lieu de téléphoner, alors il n'y avait pas d'infraction ?





&nbsp;





Serge Knopf a écrit :



À la lecture des commentaires, je pense que le type aurait dû être verbalisé pour stationnement au milieu d’un rond-point plutôt que pour usage d’un téléphone au volant. Le stationnement au milieu d’un rond-point est à la fois gênant et dangereux, qu’on s’arrête pour téléphoner ou pour toute autre raison non impérative.

&nbsp;






 En France, en cas d'infractions multiples, les peines encourues ne peuvent dépasser la peine maximale prévue pour l'infraction la plus grave.     





&nbsp;fr.wikipedia.org Wikipedia


Le 05/02/2018 à 11h 37

Effectivement, à mon avis, en droit civil, “cas de force majeur” consiste en une situation à laquelle l’individu ne peut échapper.



&nbsp;fr.wikipedia.org Wikipedia

Le 04/02/2018 à 16h 07

Tu veux nous faire croire que tu es abonné à Orange ou à SFR ?

ou tu veux nous faire croire que tu as une connexion digne d’un modem RTC 56Kb/s ?



Est-il besoin de préciser que fast.com ne mesure pas la qualité d’une ligne, mais mesure la qualité de la connexion entre le terminal du potentiel abonné Netflix et les serveurs de Netflix.



<img data-src=" />

Le 03/02/2018 à 17h 00







M.Rhal a écrit :



[…]



 Pas vraiment compris la 5 par contre.        

[...]&nbsp;

Edit : je suis au courant pour&nbsp; TF1 vs Orange, mais je comprends pas le texte







&nbsp;Au lieu de pointer son arme sur les otages (les abonnés Livebox, d’après Orange) Le preneur d’otage (TF1) pointe son arme sur sa&nbsp; tempe.



Parce que théoriquement, TF1 a besoin de l’audience générée par OrangeTV pour valoriser la publicité diffusée sur ses chaînes TV, donc menacer d’interdire la diffusion des chaînes du groupe TF1 semble contreproductif.


Le 03/02/2018 à 14h 16

J’adore le ton alarmiste de l’article de lefigaro.fr, comme si TF1 allait éventuellement disparaître des box-opérateur. Jusqu’à preuve du contraire :





  • le groupe TF1 n’interdit pas la diffusion de ses chaînes en ipTV, mais bien les services de TV augmentée.

  • toutes les box-opérateurs contiennent un décodeur TNT, donc même si Free ou Orange ne se met pas d’accord avec le groupe TF1, et même si Free ou Orange décidait d’avoir une stratégie marketing consistant à supprimer totalement les chaînes du groupe TF1 comme chaîne ipTV, TF1-TMC-etc seraient quand même présentes par l’intermédiaire de la TNT hertzienne.



    Cela-dit, Free et Orange ont tout à gagner à se mettre d’accord sur une stratégie commune dans leurs négociations avec le groupe TF1.

Le 03/02/2018 à 14h 05

TF1 Premium veut dire grosso modo tout service supplémentaire à la diffusion TNT hertzienne et à myTF1.fr : replay de plus de 7 jours, start over (retour au début), qualité d’image UHD 4K, etc.

&nbsp;

&nbsp;source:&nbsp;https://www.echosdunet.net/breve/89679-altice-sfr-signe-pour-mytf1-premium