Le problème avec certains Français c’est que non seulement ils ne connaissent pas leur langue mais qu’en plus ils ont honte de l’utiliser (enfin il semble) et, comme ils ne connaissent pas vraiment l’anglais…
Ils sont à la fois idiots et égoïstes. Les Québecois se bagarrent comme des fous pour garder leur langue, on se devrait de les aider en utilisant aussi les terminologies, souvent nettement plus futées que celle de la vieille dame académique française.
Le
02/09/2016 à
06h
21
Ce n’est pas une question de niveau d’étude mais de capacité de mémorisation et de mémoire !
Le
01/09/2016 à
17h
33
C’est courant : une paranoïa sécuritaire qui co-existe avec des failles de sécurité monumentales. J’ai vu ça dans pas mal d’entreprises à bien y réfléchir. C’est parce que les systèmes ne sont pas pensés jusqu’au bout.
Le
01/09/2016 à
17h
27
Ouais, définitivement, le bon mot de passe c’est celui qu’on note sur une feuille parce qu’on n’arrive pas à le retenir car trop compliqué !
Parce que c’est la seule façon de le rémunérer hormis les commandes ! Il faut un an pour faire un BD, l’éditeur ne peut pas toujours (pas souvent) se permettre de rémunérer l’auteur de façon correcte sans avoir vendu quoi que ce soit. Et il le paierait à quel tarif ? Il faut du temps pour écrire un livre, entre un mois et… Il est très difficile de dire combien on a passé de temps dessus. Par exemple Nabokov passait son temps à faire des petites fiches, ensuite il les assemblait et en faisait un livre. Asimov s’asseyait à sa table et ça coulait presque de source, Proust écrivait, récrivait, raturait, peaufinait (même après le premier tirage ce qui angoissait ses éditeurs). Uderzo était capable de dessiner une planche de BD par jour, ce qui est énorme, il faut beaucoup plus de temps à d’autres.
Si ce ne sont pas des commandes, c’est la seule façon acceptable pour les petits et moyens éditeurs. Les auteurs comme les éditeurs prennent des risques. C’est le même problème, mais à un moindre degré en musique où les compositeurs ne passent pas systématiquement par les commandes.
Et enfin, je ne vois pas pourquoi un vendeur de saletés de canons peut être payé en (gros) fixe et avec un pourcentage alors qu’un musicien ou un écrivain ne pourrait pas être payé lui aussi en pourcentage sur les ventes de son œuvre.
Par ailleurs je crois déjà avoir expliqué en quoi c’est utile aussi éditeurs.
Cela dit, j’ai déjà été payé au forfait par des éditeurs pour des bouquins qui se sont très bien vendus… 2000€ pour trois à six mois de travail et c’est l’éditeur qui a eu la meilleure part. Alors désolée, je maintiens, les auteurs doivent pouvoir être payés en fonction des ventes. D’ailleurs pourquoi quelqu’un qui se contente de vendre des trucs pourrait percevoir un (assez sovent maigre) fixe plus un pourcentage sur les ventes et pas un auteur ? Votre raisonnement ne tient pas la route.
Le
26/08/2016 à
18h
22
Leurs œuvres c’est leur travail ! Ils ont le droit d’en vivre.
Le
26/08/2016 à
17h
59
Il y a des éléments qu’il ne faut pas négliger et cela même si je trouve également que ces 70 ans c’est beaucoup trop.
Éditer ça coûte de l’argent et ça ne rapporte pas toujours et pas toujours immédiatement et notamment dans l’édition musicale : l’édition de partitions coûte très cher. Une maison d’édition musicale se sert donc de l’argent des “locomotives” pour pouvoir éditer d’autres musiques en favorisant ainsi la création musicale. En gros, le Boléro de Ravel a permis de publier des compositeurs comme Dutilleux ou Escaich (attention, je ne sais pas s’ils sont dans la même maison d’édition, c’est un exemple) qui sont à leur tour (et là je pense à Dutilleux) vont générer des bénéfices (je pense que ça doit être le cas pour Dutilleux d’ailleurs, encore une fois c’est un exemple) qui à leur tour permettront à d’autres compositeurs d’être édités.
Le droit de la propriété intellectuelle, quand on le connaît un peu plus que par des préjugés est complexe et recouvre des données divergentes.
Maintenant qu’il faille le réformer, je suis tout à fait d’accord, mais pas au détriment des créateurs ni de ceux qui leur permettent d’en vivre (dans les limites raisonnables car il n’est pas normal qu’on vive d’une rente de situation fort confortable du fait d’un auteur décédé).
Je ne suis pas sûre, en revanche, qu’il faille un système unique pour tous les créateurs.
Le
26/08/2016 à
17h
47
Seulement quand on ne connait ni l’un ni l’autre !
Le
26/08/2016 à
17h
46
white_tentacle a écrit :
Les droit d’un inventeur sont protégés 20 ans, les droits d’un artiste c’est 70 ans après sa mort. Notre société a choisi ses priorités…
Logique ! D’abord parce qu’un inventeur qui dépose un brevet a plus de probabilités de gagner de l’argent avec qu’un artiste : Van Gogh n’a, à notre connaissance, vendu qu’une toile et pas cher, Bartok est mort dans la misère, Schönberg a fini aussi sans un sou.
Ensuite parce que les inventions ont tendance à devenir obsolètes : quelqu’un trouve mieux, on change le procédé, etc.
Enfin, et là je parle du médicament : une fois que le labo est confortablement rentré dans ses frais, il est normal que le médicament puisse être accessible à tous.
On a donc affaire à deux éléments différents et pas si comparable que ça.
Le
26/08/2016 à
17h
30
Il ya
Le
26/08/2016 à
11h
58
Les créateurs ont le droit de vivre de leurs œuvres !
C’est autorisé aux États-Unis, la vente à perte je veux dire. Ce qui soit dit en passant pose des problèmes de loyauté de la concurrence pour les boutiques en ligne.
Cela dit ce sont tout de même des politiques de bout du nez : tirer des tendances sur une seule année c’est assez léger. Cela dit, cela permet de trouver des raisons de virer du personnel, comme d’habitude, ce qui fera monter les actions en Bourse comme d’habitude.
Le
25/08/2016 à
14h
30
C’est aussi pour ça que je suis revenue à la jet d’encre et j’imprime encore moins qu’avant. Mais effectivement pour des entreprises plus grandes où qui ont plus de besoins d’impression ça pose problème.
Ça peut d’ouvrir très facilement et discrètement, sauf si on a mis des trucs collants (ruban adhésif, étiquette) pour mieux fermer l’enveloppe et même comme ça. Un courrier peut arrivé abimé et donc potentiellement de la faute des employés des postes et pi cé tout.
Le
25/08/2016 à
12h
22
La langue française est bien compliquée.
On croit à tort que l’adjectif “privé” dans correspondance privée signifie que cela ne regarde personne d’autre que l’émetteur et le récepteur. Mais fait non, cela signifie “privé du droit d’être réservé aux seuls émetteurs et récepteurs”.
Ce qui est un peu agaçant dans l’histoire c’est que non seulement ça génère du chômage, mais il y a encore des gens persuadés que les Français ne veulent pas travailler et qu’il y a plein d’emplois non pourvus (ce qui n’a jamais vraiment été prouvé d’ailleurs).
Le
22/08/2016 à
14h
32
Peut-être avez-vous besoin d’une mise à niveau du jargon et du sabir en cours ? Mais effectivement, là, pas besoin de trois mois, trois jours avec un titre ronflant en sabir suffisent.
De plus, en ce qui concerne les “idées nocives”, ce n’est pas en les mettant sous le tapis que tu les fais disparaitre et encore moins que tu les “désamorces”. C’est au contraire en les mettant sur la place publique et en les démontant méthodiquement et systématiquement que tu les discrédites.
Il y a de grande chance que tu trouves des vidéos/affiches/journaux de propagande nazi dans les musées qui parlent de la 2nd guerre.. et elles sont systématiquement accompagnée d’une analyse méthodique et rationnelle. Ce qui est infiniment plus utile que de les cacher dans les archives du musée et/ou d’ignorer leur existence.
Tout le problème c’est que les politiques n’ont pas encore compris ça. La société fonctionnerait mieux si on fonctionnait de cette façon.
Je ne veux pas savoir qui est cette mère de famille détestée par les medecins
Je dois reconnaître que, pour celle-là, je serais prête à accepter une entorse à l’interdiction de la peine de mort et plus deux fois qu’une. Il n’y a pas que les médecins qui la détestent cette mère de famille. Mais pourquoi diable est-ce toujours une femme ? Et franchement, est-ce que vraiment des pubs aussi nulles sont efficaces ?
Le
11/08/2016 à
15h
42
“En tête de peloton on retrouve les publicités qui bloquent le contenu, les longues vidéos avant un clip de courte durée et les vidéos sans bouton permettant de les zapper. Autres sérieux outsiders, les contenus audio et vidéo en lecture automatique, les blocs qui tremblent, les encarts flottant sur le côté de la page quand elle défile ou encore ceux qui font bouger le contenu.“Pareil, tout ce qui nuit à la lecture en fait. Et ça ne donne pas envie de cliquer dessus.
Les formats jugés les plus acceptables par les personnes interrogées concernent principalement les publicités liées à des produits vus plus tôt sur d’autres sites, celles avec des couleurs vives (mais qui ne clignotent pas) et celles considérées comme plus proches du contenu consulté. La taille des blocs publicitaire ne semble quant à elle pas être un élément plus perturbant que la moyenne.
Tout à fait, je pourrais même cliquer dessus pour aider le site que je consulte. En effet, je n’ai pas de bloqueur de publicité, elle est utile pour certains sites sur lesquels je vais. En revanche j’ai Ghostery qui me protège des inquisitions publicitaires.
Je n’ai rien contre la publicité, pas uniquement parce que c’est un secteur qui fait vivre des tas de gens, mais aussi parce que ça peut être une source d’information.
Je ne vois pas de quelle initiatives tu parles. Mediapart est ASI avaient un abonnement conjoint avec une offre “manuelle” mais elle n’est plus active depuis un moment. Si tu parles du SPIIL, c’est tout à fait autre chose, ça n’a rien à voir avec de l’abonnement (et oui on en fait partie, je suis même au bureau ;))
Je pensais à ces deux trucs en fait :-). Et donc la question Médiapart était évidemment en relation avec ça. Merci pour les précisions.
Le
09/08/2016 à
15h
33
Sans être politisé, on peut dire que la liberté d’expression est soluble dans la publicité et que l’indépendance, et donc la liberté de ton ne peuvent, dans le journalisme, ne vivre (voire ne survivre) que si le média n’est pas fortement dépendant des ressources publicitaires et c’est en quoi la Presse libre justifie son nom.
Le
09/08/2016 à
15h
30
Personnellement autant j’apprécie l’initiative, autant, les autres sites qui figurent dans Presse libre ne m’intéressent pas.
Cela dit j’ai quand même une question (enfin deux en fait). Il y a (avait ?) l’initiative de Médiapart et d’Arrêt sur images si je me souviens bien, lancée il y a quelques années et dont j’ai oublié le nom. Je crois me souvenir que NextInpact en faisait partie.
Donc, la question, comment se positionne La Presse libre par rapport à cette première initiative (c’était un peu la même chose non ?) ? De façon annexe, je trouve un peu curieux que Médiapart ne soit pas associé à La Presse libre.
Nope, ilsont forcés le passage au libre sans aucunes formations nuance… Du coup, y’en a plein qui demande a retrouver Word et Excel parce que faut le dire, LibreOffice ca pue du cul !!
Moi le premier chaque fois que je dois m’en servir je pète un plomb, ca rame et quand le document plante pas j’ai de la chance… Youpi on est passé au libre, mais faut voir combien ça coute en temps de travail de se farcir des documents mal foutus " />
Des documents mal foutus fait avec Word, j’en vois passer des tonnes :-( et des documents faits avec Word pourtant bien foutus qu’il a du mal ou ne peut pas ouvrir, j’en ai aussi un bon paquet. Et oui Word a du mal avec son propre langage.
Le
09/08/2016 à
15h
00
ActionFighter a écrit :
Pour utiliser les deux régulièrement, je m’adapte parfaitement aux deux, et LO, qui est gratuit et libre a toutes les fonctionnalités pour remplir parfaitement son rôle.
J’utilise aussi les deux, mais je crains que vous n’ayez pas compris ma remarque. Writer est, de mon point de vue, l’outil d’apprentissage au traitement de texte et à l’écriture numérique le plus qualifié pour les raisons que je donnais.
Le
09/08/2016 à
14h
43
ActionFighter a écrit :
Former à un concept et pas à un outil spécifique, c’est justement pour éviter de former pour rien le jour où l’outil change.
Voilà ! L’autre très grand avantage c’est que les suites bureautiques libres existant pour tous les OS et à l’identique, elles n’enferment pas dans un OS particulier (et privateur).
D’autre part, le traitement de texte Writer est beaucoup, beaucoup plus proche dans sa logique de styles de ce qui se fait sur internet avec les CSS. Je pense donc que c’est carrément l’outil pour former les gamins (et les autres) à l’écriture numérique et amorcer sur la découverte du code en allant sur les CSS et permettre ainsi de comprendre comment ça fonctionne à la base. Et en plus il est plus fiable et performant.
Le
09/08/2016 à
14h
38
Et les outils Microsoft ne sont ni les seuls ni les seuls performants !
La traduction est quelque chose d’extrêmement difficile. Le langage naturel est extrêmement ambigu. Elle nécessite d’avoir une connaissance sémantique du texte à traduire, les intentions de l’auteur et du contexte.
Je suis au courant :-)
En fait je les utilise surtout pour vérifier si je n’écris pas de trop grosse âneries en anglais ou en espagnol. Microsoft est souvent un poil moins mauvais que Google, mais en fait cela dépend du type de vocabulaire dans d’autres cas ce sera Google.
Ce n’est donc pas une question de marketing (j”y suis assez insensible pour tout dire). Une chose me semble sûre c’est qu’il est impossible d’affirmer que le traducteur de Google est vraiment le meilleur. Encore une fois cela peut dépendre.
useless a écrit :
J’ai jamais vu Microsoft faire mieux, ni d’autres outils pro spécialisés avec des corpus immenses. Dans tous les cas le meilleur c’était Google.
Mais il faut se dire que c’est pas des outils de traduction mais d’aide à la traduction qui facilitent énormément le travail des vrais traducteurs, et je suis sûr qu’ils ne seraient pas d’accord avec le terme “pitoyable”.
Comme je les utilise relativement souvent, oui je peux affirmer que l’on ne peut en aucun cas dire que le traducteur de Google est vraiment le meilleur. La plupart du temps il est un peu moins bon que celui de Microsoft, d’après mon expérience, dans certains cas, il est meilleur mais pas systématiquement.
Que ces outils facilitent le travail des vrais traducteurs, je n’en doute pas, quoique… je pense qu’un vrai traducteur n’en a pas besoin et a plus besoin de vrais dictionnaires de langue que de ça. Parce que justement la valeur du traducteur elle est là : choisir les mots en fonction du sens et du contexte, veiller à ce que la structure de la phrase sonne bien dans la langue de traduction, etc.
Le
09/08/2016 à
14h
47
tazvld a écrit :
La traduction est quelque chose d’extrêmement difficile. Le langage naturel est extrêmement ambigu. Elle nécessite d’avoir une connaissance sémantique du texte à traduire, les intentions de l’auteur et du contexte
Je suis au courant :-).
Pour tout dire, j’utilise ImTranslator surtout pour vérifier si je n’écris pas de trop grosses âneries en anglais ou en espagnol. Souvent Microsoft est meilleur, pas toujours. Cela dépend et cela dépend aussi du type de vocabulaire.
Le truc, c’est qu’on ne peut absolument pas dire Google est le meilleur.
Le
09/08/2016 à
11h
55
plop97 a écrit :
Tu as mieux à proposer que Google Translate ?
Personnellement j’utilise l’application ImTranslator pour Firefox qui propose plusieurs traducteurs, celui de Microsoft serait un peu moins mauvais, mais pas partout. Je regarde toujours les trois versions en fait.
Le
09/08/2016 à
11h
54
Ah mais justement ! Ils apprennent :-).
Le
09/08/2016 à
11h
25
Finalement, à la question « Apple fait-elle plus d’erreurs qu’avant ? »La réponse serait plutôt “ils ont perdu le meilleur responsable du marketing qu’ils aient jamais eu en la personne de Steve Job”.
Contente de voir qu’Apple apprend son métier de développeur d’application et compte se mettre à le faire sérieusement.
Le
09/08/2016 à
11h
22
Je ne dirais pas ça. Je mettrais Microsfot Translate un poil au dessus. Mais, dans l’ensemble, ça reste assez pitoyable.
Merci, c’est ça qui m’avait donné l’idée. En gros se servir du portable comme boitier pour le raspberry. À la limite le touchpad c’est moins essentiel, par contre le clavier c’est indispensable.
Le
08/08/2016 à
14h
43
Ça commence à devenir intéressant ! Le Raspberry pi je veux dire.
Me demande s’il y a moyen de l’utiliser avec un vieux portable dont la carte-mère semble en rade histoire d’utiliser l’écran et le dispositif de pointage.
2594 commentaires
Choisir un bon mot de passe : les règles à connaître, les pièges à éviter
01/09/2016
Le 02/09/2016 à 06h 25
Ben je les utilise couramment.
Le problème avec certains Français c’est que non seulement ils ne connaissent pas leur langue mais qu’en plus ils ont honte de l’utiliser (enfin il semble) et, comme ils ne connaissent pas vraiment l’anglais…
Ils sont à la fois idiots et égoïstes. Les Québecois se bagarrent comme des fous pour garder leur langue, on se devrait de les aider en utilisant aussi les terminologies, souvent nettement plus futées que celle de la vieille dame académique française.
Le 02/09/2016 à 06h 21
Ce n’est pas une question de niveau d’étude mais de capacité de mémorisation et de mémoire !
Le 01/09/2016 à 17h 33
C’est courant : une paranoïa sécuritaire qui co-existe avec des failles de sécurité monumentales. J’ai vu ça dans pas mal d’entreprises à bien y réfléchir. C’est parce que les systèmes ne sont pas pensés jusqu’au bout.
Le 01/09/2016 à 17h 27
Ouais, définitivement, le bon mot de passe c’est celui qu’on note sur une feuille parce qu’on n’arrive pas à le retenir car trop compliqué !
Mozilla : une pétition pour actualiser le droit d’auteur aux besoins du 21e siècle
26/08/2016
Le 26/08/2016 à 19h 26
Parce que c’est la seule façon de le rémunérer hormis les commandes ! Il faut un an pour faire un BD, l’éditeur ne peut pas toujours (pas souvent) se permettre de rémunérer l’auteur de façon correcte sans avoir vendu quoi que ce soit. Et il le paierait à quel tarif ? Il faut du temps pour écrire un livre, entre un mois et… Il est très difficile de dire combien on a passé de temps dessus. Par exemple Nabokov passait son temps à faire des petites fiches, ensuite il les assemblait et en faisait un livre. Asimov s’asseyait à sa table et ça coulait presque de source, Proust écrivait, récrivait, raturait, peaufinait (même après le premier tirage ce qui angoissait ses éditeurs). Uderzo était capable de dessiner une planche de BD par jour, ce qui est énorme, il faut beaucoup plus de temps à d’autres.
Si ce ne sont pas des commandes, c’est la seule façon acceptable pour les petits et moyens éditeurs. Les auteurs comme les éditeurs prennent des risques. C’est le même problème, mais à un moindre degré en musique où les compositeurs ne passent pas systématiquement par les commandes.
Et enfin, je ne vois pas pourquoi un vendeur de saletés de canons peut être payé en (gros) fixe et avec un pourcentage alors qu’un musicien ou un écrivain ne pourrait pas être payé lui aussi en pourcentage sur les ventes de son œuvre.
Par ailleurs je crois déjà avoir expliqué en quoi c’est utile aussi éditeurs.
Cela dit, j’ai déjà été payé au forfait par des éditeurs pour des bouquins qui se sont très bien vendus… 2000€ pour trois à six mois de travail et c’est l’éditeur qui a eu la meilleure part. Alors désolée, je maintiens, les auteurs doivent pouvoir être payés en fonction des ventes. D’ailleurs pourquoi quelqu’un qui se contente de vendre des trucs pourrait percevoir un (assez sovent maigre) fixe plus un pourcentage sur les ventes et pas un auteur ? Votre raisonnement ne tient pas la route.
Le 26/08/2016 à 18h 22
Leurs œuvres c’est leur travail ! Ils ont le droit d’en vivre.
Le 26/08/2016 à 17h 59
Il y a des éléments qu’il ne faut pas négliger et cela même si je trouve également que ces 70 ans c’est beaucoup trop.
Éditer ça coûte de l’argent et ça ne rapporte pas toujours et pas toujours immédiatement et notamment dans l’édition musicale : l’édition de partitions coûte très cher. Une maison d’édition musicale se sert donc de l’argent des “locomotives” pour pouvoir éditer d’autres musiques en favorisant ainsi la création musicale. En gros, le Boléro de Ravel a permis de publier des compositeurs comme Dutilleux ou Escaich (attention, je ne sais pas s’ils sont dans la même maison d’édition, c’est un exemple) qui sont à leur tour (et là je pense à Dutilleux) vont générer des bénéfices (je pense que ça doit être le cas pour Dutilleux d’ailleurs, encore une fois c’est un exemple) qui à leur tour permettront à d’autres compositeurs d’être édités.
Le droit de la propriété intellectuelle, quand on le connaît un peu plus que par des préjugés est complexe et recouvre des données divergentes.
Maintenant qu’il faille le réformer, je suis tout à fait d’accord, mais pas au détriment des créateurs ni de ceux qui leur permettent d’en vivre (dans les limites raisonnables car il n’est pas normal qu’on vive d’une rente de situation fort confortable du fait d’un auteur décédé).
Je ne suis pas sûre, en revanche, qu’il faille un système unique pour tous les créateurs.
Le 26/08/2016 à 17h 47
Seulement quand on ne connait ni l’un ni l’autre !
Le 26/08/2016 à 17h 46
Le 26/08/2016 à 17h 30
Il ya
Le 26/08/2016 à 11h 58
Les créateurs ont le droit de vivre de leurs œuvres !
Uber a annoncé des pertes colossales à ses investisseurs
26/08/2016
Le 26/08/2016 à 13h 22
C’est autorisé aux États-Unis, la vente à perte je veux dire. Ce qui soit dit en passant pose des problèmes de loyauté de la concurrence pour les boutiques en ligne.
iOS 9.3.5 corrige trois failles 0-day exploitées depuis trois ans
26/08/2016
Le 26/08/2016 à 07h 23
Vieux motard que jamais !
HP : les ventes de PC rebondissent, les imprimantes déçoivent
25/08/2016
Le 25/08/2016 à 14h 32
Cela dit ce sont tout de même des politiques de bout du nez : tirer des tendances sur une seule année c’est assez léger. Cela dit, cela permet de trouver des raisons de virer du personnel, comme d’habitude, ce qui fera monter les actions en Bourse comme d’habitude.
Le 25/08/2016 à 14h 30
C’est aussi pour ça que je suis revenue à la jet d’encre et j’imprime encore moins qu’avant. Mais effectivement pour des entreprises plus grandes où qui ont plus de besoins d’impression ça pose problème.
Interceptions légales : les correspondances mobiles pourront être dupliquées à distance
25/08/2016
Le 25/08/2016 à 12h 24
Ça peut d’ouvrir très facilement et discrètement, sauf si on a mis des trucs collants (ruban adhésif, étiquette) pour mieux fermer l’enveloppe et même comme ça. Un courrier peut arrivé abimé et donc potentiellement de la faute des employés des postes et pi cé tout.
Le 25/08/2016 à 12h 22
La langue française est bien compliquée.
On croit à tort que l’adjectif “privé” dans correspondance privée signifie que cela ne regarde personne d’autre que l’émetteur et le récepteur. Mais fait non, cela signifie “privé du droit d’être réservé aux seuls émetteurs et récepteurs”.
C’est pas compliqué.
Office 2016 pour Mac passe au 64 bits
23/08/2016
Le 24/08/2016 à 07h 17
Pourquoi normalement ?
Le 23/08/2016 à 15h 38
Est-ce que cette version ouvre et travaille les fichiers aux formats open document ? odt, ods, odp, odb, etc.
Un député s’inquiète de l’exposition des enfants aux ondes des portables
23/08/2016
Le 23/08/2016 à 15h 40
Ben ils n’ont pas le temps le nez toujours collé au téléphone.
Premier bilan contrasté pour la Grande école du numérique
22/08/2016
Le 22/08/2016 à 14h 36
Ce qui est un peu agaçant dans l’histoire c’est que non seulement ça génère du chômage, mais il y a encore des gens persuadés que les Français ne veulent pas travailler et qu’il y a plein d’emplois non pourvus (ce qui n’a jamais vraiment été prouvé d’ailleurs).
Le 22/08/2016 à 14h 32
Peut-être avez-vous besoin d’une mise à niveau du jargon et du sabir en cours ? Mais effectivement, là, pas besoin de trois mois, trois jours avec un titre ronflant en sabir suffisent.
La Belgique veut optimiser les conditions techniques des interceptions légales
17/08/2016
Le 17/08/2016 à 17h 57
Ah mais le pédophile est sûrement gardé comme poire pour la soif au cas où les terrorisme ne ferait plus recette. C’est futé.
Le député Jacques Myard veut des boites noires sur les réseaux sociaux, sans délai
17/08/2016
Le 17/08/2016 à 13h 31
Le 17/08/2016 à 13h 13
Oui et ils nous coûtent cher !
ProjectSauron, une menace persistante qui a réussi à se cacher pendant cinq ans
11/08/2016
Le 11/08/2016 à 15h 51
Faudrait au moins un Gandalf pour arriver à nous débarrasser de tout ça !
L’industrie publicitaire dresse un état des lieux du blocage et vante son approche LEAN
11/08/2016
Le 11/08/2016 à 15h 46
Le 11/08/2016 à 15h 42
“En tête de peloton on retrouve les publicités qui bloquent le contenu, les longues vidéos avant un clip de courte durée et les vidéos sans bouton permettant de les zapper. Autres sérieux outsiders, les contenus audio et vidéo en lecture automatique, les blocs qui tremblent, les encarts flottant sur le côté de la page quand elle défile ou encore ceux qui font bouger le contenu.“Pareil, tout ce qui nuit à la lecture en fait. Et ça ne donne pas envie de cliquer dessus.
Les formats jugés les plus acceptables par les personnes interrogées concernent principalement les publicités liées à des produits vus plus tôt sur d’autres sites, celles avec des couleurs vives (mais qui ne clignotent pas) et celles considérées comme plus proches du contenu consulté. La taille des blocs publicitaire ne semble quant à elle pas être un élément plus perturbant que la moyenne.
Tout à fait, je pourrais même cliquer dessus pour aider le site que je consulte. En effet, je n’ai pas de bloqueur de publicité, elle est utile pour certains sites sur lesquels je vais. En revanche j’ai Ghostery qui me protège des inquisitions publicitaires.
Je n’ai rien contre la publicité, pas uniquement parce que c’est un secteur qui fait vivre des tas de gens, mais aussi parce que ça peut être une source d’information.
Secure Boot : Microsoft a laissé une porte dérobée ouverte
11/08/2016
Le 11/08/2016 à 13h 53
Intel s’offre un spécialiste de l’intelligence artificielle
11/08/2016
Le 11/08/2016 à 08h 52
Notre service d’abonnement unifié La Presse Libre est ouvert à tous, le premier mois à 1 € !
23/08/2016
Le 09/08/2016 à 18h 49
Le 09/08/2016 à 15h 33
Sans être politisé, on peut dire que la liberté d’expression est soluble dans la publicité et que l’indépendance, et donc la liberté de ton ne peuvent, dans le journalisme, ne vivre (voire ne survivre) que si le média n’est pas fortement dépendant des ressources publicitaires et c’est en quoi la Presse libre justifie son nom.
Le 09/08/2016 à 15h 30
Personnellement autant j’apprécie l’initiative, autant, les autres sites qui figurent dans Presse libre ne m’intéressent pas.
Cela dit j’ai quand même une question (enfin deux en fait). Il y a (avait ?) l’initiative de Médiapart et d’Arrêt sur images si je me souviens bien, lancée il y a quelques années et dont j’ai oublié le nom. Je crois me souvenir que NextInpact en faisait partie.
Donc, la question, comment se positionne La Presse libre par rapport à cette première initiative (c’était un peu la même chose non ?) ? De façon annexe, je trouve un peu curieux que Médiapart ne soit pas associé à La Presse libre.
Le ministère de l’Éducation assigné en justice pour son partenariat avec Microsoft
09/08/2016
Le 09/08/2016 à 15h 01
Le 09/08/2016 à 15h 00
Le 09/08/2016 à 14h 43
Le 09/08/2016 à 14h 38
Et les outils Microsoft ne sont ni les seuls ni les seuls performants !
Apple : le fiasco de Plans explique à lui seul les bêtas publiques
09/08/2016
Le 09/08/2016 à 14h 56
Le 09/08/2016 à 14h 47
Le 09/08/2016 à 11h 55
Le 09/08/2016 à 11h 54
Ah mais justement ! Ils apprennent :-).
Le 09/08/2016 à 11h 25
Finalement, à la question « Apple fait-elle plus d’erreurs qu’avant ? »La réponse serait plutôt “ils ont perdu le meilleur responsable du marketing qu’ils aient jamais eu en la personne de Steve Job”.
Contente de voir qu’Apple apprend son métier de développeur d’application et compte se mettre à le faire sérieusement.
Le 09/08/2016 à 11h 22
Je ne dirais pas ça. Je mettrais Microsfot Translate un poil au dessus. Mais, dans l’ensemble, ça reste assez pitoyable.
Deux députés s’attaquent au phénomène « Pokémon Go »
09/08/2016
Le 09/08/2016 à 11h 27
Vous croyez qu’il y a des Pokemons au cœur du saint des saint ultra-secret des ministères de l’Intérieur et de la Défense ?
Raspberry Pi 3 : boot sur USB ou le réseau, Anniversary Update pour Windows 10 IoT
08/08/2016
Le 08/08/2016 à 18h 40
Merci, c’est ça qui m’avait donné l’idée. En gros se servir du portable comme boitier pour le raspberry. À la limite le touchpad c’est moins essentiel, par contre le clavier c’est indispensable.
Le 08/08/2016 à 14h 43
Ça commence à devenir intéressant ! Le Raspberry pi je veux dire.
Me demande s’il y a moyen de l’utiliser avec un vieux portable dont la carte-mère semble en rade histoire d’utiliser l’écran et le dispositif de pointage.
Prime Air : Amazon loue 40 Boeing 767 pour son transport de marchandises
08/08/2016
Le 08/08/2016 à 15h 10
Du tout !
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/opérer
Synonymes :
 http://www.cnrtl.fr/synonymie/opérer
C’est vraiment et surtout sous cette forme pas très français.
Le 08/08/2016 à 15h 01
:-)
Je pense que l’idée est que c’est Amazon qui gère les avions (j’imagine).
Le 08/08/2016 à 14h 29
Loués, je comprends mais opérés ? Un anglicisme mal compris ?
Deux chercheurs ont verrouillé un thermostat connecté avec un ransomware
08/08/2016
Le 08/08/2016 à 14h 25
Je vais tranquillement attendre la V10. Ça sera moins cher en prime.