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Idiogène

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4748 commentaires

Le 21/08/2022 à 22h 17


misocard a dit:


Je n’arrive vraiment pas à comprendre ce qui est imprécis dans la source.


La source citée dans ton commentaire c’est l’article pas clair.
Sur le graphique officiel il y a 65% de pertes electriques à prendre en compte.
Le renouvelable est donc si je compte 6% plus efficace pour de l’élec finale. Quant à la capacité la source qu’ils citent ne corrobore pas leur affirmation mais dit indirectement qu’ils seraient passés à 26% contre 24 en energie finale…




En 2021, les sources d’énergies renouvelables représentaient 12,2% du total de la consommation d’énergie et un peu près 20,1% de la production d’électricité. On ne confond pas les 2, on parle des 2, c’est toi qui confond.


Je ne confonds rien du tout. L’article donne le ton par des ordres de grandeur sur la capacité toutes enr confondues.
Hors, l’écrasante majorité c’est de l’elec.




Si tu as toujours du mal à comprendre, voilà un dessin



CO2 = population x (PIB/population) x (énergie/PIB) x (CO2/énergie)


C’est une fonction.Il manque mister x !




Aucun rapport entre la capacité de production et la production effective d’électricité à base de renouvelable.


C’est le même problème qu’avec le nucléaire : il y a des dimensionnements supérieurs pour pallier aux impondérables.




Le Texas a des soucis. Je ne suis pas familier avec des soucis dans d’autres états. Il semblerait qu’il y ait des interconnexions en NA, mais elles ne sont pas est-ouest, mais nord-sud (ce qui me semble moins bien pour le renouvelable)


Le climat pour l’éolien dans les états de l’est est adapté. À l’ouest c’est plutôt le soleil. Je ne suis pas au fait de leurs plans mais un réseau bien maillé reste justement (on en revient à l’équation) improbable vu la densitée d’hab. au km2 des états situés au centre : il n’y a pas de demande. Ce serait risible d’y faire un réseau alors que l’actuel y perd (raccourci) déjà 65%…

Le 20/08/2022 à 21h 04


misocard a dit:



Le nombre d’habitant ne devrait pas jouer.


Nécessairement si. Voir l’équation de Kaya.




Par contre le fait que le pays est plus large permet peut être via des interconnexions de lisser le tout/


Les states sont connus pour avoir un réseau à pannes pour des questions d’administration par état. Donc tout ce qui peut se monter vite et amorti un réseau pas terrible est en fait bon à prendre pour eux.
Avec cependant la contrainte financière qui implique de rester finalement petit alors qu’il y faudrait normalement revoir la distribution avant de multiplier les sources. C’est pas si simple de se la jouer Kerouac en 400.000V là bas. :D

Le 20/08/2022 à 20h 48

Alors ta source est imprécise et c’est bien sur sa qualité que je te répondais. On y confond en effet énergie et électricité mais le sens reste que c’est donc 12.2 de ~20% pour de l’électricité.
Multiplier par 2 la puissance d’un élément du mix reste franchement obvious lorsqu’on formule le problème avec un dénominateur et un numérateur : ça fait bien deux termes. (contrairement à certains matériaux ou aux panneaux cette inclinaison financière est bien made in USA :D)

Le 20/08/2022 à 13h 46


misocard a dit:


Je ne comprends pas d’où vient le 12,2%


De l’intermittence manifestement. La nuit il n’y a pas de photovoltaïque et la courbe du facteur de charge de l’éolien n’est pas meilleure à l’année.
Après avec +- de 12 de la puissance installée qui passerait sur le réseau en pratique vela semble très cohérent pour du renouvelable.




Je suis assez étonné car c’est un peu près le facteur de charge du nucléaire en France.


300 millions et + d’habitants contre 6 fois moins en France tout s’explique. :D

Le 20/08/2022 à 14h 04


Cette surconsommation d’eau est d’autant plus problématique que des fermiers s’étaient opposés à l’ouverture de nouveaux data centers


La traduction de “farmers” en français, c’est “agriculteurs”, pas “fermiers”.



Ce qui compte quand c’est la sécheresse, ce n’est pas la consommation moyenne annuelle, mais la consommation journalière.



L’article dit que Microsoft prévoyait entre 12 et 20 millions de litre par an, en ne consommant de l’eau que quand la température dépasse les 25°C, soit 6 jours en 2021. Donc l’estimation basse, c’est donc 126 = 2 millions de litre par jour où il fait plus de 25°C. L’INSEE dit qu’en moyenne, un français consomme 145 L par jour, donc une consommation de 2 millions de litre par jour, c’est l’équivalent de plus de 13 000 personnes.



Quand le datacenter de Microsoft ouvre les vannes, c’est donc comme si tu venais de rajouter 13 000 habitants dans ta zone de distribution. En période de sécheresse, c’est très loin d’être négligeable !

En pressant le cloud trop vite il n’y a plus d’eau à faire pleuvoir pour 2023.



Et 6500 acqueducs d’habitation c’est aussi + d’énergie de pompage ou de traitement ultérieur.
Donc d’où vient leur eau ? :D

Le 18/08/2022 à 10h 37

Entre la cathédrale de charte et l’édit de tante difficile de se sentir irrécupérable en Pologne pour tout oncle.
Savoureux. :D

Le 18/08/2022 à 10h 13


yl a dit:


Faut dire qu’il est plutôt complexe, le système terre. Et qu’il n’est pas très dissociable de son étoile le soleil qui a toujours donné le La avec ses cycles d’activité: Tout ce dont le GIEC se fout aussi globalement que le réchauffement qui nous affecte.


En considérant tous les contributeurs à l’effet de serre le soleil représenterait 30%. C’est ce à quoi la calculabilité conduit. Le reste s’explique par la masse et la thermodynamique est une branche de la physique largement maitrisée par les études qui sont analysées par le GIEC.




C’est à mon sens un immense problème car des politiques sont menées en fonction de leurs rapports.


Non. Des politiques ont choisi d’accorder leurs violons et ont conduit au GIEC.
Cet intermédiraire ayant pour but de normaliser l’étude climatique, c’est bien sur les résultats omis qu’il faut cependant s’interroger.
En revanche, l’élévation des températures moyennes est un consensus fidèle aux observations historiques et présentes. Les cycles solaires ne peuvent constituer une variable cachée vu leur amplitude minimale.
Nénanmoins, dans la même veine de contributeurs en moyenne faibles mais en pratique mortels, la prévention des écarts à la moyenne ne sont en effet pas le but des rapports du GIEC, clivant un peu plus les peuples contre une caste de dirigeants à la limite du conflit d’intérêt avec leurs enteprises énergétiques ou industrielles.




Pour le reste, souhaitons que la fusion soit maîtrisée dans le siècle qui vient et entre temps, pas trop le choix: Des centrales nucléaires plutôt que des moulins à vent.


Don Quichotte le retour. :ouioui:




Problème, on se plaint bien plus des coût de Flamanville qui dérapent (dans les 20 milliards, ce qui est en effet fort regrettable) que des 120 milliards mis dans du “renouvelable” (les guillemets étant pour mettre à part hydroélectrique, le seul sur lequel on puisse a peu près compter) peinant à produire à 1015% des capacités installée et pas forcément quand on en a besoin.


Si les ENR en question avaient été produites en 1970 elles couteraient le même prix que les centrales qui, pour les neuves, sont de 2 à 4 fois plus chères par MWh.




Il va même falloir accélérer, car le gaz qui devait rester exploitable au moins 1 siècle derrière le pétrole pose un léger problème de fournisseur depuis février. Macron aurait dû revenir sur la décision (de neuneu Hollande) de fermer Fessenheim lors de son 1er mandat: Il faut arrêter de se faire dicter notre politique énergétique par l’Allemagne qui pousse au VE… rechargé au charbon dès l’hiver prochain: Ces débiles nous refont le gazogène (déporté).


C’est en effet pas très malin lorsque à défaut de plan cohérent on réouvre une centrale au charbon quelques années seulement après.
Sur les gazogènes le fun fact voudrait que les pompiers y (re)passent. Vu les carences de l’état Français dans ce domaine mobile cet été.



Sur les VE oui on est d’accord qu’une étiquette A ou zero émission n’a aucun sens. Même le mix électrique Français émet du CO2…
Pour le reste de l’Europe, l’Allemagne a du charbon comme la France a de l’Uranium dans ses anciens territoires coloniaux ou assimilés. C’est un problème de demande, pas d’offre.

Le 16/08/2022 à 10h 44

Et donc le PIB s’exprime en rhizomes ou en bananes ? :ouioui:



Ne pas faire l’effort de comprendre l’unité de mesure c’est précisément l’inverse du sujet. En fait.

Le 15/08/2022 à 22h 09


wagaf a dit:


Non. Devenir plus pauvre (la signification de “décroissance”) n’est pas un objectif en soi. L’objectif est de construire une société durable, qui permet de préserver notre planète sur le long terme.


On pourrait plutôt distinguer déflation et décroissance. La première se limitant à l’économie, la seconde à un simple indice flou qui peut recouvrir tout autant la démographie que la fin des stocks de ressources.



Dans le cas de la déflation, personne ne la souhaite actuellement car l’argent compte ce qu’il ne devrait pas (des économies ! #tautologie) et permet ainsi de passer du kW / h en multiple de la monnaie, et donc, il y a de l’inflation.
Ce n’est ainsi pas une question d’interdit à consonance pieuse mais bien le constat que la comptabilité fait mesure du temps en passant l’énergie du côté de la plus-value ou du produit.
La durabilité étant par convention renouvelable, la seule question des apories funéraires dont la société de consommation est l’étendard le plus évident comme le plus efficace auprès du cave ne peut qu’emmurer ce dernier !




Les transformations radicales de nos infrastructures demanderont des quantités incroyables de capital pour permettre un changement rapide et efficace, ce que seul le système capitaliste permet jusqu’à preuve du contraire.


Encore faudrait-il ne pas confondre l’infrastructure et son capital… l’un étant finalement synonyme de l’autre on peut, dans les conditions de preuve que tu nous suggères, ne pas trouver de réponse. C’est pas très malin.




yl a dit:



La réalité du réchauffement ne fait aucun doute, mais ses causes posent quand même plus que jamais question.


La théorie voulant que notre planète se refroidisse en tendance longue, peut-être sommes nous simplement le vain fusible que la nature s’est inventée pour ne pas congeler trop vite, qui sait !



Mais, la grande méprise, ici ou ailleurs, vient pour moi essentiellement de la méconnaissance des systèmes thermodynamiques. Moins on se satisfait de l’énergie qu’on a déjà (et on en a un bon paquet en réalité), plus la dérive induite par nos actions économiques va vite nous plonger dans la fin de l’exploitabilité des principales sources d’économies de marché.
Le déclin du pétrole conventionnel = crise financière = gilets jaunes = covid.



Exercice pour hier : prenez une autre matière première essentielle en déclin et trouvez les conséquences. :mad2:

Le 15/08/2022 à 06h 26


(quote:2088755:j34n-r0x0r)
Parlant de la transition sa vision me semble plutôt conforme et réaliste : youtube.com YouTubeSi tu l’a déjà vu, t’en pense quoi?


J’avais survolé.
Et j’en pense que depuis longtemps la contrainte fossile a bien infusée jusqu’à dissuader les politiques publiques de mettre en avant les signaux faibles des labos sur les ENR ce qui a conduit à incanter à côté des logiques scientifiques dominantes pas si mauvaises quand on en analyse les résultats en dioxyde de carbone !
Ainsi, passé une période de latence économique, on en revient au même ne constatant pas d’évolution tout en omettant de rappeler la nécessité de concocter le mélange “utile”; laissant alors à la liberté des uns et des autres le choix de la recette.
Pas certain que rappeler les limites politico-économiques permette effectivement d’embrayer sur les bons aliments. Cela étant dit, formellement, le problème sceptique est plutôt bien posé.
Pour aller encore plus loin sur les intentions il y aussi cette interview indispensable.

Le 14/08/2022 à 20h 16


(quote:2088736:j34n-r0x0r)
Errr la géothermie c’est une très bonne chose mais concernant les matières premières on parle de quel volume ?… C’est vrai je taquine mais à ma décharge j’ai réfléchis efficience “combustible” en volume car la reproductibilité des installations est l’un des pré-requis dans notre façon actuel de concevoir nos moyens de productions énergétiques pilotables classique (qui a parlé de géostratégie? personne ? ouf :transpi: ).


Reproductibilité ? Eh, Armageddon c’était du cinéma. Par contre, la légende du foreur de puits de pétrole colle assez bien à la réalité de la fin des années 80.
Donc avec le nombre de puits de pétrole forés ces dernières années, en sortir de l’eau thermale c’est du blue cake…



Après, la densité dépend aussi du procès. Si tu compares la densité énergétique de l’uranium à C300 versus de l’eau à la même température, évidemment, ça ne fonctionne pas. :ouioui:



Donc pourquoi avoir une chaudière artificielle lorsque la naturelle est plutôt durable et sans déchets quoi. LOL




Ou des crèches pour garder leur gamins, ou des imprimeries pour leur permettre de lire, ou des serveurs pour héberger des discutions leur permettant d’accéder a un sentiment d’utilité salutaire. :fumer:


Les enfants ne sont ni des retours sur investissement, ni les débiteurs des innovations de leurs parents.
Là est la salubrité !




Pour les êtres vivants on a rien encore mais heureusement pour les machines on a l’expression “tomber en marche”… :fou3:



Sinon je suis sur que tu a compris le fond: cet enfer rhétorique récurent a base de “c’est pas moi c’est lui” pas très logique lorsqu’il est question d’un problème systémique plus global (surtout vu l’état de dépendance direct ou indirect d’un citoyen lambda ici).



Il ne s’agit pas d’autoflagellation mais si je dépends de lui et que c’est lui, bein c’est a minima un peu moi non ?


On en revient aux obligations. Pour l’instant, la plupart de nos pays développés ont choisi d’exprimer leur cahiers des charges par quelques lois assez peu fondamentales et principalement dépendantes de la disponnibilité technique, elle même choyée par ses défenseurs comme normative.
En clair : oui, je dépends bien des “besoins” des autres mais j’ai malgré tout ceci le droit de réevaluer mes co-dépendances en dehors du cadre technique. C’est pour cette raison que la transition n’a aucun sens et ne permet pas de clarifier collectivement telle une thérapie de groupe honnête nos vulnérabilités.
Je souscris donc à l’idée que tant que la scène de ménage ne trouve pas d’issue, les petits attendent dans l’oléoduc.

Le 14/08/2022 à 11h 44

Dans l’épisode 12 on apprend que la voisine est en fait la mère d’une ligne temporelle tout entière et débutant (encore) d’un besoin pressant. C’est dingue quand on y pense, l’art de la répétition pressante. :ouioui:

Le 14/08/2022 à 11h 10


(quote:2088664:j34n-r0x0r)




  • Ça n’amuse pas l’industrie de polluer, ce qui l’amuse c’est de transformer des ressources en produits et il est communément admis que la recherche nécessaire pour l’optimisation des coûts dans un milieu concurrentiel favorise une recherche de diminution de consommation des ressources valorisées localement.


Simplement car le coût de production n’est pas la mesure de la production complète. L’industrie pollue donc lorsqu’elle ne compte pas tout ce qu’elle produit et l’innovation leur permet de convoquer sur le terrain comptable leurs clients, concurrents ou créanciers, placés ensembles à dessein dans le même panier d’ordures.




Donc selon le type d’industrie pas tout un tas de truc comme l’air/la terre et dans certains cas l’eau, mais dans l’ensemble ça ne gaspille pas pour le plaisir (si pourrir ces ressources n’est économiquement pas un problème, les déplacer commence a en être un).


Le gaspillage dépend de ce qui est effectivement payé comme charges. Évidemment, la plupart des industries transforment l’eau et l’air mais on ne va pas non plus décompter ces éléments dans un bilan.
Autement dit, la pollution est une activité secondaire permettant de mesurer les profits en fonction du temps de circulation du flux nécessaire*produit.
Pas mal de “capitalistes” sont parfaitement conscients de leur intérêt à polluer. L’apothéose de ce principe de mauvaise foi a débuté avec les premières comptatibilités carbone justement… donc, pardon, mais non : soit on compte le profit fiducier, soit on compte le profit polluant (sous produits de l’activité principale dans les 2 cas !!) mais on ne peut compter les deux dans l’économie.





  • Le nucléaire aussi dégueux qu’il soit a l’avantage de produire des déchets peu volatiles, assez facile à localiser et très dense. C’est pour l’instant le meilleur rendement matière => énergie pilotable existant.


Faux. Le meilleur rendement c’est la géothermie.
(avant d’empiler des tubes d’eau chaude de plusieurs centaines de mètres pour faire un mur de centrale…)




Concernant le non-pilotable dans un milieu concurrentiel il faudrait que son coût soit proportionnel au manque a gagner lié au fait de sa non-pilottabilité (même avec subventions c’est plutôt mal barré actuellement). Au rayon végétale ça s’appelle “manger des fruits et des légumes de saison”, un jour peut-être pour l’ électroménager et le ciment ?


C’est vrai. :smack:





  • L’inertie du marché c’est l’inertie de l’ensemble de ses acteurs, retirer le nucléaire ne garantie pas une baisse d’appétit pour l’énergie : ce qui n’est pas produit par ces centrales devra être rattrapé par d’autres moyens. On a pas monté des centrales pour le plaisir de faire des centrales, par contre il y a beaucoup de plaisirs qui en dépendent.


Ouais, les boites de nuits entre nouveaux philosphes… :D





  • “Le problème c’est pas le CO² c’est la chute de la biodiversité”, “…c’est pas la chute de la biodiversité c’est les espaces non pollué”, “…c’est pas les espaces non pollué c’est le manque de verdure dans les villes”… c’est un jeu qui peut apparaître comme productif car ça donne l’impression de couvrir plusieurs problématiques mais ce n’est pas tout a fait comme ça que le marché s’adapte : a chaque foi qu’on tape sur un problème il tire profil de ce sur quoi on ne tape pas. Accompagné d’une ambiance anxiogène favorisant la consommation chez les YOLO (construction intellectuelle/spirituel fragmentaire amha) le résultat n’est-il pas encore pire ?


Oui et non. L’évolution des lois permet quand même de dégager les zozos.
Même en rendant payante la décarbonnation, personne n’est encore réellement obligé d’investir sérieusement dans un autre mode de vie. Si tel était le cas ce n’est pas l’économie qui produirait du trouble mais ne l’empêcherait pas non plus par définition. C’est une question de niveau d’exigences et on ne va pas forcer les caves à sortir de terre…




Pour moi l’être humain actuel se démarque des autres animaux par sa faculté a remettre en question les autres tout en se culpabilisant implicitement des transformations que sa présence physique impose a son environnement (un paradoxe qu’on doit a nos postures sociales principalement).


Oui, et quand je marche, je suis en état de déséquilibre ! Ce n’est pas un drame.




Ça va bien au-delà du simple débat capitalisme/communisme, il y a des gens dans ce monde qui ont besoin de shoot de dopamine aux effets bien plus néfaste pour l’environnement que les autres et s’il est aujourd’hui facile de dire publiquement “évitez de trop consommer” aller dire “évitez de faire trop de gosses” est beaucoup plus compliqué en plus d’être risqué car sans contraintes ceux qui n’en ont rien a foutre optimisent leur chance de gagner la génération suivante.



Enfin il ne faut pas s’en faire pour la planète a terme, si on ne trouve aucune solution individuellement et collectivement un écosystème déséquilibré se régule toujours.


La spécificité de notre condition c’est la métrique de la régulation hors facteur animal. Une fois comptées les bactéries, les plantes et l’aléa statisique, avant de voir le CO2 réabsorbé on sait que la position d’équilibre avant de retrouver du carbone dans le sol c’est des milliers d’années. À l’échelle d’une vie humaine le débat n’existe pas.

Le 18/08/2022 à 06h 09


(reply:2089009:Z-os)


Peut-être car ils ne sont pas si stupides qu’ils le laissent entendre au dessein d’enlisement des possibilités politiques de leurs concurrents directs, à commencer par les dirigeants étrangers susceptibles d’apporter un confort occidental voire protestant à leur population amorphe en savoirs ! :mdr:



L’école suppose d’apprendre à apprendre. On se demande donc comment des instituts économiques internationaux peuvent défendre la thèse implicite que les universités Chinoises seraient aptes à former les cerveaux à s’adapter à la culture, aux arts ou à la musique. Mais, peut-être que le classement des dits instituts sont tout simplement impropres à la définition d’un enseignement. Eux aussi !



Autant envoyer les petits à la morgue à cause d’une morve improductive, tant qu’à “rééduquer”. :fumer:

Le 18/08/2022 à 05h 57


« Je suis sûr que c’est une totale coïncidence que cela ait également pour effet de supprimer le blocage des trackers par les vrais navigateurs. Subvertir le choix du navigateur est une érosion structurelle de la vie privée. Cela neutralise les préférences des utilisateurs, et FB le sait. […] Facebook recourt à cette pratique parce qu’il sait que son produit est merdique, mais il veut le trafic et la réduction du tracking qui en découle. »


De 1998 à 2022 c’est une ère géologique chez Microsoft et la mémoire n’est plus aussi vive qu’avant ?
Quelle légitimité à répondre aux questions du chercheur ou du débat qu’il pose, un expert es subversion de contrat logiciel peut-il, autrement qu’au titre de concurrent, prétendre à défendre la veuve et l’orphelin ?



C’est trop gros.




hwti a dit:


En fait dans les réponses de Meta, il manque “continuer à pister les utilisateurs” pour que ça soit honnête, là c’est presque un mensonge par omission. Une simple ouverture de lien dans un navigateur, sans échange de données avec l’application native, aurait aussi respecté les règles d’ATT…


C’est un mensonge.
Problème : la qualité des données préjudiciables mais théoriquement échangées à égalité civile avec l’utilisateur ne sont pas définies dans le contrat et le besogneux service a loisir de s’appliquer les règles morales ou normatives qu’il veut, y compris donc pour déplacer la privacy du domaine impératif (exigence de probité) au domaine concurrentiel, et donc… payant !



Cette manière d’abuser de la confiance des utilisateurs à plusieurs en dansant la java niaise est consternante, comme le reste de la concurrence bidonnée induite par ces mauvais danseurs obèses.

Le 12/08/2022 à 20h 11


wanou a dit:


Il va falloir que tu reformule là car je ne comprend rien à cette partie. Principalement sur l’amalgame entre onde carrée et signal sinusoïdal.


Pour le courant porteur de ligne : avec le bon matériel de mesure on voit nettement à l’oscilloscope que ce qui est vendu n’est pas que cela. Le vrai hiatus qui ne requiert aucune « preuve » d’amateur est là. Bien avant donc de se questionner sur la dangerosité de la composante magnétique des signaux à la fréquence n pris isolément ou de leur approximation sinusoïdale.
Autrement dit, par définition le CPL modifie l’onde de la phase et ce n’est donc plus exactement une phase.




Un réseau de distribution électrique est par nature une jingle électro-magnétique à laquelle doivent être préparés les appareils qui y sont raccordés, peut importe la présence ou non de CPL de télé-relève ou celle des BOX.


Oui, ça c’est la théorie à tendance alarmante. La bonne pratique consiste simplement à rendre la jungle cohérente car dans le détail, tous les appareils bavent. C’est d’autant plus évident que le medium par lequel les signaux polluants sont transportés est limité dans le temps et l’espace… c’est même encore plus simple que la radio alors pourquoi donc la question des filtres n’est-elle pas traitée pro-activement par Enedis ?




J’entend bien que tu préfèrerais la relève manuelle ou quasi manuelle avec euridis, mais ce n’est pas dans le sens de l’histoire. Cela se serait passé pareil même sans la mise en concurrence d’EDF. C’est le même scénario partout dans le monde et pour les mêmes raisons.


Pas nécessairement manuelle au sens de mécanique. Il est tout à fait possible de trouver des boîtiers sur rue pourvus d’antennes pour le relevé in situ ou tout simplement l’ancien télé-relevé qui était pour l’utilité de la comparaison parfaitement acceptable car contractuellement neutre et passait donc par une ligne de communication dédiée. Cette mise en œuvre ne posait aucun problème de CEM supplémentaires et aboutissait au même résultat.




S’agissant d’une onde électro-magnétique, les composantes électrique et magnétique sont intimement liées: un champ magnétique alternatif génère des courants alternatifs dans les fils et crée donc des tensions alternatives. S’il y a couplage, il est toujours possible de le mesurer et également de remonter jusqu’à chez toi. Selon les cas, on fera la mesure en tension ou en courant. Pour traquer les pollueurs, la deuxième solution est la plus simple à mettre en œuvre.


C’est inutile si c’est fait correctement entre chaque point de livraison… hors, les compteurs réemettent les signaux de ceux autour et créent donc un gros bazar à la fréquence délimitée si jamais untel bave.




Pour en revenir à la partie juridique, la bande CENELEC A est réservée aux fournisseurs d’énergie donc tu n’as pas le droit, même chez toi, de t’en servir pour du CPL. Cela n’a rien a voir avec le fait que le cuivre t’appartienne ou non.


Ce n’est pas cohérent : comment prévenir ma propre pollution sans utiliser cette bande de fréquence en lecture sur un appareil de mesure ?
De plus, la loi de Kirchhoff prouve facilement qu’il y a réflexion des signaux. Autrement dit, je n’ai pas besoin d’injecter du courant pour créer un trouble : mon réseau privatif soumis à la 15-100 attenue… Les signaux de la bande spécifique n’ont donc pas à se trouver dans mon réseau privé de base car je n’ai pas que cela à faire que d’amortir les conneries des autres, perso.



Donc pour moi, le CENELEC joue au jeu de l’age du capitaine !
Quand on sait qu’il aura fallu presque 70 ans pour avoir enfin la définition, dans la loi, de la notion de réseau fermé on comprend que le monopole arrange bien les promesses politiques de sobriété. :ouioui:

Le 12/08/2022 à 11h 46


wanou a dit:


Il faut bien comprendre que le but d’ENEDIS est de ne perdre aucune donnée donc toute émission radio de ce signal est une perte. Tout est donc conçu pour que le signal reste dans les fils, non pour préserver notre tranquillité mais tout simplement pour s’assurer d’une bonne transmission des messages.


C’est bien le problème : quand je dis que la composante electrique n’est pas convenable je ne convoque nullement le champ magnétique. Et quand bien même on ne souhaite pas vulgariser de cette façon l’electro-magnétisme, alors il va falloir faire avaler qu’une onde carrée c’est bien un signal sinusoïdal.



C’est la question que la règlementation ne pose pas mais que les règles de conception énoncent : a-t-on le droit de contraindre l’extinction des émissions EM chez soi lorsque ces dernières ne sont pas indispensables à la fourniture du service payé et ne sont, qu’importe leur niveau d’émission, légal ou non, par contractuelle définition non désirables par le client.



Autrement dit la poubellisation par petites gouttes du réseau électrique ne choque plus personne et on confie aux états l’océan alors que, jusuqu’à preuve du contraire, si pour des raisons X ou Y j’émets du CPL sur “mon cuivre” sur la bande dédiée au fournisseur et bien là je suis théoriquement en dehors du cadre alors que, factuellement parlant, la composante magnétique est inmesurable pour le fournisseur mais peut, évidemment, brouiller son télérelevé et ainsi m’envoyer au tribunal. Bref : sans volonté de fixer des marges d’incertitudes adaptées au public visé, forcément, ça coince.

Le 12/08/2022 à 09h 21

La prime Advenir s’applique également !



Le véritable problème de fond c’est le delta entre le matériel (très basique) installé par le prestataire dont l’intérêt à proposer ce type de service tient seulement à la méconnaissance acquise des personnes vis-à-vis de l’électricité et de l’effet d’aubaine induit par la subvention déguisée en devis qui renforce là encore le principe d’une économie de service alors qu’on est bien dans le cadre de fournitures primaires…. c’est le fameux sketch de Brazil vers lequel on va !



Une borne de recharge assemblée par un électricien dans un boîtier coûte à peine 150€ par exemple. En ajoutant à l’opposé toutes les marges des fournisseurs + les heures de travail les primes et aides font surtout grimper à un montant sensiblement plus élevé ce qui n’a pas à l’être. Le premier électricien venu sait installer une borne de recharge qu’il fourni lui-même sur pièces… c’est même moins onéreux que de se fournir en Chine pour 300 balles !!



Donc à quelques centaines d’euros la borne dans le meilleur des cas ou bien 1000€ d’aides cumulables on se demande pourquoi cela coûte encore 3k€ pour des travaux d’une banalité déconcertante. :dors:

Le 12/08/2022 à 07h 16

Dans notre cas l’opérateur choisi a été ZePlug.



Le vote en AG a consisté en l’autorisation des travaux pour qu’ils installent un compteur indépendant (donc une nouvelle ligne ENEDIS) depuis lequel seront ensuite reliées les bornes individuelles. Le compteur commun historique du parking est totalement séparé et il n’y a donc aucune quote part supplémentaire à calculer. La souscription et la facturation est directement faite entre le client et l’opérateur. L’opérateur est propriétaire du nouveau tableau électrique, le client est propriétaire de sa borne. Le chargé de travaux fait un plan sommaire d’installation à destination du syndic et du conseil syndical qui le valident sans formalisme, le client aussi le valide avant de lancer les travaux.



Dans leur cas, il s’agit d’un abonnement forfaitaire mensuel incluant 2 MWh (j’ai pris une borne 3.7 kW, ça me suffira amplement surtout que je peux recharger au boulot, un voisin a pris une plus puissante) et avec un supplément de 0.20€/kW/h consommé en cas de dépassement. D’après les voisins qui ont installé en premier, ils n’ont jamais atteint le quota, mais ils ont juste des hybrides, pas des full électrique dont ça joue. Le commercial envoie une documentation avec les abaques pour choisir la borne la plus adaptée à son profil (combien de temps tu veux pour recharger, kilométrage annuel, type de véhicule..).



La borne 3.7kW est facturée 1 990€, auxquels sont déduis ~900€ d’aides ADVENIR, un crédit d’impôt de 300€ avancé par l’opérateur, et aussi une remise client qui fait que le prix tombe à 499€. Je serai à ~30€/mois d’abonnement.

Ce n’est qu’un commerçant proposant donc des services supplémentaires après démarches auprès d’Enedis. C’est un peu de l’élévation de privilèges comme modèle économique : pas certain que le coût du kilomètre parcouru puisse être qualifié d’économique malgré le gain de temps.
Quid de l’interopérabilité ? de la durée de vie des bornes ?



De plus les travaux ne sont pas amortissables par la copro… c’est malsain : l’état fait miroiter des aides au copropriétaires qui correctement analysées sont en réalité une subvention déguisée à des entreprises afin de faire baisser la part de taxes.
C’est contraire à la libre concurrence et aux intérêts des citoyens mais bon, vu l’escroquerie intellectuelle des aides à la rénovation par ailleurs, ce n’est pas très étonnant de voir ce microcosme de négateurs des règles de l’art nous resservir les mêmes effets de manche à l’envie.

Le 12/08/2022 à 06h 58

Pourtant y’en a des qui sont pas d’accord preuves à l’appui.



Et quand bien même, les règles de l’art ne doivent pas être confondues avec les normes ou les règlements : tous les avis ne se valent pas et n’ont pas la même force probante ni le même but.



Ma réponse portait donc principalement sur le droit de propriété du cuivre recevant ces signaux indépendamment des émissions extérieures à la gaine : on a un cas très basique de servitude bien délimitée par le réseau du bâti pour lequel la collectivité n’a aucun droit d’intervenir puisque qu’il n’en a ni la procuration, ni le mandat, ni le droit.



Les conséquences sont que l’usage de cette bande de fréquence, tout autant que les autres dispositifs impliquant des inductances ou capacitances sur le réseau privé (après compteur) doivent être adaptés en réponse et blindées le cas échéant… Enedis ou la collectivité n’ayant pas de connaissances en médecine mais en contrat on comprend alors assez vite que l’un ou l’autre sont des menteurs/escrocs et n’appliquent donc pas les formules basiques de l’électronique et partent (comme toi) sur les émission en dehors des câbles alors que le cas basique non trivial n’est toujours pas traité en accord avec les formules et la clarté du contrat qui ne spécifie pas que le client accepte de recevoir des signaux CPL sur son réseau privé.

Le 11/08/2022 à 16h 17


Tandhruil a dit:


Je pense qu’un particulier à parfaitement le droit de filtrer les fréquences CPL en aval du Linky.


Oui mais voilà : si tu lis souvent l’ANFR on te rétorquera que la fréquence est réservée mais si tu es un minimum consciencieux de ce que injectes dans tes appareils tu sais que ton réseau privatif fait antenne et que c’est bien entendu à Enedis de te fournir un filtre correctement dimensionné pour installer le compteur dans les règles de l’art.
Même avis en copro avec les CPL des box : celui qui injecte télépoubelle en chiffré chez son voisin doit empécher la fuite en amont, pas en aval.

Le 11/08/2022 à 15h 51


SebGF a dit:


Je n’irai pas jusqu’à cet extrême, le droit des copropriétés est bien assez relou pour justifier ce genre de besoin (la meilleure solution serait de simplifier tout ça, mais ne rêvons pas :D).


Sur le littoral, la bétonisation des années 60-70 a quand même largement été soutenue par la possibilité de laisser la résidence secondaire en gestion privée façon gite balnéaire auto-financé. C’est ce truc là qui est extrème : ne plus rien traiter de factuel en voulant s’éviter le pathos de la sarcellite à l’année alors qu’on y vit quand même ! :mdr:




(attention, j’ai pas dit que les syndic le faisaient bien, c’est juste la définition de leur boulot)


Dans un sydic ce qui travaille le plus c’est le photocopieur. Mets un peu les pieds dans l’arrière boutique, tu seras surpris !



Qui plus est : depuis 2019, ces professionels de la copie des erreurs des autres peuvent vendre des services au syndicat de copro ! C’est de l’argent magique la macronie. Et ceci, comme le reste des “bottom in the seat for greater good(s)” ne ©hoque aucun agent immobilier ou boudoir miniature de cabinet de conseil. :crever:



Non franchement, cette cour des miracles c’est parfois hardcore. :sm:

Le 11/08/2022 à 12h 26


Tandhruil a dit:


Alors en cas de travaux hors tension, les électriciens ont pour obligation d’encadrer leur chantier par des dispositifs de mise à la terre et en court-circuit pour se protéger de toute réinjection.


Encore faut-il connaître la valeur du courant qui circule malgré la coupure HTA… un simple PE2,5 ne suffira pas dans bien des cas !




En terme de CEM une ligne HTA, rien que par la capacité induite par son isolant, doit être systématiquement déchargée à l’aide d’un système de mise à la terre également.


L’air c’est pas terrible oui, l’intérêt de ne pas se préoccuper des CEM vient simplement du branchement en étoile du transformateur dans la plupart des cas. Mais sur la partie privative, le principe général de balancer du CPL sur un réseau privé ne les choquent pas alors que la norme de synchronisation est logiquement aussi pointue que la fréquence de transformation du courant. Donc c’est yolo les condensateurs et inductances n’existent pas sur le BT d’après la pratique. :mad2:

Le 11/08/2022 à 12h 15


SebGF a dit:



Maintenant c’est pas compliqué, je vote systématiquement contre son “renouvellement” de mandat lors des AG. Quand j’étais président du conseil syndical, j’ai pu obtenir jusqu’à 40% sur les honoraires une année tellement les manquements se sont enchaînés et ait menacé de convoquer une AG exceptionnelle pour révoquer le syndic et mettre la copro sous gestion administrative le temps qu’un autre soit désigné. Le problème est que le conseil syndical actuel et les copropriétaires n’osent pas changer de syndic. Et nous sommes une trop grosse résidence pour être auto gérés hélas.


Il devrait simplement être illégal de gérer une copro sans en être résident. L’intendance n’est pas le plus grand problème de l’humanité bien que cela demande une cervelle…



Mais le défaut fondamental des mandataires habituels, qu’ils soient comptables, secrétaires ou agents immobiliers c’est qu’ils sont généralement les premiers à se faire servir pour leur logement personnel et comptent donc sur leur assurance et ses experts pour filer entre les mailles de la plus triviale des matérialités en cas de menace contractuelle !
Histoire donc de bien te rappeler qu’ils sont à ton niveau de non sachant et qu’ils doivent donc être payés sur la seule base de leurs meilleures et plus “conformes” intentions.
Et ainsi, du propriétaire au locataire en passant par le syndic jusqu’aux PV des AG chaque entité se refile la carotte chaude car c’est toujours “de bonne foi”, bien entendu, qu’un travail de bouclage honorable ouvre improprement droit à des honoraires pour l’ad dolateur. :mdr:



(mode je sais OFF :D)

Le 11/08/2022 à 11h 44


carbier a dit:



Tu crois sérieusement qu’en cas de coupure, les équipes ENEDIS vont sur le terrain au petit bonheur la chance ?


Il y a nécessairement une remontée d’information sur les clients qui injectent.
Reste à voir si il y a de quoi, en prévision d’un déplacement in situ, de couper l’injection par le compteur en cas de détection d’un défaut sur la ligne et si et seulement si, l’onduleur est lui-même en état de procéder à la coupure ne trouvant pas de signal BT sur lequel se synchroniser.
Il y a des normes qui prévoient ces situations dangereuses.



Le problème en l’espèce est que le client n’a pas d’obligation d’entretien des dispositifs de sécurité sur sa partie privative lorsque, bien entendu, la subside indirecte à certains électriciens agréés ne couvre pas tout nette des boites noires certifiées et financées à l’emporte pièce.



Sans compter que, entre nous, ENEDIS faisant déjà un travail inexistant pour couvrir ses arrières en termes proactifs de CEM, l’aval de la CRE sur la qualité du signal sinusoïdal a fini d’enterrer le sujet de la sûreté pour les intervenants de terrain.

Le 11/08/2022 à 09h 16


SebGF a dit:


Mais un collègue à vécu un véritable enfer de valse de techniciens qui venaient et ne pouvaient rien faire avec des sons de cloche différents.


Soit le syndic est accompagné pour de la maîtrise d’œuvre, soit il ne l’est pas. Comme chacun doit le comprendre : il y a le bon syndic qui ne se prétend pas constructeur et le mauvais syndic qui prescrit du n’importe quoi au motif que c’est moins cher (sans blague !).



Donc un technicien d’opérateur (généralement un sous-traitant trop spécialisé) n’a pas les compétences pour concevoir et construire un réseau de gaines plombantes si elles n’ont pas été réalisées lors de la construction alors qu’elles sont dorénavant à réaliser selon la loi. Il faudrait à minima l’intervention du service génie civil de l’opérateur… qui ne peut par définition qu’intervenir sur le domaine public. Il faut ainsi fuir la prose technique des opérateurs. :mad2:



Aussi, le réemploi des gaines cuivre se fait sous conditions de la câblerie nouvelle ou bien après avis d’un contrôleur technique le cas échéant. (ce qui est une obligation pour d’autres lots mais qui curieusement disparaît dès qu’on parle réseaux numériques).

Le 11/08/2022 à 09h 05

Dans le cas où il y a de l’injection depuis le réseau BT je suppose que la coupure au relai des compteurs injecteurs est programmée à l’avance via le CPL. Après, reste à sentir si l’installation de filtres par les bons clients fait cramer le bon ohm à point ou saignant. :D

Le 10/08/2022 à 19h 02


xillibit a dit:


Logique le plan parle de fermeture du réseau cuivre, donc c’est pas l’objet :keskidit:


C’est deux fois plus de trajets de camionettes et de pollution si la gaine existante ne peut être réemployée.



Imaginons que la dépose du cuivre se produise alors après raccordement à la fibre : c’est le cas banal !
Les as de la goulotte en PVC sévissent pour en mettre plein la vue car encoller le client est vital pour le sous-traitant !

Le 11/08/2022 à 16h 23


(quote:2087849:phantom-lord)



Elle est belle :bravo:


C’était prémonitoire vu la suite du fil. :D

Le 09/08/2022 à 19h 11


AsclepiosH91 a dit:



Et si c’était que ça, ce serait pas bien grave mais il y a les faits divers bien plus graves, quotidiens.


Le problème quand on est privé de désert c’est qu’on en fait tout un fromage. :francais:

Le 11/08/2022 à 12h 57

Let’s do the time warp again ! :mdr:

Le 11/08/2022 à 12h 40


Maxt a dit:


C’est souvent la technique de l’autruche utilisée par les entreprises pour profiter tant que possible. Pas vu pas pris comme on dit



Les médiateurs regrettent déjà de ne pouvoir ironiser sur la raison sociale qui n’est pas “réglo mobile” mais L TELECOM. Sans doute une affaire de lanterne et de bretons, comme d’habitude. :transpi:



:D

Le 10/08/2022 à 04h 33

La surface des fonds est malgré toutes les difficultées assez bien documentée. Il manque en fait la couleur qu’on a pas au sonar de la même façon qu’on a pas le détail moléculaire sur Mars.



Le luxe ce serait d’avoir un vrai labo là haut qui ne crame pas tous les échantillons pour les analyser. :eeek2:



Après, sur terre, Mickey n’étant pas survivaliste de nature, j’irais plutôt m’inspirer de Mad Max ou Chappie parcque la théorie du ruissellement technologique parfois avancée comme justification des budgets collossaux marche aussi dans l’autre sens, c’est évident. :D

Le 09/08/2022 à 19h 26

La recherche spatiale a surtout permis de fournir une cartographie complexe et en temps réel de la terre mais l’exploration spatiale reste encore fortement marquée par ce que l’on sait déjà dans l’ici bas.
Le meilleur pari c’est d’espérer qu’en en apprenant plus sur Mars, on puisse réintégrer la terre dans le système solaire afin, une fois de plus, d’éviter l’éceuil de se croire le centre du monde.



Le taux de CO2 sur mars est peut-être un avant goût de ce qui nous attend si on ne cherche pas mimi dans le rover… :fumer:

Le 05/08/2022 à 15h 29

Trous noirs venez nombreux. :D

Le 05/08/2022 à 15h 23


Thorgalix_21 a dit:



Je suis allé sur la page wikipédia du principe de moindre action et j’ai eu un peu de mal à comprendre le truc. Et pourtant, j’ai suivi des études supérieur en mécanique et autres principes thermodynamiques. J’ai dû mal les suivre ou alors je me fais vieux (l’un n’excluant pas l’autre).


Une autre façon de poser le problème c’est de se demander si un avantage mécanique change le temps ou non. Puisqu’il y a conservation de l’énergie l’économie sert seulement à ramener à la droite les oscillations à la moyenne à la manière d’une mécanique vécue. C’est donc en quelque sorte se tirer une balle dans le pied puisque l’équilibre n’admet pas réellement la fin du stock et se contente d’inventorier des nombres au seul principe d’une copie “désirable” du principe de moindre action.

Le 05/08/2022 à 15h 08


Thorgalix_21 a dit:


A moins de vivre dans une société “à la Star Trek” où tous les besoins primaires des humains sont satisfaits sans besoin de les payer, il faudra toujours un revenu, non ?


On vit déjà dans un monde plutôt gratuit à la star trek. La différence réside dans l’introduction du droit de proprieté qui permet fort justement de définir un revenu alors que le troc ne va pas aussi loin dans l’adaptabilité aux agents.




C’est aussi pour ça que je suis favorable à la gratuité des transports publics, à la sécurité alimentaire (application du principe de la sécurité sociale à l’alimentation).


Les transports sont financés par le privé.
Les aides aux agriculteurs sont elles aussi ultimement financées par le privé.




Si toutes les sociétés se font sous la forme de SCOP, où y aura-t-il de la concurrence entre les salariés ?


Concurrence d’opinions sur la gouvernance de la SCOP = concurrence de valeurs vis à vis des salariés minoritaires.




J’aurais dit que depuis le premier silex, nous sommes en croissance. En quoi est-ce du brassage d’air de vouloir réduire notre consommation ?


Le “premier silex” c’est du capital de Musée. Je voulais simplement noter que les civilisations s’effondrent et que la seule “économie” c’est ce qu’on laisse aux suivantes.
Un stock quelconc implique donc l’idée de sa fin.



La consommation c’est un problème de vitesse. Si l’on souhaite plus de sobrieté il faut accepter la necessité : pas de kwh disponnible pas de consommation.
Ou alors : laisser aux suivants les outils d’intensification à supposer qu’ils acceptent les valeurs que les outils véhiculent.




Je suis allé sur la page wikipédia du principe de moindre action et j’ai eu un peu de mal à comprendre le truc. Et pourtant, j’ai suivi des études supérieur en mécanique et autres principes thermodynamiques. J’ai dû mal les suivre ou alors je me fais vieux (l’un n’excluant pas l’autre).


Les lois économiques ne permettent pas de calculer les trajectoires puisque le droit de proprieté crée une résistance variable selon les circonstances nominales. On ne peut donc pas prédire le comportement d’un système avec la monnaie ou le principe de l’offre et la demande : il faut vérifier si à quantité d’énergie disponnible la conversion entre E cinétique et potentielle est parfaite. Et C’est donc bien car elle ne l’est jamais dans les activités humaines qu’il faut socialiser la perte physique par de la valeur économique…

Le 05/08/2022 à 13h 13


(quote:2087360:127.0.0.1)
La diversité de l’offre (et donc une certaine forme de dérégulation) est le seul moyen de répondre aux différentes demandes des clients.


La complexité des valeurs nait aussi du tableau périodique des élements. Par valeur on peut tout à fait entendre et fixer ad vitam æternam le tableau périodique des élements comme usage ! C’est là que la dérégulation est fallacieuse lorsque défendue : ce n’est qu’un état de fait, pas une valeur au sens politique.




Sinon, il y a 2 alternatives pour rester dans un marché régulé:




  1. Le régulateur anticipe toutes les demandes et met à jour perpétuellement les règlements. Le jour où on sera gouverné par une IA, ca sera p-e envisageable.


Le régulateur compte déjà. Que le travail passe par une machine ou non ne change rien. Mais le régulateur “reconnait”, ce qu’une organisation mécaniste ne pourrait permettre.





  1. Le régulateur impose que tous les clients aient les mêmes demandes. Ca s’appelle “avoir un régime fort” dans le vocabulaire de gauche. Les autres appellent cela une dictature :)


C’est ce qui s’est passé avec l’electricité en effet. Le problème étant que la distribution d’électricité ne peut être opérée par les fournisseurs au sens de la loi… donc personne ne gagne à mentir sur son métier.

Le 05/08/2022 à 12h 39


Thorgalix_21 a dit:


Tu sais, je suis pour le salaire à vie développé par Bernard FRIOT, la généralisation du modèle des SCOP et la décroissance.


Dans ce cas tu es en fait capitaliste… Salaire = absence de réévaluation des valeurs
SCOP = dépendance du capital sur la poire des salariés conservateurs, autrement dit encore de la concurrence entre salariés.
décroissance = brassage d’air (on est depuis le premier silex en décroissance)




Tu te doutes que je suis assez malheureux (intellectuellement parlant) depuis pas mal d’années, mais mon psy me dit que je suis sur la bonne piste.


Fais un peu de physique. Le principe de moindre action devrait être enseigné dès la maternelle. :8

Le 05/08/2022 à 12h 31


(quote:2087349:127.0.0.1)
Les années de propagandes visant a amalgamer le libéralisme, le capitalisme et l’oppression du peuple semblent avoir fonctionnées. :)


Les ressorts de la publicité ne sont pas plus propres que ceux de la propagande.
Le salariat est par essence une forme d’oppression (perdre un esclave est plus grave pour une entreprise stricto-sensu capitaliste qu’un salarié).




A l’opposé du libéralisme nous avons la réglementation: tout le monde doit proposer la même chose au même prix. Donc pas de compétition… avec pour corollaire la disparition des “concurrents” au profit d’un acteur unique sur le marché. Exemple EDF ou SNCF… Que penses-tu de la gestion de EDF, SNCF ? C’est ton idéal économique ? :)


La règlementation ou la norme aboutissent à la standardisation dans les deux cas. Le privé-public ne fait pas mieux que le public-privé.
Le libéral adepte du bottop up, lui, si il est réellement seul à se concerter avec lui-même alors oui, il va en revanche inventer et créer une différence de valeur.
Mais cela ne change pas grand chose à la valeur d’usage qui implique le client et ses valeurs à lui. (dont le bouche trou EDF arrange d’abord les truismes du législateur que sa passion de charges élémentaires :D)

Le 05/08/2022 à 12h 19

Toute organisation politique fabrique une fiction plus ou moins convaincante et justifiée.
On a choisi d’appuyer l’économie sur la consommation donc oui, il est vain de réduire le flux dissipatif du capitalisme. En revanche, à la manière de la loi d’Ohm, on peut créer une inflation monnaitaire en abaissant la puissance unitaire. Cela ne change rien au résultat ultime mais permet de faire jouer le signal prix à défaut de savoir manipuler les notions physiques.

Le 05/08/2022 à 11h 53


(quote:2087199:127.0.0.1)
Bref, il faut utiliser la “méchante” compétition du libéralisme a des fins vertueuses.


Le taux de retour énergétique inclus dans le bilan du bien ou du service détermine sur de longues périodes son prix. Autrement dit la valeur d’usage pour les acteurs aura tendence à contre-carrer la compétition sur les prix et ceci ne change strictement rien à la qualité intrinsèque du bien ou du service.



Dans le meilleur des cas le coût n’est qu’une dérivée de la contingence physique. Dans le cas courant le théorème de Liouville ne permet pas de soutenir ta proposition. (ni celle des pollueurs payeurs d’aillleurs).

Le 05/08/2022 à 11h 35

Une autre façon en pratique assez proche de le présenter c’est obligations de moyens vs obligation de résultat (ça évite la notion de punitif, qui est connoté et clivant).
C’est là aussi très directement lié au libéralisme, puisque l’obligation de moyen consiste à avoir confiance dans l’état pour savoir quelle est la meilleure solution, alors que l’obligation de résultat délègue au secteur privé la recherche de la façon la plus efficace d’atteindre les objectifs.

Les fins témoignent in fine des moyens ! En agrégeant les différents régimes le résultat global en dioxyde de carbone est proportionnel au PiB… c’est une fonction sans courbure avec d’infimes oscillations à la moyenne : useless.



L’intérêt de l’exigence de moyens c’est de laisser au bénéfice du privé la possibilité théorique de récupérer du capital de marge supplémentaire dans l’entre-deux du déphasage entre moyenne et valeur propre.
L’intérêt de l’exigence de résultat c’est de permettre à la collectivité d’amortir la natalité en laissant une marge de progression (croissance artificielle dissimulée).



Oui mais non. Le régime de comptabilité actuelle aboutirait au même résultat.

Le 05/08/2022 à 13h 01


(quote:2087359:matrix-bx)
J’avoue être très surpris que les FAIs ne soient pas sollicités pour dire à quelle adresse précise est localisée telle adresse MAC utilisée par le wifi de leur box puisqu’à priori ils disposent de ces informations.


Un accès root sur un routeur c’est du piratage sauf si le contrat spécifie le contraire. Les logs peuvent donc seulement corroborer les mesures de l’ANFR qui n’est pas exactement dans la même pool que les autres services ayant pouvoir de demander l’accès au FAI de leur propre intitiative. Pour le brouillage on parle de peines de 6 mois d’emprisonnement, pas de 5 ans ou +.
Sans quoi l’ANFR deviendrait le troisième bras de l’étoile de mer pour pigiste plagiste.

Le 02/08/2022 à 06h 24

Les entrées-sorties du personnel militaire sont donc mesurables si il y a des backdoors dans les équipements. :fumer:



Après, lorsque les US seront cohérents sur les niveaux d’émission (PIRE) des équipements ils pourront peut-être affirmer qu’il existe des interférences à defaut du bruit que génère tout nouvel équipement. Rien qu’à lire la kirielle de fréquences de minute man, on comprend pourquoi en plus du bruit, il y a l’odeur. :D

Le 31/07/2022 à 10h 16

Bon Jamal de mer. :brice: :yes:

Le 29/07/2022 à 12h 04


carbier a dit:


Pertinente comme remarque: vu qu’il est virtuellement impossible d’empêcher tous les délits, à quoi bon faire des lois ? :incline:


A les prévenir puisque nul n’est sensé ignorer la loi et doit se prononcer à échéances régulières sur le mandat de ceux qui l’écrive.
Principe qui, on le remarquera avec malice, s’applique manifestement aussi au code informatique.




Quant au 2eme point répéter ad nauseam par les partisans d’une France actuelle qui est une future dictature, je rappellerais simplement que concernant la musique et la VOD c’est déjà le cas via l’interdiction de sites de streaming et/ou de P2P.


Par conception une contrefaçon sur le web et accessible ≠ parties de fichiers issues d’une contre-façon accessibles.



Dans le premier cas on interdit l’activité économique par le truchement d’autorité(s) sans plus de difficultés morales, dans le second on surveille un réseau public (Hadopi) car il est réellement impossible d’interdire le P2P sans changer fondamentalement ce qui caractérise un réseau.



L’ultime option serait de bannir certains protocoles des tuyaux mais cela irait évidemment contre le droit à la liberté d’expression et le droit à la création. Partant de là, il faudrait donner les mêmes pouvoirs de surveillance à des autorité(s) administratives que ceux accordés aux douanes selon la loi sur le renseignement.



Il est donc abusif de dire que le P2P est interdit. On comprend alors que le manque de moyens de Police est finalement la seule limite. :fumer:

Le 29/07/2022 à 08h 49


anagrys a dit:


Bien évidemment, l’autorité indépendante n’a pas la possibilité de dire que c’est impossible.


A l’impossible nul n’est tenu mais impossible n’est pas Français. C’est pas nouveau.

Le 29/07/2022 à 08h 21

D’un autre côté demander l’impossible… Si une loi impose que les voitures aillent plus vite que la lumière pas de problèmes ?

L’intelligibilité de la loi n’est pas de force égale selon la loi considérée. Demander à aller plus vite que C revient à dire que le législateur va déjà plus vite que C (à cause de la flèche du temps).

Aussi, ce qui est physiquement faux n’est pas in-intelligible pour autant. Le problème principal c’est la cohérence entre lois physiques (pour le moment terriennes) et les lois nationales : cela crée justement une absence de recul critique sur les services web.




carbier a dit:


La liberté absolue, c’est surtout la liberté des plus forts au détriment des plus faibles.



Certains ici sont adeptes de cette “philosophie”: pas moi.


Plus fort sur quel critère ? Techniquement ?
Je rappelle qu’on empêche personne de créer son internet hein…

Le 29/07/2022 à 08h 38

Au final, les revenus d’une entreprise ne proviennent que des clients, et une entreprise ne peut pas être en permanence en déficit, donc même en ne restant qu’à l’équilibre, si les coûts augmentent ce sont bien les revenus issus des facturations clients qui doivent les couvrir.

Et pourtant, le déficit du stock d’énergies fossiles est une certitude. Alors on a inventé la dette pour faire comme si il y avait un débat public sur l’entreprise ou ses clients. :D