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ropi bo

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?

18 commentaires

Franck Riester détaille l’avenir du projet de loi sur l’audiovisuel

Le 06/07/2020 à 16h 55

La télé c’est le monde d’après il parait… j’ai pas bien compris comment.


Disney+ dévoile le contenu de son catalogue en France

Le 09/03/2020 à 13h 03

Je croyais qu’ils allaient exploser la concurrence, en fait ils font Disney Channel, en complément de Hulu et ESPN+.
Je doute de la validité de cette stratégie.


Après l’arrêt Uber, la ministre du Travail en quête de nouvelles « règles »

Le 06/03/2020 à 13h 50

C’est peut-être une question de formule alors.
Car j’ai discuté avec des chauffeurs indépendants qui n’utilisaient Uber que quand ils n’avaient justement pas de course de prévue. Ils avaient déjà leur propre clientèle et ils choisissaient déjà d’utiliser ou non Uber.


Le 06/03/2020 à 10h 56

Pour le coup je trouve cette réaction positive.
Le code du travail s’est construit contre le salariat, pas avec. Toutes les luttes sociales se sont faites d’abord contre le salariat, imposé par la force, puis seulement contre ses abus… nous avons tellement assimilé la chose que nous pensons désormais que lutter pour la conservation du salariat c’est lutter pour nos avantages de travailleurs : ça ne va pas, nous marchons sur la tête.
Toutes les règlementations sont accolées au travail salarié, ce qui devient une sorte de chantage. Nous souffrons de la confusion entre emploi et travail mais nous continuons de nous embourber. Il faut trouver un moyen de garantir la viabilité des interdépendances respectueuses du principe de réciprocité sans forcément en passer par la soumission à la hiérarchie de l’entreprise, à la lourdeur administrative et à la captation des profits avant redistribution.
Uber est peut-être (je ne connais pas le dossier) une société abusive, mais si la solution c’est de forcer Uber à mettre des chefs au-dessus des travailleurs et encore racler leurs revenus (mais avec une feuille de salaire ! génial), ben je ne suis pas convaincu. Et ce n’est de toutes façons pas de la sorte que Uber paiera plus ses impôts (de toute façon il faut revoir de fond en comble notre fiscalité qui est basée sur des principes qui s’avèrent contextuels à une autre organisation collective et d’autres comportements).


Emmanuel Macron s’en prend à la « liberté absolue » des réseaux sociaux

Le 17/01/2020 à 16h 19






Kevsler a écrit :

Quand tu ne luttes pas contre la privatisation d’un aéroport de grande ampleur ?
Quand tu ne bouges pas un pouce pour sauvegarder le service publique du rail ?
Quand tu dérèglementes les services de retraites complémentaires privés en même temps que tu pourris le régime général ?
Quand t’as participé à la perte d’Alstom, la FDJ, Lafarge, Technip, Alcatel (ce qu’il en restait) ?
Quand tu supprimes des postes à foison dans le service publique ?

Macron n’est pas l’étatiste de l’extrême que tu décris… C’est un bon vieux libéral, qui prépare un terrain fertile au business débridé de ses potos. Les cadeaux qu’il fait aux copains affaiblissent toujours l’État. Les taxes, si elles sont contournables, ne sont pas un problème (surtout si elles font parti d’un plan de communication à l’ancienne : main gauche, main droite, on donne, on reprend, toussa).

P.S. : Ce qu’en disent les gens, et surtout les medias… bof. Pendant un an ces cons ont tenté de nous faire gober que Macron était de gauche, et socialiste. Lol. Donc maintenant c’est la croisade anti-prolibéralisme pour… pour tenter de briguer un deuxième mandat ?


Ce que tu veux dire c’est qu’il identifie des acteurs économiques dont il veut protéger les intérêts contre d’autres, voire favoriser ; et que cette identification coïncide avec les relations de clientélisme (l’industrie médiatique a besoin de lui pour les subventions qu’il donne et pour le système de licences qu’il introduit, quand les ennemis qu’il distingue s’avèrent justement être ceux qui n’ont pas besoin de lui). C’est à dire qu’il tente de faire en sorte que l’état administratif ne soit pas détenteur de toute l’économie (ce serait un capitalisme administré, appelé “communisme”)  mais une plaque tournante incontournable d’échanges aux mains d’acteurs identifiables (capitalisme féodal).
Ce n’est pas du libéralisme mais du capitalisme. Et ici il cherche encore, comme par ailleurs, à renforcer des corps intermédiaires et une structure sociale pyramidale relativement rigide (parfois il fait ces renforcements contre lui, par exemple Macron préfère les syndicats aux gilets jaunes : une structuration des luttes sociales autour de corps identifiables ne le dérange pas autant que les directions syndicales essaient de nous le faire croire).
La structure de l’état-nation, du capitalisme et de l’industrie est une structure unique. Avec la remise en question de cette structure par des dynamiques matérielles contingentes démocratiques (la démocratie est avant tout matérielle, culturelle et organisationnelle, elle n’est pas d’abord institutionnelle mais à la fin du processus de démocratisation), il n’est plus réaliste de croire que l’état est un contrepouvoir de l’entreprise ou du capitalisme… toutes ces forces se retrouvent liées par la pression du réel.
Nous nous sommes faits avoir à force qu’on nous répète que en gros la droit contre la gauche c’est la liberté contre l’égalité, alors qu’en réalité la liberté, l’égalité et la fraternité sont toutes les trois des valeurs de gauche qui contiennent mécaniquement une dimension disruptive, remettant en cause n’importe quel ordre soit-disant éternel ou soit-disant naturel.
Macron n’est pas libéral mais ordo-libéral, c’est à dire qu’il légitime une politique autoritaire par des discours de description d’une liberté toute théorique qui aurait été à l’origine de la fixation d’un ordre idéal constaté… c’est la Fin de l’Histoire qui est un concept conservateur aussi vieux que l’Histoire elle-même. Bon… depuis 2008 plus personne n’y croit (sauf peut-être Macron, j’avoue ne pas réussir à le cerner quand je le vois se déguiser… on pourrait oser des théories psychologisantes mais elles ne seraient pas intéressantes), mais en gros toute notre représentation politique nous propose des programmes de retour à un contexte qui nous permettrait d’y croire à nouveau, d’avoir à nouveau des certitudes.



Le 17/01/2020 à 15h 55

Il faudrait réussir à faire entendre que Macron n’est pas libéral mais bonapartiste.


Sur la taxation du numérique, « rangeons les colts » implore Bruno Le Maire

Le 08/01/2020 à 17h 54

Du moment que ce ne sont pas des entreprises spécifiques (copines) qui touchent directement le fruit de ces taxes…
Par exemple si il y a appel aux autorités de la concurrence concernant les lois sur les moteurs recherche là (Google News), celles-ci devraient commencer par dire que l’existence même des secteurs de la presse et de l’audiovisuel est une manipulation de l’économie et est anticoncurrentielle.


Wonder Woman 1984 : Gal Gadot revient dans les années 80, de nouveau pour sauver le monde

Le 09/12/2019 à 10h 18

Donc en fait il ne fallait pas s’en faire pour Steve Trevor, pareil pour Antiope.
En fait il ne faut s’en faire pour personne, les gentils vont gagner, les méchants seront interchangeables.
Le seul truc intéressant dans le film précédent c’était que le personnage de Wonderwoman était relativement bon, un peu comme Superman dans Man of Steel… globalement j’imagine que des personnages avec un caractère ça oblige à écrire un tant soit peu les films et que c’est fatiguant, c’est pour ça qu’ils le changent, sans doute pour l’édulcorer encore un peu plus.
Globalement on peut se sentir dispensé d’aller voir le film.
Dommage, Gal Gadot mériterait sans doute de faire des choses.


Je vais à un « atelier numérique ouvert », puis à un « marathon de programmation » !

Le 18/11/2019 à 14h 29






BlackYeLL a écrit :

L’art de raaaaallllooonnnngggeeeerrrrr.


 C’est clair.
Pourquoi ne pas dire plus simplement




  • hackerspace -> espace-bidouille

  • barcamp -> rencontre

  • hackaton -> programmathon




Le Wall Street Journal accuse Google de trafiquer les résultats de son moteur de recherche

Le 18/11/2019 à 14h 23

Il me semblait que le trafic en question consistait justement à mettre la presse en avant…


Motorola dévoile son Razr pliable à 1 500 dollars, disponible en janvier

Le 14/11/2019 à 16h 25

C’est une bonne idée le clapet, par contre une fois déplié il est beaucoup trop grand.
Faut arrêter avec des tailles débiles.
Oui , il y a une niche avec des gens qui jouent beaucoup sans doute… bon d’une part je doute que ce soit si génial de jouer sur un téléphone avec le cou plié en deux, d’autre part ce n’est qu’une niche. 5 pouces ça suffit.


Droits voisins : Google ne bafoue pas la loi

Le 24/10/2019 à 10h 03






odoc a écrit :

En toute logique : une démantèlement de google avec séparation de certaines activités afin de limiter la puissance de Google obtenue par le fait d’être de facto le “hub” le plus utilisé pour accéder au web.


Oui, pourquoi pas.
Par contre ça n’empêche pas la loi d’être idiote et qu’il n’est pas juste d’autoriser le racket de qui que ce soit par la presse, même si on la trouve très gentille.



Le 24/10/2019 à 08h 17

Ce qui m’ennuie dans cette affaire, c’est l’immoralité dont font preuve les journalistes, sans même s’en rendre compte. Ils croient sincèrement que Google ne travaille pas à faire son moteur de recherche et que s’ils n’existaient pas les usagers iraient d’eux-mêmes sur leurs sites.
Ce qui m’ennuie c’est qu’ils tentent de s’approprier un travail qui n’est pas le leur en accusant les autres de le faire en partant du constat qu’ils n’arrivent plus à monétiser leur activité (tout en continuant d’accuser les autres professions en crise d’être nuisibles en plus).
Personnellement je suis choqué.


Google va afficher la provenance des paroles de chansons

Le 19/06/2019 à 11h 12






N.AS a écrit :

Soit, mais cela n’incitera pas plus l’utilisateur a se rendre sur Genius par exemple (à l’origine du litige). Il n’y a aucune forme de compensation.

Genius accuse Google. Ce n’est pas pour ça que Genius a subi un dommage et ce n’est pas non plus pour ça que c’est nécessairement Google qui serait à l’origine de cet hypothétique dommage.
Si Google fait une enquête sur le sujet comme ils le prétendent alors ça me semble correct et responsable.




N.AS a écrit :

En gros, Google tire profit gratuitement du travail de plusieurs sites

Tu dis exactement l’inverse de ce que dit l’article qui reprend une déclaration de Google.
Le “En gros” est abusif, un “Malgré ce qu’ils en disent” serait plus adapté.
 



Emmanuel Macron s’attaque une nouvelle fois à l’anonymat

Le 21/01/2019 à 16h 57

On est dans la logique de recherche de verticalité, comme l’a parfaitement exprimé Macron lui-même. On le taxe de libéralisme alors qu’il est totalement dans une logique autoritaire depuis le début.
Sur le fond, nous savons justement que les fake-news se diffusent d’autant plus que le système d’information est unilatéral et centralisé, que l’exercice de la liberté d’expression est soumis à un système de licence.
Bon… Macron répète ce qu’il a entendu de toutes façons, il ne sait pas de quoi il parle de manière générale.


Le gouvernement juge « injuste » de conditionner la redevance à la seule détention d’une TV

Le 20/08/2015 à 10h 12

Les licences d’exploitation de fréquences dédiée à des contenus exclusifs n’a plus aucune légitimité. Les programmes peuvent être accessibles via internet, comme les autres. Il faut donc redistribuer les fréquences audiovisuelles à des opérateurs dont la neutralité doit être garantie.
Évidemment c’est tout un modèle de société qui change, notamment les élections qui ne pourront plus être manipulées de manière massive à moindre coût (il y aura manipulation, c’est structurel au scrutin de masse, mais elle devra être un peu plus fine pour toucher tout le monde).
 

 Aujourd’hui ils veulent nous obliger à payer la redevance, demain ils voudront nous obliger à regarder Pernaud.


One : l'ancien service de synchronisation de Canonical passe en open source

Le 12/08/2015 à 15h 55

Ben c’est ça ou c’est Google ou Microsoft. C’est quoi le problème ? Google, Microsoft… font les choses très bien, et que Canonical fasse la même chose ou s’abstienne, c’est du pareil au même. Pour être différent, et bien il aurait fallu faire quelque chose de différent: ils avaient l’avantage d’être l’OS lui-même des PC, ce n’est pas rien pour mettre en place des structures P2P.


Le 12/08/2015 à 15h 08

Ils auraient dû mettre en place un cloud P2P, basé sur les équipements de toute la communauté, avec un volume de stockage accessible calculé pour chaque utilisateur par rapport au volume de stockage qu’il aurait donné.