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bloossom

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942 commentaires

Le 16/06/2016 à 14h 16

hahaha je me suis arrêté à Trump, j’ai regardé la mangouste et depuis j’arrive plus à lire l’article sans pouffer. Je m’imagine assez aller le rencontrer à un de ses meetings pour obtenir ce Manglouton sur pokemon go.



Pour Zelda la DA à l’air très jolie, j’espère que la version sur leur future console lui fera honneur au niveau des détails techniques.

Le 15/06/2016 à 13h 08

Dur dur de ce décider par ces temps.

Je pensais upgrader ma GTX 680 avec une carte de cette génération bien qu’elle tienne encore bien le choc pour ma consommation de jeu vidéo basée sur du 1080. je me posais déjà la question de savoir si mon CPU n’allait pas brider une nouvelle carte, ou s’il ne fallait pas attendre la nouvelle technologie en matière de mémoire sur les cartes graphiques.



D’un point de vue évolution, les plus hautes résolutions semblent prendre le pas sur le 1080, et la VR, si elle arrive et qu’elle tient ses promesses demande aussi une grosse puissance de calcul, je pensais partir sur une 1080, mais celle-ci semble inutile pour ma configuration actuelle.



Dans l’absolu j’attendrais mais bon à un moment donné il faut se décider…

Le 14/06/2016 à 09h 27

Pourquoi as-tu un goût amer ? Serais-tu triste que d’autres joueurs que ceux de la Xbox puissent avoir accès à des jeux qui n’ont de raison d’être sur une plateforme que la stratégie marketing d’une entreprise? Rassures-toi tu pourra toujours y jouer.



L’exclusivité est une aberration utilisée par les fabriquants afin de forcer les joueurs à consommer plus de hardware. Tout simplement parce qu’ils n’ont pas d’autre moyen de se distinguer de la concurrence. Les jeux en exclusivité perdent simplement un public au profit d’un constructeur.

Le 14/06/2016 à 09h 22

Sans lâcher sur le contrôle qu’ils ont ça va être difficile de pousser UWP. je pense que les joueurs sont plutôt attachés à la diversité dont ils bénéficient sur PC. Par contre ils devraient arriver à en faire un concurrent de plus.

Le 14/06/2016 à 08h 09

Aïe!



Dans cette gamme de prix elle se place plus en concurrence avec les PC gamer moyen de gamme qu’avec les autres consoles. Le mouvement de Microsoft est d’autant plus intéressant. Est-ce que ça va bousculer tout l’écosystème à la fois PC et console?

Le 14/06/2016 à 07h 40

C’est vrai le gap va se refermer un peu. Par contre en 2017 cette nouvelle xbox embarquera à priori un GPU équivalent à celui du haut de gamme de 2015 un peut comme la xbox one à sa sortie si mes souvenirs sont bons. Donc je pense qu’on assistera plus à une mise à jour de la situation, mais ça va effectivement permettre un saut technique au niveau PC.



Après il reste beaucoup d’inconnues telles que le prix, la date de lancement précise, etc.



Le principal étant, comme tu dis une amélioration des conditions de jeu des joueurs sur xbox.

Le 13/06/2016 à 11h 59

Tu as tout à fait raison, il y a un intérêt légitime de chaque côté de la balance.

Le 13/06/2016 à 10h 40

Tout est question de mesure et de pondération. Après combien de temps l’information reste-t-elle pertinente pour le public? Est-ce que simplement radier le nom peut suffire? faut-il restreindre l’accès à l’information à celui qui en a vraiment besoin?



Faire faillite ça arrive, c’est embêtant, pas que pour le patron mais il y a un risque à entreprendre et on considère que faire faillite est normal dans la mesure où on n’a pas eu de comportement spécifiquement illicite. Jusqu’à quand doit-on en porter le fardeau? Ou jusqu’à quand est-ce que le public a besoin de savoir que la personne a fait faillite?



Après lorsqu’il s’agit de signer quelque chose ou de faire du business on a vite tendance à aller consulter sur internet avec qui on traite, et on tombe souvent sur des sites reprenant ces registres, ou nous menant à ces mêmes registres. Je pense donc que ça peut vraiment avoir un impact sur la capacité à lever des fonds plus tard.

Le 10/06/2016 à 12h 42

Nouvelle déviation du propos. il y a eu l’orthographe et maintenant une mauvaise comparaison où tu essaie de faire entrer la haine.



J’espère bien, mais c’est hors sujet, que quelqu’un te contredira si tes propos prônent le racisme ou ne sont pas fondés.



Pour le reste, je te prie de relire mes postes, dans lesquels je t’explique en long et en large pourquoi il n’est pas judicieux de tenter de décrédibiliser la démarche scientifique des auteurs d’un rapport commandé par le Conseil de l’Europe en prenant le prétexte que ces mêmes auteurs travaillent pour l’ISDC et donc perdent toute crédibilité parce que la Suisse n’est pas irréprochable en matière de droit de l’Homme.



D’ailleurs, qui, si aucun Etat n’est irréprochable, alors qui à tes yeux pourrait se permettre alors de prôner les droits de l’Homme? D’autant que le rapport, que je t’invite encore une fois à lire, reste sage sur ses conclusions et préfère se focaliser sur une comparaison.

Le 10/06/2016 à 11h 34

Une banque suisse. Ici le nom du pays est utilisé en tant qu’adjectif (comme un institut suisse d’ailleurs) et ne prend donc pas de majuscule.



Concernant

l’indépendance de l’ISDC, je t’invite à lire ses rapports, ainsi que la

législation s’y référant et tu verras que l’exécutif suisse n’a pas de

mot à dire sur le contenu scientifique des missions de l’Institut.



Mais je perds mon temps.

Le 10/06/2016 à 11h 23

Post en réaction au fait que c’était l’institut suisse de droit comparé qui a rédigé un rapport épinglant les pratiques de surveillance sans contrôle du pouvoir judiciaire d’Etats membres du conseil de l’Europe.



Tu sais très bien ce que tu voulais dire, et puisqu’on en est aux citations, tu peux aussi te référer à ton second post dans lequel tu explique que la comparaison effectuée dans le rapport est douteuse venant de la Suisse, ce à quoi plusieurs personnes t’ont répondu que ça n’était pas le propos, le rapport ayant été commandé par le Conseil de l’Europe à cet institut.



D’ailleurs personne n’a contesté le fait que la Suisse, comme tous les autres états n’est pas irréprochable en matière de droits de l’Homme. Comme je l’ai déjà dit, il n’y a pas de petite violation des droits de l’Homme, rien que des violations qui concernent tous les états.



Merci de ne pas me prendre pour plus bête que je ne le suis, je sais lire et même analyser le contexte d’une phrase afin d’en saisir le sens.



 Aie l’honnêteté d’assumer ton propos.

Le 10/06/2016 à 10h 15

ça n’est absolument pas ce que tu disais en premier lieu.



 Tu considérais que le travail comparatif d’un institut indépendant d’un membre du Conseil de l’Europe n’avait pas à être pris au sérieux sous prétexte que tu n’appréciais pas la politique de l’Etat membre en question, qui devait à ton sens être absolument irréprochable pour se permettre une critique (qui ici est légère, le rapport faisant avant tout un état des lieux)

Le 10/06/2016 à 10h 09

D’autant que le parlement suisse a voté ce printemps un crédit afin d’offrir une “compensation pour atteintes commises sur ces gens qui ont été placés.



A mon sens ça ne compense rien mais, fait assez rare l’Etat a reconnu que l’Etat à l’époque avait commis une erreur lourde de conséquences. ça a mené à un débat parce que de notre point de vue de 2016, ces pratiques paraissent horribles mais elles étaient très répandues (pas seulement en Suisse) à l’époque.



Philosophiquement c’est compliqué, à quel point sommes nous responsable des actions de nos prédécesseurs?



 

 

 

Le 09/06/2016 à 13h 40

Navré de réagir de manière aussi épidermique, mais je ne pouvais pas laisser discréditer le travail de l’ISDC parce que la Suisse pratiquait, entre autre, le secret bancaire.  D’ailleurs je t’invite à lire le rapport qui explique ce que le Conseil de l’Europe a demandé ainsi que la méthodologie utilisée dans le rapport qui reste relativement synthétique.



Comme tu le dis, aucun système n’est parfait, et je connais assez bien le système juridique et politique suisse pour savoir que celui-ci a des problèmes. Il y a par exemple également de fortes pressions afin d’offrir aux services de renseignement des moyens plus importants. Par contre je m’assieds sur toute critique non fondée qui s’apparente à du bashing contre lequel tu prétend lutter.



Le rapport de dérange-t-il? C’est une bonne chose, cela démontre que ce genre de pratique visant à surveiller massivement la population hors de tout contrôle judiciaire ne te laisse pas froid. Comme disait ma professeur lorsque j’étudiais les droits de l’Homme, il n’existe pas de “petite” violation. Chaque violation reste fondamentalement une violation. Il ne tient qu’à toi, en tant que citoyen de faire en sorte que lors d’une prochaine comparaison, la France se distingue par son respect des droits fondamentaux.



 

Le 09/06/2016 à 13h 12

Sans blague, cracher sur la Suisse alors que c’est l’institut suisse de droit comparé qui a fait une étude comparative? Bravo!



Cet institut bénéficie d’une grande indépendance, fait un excellent travail et a un rayonnement international. D’ailleurs de nombreux juristes travaillant en France viennent y travailler pour profiter des horaires et de la très bonne offre niveau bibliothèque.  une de ses missions est de faire des avis de droit relatifs au droit étranger lorsque l’Etat en a besoin.



En plus il y a beaucoup de juristes d’origine étrangère à la Suisse dans sa composition.



Ce document a été commandé par le Conseil de l’Europe, dont la Suisse est membre. C’est donc tout à fait légitime qu’on ait demandé à l’institut de droit comparé cette étude qui rentre parfaitement dans le cadre de ses institutions.



Après, et c’est hors sujet, c’est ton avis si tu est prêt à sacrifier un droit fondamental pour une sécurité hypothétique tout en te rassurant parce que chez les autres il y a aussi des problèmes (bien qu’à te lire il me semble que tu n’a aucune idée de la transparence au niveau de l’activité de l’Etat en Suisse), libre à toi.



En attendant, en Suisse c’est encore un juge indépendant qui décide de laisser les forces de l’ordre faire de la surveillance.

Le 10/06/2016 à 09h 05

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Le 09/06/2016 à 12h 08

Dans ce cas je m’incline devant tant de lassitude.

J’espère que tu trouvera autant de plaisir dans ton prochain hobby!

Le 08/06/2016 à 09h 33

Multi genre MMO ou plus globalement?



Parce que je trouve aussi qu’il n’y a pas grand chose du côté MMO ces temps. Je ne peux m’empêcher d’avoir de l’espoir pour la prochaine extension de Wow et je pense y retourner un peu mais j’ai été plutôt déçu par Warlords of Draenor. Il y avait de bonnes idées mais il manquait quelque chose.



As-tu essayé The secret world? Il&nbsp; est spécial et commence à dater un peu mais c’est très rafraichissant.



Sinon pour du pur multi j’avais pas mal d’à priori sur Overwatch et je l’ai un peu acheté pour voir mais j’ai eu une excellente surprise. Après je pense que soit on adore soit on déteste.



Enfin si c’est le fait de jouer en tant que tel qui ne t’amuse plus, alors il faut changer de hobby.

Le 07/06/2016 à 10h 55

Ils auraient mieux fait de mettre leurs efforts pour intégrer des serveurs vanilla de Wow dans leur offre.



Je me demande quand même: est-ce que ça intéresse vraiment des joueurs d’utiliser un login facebook ou de publier une vidéo de sa session de jeu sur FB? D’autant qu’il ne me semble pas que ça soit la plateforme par excellence pour streamer et que côté social l’outil amis de battle.net va déjà assez loin.



Attention c’est vraiment une question hein, ça ne semble pas correspondre à mon usage mais ça n’est en aucun cas une critique

Le 08/06/2016 à 13h 40

Intéressant ces micropaiements. C’est une réponse assez osée à ceux qui crient à la mort du financement des contenus internet.



Bon après on troque une régie de pub toute puissante pour une autre boite toute puissante. Et nos données continuent d’être aspirées.



Pour le reste je n’ai aucune pitié. Les publicitaires ont joué, gagné et pensaient&nbsp; (pensent) qu’ils peuvent imposer tout et n’importe quoi aux sites et aux lecteurs, mais maintenant c’est pour une fois les consommateurs qui peuvent un peu plus se faire entendre.

Le 08/06/2016 à 09h 40

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Le 07/06/2016 à 10h 17







clickux a écrit :



et ce terme “a-légal”, dans le genre novlangue c’est vraiment digne d’Orwell

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hahaha splendide! on en vient souvent à 1984, mais là, je trouve que ton analogie n’est pas usurpée du tout.


Le 07/06/2016 à 10h 13

Dans un Etat de droit, si l’Etat avait besoin de respirer alors il faudrait une loi pour le lui autoriser. Si l’Etat a besoin de surveiller, alors il faut une loi pour le lui autoriser. voici une définition de la notion.



Pour les particuliers la situation est inverse. Ils ont des droits fondamentaux et en principe l’Etat n’a pas à interférer dans la jouissance de ces droits. Donc pour les particuliers il faut une loi pour interdire.



Je le répète, dans un Etat de droit, le droit est la base et la limite de l’action de l’Etat. C’est comme ça qu’on garantit aux particuliers que l’Etat n’interférera pas hors cadre dans leur vie.

Le 07/06/2016 à 09h 44

Sérieusement?



a-légal? Vraiment a-légal? C’est quoi cette invention? Sématiquement, un a privatif implique que le mot qui suit ne l’est pas. Donc a-légal veut dire non légal, donc par définition illégal.



Contrairement à la morale, la loi trace une frontière assez stricte entre ce qui est légal et ce qui ne l’est pas. il n’y a pas de troisième catégorie d’actes qui ne sont ni l’un ni l’autre, “neutres légalement”.



D’autant que la limite de l’activité de l’Etat est bien sûr le droit. A l’opposé des privés, qui peuvent faire tout ce qui n’est pas illégal, le droit est la base et la limite de l’activité de l’Etat. Tout ce qui dépasse ce cadre et par définition illégal.



Ce genre de déclaration revient simplement à se moquer du monde en expliquant avec des mots inventés que l’Etat violait les droits fondamentaux des citoyens en toute connaissance de l’illégalité de son activité. il n’y avait (a?) donc tout simplement pas d’Etat de droit.



Ce comportement est proprement scandaleux, et j’espère que ça en fera réfléchir sur la nécessité des “besoins” en terme de sécurité (j’entends par là le sacrifice presque total d’un droit fondamental pour un hypothétique sentiment de sécurité).

Le 06/06/2016 à 17h 57

Pourtant si c’est même un des 3 pouvoirs qui composent l’Etat. Il est certes sensé être indépendant des deux autres. Par Etat j’entendais l’entité composée du pouvoir législatif, exécutif et judiciaire, et il est clair que la tâche en question revient au pouvoir judiciaire. J’ai peur de m’être mal exprimé…



&nbsp;C’est cependant un juge indépendant et impartial à qui on a confié la responsabilité d’établir quelle sera la réponse de la société aux actions de la personne en question. D’ailleurs la présomption d’innocence est une marque d’indépendance de cette même justice, qui ne se fait pas dicter son verdict.



Après il y a plusieurs conceptions philosophiques sur l’existence des lois, ainsi que le fonctionnement de l’Etat, mais on se base souvent sur l’idée que chaque membre de la société renonce à utiliser la violence pour se venger de ceux qui lui ont porté atteinte, et laisse à l’Etat le soin de punir celui qui l’a atteint.

Le 06/06/2016 à 13h 33

Bien sage est celui qui connaît l’histoire dans ses moindres recoins. A priori personne n’a encore idée de ce qui s’est passé ni de ce qui va se passer.



Si on était un peu sérieux on n’émettrait pas de jugement de valeur ni dans un sens ni dans l’autre quant à la moralité de cet individu ou de sa (pour l’instant prétendue aux yeux de la justice) victime (pour l’instant rien n’a été lancé juridiquement il me semble).



Le fait est que dans notre société, c’est à l’Etat qu’il convient de déterminer la culpabilité de l’auteur d’une faute, et que nous partons du principe que pour nous protéger de l’Etat c’est à lui de démontrer notre culpabilité. Il n’est donc pas faux considérer cette personne comme innocente jusqu’à preuve du contraire. D’autant que visiblement on ne sait rien de l’affaire ni des plaintes.





Après je te rejoins sur la victime, elle aussi doit être considérée comme innocente d’un faux témoignage jusqu’à ce que justice se fasse. Comme tu l’as dit, il n’y a aucune corrélation entre son image et son comportement au sein de l’entreprise.



Paradoxalement, la qualification de “victime” peut changer en cours de route et de procédure, suivant les faits tels qu’ils seront déterminés.





Pour terminer, je précise que je ne souhaite, par cette réponse pas défendre cette personne. Je suis juste très critique envers le fait de prendre, sur la base de si peu d’informations, parti pour l’un ou pour l’autre. Ce genre de comportement est répugnant, mais pour l’instant, il n’est que suspecté.

Le 02/06/2016 à 21h 15

Si l’électeur rationnel ne vote pas car le coût marginal d’un vote est trop élevé quid d’une situation où tous les électeurs sont rationnels? Dans ce cas personne ne vote mais alors le coût du vote devient raisonnable, ce qui inciterait l’électeur rationnel à voter…



Je suis cependant d’accord sur le fait que voter n’est pas une garantie de démocratie même si c’est un indice encourageant.



Au delà de la simple somme mathématique, le fait de voter sur un sujet permet au citoyen de s’impliquer dans l’orientation de la société, de prendre sa part de responsabilité et de repenser au contrat social qui le lie à la société. On accepte plus facilement une décision prise lors d’une procédure de votation digne parce qu’on sait qu’on a participé, gagné ou perdu et que les autres ont fait pareil et ainsi on se plie plus facilement aux règles.

Le 02/06/2016 à 10h 13

L’idée fait son chemin par exemple dans le domaine de la protection des données. La loi va prévoir un droit à la portabilité des données, permettant de demander à celui qui contrôle tes données de les transférer à un autre.



Les deux domaines ne sont pas identiques et il y a beaucoup de forces (occultes?) à l’oeuvre dans le droit d’auteur pour freiner toute adaptation du cadre juridique à internet, mais on peut tirer relativement aisément des parallèles.



Après c’est pas pour tout de suite c’est clair.



Pour la concurrence c’est à nous consommateurs aussi de faire valoir notre force en ayant une éthique lors de l’achat. être prêt à payer un peu plus cher pour un même jeu si la politique du distributeur nous embête. En tout état de cause l’existence de différentes plateformes est un gage de l’existence d’une (petite?) concurrenec

Le 02/06/2016 à 08h 55

En oui a mon sens c’est bien plus le coût du “contrôle qualité” des cartouches qui élevait les prix. Le support est cependant bel et bien un surcoût (inutile?). La vraie chose que l’on achète est le travail créatif des développeurs, tout le reste (support, distribution, royalties de la plateforme) ne vient que s’ajouter à la note.



La seule façon de limiter ces coûts et d’empêcher que les intermédiaires en profitent intégralement (un jeu dématérialisé venu au prix d’un jeu en version physique par exemple) est la concurrence. Pouvoir faire ses achats sur plusieurs plateformes dans des formats indépendant des intermédiaires, c’est ça que devraient soutenir les joueurs plutôt qu’une marque qui les enferment dans ses exclusivités et es contraintes techniques.

Le 01/06/2016 à 21h 46

Mouais c’est pas avec ce genre d’annonce que je vais me décider ni à sauter le pas, ni à choisir entre Sony ou Microsoft. Encore plus aujourd’hui il est très très sage d’attendre et de voir comment le marché va évoluer entre versions évoluées et tentative de Microsoft de rentrer avec une vision “console” des choses sur le marché du jeu PC.



D’autant qu’en fait je l’achèterais pour une ou deux exclus et je déteste ces pratiques ignobles saluées par le public visant à nous faire acheter du hardware pour rien…



&nbsp;wait and see comme on dit.

Le 31/05/2016 à 12h 48

Sauf erreur de ma part ces articles transposent la directive 9546, interprétée par la CJUE comme incluant le droit à l’oubli. Par contre je ne retrouve plus à quel article précis la directive rattache le droit à l’oubli, et donc à quel article transposé elle se rattache. Peut-être l’article 40?



En définitive dans chacun des cas le fondement devrait rester le même bien que la pesée des intérêts puisse diverger.

Le 31/05/2016 à 12h 00

L’analogie est quand même scabreuse. Gravité différente, personnalité

publique ou non, bref intérêt public différent à obtenir l’information

contre un intérêt privé différent également. D’ailleurs c’est la

position de la justice. Il faut tenir compte du cas concret pour peser

les intérêts divergents, et l’intérêt public peut être très fort.



Après effectivement je pense que l’intérêt public qu’est la liberté d’expression est plus important que celui de ces deux personnes à être laissées tranquilles. Je trouve légitime que le journal en question ait refusé d’effacer ces données. Cependant, est-ce que l’intérêt de retrouver, pour chacun en page une de son moteur de recherche ce lien alors qu’on ne l’a pas demandé est aussi fort? C’est bien parce que l’info n’est plus utile pour une écrasante majorité du public qu’on peut considérer comme justifié de laisser ces gens tranquilles.



Enfin le droit pénal, malgré tout ce qu’on peut entendre, à resocialiser celui qui s’est mal comporté. Le but est de réintégrer dans la société celui qui a commis une faute, ce qui est impossible sans oubli, une fois que l’affaire n’a plus de raison de continuer à exister.



Peut-être que 10 ans c’est trop peu, peut-être qu’imposer à un journal d’effacer des archives est disproportionné, mais c’est différent du référencement et à un moment donné, la simple curiosité (malsaine?) ne constitue pas un intérêt supérieur à celui d’être laissé tranquille.

Le 31/05/2016 à 11h 40

effectivement c’est plus judicieux de faire les deux. D’ailleurs certains sites se chargent de demander eux-même le déréférencement des informations qu’ils stockent.



Après effacement du site et déréférencement sont deux choses différentes, résultant de deux pesées d’intérêts différents dans chaque cas. Peut-être que le déréférencement aurait été accepté?



&nbsp;

Le 31/05/2016 à 09h 38

J’imagine que ce genre d’information doit être un bien grand boulet au pied de celui qui veut continuer de travailler dans la branche.



Quid de la demande de déréférencement aux moteurs de recherche? Comme pour l’arrêt C-13112 ça doit être bien plus le fait d’exposer cet archive en première page lors d’une recherche que l’archive en elle même qui poser problème à ces personnes.



&nbsp;







Alain EtCo a écrit :



Mouaip…&nbsp;

Les mecs ont fait une connerie et maintenant que ça leur colle aux basques ils voudraient remettre le compteur à zéro.



C’est ce dont rêvent tous les politiques de touts bords non ?&nbsp;

Qu’on puisse effacer de la presse leurs condamnations, implications, et aussi très (trop) souvent, autres preuves d’incompétences.

&nbsp;





C’est effectivement la question: jusqu’à quand la connerie pour laquelle t’as payé devant la justice doit te coller aux basques? Est-ce que 10 ans après la punition on n’a pas le droit d’être laissé tranquille et reprendre sa vie?


Le 31/05/2016 à 12h 14

Pour les droits moraux je suis d’accord avec toi, ce sont ces droits qui sont les plus importants, mais souvent les moins bien protégés.

&nbsp;

Je suis aussi d’accord avec toi concernant l’évolution du droit d’auteur. L’essor commercial de la culture, ainsi que l’augmentation des moyens

nécessaires à la production d’une certaine partie de la culture (au sens

large) ont effectivement dénaturé le but du droit d’auteur. On a eu droit à des législations d’exception en matière de durée comme tu dis, ou des tentatives de restreindre le domaine public.

&nbsp;

Le médium a changé soit. Mais la question est alors contractuelle. quid des changements, quid des adaptations? existe-t-il une clausula rebus sic standibus? On peut tout à fait réviser un contrat à certaines conditions (qui ne semblent pas avoir été retenues ici).



Dans le cas de Tolkien la (trop grande à mon sens) durée de protection ne lui aurait pas plus servi, puisqu’il a fait l’erreur de céder ses droits (a priori ça n’est pas toujours une erreur) dont la longue durée a servi à l’acheteur qui en fait un usage commercial pour le moins intensif.



J’ai le sentiment que nous sommes du même avis sur le fonds mais je crois que je suis un peu tatillon sur le cas particulier.



Edit. Merci pour le lien ! Pour le silmarillon il reste un peu d’espoir et attendre 2043 et l’entrée dans le domaine public de l’oeuvre de Tolkien (si les lobbies n’ont pas réussi à rallonger la durée de protection d’ici là)

Le 30/05/2016 à 13h 05

Pourrais-tu me donner la source de cet écrit de Victor Hugo? Non pas que je doute de sa véracité mais je m’intéresse beaucoup à la propriété intellectuelle et je n’avais pas encore croisé ce texte.



C’est vrai qu’actuellement tant l’évolution technique que les modèles économiques incitent à repenser ce système qui, je le trouve aussi mène à des abus. Le pire étant à mon sens la durée de 70 ans post décès de l’auteur qui est amplement suffisante pour tirer des revenus de l’oeuvre, ce qui est une bonne chose mais cause la disparition de nombreuses oeuvres bloquées par l’ayant droit qui sont oubliées et disparaissent de la société.



Par contre pour le seigneur des anneaux plusieurs éléments semblen à relativiser ce qui me fait plus penser que c’est un fâcheux concours de circonstances qu’un exemple des faiblesses du droit d’auteur.



Les droits ont étés vendus par l’Auteur. c’est en effet possible puisque ce genre de cession est un moyen de valoriser son oeuvre, et donc d’en obtenir un revenu. Par contre, bien que je n’ait pas vu le cas concret, en principe on ne peut céder plus de droits qu’on en a. Si Tolkien avait assorti de contraintes la cession des droits, alors le studio en question ne peut théoriquement céder ce même droit sans contrainte.



Concernant les films et les jeux vidéo, dans la mesure où le droit a été cédé, alors le nouveau titulaire de ce droit peut faire ce qu’il veut de ce qui lui a été cédé (jeux-vidéo ou films) dans la mesure où les droits moraux de l’auteur ne sont pas violés.



Pour répondre à ta question: le droit d’auteur protégeait Tolkien lorsqu’il a cédé les droits cinématographiques. grâce à ça il a pu valoriser son oeuvre. Peut-être qu’il n’était pas opportun de céder les droits tels que ça a été fait, mais pour ça on ne peut pas blâmer le droit d’auteur.&nbsp;



Je ne fait cependant qu’émettre des hypothèses n’ayant pas le cas sous les yeux.

&nbsp;

Le 27/05/2016 à 14h 14

un gros plus un pour les langues. C’est absolument inadmissible de limiter les langues lorsqu’elles sont disponibles. Une nouvelle combine pour créer segmenter artificiellement le marché et empêcher la concurrence.



D’autant que par exemple, une version par exemple anglaise sous titrée anglaise peut vraiment apporter un plus à l’apprentissage de la langue…



Pour le reste même si il y a des progrès les pratiques en matière de streaming légal sont abominables entre retraits, accords et limitations par pays…

&nbsp;

Le 27/05/2016 à 06h 19

Et dire qu’on attend des sociétés privées une transparence presque totale sur des données parfois beaucoup plus sensibles…

Le 25/05/2016 à 13h 23

Aaaaand it’s gone!



Ce genre de cas montre que des promesses de gros rendements virtuels valent des fois moins que les fonds réels des investisseurs. Cependant,&nbsp; je ne suis pas opposé à l’idée de vouloir faire fructifier son argent, et souvent pour y arriver il faut prendre des risques comme pour ce hedge fund.

&nbsp;

Après dans le monde globalisé dans lequel on vit, c’est très difficile de dire que tel revenu est taxable par tel pays, surtout lorsque les compagnies sont structurées hiérarchiquement. Google france, filiale de Google Inc. n’a pas développé le moteur de recherche google et a pour activité de prendre des contactes avec les publicitaires pour vendre de l’espace publicitaire, si possible ciblé. Il est normal qu’elle reverse quelque chose à Google Inc. qui rentabilise sa recherche et son développement. Si cette société est à l’étranger, alors ce coût pour Google France ne doit pas être taxé par la France.&nbsp;



Il y a un point d’équilibre à trouver. Par contre, je ne comprend pas comment une société qui doit dépenser des fortunes en conseil juridique n’a pas vu venir le fait que l’Etat la considérait comme un établissement stable, et donc modifiait sa taxation. En Suisse par exemple Google aurait demandé à la justice à l’avance si google suisse était un établissement stable ou non.

Le 25/05/2016 à 09h 27

Loin de moi l’idée de défendre google, mais à vrai dire si l’éthique de ce comportement ne convient pas au consommateur, celui-ci peut montrer sa colère en boycottant l’entreprise en question par exemple au même titre que pour des questions d’éthique avec les employés ou pour l’environnement.



Les questions de fiscalité internationale sont loin d’être simples, bien qu’au vu de la faible taxation de Google en France on a le sentiment que la taxation n’est pas équitable dans l’attribution des profits, mais cela ne justifie pas encore qu’il ne faille pas répartir ces profits. Si la filiale de Google titulaire du brevet sur le moteur de recherche n’appartenait pas à la même compagnie, les gens auraient une lecture différente de la situation.



Ce qui me sidère par contre c’est le fait qu’a priori aucun ruling n’a été fait sur l’existence d’un établissement stable. Comment Google peut-elle être restée dans cette incertitude? Surtout vu la différence de taxation qui en découle. Si la qualification d’établissement stable coûte 1.6 mia, la moindre des choses est de demander à l’Etat de constater qu’il n’y en a pas.

Le 25/05/2016 à 09h 40

Haha c’est moi ou la convention relative aux fonctionnalités de stockage est une belle combine pour s’approprier et brider complètement le fournisseur de service en lui imposant ce qui faut de contraintes?

Le 24/05/2016 à 14h 15

Sait-on si cela concerne les échanges au sein de l’UE, et dans ce cas on est sur la bonne voie avec l’arrivée du nouveau règlement, ou si c’est destiné au reste du monde?



Parce que si c’est destiné à faire passer le Privacy Shield c’est assez étrange. Les principes fondamentaux de l’actuelle comme de la future législation veulent protéger la libre circulation des données ET la vie privée. A moins que ces pays n’aient pas participé à l’élaboration de la nouvelle réglementation (qui reprend le principe de protection équivalente comme condition à l’externalisation des données), je trouve très bizarre que soudain le côté économique prime.



J’aime bien l’idée de safe harbour, car elle simplifie la situation pour les pays respectant la vie privée tout en incitant les entreprises à crypter ou protéger leurs données pour se simplifier la vie.

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Le 20/05/2016 à 15h 07

C’est vrai en terme de théorie économique du droit tout litige a un coût et une probabilité de perte, qui peut être converti en risque et donc permettre de procéder à un choix économique. On peut mitiger ce risque en se renseignant par exemple, on peut aussi obtenir une aide financière si on n’en a pas les moyens, ainsi qu’obtenir un dédommagement en cas de réussite.



Le problème est que l’insécurité juridique ne découle pas uniquement du fait que la loi soit générale et abstraite. Trop de loi et, comme tu l’a dis on a des exceptions d’exceptions incompréhensibles. Voir même pire on peut avoir des trucs très arbitraires. C’est la même chose avec trop peu de loi.



Il faut un contenu normatif juste, qui est précis lorsqu’il faut être précis, dans les définitions ou les conditions tout en laissant au juge le soin d’agir avec justice, donc s’intéresser au cas particulier en rendant une décision qui ne sera formellement destinée qu’au particulier. Chacun de ces éléments sont importants pour former un cadre juridique complet, toujours en mouvement comme la technologie.



Tant mieux que Google ait pu faire valoir sa voix. On aura une décision qui s’appliquera a google et qui précisera la situation pour tous les petits acteurs sans qu’aucun d’entre eux n’ait à être inquiété par la justice parce que la question aura été traitée.



&nbsp;Il n’y a pas non plus des immenses blancs dans la législation permettant à n’importe quelle autorité de faire n’importe quoi. Les choses sont assez claires. Le droit à l’oubli pouvait être déduit de la loi, et existait déjà avant internet. La question plus spécifique de l’étendue du déréférencement est déjà plus particulière, et il était aussi prévisible que la CNIL amende google parce que la justice française tend à se considérer comme globalement compétente dans ce genre de cas.



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Le 20/05/2016 à 12h 59

Fondamentalement la loi est faite pour être générale et abstraite. Le juge lui rend des décisions précises et concrètes. Cela n’empêche naturellement pas que la loi contienne des définitions juridiquement précises.



Il y a certes une pratique législative qui tend à faire des lois fleuves en voulant s’occuper des cas précis à la place du juge, souvent avec une nauséabonde odeur de lobby derrière. C’est justement créer une loi trop précise que de légiférer avec des exceptions et exceptions des exceptions.



Concernant le droit d’auteur, je pense que tu confonds la situation juridique telle qu’elle est avec tous les projets, idées et autres joyeusetés qui sont pondues par les lobbies ou les politiciens.



Un exemple: Google, dans l’affaire en question ne s’est pas battu de toute ses forces sur sa qualification de contrôleur de données. Pourtant, si elle manquait, la directive 9546 n’aurait tout simplement pas pu lui être applicable. La raison est que, bien que certes très vaste, la qualification de contrôleur est suffisamment précise pour pouvoir adapter son comportement.



Enfin, je persiste, mais une définition qui serait considérée comme absolument technique et précise ne résoudrait en rien l’insécurité juridique. Les TIC se développent toujours à toute vitesse, et restreindre un critère à une pure notion technique rend la loi impossible à appliquer ne cas d’évolution de l’Etat de l’art.

De plus, pourquoi la loi devrait coller avec la technique? On peut très bien avoir des situations techniquement différentes, mais qui, pour le monde séculier de l’internaute moyen sont identiques. L’insertion de contenu d’autres sites dans sa page en est un bon exemple. L’internaute n’a aucune idée qu’il s’agit de contenu tiers et le considère comme du contenu de la page alors que techniquement cette vision des choses est erronée.

Le 20/05/2016 à 06h 13

D’un point de vue protection des données le droit ne propose pas de définition d’hébergeur mais de contrôleur de données personnelles.



C’est vrai la notion est autonome et englobe tous ceux qui traitent de manière automatisée des données personnelles.



On peut bien sûr discuter de l’usage qui est fait des définitions mais souvent les législateurs vont faire exprès de ne pas coller aux définitions techniques de peur que le développement fulgurant des technologies de l’information ne rende la loi inutile. L’avantage est l’adaptabilité, le désavantage le manque de prévisibilité car le critère doit être précisé par la jurisprudence.



D’ailleurs on peut se demander si le juridique doit nécessairement coller au technique. Que le législateur et le juge comprennent les faits du cas qu’ils ont à traiter y compris dans ses détails techniques est essentiel mais est-ce que la loi doit s’en préoccuper?&nbsp; Pour caricaturer beaucoup c’est comme si le meurtre avait été défini par le législateur il y a longtemps comme le fait de mettre une flèche dans une autre personne. avec une arme à feu le résultat est pareil mais la définition technique aurait dû être modifiée avant de le prendre en compte.

Le 19/05/2016 à 21h 18

hahaha excellent le dernier paragraphe

Le 19/05/2016 à 21h 06

Arrêt C-13112



Prenez la peine de lire l’arrêt en question. Bien qu’il soit plutôt long il est accessible pour les non juristes.



Vous comprendrez ensuite que le traitement fait par celui qui héberge les données ou celui qui fournit le contenu constitue un traitement de données personnelles soumis à la législation les protégeant. Google, en proposant des listes de résultats organisées traite également des données personnelles.



Les deux situations sont différentes. Dans le cas en question, la suppression était trop proche de la censure pour que le quotidien efface les données de ses archives, mais le déréférencement ne gênait pas les gens ni google suffisamment pour nier à Monsieur Gonzales son droit à la vie privé et à être laissé tranquille. La Cour a aussi considéré qu’avoir un article au fonds de ses archives et pas mis en avant sur le site est moins une atteinte à la vie privée que fournir un lien y menant directement lorsqu’on tape le nom de la personne dans le moteur.



L’arrêt se tient et est solide sur ses bases juridiques. C’est neuf dans le domaine d’internet mais le concept de droit à l’oubli est beaucoup plus vieux.



Il ne faut pas confondre le droit à l’oubli avec l’utilisation qui en est faite par la CNIL notamment qui exagère (mais c’est la tendance française en matière d’internet) et veut étendre sa juridiction à tout internet. On verra ce qu’en dit la Cour. Je considère personnellement que la solution de google était satisfaisante.



La suppression à la source est bien pire que le déréférencement et s’apparente, elle à une censure.

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Le 20/05/2016 à 09h 52

Est-ce qu’il dépassera shogun 2 ? je sais pas si c’est le style avec les estampes mais je trouve ce jeu extraordinaire et j’ai encore de la peine à passer à la suite.



En tout cas Total war c’est une valeur sûre malgré les DLC. Après si ils sortent des races qui se différencient bien et ne sont pas des simples skins, pourquoi pas investir dedans.

Le 19/05/2016 à 16h 37







athlon64 a écrit :



C’est pas étrange, le droit Européen prévalant sur le droit national. En faisant pression directement sur l’UE, ils espèrent que ca devienne effectif pour touts les pays de l’UE (si j’ai bien compris la facon dont fonctionne l’UE)









vizir67 a écrit :



je pense que c’est une façon de dire à Bruxelles* :attention …le DA est TRES&nbsp; important en France ne faites pas “n’importe quoi” avec votre loi (en prévision) ne soyez “pas trop sévères” avec nos AD !!!



une façon “de couper l’herbe sous les pieds” en prenant les devants

AVANT même que Bruxelles n’ait sorti sa loi, comme ils devinent qu’elle NE leur sera PAS favorable !



* sous la pression des AD





Soit mais du point de vue de l’UE c’est assez étrange de se dire “ah tiens la France nous fait une recommandation pour serrer la vis par rapport au droit d’auteur. Prenons en note” tout en se disant “ah tiens le législateur français n’a pas encore ratifié dans son droit interne les principes qu’il soutient pourtant au niveau européen”.



Je ne me fait aucune illusion quant à l’idée de faire pression il n’y a qu’à voir comment certains élus ont accueilli le rapport Reda pour dire que les élus français feront des pieds et des mains pour conserver leur cher droit d’auteur.



Je trouve cependant que le signal aurait été plus fort si la situation était déjà réglée au niveau national.



D’autant que c’est pas comme si un état membre du poids de la France avait besoin d’une proposition de résolution pour se faire entendre à Bruxelles. Y aurait-il un texte imminent hors de la procédure habituelle qui justifie de faire pression sur le travail législatif européen?



Plus spécifiquement est-ce que cette proposition est un simple renâclement ou est-ce que ça cache quelque chose d’autre?


Le 19/05/2016 à 09h 39

Attention je ne suis pas optimiste en ce qui concerne les abus relatif au droit d’auteur. le truc est trop bien ficelé avec des traités internationaux et des lobbies. par contre, là où j’ai de l’espoir c’est que l’UE est intransigeante sur les libertés de circulation et que le droit d’auteur est une des dernières barrières à cette même circulation.



Par contre je trouve très étrange de vouloir faire pression sur l’UE sur certains points avant même que le législateur national ait pris position à son niveau…



Enfin je rêve un peu mais peu importe la quantité de soutient institutionnel, à un moment donné le modèle actuel sera obligé de changer, car les titulaires et la nébuleuse qui les entoure ne pourront pas refuser de voir évoluer la société.