Quand on aura compris que la proportion de connards, de malhonnêtes et de génies est à peu près la même partout, dans tous les pays, tous les milieux, et que ce qui change se situe au niveau de l’individu, selon son histoire personnelle, et qu’en conséquence il est absurde de vouloir coller des qualités ou des défauts à un groupe de population donnée, on aura fait un énorme progrès dans la compréhension de la société.
Les salauds et les ordures sont partout. Du petit con qui va tabasser quelqu’un pour lui piquer 10 balles, jusqu’au cynique dirigeant d’entreprise réduisant des gens en esclavage pour faire plus de pognon. Ce sont ces parasites de la société qu’il faut attaquer, chacun avec les mesures appropriées.
Construire une société viable ce n’est pas ce qu’on fait actuellement.
Le
10/07/2017 à
15h
55
Ah mais depuis le début Faith charge les consommateurs clients…
Le
10/07/2017 à
15h
38
L’acharnement à faire porter à une seule des parties impliquée la totalité des responsabilités est d’une telle malhonnêteté intellectuelle qu’il faut bien une comparaison choquante pour que cela cesse.
Après d’un point du vue strictement logique, la comparaison n’est pas vraiment satisfaisante, le consommateur d’un produit ayant plus de marge de manoeuvre que la victime d’un viol.
Mais personne n’envisagerait de déresponsabiliser le violeur, or tu veux déresponsabiliser les dirigeants d’entreprises.
Le
10/07/2017 à
11h
23
La technique du retournement du discours est bien rodée.
Une entreprise n’est pas un couteau. Ce n’est pas un objet neutre. Si tu tiens à ce que cela le soit, alors parlons des personnes qui les dirigent, celles qui tiennent le manche.
Il est confortable de rejeter toute la responsabilité sur les seuls consommateurs. Quand j’évoque la volonté des idéologues du consumérisme, tu éludes la question, alors qu’elle est fondamentale.
Le libre arbitre intégral est une vue de l’esprit. Chacun, à sa place, doit composer avec des contraintes, et avec des ambitions / convictions. C’est ce mélange qui déclenche nos actions.
Ta théorie serait que les consommateurs seraient seuls responsables des pratiques des entreprises, comme si celles-ci n’étaient qu’un reflet des actions des consommateurs. C’est pour le moins fumeux et contredit par des décennies d’activité économique.
Le
10/07/2017 à
10h
33
Innocents véhicules, totalement neutres et pas du tout dirigés par des personnes bien humaines, n’ayant strictement aucun rôle dans la perpétuation des comportements consuméristes qui les enrichissent, bien entendu.
L’idéologie du consumérisme nécessite de convaincre le consommateur qu’il a du pouvoir alors que c’est faux. Poussée à l’extrême, cette logique permet même de lui attribuer les responsabilités des dirigeunts économiques. C’est du pur génie.
Le
10/07/2017 à
09h
48
Il y a de beaux hôpitaux se moquant de la charité dans le coin.
Le
10/07/2017 à
09h
32
L’argent est virtuellement illimité peut-être, mais les ressources nécessaires à la fabrication des biens dont jouissent les très riches ne le sont pas. Les maisons, voitures, avions, biens divers et variés ont un impact sur la consommation de nos ressources.
Le
10/07/2017 à
08h
52
Pas de complot non.
Juste un état de fait : nous payons trop cher certains services puisque les dirigeants des entreprises concernées peuvent être rémunérés des sommes folles. Les bénéficiares de cette situation en sont bien contents, et contribuent à pérenniser la chose.
Mais si on réfléchissait un peu, on pourrait organiser autrement tout ce bouzin.
Aucun problème pour payer un bien ou un service un peu plus que son coût de fabrication, ça permet au vendeur de vivre, ça paye son travail, nickel. Quand en bout de chaîne il y a un amas de milliards, non, là ça ne va plus. La machine tourne mal. Ces ressources manqueront forcément ailleurs dans l’économie.
Le
10/07/2017 à
08h
47
Déjà, tout le monde n’a pas à manger, ce qui est effectivement le minimum non satisfait.
Mais par ailleurs, même si tout le monde vivait correctement, cela signifierait quand même que ces concentrations de richesses se sont constituées par des millions de prélèvements, qui auraient pu être moindres pour le péquin lambda. Que des tas de gens se fassent avoir avec le sourire ne rend pas la chose plus acceptable. Quant à la publicité qui fait la fortune de Facebook et autres, c’est l’un des procédés d’extorsion de fonds les plus habiles qui soient. La publicité, c’est le vol de Pierre qui se fait accepter en filant une poignée de services à Paul.
Et surtout, SURTOUT, dans un monde aux ressources limitées, octroyer des niveaux de vie démesurés et gaspilleurs de ressources est une aberration écologique.
L’extrême richesse est une plaie aussi pour la préservation de l’environnement. Quand on sera au rationnement forcé des ressources après une troisième guerre mondiale dévastatrice, on repensera au gaspillage actuel et on trouvera ça indécent.
Le
10/07/2017 à
08h
02
Non mais sérieux.
Ouais, à 23h14 et sur un téléphone, je ne prends pas le temps de pondre un pavé répondant point par point à tes arguments idéologiques. J’aurais pu prendre le temps de le faire maintenant mais je vais me reposer sur l’épaisseur de la contradiction d’ActionFighter, qui a déjà dit l’essentiel, et te laisser avec tes certitudes sur les aspirations de l’humanité.
Le
09/07/2017 à
21h
14
Donc les responsables ce sont les gens, ces salauds de pauvres qui font n’importe quoi avec l’argent des banques. Lumineux.
Le
09/07/2017 à
20h
31
Deux questions auxquelles il serait utile d’essayer de répondre de manière cartésienne, sans impliquer nos convictions personnelles.
Quel est l’intérêt, froidement, pour la société humaine, qu’une minorité concentre une part de richesses phénoménale ? Qu’est-ce que ça apporte à la société ?
Comment sont constituées les concentrations de richesses ? C’est-à-dire, d’où provient l’argent, QUI le fournit en bout de chaîne ? Quel coût, et pour QUI, pourrait être réduit si ces concentrations de richesses étaient plus modérées ?
Si je chausse à nouveau mes convictions personnelles : l’impôt mériterait sans doute des tas de réformes techniques, sous toutes ses formes. Cependant son motif, la raison de son existence demeure justifiée : face aux ponctions démesurées faites dans les ressources de l’économie par des grandes fortunes, des actionnaires rapaces, des parasites de la bourse, etc. , l’impôt reprend une part des sommes confisquées par les dirigeants du pouvoir économique.
Le train de vie des grandes fortunes est une gabegie irresponsable, et les sommes confisquées par cette minorité manquent cruellement à la majorité. C’est NOTRE argent qui est confisqué par les super-riches. Celui qu’on donne quand on achète des produits. Le client qui s’endette pour acheter une Renault™ finance en partie les émoluments démesurés de Carlos Ghosn - exemple reproductible à l’infini.
Il ne s’agit pas de tout niveler vers le bas, et donner des cacahuètes à tout le monde. Il faudra bien pourtant faire preuve de bon sens, et comprendre que saigner l’animal pour nourrir à l’excès une minorité pendant que les autres souffrent ou crèvent, ça n’est tout simplement pas tenable.
Le
08/07/2017 à
21h
35
Ah donc c’était bien les gens comme Microsoft ?
Ou tu fais juste la petite analyse de comptoir qui consiste à prendre un cas avéré de fraude inacceptable pour le monter en épingle et en attribuer le tort à tous les gens ayant un autre point commun avec les dits fraudeurs ?
Qu’il y ait des individus malhonnêtes, je n’ai aucun mal à le concevoir.
Jusqu’à preuve du contraire je n’ai encore vu personne soutenir le droit à la fraude.
En revanche, conditionner le traitement qu’on doit accorder aux gens sur la base du comportement d’autres personnes ayant une caractéristique commune, mais non-corrélée au comportement à juste titre condamné, là j’ai du mal à saisir la logique.
Tu parles donc des super-riches qui pratiquent l’évasion fiscale ?
Les exemples pertinents que tu donnes montrent que ces abus sont généralisés.
Par ailleurs la priorité, dans le domine de la publicité, serait déjà de faire comprendre au public que la gratuité soi-disant permise par la réclame est un leurre, et qu’en réalité on paye pour tout, sans le savoir.
Le
15/06/2017 à
08h
08
C’est le problème du sens des mots, de leur usage courant et du sens qu’on voudrait y mettre.
J’appelle de mes voeux un autre usage du terme “publicité”, qui dans d’autres emplois n’a pas du tout le même sens. Rendre public un fait c’est lui donner l’état de publicité, un peu comme les notaires déclarent leurs actes de vente aux services de la publicité foncière : le statut de propriétaire foncier est public. Ce n’est pas de la réclame pour autant.
De même, “communication” est souvent employé par les propagandistes pour désigner leurs activités de réclame, tu soulèves donc un autre problème de vocabulaire.
On doit contester l’appropriation du mot “publicité” par ces gens, comme on conteste d’autres appropriations, par exemple en politique, quand des fascistes essaient de voler des concepts républicains.
Appelons réclame, propagande, ou autre mot, ce harcèlement permanent que nous payons de force sans en avoir le choix ni même la connaissance. Et exigeons de savoir combien part dans la réclame quand on achète un produit. Ça devrait être sur les étiquettes.
Le
14/06/2017 à
19h
52
Le premier pas c’est d’arrêter de dire que c’est gratuit. Ce n’est pas gratuit.
Le
14/06/2017 à
18h
35
Ce qu’on appelle aujourd’hui “publicité” porte très mal son nom.
C’est plutôt de la réclame, de la propagande, de la mercatique… mais pas une simple et neutre démarche de publicité, c’est à dire de rendre public un fait, en l’occurrence l’existence d’un produit.
Une vraie “publicité” ce serait une annonce neutre.
Par exemple : “la marque Canard WC met sur le marché un produit nettoyant utilisant une formule en gel dont le fabricant estime qu’elle améliore l’efficacité du lavage en détruisant 99% des bactéries”.
Les fabricants ne devraient pas faire payer leurs clients pour de la réclame.
Je n’ai pas encore d’idée suffisamment construite de ce que devrait être une publicité neutre, mais la forme actuelle est une nuisance coûteuse.
Le
14/06/2017 à
10h
49
Le point essentiel, c’est qu’on paye déjà ce que la pub prétend offrir. Arrêtons de croire au “gratuit”, et réclamons de savoir pour quoi on paye, et combien.
Ça aidera beaucoup la réflexion.
Le
13/06/2017 à
18h
01
Il faudra bien qu’on apprenne un jour à sortir de la pub.
La pub est un virus qui pollue la société tout en ponctionnant des ressources pour rien, et nous fait croire qu’elle rend les choses gratuites alors qu’elle nous les fait payer en différé.
Nous payons déjà les chaînes pour enfants lorsqu’on achète les produits qui passent dans leurs pubs. Ces chaînes privées “gratuites” ne sont pas gratuites. On rend leur paiement indolore en le différant.
Je préfèrerais payer directement un abonnement, et ne plus subir la propagande consumériste. En plus ça éviterait de nourrir les sangsues parasites que sont les publicitaires.
Je plussoie sur les méthodes de fixation des prix chez Leclerc : dans celui près de chez moi, les produits reviennent moins chers à l’unité qu’en quantité, bien qu’ils soient présentés comme “prix spécial”.
Globalement ils serrent quand même pas mal les prix, mais jouent à fond sur les mécanismes d’achat automatique via l’illusion de faire une bonne affaire.
Je vois de belles méthodes de débat, vous êtes formidables les enfants.
Le principe de l’annonce d’une potentielle rencontre physique avec son interlocuteur dans le but de faire changer ses propos m’a toujours étonné. Vous trouvez vraiment ça crédible ?
En gros, “j’aime trop pas comment tu m’as mal parlé, viens-y le me dire en face pour voir si t’auras toujours les couilles” devient un levier dans l’argumentation, et l’éventuelle intimidation physique fait partie d’une discussion construite. Époustouflant.
Vous avez les politiques que vous méritez mes pauvres enfants.
On peut alterner bépo et azerty, c’est comme être bilingue du clavier.
À défaut d’avoir un vrai bon clavier au travail, l’habitude héritée de près de 30 ans d’azerty me sauve. Mais le bépo est indéniablement supérieur en termes de confort et de pertinence quand on écrit en français et qu’on respecte l’orthographe.
Trop de textes européens sont écrits par des idéologues du marché libre, au détriment des droits humains. Mais ces auteurs ne sortent pas de la planète Vulzor, ce sont les états qui les envoient. La vraie question est là : qui envoyons-nous, pourquoi toujours la même idéologie ?
Quand j’estime que le mp3 n’était pas pleinement vivant malgré sa très grande propagation, c’est parce qu’il était verrouillé par son statut, qui empêchait notamment les distributions linux libristes pures de comporter les librairies d’encodage dans ce format. Désormais, il n’est plus entravé, le mp3 peut vivre pleinement.
Le
18/05/2017 à
16h
25
Étrange réflexe d’annoncer sa mort alors que s’il n’est plus propriétaire, ce format pourrait justement commencer à vivre pleinement !
Teuteuteu. La vie n’est pas une lutte sanguinaire.
La vie se démerde par tous les moyens possibles pour subsister, protéger et répliquer son ADN.
Mais ce n’est pas la recherche systématique de l’ascendance, c’est très anthropomorphique comme vision.
Les symbioses entre organismes qui, seuls, n’auraient pas survécu, sont un exemple.
Ce chipotage passé, bien sûr on ne peut pas dire que nous sommes arrivés à un équilibre par opposition à des temps passés qui seraient chaotiques. Notre environnement est précieux parce que nous sommes adaptés à lui, s’il change ça va nous emmerder. Mais c’est toujours comme ça : à chaque époque des temps géologiques, l’écosystème était différent, les êtres vivants aussi, et ça changera encore. Nous serons cette fois l’un des éléments provoquant les changements. Et on crèvera tous tôt ou tard, l’humanité n’est qu’une petite étape dans la longue histoire de la Terre.
Là on parle de choix de design, pas de modèle économique ou de parti-pris de gratuité. Ce site est moche parce que son concepteur a fait de mauvais choix visuels. Le même contenu avec le même code pourrait être beaucoup plus esthétique.
Le
23/04/2017 à
10h
56
De même que la circulation dans les rues reste gratuite. Il faut que l’accès à tous les serveurs reste libre et gratuit.
Ensuite, si un service demande une participation pour accéder à un contenu, et que cela permet de se passer de la participation toxique de la publicité, alors c’est très bien !
Le
23/04/2017 à
09h
37
C’est la réalité. La fondation Mozilla est financée par quelque chose. Les donateurs permettant l’existence de Firefox ne sortent pas leur argent de nulle part. Les entreprises mécènes obtiennent cet argent de leur clients, donc en bout de chaîne, nous.
On peut imaginer des systèmes de financement sans publicité. La publicité est d’ores et déjà payée par le client final, c’est à dire nous. Le “gratuit” actuel ne l’est pas, c’est un paiement différé et indolore, dont le contrôle n’est pas entre nos mains, mais décidé par les régies publicitaires et leurs clients, qui payent ces parasites avec l’argent qu’ils nous prélèvent lors de la vente de leurs produits.
Le
23/04/2017 à
06h
31
En fait tu le payes déjà, mais tu ne le sens pas. Et ce que tu payes va probablement à d’autres sites que ceux que tu consultes.
Le
22/04/2017 à
19h
10
Les enfants, il va vraiment falloir intégrer une réalité abrupte : le gratuit, ça n’existe pas. Tout ce que vous consultez, vous le payez, ou un autre le paye, et vous payez pour le contenu que d’autres consultent. D’une manière ou d’une autre, c’est nous qui payons. Parce que nous achetons des produits, et que nous payons la taxe publicité qui est comprise dans leur prix. Mais nous ne choisissons pas qui nous finançons.
Un changement de modèle serait bienvenu. On paiera directement les gens qu’on veut soutenir, on choisira qui on veut financer.
Les passionnés qui ont l’envie de publier un site perso amateur doivent aussi conserver la possibilité de le faire, et les FAI ne doivent surtout pas céder à la tentation de restreindre l’accès à l’intégralité du réseau. Méfiez-vous, ça finira par arriver, et là ce sera du minitel 2.0.
Tant que la neutralité du net est respecté et que les FAI ne brident pas la connexion, peu importe que certains sites passent à un modèle payant sans pub.
Je préfère acheter le Canard Enchaîné que d’avoir des dizaines de 20Minutes gratuits.
Justement la publicité devrait être le fait de rendre public. Et seulement ça.
Pas un matraquage permanent, envahissant, contraint, et usant de techniques de manipulations mentales.
Comparer des campagnes d’information utiles, défendant certaines causes, et les réclames destinées à nous faire acheter un produit, c’est un raisonnement au minimum erroné.
La publicité-réclame est un outil… devenu démesuré, trop puissant, une sangsue demandant des sommes folles sans aucun rapport avec le service rendu et qui sont en bout de chaîne prélevées au client final, c’est-à-dire NOUS.
La publicité-réclame est un impôt privé. C’est la TVA en pire, car elle ne finance même pas les services publics, mais enrichit le privé et génère des nuisances quotidiennes.
Le
20/04/2017 à
20h
56
La publicité est un parasite de l’économie. On crame des millions dans cette merde, qui est une nuisance mensongère, et que les gens tolèrent uniquement par habitude. Il est grand temps qu’on revoie le modèle de tous ces services faussement gratuits. Rien n’est gratuit. Les publicitaires et tout ce qui tourne autour sont payés par nous, en tant que clients des annonceurs. La publicité est un impôt privé que nous payons tous, et qui engraisse des parasites.
Les clients sont tout sauf des rois, contrairement à cette billevesée qu’on a mise dans la tête des gens.
Le client est la cible, la source de pognon qu’il faut plumer, pas le seigneur qu’il faut servir.
Le comportement des marchands de toute sorte est logique, mécanique. Ces dispositifs existent parce qu’ils sont rentables. Et la rentabilité des entreprises vient de ce qu’elles parviennent à nous faire accepter de payer. Peu importe que ce soit approprié, pertinent, judicieux… le commerce vise à convaincre le client que sa dépense est pertinente, même si c’est faux. Et ça marche.
Rappelez-vous, quand vous verrez des entreprises évoquer des millions de chiffre d’affaires, que ces sommes sont le cumul de ce que chaque client paye, l’addition de petites sommes qui génèrent des fortunes. Cette accumulation pourrait être moindre si en bout de chaîne nous payions moins. Mais nous sommes la source de toute la richesse dans le monde. Elle nous est juste habilement confisquée.
Accepter ces sites mensongers au nom de la responsabilité individuelle, ce serait comme accepter les escroqueries visant les petits vieux crédules, au prétexte qu’ils n’ont pas fait preuve de jugeotte quand on leur a fait miroiter un truc insensé pour leur piquer des sous.
Le mensonge, la manipulation des faits, derrière un masque faussement neutre, cela ne peut pas être acceptable, quelles que soient les lacunes de prévention qu’on pourrait observer de la part des autorités.
Je ne dis pas que les mesures envisagées sont les bonnes. Mais JAMAIS on ne doit laisser des menteurs s’approprier la notion de liberté d’expression alors qu’eux-mêmes ne respectent pas le premier devoir qui va avec cette liberté : l’honnêteté d’avancer clairement ses opinions.
Empêcher des escrocs de mentir, ce n’est PAS porter atteinte à la liberté d’expression.
Je le redis pour la centième fois : les militants anti-ivg ont le droit d’exposer leur opinion. Il faut qu’ils l’exposent. Honnêtement, avec transparence, en disant clairement qui ils sont. Pas en trichant.
Le
18/03/2017 à
10h
53
Quelle que soit la forme de l’information donnée au public, il y a juste un principe fondamental : on n’avance pas masqué.
Un site veut défendre les arguments pour ou contre le droit à l’IVG ? Ok, en se présentant tel qu’il est, aucun problème.
Je ne suis pas satisfait par la gestion du sujet par le gouvernement, mais on ne peut pas accepter l’escroquerie des tricheurs qui mentent sur leur militantisme.
Le
17/03/2017 à
17h
03
Un militant honnête s’affiche en tant que tel.
Le
17/03/2017 à
15h
23
J’adore le retournement du discours qui consiste à reprocher à l’État, pour qui le droit à l’IVG est légal donc une composante de son fonctionnement, d’être “partisan” alors que le point de départ de tout le débat ce sont les militants anti-ivg qui… font semblant de ne pas être partisans pour manipuler les gens qui s’adressent à eux.
Ce qu’on reproche aux anti-ivg ce n’est pas leur opinion, c’est le mensonge qui consiste à masquer cette opinion.
Si demain les sites anti-ivg disent clairement “nous sommes opposés à l’ivg et voici nos arguments”, aucun problème, qu’ils continuent.
S’ils se présentent comme neutres, là non.
Le site du gouvernement est clairement le site du gouvernement, il n’y a pas de tromperie. Ce n’est pas le cas des anti-ivg qui montent de faux sites d’info. Qu’ils assument leurs idées !
Les quelques mauvais programmes des chaînes publiques doivent dégager, et ne surtout pas occulter tout ce qui est très bon à la télé et la radio publique. Il y a heureusement autre chose que Papy Drucker à la télé publique.
Si tu avais lu tout mon message tu aurais relevé qu’après avoir énoncé ce principe, je réclamais des changements dans la gestion des chaînes.
Le
08/03/2017 à
13h
52
Ben justement, c’est pas le privé qui fera ce que font Arte, France Inter, France Culture, l’INA etc.
La merde et les vautours sont des anomalies sur le service public. Il faut les renvoyer à leur place : dans le privé, là où se trouve “l’oligarchie”, celle du pognon, celle des Bolloré, Bouygues, Drahi, etc. qui censure tout ce qui critique le pouvoir de l’argent mais ouvre grand ses portes aux fachos, comme BFM-TV aka Télé-FN.
216 commentaires
Les députés France Insoumise veulent un bilan des dommages de l’état d’urgence
06/07/2017
Le 11/07/2017 à 11h 26
Quand on aura compris que la proportion de connards, de malhonnêtes et de génies est à peu près la même partout, dans tous les pays, tous les milieux, et que ce qui change se situe au niveau de l’individu, selon son histoire personnelle, et qu’en conséquence il est absurde de vouloir coller des qualités ou des défauts à un groupe de population donnée, on aura fait un énorme progrès dans la compréhension de la société.
Les salauds et les ordures sont partout. Du petit con qui va tabasser quelqu’un pour lui piquer 10 balles, jusqu’au cynique dirigeant d’entreprise réduisant des gens en esclavage pour faire plus de pognon. Ce sont ces parasites de la société qu’il faut attaquer, chacun avec les mesures appropriées.
Construire une société viable ce n’est pas ce qu’on fait actuellement.
Le 10/07/2017 à 15h 55
Ah mais depuis le début Faith charge les consommateurs clients…
Le 10/07/2017 à 15h 38
L’acharnement à faire porter à une seule des parties impliquée la totalité des responsabilités est d’une telle malhonnêteté intellectuelle qu’il faut bien une comparaison choquante pour que cela cesse.
Après d’un point du vue strictement logique, la comparaison n’est pas vraiment satisfaisante, le consommateur d’un produit ayant plus de marge de manoeuvre que la victime d’un viol.
Mais personne n’envisagerait de déresponsabiliser le violeur, or tu veux déresponsabiliser les dirigeants d’entreprises.
Le 10/07/2017 à 11h 23
La technique du retournement du discours est bien rodée.
Une entreprise n’est pas un couteau. Ce n’est pas un objet neutre. Si tu tiens à ce que cela le soit, alors parlons des personnes qui les dirigent, celles qui tiennent le manche.
Il est confortable de rejeter toute la responsabilité sur les seuls consommateurs. Quand j’évoque la volonté des idéologues du consumérisme, tu éludes la question, alors qu’elle est fondamentale.
Le libre arbitre intégral est une vue de l’esprit. Chacun, à sa place, doit composer avec des contraintes, et avec des ambitions / convictions. C’est ce mélange qui déclenche nos actions.
Ta théorie serait que les consommateurs seraient seuls responsables des pratiques des entreprises, comme si celles-ci n’étaient qu’un reflet des actions des consommateurs. C’est pour le moins fumeux et contredit par des décennies d’activité économique.
Le 10/07/2017 à 10h 33
Innocents véhicules, totalement neutres et pas du tout dirigés par des personnes bien humaines, n’ayant strictement aucun rôle dans la perpétuation des comportements consuméristes qui les enrichissent, bien entendu.
L’idéologie du consumérisme nécessite de convaincre le consommateur qu’il a du pouvoir alors que c’est faux. Poussée à l’extrême, cette logique permet même de lui attribuer les responsabilités des dirigeunts économiques. C’est du pur génie.
Le 10/07/2017 à 09h 48
Il y a de beaux hôpitaux se moquant de la charité dans le coin.
Le 10/07/2017 à 09h 32
L’argent est virtuellement illimité peut-être, mais les ressources nécessaires à la fabrication des biens dont jouissent les très riches ne le sont pas. Les maisons, voitures, avions, biens divers et variés ont un impact sur la consommation de nos ressources.
Le 10/07/2017 à 08h 52
Pas de complot non.
Juste un état de fait : nous payons trop cher certains services puisque les dirigeants des entreprises concernées peuvent être rémunérés des sommes folles. Les bénéficiares de cette situation en sont bien contents, et contribuent à pérenniser la chose.
Mais si on réfléchissait un peu, on pourrait organiser autrement tout ce bouzin.
Aucun problème pour payer un bien ou un service un peu plus que son coût de fabrication, ça permet au vendeur de vivre, ça paye son travail, nickel. Quand en bout de chaîne il y a un amas de milliards, non, là ça ne va plus. La machine tourne mal. Ces ressources manqueront forcément ailleurs dans l’économie.
Le 10/07/2017 à 08h 47
Déjà, tout le monde n’a pas à manger, ce qui est effectivement le minimum non satisfait.
Mais par ailleurs, même si tout le monde vivait correctement, cela signifierait quand même que ces concentrations de richesses se sont constituées par des millions de prélèvements, qui auraient pu être moindres pour le péquin lambda. Que des tas de gens se fassent avoir avec le sourire ne rend pas la chose plus acceptable. Quant à la publicité qui fait la fortune de Facebook et autres, c’est l’un des procédés d’extorsion de fonds les plus habiles qui soient. La publicité, c’est le vol de Pierre qui se fait accepter en filant une poignée de services à Paul.
Et surtout, SURTOUT, dans un monde aux ressources limitées, octroyer des niveaux de vie démesurés et gaspilleurs de ressources est une aberration écologique.
L’extrême richesse est une plaie aussi pour la préservation de l’environnement. Quand on sera au rationnement forcé des ressources après une troisième guerre mondiale dévastatrice, on repensera au gaspillage actuel et on trouvera ça indécent.
Le 10/07/2017 à 08h 02
Non mais sérieux.
Ouais, à 23h14 et sur un téléphone, je ne prends pas le temps de pondre un pavé répondant point par point à tes arguments idéologiques. J’aurais pu prendre le temps de le faire maintenant mais je vais me reposer sur l’épaisseur de la contradiction d’ActionFighter, qui a déjà dit l’essentiel, et te laisser avec tes certitudes sur les aspirations de l’humanité.
Le 09/07/2017 à 21h 14
Donc les responsables ce sont les gens, ces salauds de pauvres qui font n’importe quoi avec l’argent des banques. Lumineux.
Le 09/07/2017 à 20h 31
Deux questions auxquelles il serait utile d’essayer de répondre de manière cartésienne, sans impliquer nos convictions personnelles.
Quel est l’intérêt, froidement, pour la société humaine, qu’une minorité concentre une part de richesses phénoménale ? Qu’est-ce que ça apporte à la société ?
Comment sont constituées les concentrations de richesses ? C’est-à-dire, d’où provient l’argent, QUI le fournit en bout de chaîne ? Quel coût, et pour QUI, pourrait être réduit si ces concentrations de richesses étaient plus modérées ?
Si je chausse à nouveau mes convictions personnelles : l’impôt mériterait sans doute des tas de réformes techniques, sous toutes ses formes. Cependant son motif, la raison de son existence demeure justifiée : face aux ponctions démesurées faites dans les ressources de l’économie par des grandes fortunes, des actionnaires rapaces, des parasites de la bourse, etc. , l’impôt reprend une part des sommes confisquées par les dirigeants du pouvoir économique.
Le train de vie des grandes fortunes est une gabegie irresponsable, et les sommes confisquées par cette minorité manquent cruellement à la majorité. C’est NOTRE argent qui est confisqué par les super-riches. Celui qu’on donne quand on achète des produits. Le client qui s’endette pour acheter une Renault™ finance en partie les émoluments démesurés de Carlos Ghosn - exemple reproductible à l’infini.
Il ne s’agit pas de tout niveler vers le bas, et donner des cacahuètes à tout le monde. Il faudra bien pourtant faire preuve de bon sens, et comprendre que saigner l’animal pour nourrir à l’excès une minorité pendant que les autres souffrent ou crèvent, ça n’est tout simplement pas tenable.
Le 08/07/2017 à 21h 35
Ah donc c’était bien les gens comme Microsoft ?
Ou tu fais juste la petite analyse de comptoir qui consiste à prendre un cas avéré de fraude inacceptable pour le monter en épingle et en attribuer le tort à tous les gens ayant un autre point commun avec les dits fraudeurs ?
Qu’il y ait des individus malhonnêtes, je n’ai aucun mal à le concevoir.
Jusqu’à preuve du contraire je n’ai encore vu personne soutenir le droit à la fraude.
En revanche, conditionner le traitement qu’on doit accorder aux gens sur la base du comportement d’autres personnes ayant une caractéristique commune, mais non-corrélée au comportement à juste titre condamné, là j’ai du mal à saisir la logique.
Tu parles donc des super-riches qui pratiquent l’évasion fiscale ?
Le 07/07/2017 à 18h 16
Les “parasites héréditaires étrangers” ?
Qui ça ?
Microsoft ?
La fin de la pub dans les émissions pour la jeunesse étendue aux chaînes privées ?
13/06/2017
Le 15/06/2017 à 18h 13
Ai-je dit que c’était prioritaire ?
Les exemples pertinents que tu donnes montrent que ces abus sont généralisés.
Par ailleurs la priorité, dans le domine de la publicité, serait déjà de faire comprendre au public que la gratuité soi-disant permise par la réclame est un leurre, et qu’en réalité on paye pour tout, sans le savoir.
Le 15/06/2017 à 08h 08
C’est le problème du sens des mots, de leur usage courant et du sens qu’on voudrait y mettre.
J’appelle de mes voeux un autre usage du terme “publicité”, qui dans d’autres emplois n’a pas du tout le même sens. Rendre public un fait c’est lui donner l’état de publicité, un peu comme les notaires déclarent leurs actes de vente aux services de la publicité foncière : le statut de propriétaire foncier est public. Ce n’est pas de la réclame pour autant.
De même, “communication” est souvent employé par les propagandistes pour désigner leurs activités de réclame, tu soulèves donc un autre problème de vocabulaire.
On doit contester l’appropriation du mot “publicité” par ces gens, comme on conteste d’autres appropriations, par exemple en politique, quand des fascistes essaient de voler des concepts républicains.
Appelons réclame, propagande, ou autre mot, ce harcèlement permanent que nous payons de force sans en avoir le choix ni même la connaissance. Et exigeons de savoir combien part dans la réclame quand on achète un produit. Ça devrait être sur les étiquettes.
Le 14/06/2017 à 19h 52
Le premier pas c’est d’arrêter de dire que c’est gratuit. Ce n’est pas gratuit.
Le 14/06/2017 à 18h 35
Ce qu’on appelle aujourd’hui “publicité” porte très mal son nom.
C’est plutôt de la réclame, de la propagande, de la mercatique… mais pas une simple et neutre démarche de publicité, c’est à dire de rendre public un fait, en l’occurrence l’existence d’un produit.
Une vraie “publicité” ce serait une annonce neutre.
Par exemple : “la marque Canard WC met sur le marché un produit nettoyant utilisant une formule en gel dont le fabricant estime qu’elle améliore l’efficacité du lavage en détruisant 99% des bactéries”.
Les fabricants ne devraient pas faire payer leurs clients pour de la réclame.
Je n’ai pas encore d’idée suffisamment construite de ce que devrait être une publicité neutre, mais la forme actuelle est une nuisance coûteuse.
Le 14/06/2017 à 10h 49
Le point essentiel, c’est qu’on paye déjà ce que la pub prétend offrir. Arrêtons de croire au “gratuit”, et réclamons de savoir pour quoi on paye, et combien.
Ça aidera beaucoup la réflexion.
Le 13/06/2017 à 18h 01
Il faudra bien qu’on apprenne un jour à sortir de la pub.
La pub est un virus qui pollue la société tout en ponctionnant des ressources pour rien, et nous fait croire qu’elle rend les choses gratuites alors qu’elle nous les fait payer en différé.
Nous payons déjà les chaînes pour enfants lorsqu’on achète les produits qui passent dans leurs pubs. Ces chaînes privées “gratuites” ne sont pas gratuites. On rend leur paiement indolore en le différant.
Je préfèrerais payer directement un abonnement, et ne plus subir la propagande consumériste. En plus ça éviterait de nourrir les sangsues parasites que sont les publicitaires.
Le PDG de Fnac Darty démissionne pour prendre la tête de Carrefour
09/06/2017
Le 11/06/2017 à 07h 23
Je plussoie sur les méthodes de fixation des prix chez Leclerc : dans celui près de chez moi, les produits reviennent moins chers à l’unité qu’en quantité, bien qu’ils soient présentés comme “prix spécial”.
Globalement ils serrent quand même pas mal les prix, mais jouent à fond sur les mécanismes d’achat automatique via l’illusion de faire une bonne affaire.
Ligne par ligne, l’avant-projet de loi sur l’état d’urgence permanent
08/06/2017
Le 08/06/2017 à 19h 34
Je vois de belles méthodes de débat, vous êtes formidables les enfants.
Le principe de l’annonce d’une potentielle rencontre physique avec son interlocuteur dans le but de faire changer ses propos m’a toujours étonné. Vous trouvez vraiment ça crédible ?
En gros, “j’aime trop pas comment tu m’as mal parlé, viens-y le me dire en face pour voir si t’auras toujours les couilles” devient un levier dans l’argumentation, et l’éventuelle intimidation physique fait partie d’une discussion construite. Époustouflant.
Vous avez les politiques que vous méritez mes pauvres enfants.
AZERTY : l’AFNOR veut votre avis sur le prochain clavier français
07/06/2017
Le 07/06/2017 à 22h 36
On peut alterner bépo et azerty, c’est comme être bilingue du clavier.
À défaut d’avoir un vrai bon clavier au travail, l’habitude héritée de près de 30 ans d’azerty me sauve. Mais le bépo est indéniablement supérieur en termes de confort et de pertinence quand on écrit en français et qu’on respecte l’orthographe.
Nouveau redressement fiscal en France pour Apple
31/05/2017
Le 31/05/2017 à 12h 43
Trop de textes européens sont écrits par des idéologues du marché libre, au détriment des droits humains. Mais ces auteurs ne sortent pas de la planète Vulzor, ce sont les états qui les envoient. La vraie question est là : qui envoyons-nous, pourquoi toujours la même idéologie ?
Comment contrôler les publicités sur Twitter et les données collectées
18/05/2017
Le 18/05/2017 à 21h 07
Viendez sur Mastodon !
Malgré l’annonce de sa mort, le MP3 est encore bel et bien vivant
18/05/2017
Le 18/05/2017 à 18h 10
Quand j’estime que le mp3 n’était pas pleinement vivant malgré sa très grande propagation, c’est parce qu’il était verrouillé par son statut, qui empêchait notamment les distributions linux libristes pures de comporter les librairies d’encodage dans ce format. Désormais, il n’est plus entravé, le mp3 peut vivre pleinement.
Le 18/05/2017 à 16h 25
Étrange réflexe d’annoncer sa mort alors que s’il n’est plus propriétaire, ce format pourrait justement commencer à vivre pleinement !
Les ministres et secrétaires d’État du nouveau gouvernement
17/05/2017
Le 18/05/2017 à 06h 36
Teuteuteu. La vie n’est pas une lutte sanguinaire.
La vie se démerde par tous les moyens possibles pour subsister, protéger et répliquer son ADN.
Mais ce n’est pas la recherche systématique de l’ascendance, c’est très anthropomorphique comme vision.
Les symbioses entre organismes qui, seuls, n’auraient pas survécu, sont un exemple.
Ce chipotage passé, bien sûr on ne peut pas dire que nous sommes arrivés à un équilibre par opposition à des temps passés qui seraient chaotiques. Notre environnement est précieux parce que nous sommes adaptés à lui, s’il change ça va nous emmerder. Mais c’est toujours comme ça : à chaque époque des temps géologiques, l’écosystème était différent, les êtres vivants aussi, et ça changera encore. Nous serons cette fois l’un des éléments provoquant les changements. Et on crèvera tous tôt ou tard, l’humanité n’est qu’une petite étape dans la longue histoire de la Terre.
Concours pour gagner la console « Next Gen » de votre choix, il vous reste jusqu’à ce soir
14/05/2017
Le 15/05/2017 à 09h 13
Le suspense est encore plus insoutenable que l’autre concours qui se déroule pour gagner un Matignon Next Gen.
Le 05/05/2017 à 19h 05
Je suis en connexion automatique et je viens plusieurs fois par jour. Filez-moi une Souichte les enfants ! " />
Jeuxvideo.com lance une offre Premium à 1,99 euro par mois, sans publicité
22/04/2017
Le 23/04/2017 à 12h 47
Là on parle de choix de design, pas de modèle économique ou de parti-pris de gratuité. Ce site est moche parce que son concepteur a fait de mauvais choix visuels. Le même contenu avec le même code pourrait être beaucoup plus esthétique.
Le 23/04/2017 à 10h 56
De même que la circulation dans les rues reste gratuite. Il faut que l’accès à tous les serveurs reste libre et gratuit.
Ensuite, si un service demande une participation pour accéder à un contenu, et que cela permet de se passer de la participation toxique de la publicité, alors c’est très bien !
Le 23/04/2017 à 09h 37
C’est la réalité. La fondation Mozilla est financée par quelque chose. Les donateurs permettant l’existence de Firefox ne sortent pas leur argent de nulle part. Les entreprises mécènes obtiennent cet argent de leur clients, donc en bout de chaîne, nous.
On peut imaginer des systèmes de financement sans publicité. La publicité est d’ores et déjà payée par le client final, c’est à dire nous. Le “gratuit” actuel ne l’est pas, c’est un paiement différé et indolore, dont le contrôle n’est pas entre nos mains, mais décidé par les régies publicitaires et leurs clients, qui payent ces parasites avec l’argent qu’ils nous prélèvent lors de la vente de leurs produits.
Le 23/04/2017 à 06h 31
En fait tu le payes déjà, mais tu ne le sens pas. Et ce que tu payes va probablement à d’autres sites que ceux que tu consultes.
Le 22/04/2017 à 19h 10
Les enfants, il va vraiment falloir intégrer une réalité abrupte : le gratuit, ça n’existe pas. Tout ce que vous consultez, vous le payez, ou un autre le paye, et vous payez pour le contenu que d’autres consultent. D’une manière ou d’une autre, c’est nous qui payons. Parce que nous achetons des produits, et que nous payons la taxe publicité qui est comprise dans leur prix. Mais nous ne choisissons pas qui nous finançons.
Un changement de modèle serait bienvenu. On paiera directement les gens qu’on veut soutenir, on choisira qui on veut financer.
Les passionnés qui ont l’envie de publier un site perso amateur doivent aussi conserver la possibilité de le faire, et les FAI ne doivent surtout pas céder à la tentation de restreindre l’accès à l’intégralité du réseau. Méfiez-vous, ça finira par arriver, et là ce sera du minitel 2.0.
Tant que la neutralité du net est respecté et que les FAI ne brident pas la connexion, peu importe que certains sites passent à un modèle payant sans pub.
Je préfère acheter le Canard Enchaîné que d’avoir des dizaines de 20Minutes gratuits.
Sur YouTube, les vidéastes disent subir de plein fouet la fuite des publicitaires
20/04/2017
Le 22/04/2017 à 10h 43
Justement la publicité devrait être le fait de rendre public. Et seulement ça.
Pas un matraquage permanent, envahissant, contraint, et usant de techniques de manipulations mentales.
Comparer des campagnes d’information utiles, défendant certaines causes, et les réclames destinées à nous faire acheter un produit, c’est un raisonnement au minimum erroné.
La publicité-réclame est un outil… devenu démesuré, trop puissant, une sangsue demandant des sommes folles sans aucun rapport avec le service rendu et qui sont en bout de chaîne prélevées au client final, c’est-à-dire NOUS.
La publicité-réclame est un impôt privé. C’est la TVA en pire, car elle ne finance même pas les services publics, mais enrichit le privé et génère des nuisances quotidiennes.
Le 20/04/2017 à 20h 56
La publicité est un parasite de l’économie. On crame des millions dans cette merde, qui est une nuisance mensongère, et que les gens tolèrent uniquement par habitude. Il est grand temps qu’on revoie le modèle de tous ces services faussement gratuits. Rien n’est gratuit. Les publicitaires et tout ce qui tourne autour sont payés par nous, en tant que clients des annonceurs. La publicité est un impôt privé que nous payons tous, et qui engraisse des parasites.
Canonical : Shuttleworth redevient PDG, tandis que commencent les licenciements
13/04/2017
Le 13/04/2017 à 11h 04
Dommage pour ubuntu, mais ça fait déjà quelques années que je suis rentré à la maison, chez Mamie Debbie.
Ubuntu : cap sur la rentabilité pour Canonical, qui met fin à Unity et à la convergence
06/04/2017
Le 06/04/2017 à 16h 21
D’t’façon rien ne remplacera KDE 3 dans mon coeur.
Alors que B&You 20 Go est à 2,99 € par mois, Bouygues Telecom lance une option 500 Mo à 3 €
28/03/2017
Le 28/03/2017 à 10h 24
Les clients sont tout sauf des rois, contrairement à cette billevesée qu’on a mise dans la tête des gens.
Le client est la cible, la source de pognon qu’il faut plumer, pas le seigneur qu’il faut servir.
Le comportement des marchands de toute sorte est logique, mécanique. Ces dispositifs existent parce qu’ils sont rentables. Et la rentabilité des entreprises vient de ce qu’elles parviennent à nous faire accepter de payer. Peu importe que ce soit approprié, pertinent, judicieux… le commerce vise à convaincre le client que sa dépense est pertinente, même si c’est faux. Et ça marche.
Rappelez-vous, quand vous verrez des entreprises évoquer des millions de chiffre d’affaires, que ces sommes sont le cumul de ce que chaque client paye, l’addition de petites sommes qui génèrent des fortunes. Cette accumulation pourrait être moindre si en bout de chaîne nous payions moins. Mais nous sommes la source de toute la richesse dans le monde. Elle nous est juste habilement confisquée.
Les réserves du Conseil constitutionnel sur le délit d’entrave numérique à l’IVG
17/03/2017
Le 19/03/2017 à 12h 49
Rappel utile pour cerner de qui on parle.
Meurice a appelé l’un de ces sites “d’information” pour poser des questions :
https://www.franceinter.fr/emissions/le-moment-meurice/le-moment-meurice-12-octo…
Le 19/03/2017 à 06h 12
Lapin compris.
Le 18/03/2017 à 18h 18
Accepter ces sites mensongers au nom de la responsabilité individuelle, ce serait comme accepter les escroqueries visant les petits vieux crédules, au prétexte qu’ils n’ont pas fait preuve de jugeotte quand on leur a fait miroiter un truc insensé pour leur piquer des sous.
Le mensonge, la manipulation des faits, derrière un masque faussement neutre, cela ne peut pas être acceptable, quelles que soient les lacunes de prévention qu’on pourrait observer de la part des autorités.
Je ne dis pas que les mesures envisagées sont les bonnes. Mais JAMAIS on ne doit laisser des menteurs s’approprier la notion de liberté d’expression alors qu’eux-mêmes ne respectent pas le premier devoir qui va avec cette liberté : l’honnêteté d’avancer clairement ses opinions.
Empêcher des escrocs de mentir, ce n’est PAS porter atteinte à la liberté d’expression.
Je le redis pour la centième fois : les militants anti-ivg ont le droit d’exposer leur opinion. Il faut qu’ils l’exposent. Honnêtement, avec transparence, en disant clairement qui ils sont. Pas en trichant.
Le 18/03/2017 à 10h 53
Quelle que soit la forme de l’information donnée au public, il y a juste un principe fondamental : on n’avance pas masqué.
Un site veut défendre les arguments pour ou contre le droit à l’IVG ? Ok, en se présentant tel qu’il est, aucun problème.
Je ne suis pas satisfait par la gestion du sujet par le gouvernement, mais on ne peut pas accepter l’escroquerie des tricheurs qui mentent sur leur militantisme.
Le 17/03/2017 à 17h 03
Un militant honnête s’affiche en tant que tel.
Le 17/03/2017 à 15h 23
J’adore le retournement du discours qui consiste à reprocher à l’État, pour qui le droit à l’IVG est légal donc une composante de son fonctionnement, d’être “partisan” alors que le point de départ de tout le débat ce sont les militants anti-ivg qui… font semblant de ne pas être partisans pour manipuler les gens qui s’adressent à eux.
Ce qu’on reproche aux anti-ivg ce n’est pas leur opinion, c’est le mensonge qui consiste à masquer cette opinion.
Si demain les sites anti-ivg disent clairement “nous sommes opposés à l’ivg et voici nos arguments”, aucun problème, qu’ils continuent.
S’ils se présentent comme neutres, là non.
Le site du gouvernement est clairement le site du gouvernement, il n’y a pas de tromperie. Ce n’est pas le cas des anti-ivg qui montent de faux sites d’info. Qu’ils assument leurs idées !
Médias, neutralité, fiscalité culturelle, les inquiétudes de Patrick Bloche
15/03/2017
Le 15/03/2017 à 14h 13
Les quelques mauvais programmes des chaînes publiques doivent dégager, et ne surtout pas occulter tout ce qui est très bon à la télé et la radio publique. Il y a heureusement autre chose que Papy Drucker à la télé publique.
Les pistes délicates pour réformer la redevance TV
08/03/2017
Le 09/03/2017 à 04h 22
Si tu avais lu tout mon message tu aurais relevé qu’après avoir énoncé ce principe, je réclamais des changements dans la gestion des chaînes.
Le 08/03/2017 à 13h 52
Ben justement, c’est pas le privé qui fera ce que font Arte, France Inter, France Culture, l’INA etc.
La merde et les vautours sont des anomalies sur le service public. Il faut les renvoyer à leur place : dans le privé, là où se trouve “l’oligarchie”, celle du pognon, celle des Bolloré, Bouygues, Drahi, etc. qui censure tout ce qui critique le pouvoir de l’argent mais ouvre grand ses portes aux fachos, comme BFM-TV aka Télé-FN.
Le 08/03/2017 à 11h 12
Frais de scolarité déductibles ? Gné ?