JNSON
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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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76 commentaires
Facebook et Instagram renvoient leurs jeunes utilisateurs vers des contenus sexistes
Hier à 10h 31
La question est donc de savoir si les réseaux sociaux se contentent d'accompagner une trajectoire de l'utilisateur, ou s'il l'amplifie. Ce n'est pas exactement la même chose, mais c'est sûr que le réseau est responsable dans les deux cas, car on sais déjà qu'il peuvent inhiber les algos et qu'ils le font pour d'autres sujets. L'utilisateur est sans doute responsable au départ de rentrer dans ces trajectoires algorithmiques, mais il peut aussi être influencé par l'algorithme qui lui dit "si si c'est tout à fait normal". Si les pub n'avaient pas d'influence, ça se saurait.[MàJ] La page Wikipédia francophone de la première ministrable du NFP Lucie Castets débattue
Le 24/07/2024 à 16h 49
Merci pour les précisions @tazvld, je suis 100% d'accord avec ce que vous dites et ne le conteste pas. Merci aussi pour m'avoir parlé sans sarcasme d'égal à égal (en tous les cas, c'est comme cela que je l'ai reçu).Ce que vous dites est tout à fait vrai si on l'aborde sur le plan juridique, ou sur le plan des groupes politiques formés dans l'assemblée. Mais ce que je dis vise, sur la base d'une définition conceptuelle trouvée dans les dictionnaires (et non dans la loi), à refléter la même réalité mais du point de vue de l'électeur. Étant donné qu'il est impossible de dire de manière objective si l'électeur a préféré voter pour un parti du NFP plutôt qu'un autre vu qu'il n'avait qu'un seul bulletin NFP (et son programme) a sa disposition, diviser le NFP en plusieurs morceaux est plutôt vain et chimérique politiquement, et dessert le résultat du vote car chaque groupe interne au NFP pourrait un jour dire "oui mais moi, je suis plus légitime". Si ça se trouve, l'électeur se trouve très bien dans un parti du NFP autant que dans un autre, ou si ça se trouve, il a des préférences, mais comment en connaître les proportions ?
D'autre part, on pourrait trouver plusieurs courant au sein d'un même parti avec des élections internes et pour avoir exactement les mêmes problèmes (enfin pas tout à fait, vu que l'on pourrait avoir des tendances avec les pourcentages, mais même des tendances ne permettraient pas de dire si elles s'excluent ou s'assemblent). En définitive, plutôt de s'opposer des subjectivités tout à fait stériles, il convient de dire que le résultat des élections met le NFP en tête. Que j'ai choisi le mot "parti" pour décrire le NFP n'a pas été tout à fait conscient au départ, mais reflétait tout de même une réalité telle que je l'ai décrite et dans les conditions que les ai décrite plus haut.
Enfin, si certains pensent que je suis aveugle à ce qu'ils disent, où que je les ai attendu pour envisager le point de vue qu'il défendent (et qu'ils défendent de manière condescendante), dites vous bien que si vous refusez d'envisager mon angle de vue, j'en ferais autant. Ce n'est que de la réciprocité. Il suffit simplement de changer de ton, et tout ira mieux. Et dans les tons employés, ceux qui veulent jouer sur les mots pour ne pas voir l'essentiel de mon propos initial ne verront en retour qu'un reflet de leur comportement (jouer sur les mots).
Enfin, la réciprocité n'ira pas de mon côté jusqu'au mépris et aux insultes qu'on peut me porter, ça je leur laisse volontiers ce comportement.
Le 24/07/2024 à 13h 26
Le 24/07/2024 à 12h 56
Le 24/07/2024 à 12h 44
Définition de parti :
"Un parti politique est un groupe de personne, réunie en association, autour d'idées politiques communes. Cette organisation politique a pour objectif d'influence l'opinion publique ainsi que les actions du gouvernement en place. Elle propose également des candidats pour les élections. " source : https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/parti-politique/
Le NFP correspond exactement à cette définition, d'autant que les électeurs ont voté pour un seul bulletin, sans nuance. Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait des personnes qui propagent des fausses nouvelles ici, et qui nient les résultats officiels d'une élection.
Le 24/07/2024 à 12h 21
Le 24/07/2024 à 11h 45
Dire que du point de vue de la connaissance du pays, il ne faut pas parler d'une candidate désignée par le parti majoritaire des dernières élections (historiques ?) sur une encyclopédie qui peut parfois citer et résumer chaque épisode d'une série TV, c'est tout sauf neutre. Penser qu'il y a débat et que ce débat est légitime est assez stupéfiant ! Les partisans de la neutralité de Wikipédia me font bien rire.[MàJ] Fiasco CrowdStrike : détails techniques, 8,5 millions de machines touchées selon Microsoft
Le 22/07/2024 à 19h 28
Le 22/07/2024 à 19h 03
Le 22/07/2024 à 18h 56
Donc soit vous décidez à priori que certains problèmes peuvent se poser et que vous pouvez ignorer le chargement fichier sys à priori en toute conscience, soit vous décidez à priori qu'aucun problème ne devrait se poser, car au moment où vous écrirez le code, vous considérerez que le problème que vous envisagez est impossible (à tord ou à raison), et que s'il se produit quand même, c'est que au moment où vous y pensez, vous ne savez pas pourquoi cela se produit. Soit vous tolérez l'erreur sans trop savoir ce que ça va donner (et éventuellement ce que cela va empirer), soit vous faite tout planter, en disant qu'il vaut mieux préserver l'intégrité du système, et notamment l'intégrité des données qu'il ne faut pas corrompre. Si le noyau arrive par exemple à un état non anticipé, est-ce qu'il vaut mieux générer un écran bleu ou continuer au risque de bousier le système de fichier ? Par exemple, et petite digression, j'ai entendu du dire que le noyau Linux était tellement stable qui ne générais pas de kernel panic même avec une mémoire instable. Personnellement, cela m'est déjà arrivé d'avoir une mémoire instable, le noyau n'a pas planté, et pourtant mon ordinateur faisait n'importe quoi (j'ai mis du temps à comprendre que c'était la mémoire le problème, enfin 2h). J'estime avoir eu de la chance que ça n'ait pas eu plus de conséquences sur mon système de fichiers. J'aurais préféré un kernel panic. Maintenant, dans le cas de cet article, je ne sais pas trier ce que peut être toléré comme erreur de ce qui ne peut pas l'être.
Ce que je dis en revanche, c'est que les bugs arrivent quelque soit les précautions prises. Donc par définition, si on n'anticipe pas un bug et son sens, c'est qu'on ne sais pas s'il faut faire tout planter, ou si on peut tolérer l'erreur. Pour tester un programme, on doit faire des tests, et mon propos initial supposait que des tests sur Crowdstrike avait bien été effectués avant la mise en production. Je me suis alors demandé comment des tests peuvent passer sur une machine de test et pas sur une machine en production ? Du fait qu'un programme C ne fait pas toujours planter un programme à cause d'un mauvais accès mémoire, seul le noyau fait planter le programme s'il se rend compte que l'accès porte sur un espace mémoire non autorisé. Mais si l'accès mémoire est autorisé au moment du test, bien qu'incohérent, le noyau n'arrête rien, et le programme C n'arrête rien non plus, ce qui n'aurait pas été le cas d'autres langages (Pour les langages système, on peut citer Rust). Cela peut être une hypothèse (entre autres) de pourquoi le bug a passé les tests : l'environnement mémoire n'était pas le même, et dans un cas, le noyau ne fait pas planter le programme, dans l'autre il faitt planter le programme (et lui même), et pas de chance, ça tombe en prod. Ben ça, ça arrive typiquement avec C/C++.
Donc au final, un langage moins laxiste sur la gestion de la mémoire, si les hypothèses de départ sont les bonnes, aurait peut être permis d'éviter le problème, car le dit programme aurait planté dès la phase de test.
En disant cela je comprend qu'on ne peut pas se permettre de tout recoder en Rust, mais tout de même, je n'ai jamais trouvé bien pratique cette façon d'accepter n'importe quoi en C en matière de gestion de mémoire, en pariant sur le fait qu'un⋅e développeur⋅e doit être parfait (impossible !), et que cela ne devrait jamais arriver.
Le 22/07/2024 à 17h 32
Ce qui peut arriver à l'échelle du noyau peut aussi arriver à l'échelle d'un programme. Faire un catch de quelque chose d'incohérent dans le contexte, ne changera rien au fait que cela n'aurait pas du arriver. Et donc, dans ces conditions, il vaut mieux que tout plante plutôt que continuer l'exécution avec un cas non prévu. C'est tout ce que j'ai essayé de dire, et c'est pas la peine de me prendre de haut en entrant dans les détails technique du C pour noyer le poisson dans l'eau. Ce que je dis est une banalité. Votre façon de me rabaisser est intolérable.
Le 22/07/2024 à 17h 22
Le 22/07/2024 à 15h 54
Le 22/07/2024 à 15h 39
Le 22/07/2024 à 15h 38
: typedef struct {
int field1;
int field2;
} test_s;
int main()
{
test_s* test = NULL;
printf("Adresse de l'attribut field2 : %lx", (unsigned long int)&(test->field2));
return 0;
}
Or il n'y a pas de "if(test!=null)" dans ce code. Donc on ne parle de pas de la même chose.
Encore une fois, si vous testez :
int main()
{
printf("Hello World");
int v=(int)0x9c;
if (v==NULL)
printf("0x9c est un pointeur NULL");
else
printf("0x9c n'est pas un pointeur NULL");
return 0;
}
Ca m'affiche "0x9c n'est pas un pointeur NULL". Vous pouvez tester le code ici : https://onlinegdb.com/oi9IbrDM5
C'est de ça dont au parlait au début et uniquement de ça. NULL correspond à l'adresse 0, et if "(test!=null)" sera validé si test n'est pas égal à 0, et non pas si test n'est pas égal à 0x9a ce dont on parle dans l'article.
Le 22/07/2024 à 15h 28
Le 22/07/2024 à 15h 20
Le 22/07/2024 à 14h 52
`
int main()
{
printf("Hello World");
int v=(int)0x9c;
if (v==NULL)
printf("0x9c est un pointeur NULL");
else
printf("0x9c n'est pas un pointeur NULL");
return 0;
}
`
Ca m'affiche "0x9c n'est pas un pointeur NULL". Vous pouvez tester le code ici : https://onlinegdb.com/oi9IbrDM5
Donc je dirais que vous avez tous les deux tord.
Le 22/07/2024 à 14h 31
Le 22/07/2024 à 13h 23
Le sens de mon premier commentaire était de dire que les langages C et C++ ne génèrent pas les mêmes exceptions en fonction de la configuration mémoire dans laquelle on se trouve à cause du laxisme des deux langages dans la gestion de la mémoire, ce qui pose problème quand on test le programme, que le test est validé dans un environnement et que l'erreur se produit quand même quand l'environnement et la configuration mémoire du programme changent, i.e. lorsque le programme passe en production. Ce type de problèmes intempestifs ne se produit pas dans d'autres langages de programmation, où la gestion de la mémoire est plus cadrée. Maintenant, je n'ai pas dit que c'est ceci qui s'est passé dans le cas de cet article d'où le "peut-être" dans mon premier commentaire.
Le 22/07/2024 à 13h 06
Le 22/07/2024 à 07h 27
La question des tests vient peut être du fait que ça vient de bugs intempestifs, surtout avec des pointeurs mémoire en C/C++. En effet, on test le programme dans un écosystème avec une organisation mémoire du système qui reste la même, et même si certaines adresse mémoire sont incorrectes, on ne s'en rend pas compte car elles accèdent à une zone mémoire du programme valide (donc il ne plante pas). Puis lorsqu'on met en production le programme, la configuration mémoire chez les clients n'est plus du tout la même, et les pointeurs incorrectes pointent vers une zone mémoire non valide, puis le programme plante. Ce scénario, s'il est avéré, est du au langage C/C++ qui permet de faire tout et n'importe quoi, sans que des erreur ne soient toujours générées au moment des tests. C'est une des raisons qui m'ont poussé à abandonner le C++ depuis bien longtemps.Emmanuel Macron veut « l’IA partout et pour tous »
Artificiellement vôtre
Le 22/05/2024 à 23h 00
Le 22/05/2024 à 21h 28
1. elle [la terre] a une conscience et a décidé que la vie sur terre n'est pas son problème. Dans ce cas, c'est un peu dommage, on pourrait lui expliquer qu'il y a d'autres espèces qui sont contentes de faire partie de cette vie perdue dans l'espace, et que c'est tellement rare (voir unique) que son attitude manque de poésie.
2. elle n'a pas de conscience et s'en fou au même titre qu'elle s'en fou de tout. Mais dans ce cas, on ne peut pas dire "elle", car un sujet suppose une conscience. C'est un peu comme une IA qui dit "je", c'est purement virtuel, ça n'a pas de sens philosophique. Il n'y a pas de "je pense donc je suis".
3. vous faites référence à son système de valeur supposé si la terre avait une conscience de ses "intérêts", et vous supposez qu ses plaques tectoniques serait plus importantes que ce qui s'y passe à la surface, car les échelles de temps, d'énergie et d'espace sont en total décalage. Dans ce cas, je vois deux problèmes :
3.1. l'humain a re modélisé toute sa surface. Même l'axe de rotation de la terre va légèrement changer à cause du réchauffement climatique, et donc à cause de l'action de l'homme (je sais pas si on serait arrivé si avait voulu le faire exprès cela dit).
3.2. Le décalage en masse, en espace, et en temps n'est pas important en soi. C'est un peu comme vous disiez que le cerveau des espèces n'était pas utile car il ne représente que 2% seulement du poids de chaque individu.
4. tout ça à la fois, car la Terre représente tout ce qui s'y trouve, dont elle même, dont nous même.
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Le surplus, c’est cadeau de la maison
Le 07/05/2024 à 13h 57
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Le 30/04/2024 à 18h 55
Le 30/04/2024 à 00h 38
Je suis pas sûr que Windows ou MacOS soient si libres que ça. De moins en moins, je dirais.Comment la désinformation d’extrême-droite sert les intérêts russes en France
Le 16/04/2024 à 17h 42
Je trouve que le sujet est important, concerne le numérique, et que c'est normal qu'il soit traité. Si on pouvait même avoir des points de vue issues de plusieurs spécialités (sociologie, psychologie, fouloscopie, etc), et par forcément sur des sujets lourds, je trouverais ça d'autant plus intéressant.[Édito] Respectez les sciences, bordel !
Demi mole
Le 16/04/2024 à 12h 59
Le 14/04/2024 à 20h 23
Le 14/04/2024 à 19h 40
Oui c'est vrai, mais je parlais de la vitesse de la lumière dans le vide.
Oui sans doute, mais il semblerait tout cela soit faux aussi d'un point de vue analytique et que justement, l'analyse fonctionnelle du cerveau l'ai démenti. Ma source concernant ce point est une émission de France Culture d'il y a 2 ans environ qui portait justement sur les problèmes de la vulgarisation. Après, j'avoue ne pas avoir creusé plus que ça, mais l'intervenant était formel.
Le 14/04/2024 à 19h 38
Concernant le doute, pour moi, c'est une notion trop abstraite dont je n'ai jamais pris le temps de l'objectiver formellement. Mais mes cours de philo sur Descartes m'ont plus donné l'impression qu'il était perdu (y a pas de mal, ça nous arrive à toustes j'imagine). Ça pour douter, il doutait. Dans les limites, on ne peut pas ne pas douter, mais on ne pas que douter. Ça ne fait pas beaucoup avancer les choses. Dès fois, il faut affirmer ses idées sans reculer, dès fois, il faut arrêter et prendre du recul. C'est plus un savoir vivre et une expérience personnelle d'essai/erreur qui tend à une meilleure connaissance de soi. Peut être, de temps en temps, on peut se faire aider pour parfaire cette connaissance intime. Mais je trouve que c'est toujours plus pertinent de démontrer l'impertinence d'une analyse que de dire "il faut douter de ce que tu dis par principe" sans avoir de base concrète qui puisse le justifier le cas échéant. Cela dépend aussi du risque pris et du danger encouru. Plus le risque est gros, plus il faut être sûr, et revérifier. Moins il y a de risque et de danger, plus il faut expérimenter un nouveau cycle d'essai/erreur. C'est le but du jeu peut être ?
Après, c'est sûr qu'on peut pas répondre à toutes les personnes qui dérivent sur internet. La dangerosité de la chose tient plus à l'effet de masse peut être, qui fait que la société peut perdre pied. A l'échelle individuelle, une personne qui se trompe finira la plus part du temps par s'en rendre compte. Le problème pour moi, c'est quand il y a un enchaînement massif qui s'autoalimente et peut être que les réseaux sociaux permettent un effet de bord dans la société qui aurait été plus ou moins bénin dans le passé.
Le 14/04/2024 à 17h 16
C'est une remarque intéressante qui peut paraître évidente de "bon sens", mais autant je suis d'accord que croire à tout ce qui est contre le "consensus global" me semble être un contresens, autant, croire que le consensus est un meilleur pari en général me parait tout autant être un contresens dont je me demande si ce n'est pas le même. Ce n'est certainement pas parce que le consensus global serait faux, et ce n'est pas du tout là où je veux en venir. En pariant aveuglement sur le consensus global, on gagnera beaucoup plus facilement un débat en pariant sur le consensus global, tout simplement parce qu'on sera probablement majoritaire (d'où le consensus). Mais est-ce vraiment parce qu'on a compris ce qui en fait un consensus ? Parce que croire sur parole quelque chose ne me semble pas être une démarche beaucoup plus pertinente. Nos profs de math (entre autres) l'avaient bien compris, et passaient beaucoup de temps à démontrer ce qu'ils disaient. Et je me rappel que c'était dur à nos ages. C'était beaucoup facile d'appliquer une formule mathématique, que de démontrer sa pertinence. C'était valable aussi avec nos profs d'histoire/géo même si eux basaient plus leur raisonnement sur les sources historiques. Cela fait longtemps que je demande si ceux qui plongent directement dans le complotiste ne sont pas aussi ceux qui ont cru au "consensus global" par simple "bon sens" ou pari, plutôt que par conviction personnelle. Pour qu'il y ai consensus, il faut qu'il se fasse. Croire au "consensus global", c'est antinomique de ce qu'est un consensus global non ?
Le 14/04/2024 à 12h 40
Le 13/04/2024 à 20h 06
Le 13/04/2024 à 17h 54
Je suis plutôt d'accord avec l'article. Un certain nombre d'idées issues de la vulgarisation scientifique étaient fausses au moment où je les entendais quand j'étais enfant/ado :- nous n'utiliserions que 10% de notre cerveau avec en sous entendu qu'on pourrait être 10 fois plus performant (celle ci, je n'y ai jamais cru)
- on nous expliquait aussi que le cerveau était divisé en trois partie (reptilien, mamalien, et je sais plus le troisième), et que chaque partie correspondait à une étape de l'évolution de notre espèce. Ca serait complètement faux.
- pourtant il y aurait bien trois "cerveaux" que la science aurait "oublié" au début du 20ème siècle (à vérifier) : les neurones présents en nombre conséquent dans le système digestif (https://fr.wikipedia.org/wiki/Système_nerveux_entérique) et qui communiquent avec le cerveau, et aussi les neurones présents dans le cœur mais en plus faible nombre.
- l'idée que la sélection naturelle correspond à la loi du plus fort. Essayez de faire une simulation proie/prédateur/herbe simpliste sur ordinateur, et vous comprendrez que l'un à besoin de l'autre. D'une manière générale, la nature élabore beaucoup de stratégies, pas seulement des stratégies de domination.
- l'effet papillon : non les règles de la thermodynamique ne permettent pas à mon sens qu'un papillon à l'autre bout de la planète génère un ouragan ici. Un exemple plus réaliste serait ce qu'on voit dans "Destination finale", mais les probabilité qu'un enchaînement de causalité engendre une catastrophe sont, bien que possible, très improbable. Je dirais que la première partie est complètement fausse, et la deuxième improbable.
- l'idée que seul un système nerveux permet le développement de "l'intelligence" chez les espèces. Appartement, les plantes sont capables d'intelligence, y compris le blob qui n'est ni une plante, ni un animal, et qui développe pourtant des comportements intelligents.
- L'idée qu'il n'est pas possible de dépasser la vitesse de la lumière. C'est toujours le cas et non démenti, et ça a toujours été observé, mais l'idée qui peut être fausse qu'on m'avait donné est que en conséquence, nous ne pourrions probablement jamais aller dans un autre système solaire étant donné que le plus proche serait à 50 année/lumière (à moins d'être assez motivé (fou ?) pour envoyer une civilisation dans un vaisseau pendant peut être 200 ans au moins). Pourtant j'ai découvert le concept du moteur d'Alcubierre il y a quelques années qui permet très théoriquement et très hypothétiquement d'avoir les mêmes effets qu'un voyage supraluminique sans pour autant dépasser formellement la vitesse de la lumière : https://fr.wikipedia.org/wiki/Métrique_d'Alcubierre . Bien entendu, c'est plus une expérience de pensée qu'autre chose, mais disons que ce qu'on m'avait expliqué d'impossible ne l'était pas de façon aussi sûre. Pour faire court, c'est le moteur de distorsion de Startrek.
- etc.
Au final, je ne pense pas qu'on puisse éviter de "mal comprendre" un sujet, et même en tant qu'expert d'ailleurs. Donc je part du principe que la connaissance est vivante et elle évolue dans chaque individu. Je pense que c'est plutôt ça qu'il faut défendre dans la transmission de la connaissance si vous voulez défendre la Science. Si vous transmettez l'idée qu'on ne doit pas se tromper en science, j'ai plutôt l'impression que ça ne donnera pas envie de s'y intéresser et que ce sera perçu comme élitiste. Mais je peux me tromper.
Loi SREN adoptée : comment la France va sécuriser et réguler l’espace numérique
Avec des tours de passe-passe
Le 13/04/2024 à 21h 22
Le 13/04/2024 à 18h 03
Le 13/04/2024 à 12h 06
Le 13/04/2024 à 12h 05
Le 12/04/2024 à 21h 23
Le 12/04/2024 à 16h 25
Le 12/04/2024 à 13h 04
@Mimoza : L'application "France Identité" sera probablement proposée en plus d'"Identité Numérique" sur France Connect +. Pour l'instant la version "stable" ne le propose pas, mais la version de "test" (non proposée à tout le monde) permet de certifier son identité à la mairie, via les données biométriques contenues sur sa carte d'identité. Une fois cela en place (si ça aboutit), il sera possible de s'identifier avec France Connect + comme avec l'application "Identité Numérique". D'après ce que j'ai compris, "France Identité" a une politique plus autonome, car 1. elle est développée par l'Etat et non par La Poste, 2. Elle fonctionne très bien sans avoir besoin d'un compte Google ni sans passer par "Play Store" (pour l'instant en tout cas) et 3. Elle est notée 9/10 par Exodus Privacy contre 5/10 pour "Identité Numerique". En revanche, pour "France Identité", il faut avoir le dernier format de carte d'identité pour qu'elle fonctionne.Il y a 20 ans, la CNIL se couchait devant l’État
La novlangue sécuritaire de
19842004Le 27/03/2024 à 10h 13
Le 27/03/2024 à 09h 38
Autre exemple (et d'autres), toujours sur le Covid : https://www.lepoint.fr/societe/secret-medical-consentement-du-patient-toutes-les-digues-ont-cede-13-05-2020-2375278_23.php
Autre exemple dans la fonction publique : « VIII.-Nonobstant toutes dispositions contraires, peuvent être communiqués, sur leur demande, aux services administratifs placés auprès de l'autorité à laquelle appartient le pouvoir de décision et dont les agents sont tenus au secret professionnel, les seuls renseignements médicaux ou pièces médicales dont la production est indispensable pour l'examen des droits définis par le présent article. » Article 7 - https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042565176
Autre exemple ici : https://www.cdm44.org/un-patient-peut-il-demander-la-suppression-de-certains-elements-de-son-dossier-medical-ij
"La CNIL considère que la demande d’un patient que soient effacées des données de son dossier médical ne peut être satisfaite si ces données inscrites dans le dossier ne sont ni inexactes, ni incomplètes, ni équivoques, ni périmées et que leur collecte, utilisation, communication ou conservation sont conformes à la loi. "
On pourra toujours rétorquer que c'est pour faire des contrôles "légitimes", mais alors il faut bien admettre que le secret médical ne tient pas toujours quand il y a des enjeux.
Il y a encore d'autres exemples et je vais pas tous les citer, et les choses pourront encore évoluer. Je ne cherche pas à dire que c'est tout noir. Je dis juste que le secret médical est relatif, et il l'est de plus en plus.
Le 27/03/2024 à 09h 35