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mikeul

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118 commentaires

Le 11/02/2020 à 21h 43

Pareil, je n’utilise pas de launcher, uniquement les raccourcis (sur un win 10)

Le 17/01/2020 à 10h 27







ColinMaudry a écrit :



En français, c’est poser la liberté comme valeur maîtresse, avec derrière de la méritocratie, du libre échange, libre circulation des biens et capitaux, la liberté d’entreprendre, la liberté d’expression, etc.




 Cela s'oppose à social démocrate, socialiste voire communiste, où la solidarité a un poids plus important, avec un protection des plus faibles, l'Etat providence, etc.       






 En anglais, liberal désigne une grande variété de choses, parfois pas trop compatibles. Je le lis tout de même beaucoup comme synonyme de "progressiste". 







C’est bien pour cela que je dis que Macron ne l’est que partiellement, car sur un certain nombre de thématiques non économiques, l’exécutif actuel et le président sont plus conservateurs que libéraux (ex : liberté d’expression, surveillance, immigration, etc.)


Le 16/01/2020 à 14h 04

Macron est à la fois libéral et pas libéral





  • Libéral parce qu’un certain nombre des réformes conduites depuis qu’il est aux affaires (et déjà quand il était ministre) vont dans le sens d’une libéralisation : privatisations, ordonnances travail, baisse des coûts, individualisation d’un certain nombre de thématiques (ex: loi sur la formation), assouplissement de règles pour “libérer les énergies” (on laisse faire le marché et les chartes de bonne conduite en croisant les doigts), startup nation, son rapport à l’impôt, etc. Les exemples ne manquent pas

  • mais très conservateur, avec plusieurs de ses positions/initiatives (ou celles de LREM) : passage dans le droit commun de l’état d’urgence, loi Avia (même si c’est une proposition de loi, elle est portée par l’exécutif), nouvelles lois sur la surveillance (programmation militaire, surveillance Bercy, etc.), loi immigration (et le projet de quotas), rapport à l’écologie, le nouveau service national, etc.



    il faut quand même noter que libéral s’entend dans plusieurs dimensions et pas seulement la dimension économique…

Le 13/01/2020 à 13h 19





  • Sauvegarde des PC vers le NAS de données (RAID 1 pour la dispo)

  • Sauvegarde du NAS de données (données locales + données précédentes) vers un NAS de sauvegarde et un HDD USB externe



    Deux problèmes à mon système :

    Cette sauvegarde fait du versioning sur les données des PC qui sont déjà en incrémental sur le 1er NAS, ce qui fait doublon et mélange sur la même machine des données de nature différente ;)

    La sauvegarde du NAS de données se fait sur un NAS dans le même appartement, donc la sécurité géographique n’y est pas



    Il faudrait en fait que les sauvegardes des données (PC+NAS) se fassent toutes directement sur le NAS de sauvegarde et que celui-ci soit sauvegardé en distant (je garde la sauvegarde locale un USB)

     

Le 07/11/2019 à 22h 21







huygens a écrit :



J’ai un routeur Asus depuis Nov 2014 (5 ans). J’ai simplement refusé d’utiliser leur fonctionalité AI Cloud (y inclus celles liés à TrendMicro) et je n’utilise pas leur application mobile. Du coup, je n’ai pas besoin de compte Asus. J’ai juste un compte local sur le routeur. Ca marche et ca ne risque pas de fuite de données.





Certes mais dans ce cas, je devais me passer des fonctionnalités avancées de stats d’utilisation du réseau. Or ces fonctions avancées étaient plutôt bien foutues alors que le monitoring de base trop léger.

Bref, j’ai dû faire un choix.

Pour les autres que j’ai essayés (Ubiquiti, Synology que j’ai finalement gardé), je n’ai pas ce problème mais le monitoring est moins avancé (mais tjs mieux que la fonction de base Asus)


Le 07/11/2019 à 11h 07

C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai renvoyé il y a quelques mois un routeur ASUS que j’avais acheté. L’appli est plutôt bien foutu, mais l’activation de certaines fonctionnalités implique d’accepter d’envoyer des infos (ici à Asus, pour d’autres modules à Trendmicro). Sur un routeur, qui est censé garantir un certain niveau de sécurité, ça la fout mal.

Le 31/10/2019 à 13h 26

à supprimer

Le 30/10/2019 à 09h 04







mikeul a écrit :



Résultat des courses : 712 pour la droite ;)

On est très loin du “quasiment toutes de gauche”, hein ? :)

 



Petite coquille, c’est bien 713 qu’il fallait lire ;)


Le 30/10/2019 à 08h 51







romu79 a écrit :



Pourtant, étonnamment, les fouilles systématiques (et invasives) à l’entrée du moindre parc d’attractions ne dérangent personne, de même que l’acharnement biométrique dans les aéroports…

Il faudrait aussi peut-être regarder du côté des régions (quasiment toutes de gauche) qui sont responsables des budgets des lycées et leur poser la question des effectifs dédiés à ce type de tâches. Y aura-t-il autant de véhémence de la part de la plupart des commentateurs sur ce forum ??





Comme d’autres, moi, ces fouilles, ça me gène, sachant en plus qu’elles sont particulièrement inefficaces (c’est juste pour rassurer).



Sur 13 régions en métropole (Corse incluse) :

5 régions dirigées par des LR officiels (dont PACA, là où se déroulent ces expés…)

1 région dirigée par X. Bertrand, ex-LR

1 région dirigée par H. Morin : centre droit

1 région dirigée par des nationalistes (Corse)

5 régions dirigées par la gauche

Résultat des courses : 712 pour la droite ;)

On est très loin du “quasiment toutes de gauche”, hein ? :)



En Outre-mer, c’est à peu près partagé (pour les collectivités qui ont le statut de région).

 


Le 30/10/2019 à 08h 39







seb01380 a écrit :



Il y a plus de démocraties qui testent la reconnaissance faciale que de pays totalitaire.

Et comme dit plus haut, on parle de contrôle d’accès et pas de surveillance des déplacements.



 





Qu’il y en ait plus ou pas ne change au rien au fait que ce type de techno est bien testé par des pays peu voire pas démocratiques. La reconnaissance faciale fait partie des technos (“progrès”) qu’il est facile de détourner pour des objectifs peu reluisants.

 

Rappelons aussi quand même que depuis plusieurs années, nos propres démocraties renforcent sans cesse les outils de surveillance de la population (cf. les x lois sécuritaires). Le glissement est progressif mais bien réel (et il s’accélère). La reconnaissance faciale n’est qu’une étape de plus. On renforce la sécurité au détriment des libertés publiques.



  Par ailleurs, la frontière entre le contrôle d’accès et la surveillance des déplacements est mince. Rappelons que Nice est l’une (si ce n’est là) des villes avec le plus de caméras de surveillance. D’ici à ce que la reconnaissance faciale, testée dans des lycées, soit étendue aux caméras, il n’y a qu’un pas (surtout pour un Estrosi).



Dernier point, qui a été largement évoqué par des commentaires plus haut, mais que j’en remets une couche : en quoi la reconnaissance faciale améliore-t-elle la sécurité par rapport à d’autres systèmes (carte d’ID, badges, etc.) ?



Parce qu’à un moment, il faut bien faire la part des choses. C’est typiquement ce genre de mauvais raisonnements (pour une part idéologique) qui a conduit à privilégier, par ex, une solution de centralisation des données biométriques pour les passeports ou les cartes d’identité (plus de chances de piratage à grande échelle ou d’utilisation frauduleuse par un pouvoir ou des individus peu scrupuleux et il n’y a pas besoin d’être dans une dictature pour que ça arrive) à une solution où chaque carte (et donc son porteur) possède ces données. Oui, l’État a invoqué des histoires de coût, mais c’était une paille au regard des risques.



Il faut voir l’image dans son ensemble.


Le 29/10/2019 à 19h 34







KaKi87 a écrit :



Pourquoi être contre un système de reconnaissance faciale qui n’a aucun autre but que d’ouvrir une porte ? C’est pas comme s’il était question de surveiller les rues…





C’est beau la naïveté :)


Le 29/10/2019 à 19h 32







seb01380 a écrit :



Moi ça ne me choque pas. On parle d’expérimentation, de plus sur une population volontaire.

Mais comme d’habitude en France tout me monde s’offusque avant la fin de l’expérimentation. 



Pendant ce temps là dans le reste du monde…..





Ce n’est pas parce que le reste du monde expérimenterait (et en l’occurrence, quelques pays qui sont notoirement connus pour être des démocraties, hein…) que c’est nécessairement une bonne chose. ça, c’est l’argument de la “majorité”, qui n’a rien d’une évidence, c’est même plutôt du panurgisme.



Par ailleurs, que ce soit une expé ne diminue en rien les risques relatifs à la vie privée.

Enfin, pas mal de décideurs politiques se planquent derrière la notion d’expérimentation alors que les décisions de généralisation sont déjà prises, avant même une évaluation (et encore faut-il que l’évaluation en soi une vraie et qu’elle soit indépendante).



 Ciotti, Estrosi et d’autres sont coutumiers du fait…


Le 02/08/2019 à 14h 56

Curieux, je n’ai jamais utilisé le moteur de recherche intégré (si on parle bien de l’application installé sur android et non pas l’utilisation d’un moteur dans un navigateur).



J’ai regardé par curiosité la procédure actuelle pour changer ce moteur de recherche par défaut, et, surprise, on doit passer par Chrome (si j’ai bien compris). Sauf que chez moi, je l’ai désactivé.

Le 05/04/2019 à 10h 35







David_L a écrit :



On remonte des actus/tutos quand ça parait nécessaire, là c’était le cas (mais ça reste rare)






Par contre, si je puis me permettre, ce serait bien de voir que c'est un article remonté (un encart au début, date de 1ère publication, etc.). La date de publication est celle d'aujourd'hui, du coup, ça peut induire en erreur.     





Et je suis tombé dans le panneau. Ce n’est qu’en regardant les commentaires que je me suis aperçu que c’était un ancien article (et encore, c’est quand je me suis étonné de voir 5 pages que ça a fait tilt).



 


Le 01/03/2019 à 13h 43

J’apprécie pas mal TreeSize, dont l’avantage est d’être très rapide (comparé à windirstat s’entend)

Le 25/02/2019 à 15h 07







gjdass a écrit :



Quand aux comptes qu’ils rendent, c’est la théorie. Dans la pratique ils sont tout puissants on va pas se mentir. Ça peut être une très bonne chose (notamment pour renforcer leur indépendance) si aucune arrière pensée ne vient perturber les jugements. Le problème est que ce n’est pas toujours le cas.




 Ça ne reste que mon avis perso, mais je persiste à dire que du pouvoir, ils en ont, et il ne faut pas leur en donner plus qu'il ne faut. Sinon on détricote la démocratie.







C’est pas du tout le débat ici…



Ce qui est posé là, c’est même le contraire :





  • On note le manque criant de moyens pour que la justice puisse simplement faire son travail actuel (ni plus ni moins), donc appliquer les textes actuels. Au lieu de cela, on pond des textes par dessus des textes parce que “bien sûr, si ça ne va pas, c’est que le droit n’est pas bon”, ce qui conduit à des situations absurdes

  • Actuellement, on ne donne pas plus de pouvoir aux juges, c’est même la tendance inverse. on bascule progressivement dans un certain nombre de domaines dans une logique du “une autorité (qui n’est pas le juge) sanctionne préventivement et seulement ensuite on peut aller devant un juge”. Exemples : loi anti-casseur, mesures d’urgence, dont le principe est justement de shunter la justice dans des cas spécifiques, qui basculent dans le droit commun ou le sujet de la tribune ci-dessus



    C’est simplement le passage d’une justice judiciaire à une justice administrative, donc expéditive, difficilement contestable et in fine autoritaire. Et comme la justice n’a toujours pas les moyens de fonctionner correctement, les contestations a posteriori quand elles sont possibles, sont de fait très difficiles (ceux qui ont les moyens et le temps iront au carton, mais les autres ?).


Le 25/02/2019 à 12h 38

Et c’est aussi masqué derrière la sacro sainte “efficacité”.

Le 25/02/2019 à 11h 50

Et complètement d’accord sur le constat :



Parce que la justice n’a pas les moyens de faire son travail, la seule solution que les gouvernements successifs trouvent, c’est de contourner le juge avec tous les dangers avérés que cela comporte en matière d’arbitraire et d’abus (privé ou administratif)

Le 19/02/2019 à 08h 18

De mon point de vue, il y a deux niveaux de lecture :





  • Ce que la loi permet ou pas en matière de liberté d’expression.

  • La question du “qui contrôle/sanctionne et comment” et ce quel que soit le support. Je rappelle au passage qu’internet n’a jamais été une zone de non droit, puisque les lois sur le sujet (les plus anciennes) sont suffisamment bien faites pour s’appliquer partout. Ce n’est que depuis quelques années que l’on fait des lois trop “ciblées” (type hadopi), conséquence de la jurisprudence Sarkozy : “un fait divers, une loi”.



    On peut déjà débattre sur le 1er point, avec les évolutions apportées ces dernières années, et il y aurait pas à dire. Mais si l’on s’arrête sur le 2ème point, c’est là que le bât blesse le plus, dont cette loi qu’on nous pond n’est que le Nème avatar : c’est un glissement progressif du contrôle a posteriori par l’autorité judiciaire (indépendante, en tout cas le plus possible) vers un contrôle a priori par l’autorité administrative (donc l’État, donc l’exécutif), avec le filtrage d’éléments peut-être illicites mais c’est pas sûr.



    Quand kevinz parle “d’un état qui s’autorise à être le seul juge…”, c’est bien ce qu’il souligne en creux. Or ce cas de figure (police administrative a priori) ne garantit plus une réelle liberté d’expression. C’est l’arbitraire d’un État, c’est le glissement vers l’autoritarisme. D’ailleurs, l’utilisation du mot hygiène est tout sauf anodin.

Le 14/02/2019 à 10h 34

Bienvenue dans le nouveau monde : avant même le délit d’opinion, le délit préventif d’opinion déviante.

Le 11/01/2019 à 12h 41







carbier a écrit :



C’est de pire en pire les articles… Maintenant on est en mode “donneur de leçons” ou “on tire à vue sans rien connaitre du fonctionnement”… Bravo <img data-src=" />



Remarque on a évité (de peu) le cliché du fonctionnaire incompétent (quoi que ce soit fortement sous entendu)





Je n’ai pas le sentiment que la critique générale porte sur la compétence des fonctionnaires, plutôt sur :




  1. les moyens qui sont donnés à l’institution (des postes mais pas seulement, cf. les moyens matériels de la justice par ex)

  2. son organisation interne (donc là liée aux compétences de la hiérarchie)

  3. l’importance politique donnée au sujet (ici la transparence)



    Pas mal d’administrations souffrent de ces 3 éléments et ce, indépendamment de la compétence des agents qui y travaillent.



    Concrètement, pour un exécutif, il n’est donc pas très compliqué d’asphyxier consciemment ou non une autorité administrative indépendante (et donc de peser sur son indépendance).

    &nbsp;


Le 11/01/2019 à 12h 32







DoWnR a écrit :



Reste que quand ton jeu n’est plus installé, va savoir sur quelle plateforme tu l’avais acheté pour pouvoir le réinstaller <img data-src=" />





Très juste, ce que je dis ne s’applique bien entendu qu’aux jeux installés et donc lançables dans l’instant.





Mihashi a écrit :



Mais quand tu veux l’acheter ?





ça, c’est une autre question (je parlais là des jeux déjà installés et donc achetés)





Gnppn a écrit :



Ce n’est pas la question. Kevin parle des bibliothèques en ligne, pas des jeux installés. Playnite regroupe tous les jeux des différentes bibliothèques, y compris les jeux qui ne sont pas encore installés sur le PC. Il permet de facilement s’y retrouver.







  1. Je ne remets pas en cause l’intérêt de Playnite (je l’ai chez moi)

  2. Non, désolé, dans cette partie de l’article, ce n’est pas aussi explicite. On parle de lancer une partie.



    Comme l’a justement souligné DoWnr, ce que j’explique ne règle évidemment en rien la question de la réinstallation. Je ne parlais que du lancement (ce n’est pas tout à fait la même chose de lancer un jeu directement ou de devoir le réinstaller pour y jouer…). Bref, cela n’est qu’un détail mais je ne disais cela que pour dire que la difficulté réelle de la multiplication de ces plateformes ne réside pas spécialement dans l’exécution des jeux en tant que tel.


Le 10/01/2019 à 21h 47

“Un problème vient se poser à l’utilisateur lorsqu’il multiplie&nbsp;les plateformes pour ses jeux : comment retrouver facilement quel logiciel lancer pour accéder à tel titre ? Si la réponse est aisée pour certains comme FIFA 19 (Origin uniquement) ou World of Warcraft (Battle.net uniquement), où se diriger pour une petite partie de Super Meat Boy ?&nbsp; Steam ? Origin ? Epic Games ? GOG ?”



Il y a une réponse simple à cette question :

Sur un Windows (par exemple), pour lancer un jeu, il n’y a pas besoin de lancer la plateforme avant. Soit on utilise le raccourci sur le bureau (basique) ou une recherche dans les programmes (barre de recherche/menu démarrer). Et, bien entendu, si le jeu est liée à une plateforme en particulier, celle-ci va se lancer automatiquement avant. Donc pas besoin de lancer tel ou tel logiciel avant.

Au passage, un jeu acheté sur GOG ne nécessite d’ailleurs pas (et vous l’indiquez) d’installer le client, il se suffit à lui-même.

Le 26/11/2018 à 09h 00

M’enfin 70 au lieu de 56, c’est quand même pas Byzance :)

Le 06/11/2018 à 13h 20

&nbsp;





Jarodd a écrit :



Mais ils étaient où, ces 15 dernières années ?



C’est bien beau de demander aux états, mais ça fait un bail que ce sont les entreprises qui rabotent les libertés, avec des censure arbitraires, l’exploitation des données qu’on leur donne… Des entreprises comme Facebook et Google justement ! Comment peut-il être crédible avec de tels partenaires, et en se réveillant fin 2018 ?



Quant au soutien du gouvernement français… Mounir a encore fait un tweet ?





En fait, ce sont autant les entreprises que les états qui rabotent les libertés…



&nbsp;


Le 06/11/2018 à 10h 17

“Les entreprises sont censés rendre Internet adorable pour tous”, ne serait-ce pas plutôt abordable ? <img data-src=" />

&nbsp;

Le 17/09/2018 à 11h 47

Par contre, un truc pour le moins curieux : si on regarde la manière dont les panneaux de verre sur le côté sont accrochés au châssis, cela semble laisser un gros vide (merci la poussière et le bruit)

Le 22/08/2018 à 10h 27

Je m’étais fait la même réflexion sur les montants en euros, plutôt faibles :)

Le 10/07/2018 à 16h 16

Du coup, faut que je regarde si je peux désactiver ce @#!{%## d’assistant sur la shield.

Le 06/07/2018 à 14h 57

Abonné depuis un moment, tout simplement parce que Next Inpact a comblé un vide dans la presse française : une vraie analyse des enjeux du numérique, un vrai travail de fond qui change des articles des magazines mainstream. En n’hésitant pas à jouer les poils à gratter. Et ça, j’adore.

Le 16/03/2018 à 07h 47

Très intéressant comme dossier. A quand un complément sur les solutions de “vraie” sauvegarde (plutôt que de stockage/synchro) ?



En particulier, peu permettent la sauvegarde depuis un NAS (même crashplan ne le permet pas sans bidouille). Il y a bien Synology C2 (mais comme j’ai un syno, j’aurais voulu avoir un autre prestataire)

Le 19/02/2018 à 16h 36

Le Node 304, c’est justement mon boîtier actuel.&nbsp; Dans l’absolu, Il coche toutes les cases.

Sauf la forme :). En effet, il est trop cubique, en particulier il est plutôt très large (25cm). Du coup, il prend pas mal de place au sol et les entrées (USB/audio) sont difficilement accessibles.



Le même, avec les mêmes caractéristiques, moins large (genre 15-17cm), mais une forme plus tour à la mode Corsair One justement ou Silverstone FT03 (ou desktop à poser verticalement), je prends tout de suite.

Le 19/02/2018 à 11h 08

J’aime beaucoup ce boîtier. Pas tant que le côté bling/bling que sa forme. J’aimerais trouver un équivalent sur le marché pour construire mon propre système (car pas question d’acheter un truc tout fait, surtout à ces prix délirants).



Mais un boîtier de 15-20L, mini-ITX, au format tour vertical étroit (façon silverston FT03) ou desktop, permettant d’avoir une alim ATX (et non SFX), pour un bon équilibre puissance/silence (donc acceptant une config de joueur, avec ce que cela implique en termes de taille de CG), je n’ai pas trouvé jusqu’à présent… Soit c’est trop gros, soit trop petit, soit trop de concessions, etc.

Le 16/02/2018 à 13h 30







David_L a écrit :



L’idée est pas mal, surtout pour LB, du coup j’ai remonté pour qu’on étudie la chose ;)

&nbsp;

Il n’y a pas de notion de niveau dans les flux RSS. Par contre on a des flux RSS différents, comme détaillé depuis le départ sur la page dédiée aux flux RSS (et dans les billets d’annonce :p)



nextinpact.com Next INpact&nbsp;



Ah Ah, carrément <img data-src=" />





My bad, je l’avais zappé…


Le 16/02/2018 à 09h 24

Personnellement, j’adore le Brief. Ça permet d’avoir un condensé d’infos sur tout un tas de sujet et les liens vers des éléments plus développés.



Seul souci ; ça pollue un peu le flux RSS puisque chez moi, toutes les entrées du Brief sont au même niveau que les articles normaux ;)

Mais bon, ça reste un inconvénient mineur.

Le 05/01/2018 à 13h 19

Parce que la notion de vie privée, cela existe.

Le 05/01/2018 à 11h 11







Drepanocytose a écrit :



Moi ca m’interesse.

Ça demande la transparence a tout le monde et ça occulte des qu’il s’agit de soi <img data-src=" />





C’est ironique non ?


Le 05/01/2018 à 11h 01







fred42 a écrit :



Je ne vois toujours pas en quoi, il y a une décision individuelle « sur le fondement d’un traitement algorithmique ». Il y a bien un traitement algorithmique pour calculer la prime d’activité, mais pas une décision individuelle.




Je ne vois pas non plus pourquoi demander des informations déjà disponibles sur ce calcul, puisque le lien a été mis  dans l'article avec l'info de la page à lire.      






Enfin, je vois que mes conseils de mieux expliquer ont porté puisque "Après avoir réexpliqué la situation, la CAF est finalement revenue vers nous"








Je suis d'accord avec toi.     



Dans ce cas précis, comme dans d’autres, le traitement algorithmique n’est que l’application stricte des règles de calcul formulées dans les textes (lois, décrets, arrêtés, etc.). L’automatisation remplace l’agent avec sa petite calculette mais (sauf erreur), le résultat doit être le même. Donc je ne vois pas en quoi l’algorithme en question emporterait ses propres règles (auquel cas, là oui, il serait nécessaire de se les faire communiquer).



Dans un cas comme APB, là peut-être effectivement que c’est différent, puisque les règles de répartition ne sont pas forcément rendues publiques et uniquement implémentées dans le SI et que les décisions tomberaient sans qu’on comprenne pourquoi (je ne connais pas bien le détail de l’affaire).



Mais on n’en est pas encore, dans l’administration, à avoir une IA qui prend des décisions individuelles sur la base d’analyses qualitatives de la situation d’une personne… (ce que l’administration fait dans certains cas pour juger un dossier et que les critères ne sont pas quantifiables, ex: naturalisation)



Personnellement, le contenu de l’algo, dans un cas comme celui-ci, m’importe peu. Je regarde les règles (ou me les fait expliquer par mon interlocuteur), je croise pour vérifier que c’est correct et ensuite, que le calcul soit effectué par un SI ou un agent avec une calculette, peu importe…


Le 03/01/2018 à 10h 43







Drepanocytose a écrit :



Rah les gars, même quand ils publient les données, vous ralez. Tout le monde n’est pas à l’aise avec les formats de données info, dans la vie : c’est pas parce qu’on pond une loi que du jour au lendemain vous aurez des données structurées propres en csv ou en base SQL….



Maintenant les données sont la, donc si vous voulez les exploiter vous vous sortez les doigts...







Certes !

Mais vu que le cœur de métier de la HADOPI est quand même le numérique, qu’elle passe des marchés techniques avec des prestataires informatiques (et il s’agit de marchés un peu plus complexes que de la bureautique), on peut légitimement s’attendre à ce qu’elle dispose de compétences en interne, surtout pour formater proprement un fichier CSV…


Le 29/11/2017 à 07h 38

Bon, validation trop rapide du commentaire et du coup, il manque des bouts de phrase de partout !

Le 27/11/2017 à 18h 27







tmtisfree a écrit :



1/ Que les gens soient influencés par X, Y ou Z ne changent pas que la décision ultime leur revient. Toujours.



2/ Personne, pas même ceux qui offrent ces services, ne sont en possession de toutes les informations. Cette condition est inutile. De manière superficiellement paradoxale, une économie de marché présuppose pour fonctionner deux engagements profonds de la part de ses agents en opération (aval et amont), l’acceptation de leur ignorance relative (défaut d’informations sur l’état du marché) et la tolérance à l’incertitude (principe de l’effectuation).





1/ La question n’est pas à qui revient la décision, mais dans quelles conditions elle se prend (ou pas).

2/ Blah blah blah. C’est de la théorie pipeau bingo tout cela.



Tout dans l’histoire montre que “laisser faire le marché” pour arriver spontanément et par le biais du saint Esprit à une situation satisfaisante (quand on pense en plus que la définition de ce qui est satisfaisant n’est pas la même selon l’acteur) est un pur mythe.

&nbsp;





tmtisfree a écrit :



Aller savoir, peut-être qu’en priant assez fort, ces alternatives vont spontanément émerger…



Le planqué qui a pondu cette ineptie est typique de ceux, nombreux, atteint du syndrome des temps postmodernes du poulailler France/EU : plutôt que de remettre en cause les institutions iniques qui ruinent l’économie, font tout leur possible pour empêcher que se développent des industries et taxent/imposent à tout va pour faire vivre l’armée de parasites qui contribuent à cette mort économique programmée, on en redemande et on casse les pattes de ceux qui réussissent parce qu’ils viennent d’ailleurs.



Cela fleure bon le protectionnisme d’arrière-grand-maman doublé d’un paternalisme grandiloquent que ne renierait pas le Maréchal.



Mais il faut le comprendre : on ne peut pas mordre la main qui nourrit.





Tu es sûr de ne pas t’être trompé d’article ?

Ce blah blah grandiloquent qui n’a ni queue ni tête, je vais l’encadrer <img data-src=" />


Le 27/11/2017 à 16h 16







tmtisfree a écrit :



Laisser faire le marché, càd les gens, puisqu’à la base c’est quand même eux qui décident (encore).

&nbsp;



Merci, mais je suis assez grande pour décider toute seule ce qui est bon pour moi.





C’est une théorie qui semble intellectuellement valide mais qui ne résiste pas du tout à la réalité.

Cela suppose :





  • d’une part que la décision est bien dans les mains “des gens” (et donc quid du marketing, des techniques de manipulation publicitaires, etc.) ? Il suffit simplement de regarder autour de soi ce qu’il se passe pour la voir (la théorie) battue en brèche tous les jours

  • D’autre part que tous les acteurs (dont les gens) soient en possession de toutes les informations et puissent faire un choix éclairé. On sait depuis longtemps que c’est un mythe ;)




Le 27/11/2017 à 13h 42







Apone a écrit :



à Paris, ça avance lentement, mais j’ai toujours l’impression d’être à l’âge de pierrer.

(il a quel âge, d’ailleurs, Pierre ?)





Heu, si Paris est à l’âge de pierre, Lyon n’a pas encore découvert le feu ;)

Il faut rappeler que si la 3G/4G doit déployée dans le métro lyonnais, actuellement, il n’y a même pas de réseau du tout sauf dans les stations proches de la surface : impossible d’appeler dans une rame (ce qui n’est pas forcément un inconvénient vu les nuisances sonores que cela engendre…)

&nbsp;





yannickta a écrit :



De mon expérience, à Paris, les seules parties avec de la 3G/4G, c’est les parties aériennes. Parce qu’il n’y a rien a faire. Pour le reste, la plupart stations sont sensées être couvertes. C’est ce qu’ils disent. Mais on ne doit pas être sur la même planète. Ou alors, on ne parle du même Paris…





C’est loin d’être répandu partout, c’est vrai, mais il n’y a pas que le métro aérien qui est couvert. Certaines parties souterraines le sont déjà depuis un moment (ex : une partie du RER A, certaines stations de la 8. Sur la 1 aussi de mémoire, etc.).


Le 31/10/2017 à 14h 55







KP2 a écrit :



Tout le monde a des besoins differents et une “culture” informatique differente… pour moi, c’est deja bien qu’ils mutualisent au niveau du ministere…

Et puis la mutualisation a des limites, même sur les gains financiers… si tu passes 2 ans a réunioniter pour définir les besoins des uns et des autres, faire les arbitrages, trouver un produit qui répondra à minima mais dont personne ne sera vraiment content et enfin se faire livrer avec 3 ans de retard, c’est naze… et ça a couté plus cher au final…

Et c’est bien souvent ce qui arrive quand il y a trop de gens impliqués et trop de besoins différents à concilier.





Tout à fait d’accord. Les projets interministériels mutualisés, ça existe. Mais ça demande un

tel travail de convergence et de préparation que ça coûte un temps et un fric monstre, avant même de savoir si on va en tirer un gain. Et pour ceux qui ont de la mémoire, se rappeler des projets qui ont capoté, entre autres raisons, à cause de cela (ONP par exemple).



&nbsp;Il ne faut pas oublier plusieurs choses :





  • Un seul ministère, ce n’est pas un PME de 30 personnes, cela va de quelques milliers à plusieurs centaines de milliers

  • Les métiers d’un ministère à l’autre sont très différents (quoi de commun entre un enseignant, un militaire, un spécialiste de la culture, du social, de la santé, etc.). Un état, ça couvre quasiment tous les champs et les secteurs, et avec en plus le métier spécifique de l’administration. Aucune entreprise privée ne se trouve dans une situation similaire et ne pourrait se prévaloir d’une telle mutualisation…



    Et puis au-delà des spécificités du public, la taille des organisations (y compris dans le privé) est toujours un frein important.


Le 11/09/2017 à 11h 39







cyril8 a écrit :



Il faut peut-être arrêter avec le fantasme qui consiste à dire que les enfants actuels sont des génies de l’informatique et les parents (lesquels? un certain nombre travaille dans le domaine informatique) sont des incapables qui de toute façon se feront berner par leurs marmots.



Ce n'est pas parce que la génération Z a trempé dès la naissance dans internet et qu'elle a connu le développement des téléphones portables jusqu'au smartphone qu'elles est plus  à l'aise et surtout plus douée que la génération la précédant. Par exemple un bébé qui sait utiliser le tactile d'une tablette ne sera pas plus à l'aise qu'un autre pour faire du dévelo.








+1000     





Indéniablement, les nouvelles générations sont plus à l’aise dans l’utilisation des outils et objets numériques (encore que, pour avoir côtoyé des étudiants, ce n’est pas si évident au quotidien, même sur des choses basiques comme la bureautique).

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Mais savoir utiliser les outils ne signifie pas pour autant qu’on en maîtrise mieux les soubassements (techniques et/ou fonctionnels), sans parler des enjeux et des conséquences. Entre utiliser facebook et savoir réellement bidouiller, il reste toujours un écart significatif. C’est d’autant plus vrai que l’évolution logique de l’informatique, c’est développer des outils de haut niveau (d’abstraction), tendant ainsi à masquer ce qu’il y a sous le capot.

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Le 01/09/2017 à 14h 47







WereWindle a écrit :



les US ont fait ça en 2001 et les pratiques en elles-mêmes ont très probablement cours depuis que les nations existent…

Tu préférais quand ils faisaient cela en lousedé sans aucun contrôle ? (dûsse-t-il être faiblard voire factice)



Les deux approches se valent en fin de compte… tu peux dire “ils n’en ont même plus honte” comme tu peux dire “on a des infos même parcellaires sur ces pratiques et c’est déjà plus de transparence”, ça revient au même : à la fin les services de renseignement collectent des infos plus ou moins au bulldozer, plus ou moins sous contrôle d’une autorité et plus ou moins sur tout le monde.



Je ne dis pas que c’est bien ou mal, je dis qu’à la fin le résultat est peu ou prou le même…





Pas d’accord à plusieurs niveaux :




  1. Je n’ai jamais dit que je préférais les pratiques sous le manteau (relire mon message)



  2. non, ce n’est pas “peu ou prou le même résultat”. Je le dis dans mon message, mais pour le dire autrement, l’objectif actuel n’est pas seulement de mettre plus de transparence sur des pratiques existantes (ça, c’est le discours marketing)






  • &nbsp;Il s’agit d’abord de légaliser ces pratiques, ce qui oblige de facto à mettre un peu de transparence (c’est une conséquence inévitable d’un passage par la loi) pour les rendre plus facilement utilisables et mobilisables (et donc moins contestables par le juge aussi)

  • ensuite d’élargir largement les possibilités de surveillance et donc les moyens

  • Enfin de diminuer les possibilités de contestation/contrôle (par une autorité, le juge, le droit, etc.), en laissant l’arbitraire de l’administration (donc l’exécutif) sans contrepouvoir.



    Ce sont ces 2 derniers points qui changent considérablement la donne et qui font que non, on ne peut pas dire que le résultat des lois mises en place depuis plusieurs années (la nouvelle n’étant que la n-ième) est équivalent à ce qui se faisait sous le manteau avant.



    Encore une fois, les lois dont il est question, surtout la dernière à venir, ont un contenu qui ne porte pas que sur les mesures techniques mais aussi et surtout sur l’articulation avec les contrôles (en amont, a posteriori), les voies de recours, l’intervention des juges. Ce n’est plus seulement un sujet technique mais aussi de droit et de libertés civiles. C’est typiquement par ce genre de projet qu’on ébranle l’équilibre des pouvoirs (ce que certains appellent la séparation des pouvoirs), en donnant des pouvoirs trop importants à l’un d’entre eux (le pouvoir exécutif) au détriment des autres, qui ne peuvent plus contrôle ou empêcher. Le glissement autoritaire commence déjà par là.


Le 29/08/2017 à 10h 50







carbier a écrit :



Je vais sortir le pop-corn et lire avec délectation les commentaires étonnés des abonnés qui découvrent les pratiques des services de renseignement.



Hint: ceci est valable dans chaque pays hein <img data-src=" /> Pas la peine de jouer les vierges effarouchées par rapport aux pratiques “à la française”





Oui enfin, on passe à un niveau au-dessus en inscrivant ces pratiques dans le marbre de la loi et en les élargissant considérablement. Des “pratiques” de surveillance sous le manteau, ce n’est déjà pas joli, mais les institutionnaliser, ce n’est plus tout à fait la même histoire.



Certains diront : “Ce que la loi a fait, elle peut le défaire”. En théorie oui. Mais dans ce cas précis, le retour en arrière (s’il est ne serait-ce qu’évoqué, ce qui est déjà un 1er obstacle) sera très très compliqué, c’est bien là l’un des soucis principaux.


Le 25/08/2017 à 12h 38

On voit bien que beaucoup de service se trouvent à plusieurs frontières : backup, archivage, cloud/synchro, ce qui rend la sélection difficile.




Pour quelqu'un comme moi qui veut faire du backup chiffré, avec gestion de version (donc incrémental), il y a quoi de correct et utilisable avec plusieurs plateformes/outils ?      





C2 backup a l’air pas mal, mais c’est limité à Syno. J’ai certes un NAS de la marque pour le moment, mais pas impossible que je change…

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Et ça m'interroge sur les solutions :       







  • Versionning : est-ce qu’il est préférable d’avoir un service qui gère en auto le versionning ou alors d’utiliser un service de stockage qui ne fait pas de versionning mais sur lequel on balance nous-même les incréments (donc gestion ensuite un peu à la main) ?

  • Chiffrage : on chiffre soi-même en amont (avant upload) ou on prend un service qui chiffre lui-même



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Le 16/06/2017 à 12h 03







hellmut a écrit :



pas d’accord, il y a tout un tas de textes de loi qui se basent sur des faits de préparation d’actes à caractère terroriste et qui permettent de juger un mec sans qu’ils soit passé à l’acte. du coup je comprend mal ton histoire de dynamique illégale… ???





En temps normal (cad pas en état d’urgence), un “fait de préparation”, comme tu dis, c’est justement déjà un début d’exécution du crime comme le dit graphseb. Donc c’est cohérent. Même avec toutes les lois déjà votées, on n’en est pas encore à mettre en prison des gens sur une intention qui n’est pas encore matérialisée.



Sauf que, le nouveau projet de loi antiterroriste, qui veut basculer les mesures de l’état d’urgence dans le droit classique, change quelque peu la donne…


Le 16/06/2017 à 10h 51







graphseb a écrit :



Je vois que finalement nous sommes nombreux à avoir la même vision : “ceux qui vont”. “Ceux qui vont” pose deux problèmes, àmha :

#1. À part Élisabeth Tessier, personne ne peut affirmer qu’il feront. On peut réunir un certain nombre de suspicions et d’éléments factuels, mais tant que ça ne se matérialise pas (au moins par un commencement d’exécution), y a rien.

&nbsp;#2. La justice édictant que “pas de peine sans crime” (et pas de crime sans intention + a minima début d’exécution), la “prévention” ne peut qu’être dans une dynamique illégale (au moins a-légale), du moins tant qu’on respecte les droits fondamentaux de l’homme et du citoyen.



Pour nuancer un petit peu ton 2ème point, la prévention n’est pas seulement le renseignement, la surveillance en amont, etc. (et les questions justifiées que tu poses sur la légalité).



Il y a aussi un volet prévention qui n’est pas du ressort du renseignement : éducation, social, etc. Tout cela joue sur les bascules d’un certain nombre d’individus.





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