Sans rentrer dans les débats difficiles sur l’utilité ou non d’un service public de radio-télévision et la possibilité individuelle d’y souscrire ou non par une taxe déclarative plutôt qu’un impôt universel, je suis quand même gêné par l’idée d’étendre le dispositif actuel aux ordinateurs et, probablement à terme, en toute logique, aux smartphones. À la différence d’une télé qui est quand même fondamentalement faite pour ça, et dont on peut raisonnablement supposer que la plupart des téléspectateurs même peu assidus regarderont le service public, un ordinateur ou un smartphone n’y sont, à l’évidence, pas destinés prioritairement. Voire: on peut difficilement faire sans pour plein d’usages (comme lire NXI, envoyer des courriels, utiliser un traitement de texte, trier ses photos, que sais-je, et c’est encore plus net pour le téléphone) qui n’ont RIEN à voir avec l’audiovisuel public, et pour lesquels on se passe assez souvent de services publics. Même si ça a un côté archaïque, je trouve ça pas mal d’associer le paiement de cette redevance à la possession du moyen de captation (en gros, un tuner TV). Et je dis ça en tant que possesseur d’une télé et déjà contributeur à la taxe - dans l’absolu je préférerais pas, mais ce que femme veut… " /> Je ne parle même pas de laisser les gens contribuer comme ils le souhaitent à des services qui ne sont pas moins d’intérêt général en mon sens, comme Wikipedia, ou certains sites d’information.
C’est pour ça qu’il faut donner des sous sur Ulule ! ;)
Par ailleurs, on est d’accord que Privacy Badger et la déconnexion (de Facebook, de Google) suffisent à drastiquement limiter cette collecte de données, non ? À part ce que je fais sur leur site, ils ne voient rien remonter ?
Très juste: deux procurations merdées sur les trois que j’ai faites l’an dernier. Outre le temps perdu au poste pour moi, les policiers étaient bien agacés de toute cette procédure, en ville du moins. Bref, une évolution semble opportune.
De ce que je comprends, la solution semble être de mettre tout le monde ex aequo, ce qui est un “critère local” comme un autre et permet de ne bloquer ni l’algo (donc le parcours des dossiers des futurs étudiants), ni de contrevenir aux ordres.
Le
12/04/2018 à
09h
01
Une bonne part des équipes pédagogiques ne veut pas de Parcoursup, vous fatiguez pas pour ça les gars.
Ils ont probablement reçu des consignes de prudence voire une petite formation sur le sujet… qu’ils se sont empressés d’ignorer, comme tout utilisateur digne de ce nom " /> Et puis faut pas oublier que ces gens ont une vie, des gosses à aller chercher, un dîner à organiser… Ils vont juste au bureau, quoi, c’est pas des sous-mariniers. Le problème est surtout que les gens n’ont pas idée de toutes les informations qu’ils produisent et diffusent avec leurs smartphones. Sans doute qu’ils font à peu près gaffe avec les courriels etc. parce que c’est évident, mais je comprends qu’ils ne se méfient pas de leur application de course à pied (ou même de leur application lampe de poche, météo ou autre, dont Exodus Privacy montre bien qu’elles sont cafies de traqueurs en tous genres).
Garde la foi en la Communauté, plutôt que de lui décocher tes flèches " />
Même si tu n’as pas complètement tort, il ne s’agirait cependant pas de sous-estimer l’importance du design, surtout pour un objet comme le smartphone, a fortiori produit par Apple, quoique “copié” par les autres (et surtout quand un choix de design semble plutôt inféodé à des choix/limitations techniques, si je ne m’abuse).
C’est dit dans cette page… et c’est pas des si petites dimensions: 160 76 7.8 mm
130 mm de hauteur pour les Sony comme le Z3 Compact ou le XZ1 Compact, en comparaison, et 135 (de mémoire) pour le dernier Samsung A3, qui me semble déjà dépasser la limite.
Le
28/02/2018 à
16h
39
jeromecouzy a écrit :
J’ai effectivement l’impression que le Sony est le seul annoncé récemment avec des specs correctes et un format pour humains !
Mais plutôt cher et sans jack. Et le XZ1 Compact, même si on passe sur son design maintenant daté, ben il est pas du tout Spectre-proof (et je ne sais pas pour Krack, même si apparemment c’était plus facile à contourner avec du logiciel).
Tu assènes pas mal d’arguments, dont je ne nie pas forcément la pertinence en soi mais qui montrent beaucoup que tu ne connais pas du tout la réalité du terrain. Déjà, plein de tablettes sont fournies avec des claviers physiques, ce qui change tout effectivement dès que tu parles d’usages bureautiques classiques.
Tes études, sur la mémorisation ,le développement cognitif, il y en a des tonnes, qui disent tout et leur contraire. Mais la plupart, quelque soit le point de vue défendue, sont à mon avis absolument non pertinentes tant elles contiennent des biais évidents. Biais qui se retrouvent dans ton commentaire. A commencer par ça : comme si la tablette se substituait à 100% au papier, que les élèves n’écrivaient plus parce qu’ils auraient une tablette ou qu’ils arrêteraient la prise de notes. Tu ne crois pas à un moment que les profs sont les premiers à réfléchir à ce que signifie l’utilisation d’une tablette et qu’ils vont balancer tout ce qui se faisait pour passer à 100% devant un écran?
De même pour les innovations pédagogiques dont tu parles : la tablette (ou un PC) peut être un outil ultra pratique pour la classe inversée (facilité à faire des capsules vidéo, des activités de recherche, etc.) ou la pédagogie différenciée. La classe inversée repose aujourd’hui énormément sur une bonne pratique du numérique (même si elle ne se réduit pas du tout à ça on est d’accord, une vraie gageure à l’heure actuelle). Tu parles de pédagogie active : sache que l’un des grands points positifs pour un prof dans l’utilisation de tablettes en classe (dans le cas où c’est une réussite) est de rendre les élèves plus autonomes face à leur tâche et de les sortir de leur passivité.
Tout à fait, mon biais est que je vois plutôt les choses depuis le supérieur (où l’ordinateur remplace effectivement tout le reste, le plus souvent, mais je trouve ça moins grave à ce niveau), et je transpose un peu. Ça paraît plus utile, comme tu le présentes… quand ça se passe bien. Je reste rétif pour tout un tas d’autres problèmes que tu évoques aussi: quand elles “prennent la poussière”, quand les éditeurs en profitent pour en remettre une couche d’emmerDRM, et autres soucis de maintenance. Le tout pour assez cher, mine de rien, en sous comme en ressources, surtout si ça fait doublon avec d’autres équipements personnels (je ne cautionne pas tellement plus le BYOD par ailleurs). Plus mes réserves vis-à-vis de certaines grosses boîtes type Google et Apple avec des solutions comme Classroom, qui me rendent méfiant par proximité, sans doute à tort. Je suis peut-être trop low-tech par principe, mais je ne peux m’empêcher d’y voir une débauche de moyens et de nouveaux problèmes pour une valeur ajoutée pédagogique globalement faible.
Le
28/02/2018 à
09h
16
wagaf a écrit :
Les livres ou documents papiers n’ont aujourd’hui plus aucune raison d’exister dans ce type de contexte. Le but de l’école reste de préparer les élèves à la vraie vie. Soyons clairs: un livre physique n’a aucun avantage relativement à un document numérique. Même si c’était le cas c’est simplement ce que les élèves rencontreront plus tard dans la vraie vie. On parle du confort de lecture mais finalement je passe mon temps à lire sur un écran et ne suis pas encore aveugle.
Idem pour l'écriture manuscrite, utile mais pour laquelle on passe bien trop de temps et d'énergie vu son utilisation limitée aujourd'hui. Il serai bien plus utile d'apprendre aux élèves à tapper au clavier de manière efficace et à savoir trouver une information en ligne.
Mais effectivement pas sûr que la tablette soit la meilleure solution du moins à l'heure actuelle.
On va de toute façon continuer à apprendre à écrire à la main, autant se servir de cette compétence. Et même s’ils finiront majoritairement par écrire sur clavier ou sur écran une fois grands, dans la phase d’apprentissage, l’écriture manuscrite permet une meilleure assimilation des connaissances, stimule les compétences spatiales et la créativité (schémas, dessins, organisation du texte… là où les outils numériques, pour de la prise de notes, stéréotypent la saisie), et elle apprend à trier les informations (compétence d’autant plus importante à l’ère numérique), entre autres vertus. Je n’ai rien contre le fait de taper, au contraire, mais ça doit venir plus tard, en fin de lycée ou dans le supérieur.
Je ne parle même pas des examens et autres concours pour lesquels il faut avoir gardé l’habitude d’écrire. Le bordel que ce serait s’il fallait fournir des ordinateurs à tous les gens qui doivent composer ! Et dans le cas des filières scientifiques, je ne suis pas même sûr qu’il existe des outils permettant de bien présenter de l’équation au kilomètre rapidement.
Le
27/02/2018 à
17h
21
Et pour le poids des manuels, plein de solutions existent pour moins cher: les casiers, l’attribution d’une salle par classe (où on peut laisser les affaires dont on n’a pas besoin), les polycops, etc. C’est pas forcément évident à mettre en place non plus, mais entre ça et mettre des dizaines de millions dans des tablettes ou autres… Je ne parle même pas de la possibilité de faire sans manuel, ce qui peut se décider aussi. Beaucoup de profs le font d’ailleurs acheter parce que c’est la décision collective de l’équipe pédagogique, mais ne s’en servent pratiquement pas, parce qu’ils ne sont pas d’accord avec, ou parce qu’ils tiennent à produire leur propre cours de A à Z.
Le
27/02/2018 à
17h
15
Une belle idée à la con, au moment où les gens se rendent compte des limites de ces appareils et en achètent de moins en moins. Au minimum, un petit hybride avec clavier s’imposerait, au moins pour la prise de notes. Et encore, au niveau secondaire, ça ne me paraît pas très utile, voire contre-productif. Pas mal d’études ont été faites sur la meilleure mémorisation grâce à un meilleur tri de l’information avec stylo/papier (ça apprend à écouter, quoi), et encore ça vaut pour la prise de notes, qui ne commence un peu qu’au lycée. Dans les classes inférieures où la prise de notes est en fait beaucoup de la dictée, autant donner des polycops à lire en cours pour ce qui est du contenu à mémoriser (ou se servir vraiment du manuel qu’on fait acheter aux familles, hein, à tout prendre, même si liberté pédagogique toussa) et s’appuyer sur des innovations pédagogiques (au hasard, les pédagogies actives et autres classes inversées) plutôt que de faire acheter et de compter sur des gadgets. Ils auront bien le temps de désapprendre à apprendre en notant au kilomètre de manière indiscriminée (ou en squattant sur YouTube) dans des amphis bondés une fois dans le supérieur.
Je ne dis pas qu’il n’y a aucun intérêt au numérique dans les classes, mais là… Surtout au moment où on prétend interdire les smartphones, c’est juste ridicule: pour le coup les gamins en ont déjà un pour la plupart, et effectivement ça peut servir pour certaines pratiques, notamment pour avoir du feedback (genre questionnaires collectifs en live, etc.), le tout sans y mettre des moyens démesurés (une application peut suffire) ni pousser à la surconsommation de produits qui feront doublon ou pire avec les autres équipements.
Je ne parle même pas des gags style “ma tablette est cassée”, “j’ai plus de batterie”, “mes parents veulent pas” (ils auraient raison), “y a plus de Wi-Fi”, “ça bugue” et autres “je peux pas installer le logiciel de Google/Apple/autres, ma maman me force à utiliser Archlinux”. Et encore, ce serait dans les cas, où, en effet, ils ne s’en serviraient pas pour se distraire (mais ça existe aussi avec les dessins dans la marge, pour le coup je crois pas que le problème tienne tant que ça à la technologie).
C’est peut-être l’article qui ne rend pas justice à ces gens, mais j’ai l’impression de lire un débat sur l’équipement des foyers en telle ou telle aménité, en mode élu bourrin classique, sans que jamais ne soit évoqué le contexte pédagogique dans lequel on prétend faire employer ces trucs. Et pourtant, Dieu sait que je ne suis pas rétif à l’informatique et aux outils numériques en général.
« la possibilité d’entendre de la musique et des notifications, simultanément aux bruits du monde qui vous entoure », ça veut dire que leurs écouteurs ne sont pas du tout isolés ? ^^ C’est dommage, avant ces modèles, ils proposaient une très bonne technologie de réduction du bruit intégrée à l’appareil (il fallait des écouteurs adaptés avec un jack 5 broches, valant une trentaine d’euros, mais qui n’embarquaient pas d’électronique ni de batterie).
Bien tenté cela dit. Mais suffit de regarder la photo du G20 ou la campagne #Metoo pour se dire que le problème en 2017 c’est pas vraiment l’abus de pouvoir des femmes. " />
Sur la question sociale, on est d’accord. Mais il ne me semble pas avoir tout à fait tort sur la question du pouvoir et de la pratique de la sexualité banale entre individus. Inutile de partir dans des trucs sur l’émasculation etc., certes, mais il me semblerait tout aussi dommageable de se priver de regarder avec finesse ce qui se passe notamment dans l’espace domestique et les pratiques sexuelles en se contentant de tout lire au prisme de la domination masculine et en passant tout le reste sous le boisseau des male tears. Cette étude ne me semble pas inintéressante, par exemple:http://www.huffingtonpost.fr/2016/07/18/couples-vie-sexuelle-intense_n_10961190….
L’exemple que tu montre est destiné à vendre un produit. La situation est de toute évidence crée pour mettre en évidence les câbles qui sont volontairement mal agencés. La table supportant les appareils a en outre été décalée pour accentuer l’effet. L’écran est mis très en hauteur, ce qui ne correspond pas à la disposition typique d’un salon mais accentue encore une fois l’effet. Le design de la pièce est très épuré, ce qui fait inéluctablement ressortir n’importe quel élément.
Attache correctement les câbles, descend l’écran, met la table en dessous et ajoute un panneau noir derrière les câbles : et hop, les câbles sont toujours apparents, mais personne ne les remarquera plus " />
Mais les rendre moins visibles n’est pas la seule manière de faire. On peut même au contraire les rendre très visibles et en faire un élément de design. Il suffit de regarder ceux qui font du tuning PC pour comprendre la logique.
Après, tout dépends aussi du style adopté pour la pièce. Le look moderne épuré n’est pas inéluctable : ce n’est pas très chaleureux.
Ah tout à fait, pour ceux qui en font quelque chose du genre que j’ai montré aussi au début de mon message précédent. Et ta lecture de l’image publicitaire est excellente, même si pour moi tu réponds plus à la lettre qu’à l’esprit. Voici donc un exemple de la Vraie Vie™ , clique ici. Plusieurs solutions ont été envisagées:
Un fauteuil club devant la zone sinistrée. Pas mal esthétiquement, et pas trop chiant quand on doit passer derrière la machine, mais ça donne trop l’occasion aux chats de grimper sur le bureau et ou de se planquer pour les bouffer, les fils. Et puis c’était pas non plus un camouflage merveilleux.
Coller des fils sous la table. Pas beaucoup plus joli dans les faits, et tout de suite très chiant dès qu’il faut intervenir ou enlever le matos pour recevoir.
Le câble Ethernet, c’est ça ou la CPL (qui n’est pas une si mauvaise solution par ailleurs).
Je veux bien que j’ai un peu laissé la gestion de câble partir en couilles dans cette partie de la pièce, mais c’est aussi ça la vie ^^ Et au bout du compte, faut bien se le dire, c’est moche. Une idée de remédiation miraculeuse ? " />
Le
22/02/2018 à
00h
10
sr17 a écrit :
J’ai la chance de vivre avec une personne dont le design est le métier et qui m’a fait comprendre que la perception d’une grande partie des gens étaient de gros clichés qui ne reposent sur rien de concret.
L’informatique, c’est nouveau, les câbles c’est nouveau. Beaucoup de gens n’ont simplement pas encore intégré cette culture, c’est tout.
Dans ce genre de cas, je veux bien. Mais la plupart du temps, les câbles, c’est juste moche et encombrant, même si je souscris complètement à ton technicisme… et que je suis très content que Madame ne s’offusque pas du RJ45 qui traverse le salon, et qu’elle ait abdiqué les idées saugrenues genre “planquer l’arrière du PC” et autres “on scotche tout le câblage sous le bureau”.
Dire que le beau est relatif et que l’informatique est récente, OK pour les tours et compagnie. Aussi bien, les designs moches d’aujourd’hui seront le chic vintage de demain. Mais les câbles, ça fait depuis plus longtemps que l’informatique qu’ils traînent dans nos espaces de vie, et qu’on essaie de les planquer dans des goulottes ou autres dans la mesure du possible. C’est peut-être pas une vérité absolue, n’empêche que je comprends assez bien que la plupart des gens préfèrent la solution de droite.
Merci pour la précision, je me disais bien qu’il devait y avoir une raison de ce genre… mais ça ne me satisfait pas complètement non plus, je trouverais plus logique un genre de protection en écriture permettant de chiffrer soi-même un document signé par un tiers pour peu qu’il n’ait pas été modifié, et bien dans la mesure où le chiffrement ne change rien au contenu.
Jarodd a écrit :
" />
Je vais relire le dossier pour comprendre la différence " />
La signature garantit que le document est validé par toi, le chiffrement
empêche carrément de l’ouvrir si tu ne disposes pas de la clé adéquate.
Le
20/02/2018 à
09h
54
Merci pour la présentation de la fonctionnalité, qui a l’air plutôt bien implantée (et a trouvé mon trousseau de clés pré-installé automatiquement et sans aucune difficulté), mis à part la séparation signature / chiffrement qui manque en effet de naturel. Surtout, le chiffrement EFFACE les signatures existantes, ce qui force à re-signer après chiffrement.
Je propose que les gens des campagnes subventionnent les loyers des gens des villes.
"Parce que les gens n'habitent pas en campagne, ce sont des citoyens de secondes zones qui n'ont pas le droit de profiter du meme loyer abordable que les autres ?"
Argument de l’homme de paille. D’autant plus que les mesures d’aide à la pierre de ces dernières années pourraient bien avoir fait… l’exact inverse.
kevinz a écrit :
Tout d’abord, une entreprise privee n’est pas une association de charite.
Ensuite, a vouloir les forcer a deployer dans les zones ou ils ne
font aucun profit, c’est les forcer a gaspiller leurs tresoreries
prevues pour les investissements, R&D etc et ca a l’effet inverse de
ralentir l’innovation, le rythme des deploiements et alourdir la
facture des clients.
Pas une association de charité, certes, mais les concessions qui leur sont accordées sont souvent assorties de “missions de service public”, si je ne m’abuse.
Yss a écrit :
Le pire dans tout ça c’est que quand les zones non desservie essayent de trouver des solutions (exemple des RIP) on a vu plusieurs fois dans les news ici que les opérateurs ne jouent pas le jeu, tentent de mettre des bâton dans les roues de ce genre d’initiative.
Là je suis d’accord que c’est un vrai problème.
Le
15/02/2018 à
16h
12
graphseb a écrit :
Justement, quoi d’autre que l’aménagement du territoire en région pourrait te libérer des « inconvénients de la vie en zone dense » ?
En région = en province ? Si oui, ce n’est pas ce que je dis. J’opposerais plutôt zones densément peuplées / urbaines à zones peu densément peuplées / rurales. Je donnais l’exemple de l’Île-de-France parce qu’elle contient la plus grande aire urbaine du pays, mais la même logique vaut 1) au sein de l’Île-de-France (il me semble plus urgent de finir de fibrer Gennevilliers que de s’occuper de Villers-Saint-Genest) 2) dans tout le pays (et j’estime, pour l’Ardèche, qu’il vaudrait mieux déjà fibrer complètement Privas que de s’occuper des moindres hameaux et maisons isolées du sud du département). À ma connaissance, il y a bien eu le Rhône qui a réussi à connecter assez tôt et assez vite quasiment tout le monde à du haut-débit, mais plutôt ADSL ou VDSL, je crois. Il faudrait voir quel a été leur modèle, et si c’est transposable à la fibre. Mais à part ça, et même si je sais bien que c’est pénible pour l’avoir vécu, rien de surprenant pour moi à avoir des zones “en retard” ou qui ne seront jamais fibrées, de la même manière que je ne m’attends pas à avoir une autoroute vers la moindre de mes destinations ou un CHU tous les vingt kilomètres.
Par ailleurs, et plus largement sur les inconvénients de la vie en zone dense, je ne pense pas qu’il faille encore encourager les gens à continuer de grignoter des terres agricoles et à s’installer dans des maisons d’où ils ne peuvent rien faire sans voiture. Au-delà de ses contraintes (mais aussi de ses opportunités, faut pas déconner), la densité en matière d’aménagement me semble plutôt être une nécessité.
Le
15/02/2018 à
15h
44
C’est inverser le problème: il y a déjà d’importants transferts villes > campagnes sous plein de formes, et même Île-de-France vers tout le reste du pays (hors peut-être départements savoyards) qui font que l’effort financier public est plus important par habitant de zone périurbaine ou rurale. Idem du côté de la représentation nationale, dans un registre un peu différent : il y a une sur-représentation nette et bien connue de sénateurs de territoires ruraux par rapport aux urbains. Ce n’est que rarement dit, et on imagine souvent l’inverse, mais les faits sont là. En somme, les urbains bénéficient collectivement d’avantages territoriaux qui tiennent à divers effets d’agglomération (c’est tout l’intérêt de la ville), mais individuellement ils subventionnent largement le mode de vie de leurs concitoyens vivant hors des agglomérations, voire hors des aires urbaines. Dans le domaine des infrastructures, ce député ne fait d’ailleurs pas autre chose que de demander à ce qu’on refasse de la “péréquation” comme on l’a fait pour les routes, le téléphone, ou l’électricité… ce qui ne signifie pas autre chose que de construire et d’entretenir des réseaux très étendus financés par tous essentiellement au bénéfice d’une minorité. Alors dans le cas de certaines infrastructures considérées comme essentielles, je veux bien faire jouer la solidarité, mais le refrain de la ruralité sacrifiée a ses limites quand il s’agit de la fibre.
Je ne sais pas si vous connaissez le sud de l’Ardèche, mais assez vite on se retrouve avec une maison ou deux perdues tous les 300 mètres, je ne vois pas bien comment quelqu’un qui déciderait de vivre là pourrait trouver justifié qu’on lui creuse une tranchée et qu’on lui tire de la fibre à son bénéfice exclusif sur des dizaines de mètres pour qu’il puisse prétendre tout seul à du FTTH, alors que des petites villes proches comme Bollène, pourtant dans la vallée du Rhône, ne sont pas elles-mêmes fibrées. Je force un peu le trait, mais l’idée est quand même là.
Après, encore une fois, dans le cas de problèmes type un super RIP auto-financé où les opérateurs feraient les morts sans motif valable, je suis d’accord qu’il y a un souci. Je récusais plutôt l’argument général du “on est sacrifiés”, qu’on n’a d’ailleurs pas attendu vingt ans pour entendre.
Le
15/02/2018 à
11h
00
C’est quand même pas banal de demander encore une contribution aux gens qui, pour avoir de meilleures services, acceptent également les inconvénients de la vie en zone dense (dont des surcoûts sur le logement ou les temps de transport, notamment). D’autant qu’il n’y a pas non plus AUCUN service en Ardèche méridionale, du moins dans les zones un peu peuplées, juste un service pas terrible.
Pour rappel quand même, l’Ardèche méridionale, c’est grosso modo 50 hab / km², et une seule commune dépassant les 10 000 habitants; l’Île-de-France, 1000 hab / km² (et à peu près autant dans les zones centrales de la plupart des aires urbaines moyennes). De la à dire qu’équiper cette dernière était vingt fois plus important, il y a un pas que je franchis l’esprit tranquille.
Cela sans tenir compte des pesanteurs, problèmes techniques et de gouvernance du déploiement des infrastructures, qui n’en doivent pas moins être combattues.
J’attends moi aussi davantage de réactivité de la part des dév de logiciels libres, merde ! Pour la peine, j’utiliserai Windows Media Player dans l’heure qui vient par mesure de rétorsion " />
179 commentaires
La SCAM plaide pour une redevance TV de 150 euros, élargie à tous les écrans
23/04/2018
Le 23/04/2018 à 14h 05
Sans rentrer dans les débats difficiles sur l’utilité ou non d’un service public de radio-télévision et la possibilité individuelle d’y souscrire ou non par une taxe déclarative plutôt qu’un impôt universel, je suis quand même gêné par l’idée d’étendre le dispositif actuel aux ordinateurs et, probablement à terme, en toute logique, aux smartphones. À la différence d’une télé qui est quand même fondamentalement faite pour ça, et dont on peut raisonnablement supposer que la plupart des téléspectateurs même peu assidus regarderont le service public, un ordinateur ou un smartphone n’y sont, à l’évidence, pas destinés prioritairement. Voire: on peut difficilement faire sans pour plein d’usages (comme lire NXI, envoyer des courriels, utiliser un traitement de texte, trier ses photos, que sais-je, et c’est encore plus net pour le téléphone) qui n’ont RIEN à voir avec l’audiovisuel public, et pour lesquels on se passe assez souvent de services publics. Même si ça a un côté archaïque, je trouve ça pas mal d’associer le paiement de cette redevance à la possession du moyen de captation (en gros, un tuner TV). Et je dis ça en tant que possesseur d’une télé et déjà contributeur à la taxe - dans l’absolu je préférerais pas, mais ce que femme veut… " /> Je ne parle même pas de laisser les gens contribuer comme ils le souhaitent à des services qui ne sont pas moins d’intérêt général en mon sens, comme Wikipedia, ou certains sites d’information.
Facebook détaille les données collectées sur les internautes, dont les non-membres
17/04/2018
Le 17/04/2018 à 10h 44
C’est pour ça qu’il faut donner des sous sur Ulule ! ;)
Par ailleurs, on est d’accord que Privacy Badger et la déconnexion (de Facebook, de Google) suffisent à drastiquement limiter cette collecte de données, non ? À part ce que je fais sur leur site, ils ne voient rien remonter ?
Le gouvernement planche sur des « e-procurations »
17/04/2018
Le 17/04/2018 à 10h 41
Très juste: deux procurations merdées sur les trois que j’ai faites l’an dernier. Outre le temps perdu au poste pour moi, les policiers étaient bien agacés de toute cette procédure, en ville du moins. Bref, une évolution semble opportune.
Orange : deux assistants Djingo à moins de 300 euros, un Show Hello en novembre centré sur la vie privée
17/04/2018
Le 17/04/2018 à 10h 37
Gérer les autorisation des applications tierces, très bien, mais quid des données qui remonteront inévitablement chez Orange par ailleurs ?
Transparence des algorithmes publics : le gouvernement à la manœuvre face aux députés
12/04/2018
Le 12/04/2018 à 14h 53
De ce que je comprends, la solution semble être de mettre tout le monde ex aequo, ce qui est un “critère local” comme un autre et permet de ne bloquer ni l’algo (donc le parcours des dossiers des futurs étudiants), ni de contrevenir aux ordres.
Le 12/04/2018 à 09h 01
Une bonne part des équipes pédagogiques ne veut pas de Parcoursup, vous fatiguez pas pour ça les gars.
Soutenir Next INpact et Kimetrak : à minuit, ce sera fini
17/05/2018
Le 12/04/2018 à 14h 34
C’est fait pour moi, en espérant que cela vous mène aussi loin que vous en avez la belle ambition :)
Strava ajoute une option pour ne pas apparaître sur la carte Global Heatmap
02/03/2018
Le 05/03/2018 à 09h 37
Ils ont probablement reçu des consignes de prudence voire une petite formation sur le sujet… qu’ils se sont empressés d’ignorer, comme tout utilisateur digne de ce nom " /> Et puis faut pas oublier que ces gens ont une vie, des gosses à aller chercher, un dîner à organiser… Ils vont juste au bureau, quoi, c’est pas des sous-mariniers. Le problème est surtout que les gens n’ont pas idée de toutes les informations qu’ils produisent et diffusent avec leurs smartphones. Sans doute qu’ils font à peu près gaffe avec les courriels etc. parce que c’est évident, mais je comprends qu’ils ne se méfient pas de leur application de course à pied (ou même de leur application lampe de poche, météo ou autre, dont Exodus Privacy montre bien qu’elles sont cafies de traqueurs en tous genres).
On a testé l’Open Data « par défaut » des répertoires d’informations publiques
28/02/2018
Le 28/02/2018 à 22h 27
Dis, tu serais pas un peu mauvaise langue ? " />
L’encoche de l’iPhone X intègre plusieurs appareils sous Android
27/02/2018
Le 28/02/2018 à 22h 13
Garde la foi en la Communauté, plutôt que de lui décocher tes flèches " />
Même si tu n’as pas complètement tort, il ne s’agirait cependant pas de sous-estimer l’importance du design, surtout pour un objet comme le smartphone, a fortiori produit par Apple, quoique “copié” par les autres (et surtout quand un choix de design semble plutôt inféodé à des choix/limitations techniques, si je ne m’abuse).
ASUS lance ses ZenFone 5 Lite, 5 et 5z dès 399 euros : « notch », Snapdragon 845 et plein d’IA
28/02/2018
Le 28/02/2018 à 22h 03
On veut savoir !
Le 28/02/2018 à 16h 52
C’est dit dans cette page… et c’est pas des si petites dimensions: 160 76 7.8 mm
130 mm de hauteur pour les Sony comme le Z3 Compact ou le XZ1 Compact, en comparaison, et 135 (de mémoire) pour le dernier Samsung A3, qui me semble déjà dépasser la limite.
Le 28/02/2018 à 16h 39
L’Éducation nationale songe à faire de la tablette « une fourniture scolaire à part entière »
27/02/2018
Le 28/02/2018 à 11h 28
Le 28/02/2018 à 09h 16
Le 27/02/2018 à 17h 21
Et pour le poids des manuels, plein de solutions existent pour moins cher: les casiers, l’attribution d’une salle par classe (où on peut laisser les affaires dont on n’a pas besoin), les polycops, etc. C’est pas forcément évident à mettre en place non plus, mais entre ça et mettre des dizaines de millions dans des tablettes ou autres… Je ne parle même pas de la possibilité de faire sans manuel, ce qui peut se décider aussi. Beaucoup de profs le font d’ailleurs acheter parce que c’est la décision collective de l’équipe pédagogique, mais ne s’en servent pratiquement pas, parce qu’ils ne sont pas d’accord avec, ou parce qu’ils tiennent à produire leur propre cours de A à Z.
Le 27/02/2018 à 17h 15
Une belle idée à la con, au moment où les gens se rendent compte des limites de ces appareils et en achètent de moins en moins. Au minimum, un petit hybride avec clavier s’imposerait, au moins pour la prise de notes. Et encore, au niveau secondaire, ça ne me paraît pas très utile, voire contre-productif. Pas mal d’études ont été faites sur la meilleure mémorisation grâce à un meilleur tri de l’information avec stylo/papier (ça apprend à écouter, quoi), et encore ça vaut pour la prise de notes, qui ne commence un peu qu’au lycée. Dans les classes inférieures où la prise de notes est en fait beaucoup de la dictée, autant donner des polycops à lire en cours pour ce qui est du contenu à mémoriser (ou se servir vraiment du manuel qu’on fait acheter aux familles, hein, à tout prendre, même si liberté pédagogique toussa) et s’appuyer sur des innovations pédagogiques (au hasard, les pédagogies actives et autres classes inversées) plutôt que de faire acheter et de compter sur des gadgets. Ils auront bien le temps de désapprendre à apprendre en notant au kilomètre de manière indiscriminée (ou en squattant sur YouTube) dans des amphis bondés une fois dans le supérieur.
Je ne dis pas qu’il n’y a aucun intérêt au numérique dans les classes, mais là… Surtout au moment où on prétend interdire les smartphones, c’est juste ridicule: pour le coup les gamins en ont déjà un pour la plupart, et effectivement ça peut servir pour certaines pratiques, notamment pour avoir du feedback (genre questionnaires collectifs en live, etc.), le tout sans y mettre des moyens démesurés (une application peut suffire) ni pousser à la surconsommation de produits qui feront doublon ou pire avec les autres équipements.
Je ne parle même pas des gags style “ma tablette est cassée”, “j’ai plus de batterie”, “mes parents veulent pas” (ils auraient raison), “y a plus de Wi-Fi”, “ça bugue” et autres “je peux pas installer le logiciel de Google/Apple/autres, ma maman me force à utiliser Archlinux”. Et encore, ce serait dans les cas, où, en effet, ils ne s’en serviraient pas pour se distraire (mais ça existe aussi avec les dessins dans la marge, pour le coup je crois pas que le problème tienne tant que ça à la technologie).
C’est peut-être l’article qui ne rend pas justice à ces gens, mais j’ai l’impression de lire un débat sur l’équipement des foyers en telle ou telle aménité, en mode élu bourrin classique, sans que jamais ne soit évoqué le contexte pédagogique dans lequel on prétend faire employer ces trucs. Et pourtant, Dieu sait que je ne suis pas rétif à l’informatique et aux outils numériques en général.
Sony : Xperia XZ2 (Compact) avec Snapdragon 845 et HDR, Xperia Ear Duo sans fil
26/02/2018
Le 26/02/2018 à 15h 16
« la possibilité d’entendre de la musique et des notifications, simultanément aux bruits du monde qui vous entoure », ça veut dire que leurs écouteurs ne sont pas du tout isolés ? ^^ C’est dommage, avant ces modèles, ils proposaient une très bonne technologie de réduction du bruit intégrée à l’appareil (il fallait des écouteurs adaptés avec un jack 5 broches, valant une trentaine d’euros, mais qui n’embarquaient pas d’électronique ni de batterie).
#Replay : adolescents en ligne, grande distribution et monstres d’Universal
23/02/2018
Le 24/02/2018 à 17h 32
Chez LG, une machine tout-en-un passive basée sur un Ryzen 3 dans un écran de 38″ incurvé
21/02/2018
Le 22/02/2018 à 23h 50
Le 22/02/2018 à 00h 10
Chiffrement et signature GPG dans LibreOffice 6.0 : comment ça marche ?
20/02/2018
Le 20/02/2018 à 13h 01
Merci pour la précision, je me disais bien qu’il devait y avoir une raison de ce genre… mais ça ne me satisfait pas complètement non plus, je trouverais plus logique un genre de protection en écriture permettant de chiffrer soi-même un document signé par un tiers pour peu qu’il n’ait pas été modifié, et bien dans la mesure où le chiffrement ne change rien au contenu.
Le 20/02/2018 à 09h 54
Merci pour la présentation de la fonctionnalité, qui a l’air plutôt bien implantée (et a trouvé mon trousseau de clés pré-installé automatiquement et sans aucune difficulté), mis à part la séparation signature / chiffrement qui manque en effet de naturel. Surtout, le chiffrement EFFACE les signatures existantes, ce qui force à re-signer après chiffrement.
Un député veut identifier les responsables de la fracture numérique
14/02/2018
Le 16/02/2018 à 15h 09
Le 15/02/2018 à 16h 12
Le 15/02/2018 à 15h 44
C’est inverser le problème: il y a déjà d’importants transferts villes > campagnes sous plein de formes, et même Île-de-France vers tout le reste du pays (hors peut-être départements savoyards) qui font que l’effort financier public est plus important par habitant de zone périurbaine ou rurale. Idem du côté de la représentation nationale, dans un registre un peu différent : il y a une sur-représentation nette et bien connue de sénateurs de territoires ruraux par rapport aux urbains. Ce n’est que rarement dit, et on imagine souvent l’inverse, mais les faits sont là. En somme, les urbains bénéficient collectivement d’avantages territoriaux qui tiennent à divers effets d’agglomération (c’est tout l’intérêt de la ville), mais individuellement ils subventionnent largement le mode de vie de leurs concitoyens vivant hors des agglomérations, voire hors des aires urbaines. Dans le domaine des infrastructures, ce député ne fait d’ailleurs pas autre chose que de demander à ce qu’on refasse de la “péréquation” comme on l’a fait pour les routes, le téléphone, ou l’électricité… ce qui ne signifie pas autre chose que de construire et d’entretenir des réseaux très étendus financés par tous essentiellement au bénéfice d’une minorité. Alors dans le cas de certaines infrastructures considérées comme essentielles, je veux bien faire jouer la solidarité, mais le refrain de la ruralité sacrifiée a ses limites quand il s’agit de la fibre.
Je ne sais pas si vous connaissez le sud de l’Ardèche, mais assez vite on se retrouve avec une maison ou deux perdues tous les 300 mètres, je ne vois pas bien comment quelqu’un qui déciderait de vivre là pourrait trouver justifié qu’on lui creuse une tranchée et qu’on lui tire de la fibre à son bénéfice exclusif sur des dizaines de mètres pour qu’il puisse prétendre tout seul à du FTTH, alors que des petites villes proches comme Bollène, pourtant dans la vallée du Rhône, ne sont pas elles-mêmes fibrées. Je force un peu le trait, mais l’idée est quand même là.
Après, encore une fois, dans le cas de problèmes type un super RIP auto-financé où les opérateurs feraient les morts sans motif valable, je suis d’accord qu’il y a un souci. Je récusais plutôt l’argument général du “on est sacrifiés”, qu’on n’a d’ailleurs pas attendu vingt ans pour entendre.
Le 15/02/2018 à 11h 00
C’est quand même pas banal de demander encore une contribution aux gens qui, pour avoir de meilleures services, acceptent également les inconvénients de la vie en zone dense (dont des surcoûts sur le logement ou les temps de transport, notamment). D’autant qu’il n’y a pas non plus AUCUN service en Ardèche méridionale, du moins dans les zones un peu peuplées, juste un service pas terrible.
Pour rappel quand même, l’Ardèche méridionale, c’est grosso modo 50 hab / km², et une seule commune dépassant les 10 000 habitants; l’Île-de-France, 1000 hab / km² (et à peu près autant dans les zones centrales de la plupart des aires urbaines moyennes). De la à dire qu’équiper cette dernière était vingt fois plus important, il y a un pas que je franchis l’esprit tranquille.
Cela sans tenir compte des pesanteurs, problèmes techniques et de gouvernance du déploiement des infrastructures, qui n’en doivent pas moins être combattues.
VLC 3.0 : la version finale disponible pour de nombreuses plateformes
09/02/2018
Le 09/02/2018 à 16h 59
J’attends moi aussi davantage de réactivité de la part des dév de logiciels libres, merde ! Pour la peine, j’utiliserai Windows Media Player dans l’heure qui vient par mesure de rétorsion " />
PS : merci à l’équipe pour ce beau boulot " />
Attaqués par Free, les spécialistes de Linux « Free Electrons » deviennent « Bootlin »
07/02/2018
Le 08/02/2018 à 10h 28
#Free-sible