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sr17

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4322 commentaires

Le 02/01/2016 à 18h 44







SebGF a écrit :



La seule certitude qu’on a concernant les interface graphiques, c’est qu’on a le choix sur les distributions linux pour trouver quelque chose qui nous corresponde.



C’est tout ce qui compte, le reste c’est de la branlette.







C’est clair que c’est ça l’énorme avantage de Linux.



Au moins, même si personne n’est d’accord sur l’interface idéale, chacun peut avoir celle qui lui plait ou qui lui convient le mieux selon son usage.



Le 02/01/2016 à 14h 34







Aces a écrit :



Bah étrangement, ce n’est pas si désagréable que ça ce Unity.

Bon si on passe de KDE/Windows à Unity, il y a de quoi se mettre une balle dans la tête mais si on prend le temps de bien l’explorer, ça tient la route.







Mouais, ça me donne surtout la certitude que dans la démarche, il y a le fait de se forcer à s’adapter.



Quand une interface repose sur de bons paradigmes, ça ne devrait jamais se passer ainsi.



C’est en tout cas l’expérience que je retire de plusieurs décennies d’évolution des interfaces graphiques.



Mais bon, je crois que la discussion est inutile, en matière d’interface graphique, chacun campera toujours sur ses préférences. Et c’est finalement très bien comme ça…


Le 01/01/2016 à 15h 19







Aces a écrit :



Je rame un peu maisje gère surtout au début, il y a iceweasel à la place de FF me si c’est la même chose ou presque, bah j’ai dû user du terminal pour mettre FF et vire ice. :)



Mais ce que je ne capte pas avec Debian, c’est qu’il a servi de base pour d’autre comme Ubuntu et Mint et c’est presque lui le plus mal loti… (Doc sur le net souvent incomplète là où pour Ubuntu, c’est archi gavé, etc…)







C’est justement la valeur ajoutée de ces autres distributions. Elles ajoutent leur propre travail a celui fait par Debian à la base.


Le 01/01/2016 à 14h 23







AlphaBeta a écrit :



Debian a effectivement contribué à l’industrialisation de Linux. Cela s’arrête là et c’est déjà pas mal.

Arrêtons d’inventer des genies, des revolutions la où il n’y en n’a pas… dans un monde surmédiatisé, il est tout de même opportun de retrouver le véritable sens des mots !

N’oublions pas que Linux, à la base, n’est aussi qu’un clone (plagiat ?) d’un autre unix….

Dans ce même ordre d’idée…. Thorvald transformé en génie ….. est une étape que je ne franchirais pas…







A part certaines API compatibles, il n’y a pas tant de similarité entre les UNIX qu’on pourrait le croire.



Au niveau interne, ils ont bien tous leurs propres noyaux et des différences d’architecture non négligeables.



Pour le reste, on pourrait toujours affirmer que Linux tient plus de la techno classique bien maîtrisée que de l’Os innovant. Mais ce serait réduire l’innovation a la partie visible de l’iceberg.



Reste que Linux en général et Debian en particulier ont bel et bien changé le monde. Sans Linux, un grand nombre de périphériques courants n’existeraient pas, ou auraient été bien plus difficiles à industrialiser. Et l’internet ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui…



Reste que le futur appartiendra vraisemblablement à d’autres distribution que Debian.


Le 02/01/2016 à 16h 08







gavroche69 a écrit :



Ce n’est pas mon cas.

Il y a dans ma famille des petits entrepreneurs et je vois à quel point ils galèrent…



Moi je parle des multi-milliardaires qui bien souvent n’ont rien fait de grandiose à part hériter leur fortune de leurs parents (dont souvent il vaut mieux ne pas trop savoir d’où vient leur fric).



Et je persiste à penser que personne au monde ne mérite d’être multi-milliardaire, c’est une absurdité totale.

Personne ne bosse 36 heures/jour et surtout personne ne peut rien faire tout(e) seul(e). D’autre part, personne n’a besoin d’autant de fric pour vivre décemment ce qui rend la chose encore plus débile.



Si la faculté d’entreprendre était systématiquement proportionnelle à la fortune engrangée ça ce saurait et c’est très loin d’être le cas. Les petits entrepreneurs se trompent souvent d’ennemis et de responsables de leurs difficultés. Il sont en ça bien aidés par les politiciens tous aux ordres de la haute finance, notamment ceux qui étaient censés la combattre… <img data-src=" />



D’autre part, concernant les différents prélèvements via impôts ou autres c’est un peu facile de ne parler que de ce qui est prélevé sans jamais parler de ce qui reste…

100 millions d’€ prélevés à un multi-milliardaire ça aura pour lui bien moins d’impact que 100 € prélevés à un smicard mais ça je sais que c’est très difficile à comprendre pour bien des gens…



Bref, éternel débat et nul doute qu’il y aura des multi-milliardaires aussi longtemps qu’il y aura des gens pour penser que c’est normal qu’il y en ait…







Effectivement.



D’un autre côté, ceux qui ont gagné beaucoup d’argent savent souvent assez bien comment réinvestir leur argent de manière utile. Et c’est le plus souvent ce qu’ils font de leurs milliards.



Ce n’est donc pas forcément une bonne idée de leur prendre tout leur argent d’emblée.



Par contre, il n’est pas forcément pertinent de laisser hériter une part trop grande tels patrimoines car

cela aboutit à créer des dynasties et de grandes distorsions dans l’égalité des chances.



Sinon, je te rejoins sur le fait que les taxes, charges et impôts touchent souvent plus durement les petits patrons et les petites entreprises. D’autant qu’elles ont moins de latitude pour défiscaliser ou délocaliser.


Le 01/01/2016 à 15h 36







tmtisfree a écrit :



Pas du tout, et c’est justement l’échec de cette distinction qui fait que les comparaisons pour calculer les inégalités ne veulent rien dire en fin de compte. Par ex. une grande partie des petits entrepreneurs ou artisans sont riches en terme de valeur, mais n’ont que très peu d’argent : la valeur se situe dans les outils de production, de l’immatériel (services) ou dans des actifs non liquides.



On peut être riche et posséder de la valeur sans posséder d’argent (cf par ex. la fraction de gens imposés à ISF qui sont dans l’impossibilité de payer sans vendre leur patrimoine). L’argent n’est qu’un intermédiaire, un outil parmi d’autres, pour acquérir de la valeur (celle qui dure).







Malheureusement, pour la plupart des gens, les entrepreneurs sont forcément riches.



Quand à l’ISF, tous les spécialistes savent que c’est un impôt plus démagogique qu’utile. Mieux vaudrait taxer au niveau des successions ou des revenus. Le problème, c’est qu’on est déjà trop taxé partout et qu’on a largement dépassé le niveau ou cela devient contre productif.



Sinon, leurs histoires de biodiversité me font bien marrer. Comme si quelqu’un ignorait encore qu’il y a trop d’humains sur terre.



Il est urgent de prendre conscience que le problème numéro 1 de l’humanité, c’est l’augmentation rapide et complètement incontrôlée de sa démographie…


Le 02/01/2016 à 15h 39







tmtisfree a écrit :



On entend souvent ici couiner les mégères sur les FAI US, et, selon elles, leur service client pourri et l’état anémique de leur réseau Internet, mais on se rend compte qu’ils sont finalement en avance sur nous techniquement, bien qu’ayant des contraintes géographiques sans commune mesure.



Le dernier rapport sur l’état d’Internet d’Akamai montre d’ailleurs que les USA sont environ 50% plus rapide en moyenne et en pointe qu’en France. Même les Russes sont devant nous. Comme quoi la concurrence a du bon et les préjugés la vie dure.







En même temps, les différences entre les USA et la France font que bien souvent, les chiffres ne traduisent pas du tout les mêmes réalités.



Entre les USA et leur logique de rentabilité privée ou le profit prévaut et la France ou l’on établit des règles pour qu’un maximum de monde puisse avoir accès au Web, à l’électricité et à l’eau courante, il y a un monde.



Parce que le gars qui est en bout de ligne dans sa campagne avec son Re-ADSL à 512K, il fait baisser les statistiques de débit moyen. Pour bon nombre de réseaux, si l’état ne fixait pas des conditions, le privé n’irait jamais couvrir des zones peu denses et très peu rentables.



Les réseaux et infrastructures sont des exemples types qui montrent les limites du tout privé.



Une entreprise de réseaux privé ne raisonne que sur sa rentabilité.



L’état peut raisonner sur la rentabilité de l’ensemble de l’économie du pays.



Apporter l’internet et l’électricité partout n’est pas forcément rentable pour les fournisseurs, mais c’est rentable à l’échelle globale de l’économie d’un pays.



Conclusion : Le tout privé n’est pas la panacée sur le plan économique.



En France, nous avons globalement d’excellentes infrastructures.


Le 02/01/2016 à 15h 02







tmtisfree a écrit :



C’est le syndrome Georges Marchais (plus prosaïquement appelé problème de Diagoras). Chaque fois qu’il était invité par un journaliste à donner son appréciation de l’année passée sur le niveau de vie des Français, il était pire que l’année précédente. Et pourtant pendant toutes les années (50) où il a été membre (puis secrétaire générallllll) du PC français, le niveau de vie a été multiplié par 5.



Chez certains les biais (ou la mauvaise foi) sont une seconde nature.







Enfin, ceux qui on le recul de l’age pourront t’assurer que la situation de nos concitoyens s’est quand même bien dégradée avec le temps.



Comme je sais que tu ne raisonne que par les chiffres, celui du chômage parle de lui même.



Le 31/12/2015 à 20h 04







dam1605 a écrit :



Et bientôt on interdit le courrier papier pour les mêmes raisons aussi ?? (a savoir qu’il est impossible d’ob

tenir la correspondance passée des terroristes sans perquisition physique …)









C’est ça le plus amusant.



Pendant des siècles, avec le papier, on ne pouvait pas le faire.



Et maintenant, c’est comme si le numérique était une menace pour le monde sous prétexte qu’on ne peut pas accéder aux correspondances d’une personne depuis sa naissance juste en pressant sur un bouton.


Le 30/12/2015 à 19h 06







jaretlafoudre a écrit :



Ca dépends de ce qu’on fait avec je suppose, lecteur vidéo etc ça doit être mieux, mais par exemple, j’avais fait en flash un lecteur de code EAN freemove, qui tournais parfaitement sur un GS3,  j’ai du le refaire en javascript sur chrome (déjà il n’y a que chrome qui permet d’accéder a la caméra du smartphone), résultat, il tallait au moine un haut de gamme de l’année dernière pour le faire tourner de façon aussi efficace… environ 4x plus de ram utilisé, et 35x plus de ressource CPU.

sur le GS3 je passais d’une analyse a la frame, à une analyse à plus de 1 image/s… j’ai même essayé des bibliothèque JS  toute faite en me disant que mon code était peut être pas bien optimisé, c’était encore pire…







Ne te fatigue pas, Javascript, c’est un langage intrinsèquement inefficace. Et cela sans même parler de la pile de framework empilés qui achèvent le malade…



Quand un truc et mauvais à la base, mais que personne n’arrive à l’achever. Malgré tous les efforts, la pourriture s’étends… c’est ce qu’on appelle l’informatique zombie…



Le 30/12/2015 à 17h 52







tmtisfree a écrit :



La seule conclusion logique à tirer est que si ce n’est pas mesurable, c’est inutile puisqu’injustifiable. Chercher des cache-misères intellectuels n’y changera rien.







Soit la limite évidente d’un système capitaliste qui ignore tout ce qui échappe à la logique comptable.





Pas besoin de metre le conditionnel, le bureau de la statistique Australien a les données qui le démontre.

(En passant, le fait que les cigarettiers ne le font pas réfutent ta position qu’ils ne s’intéresses qu’au profit.)





Donc c’est par pur altruisme qu’ils impriment des graphismes coûteux qui réduisent leurs ventes <img data-src=" />





Je ne parlais pas d’économie : tu lis ce que j’écris ou tu as le syndrome Georges Marchais ?





C’est amusant cette vision de monde complètement binaire ou il n’y aurait que des ultra libéraux et des communistes.



Au passage, j’adorais Georges Marchais parce qu’il me faisait bien rire : “Le bilan du parti est globalement positif” <img data-src=" />





Merci Captain obvious ! La vie aussi est mortelle. Les politiciens ont pris des mesures pour massacrer des innocents par dizaines d’ordres de grandeurs supérieurs et il y aura toujours des cons pour les blanchir.





Oui, donc si je comprends bien, les entreprises peuvent faire ce qu’elles veulent tant qu’elles ne font pas pire que les guerres du passé. Ca laisse de la marge….





Pas du tout, C’est par purs phénoménologie et empirisme que cette conclusion s’est imposée d’elle-même. Il suffit d’être observateur et d’analyser les choses de manière globale et contextuelle pour y parvenir, ainsi qu’avoir un esprit ouvert et de solides bases philosophiques et morales, toutes choses qui demandent des efforts intellectuels que peu sont près à fournir il faut le reconnaitre.





Non, il ne suffit pas.



La perception de la vérité qu’on a quand on a 20 ans n’est pas la même que celle qu’on perçoit à 40 ou à 60.



Il ne suffit pas de regarder, ni d’avoir des outils cartésiens. Encore faut t’il savoir quoi mesurer et quoi regarder.



Mais un jour, on apprends aussi que tout ne se mesure pas…





Tu n’as donc rien à avancer sur ce point. C’est bien de connaitre ses limites.





C’est simplement que te convaincre ne me rapporte absolument rien.



Je le fait parce que ça m’amuse et tant que ça m’amuse.





Personnellement je considère que les droits IP sont une aberration économique instituée par des ignares (les étatistes) pour servir et se servir des monopoles illégitimes ainsi constitués. Mais pour les besoins de la démonstration qui nous concerne (le double-jeu sordide des étatistes), se faire l’avocat du diable est amusant.





Ce qui est amusant, c’est que les grandes multinationales aiment le libéralisme quand ça les arrange et l’étatisme… quand ça fait leurs intérêts. <img data-src=" />



Par exemple, les multinationales et les pays socialistes fonctionnent très bien ensemble pour exploiter les travailleurs…





Moi aussi je peux le faire : sauf que c’est une vision dogmatique. Ce n’est pas ce qui se produit dans la réalité.

Et hop voilà j’ai réfuté ta ligne grâce à un pseudo-argument. Magique.





De toute manière, rien ne sers de chercher à te démontrer quelque chose a partir du moment ou tu sais exactement ce que tu veux croire.



Il n’y a que le temps qui pourra te faire changer d’avis et te fera relativiser les choses.





Puis il y a eu une période de réflexion sur la nature humaine et ses droits naturels fondamentaux inaliénables, puis leur implémentation jusqu’à nos jours avec le recul (pas linéaire) de l’étatisme/fascisme/planisme/socialisme/communisme et autres collectivismes anti-humains au profit de l’individu, et on peut supposer que le mouvement vers plus de liberté individuelle (et donc sociétale) n’aura comme fin qu’un retour à la situation de départ, mais avec un individu moralement évolué.

Comme on dit, chasser le naturel et il reviendra au galop.





Le problème, c’est que quand on est jeune, il est facile de tirer de mauvaises conclusions.



Certains tirent la conclusion qu’un ultra libéralisme outrancier est mauvais et donc veulent bannir tout notion de libéralisme.



Pour d’autres, c’est en constatant que l’ultra étatisme est mauvais qu’ils veulent bannir toute notion d’étatisme.



Les deux ont tort.



Mais quand on est jeune, on s’accroche à l’utopie de trouver une formule simple et idéale qui rendrait le monde parfait. C’est la facilité immédiate.



Mais je peux te prédire que ce classement binaire n’aboutira à rien.





Une telle affirmation démontre une profonde inculture économique et ignorance historique. Comme je ne veux pas ressasser une fois de plus mon discours sur la formation et la destruction des monopoles naturels et des monopoles artificiels (voir mes nombreux commentaires précédents sur le sujet), je vais me contenter de la citation éclairante d’un économiste bien connu:




  • M. Rothbard





    Une vision bien utopique, quand on connait un peu le commerce.



    Au passage, Marx était aussi quelqu’un de connu. Est ce pour autant qu’il faille prendre ses écrits pour argent comptant ?





    La découverte du processus importe plus que ses moyens ici : le principe directeur est l’échange volontaire entre 2 personnes consentantes donnant valeur contre valeur et donc mutuellement bénéfique. Ce principe a traversé les éons et les moyens qui en dérivent sont multiples et divers suivant l’échelle et le temps considérés.

    Les marxistes dans ton genre sont à des années-lumière d’une telle profondeur.





    Ce principe de l’échange volontaire et mutuellement bénéfique est la base d’un commerce sain.



    Mais entre la théorie et la pratique, il y a un monde de nuances….





    Ca, c’est la définition du politicien. Moi je parle de l’individu qui connait ses besoins mieux que quiconque et peut donc y répondre de manière pertinente, pas des usurpateurs et de leurs gangs de pillards assoifés de pouvoir qui échangent faveurs contre argent volé à autrui.





    Et tu penses que les entreprises sont exemptes de ce genre de personnes ?



    L’intrigant carriériste se retrouve autant à la direction des entreprises que dans les rangs des politiciens.



    Au fond, c’est juste la nature humaine.





    Comme je dis souvent, les inégalités dans la répartition des richesses sont dues aux inégalités à l’accès au capitalisme.





    Ce qui arrive fatalement très vite avec un capitalisme pur, puisque l’accumulation du capital fournit le plus gros avantage à ceux qui en possèdent déjà.



    Et ceux qui parviennent au sommet se hâtent de retirer l’échelle.



    L’inégalité dans le capitalisme est intrinsèque. Comme l’anarchie, le libéralisme se dégrade rapidement dans une forme économique du féodalisme.





    Mais c’est le cas partout où la liberté économique, et donc la richesse et l’avenir de l’homme, n’est pas sacrifiée sur l’autel de pseudo-idéologies rétrogrades, obsolètes et inutiles par les pique-assiettes que tu soutiens. Il y a une relation de cause à effet directe entre la liberté économique et la richesse par tête de pipe. Se regarder dans le miroir est recommandé à ce moment précis.





    Sauf que la richesse par tête de pipe n’est qu’un chiffre abstrait qui ne traduit absolument pas le niveau de bonheur des gens.



    A moins bien sûr de croire que le bonheur puisse dépendre du nombre de merdouilles en plastique produites et consommées.



    Quand tu voyagera un peu, tu comprendra qu’il y a des gens très pauvres sur le papier qui sont bien plus heureux que certains autres qui sont (théoriquement) très riches.



    Pour le reste, le libéralisme est un outil intéressant pour autant qu’on en fasse bon usage sans pour autant en faire une religion.





    En théorie c’est beau, c’est noble, ça fait pleurer du chaton mignon.

    En pratique, c’est raté, c’est ruineux, c’est anti-économique, ça ne convainc plus que quelques attardés post-marxistes sans doute évadés d’un asile d’aliénés, c’est contre-productif et ça va finalement à l’encontre du progrès humain pour n’intéresser que ceux qui sont aux premières loges pour se goinfrer à l’auge commune avec de la nourriture volée sur le dos des travailleurs (salariés ou non). Cette mentalité de parasites est exécrable.





    Sauf que le paradis ultra libéral ou tout le monde vivrait heureux dans un monde parfait, on attends encore d’en voir le moindre exemple en dehors des bouquins utopistes.



    Je dirais même qu’on attends d’en trouver les moindre prémisse. Plus le monde avance vers la dérégulation, plus les conditions de vie des gens se dégradent.



    Le plus amusant, c’est d’ailleurs quand on va voir de plus près dans des pays qu’on nous présente comme riches et “gagnants”.





    Ce qui n’est plus par définition un « échange » mais une obligation telle que la pratique l’immonde bête étatique et ses suppots parasitiques. Donc ta posture branlante se délite sous son propre illogisme que tu ne pratiques même pas avec brio ou conviction, je dois te le dire.





    Ca me rappelle le catéchisme…



    Un jour tu découvrira que la réalité est bien plus amusante.



    Par exemple, que beaucoup de lois étatiques sont en réalité poussées par le grand capitalisme pour interdire toute concurrence.



    Tu comprendra alors qu’en partie, ce que tu arbores est le résultat direct du pouvoir engendré par ce que tu adules…





    État d’équilibre qui n’existe que dans l’imagination de ceux qui n’ont rien compris à la beauté du sysème,





    Beauté d’un système qui comme pour le marxisme n’existe que dans la théorie.





    mais pour justifier leur pillage qu’est-ce qu’ils n’inventeraient pas.





    Dans la vision ultra libérale, tout ce qui n’est pas comptable, c’est du parasitisme, tout ce qui est comptabilisé, c’est de la valeur.



    Résultat, passer ses journées à aider des gens gratuitement, c’est du parasitisme.



    Et produire des merdouilles en plastique inutiles qui finiront dans les poubelles, c’est le bien de l’humanité(lol).



    C’est sûr qu’avec une telle vision du monde.





    Ne mentionnons pas le fait un peu génant que c’est leur État chéri qui attribu et garantit ces faux droits IP dont ils se plaingent des conséquences délétères. Bienvenue en Absurdistan.





    Le problème, c’est de considérer que si l’on n’est pas pour l’ultra libéralisme total, c’est qu’on serait forcément pour l’étatisme absolu.





    Tu supposes sans savoir, comme à ton habitude. Et tu te trompes.

    On ne te parle pas de théorie, on te demande de prendre sur toi pour t’observer tous les jours dans tes relations avec les autres : les échanges valeur pour valeur sont tellement naturels que tu ne t’en rends même plus compte. Tu es comme le sieur Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir. Là est la grande réussite de ce système : être tellement naturel qu’il semble ne plus exister. Tu es un capitaliste vivant en économie de marché grâce à l’échange de valeur (même en refusant de le reconnaitre).





    Je me suis toujours considéré plus comme un capitaliste que comme un communiste.



    La production et l’échange de valeur est bel et bien partout. L’ennui, c’est que le système capitaliste pur ne reconnait que certaines formes de création de valeur.



    Le capitalisme tends en pratique à décourager toute production de valeur difficilement comptabilisable…





    Au contraire, il est de leur plus grand intérêt que le consommateur soit le plus conscient possible des avantages de celui-ci par rapport à celui-là. Toute la différence entre une situation de compétition et celle de monopoles artificiels ruinés par leur égalitariste forcené.





    C’est vrai qu’on voit tous les jours des marketeux insister sur les défauts d’un produit <img data-src=" />





    Il se trouve que la science prouve tous les jours le contraire, que ses méthodes sont raisonnablement utilisables et utilisée pour montrer que le monde est effectivement complexe mais descriptible, compréhensible et avec un peu d’effort, abordable avec la raison et la logique.





    Avec le temps, tu réalisera les que ces méthodes ont aussi des limites…



    En fait, aucune méthode n’est parfaite.





    Les nuances, je les laisse aux incultes pour s’y noyer.





    La complexité fait peur, surtout quand on est jeune.



    Avec le temps, tu réalisera que malheureusement, il n’y a pas de raccourci, pas de baguette magique…



    Tant qu’on n’appréhende pas certaines nuances, on ne peut rien comprendre.





    Je contribue à nourrir les mécréants dans ton genre qui ne reconnaissent pas la valeur des choses au vu du faible prix que je pratique pour qu’ils ne crèvent pas de faim.





    J’aime ce discours des capitalistes qui font croire au monde qu’ils apportent tout aux gens.



    Un économiste te dirait que ce sont en réalité les gens qui produisent les choses…





    Est-ce que j’ai déjà mentionné ta façon floue, nauséeuse, irréelle et vide de profondeur et de substance pour causer pour ne rien dire ? Du charabia sans queue ni tête.





    Ou quelque chose que tu ne comprends pas encore.



    La vraie complexité du monde avec toutes ses nuances et quelqu’un dont les idées sont bien plus complexes à définir que les grandes idéologies prêtes à penser.





    Les marxistes « néolibéraux modernes » surtout, tu m’étonnes. Le parasite est toujours à la recherche d’un hôte à sucer.





    Les ultra libéraux et les marxistes se traitent mutuellement de parasites depuis toujours.



    L’ennui, c’est que c’est aujourd’hui un débat complètement dépassé d’un côté comme de l’autre.



    Toutes les idées anciennes méconnaissent le progrès technologique.



    Chez les néo libéraux, il y a des gens qui réfléchissent et qui travaillent.





    L’arme nucléaire quand toutes les pseudo-solutions précédentes n’ont pas fonctionné.





    La encore, à un certain age, tu comprendra qu’il n’existera jamais de solution parfaite.



    Dans un ensemble de solutions imparfaites, on choisit la moins mauvaise en fonction de ses avantages et inconvénients.



    Penser qu’il existerait des solutions parfaites, on le croit quand on est jeune, pas quand on a vécu.





    Le voilà qui recommence avec ses inepties sans substance. Ce qui est ironique et drôle parce que les principes/règles/axiomes/etc que j’ai décris plus avant, je m’y réfère constamment pour prendre des décisions qui au final me réussissent presque chaque fois. Mais on viendra se plaindre qu’on est incapable de supporter le système (seulement dans sa tête en fait) alors le problème est simplement un déni obtu pour éviter de perdre la face. C’est pitoyable.





    Tout système peut fonctionner correctement tant que l’on reste dans un certain cadre.



    Mais un jour, tu le dépassera. Tu comprendra alors l’énorme champ que cela t’ouvrira.



    Le système de pensée cartésienne occidental est d’une redoutable puissance. Mais il peut aussi devenir un carcan si l’on ne sait que se limiter à ça…





    2 milliards de personnes sont sortis de la pauvreté ces dernières années, ce n’est pas grâce aux pillards étatistes qu’ils ont maintenant à manger et du travail. Merci la mondialisation.





    Toute la subtilité étant de savoir ce qu’on appelle “sorti de la pauvreté”.





    On a bien compris ton amour marxiste débordant pour la force, le planisme et ta position extrémiste anti-humaine que tu peux maintenant remballer sous la noirceur de ton idéologie liberticide compulsive.





    Sauf que je ne suis ni un marxiste, ni un ultra libéral.



    Je suis plutôt partisan d’un juste milieu entre les deux. Sans compter d’autres formes de pensée.



    Un bel exemple qui démontre comment cette vision binaire peut limiter la perception en limitant la compréhension à un système de “cases”.


Le 29/12/2015 à 16h 09







tmtisfree a écrit :



1/ À long terme, tu ne pourra plus trouver de lien de causalité parce que d’autres mesures pour suppléer l’échec qui s’annonce auront été imposées un peu plus tard : en Australie, quand ils ont vu que la consommation repartait à la hausse après l’introduction du plain packaging, ils ont rapidement surimposés 2 taxes en 2 ans. Cela ruine donc l’argument, la pseudo-mesure et ses pseudo-motifs injustifiés et injustifiables.







Tu as raison sur le fait qu’il sera difficile d’en mesurer les effets à long terme. Mais ce n’est pas parce qu’on ne sait pas mesurer que ce n’est pas efficace.

D’autre part, l’histoire de la consommation qui pars à la hausse, il faudrait enquêter pour savoir si les cigaretiers n’ont pas trouvé des moyens de faire de la pub de manière détournée.





2/ L’image ne se réduit pas au packaging, surtout pour un produit de consommation courante, peu cher et dont le plaisir retiré d’une consommation facile a une valeur des ordres de grandeurs supérieurs à la simple vue d’un paquet jetable. Je dirais même que l’anonymisation des paquets va rendre l’acte d’achat moins contraignant pour les novices en éliminant les difficultés de choix et en levant l’inhibition du regard d’autrui.





S’il s’avérait que l’anonymisation du paquet avait un effet positif sur les ventes, les cigarettiers le feraient d’eux même.





Tout en augmentant les bénéfices des producteurs, si on en croit ta théorie du coût très élevé du packaging.





Oui, de fait. Mais le but n’est pas d’empêcher les profits.



Encore que logiquement, concurrence oblige…





Un futur total échec facilement prévisible comme seuls en sont capables les crétins ignares élus par leur clique de pompoms girls suiveuses.



1/ On mesure ton aveuglement idéologique (ou au mieux ton ignorance sémantique) quand l’utilisation de termes comme « légifère » et « régule » qui impliquent selon leur propre sens soit obligation , soit interdiction, soit les 2, toute position par définition absolument ou relativement « liberticide » et le refus de le reconnaitre (ou au mieux de l’inférer) en éructant le contraire dans la même phrase.





En matière d’économie, bien malin celui qui peut prétendre ce qu’est la connaissance ou l’ignorance.



Avec les dogmes, il est facile de remplacer un obscurantisme par un autre.





C’est la même position que le meurtrier qui affirmerait : « Ce n’est pas parce qu’on tue un homme et qu’on viole une femme que c’est pour autant criminel ». Ou que l’idiot qui dirait : « Ce n’est pas parce qu’on écrit des insanités et qu’on dit âneries que c’est pour autant stupide ». Seuls les individus qui ont perdu toute raison débitent ce genre d’absurdité sans honte.

2/ C’est bien pour cela qu’on définit la liberté négativement : la frontière entre ce qui est permis ou pas est parfaitement et simplement définie pour chacun, et il n’y a rien de plus à ajouter ou à enlever. Quand c’est le cas, l’adjectif liberticide s’applique : le qualificatif « liberticide » d’une pseudo-mesure restreignant de jure les droits IP d’un producteur (normalement et ironiquement garantis par l’État, comme quoi on ne peut pas lui faire confiance même en matière régalienne) est donc parfaitement adapté à la situation.





Rappelons que la cigarette est la cause de nombreux morts.



Que l’on prenne des mesures pour restreindre la communication des producteurs ne me parait pas malsain.



J’ai compris que tu était opposé à toute régulation par pure idéologie.





Tu affirmes implique que tu soutiennent personnellement ce que tu avances avec des preuves empiriques, pas que je fasse le travail à ta place. Trouve donc le % du prix d’un paquet qui correspond au coût de R&D par l’agence marketing, et après on pourra discuter.





Je l’affirme parce que commercialiser des produits et créer des packaging, je l’ai fait.



Pour le reste, n’attends pas que j’investisse du temps (et donc de l’argent) juste pour te faire changer d’avis.





Rien = nul : à ans+3, le résultat est nul/négatif. Sans compter que les cigarettiers ont intenté (ou vont intenter) des actions en justice (Australie/UK/France) pour faire valoir leurs droits IP bafoués, et que certains pays producteurs ont engagé une action OMC contre l’Australie pour rupture des accords internationaux signés : les dédommagement potentiels se mesurent en dizaines de milliards de $/£/€.





Dans ce monde, les “droits” des entreprises deviennent mieux protégés que les droits de l’homme.



Est ce que l’OMC se préoccupe que certains usines ressemblent à des camps de concentration ? Mais que nenni.



Je pense qu’il faudra changer cela.





Tes « notions de base » ne sont pas généralisables ici : par ex. le packaging des produits de marque distributeur est basique, voire tout aussi blanc pour beaucoup, et cela n’empêche pas leur vente parce dans ce cas de figure le seul déterminant d’achat est le prix. Comme pour les cigarettes (expliqué ici).





Comme tu le dit, le prix est également un élément déterminant dans le choix des consommateurs. Les états s’y attaquent par d’autres mesures comme des taxes.





C’est précisément la juste définition de « naturellement ». La propension naturelle et morale de l’homme est d’aller vers un état de liberté toujours plus grand, pas le contraire. Toute proposition (État, parti, religion, pays, nation, etc) et/ou action (loi, régulation, imposition, obligation, interdiction, croyance, etc) qui contrevient à cet avancement humaniste n’est pas naturel : il est anti-humain.





Sauf que c’est une vision dogmatique. Ce n’est pas ce qui se produit dans la réalité.



Dans l’évolution des sociétés humaines, au départ régnait l’anarchie. Et l’anarchie se trouve très rapidement supplanté par le féodalisme.



Il en va de même en matière économique.



En pratique, même le libéralisme a besoin de régulation forte, faute de quoi il se crée rapidement des monopoles… qui suppriment le libéralisme.





Le troc et le commerce ont existé bien avant l’agriculture (cf ici par ex. ). Donc comme « l’ultralibéralisme » (dont aucun « ultralibéral » ne sait ce que c’est soit dit en passant) n’est que le prolongement universalisé des formes d’échanges réciproques primitives existants naturellement antérieurement, il est donc naturel. QED.





Sauf que ces phénomènes disparaissent dès qu’on dépasse le cadre d’une petite communauté.



Par exemple, le troc est inapplicable à grande échelle, d’ou l’apparition de la monnaie.



Les communistes ont également utilisé l’argument de la société primitive. Sauf que ce qui fonctionne correctement à petite échelle ne fonctionne pas forcément à une échelle plus grande.





Intelligence qui dépend d’un système tenu pour démocratique mais de nivellement par le bas, ce qui ruine son utilité et ses capacités, par défaut d’informations (le classique problème du socialisme/étatisme/planisme). Autant donc laisser à des individus adaptatifs le soin de déterminer leur trajectoire personnelle selon leurs critères propres.





Tu parle de ces quelques individus qui tentent de modeler la société en fonction de leurs petits intérets personnels ?



Oui, nous voyons bien le résultat. Une petite minorité qui jouit d’immenses richesses d’un côté et une armée d’esclaves miséreux et exploités de l’autre.



L’économie doit servir l’homme et non le contraire.





Le but d’une entreprise n’est pas de régir la vie des individus, mais de se proposer de l’améliorer. L’État, c’est le contraire.





Le but d’une entreprise, c’est de faire du profit. Le reste n’est qu’imaginaire.





Ce qu’on pourrait résumer par l’aphorisme suivant : l’entreprise veut ton bien, l’État veut tes biens.





Quand tu bossera dans une grosse boite, tu pensera à rigoler un coup de ton affirmation.





Faire du profit est moral,





Faire du profit n’est pas immoral en soi.



Mais on peut faire du profit de manière plus ou moins bonne pour la société.



C’est le rôle de l’état de fixer les règles pour que le profit reste aligné avec l’intéret humain.







c’est même la plus morale des activités : elle ne résulte que du seul trait définissable purement humain, celui de l’échange mutuellement volontaire et bénéfique donnant valeur pour valeur. Tout le contraire du collectivisme et de ses dérivés actuels autoritaires en fait.





Encore une vison dogmatique.



Dans la réalité, il arrive très souvent que l’échange résulte d’un marché forcé.



Ce que tu évoques ne peut advenir que si le marché est équilibré.



Mais comme le capitalisme non régulé aboutit rapidement à de gros monopoles, ces derniers s’empressent de supprimer toute concurrence et de rendre les marchés verrouillés et captifs.



Sans protection, le libéralisme disparaît naturellement.





Les généralités, anecdotes et fadaises ne fondent pas une argumentation.





C’est sûr qu’a croire aveuglément dans des dogmes, on ne peut pas voir la réalité, quand bien même celle ci est évidente.





Erreur triviale de débutant : tu confonds anarchie et anomie.





On reconnait bien la pensée d’un jeune étudiant parce que des théories simples les séduisent, les rassurent et leur donnent l’illusion de comprendre le monde sans avoir à appréhender la complexité qu’on ne peut comprendre qu’avec l’age.



Mais avec l’age, vous comprendrez que hélas, la complexité ne se simplifie pas.



Les théories, sans être fausses sont toutes foncièrement incomplètes.





Certes, mais ce n’est que le résultat attendu d’un système de Ponzi collectivisé et déresponsabilisant qui ne répond pas aux besoins de l’individu et donc des individus dans leur ensemble. Tu confonds typiquement cause et conséquence.





Parce que dans le marketing des entreprises, il n’y a pas de volonté de déresponsabilisation du consommateur ?





Imposer un paquet uniformisé revient à interdire aux producteurs leur droit à commercer librement comme bon leur semble (en contravention avec les règles du code de commerce international) et à leur interdire l’utilisation de leurs droits IP (en contradiction avec la garantie de ces droits qu’est censé leur fournir l’État).





Encore une fois, la liberté totale n’existant pas pour l’individu, je ne vois pas sous quel prétexte l’entreprise devrait avoir droit a une liberté totale.





Aussi juste et raisonnable que blanc est blanc, noir est noir, et non gris. Et que 1+1 font 2, et pas 3. Etc.





Sauf que le monde n’est pas noir et blanc, mais fait d’une infinité de nuances.



L’idée d’un monde simpliste, c’est typiquement une vision de jeune.





Je suis dedans jusqu’au cou tous les jours où le soleil se lève et en différents domaines qui couvrent presque toute la palette du possible en la matière : je suis fière d’appliquer mon système de pensée (issu de l’expérience et de la théorie) à la vue quantitative et qualitative les résultats obtenus, merci pour moi.





En d’autres terme, tu contribues à augmenter la quantité de merdouilles produites en pensant naïvement que cela fait forcément le bien de l’humanité.



Mais cela n’est pas étonnant quand on voit tes croyances quasi religieuses dans les dogmes du dieu commerce.



Quand à moi, j’ai passé ma vie dans le monde du commerce et de l’entreprise, je ne doute pas que ta vision évoluera avec le temps.





Ce type de position floue, hors du champ de la raison et de la logique, ne mène à rien pour comprendre la réalité du monde et ne permet pas de tirer de conclusions sur la nature des chose et des considérations et affaires humaines. Par contre elle donne tout pouvoir sur le mouton à celui qui parvient à le convaincre en dépit de sa raison, de ses propres perceptions sensorielles et la logique.





Il n’existe en effet pas d’outil miracle qui permette d’appréhender la complexité du monde d’un coup de baguette magique.



Il n’y a qu’avec le temps et l’expérience que l’on comprends un peu mieux…





Le mécanisme insidieux et pervers mais finalement pas très difficile à percer de ce type de foutaises démagogues qui relèvent du fantasme mortel est très bien explicité dans les 30 pages du discours de John Galt. Alors tes miasmes collectivistes puants, à d’autres.





Classer les choses selon le concept bon/mauvais est une vision typiquement occidentale qui descend fortement de notre religion.



Dans la réalité, rien n’est complètement bon ni mauvais.



Ta vision, c’est un peu comme si l’on décrétait que le sel c’est mauvais et qu’on ne doit utiliser que du sucre dans ses plats.



Un système économique, c’est comme une bonne recette, c’est une question de subtil équilibre.



Dans la vision néolibérale moderne, beaucoup s’accordent à penser qu’une certaine dose de collectivisme serait bon pour la société en général… et pour la libre entreprise en particulier.





Il s’agirait de penser à renouveler les concepts obsolètes et le discours d’outre-tombe.





En attendant, les invectives ne valent pas arguments.





Cf au-dessus : le prix est le critère déterminant pour les cigarettes.





Les taxes sont la pour y remédier.





Ce qui revient à reconnaitre les conséquences néfastes de la cette prohibition larvée, tout en faisant semblant de croire que l’augmentation potentielle mais non démontrée de l’identification de la contrebande ne va pas de pair avec l’augmentation multipliée de la contrebande tout court (analogie de l’iceberg).





Il faut réaliser que de toute manière, il n’y a aucun schéma parfait. C’est pratiquement toujours comme cela dans la vraie réalité de la vie.



C’est justement aussi pour cela qu’on cherche également à agir aussi sur d’autres leviers que la taxe.



[/quote]Dans le temps, oui. Ce n’est plus le cas parce qu’il est devenu un produit banal et universel, peu cher (c’est à dire ayant de la valeur autre que pécuniaire) au regard des plaisirs immédiats et variés qu’il procure, disponible partout à toute heure, etc.[/quote]



Oui, ça, le monde du commerce est devenu maître dans l’art de vanter la facilité à court terme des produits sans jamais parler des conséquences néfastes.



De vrais bienfaiteurs de l’humanité qu’on vous dit…





Utiliser des méthodes archaïques, contre-productives et (probablement) très couteuses (ce n’est évidemment pas un problème quand on dilapide l’argent des autres, Ok) ne risque pas de traiter le soit-disant problème.



Bref, quand on privilégie le paraître ou le copiage à la réflexion, seules 2 possibilités subsistent :

1/ aucun résultat

2/ un désastre



Nous verrons l’issue bien assez tôt pour rire et se moquer une fois de plus.





Sauf qu’imposer le paquet neutre n’est une mesure ni coûteuse, ni mauvaise.



Ce serait d’ailleurs une bonne idée de l’imposer à tous les produits.



Cela diminuerait le coût des emballages et du marketing dans le prix des produits.



La mesure pourrait s’avérer bonne aussi bien pour le producteur que pour le consommateur.


Le 27/12/2015 à 16h 27







tmtisfree a écrit :



1/ Inefficacité à court terme implique encore moins efficacité à long terme. (Ce n’est pas un argument.)







Je ne suis pas d’accord. Dans de nombreux domaines, je pourrais te citer des mesures qui n’ont d’efficacité qu’a long terme.



C’est d’ailleurs particulièrement connu quand il s’agit de l’image des produits.





2/ Tu reconnais donc l’aspect liberticide de la démarche. Mais ce point n’est pas non plus un argument.





Non.



Ce n’est pas parce qu’on légifère et qu’on régule le marché que c’est pour autant liberticide.



La liberté, ce n’est pas la liberté de toute faire. C’est pourtant un sujet souvent abordé en philosophie.



Ajoutons qu’en principe, en démocratie le pouvoir politique est l’émanation des citoyens.





3/ Les gens ne fument pas le paquet, fût-il coloré ou blanc. Ce n’est donc pas un argument.





En marketing, on apprends toute l’importance du packaging <img data-src=" />



Si un jour tu travaille à l’industrialisation et à la commercialisation d’un produit, tu en saisira toute l’importance.





4/ Rapporté au nombre de paquets vendus, c’est peanut. Pas un argument.





Vu les types d’impression et de cartonnage, non, ce n’est pas peanuts.



Renseigne toi un peu, tu comprendra.



[/quote]5/ Le nom sera toujours sur le paquet et cf 3/. Ce n’est pas là non plus un argument.[/quote]



Pas d’accord. Supprimer l’identité graphique d’un produit, ce n’est quand même pas rien.



[/quote]Le fait est qu’aucune analyse a priori n’a été faite pour appuyer la croyance avancée, et les données sur près de 4 ans montrent que l’effet est au mieux nul et au pire négatif. Conclusion : culte de la pensée magique.[/quote]



Faut t’il vraiment faire une étude pour démontrer des notions de base ?





Ce bla-bla inculte doit être une démonstration de ton jeune âge alors : le meilleur système est celui qui émerge naturellement (ie comme dans la Nature). Le regretté Coluche, qui a toujours affirmé n’avoir lu qu’un seul livre de sa vie, le Capital de Marx, l’avait bien compris lui au moins.





L’évolution des systèmes humain fait partie de l’histoire. Et le “naturellement” n’existe pas. Il y a des successions d’états qui dépendent des cultures, de l’avancement des civilisations, des hommes au pouvoir.



Mais une chose est certaines, c’est que ni le communisme, ni l’ultralibéralisme ne sont des systèmes qui émergent naturellement. Ils sont tous les deux des constructions idéologiques poussées par des amoureux des utopies.





1/ Ce que tu essaies d’affirmer sans raison, c’est qu’une personne ignare ou même une clique de personnes ignares issue d’un ministère, fût-elle élue par ses congénères, est capable de connaitre avec précision ce qui est personnellement bon pour chacun des consommateurs de ce pays. Il n’y a pas à dire, la pensée magique, c’est vraiment magique. <img data-src=" />





Je suis parfaitement d’accord que l’état sera toujours limité par l’intelligence des personnes qui y sont.



Malgré les limites de l’état, il faut quand même réaliser que ce n’est pas les entreprises qui vont y remédier.



Le but d’une entreprise, c’est d’abord de faire de l’argent. Et plus une entreprise devient importante, plus les considérations de profit l’emportent sur toute considération morale.



Il suffit de voir les dérives graves qu’on peut constater dans les pays ou le politique n’a pas le pouvoir de s’opposer à la puissance financière des grandes entreprise.





Une personne qui impose ses croyances (et donc restreint la liberté de choix) à une autre personne (consommateur ou producteur) sans ou contre son gré, c’est la définition même de « liberticide ».





Donc tous les pays du monde sont liberticides ?



Rappelons que dans tous les pays, il y a un code pénal, un code du commerce, des lois sur le travail.



T’enlève t’on la liberté parce qu’on interdit de tuer son voisin ?



La cigarette cause de nombreux morts et coute très cher à notre système de santé.



Pourtant, personne n’a parlé d’interdiction.





On dirait qu’on est toujours à trafiquer le sens des mots essayer de convaincre pour chez le marxiste de base.

2/ Ah, les multinationales imposent de regarder leurs produits, de les acheter, de les utiliser, ou d’une quelconque autre ineptie de ce type ?

Le seul qui impose toujours et partout, c’est l’État liberticide et ses crétins de supporters. Tu dois manquer d’oxygène là-haut, redescends.





C’est une vision simpliste et manichéenne.



Quand tu connaîtra bien le monde de l’entreprise et du commerce, tu n’aura plus une vision aussi tranchée.





3/ Tu fais surtout preuve de mauvaise foi éristique. Recrache ton Schopenhauer et avale du Bastiat.





La encore, avec le temps, on comprends que tout le monde à un peu raison et un peu tort à la fois.





Jamais entendu parler de différentiation sur un marché ? Pour un addict, la couleur du paquet n’importe plus depuis longtemps. Pour un nouveau client, son choix peut effectivement porter sur tel ou tel paquet, mais l’acte d’achat se fera avec le nom de la marque et/ou de la cigarette s’il n’y connait vraiment rien (peu probable : il se sera fait passer des clopes pour essayer bien avant). Donc le packaging n’est pas déterminant quand on achète un produit peu cher rien que pour son contenu.





Sauf qu’au moment de l’acte d’achat, c’est déjà trop tard. Tout se joue en réalité bien avant. Par exemple, quand le copain exhibe son joli paquet de cigarette sur une table de café. Et que le graphisme contribue à rendre l’acte fun et branché et donc d’inciter de nouveaux consommateurs à franchir le pas.





Et si les consommateurs veulent vraiment du packaging, ils feront comme en Australie : marché noir et contrebande ont de beaux jours devant eux (on ne manque pas de frontières en France).





Ce qui rendra encore plus facile l’identification des réseaux de contrebandes… les forces de l’ordre sauront tout de suite qu’un paquet n’est pas légal…





N’importe quel spécialiste de la santé pourra t’expliquer que l’addiction ne se traite pas avec ce genre de pseudo-solutions débiles juste bonnes à satisfaire les instincts autoritaires bestiaux de quelque cancre collectiviste d’un sinistère quelconque et de leur fidèle troupeau de poulets sans tête. Mais cours encore, le mur de la réalité arrivera bien assez tôt.





N’importe quel spécialiste du marketing te dira comment les cigarettiers ont travaillé dans le temps pour faire de la cigarette un objet fun et branché…



Le but, en l’occurrence n’est pas de traiter l’addiction, mais plutôt d’éviter de tomber dans l’addiction.


Le 26/12/2015 à 19h 31







tmtisfree a écrit :



Et il n’y a aucune raison pour affirmer qu’elle en aura une à long terme alors qu’à court et moyen terme l’efficacité est nulle voire négative. Si il n’y a pas d’efficacité, qu’est-ce qui justifie donc de l’imposer ?







Sauf que l’inefficacité à court terme ne prouve pas l’inefficacité à long terme.



En imposant le paquet neutre, on s’attaque à l’image d’une marque. Et l’image, cela se construit (ou se détruit) sur le long terme.



Si l’efficacité était négative, les services communication des cigarettiers l’auraient fait depuis longtemps.



Ils n’auraient jamais fait des emballages avec du graphisme qui sont coûteux à concevoir et à imprimer.



Penses tu sincèrement que ces capitalistes avisés dépenseraient de l’argent pour mettre du graphisme sur les paquets de cigarette s’il n’y avait aucun retour sur investissement ?





Rien, sauf des croyances irrationnelles à la pensée magique dont tu es un digne prosélyte.





Pourtant, je ne crois pas plus dans le communisme que dans le libre marché totalement dérégulé.



Dans la vraie vie, les utopies de papier, ça ne fonctionne pas. Ca n’a jamais fonctionné et ça ne fonctionnera jamais.



Le meilleur système est une question de bons équilibres, pas d’application religieuse de dogmes tout faits.



Tu m’as dit dans un autre post que tu croyais dans des grandes lois économiques intangibles.



En matière d’économie, la réalité est infiniment plus complexes que cette vision scolaire qu’on enseigne dans les écoles.



Non pas que ce qu’on enseigne dans les écoles soit faux.



Mais en vieillissant, on apprends que tout dogme à toujours ses limites.





D’où « simplement » le mot « liberticide ».





Donc un état qui impose à une multinationale des lois pour le bien des consommateurs, c’est liberticide ?



Par contre, une multinationale qui impose ses conditions à des millions de gens, c’est forcément le bien ?



Moi je pense qu’il faut savoir faire preuve de bon sens suivant le cas de figure…





Puisqu’un peu d’aspirine n’a pas guéri du cancer, augmentons la dose. Lamentablement détaché de la réalité.





Pourtant, n’importe quel spécialiste de la communication pourra dire que l’importance du graphisme sur un emballage est évidente.



Si ce n’était pas le cas, pourquoi l’auraient t’ils fait ?


Le 25/12/2015 à 17h 34







tmtisfree a écrit :



Pas de doute, on est en France. Dans l’un des rares pays (Australie) où le paquet blanc (plain packaging en english) a été imposé, aucune baisse supplémentaire de la consommation de cigarettes n’a été mesurée, au contraire.







En même temps, aucun pays n’a vraiment de recul pour affirmer que cette mesure n’a aucune efficacité à long terme.



Bien sûr, pour ceux qui fument déjà depuis des années, il est douteux que cela puisse avoir un réel effet.



Mais je me souviens parfaitement, quand j’étais adolescent comment l’aspect graphique d’un paquet de cigarette pouvait avoir un effet attirant et en faire un objet fun en soi qui participait au fait de donner aux jeunes l’envie de fumer.



Certains en faisaient même la collection en tapissant les murs de leur chambre.



Donc oui, cette mesure pourrait, couplées à d’autres, participer de manière efficace au fait de couper le mal à la racine.





De là à affirmer que le politcien franchouillard est un crétin cédant toute honte imbue aux pires inepties liberticides, qui se contente de copier bêtement et en retard mais en agitant les mains ou le menton pour se donner l’air de traiter le problème sérieusement, des pseudo-mesures inefficaces déjà tentées inutilement par ailleurs, il y a un pas que je franchis avec joie : ces idiot(e)s devraient être castré(e)s pour éviter leur reproduction.





Liberticide ?



Que je saches, on n’empêche pas les gens de fumer.



On limite simplement la portée du marketing…



D’ailleurs, ça serait une idée à étendre à d’autres produits.


Le 24/12/2015 à 14h 51



Les cigarettes électroniques bannies de certains lieux publics. Le vapotage sera interdit dans « les établissements scolaires et les établissements destinés à l’accueil, à la formation et à l’hébergement des mineurs » (de type écoles et crèches), dans « les moyens de transport collectif fermés », ainsi que dans « les lieux de travail fermés et couverts à usage collectif ».





On pourrait pas avoir aussi une loi pour interdire à ceux qui s’aspergent de 3 litres de parfum tous les matins de monter dans un ascenseur ?



Sinon, dans les établissement scolaires, avant d’interdire le “vapotage”, ça serait déjà beau qu’ils arrivent à empêcher les jeunes de fumer des joints et de se détruire le cerveau…

Le 27/12/2015 à 18h 44







darth21 a écrit :



Non, ce ne sont pas des ordinateurs comme les autres, le hard est fixe et le soft doit être optimisé pour celui-ci (et éviter par exemple que la batterie fonde en 2h).

Personne n’a envie de perdre du temps à configurer, mettre à jour, optimiser un appareil qui devrait être conçu pour être simple dutilisation.







Soit à peu près le même problème que sur n’importe quel PC portable…



Rien de nouveau donc puisque tous les OS intègrent maintenant de nombreux mécanismes de gestion de l’énergie. Et le reste, c’est dans les drivers.



Et ce n’est pas parce qu’on change d’Os qu’il y a pour autant quelque chose à régler.



Pour couper court à l’idée que les téléphones seraient “super optimisés” par raport aux PC, je ferais remarquer que si l’optimisation était réellement une obsession sur ces plateformes, on n’utiliserait jamais des programmes écrits dans un langages comme Java ou tout autre langage non natif.





Le reste de ton commentaire c’est de l’idéologie deconnectée de la réalité.





Quand ce pays sera bien obligé tôt ou tard de cesser de vivre à crédit, nous verrons bien ou sont les vraies réalités. <img data-src=" />



Pas sûr que ce jour la on continuera de balancer à la poubelle quantité d’objets électroniques qui ont en réalité à peine servi…


Le 25/12/2015 à 21h 56

Si Gimp progresse lentement, c’est vraisemblablement parce que le projet ne reçoit pas suffisamment de subsides pour y mettre beaucoup de jours-homme.



Ajoutons que les changements internes du moteur ont demandé beaucoup de travail. Mais c’est le genre de truc qui ne se voit pas directement du point de vue de l’utilisateur.

Le 24/12/2015 à 19h 03







Okki a écrit :



Tu dois pouvoir rajouter des pilotes pour le modem GSM, les puces Wi-Fi et Bluetooth, la gestion de l’écran tactile, les différents capteurs (luminosité, gyroscope, baromètre…), le DSP, l’appareil photo, la gestion de la carte mémoire… et j’en oublie sûrement un paquet d’autres.







Dans chaque domaine, il n’y a pas tant de constructeurs que ça. Et pas énormément de modèles.



Le code d’un driver pour ces composants annexes n’est souvent pas bien gros. D’ailleurs le noyau Linux en intègre déjà beaucoup.



Au pire, s’il y avait réellement un problème d’espace, ils pourraient être téléchargés à la demande sur le web.



Tout cela, les Os pour PC le font déjà. Et il n’y a aucune raison que les Os mobiles ne le fassent pas aussi.



Le 24/12/2015 à 14h 34







linuxludo a écrit :



A quand le smartphone/tablette déverrouillé sur lequel on peut installer n’importe quel OS mobile (comme sur PC) sans craindre de le bricker ?

La commission EU nous fait tout un sketch sur Microsoft, le monopole, la vente liée sur PC, etc… mais bizarrement, sur smartphone / tablette : RIEN !

Il faut toujours soit disant prioriser les logiciels libres… mais la liberté de l’utilisateur on l’oublie souvent ! 

Pourquoi devrais je changer de smartphone si je veux un autre système mobile ?







Je considère que c’est LE grand scandale, l’arnaque du siècle en informatique.



Les smartphones et les tablettes sont techniquement des ordinateurs comme les autres.



Mais les constructeurs ont simplement profité du changement de forme pour changer les conditions, fermer à leur avantage, rendre l’utilisateur bien plus captif.



Oui, c’est le politique, le législateur qui aurait du réagir et interdire immédiatement ces systèmes pour cause d’imposition de la vente liée (et de l’utilisation liée) ordinateur + os. Avec les logiciels libres comme grand perdants de l’affaire (puisqu’ils ne viennent pas pré installés).



Malheureusement pour nous, les hommes politiques ne comprennent absolument rien en matière de technologie. Et pour couronner le tout, ils écoutent surtout les grands industriels ou leurs lobbyistes bien placés.


Le 24/12/2015 à 13h 41







Commentaire_supprime a écrit :



Merci pour ce post, très instructif.



Je t’avoue que quand je suis passé de Mac OS Classic à Linux il y a de cela dix ans, j’avais bien conscience de deux choses concernant ma conversion :





  1. j’y connais rien en Linux



  2. je vais en chier



    Eh bien, j’ai vite appris, et j’en ai chié bien moins que ce dont à quoi je m’attendais. Car je m’attendais d’entrée à une logique totalement différente du Mac OS sur lequel j’avais bossé huit ans, et à devoir repartir à zéro point de vue maîtrise d’un OS.



    Et c’est pareil avec les logiciels, nombre de gens veulent utiliser LO comme MSO, et se plaignent que ce n’est pas pareil… Que diraient-ils s’ils devaient apprendre par eux-même ou presque le Latex, ce que j’ai fait avec pas mal de difficultés au début…



    Il faut accepter de devoir apprendre, et ce n’est pas, par exemple, ma lointaine expérience du piano datant de plus de trente ans qui va me servir pour jouer de la mandoline, au-delà de mes notions de solfège et de ma capacité à lire une partition…







    Ta conclusion résume bien la situation.



    Malheureusement, l’informatique est victime du marketing de tous les vendeurs d’ordinateurs et de logiciels qui ont poussé l’argument de la facilité pendant des années pour mieux fourguer leurs produits.



    L’ordinateur est probablement l’objet humain le plus complexe jamais construit. Les gens doivent accepter la réalité : il faut se former un minimum pour l’utiliser correctement.



    C’est d’ailleurs la seule véritable voie de la simplicité : un minimum de formation fait disparaître grand nombre de difficultés qui empoisonnent la vie des utilisateurs.


Le 23/12/2015 à 20h 47







zempa a écrit :



J’évoquais davantage les problèmes que pouvaient engendrer un quelconque changement.

Concernant les avantages du libre vis à vis du propriétaire, ils ne sont pas du tout visible à l’usage.







C’est aussi parce que les gens sont tellement habitués aux limitations du logiciel propriétaire qu’ils ne voient pas tout ce que le logiciel libre permet en plus.



Un peu comme le prisonnier de longue date a qui l’on a ouvert la porte et qui continue de vivre comme si elle était restée fermée.





Sans avoir un minimum de culture informatique, on ne peut pas véritablement comprendre les enjeux et les intérêts du Libre.





Oui, clairement, ça aide énormément.





Donc de ce point de vue, je ne pense pas qu’il faille blâmer ceux qui n’en ont pas connaissance.





Je serais moins indulgent.



Si l’on ne blâme pas les gens quand ils vont ostensiblement vers la facilité, ils ne réaliseront jamais.



En informatique, ceux qui ont vendu l’idée qu’on pouvait utiliser cet objet sans se former, ce sont des commerciaux, des marchands. Ils l’on fait parce qu’ils y avaient a gagner…



Tant que personne ne dira le contraire, tant qu’il y aura de la complaisance avec ça, rien ne changera…





Pour ce qui est de la vie privée, malheureusement, Internet ne permet pas de voir les atteintes.

Et malheureusement, ne pas voir empêche d’en prendre véritablement conscience.

Pour bien comprendre, il suffit de voir les vidéos de “SurveillantCameraMan” dans lesquels il filme les gens dans leur quotidien :youtube.com YouTubeEt bien les réactions sont assez radicales.

Mais elles le sont parce que la surveillance est clairement visible., là où celles d’Internet est totalement transparente.





Effectivement très intéressant, et cela démontre bien ton propos.



Mais quelque part, l’ignorent t’ils vraiment autant que ça ?



Est ce qu’au fond, ils ne font pas tout pour l’ignorer, se sentant tellement bien dans ce moule sociétal de “coolitude” organisée par les grandes multinationales ?



La encore, la voie de la facilité à court terme…


Le 23/12/2015 à 19h 50







zempa a écrit :



C’est comme si il y avait un blocage “mental”, un peu comme une phobie. Peu importe la volonté de la personne, ça coincera toujours.







D’ailleurs, c’est amusant comment le logiciel propriétaire à conditionné les gens.



Tu leur donne des logiciels libres, ils ont du mal à percevoir l’avantage.



Un peu comme un prisonnier qui aurait vécu toute sa vie dans une cellule sans en sortir.



Un jour tu ouvre la porte, il fera tout pour ne pas le voir. Et il n’osera jamais s’aventurer dehors…



Aujourd’hui, pour la génération qui ne connait que les Os fermés sur téléphone et tout ces jeux faussement gratuits, le droit d’étudier une application, de la modifier et de la redistribuer ne leur parle même pas…



Même le concept de vie privée et de liberté ne leur arrache qu’un regard éteint, tellement ils ont été habitué a filer leurs données privées à tous les réseaux sociaux…



Bientôt, on pourra leur carrer une caméra dans l’anus, ils trouveront ça normal..


Le 23/12/2015 à 19h 04







zempa a écrit :



Non, elle utilisera tant bien que mal Windows en ayant toujours le numéro de la personne qui s’y connait. *









Malheureusement très vrai…



Avec le temps, j’ai pris le parti de les laisser crever. *



Mais quand je suis vraiment de très bonne humeur, je leur donne parfois un DVD d’Ubuntu.



* Beaucoup considèrent comme normal de payer son garagiste, son plombier ou la femme de ménage qui récure les chiottes…. mais qu’il est normal qu’un pigeon d’informaticien s’occupe bénévolement du gros tas de merde qui leur sers de bécane.


Le 23/12/2015 à 18h 55







Konrad a écrit :



Oui ça me fait toujours un peu halluciner cet argument aussi : « oui mais sous Linux y’a pas Photoshop ».



Je pense que pas mal de gens ne se posent pas le problème dans le bon sens : ils ne cherchent pas quels logiciels pourraient répondre à leurs besoins ; ils considèrent qu’il faut utiliser tel logiciel et pas un autre, et partant de là, ils t’expliquent doctement que Windows est indispensable.







Effectivement. Ils n’ont aucune analyse de leur besoin.





Il faut se poser les bonnes questions, du genre : que faites-vous avec Photoshop ? Si c’est juste pour recadrer vos photos et retirer les yeux rouges, il y a des logiciels libres qui le font aussi bien, ça évite de payer une blinde ou de chercher des versions pirates à risques… Photoshop ce n’est utile que si on en a une utilisation de type professionnelle : photographe, infographiste, etc., là oui c’est justifié. Pour les photos de famille à la maison, c’est overkill.



Il en va de même avec 3DSMax ou Maya… Je ne doute pas que ça fasse plaisir aux kékés de se procurer des versions pirates de ces logiciels, mais je doute qu’ils en aient vraiment l’utilité.





En fait, ils partent du principe qu’il faut choisir le meilleur logiciel du marché sur le plan des possibilités. Mais ils oublient de fait toutes les autres contraintes comme le prix ou les conséquences à long terme de tel ou tel type de licence, ou le fait de se mettre dans l’illégalité en les piratant.



On est effectivement dans une logique de “moi avoir la plus grosse” sans aucune réflexion qui rappelle bien le kéké primaire de la route…



D’ailleurs, comme tu dit, entre la frime et l’utilité, il y a un monde. La plupart du temps, ils ne savent même pas s’en servir…





Encore une fois, autant je comprends tout à fait qu’un pro utilise ce genre de logiciels : il a des besoins précis, c’est normal qu’il utilise des logiciels précis. Mais parmi les 90% des utilisateurs qui ont Windows à la maison, on ne me fera pas croire que ce genre de logiciels (Photoshop etc) sont indispensables dans leur logithèque…





Tout à fait. Il est évident qu’il ne me viendrait pas à l’idée de proposer des logiciels libres à des pros dans certains domaines spécialisés ou des logiciels propriétaires sont clairement plus aboutis et productifs.



Je suis parfois obligé d’utiliser certains logiciels sous Windows parce qu’ils n’ont pas d’équivalent sous Linux (mais le contraire arrive aussi) et que je n’ai pas le choix.



D’ailleurs, dans les domaines pro ou les logiciels libres sont très pointus, personne n’a besoin de les conseiller, les pro les utilisent déjà depuis longtemps…


Le 23/12/2015 à 18h 09







Konrad a écrit :



Je suis aussi d’accord avec ça : quand on a besoin de logiciels spécifiques qui ne fonctionnent que sous Windows, alors oui, on n’a pas le choix, on est obligé d’utiliser Windows, passer à Linux est tout simplement impossible.



Mais pour l’immense majorité des gens, les besoins se résument au Web (Facebook & Co), aux emails, à un peu de bureautique (écrire des courriers simples, éventuellement faire ses comptes dans un tableur)… Du coup, pour l’immense majorité des utilisateurs, une distribution GNU/Linux pourrait très bien répondre à leurs besoins.



Même pour moi qui me considère comme un “power-user” (montage vidéo, jeux vidéos, programmation…), j’utilise GNU/Linux au quotidien, au boulot comme chez moi, et je ne ressens aucun manque… La logithèque sous Linux est très fournie et répond très bien à tous mes besoins.



Windows n’est indispensable que pour les gens qui ont absolument besoin de logiciels spécifiques, qui ne tournent que sous Windows. Mais si 90% des gens utilisent Windows, ce n’est pas pour cette raison…







Tout à fait.



D’ailleurs, je note qu’on parle toujours de Photoshop, 3Dsmax ou maya ou autres logiciels spécialisés. Mais combien de gens ont réellement les moyens de les acheter ? Combien de gens les payent vraiment ?



Parfois, ça m’amuse de voir des jeunes se la péter avec Windows et leur pile de DVD pirates(et bourés de malwares) et qui viennent te raconter que le propriétaire, c’est vachement plus mieux que le libre.



Sauf que si un jour ça leur arrive qu’il y ait une perquisition chez eux et que la police tombe sur leur pile de DVD, ils se retrouveront avec une facture du prix d’une belle maison. Ce jour la, ils feront un peu moins les fiers.



Et je ne parle même pas de ce qu’ils devront raquer le jour ou ils se mettront à leur compte et qu’un concurrent les dénoncera…



En plusieurs décennies de métier, j’en ai vu des gens se faire pincer…


Le 23/12/2015 à 17h 56







Commentaire_supprime a écrit :



Un cône de chantier, c’est mieux. <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />







Et Fedora, elle pue du chapeau ? Et Mageia, connais pas ?



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jfdigonnet a écrit :



Vous êtes amusant : vous êtes jeunes et pour vous rien ne changera jamais. Les cartes seraient battues définitivement. Je suis un peu étonné : visiblement vous êtes soit très conservateurs soit vaincus par une idéologie de monopole qui vous explique que la variété, c’est mal.



C’est un des rares système grand public qui préservent votre liberté et vous préférez malgré tout Windows / Mac + Google.

 

Vous critiquez l’interface d’un système qui vous permet d’en choisir d’autres (Gnome 3, Mint,  Xfce, etc…).  Les critiques sont souvent du genre : “j’aime pas”. C’est un peu léger comme analyse.



Vous me donnez l’impression que pour vous Microsoft choisit pour vous et c’est bien. Vous obéissez à vos papa / maman aussi bien ?



Quant à l’avenir de Linux : pour les serveurs c’est fait. Pour le Desktop, c’est parti. Le service public a commencé sa migration. Faut dire qu’à 130 Euros la licence Windows elle a plutôt intérêt à penser à réduire ces coûts. Cela signifie à terme 4 millions de postes installés en France. Ensuite viendra le tour des communes.



Il y a (tant que la vente liée et donc l’absence de choix) deux OS (sans compter Mac) : un à 130 Euros qui vous espionne et un libre qui respecte vos libertés.  A vous de choisir parce que ces choix ne sont pas techniques. Ce sont deux mondes qui s’affrontent.







Bien résumé…



D’ailleurs, on se demande parfois si les gens réalisent vraiment qu’un logiciel libre n’est pas juste un logiciel gratuit, mais bien un concept destiné à apporter plus de liberté aux utilisateurs, à mieux respecter leurs choix et leurs aspirations et à éviter certains abus…



Et c’est bien parce qu’un logiciel est libre qu’il peut apporter certains avantages que le propriétaire ne pourra jamais offrir.


Le 23/12/2015 à 17h 17







labenouille a écrit :



La logithèque reste pour moi LA bonne raison. Les équivalents existent souvent et sont parfois très bons (Blender) mais restent des outils différents.

C’est comme la machine à soda, tu feras du cola mais pas du Coca Cola.

 

Quand tu travailles avec des outils précis tu as besoin d’un environnement qui les fait tourner. Certains leader du marché ne sortent pas leur logiciel sur Linux et là…

 

Tu peux faire de l’animation sous Blender (et même du très beau) mais pour faire un Pixar c’est Zbrush, Maya, 3dsMax, Cinema4D, … Y’a pas toujours d’équivalent aux outils spécifiques. Surtout après des années de formation à ces outils. Il n’y a pas de module Gimp aux Gobelins.



edit : Il y 2 formations Blender maintenant aux Gobelins <img data-src=" />







La dessus, je suis entièrement d’accord avec toi.



Il manque encore sur Linux certains outils professionnels pointus et bon nombre de logiciels métiers.



Ce qui fait que dans certains domaine, on ne peut pas encore se passer de Windows. C’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle j’utilise encore Windows…



Même si on peut espérer que ces logiciels seront un jour adaptés à Linux, ce n’est pas encore le cas aujourd’hui.



Mais quand on parle de logithèque, tout dépends de quelle logithèque on a besoin.



Comme je l’ai expliqué plus haut, pour tout ceux qui n’achèteront pas ces logiciels pointus, mais coûteux et qui ne veulent pas non plus les pirater, la logithèque libre est vraiment la meilleure alternative.



Or, c’est bien sur Linux qu’on peut trouver aujourd’hui la plus grande et la meilleur logithèque libre et l’utiliser avec le meilleur confort possible.


Le 23/12/2015 à 16h 06







YamaLandia a écrit :



Etrangement, tu veux être pointilleux sur certains points mais tu sors des énormités sur d’autres. Oui tu as mis “certains”, mais il y a pas si longtemps, tu mettais que toute la liste de l’utilisateur (qui n’était pas moi, au passage) était composée de logiciels libres.  Qui es-tu pour dire que les logiciels listés par l’utilisateur ne lui servent pas ?







Je crois que tu cherches surtout la polémique stérile.





De plus, c’est également toi qui a dit que sur Windows, on avait juste le choix entre les logiciels à plusieurs milliers d’euro ou les virus.

Sincèrement, quel autre choix as tu ?



Pour être exhaustif, on pourrait éventuellement citer :



-Des gratuitiels… ou tu est le produit.

-Des logiciels libres, mais souvent moins bien maintenus que sous Linux.





Tu dis avoir bien connu Windows avant de passer à Linux. C’est bien. Mais sais-tu que si Linux a évoluer au fil des années (comme tu le disais hier), il en va de même pour les autres OS ? Plusieurs membres ont pointé du doigts tes absurdité sur certains points du monde Windows et pourtant tu continue de croire que c’est la vérité absolue.





Et sinon, on pourrait avoir de vrais arguments ? <img data-src=" />





Quant à la programmation, je ne tiens pas à lancer un débat puisqu’il t’a fallu plus d’une journée pour configurer un IDE (point sur lequel plusieurs membres ont également trouvé ça étrange).





Manque de bol, je ne parlais pas de configurer un IDE, mais de compiler des logiciels, ce qui est radicalement différent.



Tu déforme mes propos à tout bout de champ en racontant des énormités…



Je ne vois pas l’intérêt de perdre son temps ainsi..





Encore une preuve que tu lance des affirmations sans aucune vérification. Seules les licences OEM posent certains problèmes lorsqu’on change la carte mère car la licence est liée au constructeur.

En cas d’une licence classique, il n’y a aucun problème à changer n’importe quel composant du PC, même la carte mère.

Je n’ai eu aucune réactivation à faire, Windows avait démarré comme si de rien n’était. J’avais simplement du installer les pilotes graphiques de NVIDIA car je venais d’une ATI.





Tu connait beaucoup d’ordinateurs qui sont livrés avec une version boite ?



Et dans le commerce, les versions boites de Windows 10, elles ne sont pas simple à trouver.



Sinon, j’ai beau avoir une licence boite de Windows 7, j’ai quand même été obligé de l’activer. <img data-src=" />





Au final, je ne comprend pas pourquoi tu donne l’impression d’être en croisade.





C’est justement ce que j’allais te demander.



Visiblement, le fait que je considère qu’il n’y a pas de bonnes raisons d’utiliser Windows, ça te dérange.



Ce n’est que mon avis. Et s’il ne te conviens pas, c’est le même prix.


Le 23/12/2015 à 14h 47







YamaLandia a écrit :



Je connais Chromium mais même en prenant ça, il y en avait bien plus que deux dans sa liste qui ne sont pas libres (Plex, Hangout, Keep,etc.). Donc, quand tu disais qu’il n’utilisait que des logiciels libres, c’était totalement faux ou alors tu confonds libre et gratuit.







Les principaux logiciels que tu utilises sont libres. Le reste ne sers à rien ou peut être remplacé par des softs libres.





Manifestement, tu connais bien le monde Linux mais il est aussi évident que tu as une vision très limitée de ce qui se passe sur Windows. Il suffit de voir que pour toi, il n’y a que des logiciels pleins de virus ou coûtant des “milliers d’euro” sur Windows.





Avant de passer à Linux, j’ai bien connu le monde de windows et les différents choix possibles.



La meilleurs solution, celle des logiciels libres n’est idéale que sous Linux…





Une autre preuve de ta méconnaissance : VLC, qui est pourtant un logiciel libre sous licence GPL, est sur les stores de Microsoft sans que ça pose problème.  Si tu veux, je te mets en contact avec le développeur chargé des versions “app Windows”.





C’est la ou l’on voit que tu cherches surtout à contredire pour polémique. Relis ma phrase “certains softs libres n’y seront jamais à cause de la compatibilité des licences avec les conditions des stores. ”



VLC est en licence GPL V2, ce qui permet cela.



Mais ce n’est pas le cas des logiciels qui sont sous GPL V3…





Je ne remets pas en question l’avantage des gestionnaires de paquet, mais il faut être vraiment de mauvaise foi pour dire qu’il est impossible de gérer sa bibliothèque logiciels facilement et sans dépenser un euro quand on utilise Windows.





En tout cas pas avec le même confort…



As tu déjà simplement chronométré le temps que demande l’installation d’un windows + windows update plus installation de tous les softs d’une config.



Linux détruit complètement Windows sur ce point la…

 



Compiler un vrai soft à partir de la source et avec beaucoup de dépendances? Oulà, je risque d’avoir du mal.. Non je déconne, ça se fait très simplement sur n’importe quel IDE moderne et ce, peu importe le système d’exploitation utilisé.

Si c’est bien codé, ça ne nécessite pas plus qu’un clic sur un bouton, même sur Windows.





Tu programme en quoi, en Java ?



Non, parce que la, franchement … lol.





Quant à la panne, je ne dis pas que tout est rose mais je n’ai eu aucun problème à booté sur le disque dur de mon ancienne tour lorsque j’ai changé (et quand je dit changer, c’est tous les composants qui ont été renouvelés, boitier compris).





Tu oublie juste de préciser que le système demande de réactiver. <img data-src=" />



Et aussi, pour être en conformité avec la licence, que tu doit racheter une licence.


Le 23/12/2015 à 13h 39







BTCKnight a écrit :



19 pages pour discuter des mérites ou des problèmes de tels ou tels distribs Linux…

Je comprends mieux pourquoi Linux a des difficultés pour s’imposer réellement auprès du grand public…

Mettez vous un instant à la place de Madame Michu qui doit faire son choix parmi toutes ses distribs… et qui va n’en prendre aucune (parce qu’elle ne saura au final pas quelle est la meilleure distrib pour elle) mais se rabattre sur Windows (au moins c’est + simple : Windows 10 pour tout le monde, sauf exceptions)







Cela me rappelle le discours de quelqu’un qui nous vantait l’URSS en nous expliquant que les magasins occidentaux, c’était trop compliqué, il y a trop de choix. Qu’au moins en URSS tu n’avais qu’un seul produit en magasin… quand il y en avait. <img data-src=" />



En fait, c’est en réalité très simple : Chaque distribution Linux correspond à un besoin différent.



Ubuntu pour les débutants et les pressés.



Debian pour les pointilleux de la licence libre.



Arch pour ceux qui veulent maîtriser leur système et avoir les derniers softs.



Gentoo pour ceux qui aiment regarder leur machine compiler.



Mint pour ceux qui veulent utiliser Ubuntu sans utiliser Ubuntu.



Slackware pour les masochistes…<img data-src=" />


Le 23/12/2015 à 13h 29







YamaLandia a écrit :



Encore une fois, tu confonds libre et gratuit. Dans la liste qu’il a cité, je vois aussi pas mal de logiciels propriétaires (Chrome par exemple, ou Plex).







Chrome a une version libre qui s’appelle Chromium.



Donc il te reste juste plex à éliminer… tu n’est pas si loin <img data-src=" />





Quant aux mises à jour, faudrait peut-être justement se mettre à jour : Si je reprends Plex et Chrome ou même Firefox, je ne vois pas en quoi c’est plus compliqué sur Windows que sur Linux : tout est automatique :





Oui, chaque logiciel qui gère(ou pas…) sa petite mise à jour dans son coin…



C’est quand même bien plus propre et efficace sur Linux ou tous les softs du système sont gérés et mis à jour en un seul clic.



Le système est d’une puissance, d’une rapidité incroyable. Et l’on peut même ajouter ses propres dépôts ou des dépôts extérieurs en toute simplicité.



Bien sûr, les Os propriétaires évoluent avec des “stores”, mais ils ne sont pas aussi souples. Et surtout, certains softs libres n’y seront jamais à cause de la compatibilité des licences avec les conditions des stores.





Enfin, pour l’environnement de développement, je ne sais pas quoi dire vu qu’il ma fallu 1h maximum pour reconfigurer ma machine après une installation propre et sur laquelle j’ai mis Visual Studio et Intellij, deux IDE.





Donc un cas relativement simple…



Mais sur Linux, on aurait mis 2 minutes maxi…



Essaye de compiler un vrai soft à partir de la source avec beaucoup de dépendances et tu m’en dira des nouvelles. <img data-src=" />



Sincèrement, je ne comprends pas pourquoi tu préfères t’acharner avec Windows alors que Linux est tellement mieux à presque tous points de vue.



Et cela sans compter que Windows n’est pas libre, ce qui n’est pas sans conséquences.



Tout cela sans parler qu’en cas de panne, avec Linux tu prends une carte mère qui traîne sur l’étagère, tu repars. Tandis que Windows avec son système d’activation…


Le 27/12/2015 à 16h 41







the_frogkiller a écrit :



ils ont fait des lois dans se sens mais je doute de leurs efficacités car l’obsolescence programmé à grande échelle est le moteur de l’économie dite “moderne”. Quand on vois les gouvernements courir après le % de croissance ce n’est pas gagné







C’est malheureusement une dérive qui empêche le consommateur d’élever son niveau de vie, puisqu’il rachète en permanence toujours les mêmes objets au lieu d’en acheter d’autres.



L’obsolescence programmée est un système qui détruit de la valeur à grande échelle…


Le 26/12/2015 à 19h 44







panda09 a écrit :



Et je ne te dis pas aussi les salaires ! Mais ils ne sont pas les seuls. Dans la GD, le personnel coûte tjrs trop cher. Alors, on le presse comme un citron. Là aussi, j’en ai gardé de sales souvenirs.

 

En tant qu’employé, jamais un truc qui approcherait de la date limite donné, non, rien de gratuit pour l’employé. Dans certaines GD, on octroie “généreusement” 5% à ce dernier.

Mais comment peut-on être aussi radin ? Ben, plus ça accumule de fric, pire c’est…



Bref, quand une GD se fait mettre à sac, j’ai pas vraiment envie de pleurer…







En même temps, le problème, c’est qu’il y a des raisons à cela.



Par exemple, s’il y avait don (ou forte remise) pour le personnel, certains cacheraient des articles ou simplement des étiquettes.



Néanmoins, je serais les pouvoirs publics, je voterais une loi pour interdire que cela parte à la poubelle. Les associations caritatives pourraient faire bon usage de ces denrées, avec toutefois l’obligation de traitement ou distribution sans aucun délai.


Le 26/12/2015 à 17h 13







Exception a écrit :



“Les pauvres ne doivent pas acheter de saumon s’ils ne peuvent se payer que du saumon d’élevage bas de gamme. Ils doivent acheter de la truite de bonne qualité plutôt que du saumon de mauvaise qualité.”

(émission C dans l’air de France 5, quand l’élite explique sa vision du monde, qui s’applique à tout, ici aussi où l’élite préfère que les pauvres n’aient pa d’internet du tout qu’un internet bridé)







Sauf que les conséquences économiques indirectes de cet internet bridé sont énormes. A long terme, ce n’est pas du tout à l’avantage des pauvres dont nous parlons.



Pourquoi ? Parce que cela confortera la domination sans partage des entreprises les plus puissantes qui viennent des nations les plus dominantes. Leur services et produits prendront une prédominance qu’aucun acteur local plus petits ne pourra jamais concurrencer…



Tout cela dirige le monde vers une économie complètement verrouillée et un monde fait de pays dominants et de pays dominés sans aucun espoir de changement…



Voila décrit de manière succinte les enjeux qui sont derrière la neutralité de l’internet.



Pour le reste, je pense que le choix ne se résume pas entre l’internet bridé et pas d’internet du tout. De nombreux pays, comme l’Inde ou la France ont parfaitement les moyens d’apporter l’internet à tous, y compris aux plus pauvres et cela, sans bridage d’aucune sorte.


Le 25/12/2015 à 21h 49







eXa a écrit :



Facebook est certes utile pour garder contacte mais c’est uniquement car ils ont ete les plus interessants il y a 8ans et que monsieur tout le monde a fini par aller dessus.

La population d’inde a qui Facebook donne acces a internet n’a pas les moyens d’avoir des amis a l’etranger, Facebook fait ca uniquement car c’est le marche le plus important qui en etant les premiers labas ils se feront des milliards sans concurrents d’ici quelques annees.

Il faut etre idiot de penser que c’est d’apporter une solution qui les interesse.







Et oui, ce sont des entreprises, pas des organismes caritatifs.



Quand une entreprise fait quelque chose, c’est parce qu’elle espère un retour par la suite.



Ce n’est donc ni gratuit, ni pour la bonne cause.



Personnellement, ça ne me choque pas de voir des entreprises gagner de l’argent, ni faire ce qu’elles peuvent pour en gagner.



C’est juste que c’est au politique à ne pas laisser passer n’importe quoi.



La fourniture de l’Internet à ceux qui n’ont pas de moyens, c’est le rôle de l’état.


Le 25/12/2015 à 18h 50







legurt a écrit :





enfin ça me fait dire que l’internet est mort depuis le début 2010 à minima,ça ressemble au minitel de l’achat.









C’est même hélas bien pire encore.



Le web, c’est un vrai paradis pour ceux qui ont les brousoufs pour payer une petite armée de gens qui vont influencer les esprits…



Vous pensiez que le web était un espace de libre expression ? C’est en réalité le plus grand espace de manipulation jamais inventé. <img data-src=" />


Le 25/12/2015 à 15h 03







sioowan a écrit :



C’est bien ce que je dis si les gens ne sont pas content qu’ils ouvrent un autre service. Mais là il n’y a plus personne.



Comme dirait l’autre, la critique est facile, l’art est difficile.







Si c’est juste pour promouvoir les grands services de l’économie américaine et non les petits acteurs de l’économie locale, je ne vois absolument pas ce que ça peut apporter de positif…


Le 25/12/2015 à 14h 53







bingo.crepuscule a écrit :



Elle est facile celle là, à défaut d’un monde plus juste, équitable, et solidaire, contentons nous des miettes proposées par de grandes multinationales n’ayant que pour but de s’imposer, au détriment des autres.



La neutralité du net est non négociable, point, les progrès que cette technologie a amené dans la vie des peuples, sont trop importants pour êtres morcelés et jetés en pâtures par des entreprises ne songeant que sous couvert de solidarité, à s’imposer.



Et qu’on ne vienne pas nous dire encore que les entreprises ne sont pas là pour faire du social, d’autres modèles que “je veux un max de fric tout de suite pour tourner et mes dirigeants/actionnaires au détriment de tout le reste” ça existe, ça n’a rien d’un mythe, et ça fonctionne, quand les gens font ce choix, plutôt que se borner à se montrer égoïstes et ne penser qu’à capitaliser sans prendre en compte ce qui sera fait du fric qu’ils dépensent le moins possible, pour un bien ou un service derrière.







Un internet non neutre, c’est juste un outil de conquête…



En prétendant apporter sa “lumière”, le monde occidental apporte en réalité sa domination économique.



D’un simple point de vue stratégique, l’Inde à bien raison d’interdire ce service…


Le 25/12/2015 à 14h 47







metaphore54 a écrit :



Pour ma part c’est mieux ça que pas d’internet du tout. Facebook, google et cie ne font pas de charité, ça sert juste à se développer, ce qui n’est pas idiot comme système si tout le monde est gagnant.







Sauf qu’au vu des conséquences économiques négatives qu’un tel internet engendrerait, il vaut bien mieux ne pas avoir d’internet du tout.


Le 26/12/2015 à 19h 49







[_Driltan_ a écrit :



]En même temps pourquoi communiquer ? Ils font du fric, les développeurs forcent de plus en plus les joueurs à rentrer une clé à lier sur un compte Steam, si les gens sont pas contents ils n’ont qu’à aller voir ailleurs. Oui mais où ? Ah bah on peut avoir les très vieux pseudo abandonwares sur GoG (exception faite pour de très très rares nouveautés), les jeux UBI sur Uplay, les jeux EA sur Origin mais le reste et surtout en multi…ah bah voilà les joueurs ont fait de Steam un roi, on a plus notre mot à dire.







Ils n’ont qu’a filer leur argent à des projets de jeux vidéo libres. <img data-src=" />



Dans la vie, le consommateur fait la promotion de ce pourquoi il paye.



Le 25/12/2015 à 15h 16







trekker92 a écrit :



quand tu encodes une vidéo il y a des erreurs, et pourtant c’est pas un humain qui effectue le processus d’encodage







D’un point de vue informatique, cela n’est pas des erreurs…


Le 24/12/2015 à 22h 56







Gundar a écrit :



Pas de CPU sur le Minitel, c’etait juste un dumb terminal “à la” VT100 avec un modem V23.







Il y a bien un CPU sur les Minitel.



youtube.com YouTubeGundar a écrit :



Oui un controleur, c’est ce que je disais donc. Puissant même apparement (potentiellement plus qu’un “vrai” 8080 au fond). Par contre ça fait beaucoup de RAM pour un truc pas cencé stocker autrechose qu’une page d’écran… Je serais curieux de retrouver les specs des premiers

modèles.







Le mot contrôleur, ça peut désigner un circuit sans intelligence.



Mais la, en l’occurrence, il y a bien un CPU qui exécute des instructions.



On utilise souvent le terme microcontrôleur pour désigner un forme de SOC, c’est à dire un CPU, de la mémoire et des circuits ES.



Mais la, dans l’exemple, il y a bien une ROM externe.



Dans le minitel, il y a avait bien tous les composants pour faire un vrai ordinateur… ou presque.



Certes, il aurait sans doute fallu ajouter un composant ou deux. Mais cela n’aura pas fait augmenter son prix de manière vraiment significative.



Le plus coûteux, c’est à dire l’écran, le circuit vidéo, le modem, le clavier, l’alimentation y étaient déjà.


Le 24/12/2015 à 14h 28







wrongillusion a écrit :



J’ai personnellement bien plus confiance dans une machine que dans un humain…







Beaucoup de gens répondront sans doute le contraire.



Cela est du à ce que les gens connaissent de l’électronique grand public “à bas cout” dont la fiabilité n’est pas légendaire.



Ce que les gens ignorent, c’est qu’en fonction de comment un système est élaboré, il peut être d’une fiabilité quasi absolue ou complètement désastreuse.



Simple différence de conception.



Le 24/12/2015 à 14h 19







tica68 a écrit :



Il n’y a pas que l’aspect juridique … les ordinateurs d’un avion sont incapables d’atterire dans de telles conditions. C’est pas moi qui le dit, ce sont tous les experts qui viennent s’exprimer après chaque catastrophe aérienne. Si les avions étaient capables de tout faire seuls, pour des histoire de coût (plus de gréves des pilotes, par exemple) les compagnies l’auraient déjà mis en place. L’histoire de l’assurance ne tient pas, à mon sens, suffit de définir un nouveau cadre juridique sur la responsabilité en cas de crash. Si cela n’est pas encore fait c’est que les pilotes, aux yeux de beaucoup et surtout à ceux qui sont en charge de l’aviation commerciale, sont encore et de loin les plus qualifiés.







Je t’engage juste à regarder ce dont est capable un Rafale en matière de pilotage automatique pour comprendre que ces “paroles d’experts” sont vraisemblablement mal comprises.



Faire atterrir un avion est bien moins compliqué que de conduire une voiture dans la circulation. Pas de situation d’obstacles complexes en proximité, de nombreux capteurs qui fournissent déjà la plupart des données nécessaires, une cartographie des aéroports facile à réaliser, des plans de vol et d’approches prédéterminés.



Le problème, c’est que quand un avion s’écrase, ce n’est pas toujours le pilote qui est en cause. Les conditions extrêmes ou une panne mécanique sont souvent la cause du problème. Et un calculateur ne peut faire ce qui est impossible.



La situation ou l’on accuserait un calculateur d’avoir causé un accident alors qu’il n’aurait simplement pas pu sauver l’avion compte tenue des conditions arriverait très rapidement avec une polémique immédiate “un humain aurait pu sauver l’avion”, que cela soit vrai ou non.



Il faut donc bien comprendre le “pas possible”, non pas d’un point de vue technique, mais bien par rapport à l’ensemble des contraintes de responsabilité qui sont posées…





Effectivement aujourd’hui sur les avions de ligne, les calculateurs imposent des limites d’amplitude des commandes mais cela n’empêche pas tout : exemple malheureux et récent du co pilote qui s’est suicidé.

Et cela reste un mode “manuel” tout de même, il n’y a pas de machine qui prend la décision d’aller à droite ou à gauche … le décisionnaire reste le pilote.





Le contrôle automatique n’est simplement pas programmé pour gérer ce type de situation.



Mais il le pourrait assez facilement…





Mais au delà des aspects techniques, du pour ou contre les machines conduisant à notre place … cela pose un problème plus général sur la place de l’homme avec de tels “robots”. Par envie (dérive ?) de tendre vers une société du zéro risque, doit-on abandonner certaines de nos capacités ?





Bonne question. Pour être honnête, je ne pense pas que la conduite d’une automobile à Paris me manquera…



Je pense sincèrement que toutes les taches que la machine supprimera ne seront pas des “capacités”, mais d’abord des tâches abrutissantes.





Toujours est-il qu’au regard des softs qui nous sont servis par les boîtes qui développent aujourd’hui des voitures autonomes, ça me donne franchement pas envie de monter dans un truc roulant buggué !





Est tu au courant qu’on roule déjà depuis longtemps dans des voitures ou une erreur commise par un calculateur peut te couter la vie ?



Si un calculateur d’ESP se trompe, ta voiture va dans le décor <img data-src=" />



Bien sûr, la conduite entièrement automatique pose des complexités bien plus grandes et des risques d’erreurs bien plus importants.



Tout dépendra de la rigueur de développement et des méthodologies employées. Mais l’expérience finira certainement par rendre ces systèmes très fiables. La perfection n’existe pas, mais il faut arriver a diminuer significativement le nombre mort par rapport à la conduite humaine.


Le 23/12/2015 à 19h 16







Faith a écrit :



C’est effectivement facile d’anticiper assis sur son fauteuil, devant le PC.

Au volant d’une voiture, à 130km/h, je doute d’une part que tu observes beaucoup les voies inverses (normalement tu te concentres un peu plus sur ta propre voie…), d’autres part quand bien même tu aurais les yeux sur l’autre voie, il faut que tu aies le temps de comprendre ce qu’il s’y passe, d’observer le camion se diriger vers toi et imaginer qu’il va venir sur ta voie.



Il faut par ailleurs que tout ça ce soit passé suffisamment vite pour que tu n’aies pas dépassé le camion (qui arrive à 230km/h relativement à ta voiture).



Enfin, il faudra que tu aies la bonne réaction. Quelle est-elle ? probablement pas l’embardée vers la droite que tu vas faire, pris de panique à l’idée d’un énorme camion venant écraser ta clio…







Oui, d’ailleurs imaginons que dans le futur les véhicules communiquent et que le camion puisse donner sa position aux autres véhicules autour. Ta voiture saura bien avant toi qu’un camion va traverser le terre plein central. Et il le saura même si toi tu ne le vois pas à cause de la végétation…



Et comme tu dit, rare sont les conducteurs à avoir de bonnes réactions en cas d’urgence. Il suffit de voir toutes les vidéo d’accident sur youtube pour s’en rendre compte.


Le 23/12/2015 à 18h 32







tica68 a écrit :



Et que des réactions très rapides et très précises ne sont pas toujours suffisantes … faut  juste la réaction adaptée.







Justement, une machine bien programmée a des réactions bien plus sûres et prévisibles qu’un humain.



D’ailleurs, bon nombre d’entraînements ont pour but de conditionner l’humain pour qu’il ait des réactions déterminées. C’est logiquement plus facile avec un ordinateur…





Homme ou machine ? je choisi l’homme dans un avion pour le moment, surtout dans mon exemple de Madère.

Dans ces conditions les pilotes sont tous en manuel …. étrange, n’est-il pas ?





Non, ce n’est pas étrange. Simplement compréhensible d’un point de vue juridique…



Quand il faut garantir à 100%, on préfère se cantonner aux cas les plus simples.



Un pilote est bien moins fiable…. mais une déficience d’un pilote sera bien mieux acceptée que celle d’un ordinateur. Le pilote, c’est un excellent bouc émissaire, particulièrement quand il est mort.



Et au passage, sur bon nombre d’avions, il n’existe tout simplement plus de vrai mode manuel. C’est bien l’ordinateur qui pilote les servocommandes et il est programmé pour refuser certains ordres ou éviter certaines dérives. C’est justement l’intervention de ces mécanismes qui ont permis aux pilotes de mieux contrôler des atterrissages d’urgence alors qu’en mode manuel complet, ils n’y seraient très vraisemblablement pas parvenus.


Le 23/12/2015 à 14h 13







tica68 a écrit :



Ce genre de cas est moins fréquent (catastrophe aérienne) que le rattrapage in extrémiste de l’avion grâce au sang froid/expérience du pilote. Les catastrophes aériennes étant plus “médiatiques” que les petits incidents au quotidien, ceci expliquant cela.

Un pilote n’est pas infaillible mais essaie de faire poser un avion à Madère, par gros vent, à un pilote auto .. .qu’on rigole 5 minutes.

Véhicule autonome à 100%, quand y a un rail en dessous passe encore … maintenant avion ou voiture, faut revoir la copie. L’obligation de pouvoir reprendre la main est une bonne chose à mon sens.







Je vous suggère de réétudier les catastrophes aérienne pour comprendre que les avions munis d’un calculateur comme celui de l’A320 ont sauvé la mise plus d’une fois en empêchant l’avion de se retourner lors d’un crash.



Rappelons pour ceux qui ne connaissent pas l’informatique qu’un calculateur est capable de réactions beaucoup plus rapides et précises qu’un humain.



Le 23/12/2015 à 22h 07







Tourner.lapache a écrit :



Ca a le mérite de résumer ta pensée. Mais jusqu’à preuve du contraire c’est l’informatique qui est au service de l’industrie et pas l’inverse. Prendre en compte l’utilisateur et arrêter de penser que tout le monde sait programmer c’est déjà commencer à essayer de résoudre le problème.







Sauf qu’il ne suffit pas d’ordonner, de signer un chèque ou de délirer dans un cahier des charges pour rendre possible ce qui ne l’est pas…



Quelqu’un qui n’a pas appris à programmer ne comprendra jamais la logique d’un ordinateur. Et donc il ne s’en servira jamais correctement…



Toute cette informatique bricolée à coup de feuilles de tableur est monstrueusement improductive et coûteuse. C’est particulièrement visible au bout de quelques années quand cette organisation “plat de spaghetti” complètement déstructuré finit par coûter plus de temps et d’argent à gérer qu’elle n’apporte de bénéfice.



Pour ceux qui connaissent l’histoire de l’informatique, ceux qui ont créé l’idée reçue qu’il n’y aurait pas besoin de savoir programmer pour se servir d’un ordinateur…. c’étaient des fabricants d’ordinateurs et des vendeurs de logiciels.



C’était bien évidement leur intérêt….



Et l’industrie s’en rends parfaitement compte depuis un certain temps. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que la programmation est réintroduite dans les écoles dans presque tous les pays du monde…


Le 23/12/2015 à 15h 10







Tourner.lapache a écrit :



Moui, dans la vraie vie où tout le monde n’est pas informaticien (genre l’industrie)







Tu veux dire ces boites ou des gens veulent se servir de l’informatique sans apprendre à s’en servir ? <img data-src=" />





ça ne marche pas comme ça.

Excel a beaucoup de fonctions de base qui n’ont pas à être recodées et qui facilitent bien la vie. Le delta entre une macro et un programme c’est au moins un facteur 10 de temps.





Oui, tu prends ça, tu fait mijoter quelques années et tu obtient une entreprise gérée par un immonde bordel déstructuré de feuilles excel façon tas de spaghetti. Le cauchemar de toute informaticien.



Penses à acheter une corde avec chaque suite bureautique.