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Tsinpen

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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513 commentaires

L’Open Data « par défaut » aux portes du tribunal administratif de Paris

Le 30/10/2018 à 21h 06

www.youtube.com/watch?v=c45FtDhdDoY
(edit: attention, ça date de 1976 quand même <img data-src=" /> )


Molotov contraint de suspendre l’enregistrement des chaînes d'Altice (BFM, RMC)

Le 30/10/2018 à 18h 09






wanou2 a écrit :

La publicité télévisuelle c’est à la fois le nombre de téléspectateurs mais aussi le nombre d’impressions. (…)
L’économie de la publicité télé c’est beaucoup plus qu’une audience divisé par un nombre de téléspectateurs.



Pour le calcul que j’avais présenté vite fait, l’idée était de simplifier la relation commerciale entre le téléspectateur et les chaînes en considérant la possibilité théorique pour le 1er de payer directement les secondes sans passer par l’intermédiation économique du visionnage de publicités associé à un financement indirect par les annonceurs. Comme cette simplification implique de retirer ces derniers de l’équation en les remplaçant par leur seul apport financier aux chaines qui était l’objet même du raisonnement, c’est normal qu’ils disparaissent aussi des conclusions (les 0,80 bouzoufs par personne), ainsi que les complexités dont tu parles.
<img data-src=" />

Parmi ces complexités, une qui est d’importance à la télé est que les gens ont un rythme de vie ce qui empêche de regarder la totalité de la grille des programmes ; sauf avec le replay, justement, cette techno est une vraie mine de diversification pour les chaînes.
Si elles demandent des bouzoufs à Molotov, c’est parce que ce type de service, en zappant la réclame, empêche les chaînes de monétiser comme à leur habitude leurs contenus avec de la pub imposée.
D’où l’idée de calculer combien ça couterait en théorie à chacun si les chaînes passaient au modèle du Pay Per View, ce qui n’est pas une idée bien nouvelle…
<img data-src=" />



Le 29/10/2018 à 20h 31






Radithor a écrit :

Faut voir : les abonnements Canal+ rapportent-ils plus que les pub. de BFM ? (en laissant de côté le fait que les contenus sont les mêmes, ce qui n’est évidemment pas le cas : la pub a besoin d’audience à chaque instant, alors que l’abonnement a besoin de clients intéressés par des contenus spécifiques)


Nan, je parlais d’une tarification à l’acte de visionnage, donc équivalent à l’idée de louer un film, rien à voir avec un abo. En gros, avant le film affichage d’un écran “payez 0,80 bouzouf ou regardez 1/2h de pub ?”.
Et j’ai pas dit que j’appelle à la mise en pratique de cette idée, je donnais juste un contre-exemple au discours du “compromis” et de la “chimère de la gratuité”… C’est juste histoire de dire que pour bien réfléchir, il faut parfois aussi aller prendre en compte des idées qui n’existent pas.
Sinon, oui, si tu comptes payer régulièrement pour des films, mieux vaut prendre un abo, sauf peut-être si t’as que de l’ADSL de campagne =&gt; c’est d’ailleurs très très rageant, sur une connexion lente, de ne pas pouvoir télécharger puisque le streaming passe mal ça rend l’usage du “replay” impossible sauf pour ceux qui aiment les saccades et les tas de pixels et les coupures de son etc… <img data-src=" />



wanou2 a écrit :

T’es complètement à coté de la plaque.
La grille tarifaire de TF1 :&#160https://www.tf1pub.fr/offres/grilles/TF1/TF1


<img data-src=" /> T’as complètement zappé les audiences, ça sert à que dalle de connaitre les tarifs (bruts ou net) si on ne sait pas combien de gens vont voir (ou ont vu) la pub =&gt; il faut connaitre le prix réel par tête de pipe pour pouvoir répondre à l’argument disant que la pub est le prix de la gratuité.
Sinon, ça donne le genre de discussions stériles entre les abonnés et certaines chaînes :




  • abonné : “on a le droit à la copie privée de vos émissions même qu’on paie pour ça”

  • chaîne : “ah non, on a le droit d’obliger les gens à regarder nos pubs”

  • abonné : “ah non, mais puisqu’on vous dit qu’on a déjà payé la RCP, ça va pas hein !”

  • chaîne : “ah mais si, la preuve ils s’en fichent du prix réel des pubs et en plus wanou2 en redemande”

  • abonné : “…”
    <img data-src=" />



Le 29/10/2018 à 18h 09






Romaindu83 a écrit :

Quand est-ce que vous comprendrez que le gratuit est une chimère. Le gratuit n’existe pas. Il y a toujours un compromis obligatoire à faire lorsque vous utilisez un service gratuit.



J’ai cherché « coût d’une annonce publicitaire à la télé », et la 5ème réponse sur Qwant donne un exemple où est indiqué à la fois le coût du spot et le nombre de téléspectateurs, c’est ce blog.

Alors c’est un peu ancien, 28/11/2010 <img data-src=" /> il faudrait réactualiser !
Voici les chiffres :

« Notre tarif record reste celui du 28 novembre 2010, lors de la diffusion desCh’tis, précise Laurent Bliaut, le directeur général adjoint de TF 1 Publicité. Nous avions fixéà150 000€ lespotde trente secondes ». Ce soir là, 14,4 millions de personnes étaient au rendez- vous…


Un peu de maths : on va compter (très large) un total d’une demi-heure de pubs avant après et pendant le film, soit 60 tranches de trente secondes à 150.000 bouzoufs la tranche, ce qui fait un montant de 9.000.000 de bouzoufs.
Maintenant divisons par le nombre de téléspectateurs pour obtenir le revenu de la chaîne par téléspectateur…
9.000.000 de bouzoufs divisé par 14.400.000 téléspectateurs, ça fait 0,625 bouzouf par tête de pipe…

Ouais, même pas un bouzouf… Ils proposeraient le même film sans pub à 0,80 bouzouf… même pas un seul petit bouzouf par téléspectateur, et ils y gagneraient 1,28 fois plus, et on aurait pas la pub. Et je suis certain qu’il y aurait des (tas de) gens pour préférer sortir ce prix-là plutôt que de se farcir une demi-heure de pubs !

Ok, certes, cet exemple ne résume pas tout à lui tout seul ; mais quand tu parles de compromis et de gratuité chimérique, tu mélanges deux choses fausses :
-&gt; la pub est unilatéralement imposée par les chaînes (et la motivation économique est douteuse, comme indiqué ci-dessus), ce n’est donc pas un “compromis”
-&gt; la copie privée est un droit financé par la RCP (taxe obligatoire), ce n’est donc pas un “service gratuit”



Vote par Internet et machines à voter : le Sénat met la pression au gouvernement

Le 28/10/2018 à 14h 32






Mihashi a écrit :

Je ne la comprends pas dans ce sens, mais c’est peut-être moi…


Je l’admets, j’ai triché <img data-src=" />, j’ai lu l’infobulle : la traduction me semble correcte <img data-src=" />
Qu’est-ce que tu y as compris ? <img data-src=" />



Le 28/10/2018 à 08h 57






Mihashi a écrit :

Justement, c’est pareil que pour le vote électronique sincère et fiable : complètement irréaliste.


Ben voui <img data-src=" /> Mais l’idée de la planche de Xkcd était de présenter l’opposition entre certains domaines d’ingénierie où les ingés ont raisonnablement confiance dans ce qu’ils réalisent (ie. avec des arguments techniques pour appuyer leur confiance) ; et le domaine informatique où justement c’est l’inverse (ie. avec des arguments techniques à l’appui de leur défiance) <img data-src=" />
Ce qui rejoint toutafé ce qu’à dit Chocolat-du-mendiant :



Chocolat-du-mendiant a écrit :

Tout ce qui est mesurable par un ordinateur, peut être falsifié par un ordinateur (ou pourra l’être prochainement surtout s’il y a qq chose a y gagner).


C’est clair que la biométrie à distance au premier regard ressemble à de la technofolie, mais après tout peut-être que ces sénateurs sont juste des fans inconditionnels de Mission Impossible <img data-src=" />



Le 27/10/2018 à 20h 03

Croisons les doigts pour que le cheval ne se prenne pas les pattes dans les trottoirs roulants et que la cabine d’ascenseur horizontal soit assez grande pour lui. 🤞

Ou sinon on peut essayer de calculer une trajectoire balistique pour envoyer les résultats par fusée ? <img data-src=" />


Le 27/10/2018 à 19h 10

Toujours pas d’accord pour ma part :





Tsinpen a écrit :

Et comment tu fais pour respecter le droit de vote des anti-nucléaire avec des machines alimentées à l’énergie nucléaire pour 80% ?


C’est pas loin d’être peu ou prou la même histoire que cet état US qui vient d’imposer que les électeurs aient une adresse valide, tout en sachant que beaucoup d’Amérindiens vivant dans des réserves n’ont qu’une boite postale.
J’ai parlé des anti-nucléaires, mais j’aurais pu parler des ludistes tant qu’à faire ! Le vote doit être aussi libre que possible ; mais avec des machines tu imposes aux votants l’acceptation de ces machines et de tout ce que ça implique (par exemple, conso d’énergie et utilisation de ressources fossiles), ce qui de mon point de vue entache la liberté du scrutin.
Et c’est d’autant plus vrai que ces machines n’apportent qu’une évolution technique (j’ai pas dit un progrès), alors que le scrutin est une affaire humaine et non pas technique.
Pour le dire autrement : qu’est-ce que tu penserais si on organisait les scrutins dans des lieux de culte (églises, mosquées, synagogues ou autres temples) ? Est-ce que ça t’empêcherait physiquement de mettre un bulletin dans une urne (ou d’appuyer sur un bouton d’une machine) ? Non, pas physiquement, mais ce n’est pas une question de physique.



Z-os a écrit :

Dans une grande ville peut-être, je pensais du côté de chez mes parents o`u tout cela transite par une seule fibre optique au final. Et quand elle est volée - tous les six mois en moyenne - il n’y a plus rien.

Mais que ben si, il reste les réseaux cellulaire et satellite et CPL, au minimum.Et sinon il y aussi la CB, si ça se trouve ça existe encore <img data-src=" /> Je veux dire par là que si tu laisses le courant, il est toujours possible à un humain de transmettre le résultat du scrutin, au pire en y allant à cheval, il y a des précédents historiques <img data-src=" />



Z-os a écrit :

Celui là compte ? <img data-src=" />
Merci pour le rappel de la course poursuite. <img data-src=" />

Il est difficile à installer en intérieur (il lui faut un circuit en boucle avec une courbure relativement faible), mais sinon c’est exactement l’idée, juste qu’il faut rajouter la cabine d’ascenseur horizontal à côté <img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />



Le 27/10/2018 à 15h 59

Moui enfin Mach 15 ça fait du 18.375,66 km/h donc un peu plus de 2h15 pour faire le tour complet de la Terre : vu les accélérations/décélérations au décollage/atterrissage, il faut presque que tu prévoies des organes de rechange après que les tiens se soient transformés en bouillie <img data-src=" />
Et encore, c’est à condition que tu atterrisses, puisque vitesse de satellisation environ Mach 23-24 ; et vitesse de libération environ Mach 32-33 ; donc il faut quand même faire gaffe à ne pas aller trop vite ! Même les vraies fusées ne vont pas aussi vite (8000 km/h soit Mach 6-7 pour Ariane 5 deux mins après décollage), à cause de l’échauffement dû aux frottements atmosphériques… donc un avion… <img data-src=" />

Au sujet des « ascenseurs à déplacement horizontal », tu peux imaginer un tapis roulant avançant à la même vitesse pendant que les portes restent ouvertes, ça permet de descendre/monter de l’ascenseur ; c’est une bonne vieille idée de SF qui a plus de 60 ans, avec des tapis les uns à côté des autres à des vitesses différentes, voir Les Cavernes d’Acier (2ème paragraphe « Les déplacements s’effectuent en majorité grâce à un réseau complexe de tapis roulants haute vitesse que les gens apprennent à utiliser dès leur plus jeune âge. ») C’est quand même autre chose que le “tout-voiture” <img data-src=" /> individualiste, mais c’était une autre époque <img data-src=" />


Le 27/10/2018 à 15h 02






Z-os a écrit :

Ou pire si la fibre optique est volée (ou coupée) la nuit précédent le scrutin ? Simple, efficace et sans danger.


Ou pas, de nos jours pour bloquer les (télé)communications numérique, il faut simultanément couper ou brouiller :




  • le réseau fibre optique ;

  • le réseau cuivre (RTC + ADSL + xDSL) ;

  • le réseau câble ;

  • le réseau mobile (2G, 3G, 4G, xG…) ;

  • le réseau radio à courte portée (WiFi, WiMax et similaires) ;

  • le réseau satellite ;

  • le réseau Courant Porteur de Ligne…
    Du coup peut-être qu’il vaut mieux juste couper le jus <img data-src=" />



    Mihashi a écrit :

    Mouais un peu à coté de la plaque cette planche.


    Si, elle est plutôt bien, d’ailleurs :

  • Solar Impulse

  • il existe des prototypes d’ascenseurs à déplacement horizontal <img data-src=" />

  • Calvinball !!! <img data-src=" />



Le 25/10/2018 à 18h 40






Toorist a écrit :

Dans tout les cas notre système est basé sur la confiance.



Non ; mais si ça l’était, est-ce que ça ne vaudrait pas mieux qu’un système basé sur de minusculissimes électrons piégés dans du minéral de silicium ?

Et pourquoi pas des machines à voter dotées d’une intelligence artificielle prédictive, ce qui permettrait aux électeurs de rester chez eux ?

Et comment tu va faire pour voter si quelqu’un sabote la ligne électrique ?

Et comment tu fais pour respecter le droit de vote des anti-nucléaire avec des machines alimentées à l’énergie nucléaire pour 80% ?



Le 24/10/2018 à 16h 59

Certes, le bulletin de vote papier ne résiste pas au-delà de Fahrenheit 451 ; mais la machine à voter non plus…
<img data-src=" />


Entre trolls, nudité et provocation politique, Steam cherche comment modérer ses jeux

Le 24/10/2018 à 19h 35






dematbreizh a écrit :

Il est difficile de nos jour de différencier les deux Logiciels (exemple des jeux de guerre glorifiant l’armée US. Après tout jeu ayant un parti pris [politique/sociétal] mélange ces genres).


Moui eh ben y’a qu’à mélanger les mots aussi alors ; pour le fameux “American Army” et similaires, je proposerais bien “propagame”, sauf que pas d’bol c’est intraduisible <img data-src=" />



Le 23/10/2018 à 15h 02






dematbreizh a écrit :

qui décide que telle pathologie ne doit pas être mise en jeu?


Ne pas confondre un jeu avec un logiciel interactif.
Le premier est une fiction ludique, divertissante, “défoulante”, etc…
Le deuxième contient par exemple tout ce que dans le langage courant on appelle les “jeux éducatifs” : il ne s’agit pas de jeux au sens premier (ou alors pas uniquement de jeux au sens premier) car leur but est d’avoir un effet sur l’individu (le plus souvent un enfant mais pas toujours) après et en dehors du “jeu”.
Cela devient ensuite facile de comprendre que n’importe quelle pathologie peut être sujette à une fictionnalisation sous forme de jeu (ou de roman, de film, de théâtre, etc…) tant que la frontière avec l’individu est assez solide.
La difficulté se trouve en l’individu lui-même puisqu’un simple consentement ne permet pas de dire que celui qui consent saura faire la part entre fiction et réalité ; et se contenter de demander un tel consentement pour ensuite s’en laver les main m’apparait être quelque peu hypocrite : ça peut marcher pour certains type de jeux bien établis, puisque le joueur dans ce cas sait à quoi il consent ; mais pas pour tous les types de jeux, notamment ceux qui sont innovant sur certains aspects (immersion psychologique et réalisme du gore par exemple).
Et ici la culture, les traditions, tout ce que l’on appelle les “barrières culturelles” et/ou les “tabous sociaux” ont un effet souvent protecteur de l’individu face à une fiction violente : typiquement un GTA paraitra inoffensif à un joueur parce que celui-ci a une éducation culturelle qui lui fera refuser d’amener à la réalité les éléments fictionnels du jeu, même violents.



dematbreizh a écrit :

Si tu pointes uniquement les cas extrêmes, (…)


On percevra souvent dans ces cas extrême le même effet qu’avec l’alcool : désinhibiteur de ces “tabous” et de ces “barrières”. Parfois à tort, parfois à raison. Mais est-ce qu’on ne pourrait/devrait pas plutôt se demander non pas quelle est la nature de la pathologie présentable mais plutôt comment la présenter pour qu’elle reste une fiction, un jeu ?



Le 22/10/2018 à 16h 11

Ze reformule autrement :
Et donc on fait des jeux pour les malades en question (qui va faire ces jeux ?), et ensuite on les vend sur ordonnance uniquement parce que sans se leurrer c’est comme avec les médocs qui contiennent des trucs qui défoncent, il y a toujours des petits malins pour en détourner l’usage prévu afin d’en profiter ; c’est ça l’idée ? <img data-src=" />


Le 20/10/2018 à 17h 17

Anéfé, le rhume n’est pas un crime. <img data-src=" />
Mais par contre le transmettre volontairement à une personne âgée en situation de faiblesse dans le but délibéré de hâter son trépas afin de palper son héritage pourrait être un crime. Voire plusieurs dans les pays qui les cumulent. Enfin je dis ça je dis rien, je suis pas juriste <img data-src=" />


Supermicro : le fabricant va minutieusement examiner ses cartes, d'autres demandes de rétractation

Le 23/10/2018 à 19h 47

Il n’y a aucune preuve de quoi que ce soit dans ce que tu cites. Un rapport du DoD ne peut pas être pris pour preuve sans avoir été corroboré factuellement de manière indépendante, pareil pour un rapport qui viendrait de l’état chinois ou russe ou autre.
Tu mélanges le niveau de crédibilité en général (de Trump ou de Bloomberg, ce dont je parlais) avec la crédibilité de ces deux informations (la puce et les missiles) pour ne rien arranger… J’ai pas envie d’écrire un roman pour te répondre : tu es abonné à NXI, mais M. Tout-le-monde est moins doué que toi en technique et en géopolitique…

Moi, tout ce que je dis, c’est que cette “affaire Supermicro” n’entachera pas la crédibilité de Bloomberg à moyen terme ; pas plus que le retrait par Trump des USA de traités internationaux ne va lui faire perdre complètement les prochaines élections. Donc oui, ces deux informations peuvent être mises sur le même plan si c’est pour en tirer des conclusions pareilles. Après, effectivement, pour quelqu’un comme toi qui veut en faire des analyses plus fines, ça ne se peut pas. Mais j’arrive pas à saisir pourquoi tu le fais si c’est pour dire qu’il faut pas le faire ? <img data-src=" /> <img data-src=" />

Le logo, c’est l’image en haut de l’article, non ? Enfin d’habitude ça s’appelle un logo, non ?


Le 23/10/2018 à 17h 17

Et que je … « plus nuancé » de quoi ??? 😯
« des affirmations sans fondements de Trump » -&gt; j’ai écrit « non prouvées » ! et deux fois en plus !
Merci de m’avoir lu … <img data-src=" />, le FBI aurait enquêté sur les puces, l’OTAN aurait eu des soupçons ; les chinois auraient les yeux bridés et Supermicro des concurrents, etc.
Il était question du crédit de Bloomberg, pas de discuter de savoir qui c’est qu’à les plus gros missiles <img data-src=" />

Ceci dit, si tu as des infos sur le tipiakage de logo… ?


Le 23/10/2018 à 15h 45

Ben tu sais, toute ressemblance entre les accusations non prouvées de Bloomberg d’un côté et de l’autre côté les accusation non prouvées de Trump à propos des missiles moyenne portée Russkov n’est qu’une coïncidence fortuite de calendriers. C’est pas dit que les élections de mi-mandat n’apportent aucun crédit à Trump, et Bloomberg le sait bien… <img data-src=" />

Ce que je ne comprends pas, c’est comment ça se fait qu’Intel ne les ait pas poursuivis pour tipiakage de logo <img data-src=" />


La CNIL met en demeure Humanis et Malakoff-Médéric pour détournement des fichiers assurés

Le 23/10/2018 à 14h 20

Ne pas confondre serpent à sonnettes et serpent à sornettes !? <img data-src=" />
En fait le gros avantage du serpent sur les mygales, c’est qu’on peut charmer les serpents, et donc récupérer la clef ; alors qu’avec les mygales c’est plus dur.

Mais ceci dit, il y avait plus simple, il te faut juste un seul permis, celui de « l’irresponsable de la sécurité » (ou de son n+1), et ensuite tu utilises toujours celui-là. Des fois ça suffit pour faire bouger les choses !

(Notice légale : le paragraphe précédent est fourni « en l’état », sans garantie d’aucune sorte, expresse ou implicite, y compris, sans limitation, les garanties de qualité marchande, d’adéquation à un usage particulier et de non-violation. En aucun cas, les auteurs ou les détenteurs des droits d’auteur du paragraphe précédent ne pourront être tenus pour responsables de quelque réclamation, réparation que ce soit, que ce soit dans le cadre d’une action contractuelle, délictuelle ou autre, découlant du paragraphe précédent, de son lien avec le paragraphe précédent ou de l’utilisation du paragraphe précédent.) <img data-src=" />


Le 18/10/2018 à 18h 58






Vilainkrauko a écrit :

Le grand patron est au courant et l’as autorisé.

De plus, seul moi y  a accès : c’est un conteneur crypté avec veracrypt dont le mot de passe fait plus de 20 caractères …


Il faut placer le conteneur crypté sur une clé usb, sans copie sur le réseau ni sur aucun disque ; puis mettre la clé dans une amphore avec 2-3 serpents à sonnettes, puis refermer l’amphore.
C’est plus sur ! <img data-src=" />



menehan a écrit :

Et sinon j’ai trouvé la parade avec free qui m’a appelé régulièrement pour leur box, j’ai répondu “que je vis dans un camion aménagé et que donc la box, voilà quoi.”


ça marche aussi de leur dire que tu n’as pas l’électricité et pour les curieux, que tu recharges ton téléphone au boulot <img data-src=" />



Le chef d'un Ponzi en bitcoin condamné à payer 2,8 millions de dollars aux États-Unis

Le 22/10/2018 à 18h 53

J’attends toujours de voir une étude nutritionnelle sérieuse qui prouverait que la fabrication de solyent permettrait de nourrir une fraction significative de la population. Comme il y a probablement un IGnobel à la clé (et la célébrité qui va avec), ça m’étonne que personne ne l’ait encore faite <img data-src=" />






fred42 a écrit :

(… blablabla …) De façon générale, investir dans plus de pays amoindrit le risque par rapport à un seul pays.


Seuls les extra-terrestres tentaculaires peuvent porter autant de paniers à la fois.
Tu vois, on en reviens bien à ce que je disais : l’exode massif est une possibilité.
Il faut juste que les gens se rendent enfin compte qu’il n’y a pas que les reptiliens qui nous envahissent, ensuite ça se fera tout seul, tu verras…

Ceci dit, la “robustesse” de la répartition, ce n’est pas par opposition à l’idée de risque économico-financiaro-monétaro-pétroléo-boursicocotier, mais issu du fait que même s’il n’y avait plus d’argent, il y aurait toujours du travail, donc quelque chose à répartir/redistribuer. Alors que le capital, après une crise, y’en a plus. Pfffffff…. du vent, quoi.



fred42 a écrit :

Enfin, j’ai du mal à voir quelle est ta préférence pour la retraite, ce n’est pas bien clair dans ce que tu racontes.


Surtout pas sous les cocotiers, justement, parce que quand ça tombe ça fait mal. Aïe, rien que d’y penser, tiens…



Le 22/10/2018 à 16h 15






tipaul a écrit :

toute personne qui bosse cotise, pas le choix


J’ai vraiment pas envie de chercher en détail, mais c’est pas garanti que cette obligation soit absolue, comme pour la Sécu ou autres, il paraitrait que ce serait permis de s’en passer (mais que ce serait compliqué).
Et de toutes façons même pour ceux qui bossent et cotisent, c’est sur quelle assiette ? Un artisan qui te fait une facture sans toute la main d’œuvre et te la demande au black, tu crois pas quand même qu’il cotise sur le black ? Et sans aller chercher dans les trucs illégaux, les cotisations sont calculées sur les salaires, pas sur toutes les primes et autres…

De toutes façons fred42 et toi vous regardez la lorgnette à l’envers, en partant de l’improbabilité d’un effondrement pour prétendre que ça ne se peut pas. C’est un peu comme le pont de Gênes en fait : avant qu’il tombe, tout le monde ou presque disait ça improbable. Et je dis pas ça pour “faire peur”, c’est juste un constat : les crises économiques ne préviennent généralement pas… (“heureusement”, le principe de répartition est présumé plus robuste que la capitalisation seule)



tipaul a écrit :

Sauf que dans le cas de la retraite, il n’est pas question d’appâter le client


Rhâ mais que non mais que pas du tout mais t’as lu trop vite mais s’pa possib’ à la fin, c’est pas ce que j’ai écrit : il est question d’appâter le travailleur.
Par exemple il y a des frontaliers qui préfèrent aller bosser de l’autre côté, ils ont pas les mêmes contrats, les mêmes conditions de travail et de rémunération, et etc. : ils comparent et choisissent.
Toi tu penses trop à tous ceux qui pensent n’avoir pas le choix, et qui ont peut-être raison s’ils sont loin des frontières et qu’ils ont pas envie d’aller voir ailleurs….
En tout cas, ça fait des cotisations en moins.



Le 20/10/2018 à 18h 58

Ah bon, tu resterais vivre dans un pays envahi par des Goa’uld ? <img data-src=" /> <img data-src=" />


Le 20/10/2018 à 17h 17






tipaul a écrit :

Je sais bien que c’est vendredi, mais voilà un troll de première :
1- la méthode de fonctionnement des retraites en France est tout à fait transparente, donc ce n’est pas du Ponzi
2- les retraites des uns sont payées par les cotisations des autres, c’est très différent de “les prétendus bénéfices des uns sont en fait payés par les investissements des autres”. Rien à voir.

Ce qui ne signifie pas pour autant que notre système de retraite soit parfait ou soutenable sur le long terme, mais c’est une autre question.



1- une pyramide de Ponzi transparente reste une pyramide de Ponzi. Regardes celle du Louvre, c’est pas une pyramide peut-être ? <img data-src=" />

2- la pyramide de Ponzi s’écroule quand il n’y a plus de nouveaux clients appâtés ; la retraite par répartition s’écroule quand il n’y a plus de nouveaux travailleurs appâtés (grève générale, exode massif, catastrophes nucléaires, chute de gros astéroïdes, invasion d’extraterrestres, etc.). Donc il a raison, ça se ressemble <img data-src=" />



LinK2812 a écrit :

Je ne vois pas où est le problème, le bitcoin c’est bien un mec qui a fait croire à pleins d’autres que le bitcoin avait de la valeur et qu’il fallait en acheter … Et surtout qu’il fallait plus de mineurs pour gagner plus … Sur du vent … Après une couche de ponzi en plus ou en moins 😁



Faut bien faire tourner les éoliennes pour rafraichir le climat <img data-src=" />



Blocage de DemocratieParticipative.biz : ce que révèle l’assignation du procureur de Paris

Le 21/10/2018 à 14h 06

Oui l’idée est bonne : point de vraie liberté sans vrai choix, mais d’après les citations de l’article ce type de site incarne la néantisation du choix par la violence et la haine, au risque que cela incite autrui à en devenir l’avatar.
Sartre : « Que doit être l’homme en son être pour que par lui le néant vienne à l’être ? »


Le 20/10/2018 à 13h 29






TexMex a écrit :

En bref, on prend les Français pour des crétins qui dès qu’il entendent un truc y croient.



Socialement et psychologiquement, les notions d’exposition et d’habituation à des idées ont une influence sur les individus, y compris ceux qui disent s’opposer aux idées en question, y compris sur le long terme.



TexMex a écrit :

On sécurise sur les dangers que l’on connaît/comprend. Pas sur l’inconnu. En plus quand tout le monde “parle” et se montre cela permet de savoir qui est qui. Avoir les version de chaque coté sera toujours plus porteur de sens et de vérité qu’une seule version.



Beaucoup de gens ne prennent pas leurs décisions sur la base d’une vérité, et ne seront pas convaincus de cette manière. (par exemple les croyants, les opportunistes, les cupides, les astrologues, etc…)
Ceux qui tiennent des discours haineux parfois ne se “montrent” qu’avec leur version de la barre à mine pour toute forme de dialogue…



Bethesda et Microsoft punissent un casseur de NDA de Fallout 76

Le 20/10/2018 à 14h 46

Pour un peu ils étaient prêts à le déclarer candidat volontaire désigné pour l’Abri 13 ! ☢


Des députés LREM veulent alourdir la taxation des entrepôts des « drives » et cybermarchands

Le 17/10/2018 à 18h 45


« Le commerce en ligne va à l’encontre de la lutte contre l’artificialisation, le e-commerce requérant en moyenne trois fois plus d’espace de stockage que la distribution physique traditionnelle », se justifie Matthieu Orphelin. Selon l’élu LREM, « le tri, l’emballage des produits, la gestion des retours, et le modèle du « dernier kilomètre » (être au plus près des consommateurs pour une livraison toujours plus rapide) » nécessitent des « centres de stockage et de triage locaux à proximité des grandes villes », et sont dès lors « fortement consommateurs de foncier ».


Bof… Tout le monde connait déjà la solution : il suffit d’interdire la Poste (trop d’entrepôts).
Et pour réduire la “conso de foncier” (sic), il suffit de laisser les marchandises dans les camions, plus besoin d’entrepôts du tout… il y en a qui font ça, et qui le faisaient déjà bien avant Internet.

Sinon, plutôt que de les taxer, ce serait plus efficace de leur imposer des toits végétalisés. “On” a toujours ce mauvais réflexe de tout réduire à une question de flouze, y compris quand c’est pas le sujet : les taxer, ils s’en foutent, ils répondront qu’ils n’augmenteront pas les salaires, et qu’il augmenteront leurs marges pour payer.

Mais par contre, un toit végétalisé, c’est une autre histoire <img data-src=" />


Interview d'Aurore Bergé : sans sanction, « on continuera à avoir un piratage massif »

Le 15/10/2018 à 19h 58






Quiproquo a écrit :

La sanction dans les maisons de tolérance ça a son charme… <img data-src=" />


<img data-src=" />
Je pensais pas à ça, faut pas toujours tout descendre sous la ceinture non plus, ça perd en galanterie <img data-src=" />



Le 15/10/2018 à 18h 14






Quiproquo a écrit :

Si c’est pas dans la même phrase, c’est toléré. Tu ne vas quand même pas lui reprocher de n’être ni de droite ni de gauche <img data-src=" />.



Non, mais par contre méfies-toi : elle a l’air d’être plus branchée “sanction” que “tolérance” <img data-src=" />



Quiproquo a écrit :

Tu ne prétends quand même pas lui donner des leçons de financement du cinéma ! Je te rappelle que ses parents sont comédiens… <img data-src=" />



Ah mais non, c’est elle qui a dit « Je ne sais pas comment avoir un cinéma, un théâtre, un spectacle vivant une scène dynamique(…) », et comme elle parlait de “prise de risque” dans le domaine de la culture, il n’y a grosso modo que les “usines à culture” qui pensent comme ça ; dans les milieux associatifs l’état d’esprit est assez différent (pour ce que j’en connais), et pourtant très dynamique.



Le 13/10/2018 à 16h 29

Avec le réchauffement climatique, il n’y a plus de saisons, donc dorénavant le 🐟 1er avril arrivera en octobre…


Un espace de liberté doit être régulé à partir du moment où il attente aux droits des autres. C’est aussi basique que cela. Aucun secteur économique n’accepterait de perdre plus d’un milliard d’euros par an du fait de pratiques illégales contre lesquels on peut lutter si on s’en donne les moyens.


Principe général de liberté :
Soit il y a atteinte aux droits des autres, et dans ce cas c’est déjà régulé.
Soit ce n’est pas régulé et il n’y a pas d’atteinte à un droit qui n’existe pas.
Les 2 propositions sont mutuellement exclusives, et c’est tout sauf basique car l’allégation (voire l’existence) d’un préjudice n’est pas synonyme d’un droit bafoué.
Quand au milliard, il ne correspond pas à une quantité de richesses réellement disponible à la dépense à destination de ce secteur économique. Autrement dit, quand les prix montent, les ventes baissent. <img data-src=" />


Je ne sais pas comment avoir un cinéma, un théâtre, un spectacle vivant une scène dynamique si on n’a pas de gens qui acceptent de prendre des risques et de les financer.


Ils font des dossiers de demande de subventions, ensuite ils regardent lesquelles ils obtiennent, ensuite seulement ils demandent des prêts bancaires, et la banque leur dit s’ils ont ou pas assez de subventions pour que ce soit viable de les suivre.
Le “risque” est une notion relativiste au final… surtout si on rajoute les financement participatifs qui ne sont pas des risques (non remboursés en cas de faillite, tout comme beaucoup de subventions).


À défaut d’avoir une coopération des plateformes, qui considèrent qu’elles n’ont pas à être pro-actives et à définir la qualité des contenus diffusés par leurs utilisateurs, on est bien obligé d’avoir une autorité qui peut réguler et définir la légalité ou non des contenus.
Je considère donc que c’est bien une autorité administrative qui doit pouvoir immédiatement sanctionner, faire injonction de supprimer ou suspendre. Sachant qu’on le fait à titre provisoire.


Que vient faire le mot “administrative” dans la définition tout à fait limpide d’une autorité investie uniquement d’un double pouvoir de police judiciaire (application d’une décision) et de juge (décision de ce qui est légal ou non) ?
Ça s’appellerait plutôt une autorité arbitrale ou arbitraire vu qu’il manque une procédure contradictoire préalable à l’application de la décision.

En fait elle s’embrouille les pinceaux puisque ce qu’elle a en tête est une action d’une vague autorité indéfinie en réponse à ce qu’elle estime être un “flagrant délit”. Sauf que du coup elle oublie de définir le “délit” (et ses modalités de caractérisation) ainsi que la “flagrance” (et les modalités par lesquelles elle peut être constatée), ce qui est assez pénible à entendre d’une députée <img data-src=" />

Et c’est quand même vachement important d’expliquer aux citoyens comment une telle “flagrance” pourrait être légitimement constatée si un “vilain pirate” utilise un VPN ? (je veux dire, sans interdire les VPN, et sans espionnage généralisé)


Qui accepterait de payer 1 milliard d’euros les droits de la ligue si cela n’est jamais rentable, (…)
(…) votre gamin qui va à son club le dimanche, club qui bénéficie du financement de la ligue grâce à la taxe Buffet (sur la cession de droits télévisés d’événements sportifs, NDLR).


Bon, j’ai cherché vite fait : d’après Eurosport la taxe Buffet c’est 5%. Soit par exemple 41 millions d’euros en 2013 c’est à dire les revenus de Lionel Messi la même année.
D’après BeinSports, le budget de la FFF pour 2018-19 est de 250 millions (un record) dont 32% pour le foot amateur soit 80 millions. Soit à peu près le double de la taxe Buffet.
C’est pas honnête de présenter les choses comme elle le fait… il faudrait encore y rajouter les subventions locales directes et indirectes… <img data-src=" />


Un décret de mars 92 interdit la publicité ciblée, selon la géolocalisation des téléspectateurs. Il n’a jamais été modifié. Pourquoi proposez vous d’autoriser ces publicités « segmentées » ?
Je ne comprends pas pourquoi on a perdu autant de temps, qui correspond à autant de pertes fiscales pour l’État, ni pourquoi on a laissé cette facilité aussi exorbitante aux « GAFA », qui n’ont pas cette contrainte-là.


Ben c’est juste par manque de cupidité, surtout vu que l’état n’est pas une entreprise à but lucratif. Autrement dit, c’est tout sauf un anachronisme, c’est juste fait pour interdire aux annonceurs de devenir des camelots interpellant les passants juste parce qu’ils passent par là : le téléspectateur n’a en principe aucune intention d’achat, il est devant la télé 📺 pour regarder un match de foot (par exemple) ; ce qui est très différent du badaud qui chine sur le marché aux puces.


Aujourd’hui, impossible pour TF1 de faire de la pub pour les pneus de montagne plutôt dans les Pyrénées ou les Alpes, et ailleurs pour de la crème solaire. Ce n’est pourtant pas intrusif dans la vie privée.


Ben du coup l’habitant des plaines sera mal informé avant ses vacances à la montagne ; et inversement. C’est carrément dangereux de prétendre que la pub puisse constituer une information de qualité suffisante pour le citoyen en matière de sécurité (ici, automobile) ou de santé (crème solaire).
Faut croire qu’elle a choisi ces 2 exemples parce que ce sont parmi les plus mauvais possibles. <img data-src=" />


Après on peut parler des missions, sont-elles assez clarifiées par rapport à l’audiovisuel privé, mais sur la question de principe, c’est un service public, tous les Français y ont accès, gratuitement.


Donc faut payer parce que c’est une question de principe (principe qui est évidemment bon). C’est pas crédible vu la quantité de pubs sur ce fameux “service public”… On devrait au minimum n’avoir aucune pub du tout 2424 (pas même les trucs du genre “votre météo vous est présentée par …”), et un accès complet à l’ensemble des archives puisqu’elle dit que ça finance aussi l’INA.
Ou alors elle raconte n’importe quoi et la redevance n’est qu’une partie marginale du financement de l’INA.


Aujourd’hui vous n’avez pas intérêt à acheter un film quelques euros si vous pouvez pirater sans contrainte, sans risque.


Sa dernière phrase ci-dessus est sa meilleure pépite, vu qu’à la 1ère question elle répondait :


Après, peut-être ces internautes ne mesurent-ils pas les risques que cela fait courir économiquement ou ceux qu’ils encourent eux-mêmes en faisant confiance à des sites ni fiables ni sécurisés.


Et au sujet des députés qui se contredisent, on peut leur faire confiance ou pas ? <img data-src=" />


En commission, les eurodéputés refusent de libérer les données des voitures autonomes

Le 13/10/2018 à 10h 20






yl a écrit :

Ou se prendre des certifications pour leurs calculateurs dédiés à la conduite autonome dignes de l’avionique… Et là, exit tout ce qui est basé IA.


Jamais entendu dire que les pilotes automatiques des avions savaient éviter les vélos qui grillent les feux rouges… <img data-src=" />
C’est certain que ce n’est pas un niveau de certification suffisant !


Son amendement visait à affirmer que les données des voitures autonomes, parce qu’elles sont générées automatiquement et de ce fait ne sont pas créatives par nature, rendent selon lui « la protection du droit d’auteur ou le droit sur les bases de données inapplicable ».

Mais de quelles données il s’agit au juste ?
Tous les éléments fixes de la route (panneaux, feux, signalisation, etc.) ainsi que la route elle-même font partie du domaine public ou du privé libre d’accès (autoroutes, parkings, …), donc en général tout ce que la voiture autonome “voit” est déjà public si c’est un élément fixe.
Et pour les éléments mobiles, euh… il a quand même pas voulu dire que les gens qui se promènent dans le champ de vision des caméras de la voitures deviendraient des “données non créatives” ?
<img data-src=" />



Rock Paper Shotgun compte interdire la lecture aux bloqueurs de publicité

Le 13/10/2018 à 07h 18

euh là… Je ne leur reproche pas de vouloir gagner leur croûte, et mon post ne vise pas RPS spécifiquement. Je dirais plutôt l’inverse en fait, puisqu’en refusant les lecteurs “non payants”, ils risquent d’en voir partir vers des sites “gratuits avec pubs/annonces/autres contenus sponsorisés/etc.”, d’où l’importance de ne pas négliger les méthodes des autres. Mais comme ils font ça crescendo, je suppose qu’ils y ont déjà pensé.

C’est aussi un peu de là que venait la comparaison avec les grolles : il avait fallu une réaction forte et majoritaire à l’époque pour que des boites concurrentes changent de méthodes de manière assez coordonnée pour éviter que l’une d’entre elles n’ait un “avantage compétitif” en conservant des méthodes mauvaises.

L’exemple de la sandwicherie a à voir avec l’idée « d’agression » et du « si je me sens agressé je vais ailleurs sans demander mon reste » fournie par Chim ; idée que je ne trouve pas très inspirée (sans pour autant en avoir de franchement meilleure à proposer…). Quand à la police, ça se pourrait qu’ils arrivent sans sonomètre, surtout qu’il sont déjà à moins d’une demi-minute à pied à l’entrée du métro et qu’ils patrouillent régulièrement dans le quartier (hyper-centre, risque terroriste, etc.)…

Ce qui est intéressant dans cet exemple de la sandwicherie, c’est que dans le quartier en question il y en a beaucoup et que c’est la seule à mettre du gros son aussi fort. C’est donc la situation inverse de « l’agression par la pub » décrite par Chim : dans le cas de la sandwicherie on peut assez facilement aller voir ailleurs et y acheter presque les mêmes sandwiches (ou d’autres très différents) ; dans le cas des sites financés par la pub… ? Est-ce que la ligne éditoriale et le ton journalistique du “concurrent sans pub” est le même ? Généralement non ; et cela rend quelque peu trompeuse l’idée de réfléchir à la pub en ligne en dissociant les publications du site ( = “le service”) des pubs qui y sont diffusées ( = “la méthode”).

PS: « (…) et tu ne passes pas devant RPS en allant sur un autre site internet (…) »
Ah bon ? Et moi qui croyait que le ouèbe était fait de liens hypertextuelistiquement cliquables pour favoriser la sérendipité du surfeur, elle-même génératrice de revenus par la profusion publicitaire… <img data-src=" />


Le 12/10/2018 à 19h 55






Chim a écrit :

Le service ne correspond pas à vos besoins (qualité, quantité, …) ou est fourni avec des méthodes que vous n’acceptez pas (trop de pub), pas de problème, n’utilisez pas ce service, cherchez une alternative.



La publicité étant souvent présentée elle-même comme un “service” rendu au public (en termes par exemple d’informations à propos d’un nouveau produit ; ou d’une promotion sur un existant ; ou que sais-je encore….) ; à partir du moment où ce “service” est imposé, même gratuitement et sans frais pour le public, ça devient de la vente forcée, non ? Est-ce que tu as déjà vu un vendeur de maison t’imposer de faire taguer des pubs sur les murs ou d’aller voir ailleurs ?

Pour celui/celle qui trouverait que le service “officiel” est OK, mais qui désapprouverait les méthodes ; ce que tu dis ressemble à une sorte de chantage. Un peu comme à l’époque où les grandes marques de chaussures les faisaient fabriquer par des enfants en Asie : ah ça oui, les chaussures étaient OK…. mais la méthode ? Et ils sont toujours là, après avoir changé leurs méthodes bien sur. Je veux dire par là que le fait d’aller voir ailleurs à cause de méthodes qu’on n’accepterait pas n’interdit aucunement de désapprouver lesdites méthodes au point de vouloir les voir disparaitre.



Chim a écrit :

Au début, les bloqueurs de pub étaient confidentiels, maintenant qu’ils sont connus assez largement, il y a un impact sur les rémunérations proposées par les pub.



Mais… l’objet, la raison d’être, l’essence, l’esprit, la fibre, la sève et le cœur d’un magazine comme RPS n’est pas de diffuser des pubs, ni des publi-rédactionnels, ni des articles sponsorisés. C’est le monde à l’envers de présenter la pub comme normale… alors qu’en réalité il s’agit d’une sollicitation non-désirée de l’attention de ton/mon/nos esprits…

La seule chose que je pourrais admettre en matière de pub, c’est que l’annonceur me paye moi directement et uniquement à condition que j’accepte de voir sa pub (en rêve…). Comme ça je pourrais utiliser cet argent (durement gagné puisqu’au prix d’un lavage de cervelle à coups de pubs ciblées…) pour financer moi-même librement mon abonnement à RPS ou autre ; et ainsi RPS ou autre serait déchargé de la tâche d’avoir à démarcher des annonceurs, et déchargé de l’anxiété née de la baise de ses revenus par les bloqueurs de pubs.



Chim a écrit :

Quand je vais dans un magasin dans lequel je me sent agressé par les vendeurs ou par l’omniprésence de la “pub” je n’y retourne pas, je vais voir ailleurs.



Y’a pas longtemps je me promenais sur l’avenue… le long de l’hôtel de ville (zone touristique), il y avait une sorte de sandwicherie avec du bruit très fort diffusé par des hauts-parleurs. Je crois que certains appellent ça de la musique, mais en fait c’est juste du bruit avec un rythme rapide et assez agressif, surtout avec le volume élevé. Ils se sont adaptés au fait que 9 personnes sur 10 ont un casque ou des écouteurs dans les oreilles, et ont donc augmenté le volume en conséquence pour se faire quand même entendre…
Est-ce qu’il faut dire aux touristes d’aller voir ailleurs ? Ce serait bien bête puisque c’est une avenue piétonne…



Sept questions-réponses pour comprendre la loi contre les fausses informations

Le 12/10/2018 à 17h 39






kevinz a écrit :

Il faudrait un smiley :popcorn: pour les commentaires <img data-src=" />


Bel exemple de pure infox puisqu’il y en a déjà un que voici : 🍿🍿🍿🍿🍿
Par contre, c’est comme au ciné, ça fera 5 roros <img data-src=" />



Supermicro : un responsable de la NSA affirme n'avoir « rien vu » et craint une chasse aux « fantômes »

Le 11/10/2018 à 16h 59

Ou alors les cartes Supermicro sont saines et ils cherchent à pousser à l’achat de cartes concurrentes qui sont elles équipées d’un truc espion, ce qui expliquerait que personne ne voit rien sur les cartes Supermicro….

ça, ou alors c’est de l’intrication quantique <img data-src=" />


Supermicro : les renseignements anglais et américains n'ont « aucune raison de douter » d'Apple et Amazon

Le 09/10/2018 à 19h 56






Transistance a écrit :

Je serais franchement curieux de savoir parce que moi j’en vois déjà trois sur la photo de profil du CI en question ce qui fait que selon toute vraisemblance, la puce possède six broches. Oui 6, pas 2 !



Nan c’est normal que t’en voie plus, c’est parce que tu t’es trop rapproché de l’écran et du coup tu vois les pixels rouges, vert et bleus séparément, ce qui fait 3. Et les 3 autres c’est parce que tu as un écran Trinitron. <img data-src=" /> <img data-src=" />



Transistance a écrit :

Vous pouvez donc douter de la choses sur plusieurs points mais pas sur l’aspect technique… et encore moins au motif (qui sort de nulle part) que la puce n’aurait pas assez de broches.



Perso j’ai pas dit l’contraire, 2 pattes c’est suffisant <img data-src=" />



Windows 10 October 2018 : des cas de données personnelles supprimées

Le 07/10/2018 à 18h 47






Gersho a écrit :

Je suis d’accord, mais si on reste sur l’analogie des médocs ça prend des années pour valider le moindre truc (et je ferai l’impasse sur les scandales, c’est pas le débat)



Voui, sur que la biologie et l’informatique sont des domaines différents, mais tu te trompes sur le temps que ça prend (ou prendrait) :




  • les médocs sont testés sur quelques poignées de volontaires et il faut du temps pour constater leurs effets (biologiques). Mais il y a peu de volontaires près à risquer leur santé ;

  • à l’inverse, on peut tester rapidement et en masse les MAJ sur quantité de PC, dont une part dédiés à ça (ils vont pas se plaindre), plus le fait qu’il est plus facile de trouver des volontaires près à risquer d’avoir à restaurer une sauvegarde !

    Si on calcule le temps comme étant non pas juste la durée « au calendrier » mais comme le temps de travail fourni, comme il y a déjà beaucoup de tests effectués en informatique, cela représente un temps de travail plus élevé (probablement de beaucoup), et pourtant au calendrier ça prends moins longtemps que de tester un médoc parce qu’il y a plus de personnes simultanément à le faire (et qu’une seule personne peut lancer des tests sur plusieurs machines).



    Gersho a écrit :

    Il y a un problème de savoir qui s’occuperai de cette entité, je doute que les USA laisse gentillement l’Europe exiger le code source de Windows, car faut pas oublier qu’il y a probablement des trucs que l’oncle sam veux garder caché. Et il y a plus ou moins aucune chance que les USA prennent ce genre d’initiative.



    Mais c’est quoi cette idée d’exiger le code source ? Ce serait même « contre-efficace » sur le sujet des MAJ puisque cela rajouterait le temps de relecture… Les médocs sont testés et validés au minimum en double-aveugle, parfois en triple (mais ça se développe), et certains réfléchissent à la manière de mettre au point des validations en quadruple. Les procédures ne sont pas toujours uniformes de par le monde, et pourtant quasi les mêmes labos et médocs se retrouvent dans beaucoup de pays.
    Y’a probablement pas besoin d’autant de gardes-fous pour des MAJs de Windows : le point central de la comparaison avec les médocs est la mise en place de procédures de validations clairement définies et strictement respectées, le tout ne peut qu’être indépendant de MS. C’est autre chose que de dire « ben y’a qu’à diffuser en avance les MAJ aux insiders qui veulent bien puis regarder ce qui se passe… »
    Derrière, pour toutes les boites qui utilisent Windows pour faire tourner leur activité, ça freine des quatre fers pour faire évoluer les parcs de machines… l’impact économique est important, et la fiabilité de l’OS aussi (MAJ comprises) : pour une entreprise, qui n’est pas un être biologique, le bon fonctionnement de son activité, c’est un peu comparable à l’idée de “santé” pour un humain.



    Gersho a écrit :

    Sinon perso je dual boot, c’est pas idéal mais j’utilise Win7 que pour jouer, donc ça passe.



    Y’a pas que les jeux… Je pense que le gros du problème est la position dominante de MS sur le marché, déjà que y’a bien assez d’attaques malveillantes (genre rançongiciels), il faudrait pas qu’en plus les MAJ deviennent un problème supplémentaire en étant imposées à distance au risque d’une perte de données ! Si je prends l’exemple de certaines professions libérales, par exemple, un cabinet d’infirmiers pour rester dans le domaine de la santé, ils peuvent avoir besoin d’un ordi pour tenir leur cabinet : prise de RDV, communications avec la caisse maladie, comptabilité, secrétariat. Ce ne sont pas des boites qui embauchent des informaticiens à temps plein, et je ne suis pas sur qu’une licence Entreprise de Windows soit appropriée (puisqu’il faut derrière qqun pour valider les MAJ, donc des frais pour le cabinet) : quand on voit que celle en-dessous, la Pro, est déjà bien chère pour n’apporter à ce cabinet que la fonction de report des MAJ de… 30 jours (si j’ai bonne mémoire), ça me fait dire qu’il faudrait rajouter des gardes-fous, d’où ma comparaison avec les médocs.

    voili voilà <img data-src=" />



Le 07/10/2018 à 16h 05






Gersho a écrit :

En gros tu voudrai que ça soit open source <img data-src=" />
Allez encore quelques news de ce genre et tu vas basculer chez le pingouin. ^^


Rhâââ… mais les médocs sont pas open-source, même génériqués en fait il me semble bien que le procédé de fabrication (du générique non breveté) reste couvert par le secret industriel.
Et puis les pingouins… tu sais, il existe des logiciels qui n’aiment pas du tout les <img data-src=" />… et le dual-boot et les VM, c’est lourd à l’usage <img data-src=" />



Le 07/10/2018 à 15h 40






Cashiderme a écrit :

Sauf que contrairement aux MAJ windows, personne ne vient te mettre le medoc de force dans la bouche une fois que tu as lu la notice. Dans ces condtions, autant la bloquer.


bof… bof… bof… il y a des vaccins obligatoires, et si un jour tu arrives inconscient aux urgences après un accident ou un malaise, ça se pourrait qu’on te mette des trucs de force pas que dans la bouche (perfusions, sondes, etc…). Voire carrément on t’ouvre au bistouri et on oublie quelque chose à l’intérieur avant de refermer… (heureusement rarissime)
<img data-src=" />


Gersho a écrit :

Tu veux dire genre…comme sur Windows 7 ?
Sauf que bien sur les descriptions étaient incomplètes voir mensongères.


Mais non pas comme Win7 : pour les médocs les notices sont visées par les agences du médicament : c’est aussi un peu ça l’idée, qu’un tiers indépendant puisse s’en mêler avant que la MAJ foire les données de profil de tout le monde (profil perso ou pro d’ailleurs). Actuellement c’est basé sur la bonne volonté des “Insiders”, et à en croire l’actu c’est pas tout à fait au point… <img data-src=" />
Ou alors ils ont voulu faire le buzz avec le prochain Terminator, genre c’est Skynet qui a tenté de prendre le contrôle des MAJ, mais c’est bon ils l’ont bloqué <img data-src=" />



Le 07/10/2018 à 12h 04






Gilbert_Gosseyn a écrit :

La réaction de Microsoft de tout bloquer a été la plus sage sur ce coup.



Pour une si faible proportion d’utilisateurs touchés ?
Dans le domaine des médicaments, on voit parfois des notices du genre « liste des effets indésirables fréquents (une personne sur dix) »… on n’interdit pas pour autant ces médocs !
Que leur décision ait été la plus sure n’en fait pas la plus sage.
Et en plus, en retirant la MAJ, cela empêche ceux qui voudraient mettre à jour en connaissance de cause de le faire ! Genre ceux qui sont confiants dans leurs sauvegardes et qui ont du temps à perdre à ça, je suis sur qu’il y en a !
Perso, je suis à 200% pour que MS diffuse ses MAJs avec des notices comme celles des médocs : un petit avertissement sur les effets indésirables fréquents/peu fréquents/rares, et hop, comme ça les gens seront libres de bien ou mal soigner leurs PC. :oui2:



La Chine accusée d'espionnage chez Amazon et Apple via Supermicro, de multiples démentis

Le 06/10/2018 à 15h 11






kwak-kwak a écrit :




  • Personne ne sait comment une puce avec seulement 2 pattes parvient à s’alimenter, et modifier un signal électronique à la volée, tout en survivant à une modification du firmware.


    …ah mais si si si, moi je sais <img data-src=" /> : par intrication quantique de deux atomes, l’un dans la puce, l’autre dans leurs labos, il leur suffit d’observer l’état de leur atome pour connaitre l’état de l’autre. Et comme l’intrication quantique est un phénomène qui s’affranchit des distances, il n’y a pas besoin de communiquer quoi que ce soit au travers d’un réseau, ce qui rend ce hack matériel indétectable.
    <img data-src=" />



Au Sénat, coup de frein sur l’Open Data des décisions de justice

Le 04/10/2018 à 20h 07






Quiproquo a écrit :

<img data-src=" />, bel effort !


💪🏻… mais je n’ai fait que de menues rectifications, pas plus <img data-src=" />
Et puis gaffe au jour où la réalité dépasse la fiction <img data-src=" />


OlivierJ a écrit :

Propos typique de quelqu’un qui n’a qu’une vague idée de la difficulté du boulot de juge. Tu penses que les mecs prennent des décisions à la légère ?
Il suffit de lire un ou 2 billets d’Eolas qui s’appelle “soyez le juge” pour comprendre un peu.


Oui mais c’est pas dit que ce genre de pédagogie soit représentative du travail, après tout le maitre n’est qu’avocat, et à en croire son twitter il lui arrive parfois d’être bat-avocat, donc du coup… 😏



Le 03/10/2018 à 19h 44






js2082 a écrit :

En même temps, dès lors que tu fais appel à la justice publique, il est normal que la décision devienne publique, tu sais que ton affaire deviendra publique et tu acceptes que n’importe qui puisse connaitre cette affaire.
Si tu ne veux pas que les gens soient au courant, faut faire appel à l’arbitrage.

Pour moi, la justice doit être ouverte à tous, vérifiable par tous et suivie par tous: cela a toujours été ainsi. Anonymiser les décisions est un pas en arrière dans le fonctionnement de la justice.



On dirait pas à première lecture, mais après quelques menues rectifications, ça pourrait donner le la d’une bonne dystopie :

s/justice publique/vindicte populeuse/
s/la décision/le châtiment/
s/publique/populiste/
s/la justice/la vindicte/
s/connaitre cette affaire/fouetter le suspect/
s/soient au courant/jettent des pierres/
s/appel à l’arbitrage/couler le sang/
s/Anonymiser les décisions/Cagouler les suspects/


En même temps, dès lors que tu fais appel à la vindicte populeuse, il est normal que le châtiment devienne populiste, tu sais que ton affaire deviendra populiste et tu acceptes que n’importe qui puisse fouetter le suspect.
Si tu ne veux pas que les gens jettent des pierres, faut faire couler le sang.

Pour moi, la vindicte doit être ouverte à tous, vérifiable par tous et suivie par tous: cela a toujours été ainsi. Cagouler les suspects est un pas en arrière dans le fonctionnement de la vindicte.


<img data-src=" />



Directive droit d'auteur : la gymnastique dangereuse de la Quadrature du Net

Le 01/10/2018 à 19h 33

Sauf qu’ils ont déjà plusieurs centre de données physiques, donc un protocole de dialogue entre leurs serveurs. Rien de neuf sous le soleil, techniquement parlant, même si ça n’est pas exactement standardisé au sens d’interopérable avec des réseaux tiers.
De l’autre côté, celui du droit, la loi Russe qui oblige ce type de réseaux à stocker les données des russes sur le sol russe fait que Facebook et Vkontakte(*) sont deux réseaux quasi étanches l’un à l’autre, ce qui revient à artificialiser une frontière, et ce type de frontière est en soi un obstacle à la liberté d’expression.
C’est le vieux principe commercial de la captation du marché par l’habitude du client, bien connu des épiciers, des super-épiciers et des hyper-épiciers…

(*) marrant, tiens, le correcteur ortho me propose Taïkonaute à la place de Vkontakte… alors que Facebook n’est pas reconnu comme corrigible <img data-src=" />

PS: juste un morceau choisi :

Si ce standard existait, les principes de masse critique ou de « je vais là car tous mes copains et copines y sont » n’auraient plus lieu d’être.

Ah mais si ça aurait toujours lieu d’être, les plateformes ne sont pas des boites magiques, il y a des gens qui bossent derrière, et qui font des choix et les imposent, et qui prennent des décisions et les imposent, et qui font des erreurs et les imposent, etc…




  • Sauf que le « là » ne serait plus telle plateforme ou telle autre, mais des lieux virtuels (chatroom, etc.) librement choisis comme quand une bande de potes se retrouvent à tel endroit, 3 qui viennent en bus, 2 en métro, 1 à moto et 4 en voiture. Pas besoin qu’ils utilisent chacun un uber-taxi© pour se retrouver… Si on repense à l’IRC, il y a un protocole, et beaucoup de possibilités… un flux de posts mêlant audio/vidéo et texte me semble tout aussi standardisable, et le reste avec (mur, timeline, et tutti quanti puisque de toutes façons c’est basé sur le flux de posts).

  • Sauf qu’en définissant une taille maximale, ces choix, ces décisions et ces erreurs pourraient être différents selon les entités, ce qui serait une source de questionnement, de critique et d’évolution.


Le 29/09/2018 à 17h 38






Quiproquo a écrit :

En fait, on est à peu de chose près d’accord (ie ce sont les plateformes qui abusent du fait que les utilisateurs ne lisent pas les CGU, qui sont par ailleurs probablement abusives dans nos contrées), mais pour une raison qui m’échappe tu me prêtes la volonté, consciente ou non, de stigmatiser l’utilisateur, ce qui n’est pas mon propos.



Ce que je dis, c’est plutôt que quand on est une grosse multinationale et qu’on sait que les gens viennent s’inscrire par mimétisme social sans être forcément capables de comprendre toutes les CGU in extenso, et qu’en plus le fond de commerce est basé sur du ciblage publicitaire ultra-poussé qui permet de savoir que les gens n’ont pas forcément bien lu/compris les CGU et leurs conséquences (et encore, c’est sans parler des réactions a posteriori), … ben moi ça me fait bizarre d’entendre qu’ils auraient des CGU. Un peu comme si un fabriquant automobile vendait des voitures avec gyrophares bleus et sirènes comme celles des forces de l’ordre à n’importe qui en prétendant que c’est à l’acheteur de vérifier s’il est autorisé à s’en servir. Évidemment la comparaison automobilesque est assez limitée, on me répondra que les uniformes pour se déguiser sont plutôt ressemblants et en vente libre…

Parlons plutôt reggae, Bob Marley, “Get Up, Stand Up”… L’idée de la chanson était de “soulever” les consciences pour vaincre des comportements mauvais qui découlaient d’un héritage historique trop peu questionné. Le genre de multinationales dont il est question ici a bien retourné la chose à son avantage, puisqu’il n’y a pas d’héritage historique du genre de pratiques qui sont les leurs, bien au contraire ce sont des pratiques nouvelles et récentes. Mais tu trouves quand même “normal” et/ou “non stigmatisant” de penser que c’est à l’utilisateur de “se lever” pour défendre ses droits. Moi, je trouve que c’est un raisonnement un peu trop facile, un peu trop à leur seul avantage. Mais rien ne t’oblige à être du même avis, il y a aussi des gens qui passent leurs journées devant leur chaine de téléshopping préférée : ils sont quand même assez minoritaires au sein de la population (quoique ce soit un peu variable selon les pays, il paraitrait que c’est un peu plus développé dans les pays dits “latinos”).

Là où nous ne sommes pas d’accord, c’est au niveau de l’accord de l’utilisateur : pour moi tu le percois comme étant la seule acceptation des CGU ou autres “contrat” ; alors qu’en pratique la motivation à s’inscrire des utilisateurs a une origine différente (ce qui peut les amener à accepter des conditions qu’ils n’accepteraient pas s’ils étaient vraiment libres de choisir un autre service identique qui ne les leur impose pas). Il y a des précédents : automobile, banque, assurance et j’en passe. À chaque fois il a fallu réguler fortement pour protéger les clients ; et c’est encore et toujours des thèmes où il faut se battre. Bref, non, tu ne stigmatise pas vraiment, mais par contre tu ne prends pas assez en compte le fait qu’il y aussi des gens qui trouvent normal de ne pas passer leurs vies à se battre, et cela se ressent dans les élements de langage que tu as employés dans le passage de commentaire que j’avais cité en premier pour le dire réducteur. Puisque tu es parti de l’idée qu’il y a des gens qui ne ne brandissent pas leurs droits de manière systématique et totale, c’est bien que tu te rends compte qu’il y a une volonté belliqueuse de la part de la “grosse multinationale”, non ? Où et en quoi cette volonté serait admise alors même que les CGU dont tu parles doivent être acceptées librement pour être valables ?

Je trouve que ça vaut la peine de se pencher sur cette question, plutôt que d’aller fouiner dans le détail des CGU pour voir quelles lignes précises seraient ou non abusives : on dit que le diable est dans les détails… Et ça “occupe” les assos de consommateurs dont tu parlais avec un vocabulaire assez guerrier : « monter aux crénaux » ; c’est déjà entrer dans l’arène du combat, mais qui a construit l’arène sinon ces mêmes multinationales ? <img data-src=" />



Le 29/09/2018 à 13h 09






Quiproquo a écrit :

Je n’ai pas l’impression d’avoir sous-entendu qu’il faillait laisser les multinationales faire ce qu’elles veulent.



Non, tu ne l’as pas sous-entendu mais c’est indirectement ce que tu analyses en « [constatant] qu’un nombre conséquent d’utilisateurs accorde moins d’importance au respect de ses droits qu’au côté pratique et massivement utilisé du service ».
C’est ce constat qui est biaisé, seulement basé sur ton interprétation personnelle du comportement de ceux qui utilisent massivement ce type de service sans avoir au préalable pris des cours de droit et d’économie.
Ce biais est assez répandu en fait, mais il témoigne d’une vision trop subjective et quelque peu élitiste de ta part de la relation entre “les gens” et “les multinationales” : en affirmant que tu constates une négligence de l’utilisateur dans le fait d’utiliser le service sans être au fait de tous les détails, tu fais porter sur lui une responsabilité inéquitable : en France l’école est obligatoire jusqu’à 16 ans, sans obligation d’obtenir le brevet, et on peut s’inscrire sur de nombreux réseaux sociaux sans rien comprendre au droit et à l’économie (les multinationales en question ne vérifient pas, il n’y a pas d’épreuve obligatoire avant inscription que je sache ?) ; cela ne veut pas dire qu’on néglige pour autant le respect de ses droits. <img data-src=" />



Quiproquo a écrit :

(« j’utilise Truc parce que Machin l’utilise »)



Le mimétisme social n’est pas un comportement fautif (sauf quand il s’agit de reproduire la faute d’autrui) ; c’est l’inverse qui l’est (l’exploitation dudit mimétisme pour abuser le quidam moyen).



Quiproquo a écrit :

Compter sur le vote avec les pieds pour faire émerger un service vertueux me semble illusoire.



Mais c’est justement ce que je viens de mettre dans mon commentaire précédent : pourquoi voudrais-tu que les gens aient d’abord à voter pour obtenir qu’une multinationale ne fasse pas ce qu’elle veut ?
Je sais bien que le principe général est qu’on autorise ce qui n’est pas interdit ; mais voir ci-dessus l’idée de tromperie… clair que c’est un sujet vastissime.



Quiproquo a écrit :

Donc le seul moyen qui me semble efficace, à l’heure des grandes plateformes, pour protéger la liberté d’expression du citoyen-consommateur, c’est l’interdiction du filtrage, ce qui ne va pas être simple. Sinon, on laisse la situation actuelle : l’utilisateur, une fois qu’il a pris conscience que la plateforme contrôle ce qu’il peut publier (parce qu’une publication a été bloquée), gueule un bon coup et laisse pisser car il n’a pas les moyens de contester.



Il y aussi la solution de l’interdiction desdites grandes plateformes, par exemple au moyen d’une loi interdisant à tout “reseau social” d’avoir plus que X millions d’inscrits ; et d’une seconde loi obligeant à l’interopérabilité des réseaux. Une sorte de principe “anti-monopole” en quelques sortes, mais au lieu de compter les sousous et les parts de marchés, on compte les inscrits et les volumes de données. Après tout, ce ne serait que revenir à l’idée originelle de ce qu’Internet veut dire : interconnexion de réseaux, pluriels et divers.



Le 29/09/2018 à 10h 54






Quiproquo a écrit :

Le fond du problème, à mon avis, c’est que les utilisateurs des grosses plateformes veulent avant tout un outil pratique, gratuit, massivement utilisé par leurs pairs, et ne s’intéressent à leurs droits que quand c’est trop tard. Il ne va pas être simple de protéger les droits de ces utilisateurs qui n’ont rien demandé.


C’est réducteur, et probablement faux, puisque cela revient à tolérer voire autoriser des multinationales à bafouer le droit sauf et seulement sauf si on leur demande explicitement de ne pas le faire ; ce qui ressemble comme deux gouttes d’eau à une inversion du principe de souveraineté. <img data-src=" />



Le 29/09/2018 à 10h 54






bayartb a écrit :

Typiquement, la taille et la centralisation devraient avoir des conséquences en matière de protection de la liberté d’expression. En effet, se faire censurer sur une instance Mastodon, c’est quelque chose de relativement faible, le fediverse est composé de ~4000 serveurs, être malvenu et maltraité sur un de ces serveurs porte moins à conséquence qu’être malvenu et maltraité par un système entièrement centralisé. La centralisation crée la toute-puissance du point central. Et la toute-puissance associée à une taille surhumaine, ça ne peut pas être sans conséquence.


Je ne suis franchement pas d’accord 🤔; tu mélanges la qualification d’un fait reprochable et ses conséquences, notamment en matière de sanction. Traditionellement en occident, on commence par qualifier, puis on détermine une sanction appropriée s’il y a lieu de santionner. Cela me semble encore et toujours un principe plus raisonnable que ce que tu décris, qui consiste principalement à offrir l’incurie à raison de la taille des conséquences, ou à raison de la taille du préjudice. Ou pour le dire autrement : certes voler un oeuf 🥚 est a priori moins nourissant que voler un boeuf 🥩, mais dans les deux cas c’est l’état de nécessité qui exonère du vol, et non pas la taille de l’oeuf 🥚.
Ce principe est plus équilibré qu’une incurie à géométrie variable puisque cela permet de créer une “protection” ou “garantie” en droits contre les effets de masse : par exemple, le cas du vol à la tire de nombreux oeufs 🥚🥚🥚 peut finir par causer un préjudice bien plus grand qu’un seul vol d’un seul boeuf 🥩.

Ceci dit, au sujet de « la toute-puissance du point central », tu as oublié que c’est à double tranchant 🔪 : il est plus facile de réguler un seul point central par la loi que de réguler un système décentralisé comme Mastodon. C’est surtout une question de volonté politique ; et sans pour autant appeller de mes voeux les choix de régulation et/ou censure qu’ils ont fait, on peut constater que la Russie et la Chine sont de bons exemples de volonté et fermeté politique. Dans ces pays l’équilibre des pouvoirs entre les états et les multinationales y est l’opposé de ce que nous connaissons en Europe ; et ce que tu proposes à propos de la prise en compte de la taille m’apparait dangereux à cause du risque élevé de dérive ploutocratique que crééent toutes les incuries. 😨