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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 05/04/2016 à 08h 35

La valeur étant une donnée relative, il n’y a rien d’étrange à ce qu’elle soit perçue comme trop faible ou trop élevée par d’autres.



Ce qui est plus inquiétant par contre, c’est le développement systémique de bulles alimentées par les rotatives virtuelles (planches à billets) des banques centrales.



On assiste en fait à une redite, mais dans l’autre sens, de ce que l’économiste P. Krugman avait conseillé à l’époque de la bulle Internet :



“To fight this recession the Fed needs more than a snapback; it needs soaring household spending to offset moribund business investment. And to do that … Alan Greenspan needs to create a housing bubble to replace the Nasdaq bubble.”




  • Paul Krugman, 2002



    2008 est passé, le cycle artificiel alimenté par des tonnes de rectangles de PQ colorés déversés dans l’économie réelle pour la déstabiliser peut recommencer une fois de plus.

Le 04/04/2016 à 15h 14







seb2411 a écrit :



Sauf que ce n’est pas entre 0 et 100% ^^ .





Alors, elle n’a même plus l’intérêt sociologique de démontrer son absence d’intérêt scientifique.









OlivierJ a écrit :



Dans des lectures où j’ai vu cette équation mentionnée, l’idée était beaucoup moins floue que ce que tu dis. Bien évidemment que ça ne nous “prédit” pas la possibilité de découvrir, mais ça fixe un peu les idées, et en gros c’est bien faible (+ problème des distances/temps énormes).





Il y a autant de « résultats » possibles que de personnes qui font le calcul, vu que la plupart des termes ne sont pas connus (et ne peuvent ps l’être). Si on peut tout en dire, alors on ne peut rien en dire.


Le 04/04/2016 à 14h 04







OlivierJ a écrit :



Je ne suis pas d’accord, ça permet d’avoir une idée de la probabilité.





Une « idée de la probabilité » qui se situe entre 0 et 100% n’a aucun intérêt. C’est de la pseudo-science.


Le 04/04/2016 à 13h 14







sybylle a écrit :



L’une des réponses à l’équation de Drake est que nous sommes la forme de vie la plus intelligente existante à ce jour.

D’où l’absence de contact avec des civilisations plus évoluées…





L’équation de Drake est une fumisterie, on n’en connait aucun terme avec précision. On peut donc tout lui faire dire.







OlivierJ a écrit :



Je me serais attendu à un JPEG ou un PNG (qui est le plus proche du TIFF puisque sans pertes), pourquoi le TIFF en biologie ?





C’est le format normalisé pour l’archivage (avec le JPEG2000). Un TIFF peut être avec perte puisqu’on peut y inclure des tuiles JPEG (dans un TIFF pyramidal par ex.).


Le 04/04/2016 à 13h 01

Quand on lit ici ou là les réactions outrées des ignares habituels sur les (généralement maigres) distributions de dividendes dans les boites vraiment privées, et qu’on observe la débandage actuelle due au simple fait que le parasite invétéré qu’est l’État-actionnaire préfère conserver ses dividendes plutôt que de consolider le marché comme il s’y était engagé, on est en droit de se moquer de tout ce cirque et de ses clown.



Avec l’épisode en cours de État-rapace qui s’est octroyé comme un goret des énormes dividendes en suçant EDF depuis des années, en lui asséchant ses finances et pour finir en le privant de capitaux, incapable qu’il est maintenant de financer une seule centrale nucléaire à l’étranger, cela pourrait faire sourire si toutes ces magouilles par ces incompétents ne finissaient pas par toujours siphonner notre porte-monnaie pour compenser leur incurie.



(Pour éviter les répétitions, je n’aborde même pas l’État-stratège (sarcasme) et les catastrophes économiques prévisibles de sa politique jusqu’au-boutiste en matière de pseudo-énergies, d’immobilier, de santé, etc.)



L’économie est trop importante pour être laissée à ces escrocs.

Le 03/04/2016 à 18h 48



la régulation c’est apporter la contribution la plus petite possible pour permettre aux acteurs de s’organiser d’eux-mêmes



Je ne pensais pas que je lirais un jour ce genre de position (si évidente mais si peu commune) de la part d’un administratif (fut-il président). Si tous les autres bouffons politiques, affiliés escrocs et parasites de la technostructure pouvaient en prendre de la graine…

Le 03/04/2016 à 11h 19







saladiste a écrit :



Je suis d’accord avec toi sur le fait que la probabilité de son existence est très faible voire nulle et sur les affabulations historiques qui l’entourent, je te dis depuis tout à l’heure qu’un symbole ne doit pas forcément être ancré dans la “vérité historique”, une certaine vraisemblance suffit.

Ainsi, s’il est colporté par une part critique de la population, les concepts dérivés seront reproduits dans le temps.





Je suis d’accord que certaines formes d’idées pouvaient être dans le passé plus facilement véhiculées par « anthropomorphisme » voire même « objectification » interposé(e) parce que les gens n’étaient pas instruits, n’avaient pas compris le sens des idées et/ou ne se rattachaient par ignorance, complaisance ou peur qu’au vecteur et ses artifices proprement dit, mais ce n’est plus le cas maintenant pour cette religion-là (au contraire d’une autre qui n’a pas encore passé ce cap de « maturation » et de réappropriation des idées).


Le 03/04/2016 à 10h 52







saladiste a écrit :



C’est cette même généralité, qu’on peut appeler moyenne (selon quelle pondération?) qui détermine l’imaginaire collectif. Enfin bref, tu viendrais presque à nier l’héritage chrétien des moeurs occidentales (eg. le socialisme).

Attention toutefois, je ne dis absolument pas que nous en sommes tributaires, loin de là.



En ce qui concerne l’opinion, je ne peux qu’être d’accord avec toi et te demande en l’occurence une certaine réciprocité. <img data-src=" />





« (L)‘imaginaire collectif » est à l’idéation ce que « l’intérêt général » est à la politique, un moyen grossier mais certes commode d’évacuer la raison. C’est pour cette raison (au sens littéral) que ton soit-disant symbole, aussi bien récupéré par les socialistes que par les libéraux, ne peut pas tenir pas la route : il n’est qu’une invention, une fable, une notion artificielle, au mieux une fausse tradition héritée d’une illusion écrite (Nouveau testament) à l’opposé des faits historiques, du nom et des idées de celui qu’elle prétend épouser, elle-même reprenant à son compte une histoire beaucoup plus ancienne racontant l’émergence de concepts abstraits qui ont perduré jusqu’à présent. Ironiquement, ce sont ces idées orientales qui ont façonné l’occident (et non pas ses vecteurs).



Il n’y a pas plus de raison à ériger en symbole une abstraction maquillée et récupérée que de penser qu’un politicien est là pour ton bien.



Note que je respecte ton opinion, même erronée.


Le 02/04/2016 à 18h 28







saladiste a écrit :



Il n’est non plus pas question des croyances des uns et des autres, mais de la constitution sociale-historique de cette dichotomie dans l’imaginaire collectif. En général les gens ne savent pas qui est Zoroastre, mais savent qui est jésus, c’est en sens qu’il est symbole.





Mon imaginaire est aussi personnel que celui de chacun, il n’y a aucune raison d’en faire une moyenne avec celui des autres, et encore moins une généralité. De même « En général les gens » est si peu spécifique que c’est là encore une généralisation qui n’a pas de fondement.



Tu raisonnes en occidental et tes symboles, ou ceux que tu prétends ériger comme tels, n’en sont a priori pas pour tous les autres (occidental ou non) tant que ces derniers ne se seront pas prononcés sur le sujet. Ton opinion en la matière n’engage que toi.


Le 02/04/2016 à 17h 08







saladiste a écrit :



Aucune. Tu fais un amalgame sur la notion de “symbole”. Cela fait référence (dans ma phrase) à l’imaginaire collectif (ou ce qui fait sens pour les gens). La notion de “vérité” dans ce que je dis n’est pas pertinente ou du moins, ce que je dis est automatiquement vrai au sens descriptif.

Donc qu’il ait existé ou non n’est pas la question.





Je ne dis pas que ce que tu écris n’est pas vrai pour le relativement faible % de personnes encore croyantes qui ont décidé de continuer à accepter l’illusion du dogme chrétien, je dis que ce n’est pas vrai en tant que position générale ou « occidentale » ou tout autre position hors de ces personnes. C’est une généralisation abusive.


Le 02/04/2016 à 08h 55







saladiste a écrit :



Symboliquement (ie. dans les sociétés “occidentles”) nous le devons à Jésus.





Qu’est-ce que cela vaut par rapport à une vérité historique ? Le vrai Jésus n’a jamais eu les cheveux blond ou les yeux bleus (de type aryen), était sectaire et n’a jamais professé que pour les juifs. La figure divinisée qu’on en a fait est à l’opposé des faits comme le démontre la recherche historique.



On a vu mieux comme symbole.


Le 01/04/2016 à 20h 15







n.e.x a écrit :



Alors que nous apprenons aux machines la complexité et les nuances, nous sommes nous même encore souvent très binaire : intelligent ou pas intelligent, amie ou ennemie… Difficile de se défaire de 2000 ans de manichéisme. Sacré Jésus. Avec tes histoires de bien et de mal, tu as fini par nous mener à une impasse dont nous avons bien du mal à sortir.





Les concepts de bien et de mal (de même que l’enfer, le paradis, le dieu unique, etc) ont été défini au moins 6 ou 7 siècles avant le christianisme dans la religion mazdéiste (aussi appelé zoroastrisme). Jésus n’a rien inventé.


Le 31/03/2016 à 18h 29







127.0.0.1 a écrit :



Et ma remarque reste la même: ce n’est pas une définition qui permet de dire “ca y est, on a une intelligence artificielle”.



Quel test factuel - avec des critères précis et évaluables - permettrait d’affirmer qu’une machine répond à la définition de Marvin Minsky ?





Cette définition est qualitative, elle ne nécessite pas de tels critères. Pour bâtir une définition plus spécifique ou opérationnelle, il faudrait au préalable préciser de tels critères, ce qui évidemment répond tautologiquement à ta question.


Le 31/03/2016 à 18h 05







127.0.0.1 a écrit :



Le problème avec la définition actuelle de l’IA, c’est qu’on parle de caractéristiques/traits humains pour quelque chose qui n’est (ou ne sera) pas humain.



Le terme “intelligence” regroupe tout un tas de caractéristiques comme le raisonnement, la compréhension, l’ambition, la création, la conscience, l’imagination, …



Pour certaines on a déjà des théories/techniques artificielles, et pour d’autre non. Le moment où l’on décidera que “ca y est, on a une intelligence artificielle” est subjectif. En 2014, une machine a réussi le test proposé par Turing. Faut-il se fixer de nouvelles limites ?





On peut utiliser les termes sans les définir précisément. Par ex. Marvin Minsky (un des pères de l’IA) a défini l’IA comme étant :

la science de faire faire à des machines des choses qui demanderaient de l’intelligence si elles étaient faites par des humains.





Tout le monde peut comprendre intuitivement cette définition sans précisions supplémentaires quant aux termes employés.


Le 31/03/2016 à 16h 13

Comme d’habitude, l’IA n’est (ou ne sera) qu’un outil (on n’est pas encore au point où une IA serait suffisamment avancée pour exigée la reconnaissance de ses droits en tant que personne). Son acceptation et développement commercial éventuel dépend(ra) de ses utilisations possibles, de sa finalité ou d’un tas d’autres facteurs essentiellement inconnus pour le moment. Et tant qu’on ne les connait pas (personne n’est prophète), je ne vois aucune raison de mettre la charrue avant les bœufs (politiques).

Le 02/04/2016 à 08h 59







Aznox a écrit :



on va bientôt condamner des associations caritatives qui se sont mises d’accord pour offrir des repas gratuitement ?





On condamne bien les entreprises qui vendent leurs produits en dessous de leur coût de production ou même les offrent à leurs clients. L’un n’est pas plus noble que l’autre.


Le 02/04/2016 à 08h 41







David_L a écrit :



Et pourtant ;) De mémoire on l’a déjà évoqué dans d’autres actus d’ailleurs.







Je ne m’en souviens pas.



Mais en tout cas merci pour ce poisson d’avril, j’ai même été voir la vidéo sur Nolife (que je ne connaissais pas) pour savoir qu’est-ce que vous entendiez par « studio de contenu de marques ». Ta voix tremblotante m’a mis la puce à l’oreille, je suis revenu pour relire en me disant « mais qu’est-ce qu’ils font ? ». Et alors déclic. Donc bravo !


Le 01/04/2016 à 20h 36

Pas mal, mais « Alternatives économiques », ça c’est vraiment pas crédible.



810 pour cette année.

Le 31/03/2016 à 15h 59







le podoclaste a écrit :



C’est marrant, mais d’habitude, le coup de l’explication par le manque de travail, ça sert d’habitude à promouvoir les politiques économiques de gauche.





C’est justement la « politiques économiques de gauche », c’est à dire collectiviste (État providence et fort, rentes sociales, normes et réglementations du travail à outrance, etc) qui a permis cet état de fait. On ne peut pas éjecter volontairement du marché économique la frange la plus fragile et dépendante de la population sans en payer en retour les conséquences (surtout quand on a une politique extérieure aussi crétine).



On a voulu acheter la paix sociale en distribuant du PQ coloré, normal qu’on se retrouve dans la mouise.







Mais de toute façon, c’est faux. Je retrouverais le papier que j’ai lu sur le sujet, mais les jihadistes européens ne sont pas plus dans la misère que le reste de la population. D’autant que ça faillit à expliquer pourquoi des lycéennes issues de la classe moyenne s’embarquent là-dedans.



Je pense que tu as compris que je ne visais pas ceux qui organisent, mais les petits soldats. Et même vis à vis de ces derniers, ce serait une erreur de généraliser. Note aussi que je n’ai pas dit qu’ils sont dans la misère (avec tout ce que l’État nous vole pour leur redistribuer, il n’y a plus de misère digne de ce nom en Europe), mais seulement sans d’activité professionnelle régulière pour être indépendant, se responsabiliser et s’intégrer économiquement (avec une possible intégration sociale et culturelle ultérieurs).







Et j’ai pas non-plus entendu parler de jihadistes vénézuéliens, par exemple.



Qui voudrait immigrer dans un pays en ruine, alors que le chant des sirènes de la sociale-démocratie européenne est si intéressant ?


Le 31/03/2016 à 14h 32

Ce problème, qui est officiellement reconnu en Europe, ne se pose pas (ou moins) par ex. aux USA (marché du travail flexible).



What Institutions help immigrants Integrate? :



Countries with more centralized wage bargaining, stricter product market regulation and countries with a higher union density, have worse labour market outcomes for their immigrants relative to natives even after controlling for compositional effects.







IMPROVING THE LABOUR MARKET INTEGRATION OF IMMIGRANTS IN BELGIUM :



Belgian labour market settings are generally unfavourable to the employment outcomes of low-skilled workers. Reduced employment rates stem from high labour costs, which deter demand for low-productivity workers…Furthermore, labour market segmentation and rigidity weigh on the wages and progression prospects of outsiders. With immigrants over-represented among low-wage, vulnerable workers, labour market settings likely hurt the foreign-born disproportionately.



Minimum wages can create a barrier to employment of low-skilled immigrants, especially for youth. As a proportion of the median wage, the Belgian statutory minimum wage is on the high side in international comparison and sectoral agreements generally provide for even higher minima. This helps to prevent in-work poverty…but risks pricing low-skilled workers out of the labour market (Neumark and Wascher, 2006). Groups with further real or perceived productivity handicaps, such as youth or immigrants, will be among the most affected.



In 2012, the overall unemployment rate in Belgium was 7.6% (15-64 age group), rising to 19.8% for those in the labour force aged under 25, and, among these, reaching 29.3% and 27.9% for immigrants and their native-born offspring, respectively.

Le 31/03/2016 à 14h 21







HarmattanBlow a écrit :



A leur décharge, tu ferais comment toi ?



Parce que le phénomène fondamentaliste/jihadiste est en hausse depuis plusieurs décennies dans le monde et s’il continue sur sa lancée on va avoir de plus en plus d’attentats, avec ou sans ISIS, avec ou sans la Syrie qui ne sont que des allumettes dans la poche de gaz existante.



A moins que ces phénomènes ne s’inversent spontanément, soit on trouve un moyen d’enrayer le terrorisme, soit la France commettra tôt ou tard un génocide.



Laisser faire c’est rien de moins que paver la voie de l’islamophobie extrémiste. Agir c’est renier nos libertés. Quelle solution applicable et capable de vraiment résoudre le problème ?



Et ne me sortez pas la citation de Franklin, sauf à pouvoir l’argumenter.





La question à se poser est pourquoi ces gens (jeunes) se tournent vers l’extrémisme plutôt qu’autre chose ? Un début de réponse se trouve dans leur situation économique : ils sont souvent sans emploi parce que les modalités pour en obtenir un en Europe (ce n’est pas forcément vrai partout) sont grotesquement compliquées (marché du travail inflexible, minimum salarial au-dessus de leur compétence, disparition des jobs à faible compétence, système éducatif/formation inadapté, pas de suivi personnalisé, etc).



Je ne prétends pas affirmer que le lien de cause à effet est clair et évident, mais dans une société où le travail est laissé officiellement de côté au profit de la rente sociale (merci Popaul Emploi et autres organismes désincitateurs) et par l’impossibilité d’accéder à ce marché pour se prendre en charge, il ne faut pas s’étonner que ces personnes trouvent un moyen d’évacuer leur haine d’être dans leur situation par des moyens violents.



Encore une fois, il existe sans doute une myriade d’explications (politiques, religieuses, historiques, etc) dont la combinaison aboutit à la situation actuelle. Mais il est urgent de comprendre que quand on n’a plus d’espoir, on est très facilement malléable, et alors tout est possible. Surtout si on vous prédit le paradis pour vos actes.


Le 31/03/2016 à 07h 57

Traiter le cancer avec de la tisane, forcément ça va bien se passer. <img data-src=" />

Le 30/03/2016 à 09h 25

Le droit à la vie privée et au secret est maintenant défendu par des communistes et des escrologistes : on mesure l’ampleur de tout ce qui ne va pas dans le poulailler France.

Le 29/03/2016 à 15h 40

Bonne initiative que de pousser au chiffrement.

Le 29/03/2016 à 13h 16

Quand les bourses vont s’effondrer et les banques fermer, on n’aura pas autant d’esclandre pour si peu.



C’est rassurant savoir que les gens ont des priorités.

Le 27/03/2016 à 07h 51







recoding a écrit :



Et je rigolerai quand 70% d’une classe d’âge n’aura aucun droit à la retraite/sécu/formation/chômage parce que le disque dur a cramé/a été jeté/effacé/a été chiffré par Locky <img data-src=" />





Les Ponzi sociaux seront « naturellement » à sec bien avant, il faut l’espérer.


Le 26/03/2016 à 09h 25







recoding a écrit :



J’espère que les bulletins de paie dématérialisés seront accompagnés d’une formation aux salariés pour une gestion saine de leurs fichiers: confidentialité et back-up, afin d’assurer la pérennité de ces documents. (avec paiement du cloud et de l’accès internet par l’entreprise, et autorisation d’imprimer au bureau quand un tiers demande la version papier, et garantie que le format sera lisible 50 ans plus tard, une paille en informatique)



Comme d’hab “le numérique c’est rapide et pas cher”, disent ceux qui n’y connaissent rien…





En rêve. L’entreprise n’est pas un fournisseur de services gratuits et les salariés sont seuls responsables de la gestion de leurs affaires.


Le 20/03/2016 à 13h 19







joma74fr a écrit :



la propagande anti-nucléaire, j’ai du mal à la voir dans les médias de masse. Je vois surtout de l’infotainment qui cherche le buzz, le spectaculaire dans le but d’augmenter l’audience.





Arte n’est pas précisément réputée pour ces caractéristiques, donc cette ligne d’arguments ne tient pas.



Arte est par contre à moitié allemande et, surtout, subventionnée par des États pas vraiment pro-nucléaires, tout du moins à l’heure actuelle, l’engeance verte faisant des ravages sur les faibles esprits politiques.



Bref, le différentiel entre la réalité et sa représentation est si grand que cela ne peut être le fait du hasard. Surtout de si nombreuses fois répété.


Le 19/03/2016 à 12h 05







joma74fr a écrit :



Il me semble qu’un désastre ou une catastrophe ne se compte pas forcément en nombre de morts.





Vu l’acharnement merdiatique à ne s’attarder qu’à une seule conséquence non mortelle du tsunami en oubliant toutes les autres (ou en les évacuant en 3 mots d’introduction), il y a lieu de considérer ce déséquilibre volontaire comme de la désinformation dans un but de propagande anti-nucléaire, ni plus ni moins. Pointer l’évidence est un acte audacieux de nos jours. <img data-src=" />


Le 19/03/2016 à 10h 32

Pour ceux qui veulent en savoir un peu beaucoup plus que le superficiel télévisuel sur le mal nommé Homo Sapiens, le bouquin à lire est « Sapiens, une brève histoire de l’humanité ». Même si on n’est pas d’accord avec certaines positions de l’auteur sur quelques points de détail, l’érudition humblement exposée, la recherche abordée dans le détail et la transversalité de l’exposition au fil du temps sont de haute volée pour celui qui veut se cultiver avec autre chose que du prémâché.

Le 19/03/2016 à 10h 26

Fukushima est un désastre avec 0 mort (1 indirect) ? Comment appelle-t-on les 22 000 morts du tsunami ?



Comme disait Staline, 1 mort est une tragédie, 1 million une statistique. Les merdias collectivistes sont à ce niveau.

Le 18/03/2016 à 16h 42







ActionFighter a écrit :



Je crois que tu n’as vu où je voulais en venir avec mon expression. Je voulais juste pointer le manque d’ouverture aux idéologies alternatives du système.





Je te suis parfaitement : le jour où on découvrira que le système (au moins économique pour le moment, mais on pourra généraliser sans peine une fois fait) peut parfaitement tourner sans grands timoniers, niveleurs vers le bas, incantateurs de faux-miracles, et autres prêcheurs de croyances fumeuses, l’humanité sera sauve (et riche).









ActionFighter a écrit :



Quant à la politique de la BCE, on est d’accord, ils auraient du faire ça depuis longtemps pour relancer la compétitivité, et taper un peu dans la rente <img data-src=" />

Ce n’est pas ce que tu voulais dire ? <img data-src=" />





Comme le Japon ? J’aime ton humour simple et direct.


Le 17/03/2016 à 19h 48







ActionFighter a écrit :



Tu veux dire quoi par là ?



Rien, je taquines.









ActionFighter a écrit :



Pour le côté technique, on est d’accord. Par contre, je m’étonne de te voir le suggérer concernant “ailleurs” en ces temps de “rasoir d’Ockham économique” qui prennent pour acquis l’ensemble du système existant.





« en ces temps de “rasoir d’Ockham économique” » : tu plaisantes ?

La BCE vient de baisser son taux directeur à 0% et continue d’imprimer pour 80 miyards de futurs feuilles de PQ par mois, tandis que les banques vont devoir payer un taux négatif (-0.40%) de par leur obligation à maintenir des liquidités suffisantes, mais dont elles nous ferons passer le coût en frais de tenue de compte, tout ça quand le pédalomane recule face 3.5 étudiant sur une nanoréforme du droit du travail et continue de taxer à mort l’appareil productif tou en se demandant pourquoi le chômage augmente, etc, moi je n’appelle pas cela un « rasoir d’Ockham économique » mais une avalanche de débilités idéologiques.


Le 17/03/2016 à 10h 54







ActionFighter a écrit :



C’est un brouillon de commentaire <img data-src=" />





Ça doit bien refléter quelque chose…



Sinon comme guide général opérationnel dans le domaine technique (et ailleurs), je propose que face à la résolution de tout non-problème destiné à disparaitre de lui-même, on ait le courage d’évaluer la solution la plus simple (rasoir d’Ockham), ne rien faire.


Le 17/03/2016 à 08h 52

Le navire France aux cales à moitié pleine de dettes est en train de sombrer, mais les rats continuent de se disputer au salon pour savoir jusqu’à quelle heure le prochain dîner devrait être servi. Heureusement pour eux, la météo est calme en ce moment.

Le 16/03/2016 à 12h 44

Elle ressemble aux anciens modems de chez US Robotics. Espérons qu’elle ira plus vite et sera aussi fiable.

Le 16/03/2016 à 12h 41



Là encore, la France ne s’est pas posée toutes ces questions métaphysiques.



Effectivement, ici on préfère tirer d’abord (légiférer, réglementer) et discuter ensuite (re-légiférer, re-réglementer). Éventuellement. S’il y a trop de vagues.

Le 16/03/2016 à 11h 33







saladiste a écrit :



Ce type de stratégie (ou plutôt méthode) aurait fonctionné avec une autre politique (le pourquoi).

Il est donc opportun de questionner l’existant, de demander des comptes sur le comment et le pourquoi et, finalement, de changer les institutions si elles ne répondent plus à leur fins premières, ce qui est le cas depuis quelques décades maintenant.





[quote:5625083:saladiste]Tu me paraphrases en omettant que tu exerces tes activité dans ladite paix civile (je t’invite à mieux analyser l’histoires des taxis/uber).





Tu supposes erronément que ladite paix civile est le résultat de l’action de ces institutions, quand on observe pertinemment tous les jours, d’autant plus avec ton exemple de rente de situation créée et garantie par l’État face à une innovation qui tente de libéraliser le secteur au bénéfice de ses utilisateurs, que c’est l’opposé.

La paix civile existerait naturellement si les institutions étatiques ne passaient pas leur temps à monter les (groupes d’)individus les uns contre les autres (en leur faisant croire que c’est pour leur bien naturellement) pour justifier son monopole de la violence tout en nous refusant le droit de nous défendre contre ses agressions. La manipulation du noble chevalier corrompu est grossière.









saladiste a écrit :



Il me semble que tu prends pour acquis naturel le “pouvoir” ou la liberté dont tu disposes, alors que ce n’est qu’une organisation sociale arbitraire parmi d’autres, qui n’est pas meilleure qu’une autre.





Quelle soit meilleure ou pas n’est qu’une affaire de jugement qui n’a de valeur qu’opposé à des observations empiriques et/ou une comparaison de critères quantifiables, et qui n’a, in fine, aucun d’impact sur le point essentiel suivant :

« j’affirme que je me reconnais le droit inaliénable de vivre selon mon bon vouloir tant que ce droit respecte celui des autres à faire de même, et vice-versa. »



Il n’y a besoin de tiers pour établir ce point. Dans le cas où il faille un tiers pour maintenir ce point, il existe un système d’accord de gré à gré sous forme de contractualisation qui, tout en respectant le point sur le fond et sur la forme, fournit le support opérationnel pour y parvenir au moindre coût.









saladiste a écrit :



Le choix des mesures, des fonctions d’utilité… etc. est une décision politique, il n’en existe pas un meilleur sans se donner d’a priori.

Il existe une différence fondamentale entre se donner les moyens d’une politique et faire des incantations dogmatiques.





Mais qui passe son temps à en faire des incantations sur toutes les ondes et journaux sinon les politiques, alors que leur track-record (leur « décision politique ») en matière économique (entre autres) est catastrophique ? Si les entreprises étaient gérées comme l’État français, cela ferait longtemps qu’on aurait émigré en Allemagne en UK ou aux USA pour profiter de la soupe populaire.

« Se donner les moyens d’une politique » consiste de nos jours à se servir toujours plus dans les poches de ceux qui travaillent (salariés et producteurs) et de le distribuer aux clients-électeurs (tous les autres) jusqu’au prochain suffrage en naviguant à vue et en ne faisant surtout pas de vagues. C’est risible tellement c’est gros et qu’on en redemande.


Le 16/03/2016 à 10h 52

Le 15/03/2016 à 08h 34







saladiste a écrit :



Vous ne remplissez pas le même rôle.



Tu confonds ici le pourquoi du comment. Je ne commente pas le pourquoi (i.e. leur politique bizarre).



Pour résumer ce que je dis : tu octroies à l’État un rôle qu’il n’a pas, combien même si il dit l’assumer.





Je n’octroie rien à l’État et ne lui reconnait pas plus : lui s’octroie des privilèges par la force, s’invente des rôles par la loi, impose des consentements par la violence et sans contractualisation, et finalement retirent les droits de ceux qui il est censé protéger. Mais il n’a aucune capacité, compétence et légitimité à assumer et assurer ces charges. Même dans les fonctions dites régaliennes, l’échec est patent. Alors en économie, c’est la Bérézina totale (ce qui n’étonne que ceux qui n’ont jamais rien compris à l’économie).



Le « comment » est un tel désastre qu’il ne faudrait pas s’interroger sur le « pourquoi » ? Allons.



L’État n’est le garant que de sa propre existence parce qu’il est composé de personnes en chair et en os qui vivent sur le dos de ceux qui travaillent. Il doit les convaincre continuellement que c’est dans leur intérêt de continuer à se faire plumer pour des motifs aussi grotesques que la protection de la « paix », alors que l’entièreté de l’Histoire humaine n’est faite que de guerres déclarées par lui et personne d’autre contre eux-mêmes ou des étrangers (qui, comme chacun sait, sont tous des méchants).



Je n’ai aucune intention de me laisser ruiner à petit feu par des incapables irresponsables dont le seul objectif est de profiter d’une parcelle de pouvoir dont je n’ai pas consenti à me séparer.









saladiste a écrit :



Comment mesures-tu la profitabilité ? (ne me réponds pas par une balance positive)





C’est généralement une variable quantitative qui se mesure a posteriori en faisant un bilan (déterminer un point dit mort ou d’équilibre), comme dans toute entreprise bien gérée. Si le bilan n’est pas favorable, on taille les branches mortes ou on innove ou on augmente la productivité, ou on sous-traite, etc.


Le 15/03/2016 à 07h 57







Commentaire_supprime a écrit :



Bien, je note que le jour où tu seras dans la merde, tu ne verras pas d’inconvénient à ce qu’on te regarde crever la gueule ouverte au lieu d’intervenir.



Je prends bonne note.





Il n’a jamais fait de doute dans mon esprit que la noble humanité, solidarité et fraternité affichées de manière ostentatoire par le collectiviste de base n’a jamais été que de façade. Votre manière de cracher votre haine n’est que le reflet des sentiments corrompus qui vous habitent. Vous n’avez plus d’humain que l’enveloppe.


Le 15/03/2016 à 00h 04







saladiste a écrit :



Tu confonds les échelles de temps d’une institution étatique ou financière avec celle d’un individu.





Mon horizon temporel est effectivement différent, je ne les confond pas : j’utilise le sens inné (sarcasme) de l’État pour les affaires à mon avantage. Je suis flexible, pas lui, je suis réactive, pas lui, je n’engage que les actifs qui sont financièrement supportables en cas de perte, pas lui, je ne joue pas à la boule de cristal, lui si, etc.. Bref je suis seule responsable de mon business, tandis que lui n’est responsable de rien puisqu’il engage de l’argent qu’il a pris à d’autres.









saladiste a écrit :



Par exemple, pour citer ton article :

“He [Lévy] also said Hinkley Point would ultimately be profitable for EDF, with a return of 9 per cent over 60 years.” Tu ne peux à l’échelle d’un individu appliquer une telle stratégie.



D’une part, l’État peut en effet soutenir ce type d’investissement pour appliquer sa politique : c’est plus une initiative d’investissement multipartite qu’une mauvaise gestion (les tenants et les aboutissants étant une autre question).





Comme la stratégie des énergies renouvelables subventionnées en amont et en aval sur la base d’un prix du baril à 200$ ou plus ? Elles sont belles les stratégies de l’État. Note aussi le conditionnel dans la phrase : « would » et la démission récente du directeur financier d’EDF sur cette affaire. EDF est déjà en difficulté en France et dans un pays nordique sur le même type de projet où il doit essuyer les plâtres : la chose intelligente à faire quand on ne maitrise pas une technique nouvelle c’est d’expérimenter en augmentant l’échelle, pas de commencer par une série, surtout quand plein d’autres pays sont capables de proposer des techniques modernes beaucoup moins chères.



Il faut se rendre à l’évidence : l’État est un mauvais stratège, un mauvais gestionnaire et est complétement incompétent dans les affaires. Quelque soit l’échelle, on pratique des stratégies focalisées sur le réel, pas sur les vœux pieux. Ça permet d’éviter les déculottées financières et, accessoirement, le ridicule.









saladiste a écrit :



D’autre part, tu oublies que tes actes accentuent dans une certaine mesure la dépendance générale à l’électricité.





On est tous dépendant d’un autre : c’est le but du jeu que de se débarrasser des activités non profitables pour se focaliser sur celles rentables, surtout quand on ne peut pas faire autrement. Le premier qui me propose des micro-piles nucléaires abordables pour ma villa, mes activités et véhicules sera le bienvenu.


Le 14/03/2016 à 20h 54







sr17 a écrit :



Je te recommande de creuser du côté de ceux qui ont réfléchi sur les problèmes et conséquences économiques de l’industrie mécanisée/automatisée.





Il existe autant d’études optimistes que pessimistes sur l’automatisation/la robotisation. Si l’Histoire est un guide, je ne vois pas de quoi s’inquiéter (ce qui n’est de toute manière pas dans ma nature).









sr17 a écrit :



Puisque tu as du temps libre, je te recommande également l’apprentissage de la programmation et une initiation à la robotique. Il est difficile de comprendre toutes les implications sans ces connaissances.





Je connais la programmation et la robotique, et les robots n’ont rien de nouveau (j’en « côtoie » un d’origine allemande depuis plus de 10 ans). On n’assiste seulement qu’à leur découverte par les médias, et la mise en avant de quelques études anxiogènes dont la seule caractéristique notable est l’utilisation avancée de la boule de cristal.









sr17 a écrit :



Enfin, l’étude de l’énergie est intéressante. On comprends que le vrai moteur de toute activité (et donc l’économie) est fondamentalement la conséquence de la quantité d’énergie que le soleil nous envoie par rayonnement sur chaque mètre carré. Et que au final, le travail humain est juste le plus mauvais et le plus inefficient moyen de production jamais inventé.





Ce n’est pas tout à fait exact, le nucléaire actuel (et futur) est indépendant du rayonnement solaire. C’est une ressource importante, mais l’ultime ressource est l’esprit et l’ingéniosité des humains (pour paraphraser l’économiste http://www.juliansimon.com/writings/Ultimate_Resource/” target=”_blank” rel=“nofollow”>Julian Simon).









sr17 a écrit :



Si tu est en train de prédire qu’on va en faire une espèce d’usine à gaz inefficace, complexe et immonde qui s’ajoutera à l’incroyable panoplie des machines de tortures administratives à la française… je crains fort que tu n’ait inéluctablement raison.



Nous sommes dirigés par des gens qui ont l’incroyable don de transformer l’or en merde…





On est en France tout de même, autant que ce soit grandiose dans le n’importe quoi.









sr17 a écrit :



L’utopie socialiste s’est déjà écroulé sous nos yeux à la fin des années 80. Et nous assistons maintenant à l’écroulement de l’utopie capitaliste.





La mort du capitalisme a été grandement exagérée. Surtout quand on ne propose rien à la place qu’une resucée du socialisme déchu (mais avec du marketing/branding moderne). Surtout quand les principaux prédicateurs sont les socialistes eux-mêmes. Ça laisse comme un arrière gout de tromperie. Comme l’a si justement écrit un auteur scientifique, « l’échange est à l’évolution culturelle ce que le sexe est à l’évolution biologique ». Le naturel est très résilient.









sr17 a écrit :



Ce qui est logique : comme l’a montré Georges Orwell dans “la ferme des animaux”, le socialisme et le capitalisme aboutissent au final au même résultat : une forme de féodalisme sans aucun libéralisme.





Je l’ai lu plusieurs fois, et je n’y ai jamais vu qu’une dénonciation amusante et fine du socialisme (soviétique) le plus débridé. D’ailleurs l’auteur ne s’en est jamais caché.


Le 14/03/2016 à 20h 08







Cartmaninpact a écrit :



Parce que le capitalisme c’est toujours l’échange d’1 poulet contre 3 carottes?





Tout dépend des valeurs qui sont attribuées au poulet et à la carotte, respectivement.







Cartmaninpact a écrit :



Non aujourd’hui c’est 99% des gens qui sont obligés de se vendre aux 1%, qui sont nés avec les clés du poulailler et qui leurs imposent leur conditions <img data-src=" />





En retour, ce 1% leur fourni de quoi vivre et leur transfert 97-98% de la valeur des choses qu’ils produisent. Peu sont capables d’en faire autant.


Le 15/03/2016 à 08h 45

KKR : eux, on peut dire que ce sont des requins qui cherchent et trouvent la rentabilité. Une nouvelle bonne opération à leur actif (!).

Le 14/03/2016 à 23h 29







Reznor26 a écrit :



On n’a pas forcément besoin de “ça” en l’état, mais de “quelque chose” dans l’absolu c’est évident.





Bien sûr mais ce quelque chose, il y a déjà une institution dont c’est l’objet même qui peut te le proposer en mieux et moins cher qu’actuellement, tout en respectant tes droits d’individu et en te replaçant au centre du système par la seule méthode de choix complétement démocratique qui existe : celle de ton porte-monnaie.


Le 14/03/2016 à 20h 03







Reznor26 a écrit :



C’est sûr que “rien” sera toujours moins cher que “quelque chose” ! <img data-src=" />



Plus efficace par contre… <img data-src=" />





Pose-toi la question : dans ta vie courante, et à moins que tu ne fasses déjà partie de la technostructure (politiques, administration, etc) auquel cas la question a déjà sa réponse, en quoi as-tu besoin d’elle ? La réponse est : excessivement rarement, mais toujours pour des contraintes.


Le 14/03/2016 à 16h 44







Reznor26 a écrit :



Mais qui ou quoi alors ?





Rien, c’est plus efficace et moins cher. Le rapport coût/bénéfice du système politique est devenu bien trop élevé pour ceux qui triment.


Le 14/03/2016 à 16h 26







gavroche69 a écrit :



Bon, admettons tu supprimes les élections mais tu remplaces par quoi ?



Tu connais des pays où il n’y a pas d’élections par le peuple du tout et qui ne sont pas des dictatures ?

Ou alors on nomme d’office les meilleurs promus de l’ENA, l’usine à fabriquer des abrutis ?





Je ne remplace pas. La politique est une chose trop importante pour la laisser aux professionnels de la démagogie (les politiques).







gavroche69 a écrit :



Pour la femme violée, je ne vois pas trop le rapport (à part le sexuel bien sûr)… <img data-src=" />





On ne peut pas cracher sur le système tout en acceptant de dire que c’est le moins mauvais (ce qui est faux). Je crache sur le système en disant qu’il n’est que la continuation du précédent et qu’il est aussi mauvais (sinon plus).


Le 14/03/2016 à 14h 14







gavroche69 a écrit :



Quelle solution tu proposes ?





Elle ne va pas te plaire, mais la solution efficace a un problème est de supprimer sa cause.







gavroche69 a écrit :



Reste que le système électorale reste quand même le moins pire, sans aucun doute possible…





Je crois que de tout temps, c’est la réflexion qu’on eu les gens pour ne rien faire. Tu me fais penser à une femme violée qui se dirait « j’ai de la chance, ils auraient pu être 2. ».