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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 06/04/2018 à 15h 53

On fait comme si la perte de confiance dans les médias datait de 2016 alors que la situation prédate largement Internet. Le problème est connu : quand on est subventionné (directement ou indirectement), on n’est plus en capacité d’être un contre-pouvoir, on mange dans la main de son maître.



Et effectivement, la plupart des fausses nouvelles sont inventées et propagées par les médias officiels, qu’on va maintenant certifier comme étant automatiquement crédibles puisque sanctifiés par un label veritas quasi officiel, et donc dignes de l’attention du bon peuple.



Dormez tranquille brave gens, on veille sur votre propagande.

Le 06/04/2018 à 15h 32







Coeur2canard a écrit :



Ça a un nom un pantouflage inverse ?





Ça doit probablement être interdit par la loi pour cause de conflits d’intérêts potentiellement imaginaires (mais on n’est jamais trop prudent avec le privé). On est en France tout de même : qui voudrait que la pureté et noblesse de l’administration publique soient salie par de viles représentants de commerce ?



Je n’imagine même pas la révolution dans l’appareil d’État et les médias aux ordres, quand on voit la tempête dans un verre d’eau du transfuge d’un fonctionnaire vers le privé. On doit être le seul pays où on a décidé que les fonctionnaires devraient à jamais rester dans le même bocal.


Le 06/04/2018 à 15h 06

Il est peut-être prévu que son remplaçant vienne de chez Google ? Un peu de sang neuf provenant d’une entreprise ayant réussi ne ferai pas de mal au mammouth quand on voit la catastrophe dans les classements internationaux.

Le 06/04/2018 à 13h 29







numerid a écrit :



L’Académie a une position sur le sujet qui n’est en aucun cas fidèle à l’évolution de la langue française telle qu’on peut l’observer en lisant les écrits depuis des siècles.  L’académie est doublement incompétente d’une part car elle n’a aucune capacité normative, d’autre part car elle n’est composé que de gens qui manient, pas forcément, bien, la langue à leur petit niveau. D’ailleurs elle est infichue de pondre un dictionnaire complet en moins d’un siècle et encore, ai-je constaté, il y a des âneries dedans.





La position de l’Académie est de dire comment la langue est (mode passif), pas de dire comment il faudrait qu’elle soit. La langue se construit par le bas (l’usage) et non par décret venant d’en haut (les normes).



Donc se référer à une “capacité normative” est un non sens historique doublé d’une totale incompréhension des mécanismes qui font qu’une langue (ou tout autre système un tant soit peu complexe) émerge et évolue au cours du temps du fait de l’interaction des agents qui le composent.



Mais on a bien compris l’intérêt idéologique de parasiter le langage pour reformater, policer et finalement dévoyer les pensées et les idées : prendre le pouvoir. C’est ce qu’“enseigne” le postmodernisme et ses adeptes qui font déjà la pluie et le beau temps dans le PAF et l’éducation, et ces tentatives de prise de contrôle de la langue ne sont qu’une des faces les plus visibles de l’iceberg du néo-marxisme culturel.



Il est grand temps de déparasiter cette vermine.


Le 05/04/2018 à 18h 55







wagaf a écrit :



Tout en étant d’accord à 100% avec ce lien, c’est l’usage et non des académiciens qui font une langue.



Si “la rapporteure” devient l’usage courant, c’est alors comme ça qu’on le dit en français, de fait.





Tout à fait d’accord, l’usage prime.



Néanmoins, le rappel des académiciens était justement que l’usage dans ce cas n’est ni “naturel” ni cohérent ni souhaitable mais dérive d’une imposition politico-idéologique plus ou moins larvée par des institutions en guerre contre la raison et que cela ne concerne pas, voire au pire par la législation si ou quand ces tartuferies postmodernistes pseudo genresques ne sont pas assez acceptées ou trop lentement par la populace déjà gavée du même fumier simili culturel dont l’abreuve continuellement la p(a)resse subventionnée par ces mêmes maîtres à penser et donc à dire. Le PC dans ses œuvres malfaisantes. C’est la cancer de la société.



Donc l’usage oui, l’usage forcé non.


Le 05/04/2018 à 16h 03







Ricard a écrit :



Et c’est reparti avec les fautes de français…. Ca donne envie d’acheter le magazine NXi…. <img data-src=" />





Pour pinailler, on écrit « Ça » en français. Et aussi les « deux rapporteurs », voir ici pourquoi (les diktats gouvernementaux et/ou idéologiques sont inacceptables) :





« En français, la marque du féminin ne sert qu’accessoirement à rendre la distinction entre mâle et femelle. La distribution des substantifs en deux genres institue, dans la totalité du lexique, un principe de classification, permettant éventuellement de distinguer des homonymes, de souligner des orthographes différentes, de classer des suffixes, d’indiquer des grandeurs relatives, des rapports de dérivation, et favorisant, par le jeu de l’accord des adjectifs, la variété des constructions nominales… Tous ces emplois du genre grammatical constituent un réseau complexe où la désignation contrastée des sexes ne joue qu’un rôle mineur. Des changements, faits de propos délibéré dans un secteur, peuvent avoir sur les autres des répercussions insoupçonnées. »


Le 05/04/2018 à 15h 15







ColinMaudry a écrit :



La réussite, c’est ce que j’ai observé (je travaille avec la mission Etalab, qui promeut le programme des EIG).



Le site c’était pour donner un complément d’information et répondre aux questions les plus fréquentes.



Si tu souhaites avoir des infos sur les résultats, le mieux c’est de leur demander : [email protected]



Ici sous “Une première promotion en 2017 : 11 entrepreneur.e.s, 9 défis d’intérêt général”, tu trouveras le bilan de la première promo des EIG, avec des liens vers des “résultats tangibles”.



Edit : j’ai retrouvé un autre article qui fait le bilan de la promo 1





Merci. J’avais déjà visité tous ces liens qui sont disponibles depuis le site principal. Il y a beaucoup de vidéos promotionnelles, mais peu en ce qui concerne ce que j’appelle moi “réussite” : rien d’abord sur l’utilité de ces projets, en quoi ils amèneront une plus-value pour le public (c’est le but de tout service dit public; non ?), pourquoi ils ont été initialement choisis plutôt que d’autres (est-ce une demande d’une administration, d’un ponte, de la direction, du public, etc.), pas de retour global sur leur état d’achèvement (les dépassement de délais et/ou de budget sont la norme en IT), pas d’infos sur l’adéquation entre ce qui avait été demandé et ce qui a été réalisé, pas d’analyse sur les coûts initiaux et de maintenance par rapport aux gains espérés (l’historique est court, Ok), pas de retour non plus sur l’utilisation a posteriori de ces projets (s’ils ont bien été complétés), etc.



Chanter “réussite”, tout le monde sait faire. Démontrer est autre chose.


Le 04/04/2018 à 16h 49

Je ne vois aucune trace de “réussite” sur le site : où sont les analyses coût/bénéfices, où sont les résultats tangibles, etc. Rien de tout cela n’est fourni. De plus la méthode de recrutement fait furieusement penser aux émissions de téléréalité de TF1/M6 … Par contre massacrer la langue française en rendant le site illisible avec son écriture genresque, là oui il y a totale réussite.

Le 04/04/2018 à 16h 17

On a échappé au Gosplan quinquennal rebrandé en National action plan, mais on se pose quand même la question : quel est l’intérêt de tout ce fatras de buzzwords ?



Un “laboratoire d’intelligence artificielle ouvert pour l’État” avec des “spécialistes en data sciences et de transformateurs publics”, c’est hype et tendance, ça envoie des étincelles, mais dans quel but ? Apparemment pour rien puisque il va falloir des “appels à projets” pour en connaître l’utilité a posteriori ! Ici, imaginer une entreprise qui décide de construire un nouveau bâtiment pour déterminer quoi en faire seulement quand il sera fini … L’argent des autres ne coûte pas cher.



“Entrepreneurs d’intérêt général” : comme si mélanger les genres allait faire oublier le mammouth, sa structure ossifiée et sa légendaire incompétence. Personne n’est dupe.

Le 05/04/2018 à 13h 46







megadub a écrit :



J’ai commencé à 85 pour arriver à plus de 125 de QI en moins d’un an





Personne ne fait 2 tests de QI dans la même année, c’est juste débile et ne veut rien dire. Ces tests sont utilisés par les psychologues (scolaires entre autres), dans les centres de dépistages qui prennent en charge les TSA (les CRA), et partout où on cherche à savoir. Manifestement, tu ne sais pas de quoi tu parles et/ou tu es mal informé. Dans ces cas-là le mieux est de se taire et d’apprendre plutôt que de débiter des niaiseries obsolètes réfutées depuis des décennies.









megadub a écrit :



Si on ajoute à ça le fait que tu fais dire tout et n’importe quoi à des études en travestissant la conclusion de celles-ci, je pense qu’on peut s’arrêter là… visiblement ce ne sera pas possible d’avoir un débat intéressant puisque tu ne sembles décidément pas en mesure de remettre en question tes certitudes manifestement obsolètes… tant pis <img data-src=" />





Je n’ai fait que reproduire et commenter les résultats des études illustrant les sujets abordés. Ce qui n’est pas ton cas puisqu’à part ergoter et radoter les mêmes répétitions à la mode il y a un siècle sans fournir le moindre début de la plus petite évidence d’un support quelconque par la littérature scientifique, rien.









megadub a écrit :



<img data-src=" /> c’est pas toi qui me sort des études des années 60-70 par hasard ? <img data-src=" />





2 décennies, c’est toute la différence entre être largué et être à jour. Si tu veux plus récent, en voilà. Et le papier mis en lien était de 2001, donc tu es de mauvaise foi en plus. Ça complète admirablement bien le tableau de l’indécrottable idéologue. <img data-src=" />



Effectivement, il vaut mieux que tu arrêtes là.


Le 05/04/2018 à 09h 42







megadub a écrit :



“It remains unclear to what extent the genetic and non-shared environmental factors contributing to variation in enjoyment and self-perceived ability also contribute to variation in achievement and intelligence “ Visiblement pour toi c’est clair, faudrait peut-être contacter les rédacteurs de l’étude <img data-src=" />





Leurs résultats montrent clairement l’influence majeure de la biologie, et seuls les résultats comptent. Après, que leur conclusion soit moins catégorique n’est qu’un classique appel du pied implicite à plus de financement pour supporter/répliquer leur recherche. C’est de bonne guerre, mais leurs résultats publiés sont très clairs.









megadub a écrit :



Quant au QI, on ne sait toujours pas le mesurer. Et là aussi les études évoluent, on parle désormais bien plus du QE que le QI qui semble être autrement plus important. Effectivement, le QI est un facteur mais contrairement à ce que tu dis, il est loin d’être essentiel, c’est de plus en plus clair dans toutes les études. Le principal facteur de réussite c’est le travail et l’abnégation, vient ensuite le milieu social et seulement après les capacités personnelles qui ne sont même pas indispensables.





Tu es dans le déni : le QI est mesuré par des tests standardisés qui sont reconnus par les autorités et utilisés par les médecins et psychologues du monde entier. Même les militaires l’utilisent pour sélectionner les recrues. Il faut vraiment être de mauvaise foi ou (volontairement ?) ignare pour nier l’évidence.



Non, là encore, l’intelligence mesurée par le QI est superbement bien corrélée à la réussite sociale. Voir ce papier où on peut lire que plus de 70 ans de recherche sur le sujet conduisent aux mêmes résultats :

One of the clearest items of evidence that the general factor in a battery of diverse mental ability tests, or psychometric g, has important ‘‘real-life’’ correlates is the relationship of g factor scores (or of scores on any highly g-loaded tests) with occupational status and with income (Burt, 1943; Gottfredson, 1986, 1997; Herrnstein & Murray, 1994; Jencks, 1972, 1979; Jensen, 1980, 1998; Mackintosh, 1998).





On n’est plus dans les années 50, il faudrait mettre à jour tes connaissances.









megadub a écrit :



En tout cas, des crétins qui ont bien réussi j’en connais des wagons <img data-src=" />





La jalousie à l’œuvre.


Le 04/04/2018 à 15h 30







megadub a écrit :



OK, et bien je te confirme que cela ne repose sur aucune étude scientifique. C’est ton avis mais la science, elle, a démontré que la motivation dépend d’abord du contexte sociale (et exclusivement si on exclu le caractère personnel) ce qui explique pourquoi la réussite professionnel est aussi dépendante du milieu social dans lequel on grandit… qu’on soit une femme ou un homme.





Non. Premièrement l’intelligence est essentiellement indépendante du milieu social puisque héritable (il suffit de croiser une souris plus intelligente avec une autre souris “normale” pour obtenir une souris aussi intelligente que la première). Chez les humains le meilleur facteur prédictif de la réussite sociale est l’intelligence (déterminée par test de QI). La littérature est claire sur ce sujet (pour un récapitulatif, cf Haier, 2017. The Neuroscience of Intelligence). Les études de supplémentations éducatives n’ont donné aucun résultat tangible (cf Jensen, 1969. How much can we boost I.Q. and scholastic achievement?) précisément à cause de cela : on en déduit que le rôle des facteurs environnementaux (sociaux) est faible. Cela ne veut pas dire qu’ils sont inutiles ! Favoriser un environnement adéquat permet d’augmenter les chances de réussite ceteris paribus. Mais on ne fera jamais d’un individu à 80 de QI un ingénieur. D’ailleurs les données montrent qu’il existe un recouvrement important entre les populations les plus pauvres (pas de réussite sociale) et celles à QI faible. Le lien est évident. Voir cette vidéo pour une conversation sur ce sujet (et bien d’autres relatifs) entre J. Peterson psychologue clinicien, et le R. Haier chercheur en science cognitive (sus-cité).



Deuxièmement, pour la motivation le peu d’études que j’ai lues (exemple) tendent à conclure à une influence génétique prédominante et significative, mais avec un aspect environnemental parfois non négligeable. Ce sont des études récentes qui demandent à être répliquées.


Le 04/04/2018 à 14h 41

Raison pour laquelle j’ai précisé plus haut en gras ce qui concernait l’étude, et en souligné mon évaluation de la situation.

Le 04/04/2018 à 14h 38







megadub a écrit :



En l’occurence, tu ne règles pas la question des femmes qui ont de meilleurs résultats que les hommes et ne sont pas recrutés… là, la génétique ne peut pas apporter le moindre début d’explication.





Chaîne causale : les motivations dérivent (en grande partie) des traits qui dérivent (en grande partie) des gènes.


Le 04/04/2018 à 14h 18







crocodudule a écrit :



Mais ces “traits” sociaux féminins ils sont définis par quoi selon toi ?





Je pense que j’ai déjà répondu précédemment.


Le 04/04/2018 à 14h 15







crocodudule a écrit :



T’as laissé la main à un bot ? <img data-src=" />





Non, je trouve dommage de refuser, pour des prétextes aussi fallacieux et simplistes, les résultats d’une étude transversale de grande ampleur et aussi intéressante. Mais c’est classique.


Le 04/04/2018 à 14h 11







megadub a écrit :



Admettons que les petites filles préfèrent la poupées parce que c’est inscrit dans les gènes… pourquoi cela les éloignerait plus des sciences que les mecs qui ne pensent qu’au foot et aux gonzesses ? Là, il y a un pas que tu franchis que je ne comprends pas… au dela de ne pas être d’accord sur l’hypothèse de départ.



C’est bien que les capacités cognitives sont négligeables dans l’équation non ?





Ai-je dis autre chose ? L’étude que j’ai cité dit-elle autre chose ? Ce dont je parle ce sont des capacités “sociales”, c’est à dire des traits qui définissent le “féminin” et qui ont des déterminants génétiques, et que ces traits influencent nécessairement les choix, les motivations et les intérêts des individus femmes. Je ne vois pas ce qu’il y a de difficile à comprendre. Tout le monde sait depuis les années 60 que le QI, c’est à dire les capacités cognitives, des F et des H sont similaires à epsilon près.


Le 04/04/2018 à 14h 01







crocodudule a écrit :



Mais en quoi? Rien que la définition des STEM dans “ton” étude est critiquée par les sites topitos de la science que je citais plus haut.



En l’état ces études sont du flan…





Tu as le droit de le croire, mais cela ne démontre rien.


Le 04/04/2018 à 14h 00







megadub a écrit :



Bah voila très exactement le raccourci pour lequel je ne suis pas d’accord.





Ce n’est pas un raccourci, c’est une explication logique, cohérente et causale. Qu’elle heurte tes préconceptions, soit.


Le 04/04/2018 à 13h 56







crocodudule a écrit :



Tu veux vraiment que j’argumente sur ton commentaire?



Ton étude ne dit absolument pas ce que tu VEUX lui faire dire, en revanche elle semble aussi pertinente scientifiquement que l’horoscope du matin, et tu t’abrites derrière elle là où d’autres tout aussi crédibles disent strictement le contraire de, non pas ton affirmation, mais celles du Docteur au prénom de meuble Ikea qui bosse à Beckett University et que tu cites en référence.



Donc faute d’argument autre que “ton étude”, je me range à mon expérience personnelle qui, si elle n’a pas la prétention d’être une vérité scientifique que ni toi ni moi ne sommes capables d’établir, me permet au moins de constater que les clichés habituelles sur les femmes ne touchent manifestement pas celles que je fréquente (au sens biblique ou non d’ailleurs).





J’ai touché un nerf on dirait. Non, non, tu n’as pas besoin d’argumenter. Il ne faudrait pas que tes croyances soient crucifiées par des études qui ne vont pas dans leur sens…


Le 04/04/2018 à 13h 51







crocodudule a écrit :



Mais en quoi tu peux prétendre que ton étude est “robuste”? Tu n’en sais strictement rien, pas plus que je suis capable de dire que la “mienne” citée plus haut l’est.





Je ne dis pas que la mienne est “robuste”, simplement que la tienne l’est moins.


Le 04/04/2018 à 13h 46







megadub a écrit :



T’as bien dit ceci : “les filles “jouent à la poupée” et sont plus intéressées par les sciences sociales et médicales, c’est parce qu’elles sont biologiquement prédisposées à le faire”Je comprends mal ou ça veut bien dire : les filles sont porteuses de gènes “amour de la poupée” ? Si c’est bien le cas, c’est faux. Et ton étude le dit, dans la partie que tu as mis en gras : des capacités cognitives relatives aux STEM légèrement moindres en moyenne mais qui n’explique que très partiellement la situation





L’étude ne parle pas de “jeu à la poupée”, donc je ne vois pas le rapport entre les deux. Ceci dit, les traits qui font qu’un individu est plus disposé à s’occuper des enfants, à socialiser, à être attentif, à prodiguer des soins, etc. sont typiquement féminins. Ces traits sont à déterminant génétique, même si des facteurs épigénétiques et/ou environnementaux sont évidemment susceptibles d’interférer. Je ne vois pas trop ce qu’il y a de si controversé sur ce point, qui explique d’ailleurs tout à fait pourquoi on retrouve plus de femmes dans tous les métier à connotation sociale plutôt que dans ceux relatifs à la matière (typiquement STEM).


Le 04/04/2018 à 13h 34







crocodudule a écrit :



Puisqu’on en est à sortir du chapeau des études venues de l’espace pour s’assurer d’avoir bien raison, voilà celle de Frontiers in Psychology qui démontre l’égalité en termes de capacités mais encore le fait qu’il faut justement inciter les femmes à se tourner vers les sciences, (l’étude offrant les datas brutes en libre accès):

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyg.2017.00386/full





L’étude ne s’occupe que des “ability beliefs” soit des perceptions de capacités, et non des capacités elles-mêmes qu’on ne peut mesurer que par des tests appropriés. De toute manière, l’étude mise en lien plus haut par moi-même ne disait rien d’autre que les capacités sont légèrement moindre chez les femmes, ce qui ne justifie par des mesures d’incitation. Donc je ne vois pas trop l’intérêt d’en remettre une couche avec une étude qualitativement moins robuste.


Le 04/04/2018 à 13h 17







crocodudule a écrit :



Donc cf. mon post précédent, mon expérience perso. me démontre le contraire de l’étude citée qui au passage ne fait absolument pas le lien que tu veux établir, à savoir que l’incitation serait contreproductive.





On ne peut pas généraliser à partir d’un cas (personnel) et cette erreur, très classique, s’appelle l’“argument” du point de référence. C’est pour cette raison qu’on fait des mesures et observations sur beaucoup de cas, parce qu’on s’intéresse à la moyenne, à la tendance. Cela évite de porter des conclusions hâtives, simples et fausses.









crocodudule a écrit :



Selon l’étude que tu vises, deux facteurs seraient déterminants (et pour le moins vaseux je trouve):

. si le pays est moins égalitaire, alors les femmes chercheraient plus des carrières stables (supposément offertes par les STEM),

. si le pays a une bonne couverture sociale, alors les femmes seraient moins guidées par la sécurité financière que par leurs “désirs”…





Pas besoin de surinterpréter. Je me contente de reprendre ce que l’étude a montré : dans les pays où les incitations à l’égalité ont été les plus fortes, les différences H/F s’accroissent et vice versa. La conclusion est aussi simple : les incitations ne fonctionnent pas.









crocodudule a écrit :



Je n’ai pas les connaissances suffisantes pour juger de la qualité de l’étude en elle-même (même si j’ai ma petite idée puisque à suivre l’étude la femme serait d’abord déterminée par l’intérêt économique avant tout autre critère…), en revanche je n’ai pas besoin de beaucoup de recherches pour voir que certains des sites qui l’évoquent sont plus des topitos des sciences que des revues AAA.





Une bien pauvre argumentation : l’étude ne va pas disparaître parce X et pas Y a cité l’étude. Dans la même veine, ce n’est pas parce qu’une étude est publiée dans une revue “AAA” que cette étude est plus crédible. <img data-src=" />


Le 04/04/2018 à 12h 48

Je te réfère à mon commentaire d’origine qui ne dit rien d’autre que ce que conclue l’étude :



Elles ont les mêmes chances. A niveau et chance égaux, les femmes choisissent moins les filières STEM et préfèrent les sciences sociales où elles dominent (personne ne vient se plaindre de cette inégalité-là).



Il existe diverses raisons pour cela. L’une étant des capacités cognitives relatives aux STEM légèrement moindres en moyenne mais qui n’explique que très partiellement la situation. Les autres sont des attentes, des intérêts et des motivations différentes, dont les fondements ne sont pas vraiment établis mais qui comportent très probablement une grande composante génétique (traits).





J’ai mis spécifiquement en gras ce que l’étude conclue et en souligné mon évaluation. Réduire mon commentaire à “c’est tout la faute à la génétique” est typique des idéologues.qui ne savent pas converser toujours plus préoccupé d’avoir raison que de chercher pourquoi non. <img data-src=" />

Le 04/04/2018 à 12h 09







megadub a écrit :



T’iras dire ça à un transgenre <img data-src=" />





Pas besoin, il/elle a nécessairement découvert lui/elle-même comme quoi il est difficile (mais pas impossible) d’aller contre la Nature.









megadub a écrit :



Ca fait bien longtemps qu’on en a fini avec les mecs matheux et les filles littéraires. La génétique est en train d’être battue en brèche par les théories du genre qui permettent par la pratique plutôt que l’ésothérisme pseudo scientifique de rapprocher les sexes.





Les données montrent que non justement puisque les différences H/F sont renforcées dans les pays ayant prônés le plus l’égalité des genres. Après libre à chacun d’avaler toutes les charlataneries pour justifier leur croyance.









megadub a écrit :



Comment expliquer que des jumeaux élevés dans des contextes sociaux différents puissent alors avoir autant de différence dans leurs sensibilités ? Comment expliquer qu’un enfant qui grandit dans une maison bourrée de livre réussi mieux que dans une maison sans livre ?





Sensibilité =/= intelligence. Il n’existe pas de test pour mesurer la “sensibilité”. Il existe par contre des tonnes de facteurs confondants, dont la culture, pour expliquer certaines différences : cela n’en fait quelqu’un de plus intelligent.









megadub a écrit :



Heureusement, la sociologie n’a pas attendue depuis 50 ans, et quelques théories fumeuses de l’époque ont vécues





Les pseudo théories du genre ne sont pas de la sociologie mais de l’escroquerie intellectuelle.









megadub a écrit :



L’étude que tu cites ne démontre rien de moins que ce que je dis depuis le début : les hommes sont favorisés dans certains domaines grâce à leur contexte social et la société les pousse d’avantage vers les sciences.





L’étude dit tout le contraire, mais bon, on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif.


Le 04/04/2018 à 10h 02







megadub a écrit :



C’est un “choix” soit imposé par le milieu social (une fille ça joue à la poupée, quand on joue au docteur, c’est le mec le doc et elle c’est l’infirmière, etc.), par les conseillers d’orientation (oh tu sais, routier c’est pas un métier pour toi, tu seras toujours partie, tu voudrais pas être maman plutôt ?) et par la sélection sur dossier (tiens, encore une qui croit qu’elle peut être scientifique… on verra à la fin si on a de la place).



L’écart entre homme et femme ne peut pas s’expliquer uniquement par la volonté.





C’est ce que les études montrent : les différences H/F sont essentiellement biologiques (génétiques). Le nier ne les fera pas disparaître, au contraire : dans les pays les plus égalitaires les différences se renforcent au lieu de diminuer.



Les mêmes idéologues ont essayé de supprimer la recherche sur l’intelligence dans les années 70 quand on a finalement démontré (Jensen, 1969) que les traits prédicteurs de la réussite (scolaire, professionnelle, académique) étaient génétiques et que les opérations de “compensation scolaire” étaient inutiles quand cet objectif seul était visé. Résultats : on a perdu 40 ans de recherche qui auraient pu permettre d’améliorer le sort des moins favorisés intellectuellement.



Si les filles “jouent à la poupée” et sont plus intéressées par les sciences sociales et médicales, c’est parce qu’elles sont biologiquement prédisposées à le faire. Le “choix imposé” n’existe que dans la tête des anti-humains (généralement des gauchistes radicaux ignares et dogmatiques). Seuls des détestateurs de l’humanité peuvent soutenir des conneries pareilles.









megadub a écrit :



Typiquement le genre de croyance populaire sexiste qui crée le déséquilibre.



 

C’est ce que dit la Science, n’en déplaise à tes préjugés idéologiques nauséabonds.









megadub a écrit :



Je suis absolument d’accord… et pour arrêter de forcer la nature, il faut arrêter de présuposer qu’une fille veut absolument une chambre rose, lui interdire de jouer avec les garçons parce qu’ils sont trop violent, lui apprendre la cuisine pendant que son frère joue au foot avec papa, etc. 



Quand la société aura compris que l’identité sexuelle est bien plus orientée par l’entourage qu’à des chromosomes, l’égalité homme/femme aura fait un grand pas <img data-src=" />





Le débat est clos depuis 50 ans et la nature elle-même en a décidé ainsi : la biologie décide.


Le 04/04/2018 à 07h 09







megadub a écrit :



juste d’avoir les mêmes chances dés l’apprentissage. Ce n’est pas normal d’avoir si peu de femmes dans les filières d’élites, on ne me fera pas croire que l’écart de compétence est si grand en fonction du sexe <img data-src=" />





Elles ont les mêmes chances. A niveau et chance égaux, les femmes choisissent moins les filières STEM et préfèrent les sciences sociales où elles dominent (personne ne vient se plaindre de cette inégalité-là).



Il existe diverses raisons pour cela. L’une étant des capacités cognitives relatives aux STEM légèrement moindres en moyenne mais qui n’explique que très partiellement la situation. Les autres sont des attentes, des intérêts et des motivations différentes, dont les fondements ne sont pas vraiment établis mais qui comportent très probablement une grande composante génétique (traits).



Il est donc complètement inutile et contre-productif d’essayer de forcer la nature. L’égalitarisme idéologique forcené ne mène qu’à la misère et à la ruine.


Le 03/04/2018 à 21h 07







tmtisfree a écrit :



Le déterminisme n’est pas social mais génétique.





Il y a presque un contre-sens ici : ce que je voulais dire est que le déterminant est principalement génétique. L’aspect génétique est bien évidemment non déterministe, mais probabiliste.


Le 03/04/2018 à 20h 36

Cette position serait acceptable si ces données publiques, financées avec de l’argent public dans le cadre de sa mission régalienne, étaient payantes quand utilisées à des fins commerciales. Il y a zéro justification à les faire payer quand l’utilisation est à des fins de recherche, intellectuelles et/ou éducatives.



L’IGN est justement un bon exemple : il fait payer ses cartes en utilisation professionnelle ; en tant qu’utilisatrice non professionnelle, je viens de renouveler mon abonnement où j’ai accès à tout le catalogue des cartes et ce gratuitement.



Faire payer ces données procède de la même ineptie que de faire payer l’accès téléphonique aux services publics qui sont déjà financés par de l’argent public : c’est juste moralement intenable.

Le 03/04/2018 à 18h 45







ytterbium a écrit :



https://donneespubliques.meteofrance.fr/



Tu y trouves librement toutes les données que tu veux sur les stations.



Les données climatologiques peuvent être obtenues, mais avec un accès payant. Mais puisque tu es si motivé, ça ne te dérangera pas de payer…





Quelle farce. Oui cela me dérange de payer plus de 100 000 € pour les observations historiques, et 200 000 € supplémentaires pour les données climatiques alors que tout cela est déjà financé et donc payé par de l’argent public. <img data-src=" />


Le 03/04/2018 à 17h 17







crocodudule a écrit :



Cf mon post précédent, sauf un déterminisme social larvé, les femmes n’ont aucune raison de se détourner des sciences, et lorsqu’elles s’y collent elles se débrouillent aussi bien (ou aussi mal c’est selon) que les hommes.





Là n’est pas la question. On se doute que celles qui sont intéressées par les STEM sont au moins aussi “bonnes” que les hommes puisqu’il n’existe pas de différence de QI entre les 2. Le résultat mis en lien dans le graphique (provenant de cette étude) de mon commentaire précédent démontre que les incitations sont contre-productives. Pourquoi en faire dès lors. Le déterminisme n’est pas social mais génétique.


Le 03/04/2018 à 17h 09







crocodudule a écrit :



Dans les symposiums de la tartupnation que je fréquente, je n’ai pas noté de déséquilibre significatif s’agissant des origines, en revanche, c’est clairement le cas entre les femmes et les hommes, l’INSEE le confirmant, elles sont moins de 25% à se lancer dans ce secteur, donc si je suis contre le principe des quotas, en revanche j’approuve totalement une politique d’incitation au rééquilibrage.





Pourquoi “inciter” si cela ne correspond pas à ce que recherchent les femmes ? D’ailleurs ces “politiques d’incitation” ne fonctionnent pas : ce sont les pays (scandinaves entre autres) qui ont le plus fait pour inciter les femmes à opter pour les STEM qui ont le moins de femmes en STEM. Ça devrait plutôt inciter à réfléchir.


Le 03/04/2018 à 17h 03







crocodudule a écrit :



C’est plus jouable avec les infos des aéroports ?





Elles sont biaisées à la hausse du fait de leur emplacement. Ce qu’il faut, ce sont toutes les données brutes et les métadonnées de toutes les stations météo du pays. Étrangement, bien que nous payions MétéoFrance pour cela, ces données sont inaccessibles …


Le 03/04/2018 à 17h 00







127.0.0.1 a écrit :



En France, j’ai surtout l’impression qu’on met l’accent sur l’intelligence virtuelle et la réalité artificielle.





Normal, c’est la définition opérationnelle du socialisme (à la française). Tu ne voudrais pas que le bon peuple de France soit laissé seul à naviguer dans les riches eaux du capitalisme global triomphant partout ailleurs. Nous avons une réputation de loser patenté à défendre, nous Mossieu ! et les nouvelles technologies, laissées dans les menottes et guidées par nos valeureux leaders, vont faire savoir au monde entier qui nous envie, mais bizarrement sans encore nous copier, depuis le temps quand même, merde alors, combien nous sommes en avance sur tous ces sujets. Seul un miracle est admissible.


Le 03/04/2018 à 16h 48



Une libération de la « donnée écologique »



Le seul point potentiellement intéressant : quand les données météo historiques brutes seront libérées, histoire de vérifier les “calculs” tendanciels climatiques ….

Le 05/04/2018 à 09h 54



Cette aventure est un « one-shot », mais notre foi dans le média papier est bien réelle. Il est donc possible que l’équipe se mette à travailler sur un numéro 2



Par définition un « one-shot » c’est une seule fois. Là ça ressemble plutôt à un test ou à une bouée d’essai pour sonder le marché (sauf votre respect pour votre « foi »).

Le 04/04/2018 à 14h 31







carbier a écrit :



Depuis quand une arme semi automatique permet-elle de se défendre ?

De plus difficile de se déplacer en permanence avec ce genre d’engin pour se protéger.





Certaines en ont même à la plage


Le 04/04/2018 à 13h 22







ragoutoutou a écrit :



Si on veut être objectif, une grosse partie du discours ‘pro gun’ pourrait être assimilé à de l’apologie du terrorisme…



Tout comme les analphabètes de Daesh, de nombreux pro-gun vénèrent la constitution américaine sans l’avoir lue ni compris ses valeurs, au point où il suffit d’un photoshop d’Emma Gonzalez déchirant la constitution pour que ceux-ci appelle au jihad contre les survivants de la turie de Parkland.





Il suffit de défendre sa liberté et ses choix pour être qualifié de “terroriste” de nos jours. “La guerre, c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force.”


Le 04/04/2018 à 12h 30

Je ne vois pas ce qu’il y a d’“irrespectueux” à qualifier ces terroristes de “fanatiques”. Heureusement que j’appelais à la “modération et à la responsabilité des choix éditoriaux”. <img data-src=" />



Zéro pointé pour la modération.

Le 04/04/2018 à 10h 24







fred42 a écrit :



Voilà, cela aurait tout au plus dû figurer dans LeBrief.





Oui. Les informations sur la violence par les armes sont rapportées parce qu’elle est, tout comme la violence en général, de plus en plus rare (cf les travaux de S. Pinker). Je ne suis pas pour la censure, mais pour la modération et la responsabilité dans les choix éditoriaux. La chambre d’écho médiatique a vite fait de déformer un fait divers en mouvement de fond, surtout quand on connaît la montagne de biais dont on nous accable.


Le 04/04/2018 à 10h 15







gwado a écrit :





  • @tmtisfree + @misterB

     

     […]

    Muslims are the new Jews.

    Vegans are the new Muslims.

    Etc.



    Les amalgames du café du commerce ont la vie dure.

    Mais si ce genre de justifications à deux balles vous rassure… <img data-src=" />





    Effectivement, il ne faut pas généraliser. Mais les associations liées avec ce mode de vie (L214 par ex.) et qui prônent ouvertement la violence physique et la destruction des biens ne sont ni uniques ni anodines. Leur intolérance rejaillit sur tous les autres. Alors qu’on ne vienne pas se plaindre après des retombées négatives quand on a tout fait pour cristalliser l’intolérance.


Le 03/04/2018 à 11h 46







vizir67 a écrit :



J’ai l’avantage d’être SDF……………….avec un ordi. + Internet !

“ça va…tu t’en tires bien” !

“elle n’est pas belle la vie” ? <img data-src=" />







Ah pardon. SDF = Sans difficultés financières.


Le 31/03/2018 à 17h 04







gavroche69 a écrit :



J’espère que vous avez prévu ça dans votre budget… <img data-src=" />





J’ai l’avantage d’être SDF.


Le 31/03/2018 à 12h 00







fred42 a écrit :



Il suffirait pourtant de taxer ceux qui écrivent des conneries sur le WEB pour compenser largement. <img data-src=" />





Je suis obligée d’applaudir <img data-src=" />


Le 31/03/2018 à 11h 58







gavroche69 a écrit :



Tu peux expliquer sur quoi se basera cette fameuse justice si il n’y a pas de règles établies et donc pas de lois régissant ça ?





Comment fait-elle habituellement ? Elle traite le cas et la jurisprudence l’inscrit dans le marbre. La plupart des gens pense étrangement que la loi “tombe du ciel”, guidée par les dieux, les monarques ou leurs équivalents modernes, alors que plus simplement elle se construit jour après jour sur la base d’un socle plus profondément enraciné (elle émerge dirait le scientifique).


Le 31/03/2018 à 07h 00







MoonRa a écrit :



Je croyais que la loi était là pour restreindre des trucs plutôt que de donner des libertés.





Il ne faut pas confondre la Loi et la législation. La Loi est (théoriquement) au service de tous, la législation est (pratiquement) au service du législateur.


Le 31/03/2018 à 06h 57







megadub a écrit :



En l’occurrence, pour la voiture autonome, on est loin de ses considérations et le dernier accident avec Uber a bien montré le principal frein au véhicule autonome : qui est responsable de l’accident ? 



Et si la question a l’air simple, il suffit de réfléchir sérieusement 2 minutes pour se rendre compte qu’il va falloir trancher en désignant une chaîne de responsabilité a priori… et là, ben évidemment plus personne n’est d’accord.





Il existe une institution qui s’appelle la “Justice” pour déterminer les responsabilités. Aucune évolution technique ou technologique ne l’a jamais empêché de travailler. Et ce n’est certainement pas au législateur (et donc à la législation) de s’y substituer a priori.



Mon point était tout autre.


Le 02/04/2018 à 07h 30







cheezburger a écrit :



Barthes n’est pas un sociologue mais un sémiologue.





Les signes sont un fait social, le sémiologue est donc nécessairement un sociologue (qui s’ignore ?).


Le 31/03/2018 à 12h 04

Sacré Marck